Tenue ∆ Samedi soir, le soir où tout était permis. Non ? Ce n’était pas ce soir-là ? Enfilant une belle tenue, la petite fille se préparait pour aller en boite de nuit. Elle n’en faisait pas des tonnes non plus, mais assez pour se vieillir un minimum. Elle avait certes, une fausse carte d’identité, mais elle devait au moins être crédible. Certes les nippons et autres asiatiques étaient connus pour faire jeune, mais entre eux, ce n’était pas le cas. Quoi que. Soit, ce soir c’était un peu une soirée spéciale. Pourquoi ? Car elle se doutait d’une chose. Il serait là-bas. Oui, elle n’en doutait pas un seul instant. Son instinct le lui disait et c’est pour ça qu’elle mettait le paquet. Elle lui avait menti, lui disant qu’elle était majeure, elle lui avait menti pour sortir avec, ou du moins pour coucher avec lui, nuance. C’était comme ça qu’elle était. Et elle n’avait aucune scrupule à le faire, surtout maintenant qu’elle avait réussi. Et maintenant qu’elle avait réussi, elle osait espérer pouvoir coucher une nouvelle fois avec lui. Se fixant dans le miroir de sa chambre, elle tourna sur elle-même, vérifiant une dernière fois sa tenue et autre, avant d’enfiler ses chaussures et de s’en aller, le sac à main sur son épaule. Il ne lui fallut pas longtemps pour arriver à destination. Il y avait du monde, comme tous les samedis. Tokyo n’était pas la ville de campagne, c’était la grande ville du Japon. Rues blindées, file d’attente insoutenable, mais elle restait patiente. Elle savait qu’il serait là. Et s’il n’était pas là…. Tant pis. Nul n’était irremplaçable, voilà ce qu’elle pensa. C’était méchant, mais elle assumait cette pensée. Jouant sur son téléphone durant l’attente, elle passa sans aucun souci une fois que ce fut son tour. Entrant dans le bâtiment, devenant sourde et aveugle, le temps de s’habituer à la vue malgré les lumières fluorescentes qui avait plus effet de l’aveugler qu’autre chose. Soupirant en cherchant un moment dans le bâtiment, zigzaguant entre les danseurs et autre, elle le vit. Enfin ! Il était là, à quelques mètres d’elle, en train de boire un verre. Le sourire au coin des lèvres, la jeune mante religieuse s’approcha de lui avec un pas plus que déterminé. Arrivant à son niveau, elle passa un bras sur son épaule, encerclant sa nuque avant de lui sourire. Le genre de sourire qui en disait long. Le sourire ravageur. « Salut toi. » Susurra-t-elle en le faisant reculer l’air de rien pour le faire buter contre une des banquettes à disposition. Amusée, elle le poussa faussement pour le faire s’asseoir avant de s’asseoir sur lui à califourchon. Sans attendre elle captura ses lèvres amusée, les lui mordillant avec lenteur pour l’abandonner et s’asseoir à ses côtés. Jambes croisées elle prit son verre sans aucune impunité pour en boire une petite gorgée. « Comment tu vas depuis la dernière fois ? » Ses doigts longeaient une des cuisses du garçon, montant et descendant alors que son visage se tournait pour le regarder avec ce regard qu’il connaissait tant. Au diable les longs chemins. Maintenant elle y allait franchement.
Il était tant pour moi de décompresser. Ecouter surtout une autre musique que mon mixage mais j’avais envie de m’amuser et rien de plus. Je quittais l’agence pour me diriger à l’appartement histoire de me changer et ainsi adopter une tenue plus adéquate pour une petite virée en boite. Depuis que j’étais arrivé a Tokyo, je me suis rendu compte que la vie nocturne était bien plus amusante qu’a Osaka. Les nanas ne sont pas aussi facile qu’ici. Elles ont toutes un caractère bien trempé et c’est pas trop la joie pour draguer. Les Tokyoïtes c’était plus amusant. Et puis si je tombais sur une petite nana comme celle que je m’étais tapé l’autre fois. J’avouerais que ca m'intéresserait de retomber sur le même genre de nanas
Arrivée en soirée, je m’empressais de commander une boisson alcoolisée, histoire de me mettre dans l’ambiance. Je scrutais les silhouettes aux courbes généreuses qui peuplaient le club, je n’avais pas encore trouvais celle qui pourrait facilement tomber dans mon lit. Je continuais de siroter ma boisson, mon attention fut détournée par un petit bras sur mon épaule et un corps que je connaissais bien, même un peu trop bien. Ma petite conquête de l’autre soir était de retour et ce n’était pas pour me déplaire. Un échange de sourire, je me retrouvais assis, surplombé par la jeune fille. Eh bah, elle n’avait plus rien a voir avec la nana qui me faisait du rentre-dedans il y a quelque jours. Enfin vous savez, au point ou nous en étions, je ne vais pas me plaindre. Tandis qu’elle prenait possession mes lèvres, ma main se glissait délicatement le long de son dos, redécouvrant son corps délicatement. Une fois assise à mes cotés, je prenais le temps de la détailler du regard, de son visage d’ange, a ses jambes joliment mises en avant par une jupe et des talons. Tout pour que mes yeux aient de quoi se régaler.
