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 i can ignore you

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Anonymous
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Ce message a été posté Dim 13 Mar - 2:39
I can ignore you.

✧ Danashiri & Misa ✧

Un caractère de princesse, je l'avais. Tous les traits de mes pensées qui allaient avec le comportement souhaité. Mais ce petit caractère de princesse capricieuse s'échappait ou explosait avec elle, surtout avec elle. Dana était sa force comme sa faiblesse. Elle pouvait la faire rire comme la faire pleurer, de la crise de nerfs au fou rire de taille. Oui avec Dana, je le savais c'était compliqué. Mon caractère de princesse totalement assumé mêlé à son caractère enfantin bien à elle, offrant originalité et stupéfaction à son public.  Elle savait me manipuler, enfin j'essayais de lui faire croire que non mais elle était très forte. Trop forte pour moi parfois. Cette fois ne manquera sûrement pas à la règle, mais pour le moment c'est clair et net ; je fais la tête. Elle mérite même pas que je lui souris, je vais bouder pour ce rendez-vous qu'on s'est donné, je n'ai pas tant aimé qu'elle puisse m'ignorer comme ça ni me porter toute l'attention que je mérite. C'est aussi surtout le fait que je suis extrêmement jalouse et possessive peut-être. Oui non, elle a abusé cette fois-ci. Je lui en veux beaucoup à vrai dire, comme à chaque fois qu'elle m'ignore ou me met à l'écart. Bon par contre, je vais la voir mais je ne sais pas du tout pourquoi, j'aurai peut-être mieux fait de rester chez moi et ignorer ses messages et ses appels. Faiblesse de Misa, partie 1. Ne sais même pas ignorer les messages de Dana ou ses appels l'invitant à la rejoindre au parc. Je soupirais intérieurement en me disant qu'il devait bien avoir pire que moi ou que j'étais peut-être maso, oui je sais pas. Bon de toute manière je suis arrivée au lieu de rendez-vous, elle m'avait dit de la rejoindre au parc. Je crois qu'elle sait pas encore que je boude encore avec mon sale caractère. Mais bon demander à Dana de me laisser en paix c'est un peu comme lui demander de faire la fille sage ; elle ne le fera sûrement pas. Même pour me faire plaisir, Dana est trop... Dana ? Je ne trouve pas d'autres mots pour la qualifier.

Je m'assois donc d'un air boudeur sur un banc dans le parc qui semble si paisible à côté de mon humeur assez orageuse. Je l'attends et je sais pas trop ce qu'elle fait, elle s'est peut-être perdue ? Je m'apprête à partie en me levant de ma place quand soudain la silhouette de Dana apparaît devant mes yeux me refaisant tomber sur mon banc. Zut, j'ai pas pu prendre l'excuse du "tu étais en retard donc je suis partie." Quand le destin ne veut pas nous séparer d'une personne, il le fait plutôt bien. Je toise donc mon interlocutrice qui semble ne se douter en rien de mon air boudeur, mais je vais vite l'en informer. Je fais donc une légère moue avec mes lèvres à ses premières paroles avant de prendre la parole.

- Mouais. Tu as de la chance que je sois restée, j'allais partir. Disais-je d'un air qui n'était pas l'un de mes plus doux.

Je croisais donc mes bras sur ma poitrine en prenant un air dénué d'intérêt pour son interlocuteur alors que c'était loin d'être la vérité puisque cette dernière était LA personne la plus proche de moi-même. C'était très souvent instable avec Dana car nous avons une relation explosive. Bon après, elle n'a qu'à pas en jouer non plus. Je garde un air impénétrable et très boudeur qui n'invite pas forcément à m'embêter ou me faire perdre patience. Mais avec Dana, je me dis que je ne vais pas être au bout de mes peines, je ne sais même pas pourquoi on est là en fait.

- Au fait qu'est ce qu'on fait là ? Demandais-je par curiosité en me disant que juste une question comme ça, ça la faisait pas forcément gagner si facilement.

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Anonymous
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Ce message a été posté Mar 15 Mar - 14:52
I can not ignore you.

