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 Pourquoi ce silence ?

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Anonymous
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Ce message a été posté Dim 2 Aoû - 22:31
Tenue ✘Voilà plusieurs jours que Tae Oh se retrouvait sans nouvelle de Sayo. Depuis le dîner, la jeune femme n'avait répondu à aucun de ses sms et encore moins répondu à ses appels. Avait-il fait quelque chose de mal sans s'en rendre compte ce soir-là ? Pourtant, il n'avait pas eu l'impression que ce dîner s'était mal passé pour la professeur. Bien sûr que cela l'inquiétait. Sayo n'était pas non plus une inconnue, elle n'était pas non plus qu'une simple amie, mais bien plus et ça le coréen commençait à le comprendre de plus en plus, au fur et à mesure où il remarquait qu'il ne passait pas une journée sans penser à la métisse. Le fait qu'elle ne réponde pas était anormal. C'est pourquoi il avait décidé de venir lui parler en face et lui demander ce qui n'allait pas, ce qu'il avait bien pu faire pour mériter ce silence. Le coréen n'aimait pas laisser ce genre de chose de côté, il était plutôt du genre à y faire face et c'est ce qu'il comptait bien faire.

C'est donc avec l'aide de Kang Jae que Tae Oh pût réussir à assister au cours de la belle professeur de sociologie. Il était rare que le coréen demande une faveur à son meilleur ami, en tout cas pas de cette branche-là. Tout comme il était rare pour lui de mentir à son chef afin de pouvoir s'absenter la journée. Il avait inventé une excuse bidon du type sa sœur avait eu un accident et il devait donc aller au plus vite à l'hôpital ses parents n'étant pas au Japon pour s'en occuper. Oui, une excuse un peu tordue et même grosse. Néanmoins, elle avait fonctionné. C'est donc assit sur une chaise au milieu de tous ses élèves que Tae Oh suivait le cours de la jeune femme tout en se posant mille et une question. La métisse semblait aller bien, elle avait une bonne mine. Alors pourquoi ?

La sonnerie retentit pour annoncer la fin de son cours. Tae Oh ne savait pas exactement combien de temps il avait pour lui parler, mais il comptait bien savoir pourquoi elle avait agit ainsi. Peut-être n'était-ce pas de sa faute. Peut-être avait-elle tout simplement cassé son téléphone et perdu tous ses contact. Si cela lui arrivait, il ne serait pas capable de connaître tous les numéros. Déjà qu'il connaissait le sien, celui de la maison et du restaurant par cœur c'était déjà pas mal. Le cuisinier attendit donc que tout le monde s'en aille pour s'approcher de la jeune femme qui était de dos. « Salut. » dit-il assez hésitant, mains dans les poches de son jean. « Tu va bien ? » Pour le moment, il préférait commencer doucement que de l'attaquer directement sur pourquoi il n'avait obtenu aucune réponse de sa part. « Tu as l'air d'aller bien. » Il se mordait nerveusement la lèvre, alors qu'il continua à la regarder ou même plutôt la dévorer des yeux tellement elle était belle.

« Ton portable est cassé ? » Sérieusement, il espérait que ça soit le cas. « Ou on te la volé ? » Enfin, qu'importe la raison, il espérait seulement qu'elle soit de cet ordre. Tae Oh n'avait vraiment pas l'habitude qu'une personne avec qu'il s'entendait bien, du jour au lendemain ne donnait plus de nouvelles. Après peut-être était occupé, trop occupé pour lui répondre. Il se gratta la nuque, un peu mal à l'aise au fond de lui demander des explications. « Comme tu ne me répondais pas je me suis inquiété. Est-ce que j'ai fais quelque chose de mal lors du dîner ? Si c'est le cas, je tiens sincèrement à m'excuser. » Il s'inclina légèrement pour présenter ses excuses, même s'il ne savait pas du tout ce qu'il aurait bien pu faire pour mériter le silence de la belle métisse.

