Partagez
 

 Dance or die. Ft Kang Jae

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 15 Sep - 18:49
Septembre, le temps était lourd et humide. Le genre de temps qui ne me donnait absolument pas envie de partir de chez moi ou de faire quoi que ce soit. Mais je n’avais pas trop le choix. J’avais tellement de chose à faire que je n’avais pas le temps de prendre le temps de souffler. J’étais perdue dans ma propre tête et surtout j’étais éreintée. Depuis quelques mois j’avais perdue du poids sous l’allure de mes journées et surtout oui, surtout de mon manque de sommeil. A qui la faute. Putain de mec. Attrapant le sac, je quittais ma petite demeure avant de partir à la laverie du coin. Laverie qui était en somme ma seconde maison. Je lavais mon linge mais aussi celui de ma mère qui ne quittait même plus l’hôpital. Mettant les jetons et le linge je m’activais pour tout mettre en route avant de partir en face faire quelques courses. Je devais aussi préparer ses repas. Je faisais tout ce qu’elle avait fait pour moi avant que tout ça n’arrive. Les rôles étaient inversés. J’étais la maman, elle était la fille. Je n’aurais d’ailleurs jamais cru faire tout cela un jour. Moi la gosse capricieuse qui faisait plus souvent la fête qu’autre chose, devenir une cuisinière et une ménagère. Retournement de situation puissance mille. Course faite, je retournais à la laverie pour lancer le séchage. Grignotant en lisant les magazines posaient sur la table je parties une fois le tout fini. Pas de minute à perdre. Je préparais tout le reste tout en surveillant que mes bébés ne fassent pas de bêtise. Coca, Orangina, Sprite, Ice-tea, Oasis, Limonade, Café, Pepsi, Perrier et Fanta étaient ensemble, et dormaient les uns sur les autres. Mes souris étaient les plus belle. Tic et Tac mes hamsters s’amusaient à se courser. Tandis que Ben & Nuts et Charlie & Charlot mes lapins, eux, se faisaient la toilette. Oui, j’avais beaucoup d’animaux. Et oui, le reste d’argent qu’il me restait passé pour eux. Une fois tout finis, je rangeais tout le monde dans sa cage respectif, ce qui me pris au moins trente bonne minutes avant de m’habiller convenablement car après je partais au boulot. Habillé d’un sarouel je mis mes converses un petit débardeur, une casquette sur ma tête le casque, la musique à fond, et le sac à dos sur les épaules. Je devais me dépêcher pour passer à l’hôpital avant. Pas le temps de marcher, je mis la musique la plus motivante pour courir à travers les rues de Tokyo et prendre le métro assez rapidement direction l’hôpital. Essoufflée, je me tenais penchée en avant une fois dans le tram pris de justesse. Bordel j’aurai dû courir ainsi quand je fuyais l’autre abruti. Ça m’aurait permis d’éviter tant d’ennui et de continuer à suivre mon train-train quotidien. Une fois en dehors, je remis ça. Courir jusqu’à l’hôpital. Une fois dans la chambre de mon père j’embrassais celui-ci ainsi que ma mère et donnait les affaires à celle-ci. Boite repas, linge propre, nouvelles revues et livres à lire. Pas le temps de m’éterniser. Je n’arriverai jamais à l’heure au boulot. Et si Kang Jae était là, j’étais foutue. Pour de vrai. Et foutue pour foutue, je me stoppais. J’arrêtais de courir, ça ne valait pas la peine de se tuer avant d’aller bosser. Préférant la marche, je m’arrêtais dans une supérette pour acheter à boire et des bonbons pour me donner du sucre. Musique à fond, je me stoppais dix bonnes minutes pour reprendre un rythme régulier au niveau du souffle puis repartie. Je priais simplement que Kang Jae ne soit pas là. Parce que je savais ce qui m’attendrait en retour. Ça faisait six mois, je le connaissais à force. Le bon côté de la chose, si on pouvait le voir ainsi, c’est que je ne souffrais plus pendant, je prenais quand même un peu de plaisir. C’était tout de même un bon début, même si c’était dégoutant. Après tout, j’étais loin d’être consentante. Mais c’était mieux que de souffrir à chaque fois. Ma logique était tout sauf logique. Une fois arrivée devant le bâtiment, mon cœur et mon estomac se contractèrent. Je le sentais mal. Secouant ma tête, j’arrangeais mes cheveux pas coiffé sous ma casquette avant de la remettre à l’envers pour rentrer dans le club. Main dans les poches, nouvelle sucette dans la bouche, je zyeutais la scène pour voir les filles danser avant de me sentir observer. Déglutissant, je tournais la tête pour croiser son regard. Noir, immonde, reflétant la mort. Oui, la mort. Le regardant un long moment, mes lèvres se redressèrent comme dans un sourire narquois incontrôlable. J’étais folle. Me détournant totalement de lui pour aller vers les vestiaires avant de faire une grimace et souffler en mode, ma vie est sauve il n’a pas bougé. En vrai, je les avais pas toute putain qu’il faisait peur Satan. Frissonnant, je poussais la porte des vestiaires pour commencer à me préparer.


Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 15 Sep - 22:01
tenue + cheveuxvous me cassez tous les couilles putain, pas foutu de faire les choses correctement. poussant une chaise de son pied sous un coup nerveux, l'Oyabun sortit de son bureau, suivit de deux ses hommes. quittant le bâtiment, s'attrapant une cigarette au passage - se disant intérieurement qu'il devrait sûrement passer ce soir en boutique pour en reprendre, son fils lui en prenant. soupirant pour énième fois de la journée, il pénétra dans son véhicule après avoir donné quelques ordres et recommandations. fermant la portière, posant sa tête sur l'espace approprié à cela sur son siège, le brun ferma les yeux un court instant, la fatigue le rattrapant à grand pas. se ressaisissant aussi vite, jae démarra et quitta le qg pour se rendre à Shinjuku. pourquoi s'être énervé ? ses sous-fifres n'avaient pas réussis à prendre le dessus sur un autre clan alors qu'ils n'étaient pas sur leur territoire mais sur celui du lion. énervé, les nerfs à vifs sous sa vie désagréable à long terme, il ne lui tardait qu'une chose : de rentrer ce soir pour retrouver sa demeure et son enfant. être au calme, dans la sérénité et finalement dans leur petit cocon familial - même un démon semblable au diable avait besoins de cela. comme à son habitude, roulant d'une manière peu recommandable, il se gara en sucette devant les lieux. c'était l'un de ses nombreux bars ; il ne fallait pas toucher à ce qui lui appartenait, autant choses matérielles qu'humaines. un de ses homme était présent devant, se penchant devant lui. posant simplement sa main sur son épaule lors de son passage, il laissa la porte ouverte. là, l'un des membres du clan opposé se leva tel un caïd. ah ! chose à ne pas faire avec le roi. un petit rictus peu agréable et ironique sur les lèvres, son semblable n'eut pas le temps de faire quoi que se soit que le franco-coréen l'attrapa par la nuque de sa grande main, rapidement et sans aucune douceur, faisant rencontrer sa face à une table qui se trouvait là. lui explosant littéralement le nez, il le jeta contre une autre en allant s'occuper des autres. c'était facile, tout seul il les niquait ; ça fonctionnait comme ça si la manière diplomatique n'était pas entendue. cinq au sol, il les traina au sol, deux par deux et un seul jusque sur le bitume. retournez chez vos mère bande de merde. - le prochain que je vois ici j'le pend par les couilles, c'est compris ? généreux ? oui certainement. non, plus sérieusement, sans point ironique, il aurait pu les tuer sans aucune hésitation. hors, après la manière diplomatique se trouvait la manière violente qui elle précédée la manière décisive. il ne fallait pas abuser non plus, c'était pas le plus gros enfoiré du monde ... ou presque.

retournant à son véhicule comme si de rien n'était, il prit avec lui son second et sous l'envie du supérieur, ils allèrent dans un autre bâtiment. un second bar - un parmi tout ceux finalement qu'il possédait. garé à l'arrière, passant par la porte qui lui était réservée, il passa d'abord dans les loges, afin de s'assurer que tout se passait bien pour ses danseuses. certaines venaient se pendre à son bras, le remerciant de toute sa bonté. un sourire, simple, en guise de remerciement en retour pour leur travail, jae n'était pas le maître le plus fourbe du monde. - tu fais ton travail convenablement, tu es juste et respectueux envers lui ; tu seras la personne la plus avisée du monde en plus du fait que le salaire n'est pas si sale que ça. passant dans la pièce principale, le hall ; observant les lieux en faisant son petit tour de garde, il fut mit au courant de toute chose depuis sa dernière visite, dont l'arrivée tardive de temps en temps, de l'une des demoiselles sous ses ordres. hochant la tête, ne faisant aucun commentaire, il alla s'asseoir à sa place. proche de l'entrée mais aussi prêt de la scène centrale. il était le dirigeant, alors autant avoir une place qui lui sied à merveille. une autre cigarette coincée entre ses pulpes, avachi tel le grand homme qu'il était dans sa banquette, il leva légèrement la tête lorsqu'une serveuse lui apporta un verre. la remerciant d'un hochement de tête, elle se pencha à 90 degré avant de partir.  prenant une bouffée de sa nicotine, l'une des danseuses en pause vint s'installer à côté de lui ou bien, à moitié sur lui. passant son bras autour de ses épaules, ce dernier sur le haut de banquette, le mafieux regarda la demoiselle fraîchement rentrée. rukia. il avait su que cette retardataire c'était elle. tiens ? elle ne s'attendait pas à le voir ici ? jae la fixait sans grande conviction et lâcha un soupire sous son sourire provocateur. il lui parlerait sûrement après, elle était déjà assez en retard comme ça. qu'elle conne. la jeune femme contre lui leva doucement son visage, se faisant toute petite, ne voulant pas prendre à la place de sa collègue !