« Ca va, un peu mieux maintenant que tu es là »
Elle démarrait un jeu dangereux là. Aussi bien pour elle que pour moi. Mais bon, j’étais là pour m’amuser alors autant en profiter, surtout qu’elle ne semblait par dire non. Je posais délicatement ma main sur sa hanche, en profitant pour la caresser tandis que je reprenais mon verre en main.
« C’est un peu trop fort pour toi ma belle, tu ne vas plus tenir le debout après »
Je riais doucement avant de terminer mon verre d’une traite. Enfin bon, c’était plus une gamine, elle faisait ce qu’elle voulait après tout. Je plongeais mon visage dans son cou que je parsemais de baisers, humant son délicat parfum qui m’enivrait.
« Ca t’avait manqué avoue »
Mes doigts commençaient à pianoter délicatement sa peau dénudée
Tenue ∆ « Ca va, un peu mieux maintenant que tu es là » La jeune nymphe lâcha un sourire amusé et plus que taquin. Elle aimait bien avoir ce genre de réponse, voir qu’elle pouvait tenir les hommes par quelque chose de précieux pour eux. Et de toute évidence elle le tenait parfaitement lui. Sentant sa main sur sa hanche, la brunette baissa le regard pour la fixer quelques secondes, avant de le regarder lui. Elle aimait bien sa façon d’agir. D’être si entreprenant et de ne pas la repousser. L’attention qu’il lui portait la faisait bouillir sur place. « C’est un peu trop fort pour toi ma belle, tu ne vas plus tenir le debout après » Elle le laissait reprendre son bien pour le voir boire cul sec. Il avait raison. Mais elle n’en dirait rien. Il pensait qu’elle était majeure, elle était loin de l’être, elle venait à peine de faire dix-sept ans… C’était encore une enfant, elle préférait boire du lait au chocolat ou un café plein de sucre que de l’alcool. Elle aimait bien les boissons au litchi. C’était encore une enfant il n’y avait pas de doute. Une enfant qui jouait à la grande fille. Ni plus ni moins. N’ayant pas le temps de répondre, elle se retrouvait avec le jeune homme dans son cou, entrain de lui dévorer la peau, sa main, elle, pianotait doucement sur sa peau nue. « Ca t’avait manqué avoue » Elle lâcha un simple soupire de bien être, tout en penchant sa tête en arrière. Comme un signe d’approbation, il pouvait continuer. La mordre, la marquer, ce qu’il voulait, elle était déjà sienne dès l’instant où il avait posé la main sur elle. Sans attendre plus longtemps, elle posa avec délicatesse sa main sur ses cheveux pour l’inciter à continuer son affaire. « Tu as entièrement raison. Mais je suis sûre que je ne suis pas la seule à avoir été en manque. » Sa voix était douce, quelque peu narquoise pour le taquiner. S’il était là, c’est qu’il comptait bien repartir en très bonne compagnie. L’un comme l’autre avait trouvé la dite compagnie. Soupirant longuement, elle fit glisser sa main le long de son dos avant de pousser cette veste et agripper son haut. Se tournant un peu plus vers lui, posant une de ses jambes sur les siennes, le provoquant allègrement, elle osa glisser ses doigts sous son haut pour griffer quelque peu sa peau tiède. « J’espère que tu ne comptais pas découvrir quelque chose de « nouveau » ce soir hum ? Car je n’ai pas trop envie de partir sans toi. » elle marmonnait au creux de son oreille pour le provoquer avant de lui faire redresser le visage pour capturer ses lèvres. Pire, pour les lui mordiller, les tirant avec une douce provocation, son regard se perdant dans le sien.