Anonymous
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Ce message a été posté Lun 3 Aoû - 1:14
tenue ﻻ  ça fait plusieurs jours que mme. yamada n'est pas en forme. elle à toujours le même punch mais elle s'énerve pour un rien. Voilà ce que disait deux élèves assis à côté du coréen. Ils s'étaient bien entendu demandé qui était-il car jamais son visage n'était apparu dans l'amphithéâtre mais aucun ne fit un commentaire. La sonnerie avait retenti, les pas de la jeune femme se firent entendre sous les talons hauts qu'elle portait. Les cheveux détachés, elle les remit en place en rentrant. Tous se levèrent afin de la saluer. Penchant légèrement son visage, posant son sac et retirant sa veste, elle prit la craie qui se trouvait sur son bureau. Elle avait refusait le tableau blanc : l'éducation avait toujours été ainsi, pourquoi changer maintenant ? Par ailleurs, certains de ses élèves avaient ordinateurs, tablettes - d'autres plus classiques avec les fameuses feuilles et stylos à bille. Tous était silencieux, attentif malgré le fait qu'elle n'est pas encore décroché un mot. Cela se sentait, qu'elle n'était pas en forme. Sayo lâcha un petit soupire, terminant décrire la base de son sujet. La société, son développement et sa pensée. Rien de plus, rien de moins. La sociologie était une matière que très peu assumé et arrivé à suivre. Les sujets sont vastes et peuvent partir dans n'importe quelle direction. C'est cela qu'elle aimait, dans sa matière - celle que son père adoptif lui avait enseigné. —  Vivre en société permet à l'homme de développer ce que nous qualifions « d'entraide », effectuant également une avancée dans ses progrès et ambitions personnels, tout en mettant au profit le savoir d'autrui. Brisant ainsi le silence, tous prenaient notes et regardait également la brune qui marchait à travers sa salle, du moins, de long en large devant ses élèves.  – je pense madame que si la société n'était pas formée d'une façon à ce que tous puissent jouir de même droit ne serait pas juste. Chez elle, on ne levait principalement pas la main pour prendre la parole. Tous étaient en harmonie et savaient quand ils pouvaient prendre la parole pour ne pas couper un autre. C'était après tout des dernières années, et Dieu savait depuis combien de temps ils avaient la jeune femme en face d'eux. qu'elle aimait, dans sa matière - celle que son père adoptif lui avait enseigné. —  tu me parles de juste  dans le sens de la justice, mais ne serait-il pas plus approprié d'amortir ta phrase à la justesse des choses ? – donc se servir du savoir des autres est une preuve d'égoïsme. en sois, si la société évolue c'est parce que tout être à une tâche à accomplir. au fond on peut dire qu'il n y à pas forcément de justesse. tout est modulable. Cette fois-ci, se fut une demoiselle qui prit la parole.  – oui, cela pourrait être un point. l'homme module les choses afin que tout fonctionne dans son sens. - mais parfois, rien ne va comme il l'entend. - la volonté d'entraide, de vouloir partager, d'aider ; de vivre de chacun dans une société ne dépend que d'autrui. Marquant un petit blanc, la fin de sa phrase était un peu tourné pour elle-même. Rien n'allait en ce moment dans sa vie et elle ne pouvait agir. Comme elle l'avait également si bien dit à voix haute : elle voulait vivre sa vie comme elle l'entendait mais en l'occurrence elle était gênée par son ex petit-ami. Elle se rongeait intérieurement de ne pas répondre aux messages, appels du coréen. A chaque fois que son téléphone avait sonné, elle en avait presque pleurer jusqu'à finalement craquer. Elle avait une pression trop lourde. Et elle ne voulait pas non plus blesser le second de cuisine.

Les deux heures passèrent assez vite finalement et malgré une légère froideur, Sayo affichait quelques sourires, de temps en temps. En descendant, les élèves la saluait, la remerciait. Ils étaient contents d'être là et c'est la seule chose qui importait au professeur. Une feuille à la main, relisant un peu quelques notes, elle fut interrompue dans sa lecture par une voix qui ne lui était pas inconnue. Se retournant, les yeux ronds comme des billes, elle avait bien devinée qu'il descendait de l'une des places. Elle ne l'avait pas vu bien entendu : reconnaître quelqu'un dans cet endroit était quasiment impossible en vue du nombre de place. – tae oh... Elle stressait à n'en plus pouvoir. Qu'allait-elle lui dire ? Et puis, elle ne s'y était absolument pas attendu, à ce qu'il viennent directement dans sa salle pour pouvoir lui parler. C'est qu'il en voulait, pensa-t-elle. Le laissant parler, ne répondant à aucune de ses questions au début, elle fuyait son regard en priant pour sortir rapidement de sa classe. Par ailleurs, elle n'allait pas pouvoir le faire et se devait de lui donner des explications. – je... non, mon téléphone n'a rien. Alors oui, elle n'allait pas lui mentir ni le prendre pour un con. –  tu n'as pas à t'excuser tae oh, tu n'as absolument rien fait. le problème c'est pas toi, c'est moi. Elle lui tourna le dos en relevant son sac, le fermant. – après que tu sois partis de chez moi, jun était là. alors il est venu me rendre une petite visite et m'a demandé quelques explications. je ne lui ai rien dit mais il sait déjà qui est tu es. Marquant un petit blanc, elle prit son courage à deux mains pour finalement faire face à cet homme, qu'elle trouvait si attirant. –  je sais très bien que tu sais te défendre, que tu es un homme et que tu n'as pas forcément besoins qu'on te protège. mais tu vois, je n'ai absolument pas envie qu'il s'en prenne à toi par ma faute. Elle était directe. Elle avait déjà assez mal comme ça. Elle ne voulait pas que cette conversation dure plus longtemps. –  je suis désolée tae oh d'avoir agit de la sorte, de ne pas t'avoir répondu. je suis désolée de t'avoir inquiété, ce n'était pas mon but mais... Ne terminant pas sa phrase, elle pinça doucement ses lèvres, n'osant même pas la terminer finalement. Baissant doucement les yeux afin de ne pas faire face de nouveau au coréen, elle ferma légèrement les yeux en se maudissant elle-même de la faiblesse qu'elle pouvait éprouver face au plus âgé, les larmes lui montant. –  il faut qu'on arrête de se voir... La seule chose dont elle avait envie à cet instant fut de s'enfuir loin, de rentrer dans son pays natale pour se terrer dans la maison de sa défunte mère et de ne plus jamais y sortir.

