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 usual visit & co. avec hirako rukia

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Ce message a été posté Dim 27 Sep - 1:33
tenue ☇ Petite routine, Loki sortit du lit en soupirant : samedi et obligé de se lever plus tôt que les autres sous prétexte qu'il était malade. Certes, pas bien dans sa tête mais ce n'était pas une raison pour l'empêcher de dormir. Bref, il 'était en train de pester contre les médecins et cette putain de secrétaire avec sa voix de pouf qui l'obligeait à prendre les rendez-vous le matin. Inutile, oui, c'était le mot. Ah laisse tomber c'est qu'une pute. Chui sûr qu'elle doit bien astiquer la bite de ton médecin entre les repas. - Bordel Takuya ta gueule. Oui se parler tout seul c'était un peu bizarre mais quand bien même il était sous la douche et pourquoi l'emmerder maintenant ? Son second lui le saoulait, même au levé. Il avait envie de se tuer parfois tant il n'en pouvait plus. Agacé, pas d'humeur (parce qu'il fallait aussi avouer qu'il n'était pas du matin) le jeune homme ouvrit les volets de sa chambre et leva ainsi son compagnie de fortune. Un calopsitte âgé de quatre ans, nommé lui aussi Takuya - non pour faire plaisir à sa voix intérieur mais en guise de souvenir de sa véritable personne. Ouvrant sa cage, le laissant sortir, ils avaient leur petites habitudes, étant ensemble depuis le plus jeune âge de l'animal. Ce dernier alla sur le bureau, se baladant tranquillement tandis que son maître galérer à enfiler son jean. Il en tomba même sur le lit et heureusement il avait réussit. Soupirant, fermant doucement les yeux il se redressa rapidement. Non, tu vas te rendormir. Pestant contre lui-même, Loki se leva finalement, s'occupant un peu du volatile. C'était le seul moment de la journée où il se sentait apaisé, serein et prié pour que cela dur. Mais voilà, il devait partir plus tôt ce matin car il avait promit à son amie de passer la prendre pour faire la route ensemble jusqu'à l'hôpital. C'est pas celle qui a un bon cul ? Sa tête tomba sur son bras, désespéré. Pourquoi tu la ferme jamais... Prenant appuie sur ses cuisses, de nouveau sur ses deux jambes, le danseur donna à manger à son compagnon en même temps que lui avant de prendre son porte feuille, son téléphone et ses clés. Là, fermant sa chambre (parce que oui, son oiseau restait en liberté) il partit discrètement à l'entrée histoire de ne pas gêner les autres, enfilant ses chaussures.

Il était rare que l'étudiant prenne sa voiture, préférant son skate. Mais amener Rukia dessus, c'était peut-être pas une bonne idée. Se rendant au parking, montant dans son véhicule, il partit tranquillement, son coude posé sur le rebord à l'air libre. Il était fatigué et cela se lisait sur son visage mais au fond, cela ne changeait pas énormément. On disait merci qui ? - Oui, merci Takuya. Se dirigeant donc dans la rue où vivait la demoiselle, il stationna devant, l'attendant comme ils faisaient habituellement, sa tête reposée sur l'endroit du siège prévu à cet effet.

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Ce message a été posté Dim 27 Sep - 11:31
tenue. Quatre heures. Je sortais du club avant de frissonner fortement. Si à l’intérieur il faisait chaud, dehors la fraicheur me glaçait la peau et le sang. Les cheveux encore humide de la douche que je venais de prendre. Un bâillement arrachant ma bouche, je fouinais mon sac pour sortir une écharpe et vite l’enrouler autour de mon cou pour ne pas attraper froid. Soupirant, je pressais le pas avant de ne tomber sur l’autre. Je ne voulais pas qu’il me retienne pour soulager ses pulsions de violeur. Crevée mais pas tant que ça, je commençais un sprint pour aller quelques rues plus loin dans une supérette ouverte tous les jours sans aucune fermeture. Voyant le caissier au téléphone, surement un étudiant, qui bossait le week-end, je filais dans les rayons et pris de quoi faire des onigiris. Feuilles d’algues, saumons, avocat, œufs, sauce soja, bref, je fis des courses et donnais le tout au caissier avant de le payer en liquide. Mettant tous dans mon sac, je sortis mon paquet de clope et m’en grillais une tranquillement tout en mangeant une barre chocolaté pour me redonner des forces. Arrivant dans les vieilles rues du quartier, je montais les escaliers avant de chercher les clés du portail. Je les avais, encore, oublié. C’était un avantage comme un inconvénient que de vivre en haut de cette maison à trois étages. Si du haut de la rue, on pouvait voir mon petit studio, il fallait tout de même descendre celle-ci et la remonter via des escaliers. Un trafic chiant, mais on s’y habituait vite. Au vu de l’heure, impossible de réveiller la grand-mère du bas. Ni une ni dus, je pris mon élan et sautais contre le porte pour le grimper et passer par-dessus. Gym du matin. Une fois fait, je montais les cent cinquante mille marches, au moins, pour aller en haut de la bâtisse. Quelle idée de construire sur une pente. J’avais l’impression de me faire arnaquer encore plus niveau marche. Ouvrant la porte de chez moi, je rentrais, enlevé les chaussures et lâchais mes bébés. Pas le temps de dormir. Je