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 15 Sep - 23:06
J’étais foutrement dans la merde. Je le savais très bien avant même d’avoir mis un pied dans le vestiaire. Je pouvais sentir son regard dans mon dos me transpercer de toute part. Si je ne l’achetais pas avec ma danse, j’étais morte. Enfin, non. Mais mon cul lui oui. Autant être franche. Je le connaissais à force putain. Entrant, je marmonnais un bonjour à la cantonade avant de m’activer. Jetant le sac dans mon casier, je me déshabillais totalement avant de filer dans la douche pour juste un coup d’eau. Avoir couru j’avais l’impression de puer. Et ça aussi ça allait y jouer. J’étais devenue folle. Au contraire, je devrais peut-être arrêter de me laver ça le repousserait non ? Il n’aimait surement pas se taper une meuf qui puait le cadavre non ? Putain j’avais de ses idées parfois. Frissonnant, je m’activais avant de m’attacher les cheveux en une longue couette. Enfilant un soutiens gorge en dentelle noir  et rose transparent, je mis le string assorti, jouant sur la couleur pour espérer le séduire. Enfin non pas le séduire bordel. Le convaincre. J’enfilais un short taille hot, celui-ci s’arrêtant sous les fesses dévoilant le pli de celle-ci. Cherchant une chemise blanche, je l’enfilais avant de la nouer sans faire les boutons devant la poitrine, cachant simplement le soutien-gorge. Me regardant dans la glace, je fis quelques grimaces en me concentrant avant d’attraper un top croc bleu marine et l’enfiler par-dessus. Sans perdre de temps, je me laissais tomber sur une chaise pour me maquiller. Fond de teint, histoire de cacher les imperfections, je le fis les yeux shadow, me faisant un regarde assez électrique et provocateur. Rouge à lèvre rouge sang sur les lèvres, je me regardais longuement avant de me lever. J’avais la boule au ventre putain. Attrapant un pantalon noir, je l’enfilais par-dessus le short. Particularité du pantalon ? Il s’enlevait rapidement en tirant dessus les côtés se déchirant. Conçu exprès pour les strip-teases. Et ce soir ça allait être mon atout. M’avançant vers l’entrée de la scène, je me triturais les ongles longs au coloris rouge sang eux aussi. Ma couleur favorite, ça se voyait à peine. M’approchant du gars qui se tenait à l’entrée, surement pour surveiller dieu sait quoi, je lui demandais s’il pouvait dire au dj ou que sais-je qui s’occupait de la musique de mettre la musique Fuck You de Gain. Autant passer un message explicite malgré tout. J’étais morte autant y aller à fond. Enfilant mes talons aiguilles, je finissais de me préparer jusqu’à ce que ce soit mon tour. J’avais du mal à respirer mais tant pis. Le silence, le noir sur la scène comme je lui avais demandé aussi. C’était à moi de jouer.



Le souffle court je déglutis longuement pour me remettre de cette danse. J’avais chaud terriblement chaud. Mais je ne pouvais pas rester sur scène, c’était aux autres. Sans même réfléchir, au lieu de partir vers les vestiaires, je sautais la scène et d’un pas assuré et d’un déhanché bien trop prononcé sans même prendre le temps de refaire ma chemise, je me dirigeais droit vers lui, mon regard planté dans le sien, que je vis lorsque les lumières se rallumait pour le prochain show. Je ne savais pas ce que je faisais, mais je le faisais clairement. J’étais surement rouge de honte, mais avec la danse que je venais de faire, ça passait crème, on ne ferait pas la différence entre les deux rouges, d’effort et de honte. Me stoppant devant lui, je baissais le visage sur la fille lové contre lui. Haussant un sourcil, je lui fis signe de la tête de partir tout en mordant ma lèvre inférieure. Je ne la connaissais pas trop, mais pour avoir parlé avec elle plus d’une fois, je lui lançais un faible regard suppliant. De toute façon, si elle ne voulait pas que Jae s’énerve contre elle en s’énervant contre moi. Valait mieux qu’elle se casse. Je serais parti en courant à sa place. Se levant, nos regards se croisèrent avant que je ne tourne mes yeux à nouveau sur Jae. Le détaillant de haut en bas, je tirais sur l’élastique de mes cheveux pour les laisser tomber sur mes épaules et mon dos, m’avançant vers lui, je me laissais tomber à ses côtés, là où la place venait de se libérer avant d’attraper sa cigarette d’un coup sec pour la porter à ma bouche. Je ne réfléchissais même plus, mon corps tremblait faiblement sous les nerfs. « La danse t’a plu j’espère. » Dis-je en haussant un sourcil avant de lui mettre sa clope dans sa bouche. J’étais plus en train de m’enfoncer qu’autre chose là. Mais un peu plus ou un peu moins. Ça changeait quoi ? Sans attendre, je passais mes jambes sur les siennes pour les glisser entre les siennes, osant coller mon mollet sur son entrejambe.


Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mer 23 Sep - 18:12
Seule sa cigarette arrivait à lui faire garder son calme. Seule cette petite dose de nicotine lui permettait de ne pas la faire descendre de son perchoir par les cheveux et de lui coller une balle entre les deux yeux. – Non, reste calme Jae, c’est inutile et puis au fond, cela te ferait perdre du fric. Oui, pense à t’es revenus un peu ! Bien trop présents d’ailleurs en y pensant, mais le malheur des uns faisait le bonheur des autres. Doctrine bien étrange qui au final était réelle. L’être humain ne peut jouir de sa vie que lorsqu’il voit un être plus malheureux que lui. Mais alors, qu’est-ce qui rendait heureux cet homme au regard parfois si sombre et aux allures peu chaleureuses ? Comme beaucoup finalement, il ne serait comblé qu’une fois son but accomplit – dessein si sombre, pauvre être faible éprit de sa haine.

Les lumières quittèrent la pièce avant d’être tamisées ; donnant ainsi une atmosphère qui normalement devait être dés plus parfaite, agréable et sans pareil.  Mais voilà, le mafieux ne le voyait pas de cet œil là et la demoiselle collé à son côté le ressentait, tant bien qu’elle n’osait plus bougeait malgré sa main glissée au niveau des côtes de son supérieur. La laissant faire, car après tout ce n’était pas la fautive, elle n’était pas en retard et faisait très bien son travail, Jae lâcha un soupire exaspéré, se redressant afin d’écraser sa cigarette dans le cendrier posé sur la table basse. Se remettant comme il était, la serveuse remit sa tête sur l’épaule du brun. C’était un peu son moment de répit car dans les bras de ce dernier, elle ne faisait rien. Temps apprécié des deux côtés, gagnants, elle avait cependant l’impression que l’Oyabun s’impatientait malgré le spectacle magnifique qui se déroulait devant ses yeux. – Oui, il était agacé. Il n’avait qu’une envie : de la frapper, cette petite conne. Si elle pensait pouvoir s’en sortir sous prétexte qu’elle portait un string et de la dentelle. Certes, c’était un homme et le plaisir de la chaire lui plaisait – peut-être même plus qu’à n’importe qui, mais il y avait des circonstances. Hors, à cet instant, il n’avait absolument pas envie de penser à ce genre de chose. Afin de se distraire d’une autre manière afin d’attendre que la pauvre Rukia finisse son show, Jae reprit une cigarette, prenant une longue latte, recrachant lentement la fumée blanchâtre d’entre ses lèvres. Les dernières secondes s’annoncèrent, une position finale : il ne c’était absolument pas rincé l’œil, vulgairement parlant.

La voyant débarquer lorsqu’elle eut finit, le franco-coréen leva légèrement son regard, voulant d’abord finir sa cigarette avant de s’énerver. La jeune nymphe partit sous le regarde suppliant de la seconde, la remplaçant également. Mais voilà, d’une manière bien trop différente. La regardant d’abord faire, Jae sentit son sang bouillir lorsque la danseuse prit sa cigarette. « La danse t’as plu j’espère. » S’en était trop. Le tutoiement, la position. – Hein, quoi ? Le brun baissa son regard sur les fines jambes de sa proie et son mollet désormais collé à son entrejambe. Fermant les yeux un court instant, une pulsion – la goutte qui faisait déborder le vase. Jae  empoigna violemment la chevelure de la brunette, la faisant ainsi se coucher légèrement sur la banquette, ses lèvres au niveau de son oreille. Tu crois pouvoir t’en tirait avec ta mascarade de pute ? Faisant surtout référence à sa danse, sa tenue et ses façons de faire à son goût, le brun se leva, n’ayant pas lâché la tignasse de la belle. La trainant ainsi jusqu’à sa loge, ouvrant la porte d’un coup de pied, il la jeta allègrement à l’intérieur, claquant la porte derrière lui sans faire réellement attention : après tout, il n’était pas là pour faire dans les détails. La ramassant, sa grande main au niveau de la nuque de la plus jeune, relevant ainsi son visage, il la scruta ; froid, un air horriblement monstrueux sur le visage. Il était en colère et sans se mentir, il en fallait énormément pour le mettre dans cet état – lui et sa patience à toute épreuve. C’est dommage, j’ai pour habitude de payer mes putes. – Même elles sont plus ponctuelles et respectueuse que toi alors que Dieu sait qu’elles ont un travail beaucoup plus ingrat. La lâchant violemment, il essaya de se calmer intérieurement, tout de même. Mais non, elle méritait son châtiment. Le prendre pour un con était une erreur, la dernière que beaucoup avait faite. D’un simple geste mais fort et détestable il colla sa main avec élan sur la fine peau de la joue de la demoiselle. Elle était chanceuse, il n’avait pas mis le poing. Mais ce n’était pas pour autant un signe de faveur ; au contraire. Le mal qui n’était pas dans un geste serait amplifié dans un autre. Rattrapant les cheveux de Rukia, la levant en même temps que lui, rapidement et sans attendre qu’elle puisse prendre son équilibre du haut de ses talons, il la plaqua contre la table présente au centre de la pièce. Le dos de la nymphe contre le bois, le démon penché au dessus d’elle, il tenait fortement le haut de son cou, presque au niveau de la courbe de son menton ; soutenant son visage.  Tu me dois le respect salope, sous toutes ses formes. Au même moment de ses dires, il dégaina son katana, qui était accroché au niveau de sa taille ; rapidement et sous un élan violent la lame se planta en retombant à quelques mini-mètres du visage de la danseuse. Il n’avait cessé de la fixer. Elle avait de la chance quelque part qu’il connaisse aussi bien les dimensions de son bout tranchant.  La prochaine fois que tu fais un écart salope, je te jure que ce n’est pas le bois que je planterais. Se tenir à carreau ? C’était peut-être la meilleure solution pour elle. Mais dit-on, « d’un âne on en fait pas un cheval de course. » Ah, triste vie.