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Ce message a été posté Lun 10 Aoû - 23:05
Tenue ✘ Son téléphone n'avait rien... Face à cette réponse, il ne pût s'empêcher de grimacer et de se mordre l'intérieur de la lèvre. Qu'est-ce qu'il aurait aimé que ça soit le cas. La révélation de son comportement bizarrement le l'étonnait pas. Jun. Toujours ce sale type. Qu'avait-il bien pu lui faire ou lui dire pour qu'elle n'ose même pas répondre à ses appels et ses messages ? Serrant des poings et des dents, Tae Oh s'apprêtait à dire quelque chose, mais encore une fois la demoiselle toucha sa fierté. Ce n'était pas la première fois que Sayo lui disait avoir peur que Jun fasse quelque chose au coréen, des paroles qui n'effrayaient en rien le cuisinier, mais qui les blessait. Quel genre d'homme aimerait entendre dire de la bouche d'une femme n'être pas capable de se défendre tout seul, même si elle ne doute pas de ses compétences. À l'entendre dire ça, Tae Oh se sentit énervé et blessé. « Je te l'ai déjà dit, il ne me fait pas peur. » Puis, en quoi ça serait sa faute s'il s'en prend à lui ? C'était sa décision de fréquenter la jeune femme, donc c'était de sa faute et non de la sienne.

« Mais ? » Il n'aimait pas la tournure que prenait cette conversation. Pas du tout même. Il avait peur d'entendre certains mots venant de la part de la belle professeur. D'ailleurs ces mots qu'il ne souhaitait pas entendre furent prononcés par la belle métisse. « Qu'est-ce que tu viens dire ? » Bien sûr qu'il était en colère, qui aimerait entendre une personne dont était plutôt proche dire qu'elle ne voulait plus te voir ? Les sourcils froncés, il ne cessa de fixer la jeune femme. « Il faut qu'on arrête de se voir, c'est ça que tu as dit ? » Il n'en croyait pas ses oreilles. Et tout ça à cause de ce Jun. Sur le coup, qu'est-ce qu'il aimerait lui casser la gueule comme défouloir. « C'est vraiment ce que tu veux ? Qu'on ne se revoit plus ? J'étais juste un passe-temps c'est ça ? » Ses paroles étaient dures, peut-être même blessante, mais c'est ça le problème avec le coréen, quand il s'énerve il a tendance à se montrer réellement méchant et blessant.

Sentant son sang bouillonné, il ferma les yeux, la lâcha un soupire essayant de retrouver son calme ne souhaitant pas montrer le mauvais côté de sa personne à la demoiselle. « Je refuse. » lâcha-t-il tout en ouvrant les yeux et la regardant. Oui, il était hors de question qu'il accepte ce qu'elle venait de lui demander. C'était trop facile à son goût. « Je refuse de ne plus te voir. » Peut-être quelques jours après leur première rencontre, cette demande il l'aurait accepté, mais aujourd'hui c'était trop tard. Son cœur et sa tête s'étaient déjà épris d'elle. Pas une journée, il ne pensait pas à elle. « Si tu veux vraiment qu'on ne se voit plus, trouve moi une autre excuse plus valable que celle de ce salaud. » Et quand bien même si elle avait une meilleur raison, Tae Oh ne pourrait pas la laisser filer. Pas avant d'avoir confessé ses sentiments et avoir confirmé ce qu'elle ressent pour lui. « Tu crois vraiment que face à lui je vais avoir peur ? Tssss... Qu'est-ce qu'il peut bien me faire ? Me casser la gueule ? » Si ce n'était que ça, rien à craindre. La personne la plus redoutable avec qui il avait bien pu en venir au main était Kang Jae. Les autres, rien comparé à lui.

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Ce message a été posté Mer 12 Aoû - 23:04
« Qu'est-ce que tu viens de dire ? » Son monde se stoppa. Elle avait envie de s'enfuir. Sincèrement, loin d'ici ou peut-être ne jamais être venue ici. Ne jamais avoir vu sa mère perdre la vie - ne jamais avoir posé le pied sur le sol japonais. Elle n'eut pas le temps de chercher ses mots, pas assez rapide et trop touchée pour pouvoir faire ça rapidement : Tae Oh entama une énième phrase en reprenant parfaitement les mots de la belle. Baissant alors le visage, la jeune femme se sentit toute petite face à l'être aimé et ne sut pas comment réagir. Elle ne pouvait pas lui tenir tête, d'une part, et deuxièmement, elle comprenait qu'il le prenne assez mal, voir plus. Elle ne pouvait le blâmer et puis, de toute manière, pourquoi le faire ? « C'est vraiment ce que tu veux ? Qu'on ne se revoit plus ? J'étais juste un passe-temps c'est ça ? » Choquée par les propos du second de cuisine, Sayo releva son visage à l'instant même où il prononça cela. Pourquoi était-il aussi blessant ? Pourquoi était aussi acerbe alors qu'il ne connaissait pas ses raisons. Les yeux écarquillés, elle aurait tant voulu lui crier que c'était faux, que jamais elle ne l'avait considéré de la sorte. Mais voilà, le courage lui manqua pour le moment : elle avait bien trop mal au cœur sous ses battements irréguliers et les sévices de l'amour pour dire quoi que se soit.

