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 Aishiteru

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Anonymous
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Ce message a été posté Mar 23 Fév - 19:13
« Tu n’aurais pas dû » Bien sûr que si… Je me devais de lui offrir un cadeau et pas n’importe lequel… Je voulais que ça soit avec mon argent, je voulais qu’elle puisse être fière de moi… Je n’avais pas utilisé la carte bleue de mon père cette fois. J’avais travaillé, j’avais gagné cet argent je l’avais mérité, et j’étais cruellement content de la voir si heureuse d’avoir cette bague. « Mais elle est magnifique » Mon cœur se serra avant de partir faire la course tant il battait fort. J’étais tellement heureux qu’elle puisse aimer la bague… J’avais eu tellement peur qu’elle ne puisse pas l’aimer… Choisir une bague c’était comme choisir entre vivre et mourir… Sérieusement j’avais dû y passer des heures dans la boutique pour la choisir… Trop de choix… Et je ne voulais pas forcément quelque chose de trop voyant, ni de trop impliqué. Nous étions jeunes, je ne la demandais pas en mariage non plus… « Je suis vraiment content qu’elle te plaise… J’avais peur que tu ne puisses pas aimer… » Je souris doucement en voyant qu’elle était embarrassé. Elle était tellement mignonne dans ses réactions que ça me rendait fout de joie de la voir de la sorte. Je ne me lassais pas de la voir comme ça. C’était si magique, si mignon… « Ne devrais-tu pas me la mettre ? » Hein ? Ah ben oui ! Sursautant presque et manquant de la tomber, je bafouillais légèrement un oui, avant de la prendre entre mes deux doigts. Ça me foutait presque la pression là. Mettre une bague au doigt de Tsubame. Okai, je ne la demandais pas en mariage ni rien, mais rien que pour le geste c’était… Mince c’était intimidant. Attrapant sa main de ma main libre, je lui pris l’annulaire avant de glisser délicatement la bague autour du dit doigt. Une fois mis je soupirais en regardant le rendu. C’était magnifique. Ça lui allait comme un gant. Serrant sa main dans les miennes, je soupirais en relevant le regard vers le sien. « Elle est à la bonne taille… Je suis vraiment content, t’as pas idée. » Je me répétais, mais je l’étais vraiment. 


Anonymous
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Ce message a été posté Sam 27 Fév - 0:15




Tambourine contre sa poitrine, son cœur enveloppé d’un sentiment nouveau ou juste différent de ce qu’elle avait l’habitude de ressentir. Être heureuse non pas parce qu’elle l’était mais parce que lui semblait respirer ce bonheur contagieux. Une simple bague, sans signification particulière mais le geste en lui-même était symbolique, puisqu’il lui avait glissé cette alliance, n’était-il pas supposé être le seul à pouvoir le lui enlever ? Cette alliance, c’était comme matérialiser ce lien entre eux, le confirmer même s’il n’y avait rien à démontrer à quiconque. « Elle est à la bonne taille… Je suis vraiment content, t’as pas idée. » Tsubame ne s’en doutait pas un instant, Ichimaru était facile à lire, à décrypter au fond. Lorsqu’une chose lui plaisait il l’exprimait, tout comme lorsqu’une chose l’ennuyait, si les mots lui manquaient, cela se lisait sur son expression. « La chance ou le destin, à toi de choisir ce qui te convient le plus » répondit-elle amusée, cela lui faisait bizarre d’avoir un tel accessoire au doigt. Précieux, elle se demandait mine de rien au vu la tournure que prenait son stage, peut-être qu’il serait mieux de l’accrocher autour d’une chaîne, pour ne pas l’abîmer. Lui embrassant le bout du nez, elle le tira vers la foule sans pour autant le quitter des yeux. « N’oublions pas nos vœux », après tout, ils étaient pour cela non ? Elle n’était pas pressée, juste qu’elle fuyait un peu la situation, de peur de rester coller à cet arbre tout le reste de la soirée. C’était sa façon à elle de cacher sa timidité, en le ramenant sur terre, en changeant de sujet. Qu’il apprécie cela ou non, il semblait difficile de la changer. « On peut en faire plusieurs d’ailleurs ? » Elle en avait tellement  formuler qu’elle ne savait pas lequel choisir.