Je ne mentais pas, c’est vrai que j’étais content de sa présence ici. Pour l’instant, je n’étais pas tombée sur une nana qui était potentiellement a même de me plaire. Mais bon, elles avaient tendance à être un peu fades. Yuzu, elle était différente. Bon, c’est vrai, au début, je la voyais comme ça mais disons qu’elle a une manière bien à elle a de se démarquer, et ce n’était pas pour me déplaire. Yuzu m’annonçait déjà la couleur de notre soirée à peine arrivée. Je ne pouvais pas faire le petit timide alors que c’était la sensation que je cherchais dès mon arrivée. Je ne suis qu’un homme, il est facile de me prendre dans ce genre jeu. Je ne perdais pas de temps pour lui dire que ce soir encore elle serait mienne. Mes lèvres parcouraient la douce peau de son cou, y parsemant un bon nombre de baisers. L’entendre soupirer d’aise et sa main dans ma chevelure blonde ne m’invitait qu’a continuer un peu plus. Cherchant toujours une nouvelle cible, une parcelle de sa peau que je n’avais pas goûtée. Je souriais doucement contre sa peau à ses mots. Ce n’était pas faux, j’avoue que je manquais beaucoup de cette sensation.
Je la laissais à son tour avoir les mains un peu baladeuses. Retirant ma veste, ses doigts marquant mes abdos, me caressant la jambe de la sienne, Yuzu était prête a tout pour me rendre dingue… Bien plus que le jour où je l’ai rencontré. Bon, je ne suis pas difficile après tout. Ses murmures avec sa voix de séductrice à su me tirer un léger rire. Rapidement, elle s’emparait de mes lèvres, les torturant sensuellement. Je passais mes doigts dans sa longue chevelure, plongeant brièvement mon regard dans le sien.
« Hum… Il se pourrait que tu aies de la concurrence avec des filles de ce type »
Je pointais du doigt une fille qui était loin d’être mon type. C’était le genre de nanas tape à l’oeil, qui fait des caisses pour qu’on la remarque. Quelle tristesse je dois dire. J’ai beau être sensible aux jolies courbes des femmes, je reste quand même exigeant. Je reportais mon attention sur la demoiselle
« Non, je rigole, tu me conviens parfaitement princesse, t’inquiète. »
Je glissais ma main le long de sa cuisse, la caressant d’une main sure. Je n’étais pas mécontent qu’elle porte une robe, mais je voulais la sentir un peu près de moi. Mais je sais que ces vêtements ne resteront pas longtemps sur elle. Mais bon, je voulais encore faire perdurer ce petit jeu. Un plaisir personnel.
« Et puis au moment où je t’aurais mis la main dessus, c’était sûr que tu serais repartie avec moi. C’était non négociable »
Quand j’ai une proie, j’aimais beaucoup la garder avec moi. J’étais comme un enfant avec son jeu. Et Yuzu était l’une de mes poupées préférées, je dois l’avouer. Je plaçais ma main sur sa nuque, sentant quelques mèches se coincer entre eux tandis que mes lèvres prirent possession de les siennes.