Un léger blanc s'installa. Bon dieu qu'elle voulait partir. La porte n'était pas si loin. Non, elle avait juste à faire six pas, tout au plus pour pouvoir se retrouver en dehors de cette prison. Pourquoi la discussion avait-elle dégénérée ? Elle-même s'en voulait de ne pas avoir mentit à propos de son téléphone : mais non, c'était mal. Jamais elle ne cacherait quoi que se soit au coréen, quitte à ce qu'il s'énerve encore comme il venait de le faire. Un mauvais côté de sa personnalité qu'elle venait d'entrevoir. Ce n'était pas grand chose, du moins, ce n'était pas ça qui lui changea l'image qu'elle avait de lui, de cet homme si parfait. Pourtant, muette alors qu'habituellement elle ne l'était pas, elle fut soulagée, en quelque sorte, que se soit lui qui reprenne la parole en premier. Mais... Quoi ? Le regardant sans vraiment comprendre, son refus suite à sa demande fut une source de grand bonheur, de joie tellement sincère qu'elle ne pu retenir plus longtemps les larmes qui la menaçait depuis un bon déjà. Peut-être prendrait-il cela pour de la peine mais ce n'était pas faux non plus. Elle était prise entre deux sentiments - le bonheur de le voir, de l'avoir là en face d'elle, de lui parler malgré tout et de pouvoir avoir sa présence tout en mélangeant cela à la peine des décisions qu'elle devait prendre pour ne pas lui attirer d'ennuis et ainsi lui permettre d'avoir une vie sereine.

Trouver une meilleure excuse ? Mais elle n'en avait pas. Elle voulait juste lui mettre une gifle pour le réveiller et lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle le détestait d'être aussi parfait à ses yeux. Mais elle ne fit rien, tout de même, malgré le fait que dans sa tête : c'est l'anarchie. Ah, elle était bien belle la petite Sayo, à parler de l'Anomie, de la Monarchie et l'Anarchie, en expliquant ce qu'était ce bordel sans même trouver des solutions pour elle-même ! Mais voilà qu'il en revint à Jun. Il ne le connaissait pas. Elle oui pour avoir passer de nombreuses années à ses côtés, bien qu'elle n'en était pas si fière. Enfin, elle avait finit par prendre la parole sous un élan de courage. Glissant l'une de ses mains au niveau de sa joue droite afin d'y essuyer l'humidité de ses larmes, elle releva son regard sur le plus âgé. – je ne voulais pas t'énerver. je m'en excuse... Elle commença, puis marqua un petit blanc avant de reprendre. – s'il ne pouvait que te faire ça tae oh, je ne m'en serais jamais inquiéter... Que pouvait-elle bien lui dire ? Que son ancien amant était un taré, prêt à tuer n'importe qui parce que ça l'amuse ? Un peu comme Jae bien que son meilleur ami n'en savait foutrement rien et heureusement. – et pour te répondre, non, tu n'étais pas un passe temps comme tu peux le prétendre. je ne t'ai jamais considéré comme tel. pourquoi est-ce que j'ai pris le risque de t'exposer ainsi ? c'est égoïste, je le sais et ça me ronge, mais rester là sans te voir, c'est pas possible. les jours que j'ai passé à voir t'es appels, t'es messages ; j'en ai pleuré à force. Elle s'énervait certes, mais ce n'était pas de la colère. Au contraire. Elle ne voulait pas ouvrir son cœur mais malheureusement elle avait commencer à le faire et par peur, elle s'arrêta de parler, du moins sur le sujet qu'elle venait de mettre sur le tapis. – je suis désolée pour tout ça... Se tournant légèrement, attrapant sa veste et son sac, la jeune femme fit face une énième fois au coréen, le dévorant du regard sans s'en priver alors qu'il était juste là en face de sa personne. Que pouvait-elle bien perdre de toute manière à ce stade ? Pas grand chose pensa-t-elle, avant de se retourner afin de quitter la pièce. Lui dire qu'elle l'aimait ? Qu'elle était folle de lui ? C'était inutile après l'avoir mit dans cet état, le faire sortir de ses gonds, le vexer peut-être ou l'énerver. Elle s'en voulait terriblement. Même un peu trop.