© cn.june

Anonymous
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Ce message a été posté Sam 12 Mar - 12:02
« La chance ou le destin, à toi de choisir ce qui te convient le plus » Le destin. J’avais envie de croire que c’était le destin, qu’elle m’était destinée. Oui, que Tsubame était née sur cette planète pour être mienne, tout comme j’étais né pour être sine. J’étais surement le mec le plus romantique chelou de cette terre mais je m’en foutais. J’aimais bien l’effet de l’amour qu’elle procurait sur moi. Ça me rendait surement très con, mais j’assumais. « Le destin. » Oui, le destin, laissez-moi y croire. Et puis je connaissais aussi la taille de ses doigts, à force de lui tenir les mains. Mais je restais campé sur ma position. Le destin. Le destin ! M’embrassa le bout du nez, je le plissais sous le coup avant qu’elle ne me tire dans la foule. « N’oublions pas nos vœux » Souriant amusé de la voir si excitée à l’idée de faire des vœux, je la suivais, avant de la prendre contre moi pour franchir la foule. Il était hors de question que quelqu’un touche ma femme, ou ne la bouscule. La protégeant en la gardant contre moi, je m’arrêtais devant le stand des vœux. On fera le vœu à la cloche plus tard. Le plus important c’était les écrits. « On peut en faire plusieurs d’ailleurs ? » J’ébouriffais doucement ses cheveux. « Oui, et tu peux en accrocher tout plein. » J’attrapais un stylo et des papiers avant de les lui donner. « Tiens. Après tu vois, tu plis le papier et tu fais un nœud pour l’accrocher. » Je lui montrais les papiers déjà accroché avant de me prendre un stylo et des papiers. Moi aussi j’avais plusieurs vœux à formuler. Commençant à écrire, je pliais déjà quelques papiers. Des vœux pour Tsubame, mais aussi pour nous deux. Pour son avenir, comme le mien, et aussi un peu pour mon père, celui qui m’avait sorti de la misère. Mais surtout pour Tsubame. Je ne voulais que son bonheur. Sans perdre de temps j'accrochais mes papiers le sourire aux lèvres.


Anonymous
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Ce message a été posté Mar 22 Mar - 21:27




Se mordillant les lèvres pour se retenir de rire, la japonaise ne pouvait s’empêcher de trouver son petit-ami terriblement adorable ; que ce soit sa façon de penser, de voir les choses ou de dire simplement ce qu’il pensait. Elle qui aimait être indépendante et libre de ses mouvements, ne pouvait s’empêcher d’apprécier qu’il la tire vers elle pour se transformer soudainement en un garde du corps. Il en faisait trop, comme toujours, si au début de leur relation cela l’embarrassait et l’ennuyait, elle commençait à trouver cela amusant voire même addictif. « Oui, et tu peux en accrocher tout plein. » Autant voulait-elle souhaiter le plus de chose pour cette nouvelle année qui commençait et autant son stylo resta levé en l’air et elle, fronçait les sourcils pour réfléchir à ce qu’elle pourrait mettre. « Tu n’as pas intérêt à regarder par-dessus mon épaule ! » murmura-t-elle en cachant presque jalousement son papier, non pas que le vœu l’embarrassait mais plutôt son écriture enfantine. Écrire est une chose qui était quasi-naturelle pour certain, mais elle avait encore du mal, du moins elle n’était pas aussi rapide et sa calligraphie n’était pas encore stable, bien trop scolaire. «Tiens. Après tu vois, tu plis le papier et tu fais un nœud pour l’accrocher. » Glissant son regard vers la pile de papier qu’Ichimaru avait écrit, elle soupira et commença à gribouiller ses premiers vœux, ou du moins un seul : retournons ici, l’année prochaine. Pliant rapidement, après avoir observé le jeune homme ainsi que les autres couples, elle se hissa sur la pointe des pieds pour attraper une branche et l’accrocher. Et même au moment de faire sonner la cloche, le vœu resterait le même car s’ils revenaient l’an suivant, cela ne voudrait-il pas dire que l’année passée aura été tout aussi agréable et heureuse ? Tsubame n’espérait rien d’autre que la stabilité, après tout, avoir perdu d’un coup ceux qu’elle appréciait l’avait laissé plus que seule et meurtrie. Continuer à vivre pour les absents, elle ne savait pas faire, elle en faisait même des cauchemars. Mais depuis que Maru était apparu dans son quotidien, les choses avaient changées, pierre par pierre, il avait rebâtie son monde en ruine. La fin de soirée fut tout aussi douce, au moment de se quitter, elle aggripa son kimono pour le tirer vers elle et l’embrasser. « On se voit demain ! » bafouilla-t-elle, rouge, avant de tourner ses talons et entrer à l’intérieur de l’immeuble. Des adieux rapides, car sinon, elle n’aurait pas voulu le laisser partir.

© cn.june


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Aishiteru

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