Tenue ∆ « Hum… Il se pourrait que tu aies de la concurrence avec des filles de ce type » Elle se redressa lentement, suivant alors du regard son doigt, là où il pointait quelque chose, du moins quelqu’un. Elle la regarda, longuement. C’était le genre de filles que l’on croisait un peu partout lors des soirées, aguicheuse à fond, un peu trop m’as-tu vu. Il aimait réellement ce style de fille ou il se moquait d’elle ? Pourtant, peu importe le choix, elle se mit à sourire. « Non, je rigole, tu me conviens parfaitement princesse, t’inquiète. » Elle sourit longuement avant de lui rendre le regard. Elle senti sa main sur sa cuisse ce qui la fit sourire tout en l’amusant. « Je commençais à m’inquiéter pour toi là chéri. » Dit-elle en lui grattant légèrement le menton pour montrer à quel point elle le narguait plus qu’autre chose. « Et puis au moment où je t’aurais mis la main dessus, c’était sûr que tu serais repartie avec moi. C’était non négociable. » Elle sourit doucement à ses paroles avant de sentir sa main dans sa nuque, elle sourit longuement, aimant ce qu’il lui faisait avant de sentir ses lèvres contre les siennes. Un soupire s’échappa d’entre ses lèvres, alors qu’elle parcourait son torse de sa main, la glissant sous son haut pour venir griffer sa peau avec malice. Amusée et totalement dépendante de lui, elle l’embrassa langoureusement avant de rompre le baiser et se redresser. « Ça me donne des envies particulières… Tu ne devrais pas me provoquer de la sorte. » Dit-elle doucement en faisant baisser sa main, passant alors sans aucune impunité sur l’entrejambe de son compagnon de soirée. Le sourire aux lèvres, elle se leva, l’air de rien, avant d’attraper sa main et le tirer pour qu’il se lève. Amusée elle déposa un baiser sur ses lèvres, le faisant pousser vers la piste de danse. Son autre bras, passant autour de sa nuque, elle commençait à se mouver contre lui, ses hanches plus particulièrement, le provoquant sans aucune honte. Une de ses jambes se glissait déjà avec sensualité entre les siennes se plaquant bien contre sa virilité avant de se déhancher au rythme de la musique. Sourire aguicheur elle plongea son visage dans son cou pour le mordre sans aucune gêne, d’abord tendrement puis de plus en plus fort, tirant sa peau, tout en lui laissant des traces. Elle avait envie de s’amuser, et pas qu’un peu.
A dire vrai, je voulais seulement voir la réaction de ma petite poupée due à ma connerie. Je ne m’attendais pas non plus a une crise de jalousie ou un scandale d’une folle furieuse. Je ne crois pas qu’elle était ce genre de nana. Et heureusement, parce qu’a ce niveau-là, je préfère me taper une autre nana. Moins de problèmes, moins casse bonbon. Mais bon, j'étais prêt à tout pour rendre ma belle à accro et entendre ses soupirs ne m'invitait qu'a continuer de plus belle. La sentant griffer mon torse, je mordillais sa lèvre comme pour me venger. Un jeu dangereux et très chaud s'installait et ce n'était pas pour me déplaire.
« Ca me plaît de t’entendre dire ça. Et puis tu sais, je suis un peu un enfant, j'aime beaucoup jouer »
Un vrai gamin qui n'attendais que d'être brûlé par le feu. C'était littéralement ça. Il faut dire que la demoiselle ne faisait rien pour calmer mes ardeurs, surtout quand sa main "effleurait" - mais vraiment entre guillemets - mon entrejambe. Elle était décidée à me rendre dingue. Et ça n'allait pas mieux de minute en minute. Yuzu m'entraînait sur la piste de danse et la voir littéralement se déhancher contre réussissait à me faire de l'effet. Je n'étais qu'un homme après tout. La jeune femme me titillait, me provoquait de la pire façon qu'il soit. Cependant, je serais un idiot de ne pas en profiter. Elle était d'humeur joueuse et franchement, j'adorais vraiment ça. Elle n'avait pas froid aux yeux la petite. Mes mains se posaient sur ses hanches, la laissant me marquer avidement la peau. Je ne pouvais m’empêchait de grimacer. Soit, j'aurais aussi tout le loisir de me venger d’elle ce soir. Peut-être même un peu plus tôt qu’elle ne le pense. Je n'étais pas réputé pour avoir une patience exceptionel. J’attrapais son bras, l’attirant dans un coin un peu plus reculé. Je la plaquais contre le premier mur à ma portée, emprisonnant ses poignets fermement. Mon visage se rapprochant dangereusement de son oreille, lui susurrant quelques mots
« C’est plutôt toi qui ne devrais pas me provoquer ainsi, tu pourrais vraiment le regretter a force »