n’avais pas sommeil de toute façon. Je me mis rapidement à la cuisine. Aujourd’hui, je voyais Loki. Et je voulais lui faire une petite surprise. Préparer une sorte de pique-nique histoire de pouvoir manger en sortant de l’hôpital. Je ne savais pas ce qu’il avait comme problème de santé, on n’en parlait jamais. Mais je voulais au moins lui faire plaisir et voir son sourire. Dire qu’on se « connaissait » depuis cinq ans était bizarre. Surtout que dans le fond on n’avait jamais trainé ensemble à l’université. Mais aujourd’hui, on « trainait » ensemble pour aller à l’hôpital. Une fois fini, je m’étirais et changeais de vêtement. C’était déjà l’heure de partir… Mettant tout dans des bentos que j’empilais, je fermais le sac à bento avant de mettre un peu de mascara simplement. La flemme de me maquiller. Même pas de rouge à lèvres, rien. Affaires prises, j’enfilais mon bonnet, mis tout le monde dans sa cage, mis mes chaussures et parti. Descendant les escaliers comme une furie, je vis Loki dans sa voiture en train de m’attendre. Tirant sur la poignée du portail pour l’ouvrir, je ruminais. Putain encore les clés ! Poussant un cri en tapant le portail, comme si c’était sa faute, alors que c’était la mienne, je fis demi-tour. Remontant, je pris les clés pour ouvrir et refermer derrière moi. Arrivant essoufflée, je montais dans la voiture en poussant un faible cri. « Je déteste les escaliers. » Crachais-je en toussant franchement. Fume, fume Rukia. Me penchant vers lui je lui claquais un bisou sur la joue avant de sourire. « Alors comment ça va depuis la dernière fois ? » Demandais-je en m’attachant, posant le sac à bento et mon sac à dos entre mes jambes. « J’ai préparé des Onigiris avec quelques accompagnements. Comme ça, on peut se mettre dans le parc de l’hôpital et manger après ton rendez-vous ? » Dis-je en pinçant mes lèvres tout en le regardant avec des yeux de chat botté.


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Ce message a été posté Ven 2 Oct - 18:22
Des bruits de pas le sortit de ses pensées et le jeune homme tourna doucement son visage vers la concernée. Ouais ! C'est celle avec un bon cul putain ! Tirant une tête de dépité pour lui-même, le châtain fit de gros yeux en voyant la danseuse s'énerver sans aucune retenue contre le portail. Bon. Elle a peut-être un bon cul mais c'est pas une femme "normale" ça. Ok Takuya, ferme la parce qu'elle revient, plus de pensée de ce genre ! Se maudissant, il adressa cependant un petit sourire à la demoiselle lorsqu'elle pénétra dans son véhicule. Je déteste les escaliers. Il n'eut pas le temps de répondre que les lèvres de Rukia se posèrent sur sa joue. Gêné au plus haut point, Loki ne savait pas trop comment réagir à cette salutation dés plus étrange. B-bonjour rukia... - Alors comment ça va depuis la dernière fois ? - Ça va. Et toi ? Loki, ou la personne la plus discrète sur sa vie personnelle. Il n'aimait pas parler de lui et pour sûr ne le faisait jamais ; sauf avec Ryuichi et Kellian, mais c'était différent. J’ai préparé des Onigiris avec quelques accompagnements. Comme ça, on peut se mettre dans le parc de l’hôpital et manger après ton rendez-vous ? Démarrant, il haussa les épaules sans vraiment réfléchir. Si tu veux. [...] Hein ?! Moment de réflexion, va te faire foutre Takuya et merci d'avoir brouillé son esprit, le châtain se sentit encore plus gêné qu'auparavant. Enfin, pas que je veuille pas manger avec toi hein. Loin de là cette idée mais, tu n'aurais pas du t'embêter autant. - Mais c'est adorable. J'accepte ton invitation. Qui ne sonnait pas spécialement comme quelque part mais en vu du regard suppliant qu'elle lui lançait.

Partant donc tranquillement, ayant une conduite tranquille bien que trop rapide parfois, Loki souffla légèrement, ne supportant pas le lieu dans lequel ils se rendaient. Obligé cependant, il se gara donc à sa place habituelle, sortant tranquillement. Ah. tu veux que je te porte ? Il y a des escaliers. La taquinant bien entendu, redescendant convenablement son sweet ainsi que sa capuche, le danseur emprunta donc les marches principales de l'établissement, suivant la demoiselle jusqu'à la chambre de son père. Ayant l'habitude de l'accompagner jusque là voir de carrément entrer pour saluer ses aînés ; bien que largement et supra gêné du statut qu'ils lui avaient donné - petit-ami ... Non ! Jamais ! Dans la pièce donc, il se pencha respectueusement, souriant gentiment à la mère de son amie. Silencieux par respect, il les laissa afin de partir de son côté, montant encore un étage. Ces couloirs blancs, cette odeur. Il avait juste envie de tout foutre en l'air. Il fut prit rapidement, pour une fois peu de retard de la part des médecins  : grand miracle. Comme d'habitude, examens, questions. Agacé, il abrégea lui-même l'entretiens en concluant qu'il n'avait tué personne, sous un ton acerbe et ironique. Le médecin lui cria presque dessus, lui affirmant qu'il ne fallait pas rire avec sa maladie et ses propos. Ne l'écoutant qu'à moitié, l'étudiant descendit, rejoignant donc la chambre précédemment visité, fermant silencieusement. Il était gavé, mais ne pouvait pas laisser Rukia en plan !