✧ Misa & Danashiri✧

Fredonnant sans même m’en rendre compte, sautillant presque à chaque foulée qui me rapprochait d’elle, un sentiment d’anticipation me serrait le cœur, faisait chambouler le rythme auquel mon cœur battait. J’étais stupide de me sentir ainsi, je le savais, mais Misa était spéciale. Misa était mon miroir mais en plus beau, en plus inspirant, en plus extasiant. Je savais qu’elle me faisait la tête, pour quoi exactement ? Je ne m’en souvenais même plus tellement je lui en faisais ; ce n’était pas de ma faute, dès que je la voyais, elle me poussait au crime. Tout en elle, était un appel à la violence et je ne faisais qu’y répondre, innocemment. Sortant mon téléphone pour vérifier l’heure, j’avais cinq minutes d’avance, plutôt que de l’attendre au point de rendez-vous, je préférais ralentir le pas, prendre mon temps pour arriver pile à l’heure. D’ailleurs, d’où je me trouvais, je la voyais, sagement assise. Je devais ressembler à une stalkeuse à l’épier ainsi, mais qu’importe, le regard rivé sur l’écran de mon téléphone, je ne me manifestai que lorsqu’il fut pile l’heure du rendez-vous.

« Mouais. Tu as de la chance que je sois restée, j'allais partir. »

Un sourire amusé étira davantage la commissure de mes lèvres. Lèvres que je mordillais aussitôt en même temps que je me réservais de lui dire ce qu’il me traversa spontanément à l’esprit, menteuse. Si elle comptait me poser un lapin accompagné d’un message des plus adorablement froid, celui-ci allait rester dans les brouillons de son smartphone car à coup sûr, elle allait revenir sur ses pas et m’attendre sagement à cette place qu’elle avait déjà réchauffé. Une intuition plutôt qu’une certitude, car je n’avais pas la prétention de dire que je la connaissais du bout des doigts ; Misa me surprenait toujours. J’ignorais cet air froid qu’elle me servit, en faire la remarque serait gâchée son plaisir secret, et je m’asseyais à côté d’elle, à sa droite, de sorte que nos épaules se frôlent légèrement.

« Au fait qu'est ce qu'on fait là ? »

J’hausse les épaules avec mou, comme si moi-même je ne savais pas ce qu’il m’avait pris de lui envoyer ce message, de lui donner rendez-vous dans un lieu aussi tranquille. En vérité, j’avais juste envie de contempler de la même façon qu’on admire son propre chef d’œuvre, l’expression pincée sur son visage sublime, œuvre de mes taquineries trop poussées lors de notre dernière rencontre. Même fâchée, je la trouvais mignonne voire à croquer. On ne touche qu'avec ses yeux, nous répétait les adultes lorsque nous n’étions pas plus hauts que trois pommes. Admirer sans toucher, je n’étais pas le concept alors que je me penchais légèrement en avant et ma main glissait sur sa joue pour la lui tirer sans once de douceur.

« On va faire de la balançoire, encore faut-il que tu arrives à décoller tes pieds du sol vu ton kilo de mauvaise humeur. Fendre l’air avec des brindilles histoire que tu pètes un bon coup et peut-être monter un de ces tandems pour imiter les couples ringards … Viens ! » Débitais-je en une traite avant de m’agacer toute seule et de lui attraper la main pour l’entraîner en dehors du parc. Le parc ? Quelle bêtise ! C’était le coin paumé des amoureux naïfs, des grands-parents qui se promenaient sur les sentiers pour des heures justes parce que leurs pas ne pouvaient être plus rapides. Au lieu de cela, je la tirais vers l’arrêt d’un bus, bus qui se pointait d’ailleurs. En un rien de temps, nous voilà assise sur l’un de ses sièges, sans avoir payé car l’idée de faire biper ma carte m’était sortie de la tête.

« Tu connais les batailles de ballon d’eau coloré ? On va faire ça !» Il y avait un centre éphémère qui avait ouvert. Plutôt que les batailles classiques qui se faisaient sur une pelouse de jardin, cette bataille se déroulait à l’intérieur d’un vaste château gonflable, et pour les moins princiers, des trampolines. « Prépare-toi à recevoir une pâtée », en vérité, c’était une façon pour ma princesse préférée de se défouler un peu, elle devait en avoir sur la patate pour me faire la tête ainsi, mais pas suffisamment pour répondre à mes sms.
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Ce message a été posté Sam 26 Mar - 19:58
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✧ Danashiri & Misa ✧