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mer 23 Sep - 18:15
Tout allait bien se passer. Au fond de moi, j’essayais de me répéter cette phrase, mais sans grande conviction. J’avais envie de vomir, tellement mon estomac se contractait. J’allais surement mourir d’un ulcère avant noël à ce rythme. La faute à qui ? A lui bien évidemment. Même si dans le fond, c’était ma faute. Si je ne m’étais pas mise à voler, jamais je n’aurais croisé sa route. Ou peut-être que si, mais sans faire attention à lui. Ne dit-on pas que le monde pouvait-être plus petit que ce que l’on pense ? J’essayais de paraitre à l’aise, d’être une fille cool, qui se la pétait, mais en vrai, là, tout de suite, j’avais envie de partir en courant, sans le pouvoir. Comme si mon corps le savait, je m’étais dirigée vers lui. De toute façon, soyons honnête. Que je sois là, à côté de lui, ou dans la loge, est-ce que j’aurai échappé à sa colère ? J’avais des doutes là-dessus. Parce que ce type-là, il n’avait pas de limite. Mon regard posé sur lui, je le vis regarder mes jambes, et, au vu de sa veine dans son cou, et la crispation de ses lèvres, je compris que j’étais foutue. Pas que je le connaisse par cœur, mais en six mois, j’avais quand même eu le temps d’analyser sa tronche de Coréen. Sans même avoir le temps de déglutir, il empoigna mes cheveux pour me plaquer avec violence sur la banquette, me faisant légèrement émir de douleur. Putain je me détestais d’avoir détacher mes cheveux tout à coup. « Tu crois pouvoir t’en tirait avec ta mascarade de pute ? » Pute… ? Quoi ? Putain, je m’étais démenée le cul pour kedal ? J’avais osé espérer l’avoir de la sorte. Mais fallait croire qu’en fait, ça ne servait à rien. Ce type était aussi tordu qu’une queue de cochon. Me tirant de la banquette, je n’eus le temps de rien dire, qu’il me trainait dieu sait ou sans aucune honte. Ayant du mal à le suivre en marchant, surtout avec les talons, je manquais de me tordre les chevilles à je ne sais combien de reprises avant de réussir à marcher comme je pouvais sans me casser la gueule. J’allais perdre mes cheveux. Mes mains se posant sur son poignet, pour trouver un appuie, je serrais les dents en regardant le sol passer sous mes yeux. Passant une porte, il me propulsa, lâchant enfin mes cheveux alors que j’atterrissais les genoux les premiers au sol, sentant ma peau s’écorcher dû au fait que le sol ne permettait pas à ceux-ci de glisser dessus. Lâchant un faible cri, je posais mes mains au sol en soufflant. Mon cuir chevelu me faisait horriblement mal putain. Tentant de me relever, tant bien que mal, je sentis sa main m’empoigner la nuque pour me tirer vers lui. Ma tête se penchant en arrière, je tournais le regard vers lui pour y voir, un regard sombre, noir, dévastateur. Un regard qui me rappelait plus ou moins, notre première rencontre. « C’est dommage, j’ai pour habitude de payer mes putes. – Même elles sont plus ponctuelles et respectueuse que toi alors que Dieu sait qu’elles ont un travail beaucoup plus ingrat. » Serrant la mâchoire, je lui lançais un regard aussi noir que le sien sous ses paroles alors qu’il me lâchait me faisant retomber au sol sans aucune prise. Sentant les os de mes fesses me faire mal sur le coup, je grimaçais avant de recevoir sans m’y attendre un coup au visage. Ma tête tournant violemment, je sentis mon corps suivre la tête, comme si elle s’était décollé un instant avant d’atterrir face contre terre, sans rien comprendre. La peau en feu, ayant l’impression d’avoir quelque chose de casser, une nouvelle fois, il m’attrapa les cheveux pour me relever d’un coup, en même temps que lui. Décollée totalement du sol, sans que mes pieds ne le touche, mon dos percuta avec violence la table me faisant lâcher un bref râle de douleur. Mon souffle se coupant, je relevais le regard vers Satan, alors que sa main serrait mon cou, m’empêchant plus ou moins de respirer convenablement. Sa main était chaude. Chaude comme le feu, chaude comme la braise. C’était le diable. « Tu me dois le respect salope, sous toutes ses formes. » Déglutissant lentement, je ne le quittais pas du regard, alors que je cherchais simplement à respirer comme je le pouvais, une main, posée sur son poignet, sans grand intérêt, sachant pertinemment, qu’il pouvait serrer de toutes ses forces et me briser la nuque en quelques secondes. Entrouvrant la bouche pour parler, je sursautais en voyant un putain de katana se planter dans le bureau, non loin de mon visage. Pas besoin de tourner le visage, je le voyais dans mon champ de vision. « La prochaine fois que tu fais un écart salope, je te jure que ce n’est pas le bois que je planterais. » Fermant brièvement le regard, j’entrouvris la bouche pour pouvoir respirer alors que mon estomac se serra sous la peur qui m’envahissait. Ce type était complètement fou. J’allais finir par totalement crever un jour. Bougeant faiblement mes jambes comme pour me défaire de son emprise, je lui souris faiblement. Pas un sourire provoquant oh non. Plus un sourire timide, gêné, désolée. Oui putain, un sourire désolé. C’était mieux que rien connard. De toute façon, j’avais trop la gorge nouée pour dire quoi que ce soit. « D’accord. »Mais en fait, aucun son ne sorti de ma bouche. Raclant doucement ma gorge, je plissais le nez avant de me répéter. « D’accord. » Cette fois, ma voix sortie pour de bon alors que je relevais mon regard dans le sien. Un vrai psychopathe le gars. Serrant faiblement ma main sur son poignet, je la laissais faiblement glisser vers ses doigts pour les desserrer avec lenteur de ma gorge. Baissant le regard n’osant plus trop le regarder dans les yeux, je tournais le visage avant de relever le regard vers le sien. Ne pas le regarder dans cet instant me perturbait tout autant que si je le regardais. Je ne savais plus quoi faire putain. J’avais envie de partir en courant de quitter cette ville et ce pays au plus vite. Mais j’avais l’impression que même à l’autre bout de la terre il me hanterait ou me retrouverait pour me tuer. Passant brièvement ma langue sur mes lèvres, trop sèchent dû au fait de ma bouche légère ouverte pour mieux respirer, je ne pus réprimer un sourire nerveux. Et puis merde putain. Je n’allais pas rester comme ça pendant cent ans non plus. Tirant franchement sur sa main pour l’enlever de mon cou je posais la mienne sur ma peau une fois libérée de son emprise pour me masser la peau. Me redressant sur le coude de mon bras libre, je fis craquer mon cou comme pour enlever la sensation de gêne avant de le regarder à travers ma frange. « J’ai compris. Je ne recommencerai plus. » Dis-je d’un ton neutre. Je ne voulais pas non plus le rendre encore plus fou. Pourtant au fond de moi j’étais mélangée par la peur et la haine. J’avais envie de lui prendre son Katana est de lui trancher la gorge d’un coup sec. J’en rêvais. La dans ma tête, Choi Kang Jae était mort plusieurs fois.


Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Ven 16 Oct - 15:39
Sous le regard froid du démon la main de la demoiselle se déplaça sur le poignet de ce dernier. Geste insensé lorsque l’on met en considération le degré de violence du Roi. L’observant cependant, la regardant se redresser un peu, le mafieux ne détournait aucune son regard. « D’accord. » Restant de marbre face à cela et à la seconde altercation, Jae pencha légèrement son visage sur le côté tout en se redressant, lentement. « J’ai compris. Je ne recommencerais plus. » Le mensonge, il ne supportait pas cela. Bien au contraire ; il préférait lorsque les choses étaient claires. A cet instant même, le sang du démon ne fit qu’un tour et il prit une longue inspiration bien que silencieuse : seul son torse se soulevait, semblant pourtant si calme. Retirant sa lame du bois du bureau, le rengainant naturellement, le regard légèrement baissé afin de pouvoir le faire, c’est d’une froideur sans nom qu’il redressa sa vue sur le corps si attirant et beau de la jeune femme en face de lui. Une demi-seconde s’écoula et sa main partie violemment dans le visage de Rukia, lui décochant un coup dés plus violent. L’attrapant afin qu’elle ne bascule pas – bien que le geste était fait pour, par sa chevelure, il la redressa de force en la tournant dos à lui, la planquant violemment contre l’utilitaire, son ventre heurtant la matière avec force. N’ayant pas lâché sa tignasse, Jae qui venait de coller son corps à celui de sa proie lui redressa la tête, en arrière. Ses lèvres se glissèrent jusqu’à son oreille, un sourire narquois ornant ses pulpes. Ma douce Rukia… Ironique, marquant un blanc, alors que sa main droite se glissa sur la fermeture arrière de son short, la gauche sur la hanche de la demoiselle, il reprit tout en abaissant le fer. Je n’ai jamais vu une femme aussi bornée que toi. Combien de fois l’avait-il salit ? Combien de foi l’avait-il faite souffrir de la sorte ? Lui-même ne savait plus. Cela faisait plus de six mois que la danseuse était sous ses « ordres » et encore il la violée – encore il se servait de son corps comme si elle lui appartenait. Un ange enchainé à un démon, voilà ce qu’elle était. Un ange prit au piège par la fourberie de son prochain ; une fourberie dont la tournure avait embrassée la colère et la violence. Le démon pouvait prendre la forme de tout péché mais le franco-coréen abordé réellement ces deux derniers. Il en était l’image parfaite – sans aucun défaut. Plaquant le visage de cette pauvre femme contre le bureau, il ne se priva pas pour de nouveau s’occuper de son corps meurtri sous une insanité la plus totale.