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Ce message a été posté Ven 2 Oct - 19:05
tenue.« B-bonjour rukia... » Il était timide. Mon bisou l’avait surement rendu comme ça. Je savais que je pouvais surprendre, ce n’était pas la première fois, certains me faisaient des réflexions à propos de ça d’ailleurs. « Ça va. Et toi ? » « Ca va oui. Je n’ai pas encore dormi, je suis un peu droguée au sucre et café, pardon d’avance si je te parais tarée. » Dis-je en m’étirant en levant les bras au maximum mon dos craquant de tout son long. « Si tu veux. [...] Hein ?! » Manquant de sursauter à son hein, je le regardais surprise. Oui, bon, ce n’était pas prévu, mais quand même. Je pouvais bien faire ça pour lui non ? Il venait me chercher et m’amener à l’hôpital. Certes lui aussi y allait, mais ça lui faisait tout de même faire un détour. « Enfin, pas que je veuille pas manger avec toi hein. Loin de là cette idée mais, tu n'aurais pas du t'embêter autant. - Mais c'est adorable. J'accepte ton invitation. » Je souris doucement en lui fourrageant quelque peu les cheveux. « Je t’aurai pas laissé le choix de toute façon. Bon… Je suis pas super bonne cuisinière, mais, je me débrouille pas mal, personne n’est mort encore. Je crois. » Dis-je en penchant la tête sur le côté. J’avais jamais eu écho de gens se plaindre de ma nourriture, pas même ma mère. Après la politesse et la gentillesse pouvait faire que personne n’osait rien dire ? Mais en tout cas, je n’étais pas au courant si c’était le cas. Une fois sur le parking, je soupirais en sortant de la voiture. Un trajet silencieux, mais un silence apaisant et sans aucune gêne. Le genre de silence qu’on avait avec des gens de confiance. « Ah. tu veux que je te porte ? Il y a des escaliers. » Je ris doucement en lui donnant un faible coup d’épaule alors que je portais le sac de l’autre main. « Non, ça ira. » Dis-je en passant mon bras autour du sien, ma main se posant sur son poignet, mes doigts l’enroulant doucement. Une fois dans la chambre, il salua mes parents et nous quitta pour aller à son rendez-vous. Je l’encourageais du regard, même si je ne savais pas où il allait, ni ce qu’il avait. Me posant sur une des chaises je me déchaussais et posais mes jambes sur le lit de mon père alors que celui-ci dormait encore. Discutant avec ma mère, j’en profitais pour passer du temps avec elle chose qui était rare ces temps-ci. Parlant de Loki, je voyais bien que ma mère avait espoir que je puisse sortir avec, ce qui en soit me faisait sourire. C’est vrai que Loki était mignon, et gentil, mais non, il n’y avait pas ce genre de sentiments entre nous. Et puis, nous nous connaissions à peine, comment a pourrait l‘être ? Me chaussant, je me mis à ranger un peu les affaires de ma mère et de mon père, ouvrant la fenêtre pour aérer un peu avant d’entendre la porte s’ouvrir. Me tournant, je vis Loki qui avait une drôle de tête. Mon cœur se serra sur le coup. Ça c’était mal passé ? J’avais envie de savoir ce qu’il avait, mais je ne me voyais pas le lui demander. Je n’aimais pas le voir ainsi bordel. Lâchant la fenêtre, je me dirigeais vers lui, et sans rien dire, je passais mes bras sous les siens, me collant à lui pour l’encercler et lui faire un câlin. Tant pis si mes parents étaient là. Le serrant doucement, je posais ma tête sur son épaule. « On va aller dans le parc d’accord ? On va aller marcher et se vider l’esprit. » Dis-je à voix basse pour que lui seul entende. Me reculant à contre cœur, je passais ma main sur son visage et lui souris franchement comme pour l’inciter à sourire. Récupérant mes affaires, je fis un bisou à ma mère, mon père dormant toujours, je pris le petit garçon par la main et sorti de la chambre avec lui. N’arrêtant pas de le regarder, je me mis à me diriger vers les escaliers tout en marchant à reculons pour être face à lui. « Ma maman elle a craqué sur toi je crois. » Dis-je sans parler de son rendez-vous. Je ne voulais pas remuer le couteau dans la plaie. « Elle te trouve très poli, mignon, et trouve que tu as du charisme. Elle n’a pas arrêté de me demander si on sortait ensemble. Elle ne me croit pas quand je lui dis que non. » Dis-je en me penchant en avant, mon visage se retrouvant au niveau de son ventre alors que je le regardais à travers ma frange. « Je la comprends. Si j’étais à sa place je serais comme elle. T’es trop mignon et gentil. » Dis-je en tirant sa main d’un coup sec pour le faire venir contre moi alors que je sautais sur mes pieds pour passer mon bras autour de ses épaules et l’attirer contre moi tout en poussant la porte des escaliers.