Un sourire narquois ornait mes lèvres avant que ces dernières se posaient sur la peau de son cou, la marquant, lui laissant un suçon, lui rappelant que ce soir encore elle était mienne. Maladroitement, j’entraînais ses lèvres dans un baiser langoureux. Mes mains, qui devenant un peu audacieuses, passaient sous sa robe commençant a m’amuser de l’élastique de son sous-vêtement. Je n’étais pas un romantique dans l’âme moi, et puis bon, je pense qu’elle doit en avoir rien a foutre. Enfin, j’espère bien que c’est son cas. Enfin, je pense que ca ne doit plus l’étonnée
Tenue ∆ Oh, elle n’était pas jalouse, ou alors il fallait vraiment lui donner matière à le devenir et fallait vraiment que ça soit pour la « bonne » cause. En clair autant se lever de bonne heure et encore, peu de gens pouvait la voir jalouse. Si ça lui arrivait ce n’était pas pour des raisons ou l’on s’attendrait à la voir jalouse. Elle jalousait les gosses proches de leur père, les gosses qui avaient encore leur mère, oui, ça elle ne pouvait pas le nier. Parfois elle les regardait avec jalousie, mais quand il s’agissait de mec et de sexe, clairement, ça lui passait au-dessus de la tête. Pourquoi ? Car ils n’étaient rien pour elle. Elle ne sortait pas avec eux, elle couchait, le temps d’un soir, parfois, le temps de deux soirs, ou plus. Il n’y avait rien d’autre. Juste du cul. Du sexe pour du sexe. L’assouvissement d’une envie commune. Tout simplement. Alors quand elle vit la remarque de son jeune compagnon du soir, Naizen, elle ne put s’empêcher de s’inquiéter. Non pas parce qu’il voulait coucher avec une autre, mais parce que la dite fille était… Affreuse à ses yeux. En tout cas, ça ne l’empêchait pas de s’amuser avec lui, d’en profiter, et de le provoquer. On n’arrêtait pas Yuzu si rapidement. « Ca me plaît de t’entendre dire ça. Et puis tu sais, je suis un peu un enfant, j'aime beaucoup jouer » » Oh, ça elle le savait qu’il aimait jouer, elle l’avait vite compris, et elle aussi, elle aimait jouer. C’était encore une enfant c’est pour ça. Mais ça, elle n’allait pas le lui dire… Il risquerait de la repousser. Hors ce n’est pas ce qu’elle voulait… « Jouons ensemble… Innocemment. Ou pas. » Elle lui tira la langue, alors qu’elle passait sans aucune honte sa main sur son entrejambe. Elle voulait s’amuser oui, avec ce qui l’intéressait. Mais ce qui l’excitait d’avantage c’était la provocation, voilà pourquoi elle l’amena sur la piste de danse pour pouvoir le provoquer un peu plus. Se déhanchant contre lui sans aucune impunité, sans aucune pudeur afin de le rendre fou. Tellement fou qu’il ne tarda pas à la tirer pour la plaquer contre un mur, bloquant alors ses poignets. Elle était emprisonnée. « C’est plutôt toi qui ne devrais pas me provoquer ainsi, tu pourrais vraiment le regretter a force » Son Sourire s’agrandissait alors qu’elle pencha sa tête en arrière alors qu’il s’attaquait déjà à la peau de son cou. Son dos se cambrant elle soupira de bien-être se fichant royalement qu’on puisse les voir. Ils étaient dans la pénombre, là où personne ne regardait. Et puis, elle s’en fichait totalement. Leurs lèvres se scellant elle l’embrassa avec vigueur alors que ses mains se glissèrent dans ses cheveux le plaquant un peu plus contre elle. Sentant sa main sur son sous vêtement, elle grogna longuement avant de relever une jambe le long de sa taille pour l’enrouler lentement. Une de ses mains quittant ses cheveux, passant entre leurs corps, elle attrapant le jean de Naizen tirant dessus avant de faire sauter le bouton. « Oups. » Lâcha-t-elle contre ses lèvres.
Je n'étais pas du genre à tourner autour du pot. J'avais envie de me la taper, je n'allais pas mentir ni faire des manières. Je n'avais jamais fais ça avec une fille et Yuzu ne serait pas la première. Alors autant aller droit au but non ? Et ce n'était est pas ça qui va complexer cette nana. Un jeu... Ce n'était que ça qui alimentait notre relation - si on peut appeler ça une relation - Ça et notre libido insatiable. C'était mon syndrome de Peter Pan à notre façon. Et la voir aussi avenante en me provocant, et chauffant. Comment voulez-vous que je reste calme après ça ? Mais bon je préférais faire notre petite affaire à l’abri de plus de regards possibles.
Ma main sous sa robe, nos lèvres ensemble, je ne pris pas de gants pour commencer à m'amuser avec elle. La voir prendre cet air de petite fille frôlant la vierge effarouchée m’amusait assez. C'était quelque chose qui ne collait tellement pas avec sa personnalité. Bon je ne plaignais pas. Ca ne faisait qu'alimenter la chose et Dieu seul sait combien j’appréciais ce moment.
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