Anonymous
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Ce message a été posté Lun 17 Aoû - 18:42
Tenue ✘ Sayo souhaitait qu'il ne se revoient plus. Soit. Mais Tae Oh était contre et ne comptait d'ailleurs pas respecter sa demande. Il ne le cacha d'ailleurs pas à la jeune professeur. Si c'était à cause de Jun qu'elle souhaitait plus le voir, il ne pouvait l'accepter comme une raison valable. En plus, cela ne ferait que trop plaisir à ce dernier si le coréen s'éloignait de la métisse, ce qu'il ne souhaitait pas. Il la regarda à la fois en colère et attristé par ce qu'elle avait bien pu lui dire. Sur le coup, il avait eu l'impression de recevoir des piques lui transperçant le cœur. Un sentiment loin d'être agréable. La jeune femme s'excusa de l'avoir mis dans un état. Il se mordit la lèvre inférieur, se sentant mal de s'être emporté de cette manière. Ce Jun semblait vraiment dangereux, sinon pourquoi elle le protégerait autant. Tae Oh le comprenait maintenant, mais cela ne lui plaisait toujours pas d'être pris pour quelqu'un incapable de se défendre face à ce salaud.

Face à la réponse à sa question précédente. Le coréen se sentit mal d'avoir prononcé ses paroles blessantes. Parfois il avait envie de s'arracher la bouche, car c'est bien à cause de cette dernière que le jeune homme avait quitté ses deux ex-petites amies. Trop jaloux, il s'énervait assez rapidement et avait tendance à se montrer blessant, même très blessant. Prononçant bien souvent des mots qu'il ne pensait même pas. Lorsqu'elle avoua avoir pleurer en ne répondant pas à ses messages, le visage du jeune homme se releva, les yeux arrondis de surprise. Pourquoi pleurer ? Elle s'excusa encore. L'entendre prononcer ses mots ne lui plaisait pas. Il ne voulait pas l'entendre s'excuser. Il se sentait horrible, horrible d'obliger une telle femme à s'excuser.

Sayo se retourna, prête à quitter la salle de classe et le laisser en plan. Il observa ses mouvement. Hésitant. Non, il ne pouvait pas la laisser filer, sinon tout était foutu et il le sentait. « Sayo... » Non, il ne voulait pas qu'ils se quittent ainsi. Il approcha sa main de son bras, bien décider à la retenir. Alors qu'il se rapprochait d'elle, le coréen sentit son pied glisser des marches de l'estrade. Son équilibre flancha, il tenta de le reprendre, mais penchant dangereusement en avant, il entraîna la jeune femme dans sa chute. La jeune femme se retrouva ainsi sous lui, les avant-bras collés contre le faux-parquet et ses lèvres... Ses lèvres collées à celle de la belle. Il ouvrit les yeux et ce n'est qu'à ce moment qu'il comprit son geste. Le battement de son cœur accélèrent, ses joues s'empourprèrent. C'est rapidement qu'il se retira. Que venait-il de faire. Avant qu'elle ne franchisse le pas de la porte, il lui attrapa le bras doucement pour la retenir. « Je ne t'ai pas fait mal ? » demanda-t-il vraiment inquiet. Il lui tendit la main naturellement. Une fois debout, il se pencha plusieurs fois d'affilés tout en s'excusant. « Excuse-moi, je suis vraiment maladroit. » Même très maladroit. Il se sentait vraiment comme un idiot. Même si ce n'était qu'un accident, embrasser la jeune femme n'était pas très correcte. Si elle voulait le frapper, il le méritait et il accepterait sa sentence.

Baissant le regard, n'osant pas regarder la jeune. Il était gêné par ce qu'il venait de se passer, son cœur continuait à frapper violemment contre sa poitrine, il avait également l'impression que l’amphithéâtre était un vrai sauna tellement il avait chaud. Il ne serait même pas étonnant de voir une goutter de sueur perler sur son front. Il se gratta la nuque, essayant tout de même de la regarder pour ne pas paraître impoli de ne pas lui parler dans les yeux. « J'aimerais vraiment qu'on continue de se voir. » Il se pinça la lèvre et il plongea son regard dans le sien, oubliant que ses joues étaient encore un peu rouges. « Si tu veux, je ferais attention à ne pas croiser Jun si tu as réellement peur qui me fasse quelque chose. Mais je ne souhaite pas qu'il soit la raison pour qu'on ne se voit plus.» Le coréen ne pouvait cependant pas éviter le fait que ce sale type lui tombe sur le nez un jour ou l'autre. Qu'importe, le jour où cela arriverait, il ne comptait pas se laisser faire. Même s'il ne fait pas le poids. Il est un homme et ne fuit pas devant les difficultés ou même les dangers.