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Ce message a été posté Sam 24 Oct - 16:14
On va aller dans le parc d’accord ? On va aller marcher et se vider l’esprit. Que pouvait-elle bien savoir de son état psychologique sur l’instant ? Enfin, cela partait d’un bon sentiment, pourquoi la blâmer ? Elle était dans l’innocence la plus totale et sûrement dans le faux en ce qui concernait ses soupçons sur sa maladie. Qui irait dire de quelqu’un, ouvre sur une insulte, qu’il est schizophrène. Oui, terme devenu bien péjoratif et utilisé à tout bout de champ pour dire en réalité que quelqu’un est juste dérangé sur un certain point, un peu « con », vulgairement parlant. Mais lui, il l’était réellement et ne supportait pas cette dégradation. Bref, ce n’était qu’un détail et en sentant l’étreinte de son amie, Loki la prit délicatement contre lui, la serrant légèrement en ayant glissé ses bras autour de ses hanches. Il s’en fichait de la mère de cette dernière mais n’en abusa pas en lâchant Rukia, délicatement. Elle prit ses affaires et au moment de partir le danseur se pencha respectueusement devant sa génitrice et son père qui dormait. Fermant sans un bruit derrière lui, il se mit donc à marcher avec la jeune demoiselle. Là, dans le couloir, avant d’atteindre les escaliers, le médecin qu’il avait vu en consultation l’interpella. Loki ! Je ne vous ai pas demandez si vous prenez convenablement votre traitement – et puis la prochaine fois, ne partez pas sous votre mauvaise humeur. Haussant un sourcil, Takuya s’éveilla quelque peu à l’intérieur de lui. Mais il nous veut quoi lui ? Fait-lui manger le mur Loki. C’est qu’un vieux con. Il prétend pouvoir t’aider mais qu’est-ce qu’il en sait ?! Il souffre des mêmes maux que nous ? Non. Alors fait lui comprendre ! Son regard se mitigea, il resta silencieux avant de sourire, totalement faux et cela se voyait, en pure et simple ironie. Comme je vous ai si bien dis, je n’ai pas encore tué quelqu’un : autrement et, en toute logique, oui, je prends mon traitement. Enfin, si je veux partir, je suis encore libre de ce droit, n’est-ce pas ? La fin de sa phrase était un petit rappel du fait qu’il était resté la moitié de sa vie enfermé et que son médecin le savait très bien. Hargneux au fond et loin d’être le petit ange que Rukia pensait tenir entre ses mains, le jeune homme posa sa main dans le dos de la demoiselle, lui indiquant qu’ils partaient. Prenant les escaliers avec elle en soupirant, n’attendant aucune réponse de la part de son médecin, il fut surpris de voir la jeune femme lui passer devant. Ma maman elle a craqué sur toi je crois. Un petit sourire amusé apparu sur ses lèvres : il ne devait pas rester dans son mauvais côté intérieurement, autrement Takuya sortirait plus facilement et avec la danseuse en face de lui : il ne pouvait pas se le permettre : il en était hors de question. Elle te trouve très poli, mignon, et trouve que tu as du charisme. Elle n’a pas arrêté de me demander si on sortait ensemble. Elle ne me croit pas quand je lui dis que non. Et il se mit à rire, doucement. Elle est mignonne. Tu as de la chance d’avoir une mère comme ça. Au moins, tu peux être sûr qu’elle ne le lâchera pas. Et puis, sa curiosité est amusante. Dis lui que oui, tu verras sa réaction. Plaisantant bien entendu, il fut cependant gêné par les dires suivants de son amie. Je la comprends. Si j’étais à sa place je serais comme elle. T’es trop mignon et gentil. Si seulement tu savais ma belle, tu ne nous prendrais plus pour ce petit agneau ! – Laisse-moi sortir Loki, qu’elle comprenne un peu qui nous sommes ! Jamais il ne le ferait de son plein gré ! Demandé refusé, Loki se mit à sourire, mais son côté timide refaisait un peu surface. C’est gentil Rukia. Mais l’habit ne fait pas le moine. Un petit clin d’œil, il la laissa se pendre à son cou. Sur les escaliers extérieurs, il la souleva doucement, son bras autour de ses hanches en la portant ainsi, descendant. Ah, il a fallut que tu trouves une excuse pour pas les descendre ceux-là ? Plaisantant bien entendu, il la posa à terre une fois sur la terre ferme, se dirigeant donc vers le parc. Marchant sur la pelouse, le jeune homme adressa un sourire adorable et sincère à Rukia. Je suis désolé pour tout à l’heure. J’ai du mal à intériorisé mes sentiments, lorsque cela concerne colère et joie. Il en avait tellement, de chose à intérioriser. Soupirant doucement, il garda cependant son petit rictus. Mais heureusement que tu es là. Toi, et ton petit sourire, ta joie, ta bonne humeur alors qu’au fond je suis sûr que tu as autant de problème que moi … Si ce n’est que le domaine est différent. Même sur cela, il plaisait. Pourquoi se prendre la tête avec des futilités ? Continuant de marcher, son sourire vint prendre un tantinet plus d’ampleur. Tu sais Rukia, je ne t’ai jamais rien dis sur ma maladie parce que je n’ai jamais eu confiance. – Dis comme ça je pourrais passer pour un gros connard et je m’en excuse mais… Tournant son visage vers elle, il lui vint lui sourire encore plus, montrant ses belles dents blanches. J’ai appris avec toi ce que c’était que d’avoir une attache extérieure à son propre monde. Et si tu savais comme je t’en remercie. – Cela fait un moment qu’on se côtois. Et te cacher des choses : j’ai l’impression de tromper ma copine ! Mais ça tu l’as déjà fait Loki ! Souviens-toi ! Oui certes, mais c’était un détail qui ne concernait pas le moment ! Ne prenant pas attention au commentaire de sa petite pensée, il reprit sous un petit rire. Alors je n’ai plus rien envie de te cacher. Il savait que si Rukia ne lui avait jamais rien demandé, c’était par retenue et qu’elle c’était fait des plans à côté. Si tu veux, on a découvert ma maladie lorsque j’étais âgé de huit ans. J’ai tenté de tuer ma mère. Mais on m’a arrêté – je n’ai rien fais. Il gardait un air paisible, comme si tout cela ne l’affectait plus : et c’était bien le cas. Ses parents étaient presque des inconnus pour lui. J’ai donc était directement placé en hôpital psy. Et après plusieurs jours on m’a diagnostiqué schizophrène. Autant tout lui dire. Il avait confiance en elle. Tellement qu’il y voyait un membre de sa famille. Ce soutien que l’on a normalement, que l’on a naturellement. Lui retrouvait ce sentiment et ce bien être aux côtés de la nymphe et sentait au fond qu’il ne serait pas rejeté. Du moins, il espérait. Mais Takuya n’était pas méfiant et n’avait pas encore ramené sa fraise comme il le faisait habituellement lorsque Loki avait besoins de parler à quelqu’un. Cela prouvait donc qu’il était d’accord avec son choix Je ne te raconterais pas ce que j’ai vécu là-bas. Mais j’y suis resté jusqu’à mes 18 ans. Donc, je suis sorti il y a 5 ans. Je ne connaissais rien du monde ! C’était un peu bizarre parce que… Je trouvais tout le monde un peu fou. Dans le sens où  j’avais l’impression qu’ils n’étaient pas du même monde. Amusé quelque part par son propre ressentis, il gardait son petit sourire adorable et rassurant, la regardant, tout en continuant de marcher. Donc, le diagnostique était juste hein. Oui, je suis schizophrène et c’est bizarre à entendre. Je le sais. Mais je voudrais que tu saches que… Je ne chercherais jamais à te nuire. Il est vrai, je peux être un danger public : j’en ai conscience, mais je me maintien… Penchant légèrement son visage sur le côté, le rouge ne pu s’empêcher de rire, mignonnement. Tu peux voir en moi ce que bon te semble. Mais au moins tu peux prendre conscience à quel point tu me soulage. Tu es naturelle et sans défaut à mes yeux : tu es ce que je peux réellement caractériser d’amie.

Anonymous
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Ce message a été posté Mer 4 Nov - 19:56
tenue. « Loki ! Je ne vous ai pas demandez si vous prenez convenablement votre traitement – et puis la prochaine fois, ne partez pas sous votre mauvaise humeur. » Me tournant pour voir le docteur, je regardais Loki en me sentant tout à coup de trop. Parler de ce genre de chose alors qu’il n’était pas seul, n’était pas très gentil de la part du docteur. N’avait-il pas vu que j’étais là ? « Comme je vous ai si bien dis, je n’ai pas encore tué quelqu’un : autrement et, en toute logique, oui, je prends mon traitement. Enfin, si je veux partir, je suis encore libre de ce droit, n’est-ce pas ? » Il n’avait tué personne ? Restant silencieuse, je me collais juste, un peu plus contre Loki avant de faire un signe de la tête au docteur quand il me tira pour que l’on parte. Entrant dans les escaliers, je repris le cours de la conversation, l’air de rien, tout en lui racontant pour ma mère, qui ne me croyait pas quand je lui disais que Loki et moi n’étions pas ensemble. Mais voilà, elle avait craqué sur lui. Fallait dire que Loki était poli, mignon et très courtois. De quoi, en effet, le vouloir comme gendre. « Elle est mignonne. Tu as de la chance d’avoir une mère comme ça. Au moins, tu peux être sûr qu’elle ne le lâchera pas. Et puis, sa curiosité est amusante. Dis-lui que oui, tu verras sa réaction. » Clignant des yeux, je le regardais surpris avant de rire franchement. « Non. Elle va plus nous lâcher après. » Même si l’idée était tout de même tentante. « C’est gentil Rukia. Mais l’habit ne fait pas le moine. » Fronçant les sourcils, je lui fis une pichenette avant de le foudroyer du regard. « On a tous nos secrets. »[/color] Je n’étais pas dupe. La venue du docteur l’avait refroidi. J’avais fait deux ans de