Son affaire terminée, la laissant comme elle était après s’être rhabillé pour le peu que lui avait retiré, Jae passa sa main dans sa chevelure ébène avant de saisir le visage de sa proie avec un peu plus de douceur ; nuançant avec ce qu’il venait de lui faire subir. Apprend l’obéissance Rukia. Dangereusement il rapprocha son visage de celui de la danseuse et sous un rictus malsain, il vint lui prendre ses lèvres. Sous cet acte – pourtant si rare de sa part, voir inexistant, il se releva, glissant ses mains dans ses poches. Ne te crois pas au dessus des autres, tu n’es qu’une salope à mon compte ; tu écarteras les jambes autant de fois que je le voudrais et tu n’auras pas le choix. C’est le même principe avec ton boulot. Attrapant une cigarette, la coinçant entre ses lèvres avant de l’allumer, il en attrapa une seconde avant de la jeter à Rukia, à côté d’elle. Que je n’ai plus une seule remarque à te faire. Dernier avertissement ; une dernière chance qui était à saisir et qui n’était pas offerte à tous. Une chance qu’il espérait au fond qu’elle saisisse : se salir les  mains, parfois il en avait marre ; un surplus sûrement sous cette période. Mais si cela devait être fait alors il ne s’en priverait pas. Sortant de la pièce le plus naturellement du monde, rejoignant la salle principale, Jae fit son petit tour, souriant au possible pour l’image mais intérieurement il ne lui tardait qu’une chose : partir d’ici. Mais dans la vie, on ne fait pas toujours ce que l’on veut et il le savait très bien.

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Ven 16 Oct - 18:58
Plus le temps passait, et plus j’avais l’impression que j’allais mourir ce soir. Pourquoi il me regardait ainsi, comme si parler, ou toucher sa main avait été l’erreur du siècle. Bon j’aurai peut-être pas dû le toucher, mais j’étais sage, calme, je ne m’étais pas énervé, la lame de rasoir géante m’avait convaincu d’obéir pour une fois. Certes sans montrer de sincérité extrême mais soit. Le voyant enfin, enlever sa chose d’à côté de moi, je déglutis en soupirant faiblement, comme un soulagement, comme si ma vie allait être épargné ce soir. Elle allait l’être, il rangeait le machin dans le couvercle ou je ne sais quoi. Trop perturbé pour mettre des mots sur tout ça. Baissant le regard, je fermais brièvement les yeux en tentant de ne pas lâcher le gros soupire soulagé histoire de ne pas me faire griller. Puis le coup parti, sans que je ne m’y attende. Ma tête se balança violemment alors que mon corps suivait avant qu’il ne me rattrape par les cheveux. Lâchant un faible cri sur la surprise, mes mains se posèrent instinctivement sur sa main comme pour atténuer la douleur de sa main me tirant les cheveux. Me tournant je poussais un nouveau râle en sentant mon bas ventre et hanches buter sur le bureau avec violence. Lâchant sa main, tremblant, je les posais sur le bureau en sachant pertinemment comme ça allait se terminer. Putain. Son corps se collant au mien, une grimace s’arracha sur mon visage. On pouvait y lire le dégoût. Tête maintenue en arrière, mon cuir chevelu qui me faisait atrocement mal, je gardais les yeux baissaient sur le bureau, ne voulant absolument pas croiser son regard de violeur. Laissant ses lèvres trainer dans mon cou jusqu’à mon oreille, je ne bougeais plus. De toute façon, que pouvais-je faire ? « Ma douce Rukia… » Le mot douce me donnait envie de vomir. Mais autant s’abstenir. Je ne voulais pas me prendre une nouvelle baffe. J’en avais pris deux. Et j’avais l’impression d’avoir un feu à côté de moi d’ailleurs. Sentant sa main se poser sur la fermeture éclair de mon short, je contractais la mâchoire en serrant les poings. Connard. « Je n’ai jamais vu une femme aussi bornée que toi. » Ouais, c’était un peu me marque de fabrication. Je ne pouvais lui répondre de vive voix, mais rien ne m’empêcher de penser. Fermant les yeux, je mordis ma langue en sentant la fermeture se baisser. J’avais envie de le supplier, de lui demander de ne pas le faire, mais franchement, allait-il m’écouter ? Non. La tête totalement posée sur le bureau, comme si j’étais une vulgaire chose, j’enfonçais mes doigts sur le rebord du bureau lorsqu’il commença son affaire. Douleur et honte. Voilà ce que je ressentais. Impassible en essayant au maximum de ne montrer aucune émotion, je me mis simplement à penser à autre chose. Qu’allais-je manger demain ? Je devais faire des courses d’ailleurs. J’avais envie de poulet tiens. Voilà, mon quotidien dans ces moments-là. Ne pas penser à la chose, ni à lui.