Anonymous
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Ce message a été posté Lun 17 Aoû - 20:07
Lorsqu'elle entendit Tae Oh prononcer son prénom, la jeune femme n'eut pas le temps de se retourner. Voilà qu'il c'était rapproché mais la chute fut imminente. Un petit cri ; sous la surprise car elle s'attendait à tout sauf ça : par réflexe, elle s'accrocha au second de cuisine, ses mains agrippant le haut de ce dernier au niveau du dos. Tout se passa rapidement, alors elle n'eut pas le temps non plus, de comprendre tout ce qui venait de se passer. Par la peur, elle avait fermé les yeux. Elle n'avait pas eut mal... Mais, elle sentit un souffle chaud sur son visage... Ses lèvres.. Non, quelque chose n'était pas normal. Ouvrant rapidement les yeux, elle les écarquilla, ronds, regardant le visage du second de cuisine ; ses lèvres posées sur les siennes. Son cœur manqua quelques bons. Le stresse, la joie, la peur, le bonheur ? Elle ne savait pas, mais garda tout pour elle. Elle était surtout surprise. Oui, et c'est d'ailleurs pour cette raison que ses joues prirent elles aussi quelques couleurs. Le voyant rapidement se redresser, il était tout aussi gêné qu'elle. Cela l'amusa quelque part, car il n'y était pour rien. Lorsqu'il lui demanda si il ne lui avait pas fait mal, la demoiselle fit un petit non de la tête. Et puis merde, elle avait une de ces vues. Le brun était au dessus d'elle... Il était beau. Même quand il était gêné putain, il était beau. Et puis il avait un beau corps aussi... Mais arrête Sayo ! Tu l'avais déjà remarqué ça ! Oui oui oui, c'est vrai. Cette crétine de pensée intérieure avait tout à fait raison.

Lorsque Tae Oh lui tendit sa main pour l'aider à se relever, elle la regarda deux secondes... C'était la première qu'elle regardait chez un homme.. Elle les avaient déjà bien reluquer, celles du coréen. Mais pouvoir les toucher. Ah ! Son cœur allait la lâcher si ça continuait. Mais c'est d'un geste délicat, comme à son habitude qu'elle prit donc la main de l'homme qui lui torturait l'esprit. De nouveau sur ses talons, remettant bien sa robe, elle releva le visage vers le second de cuisine. « Excuse-moi, je suis vraiment maladroit. » Elle venait de le remarquer et d'en faire les frais, en effet. Mais cela le rendait encore plus irrésistible, pensa-t-elle. Un autre trait de caractère qu'elle venait de découvrir. Cela en faisait beaucoup en si peu de temps. Enfin, elle était amoureuse de sa personne entière, avec qualités et défauts. ce n'est rien. Elle n'avait pas mal, elle n'était pas blessé, tout allait bien et en prime, elle avait droit aux lèvres et à la main de son prince charmant. Non mais qu'elle journée !


« J'aimerais vraiment qu'on continue de se voir. » Comment lui refuser ? C'était impossible et la métisse savait pertinemment qu'elle-même était incapable de le laisser tranquille. Alors oui, c'était encore égoïste de sa part et elle avait envie de se frapper pour ça, mais elle n'y pouvait rien si son esprit était seulement tourné vers Tae Oh. Elle ne savait cependant pas trop quoi répondre. Même lorsqu'il lui proposa d'éviter son ex au maximum. Ce mec était une plaie, un vrai poison. Mais elle ne pouvait pas faire autrement que d'accepter la décision du coréen. alors je te demanderais juste d'être prudent. C'était tout. Faire attention à lui et finalement, pas seulement avec Jun. Pour tout.

Un petit sourire s'installa sur ses lèvres, un peu plus serein. Là, son pou prit de l'ampleur. Relevant lentement son regard sur le brun, elle ne pouvait s'empêcher de sourire.. Ah ! Maudit cœur. Mais c'est ce qu'elle pensait qui la stressait. Parce qu'à cet instant, elle prit son courage à deux mains. que tu le saches tae oh. S'arrêtant, et se disant que si elle était en face d'elle-même elle se frapperait si fort qu'elle ne parlerait plus jamais de sa vie. lorsque je t'ai dis ce que j'avais osé dire à Kang Jae. que je n'étais pas libre sous prétexte que mon cœur n'en voulait qu'un. Ah ! Elle voulait tant se frapper, oui ! je ne te l'ai pas dis car je ne voulais pas que quoi que se soit change. mais aujourd'hui je prends mon courage à deux mains et ose te le dire en face : cet homme, c'est toi. ET BAM ! Elle s'en voulait. Pourquoi n'était-elle pas née muette ? Mais elle osait lui dire, car elle se le sentait. Elle c'était sentit libéré de le voir ici, aujourd'hui. Ah. Même s'il la rejetait, dans un sens elle ne regretterait rien. Lui souriant agréablement, elle se pencha légèrement devant lui, afin de le saluer. Partir ainsi ? Ahaha. C'était du Sayo tout craché ça. Elle était gênée. Elle avait peur, alors elle fuyait !

Anonymous
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Ce message a été posté Mar 18 Aoû - 22:47
Tenue ✘ Autant Tae Oh était habile avec des couteaux en main, autant il pouvait se montrer très maladroit parfois. Il avait l'impression que la température de la pièce était montée de vingt degré d'un coup. Il se sentait gêné et mal à la fois de l'avoir embrassé, mais en même temps au fond de lui il était heureux. Oui heureux d'avoir pu toucher même si ce n'était qu'un court instant les lèvres de la belle professeur de sociologie. Ahhh à penser ainsi, il avait l'impression d'être un pervers comme son bro. Il la regardait timidement. Décidément, non il ne voulait pas laisser filer et tirer un trait sur elle. Qu'importe si ce salaud de Jun venait lui chercher des poux, en aucun cas il s'éloignera de la métisse. En tout cas pas tant qu'il aura révélé ses sentiments et que ces derniers soient rejeté par la jeune femme. Un sourire se voulant rassurant, il présenta son petit doigt comme signe de promesse. « Je te promets de faire attention. »