psychologie, je savais encore reconnaitre certains signes qui pouvaient dévoiler le corps humain et le comportement. Préférant ne pas répondre, je lui sautais dessus avant qu’il ne s’agrippe à moi, mon corps se collant au sien. Surprise, je passais mon second bras autour de son cou, mon corps totalement décollé du sol alors qu’il descendait les escaliers. « Ah, il a fallut que tu trouves une excuse pour pas les descendre ceux-là ? » Sans rien répondre, je lui fis un bisou sur sa joue, mon bras passant autour du sien, ma main s’agrippant doucement à son avant-bras. Marchant pour quitter l’hôpital, je soupirais en regardant droit devant moi. « Je suis désolé pour tout à l’heure. J’ai du mal à intériorisé mes sentiments, lorsque cela concerne colère et joie. Mais heureusement que tu es là. Toi, et ton petit sourire, ta joie, ta bonne humeur alors qu’au fond je suis sûr que tu as autant de problème que moi … Si ce n’est que le domaine est différent. » Tournant le regard vers lui, je penchais ma tête sur le côté tout en souriant doucement. C’est bien ce que je disais, nous avions tous des problèmes et nous réagissions tous de façon différentes, c’était là, ce qui faisait que l’être humain était unique. Notre vécu influençait sur le présent. « Tu sais Rukia, je ne t’ai jamais rien dis sur ma maladie parce que je n’ai jamais eu confiance. – Dis comme ça je pourrais passer pour un gros connard et je m’en excuse mais… J’ai appris avec toi ce que c’était que d’avoir une attache extérieure à son propre monde. Et si tu savais comme je t’en remercie. – Cela fait un moment qu’on se côtois. Et te cacher des choses : j’ai l’impression de tromper ma copine ! » Surpris de cette fin de phrase, je me stoppais avant de reprendre la marche pour le suivre. Descendant ma main sur la sienne, je la serrais doucement sans pouvoir m’en empêcher. Mon cœur s’emballait au rythme de ses paroles. Je ne savais pas pourquoi mais j’avais peur. Peur de la suite. « Alors je n’ai plus rien envie de te cacher. Si tu veux, on a découvert ma maladie lorsque j’étais âgé de huit ans. J’ai tenté de tuer ma mère. Mais on m’a arrêté – je n’ai rien fais J’ai donc était directement placé en hôpital psy. Et après plusieurs jours on m’a diagnostiqué schizophrène. » Fronçant les sourcils, je clignais des yeux, tout en le suivant machinalement, alors que dans ma tête c’était l’anarchie. Schizophrène ? Je n’avais pas besoin de l’on me donne la définition de cette maladie, je l’avais appris à l’école mais… Je... Loki était schizophrène ? J’étais plus surpris par le fait qu’il en soit atteint que la maladie elle-même. Je n’aurai jamais cru Loki malade de la sorte. Je m’étais tout imaginé sauf ça. Une malade rare, ou un truc héréditaire, mais jamais une maladie psychologique. Essayant de tout comprendre convenablement, je ne dis rien, n’ouvrant pas la bouche en regardant mes pieds et les siens. J’avais du mal à y croire. Je n’avais rien vu. Absolument rien. Loki était juste Loki à mes yeux. « Je ne te raconterais pas ce que j’ai vécu là-bas. Mais j’y suis resté jusqu’à mes 18 ans. Donc, je suis sorti il y a 5 ans. Je ne connaissais rien du monde ! C’était un peu bizarre parce que… Je trouvais tout le monde un peu fou. Dans le sens où j’avais l’impression qu’ils n’étaient pas du même monde. Donc, le diagnostic était juste hein. Oui, je suis schizophrène et c’est bizarre à entendre. Je le sais. Mais je voudrais que tu saches que… Je ne chercherais jamais à te nuire. Il est vrai, je peux être un danger public : j’en ai conscience, mais je me maintien… Tu peux voir en moi ce que bon te semble. Mais au moins tu peux prendre conscience à quel point tu me soulage. Tu es naturelle et sans défaut à mes yeux : tu es ce que je peux réellement caractériser d’amie. » Relevant le visage vers lui, je me stoppais avant de le tirer doucement pour qu’il arrête à son tour de marcher. Penchant le visage pour être comme lui, je levais doucement ma main pour venir la poser sur sa joue, le caressant d’abord du bout de mes doigts. Le dévisageant sans aucune parole, je passais faiblement ma langue sur mes lèvres alors que mes doigts parcouraient son visage, avant de passer avec lenteur sur ses lèvres qui souriaient. Des lèvres qui démontrait de la joie, mais qui au fond, devait aussi être triste. Soupirant doucement, je m’approchais de lui, mon corps se mouvant contre le sien, alors que je lâchais sa main pour la monter elle aussi sur son visage, allant dans ses cheveux pour le toucher de partout avec douceur. « Loki. » Dis-je doucement comme s’il avait oublié son prénom entre temps. J’essayais de le voir différemment, de le voir comme… Schizophrène mais… Moi, je ne voyais que Loki. Et rien d’autre. Etais-je aussi folle