Une fois fini, je desserrais simplement mes doigts, totalement figé et ankylosé sous la force dans laquelle je m’adonnais pour ne pas dire ou faire quoi que ce soit. Soupirant, je sentis faiblement mon corps glisser un peu alors qu’il attrapait mon visage pour me tirer vers lui. Regardant sa bouche, je relevais le regard vers le sien pour y croiser un regard noir. « Apprend l’obéissance Rukia. » J’avais envie de rire, nerveusement et je sentis mes lèvres se relever faiblement alors que ses lèvres vinrent s’écraser contre les miennes. Ecarquillant les yeux de surprise, je me figeais en le laissant faire avant de tousser faiblement lorsqu’il abandonna mes lèvres. C’était quoi…. CA ? J’avais envie de vomir. Mon estomac s’en retourna totalement. Bordel, il aurait pu s’abstenir. Comme si le bas ne suffisait pas. Il s’en prenait au haut maintenant. Enculé. « Ne te crois pas au dessus des autres, tu n’es qu’une salope à mon compte ; tu écarteras les jambes autant de fois que je le voudrais et tu n’auras pas le choix. C’est le même principe avec ton boulot. » Détournant le regard, je me redressais faiblement les hanches en faut d’avoir buté sur ce putain de bureau. Je commençais d’ailleurs, à le maudire ce machin. Voyant une clope atterrir à côté de moi je relevais le regard vers le coréen. « Que je n’ai plus une seule remarque à te faire. » Passant brièvement ma langue sur mes dents, je le regardais partir avant de gémir de douleur enfin. « Connard, comme si je valais qu’une putain de clope. » C’était encore plus blessant que s’il avait laissé cinq dollars. Me redressant je titubais mes jambes me lâchant avant de me rattraper au bureau. Attrapant des mouchoirs sur le bureau, je pris le temps d’essuyer les dégâts sur mes cuisses et jeter tout ça par terre de rage. Remettant string et short, j’attrapais la clope avant de l’allumer. Je n’allais pas cracher dessus. Putain de connard. Soupirant je restais là, le temps de fumer ma clope avant de me coiffer et arranger mes cheveux. Enlevant mes chaussures je boitillais faiblement vers le miroir avant de regarder mon visage. J’avais pris des deux côtés, pas de jaloux comme ça. Regardant la trace de sa main sur mon visage, je touchais avant de grimacer. J’allais avoir un bleu putain. Jetant la clope je me tournais vers la porte en ayant envie de hurler. Valait mieux s’abstenir. Fermant les yeux, je sentis la frustration et la colère monter en moi avant de me tourner vers le lavabo et vomir dedans. Rien de bien glorieux j’avais l’estomac retourné sous la peur et la douleur. Toussant je soufflais un coup avant de tout nettoyer ravalant mes larmes. J’en avais marre. Réellement marre. Je voulais tout abandonner sans le pouvoir. Donnant des coups de pieds dans le mur me fichant de me faire mal, j’essayais de passer ma frustration ou je le pouvais. Putain de race Coréenne de merde. Sale con.


Contenu sponsorisé
Ce message a été posté
 

Dance or die. Ft Kang Jae

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Kang Eden
» Kang Eden - rp
» kang jae hyun - Rp
» choi kang jae
» lee eun ha - kang jae hyun
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Royal Private Schools ::  Memories, memories! ::  les archives du forum :: Les RPs termines-