Le sourire serein de Sayo, apaisa son esprit et son cœur, bien que ce dernier continuait à s'emballer rien qu'en posant son regard sur les douces lèvres rosées de la jeune femme. Se pinçant la lèvre, le jeune cuisinier ne savait plus quoi dire. Peut-être devrait-il tout simplement se quitter maintenant que les choses étaient dites et faire comme si rien n'était arrivé. Il entrouvrit ses lèvres prêt à parler, mais la métisse le devança. Qu'il sache... ? Surpris et curieux de savoir ce qu'elle allait lui dire, un sourcil hausser, mais dans le fond de ses poches, il la laissa tout simplement poursuivre. Tout en l'écoutant, ses mains quittèrent doucement ses poches. « Oui, d'ailleurs il me l'a dit lui même. » Un petit sourire amusé, rien qu'en imaginant la scène du râteau que son meilleur ami s'était pris. Posa sa main sur ses lèvres tout en essayant de se retenir de rire en pensant à cela, il releva les yeux vers la jeune femme lorsqu'elle avoua que cet homme dont elle s'intéressait c'était lui. Oui, lui. Si Tae Oh avait eu à ce moment-là quelque chose dans les mains, à coup sûr il l'aurait lâché et fait tombé. Il resta stoïque, il avait l'impression d'entendre en écho dans sa tête les derniers mots de la professeur. Cet homme, c'était lui. Cet homme que son cœur voulait c'était lui, rien que lui. Il avait l'impression que le temps venait de s'arrêter. En lui une boule d'émotion le remplie. Il avait envie de crier de joie, de pleurer et d'embrasser la jeune femme, mais cette fois-ci intentionnellement.

Elle le salua et c'est lorsqu'elle se retourna pour décider de partir, qu'il la retint. Lui attrapant la main, la tirant légèrement afin qu'elle puisse lui faire face, plongeant son regard dans le sien quelques secondes, avant de laisser celui-ci glisser sur ses lèvres. Lâchant sa main, il attrapa doucement le visage de la professeur entre ses deux mains pour venir déposer ses lèvres sur les siennes, offrant un tendre baiser à la jeune femme. Il était heureux. Heureux de savoir que ses sentiments à l'égard de la jeune femme soit les même, bien qu'il soit naissant. Heureux d'aimer à nouveau, de ressentir ce sentiment qui le remplissait. Heureux, mais également tourmenter par les paroles de la jeune femme au sujet de ce Jun qui n'allait sûrement pas les laisser tranquille maintenant. Le coréen savait que ce dernier aimait Sayo, qu'il semblait être capable de tout pour l'avoir à nouveau. Néanmoins, il ne le laisserait pas faire et se battrait pour la garder auprès de lui. Ses yeux alors fermés pendant cet échange se rouvrirent légèrement. Il ne lâcha pas pour autant la jeune femme, caressant de son pouce la joue de la jolie professeur, lui souriant tendrement tout en la regardant amoureusement. « Merci. » Ses mains descendirent pour la serrer dans ses bras, la serrer contre lui, posant sa tête au-dessus de son épaule. « Merci Sayo. » Il la serra un peu plus, faisant attention tout de même à ne pas écraser sa cage thoracique. Oui il la remerciait. La remerciait pour l'aimer lui et non un autre homme. Il se sentait réellement chanceux de pouvoir être aimé par une si belle créature. Très chanceux même.

Anonymous
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Ce message a été posté Jeu 20 Aoû - 0:26
Tenant de l'une de ses mains son sac, le cœur battant encore péniblement dans sa poitrine, elle baissa légèrement son visage sur sa main qui venait d'être prise par le coréen. Le regardant alors par la suite, une fois tourné vers lui grâce à son geste, la demoiselle vint à le regarder. Puis les grandes mains de cet homme arrivèrent jusqu'à son visage, le prenant doucereusement et il prit ses lèvres. Ses yeux se fermèrent progressivement. La main droite de Sayo quitta son sac, le laissant tomber pour lentement la monter au niveau du torse de Tae Oh, où elle la posa à plat. Sa main gauche était relevée, elle frôlait le coude du second de cuisine. C'était un rêve. Elle était submergée par les émotions qui la prenait. Enfin, elle n'avait jamais ressentit cela, de toute sa vie. Des sentiments nouveaux, naissants - fabuleux. Les lèvres du brun étaient parfaites. Douces. Sucrées. Ah. Elle croyait rêver. Et même si c'était le cas, elle ne voulait pas se réveiller. Jamais. Ô grand non, jamais ! Voilà que cet échange si fabuleux se stoppa délicatement. Sayo ouvrit lentement ses yeux afin de regarder son prince charmant. Sa petite caresse au niveau de sa joue lui fit légèrement baisser la tête. Un geste si doux qu'elle se sentait perdu. Ses sens étaient perturbés, elle ne savait plus quoi faire. Tout était brouillé en elle. Le regard de Tae Oh, elle le croisa enfin. Elle était heureuse. Tellement heureuse. Alors, elle aborda un petit sourire, angélique, agréable, beau et se laissa emporter dans les bras du coréen. Les siens se trouvèrent alors plies, ses deux mains ayant agrippées les épaules du beau brun. Ses doigts légèrement pliés sur le t-shirt du plus âgé, son visage posé presque contre le cou de ce dernier, elle ferma les yeux.