que lui pour ne pas prendre peur ? Oh si, mon cœur battait la chamade, il battait si fort que j’avais l’impression qu’il allait se faire la male, mais ce n’était pas négatif, non s’était dans le positif. Parce qu’il me faisait confiance, parce que j’étais son amie et qu’il venait de me parler de lui. C’était encore plus violent que s’il m’avait avoué m’aimer et vouloir sortir avec moi. Je me sentais ailleurs, dans un autre monde, le monde ou la confiance d’une personne qu’on aime dépasse toutes nos attentes et nous font chavirer dans un monde encore plus fabuleux. « Tu es Loki. » Dis-je doucement en posant mes mains sur chacune de ses joues. Le tirant doucement vers moi, je me mis sur la pointe des pieds avant de poser mes lèvres sur sa joue droite, puis sur sa joue gauche. Souriant faiblement je plongeais mon regard dans le sien tout en attrapant ses mains pour entrelacer nos doigts. « Je ne te dirais pas que je ne suis pas choquée, c’est faux, je le suis. Je n’aurai jamais cru que tu puisses être schizophrène. Tu sais que j’ai été en psychologie, et que même si j’ai stoppé mes études je m’y connais un peu. Je ne sais pas comment réagir face à ça. Je ne suis pas forcément la meilleure en démonstration, enfin, je n’en sais rien. Mais, je suis contente que tu me l’ais dis. Parce que… » Boguant, je baissais vivement les yeux en sentant les larmes monter. Ah non. « Parce que tu me fais confiance et que je trouve ça beau. Je ne sais pas à quel point tu es malade, ce que tu vis, ton quotidien, ta souffrance, et tout le reste, mais je veux apprendre à connaitre tout ça. Je veux pouvoir te connaitre entièrement, parce que là tout de suite, je me sens encore plus importante que si j’étais ta femme avec cette révélation tu vois. » Dis-je en riant faiblement. Cette comparaison était tout de même mignonne. Inspirant grandement, je le lâchais pour m’éloigner avant d’essuyer mes yeux. Tendant une main vers lui, je lui souris franchement. « Moi c’est Hirako Rukia, hyperactive, nerveuse, asthmatique, folle au cœur faible, je pleure souvent la nuit dans mon lit car je n’aime pas pleurer devant les gens et derrière mon sourire h24 se cache une fille triste et dépressive. Mise à part ça, je suis tout à fait normale. » Dis-je en souriant toujours autant. Pourquoi je faisais ça ? Simplement comme un renouveau, simplement pour lui montrer que moi aussi j’avais confiance en lui, et que maintenant, on pouvait partir sur une relation bien plus solide. Et puis surtout car peu importe comment nous étions, peu importe ce qu’on était, nous étions normaux. Un corps, un cœur, du sang, des yeux, nous étions juste humain. Je l’aimais. J’aimais Loki. Il venait de prendre une place immense dans mon cœur.


Anonymous
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Ce message a été posté Sam 7 Nov - 18:40
Tu es Loki. Les mains de son amie sur ses joues, le jeune homme sentit son cœur s'emballer, d'autant plus lorsqu'elle le fit se pencher pour venir embrasser ses deux joues. Il virait un peu au rouge, non pas pour la honte mais parce qu'il était heureux. Heureux d'être accepté comme il était. La laissant prendre ses mains, ses doigts, le rouge ne pu s'empêcher de sourire.   Je ne te dirais pas que je ne suis pas choquée, c’est faux, je le suis. Je n’aurai jamais cru que tu puisses être schizophrène. Tu sais que j’ai été en psychologie, et que même si j’ai stoppé mes études je m’y connais un peu. Je ne sais pas comment réagir face à ça. Je ne suis pas forcément la meilleure en démonstration, enfin, je n’en sais rien. Mais, je suis contente que tu me l’ais dis. Parce que… Sa pause dans sa phrase lui fit un peu relever les sourcils, la trouvant mignonne. Parce que tu me fais confiance et que je trouve ça beau. Je ne sais pas à quel point tu es malade, ce que tu vis, ton quotidien, ta souffrance, et tout le reste, mais je veux apprendre à connaitre tout ça. Je veux pouvoir te connaitre entièrement, parce que là tout de suite, je me sens encore plus importante que si j’étais ta femme avec cette révélation tu vois. Il resta là. Planté en ne sachant pas comment réagir. Il sentit son cœur lui faire mal. Mais ce n'était pas une souffrance désagréable comme il avait pu la côtoyer. Non, c'était une douleur nouvelle et loin d'être désagréable. De la peine ? La référence de la femme mariée le fit rire légèrement cependant, baissant un peu son visage. Il se sentait étrangement bien, comme libéré de tout poids alors qu'au fond de lui il savait très bien que ce n'était pas le cas. Du moins, il profiterait de cela le temps qui lui serait accordait. Rukia... Son sourire vint s'élargir alors qu'il la laissa se reculer.   Moi c’est Hirako Rukia, hyperactive, nerveuse, asthmatique, folle au cœur faible, je pleure souvent la nuit dans mon lit car je n’aime pas pleurer devant les gens et derrière mon sourire h24 se cache une fille triste et dépressive. Mise à part ça, je suis tout à fait normale. Regardant cette main tendue vers lui, l'étudiant ferma doucement les yeux avant de les rouvrir pour la regarder elle, cette femme si chère à son cœur. Loki lui prit délicatement la main, secouant légèrement son visage. Sous un petit geste doux et simple, il tira légèrement sur le poignet de la belle pour la faire revenir à lui, la prenant sincèrement dans ses bras. Je suis heureux, et enchanté de faire ta connaissance. Mais si tu savais à quel point j'aime cette folle hyperactive. Je ferais tout pour soigner cette dépressive au cœur meurtrie et je donnerais ma vie pour celle qui pleure lorsqu'elle est seule dans son lit. Plus sincère que lui n'existait pas. Son rictus toujours présent au coin de ses pulpes, il caressait doucereusement le dos de la danseuse. Je n'oublierais jamais t'es mots Rukia. - Je te remercie. La câlinant tout naturellement, il se décala doucement d'elle en glissant l'un de ses pouce au point de ses yeux. Et ne pleure pas. Ou je me sentirais encore obligé de te prendre dans mes bras pour te consoler. Plaisantant bien entendu, ses bras étant à elle, il lui adressa un sourire rassurant. Je te promet de te protéger Rukia. Attrapant son petit doigt du siens, les levant devant leur visage comme pour lui montrer, comme pour appuyer ses paroles, il gonfla ses joues, puis son buste : oui, contraste parfait ! J'les tuerais tous ! Lui tirant la langue, il déposa un baiser sur son front avant de la lâcher.

Anonymous
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Ce message a été posté Sam 7 Nov - 22:52
tenue. « Je suis heureux, et enchanté de faire ta connaissance. Mais si tu savais à quel point j'aime cette folle hyperactive. Je ferais tout pour soigner cette dépressive au cœur meurtrie et je donnerais ma vie pour celle qui pleure lorsqu'elle est seule dans son lit. » Riant faiblement contre lui, je le pris doucement dans mes bras, en sentant mon corps trembler, mes dents claquant légèrement sous le frisson qui venait de parcourir tout mon être. « Je n'oublierais jamais t'es mots Rukia. - Je te remercie » Souriant longuement, je plongeais mon regard dans le sien, alors qu’il portait ses mains sur mon visage pour essuyer mes joues. Posant les miennes par-dessus les siennes, je n’arrivais pas à décrocher mon regard du sien, comme hypnotisée, comme envoutée par Loki. « Et ne pleure pas. Ou je me sentirais encore obligé de te prendre dans mes bras pour te consoler. » Je me mis doucement à rire. Ça me donnait bien envie de pleurer tout ça, juste pour qu’il puisse me consoler. « Je te promet de te protéger Rukia » Surprise, je le laissais prendre mon petit doigt, en écarquillant les yeux. Hey il faisait quoi là ? « J'les tuerais tous ! » Surprise, je relevais le regard vers lui avant de voir sa langue sortir de sa bouche et. Oh. Boguant, je me sentis rougir avant de sourire délicatement. Me protéger ? Tous les tuer ? Il ne savait pas qu’il ne pouvait pas. Me protéger de Kang Jae, la seule personne nuisible dans ma vie, lui était impossible. Je ne voulais pas qu’il s’en mêle, personne ne s’en mêlerait, personne ne saurait mon lien avec lui. Si quelqu’un devait en souffrir ça serait moi. Si quelqu’un devait en mourir, ça serait moi aussi. Me mettant sur la pointe des pieds, je déposais un bisou sur sa joue avant d’enfouir mon visage dans son cou et me suspendre à son cou en relevant mes jambes contre mes fesses. Me remontant à l’aide de mes bras pour mieux tenir je souris doucement en avalant mes larmes. « Et moi je t’aiderai dans les moments les plus durs, je ne suis pas un remède mais je contribuerais à ton bien être. Je te ferai rester toi Loki. D’une façon ou d’une autre. Je te protègerai aussi. » Soufflai-je en serrant mes avant-bras autour de sa nuque, mon corps se collant encore plus contre le sien. « Ta demande est alléchante, j’ai envie de pleurer juste pour profiter de tes bras musclés moi. » Dis-je en riant doucement pour me moquer. Bien évidemment c’était une blague. Ce n’était pas du tout mon style de faire ça. Le lâchant d’un coup, je posais mes pieds au sol avant de le fixer, le regard suspicieux. « Toi… » Attrapant doucement son menton, je me mis à le gratouiller quelque peu avant de sourire. « Tire la langue mon coquin. » Dis-je. Je voulais voir la chose. Je n’avais pas rêvé non ? « J’ai cru voir quelque chose de pas commun. Montre à Onee-chan… » Dis-je en continuant de gratouiller tout en lui faisant un regard de petit chien battu.


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