Humant son parfum, se laissant bercer par ce corps encore inconnu, elle ne comprit cependant pas vraiment pourquoi est-ce qu'il l'a remercié. Mais passant ouvre ce détail, se disant que finalement, cela devait être autant un soulagement pour lui que le siens, la métisse afficha un petit sourire, se laissant aller un peu plus contre le corps du cuisinier lorsqu'il la serra un peu plus. Le temps était arrêté. Elle ne voulait plus qu'il défile. Sa main gauche se glissa lentement sur le haut du col du haut du coréen, avant de l'amener au niveau de sa nuque. Là, elle glissa ses doigts sur la peau de ce dernier, caressant les petits cheveux qui se trouvaient dans sa nuque, lentement, avec une douceur incomparable. je ne veux que toi, tae oh. Sa voix était tout aussi souple, douce mais timide à la fois. Pinçant doucement ses lèvres, un petit sourire lui échappa cependant. en fin de compte, se serait plutôt à moi de te remercier...

Anonymous
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Ce message a été posté Dim 23 Aoû - 11:31
Tenue ✘ Rien dire, être amoureux est l'un des sentiments les plus parfaits même s'il y a toujours des hauts et des bas. Bien que pour les deux nouveaux tourtereaux cela était encore trop tôt pour se disputer et autres. Tae Oh était heureux. Heureux de savoir que ses sentiments étaient partagés. Il se sentait transporté par une douce émotion, mais également tourmenté à cause des paroles concernant Jun. Bien sûr que cela le travaillait de savoir que ce salaud pouvait effectivement venir lui chercher des noises même plus. Il avait déjà vu ce type et avait également pu voir sa personnalité. Maintenant qu'ils étaient ensemble, cette personnalité allait sûrement montrer toute l'étendu de quoi elle était capable. Oui, le coréen avait un peu peur. Pas pour lui, mais pour Sayo. Il n'avait en aucun cas envie de l'inquiéter, déjà que sa santé l'inquiétait à cause de son travail très prenant, il ne fallait pas le problème Jun vienne s'ajouter à cela.

Le contact de ses doigts contre sa peau, le fit frémir. Ça faisait bien longtemps qu'il n'avait plus eu ce genre de contact, qu'il n'avait plus eu de l'attention d'une femme. Il recula un peu sa tête pour la regarder, lui caressant les cheveux, avec toujours ce même sourire collé sur les lèvres. Elle ne voulait que lui. Cela tombe bien, car lui ne souhaitait qu'elle et rien qu'elle. Bien qu'il soit extrêmement jaloux, Tae Oh était également un homme fidèle. Quand une femme prenait son cœur, il ne voyait qu'elle, celle autour de lui n'avait aucune importance. « J'espère bien que tu ne veux que moi. » dit-il sur un ton amusé accompagné de quelques rires. Il se détacha un peu d'elle, laissant sa main glisser le long de son bras attrapant sa main, la regardant avec des étoiles dans les yeux. « Tsss... » S'ils commençaient à se lancer dans une bataille de celui qui remercie plus l'autre, ce n'était pas près de finir.

Il devait maintenant s'en aller. Le coréen afficha une petite moue triste de laisser sa belle maintenant. « Je dois y aller. » Il la regarda, posant sa main sur le sommet de sa tête pour caresse doucement sa chevelure. C'est avec regret qu'il lui lâcha la main. « Maintenant si un de tes élèves te fait des avances, comme pour Kang Jae dit leur que tu es prise. » Petit sourire en coin, Tae Oh pensa d'ailleurs à son meilleur ami à qui il allait devoir donner des explications en ce qui concerne son comportement et la faveur qu'il lui avait demandé. Il se demandait d'ailleurs comment son bro allait réagir face à ses révélations. Lui qui avait essayé de trouver une femme à lui fourguer, ayant sûrement marre de le voir seul, allait sûrement être surpris que le coréen sortait avec quelqu'un et encore plus quand cette personne était la même qui l'avait rejeté. Le pauvre. Il se rapprocha de la belle, embrassant doucement son front, lui adressant un sourire en reculant. « Je te laisse. Si j'ai réussi à rentrer dans ton cours c'est grâce à Kang Jae. Je crois bien devoir tout lui expliquer. » Un dernier baiser, mais cette fois sur le bout de ses lèvres, innocent, il s'en alla, à reculons profitant de regarder la demoiselle, manquant d'ailleurs de tomber encore une fois. « J'y vais. » Sourire timide, la saluant de la main, une fois l'encadré de la porte passé, il se retourna à contre-coeur et s'en alla tout heureux, se retenant de crier de joie afin de ne pas trop attirer l'attention. Aujourd'hui était officiellement un des plus beaux jours de sa vie.

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