Mon air boudeur, mon agacement tout se distinguait sur mon visage, il y avait de peint l'oeuvre qu'était la possessivité et la jalousie mêlée à une histoire plutôt enfantine mais c'était comme ça avec Dana, je finissais toujours par lui pardonner en lui faisant parfois payer de mon ignorance ou de ma mauvaise humeur. Aujourd'hui c'était un peu la combinaison des deux. A ma question de routine elle haussa d'abord les épaules avec un certain geste mou qui se faisait ressentir comme si elle savourait ce qu'elle venait de faire, au fond ça m'énervait encore plus. Je n'aimais pas être manipulée ni observée par amusement. Par contre j'adorais lorsqu'on m'admirait, mais c'est une autre affaire ça. A sa rétorque que je semblais attendre depuis des lustres, je voulais lui prouver que je pouvais avoir cette capacité à l'ignorer même quand elle essayait "d'arranger" les choses en usant de la stratégie de l'humour ou de la dérision qui masquait la réalité de la situation. Si je ne lui en voulais pas j'aurais sans doute rigoler aux éclats mais là je faisais plutôt mine que cela ne m'atteignait pas et ne me faisait aucun effet, j'imitais ainsi son geste en haussant mes épaules mollement à sa réflexion comme si la proposition m'indifférait alors qu'au fond tout le monde savait que passer du temps avec Dana chérie me faisait réellement plaisir mais c'était trop tôt pour la laisser gagner. Je la laissais donc me prendre la main pour me guider vers la sortie du parc, c'était un coin assez paumé et fait pour les amoureux ou les retraités afin de se promener ou d'être tranquilles pour toute sorte d'activité. Il y avait parfois des musiciens pour réveiller cette ambiance silencieuse.

Elle me tire à l'arrêt d'un bus, tiens donc où allions nous aller ? Je ne savais pas, mais connaissant Dana, elle n'était pas du genre à être si "calme" que ça dans les activités choisies. Bon tant mieux dans un sens, au moins on ne s'ennuyait pas du coup, on se retrouvait ainsi dans un bus assises et je crois qu'on avait pas payé ou fait le nécessaire pour prévenir qu'on était entrées dans le bus en étant dans les règles. De toute manière étions-nous dans les règles de manière habituelle ? A sa question je sortais de mes interrogations, haussant un sourcil d'un air perplexe, batailles de ballon d'eau coloré ? Je pensais soudainement à mes pauvres vêtements qui avaient très certainement rien demander au préalable.  Son idée de me mettre la pâté ne m'enchantait guère et je fronçais les sourcils à cette dernière me disant qu'il y avait meilleur moyen pour que je ne lui en veuille plus, mais ce système pouvait me servir de défouloir sur cette dernière. Je croisais donc mes bras sur ma poitrine d'un air déterminé et indifférent à sa réplique.

- C'est plutôt toi qui devrais te préparer à recevoir une raclée Danashiri. Disais-je tout d'abord avec un air de défi puis j'ajoutais d'un air déterminé. On devrait mettre quelque chose en jeu, celle qui gagne pourrait recevoir quelque chose !

Mon âme de compétitrice était de retour, au bon ou au mauvais moment c'était une autre histoire. Mais j'étais bien déterminée à lui faire payer de m'avoir mise de mauvais poil, elle s'en délectait trop à mon goût. Je pourrais également opter d'attaquer d'autres personnes en faisant mine de l'ignorance, oh oui j'allais réfléchir à cette idée en prenant un sourire intérieur aussi grand qu'un soleil. Ma vengeance pouvait être terrible lorsque j'avais l'idée en tête, j'en étais consciente. Le bus s'arrête donc à l'endroit voulu, on pouvait voir un château gonflable qui se distinguait dans le paysage plutôt "idyllique", le château faisait plus princesse, superficiel, éphémère, attraction touristique on savait d'avance qu'il s'enlèverait un jour. Je me levais donc de ma place sans prendre la peine, de prime abord, de vérifier si tu me suivais ou si tu n'avais pas le temps de le faire. Enfin je faisais mine, mais en fait je le vérifiais bien dans le rétroviseur du conducteur de bus. Ca allait être une aventure à faire avec Dana, une fois dehors j'étirais mes bras vers le haut, découvrant le château gonflable d'un peu plus près. Je tournais légèrement mon regard vers Dana en adoptant une mine boudeuse avec un soupçon de désintéressement pour cette dernière.

- On y va alors ? Tu as pas trop peur de perdre ? Demandais-je d'un air assuré pour ma victoire. Je souriais donc d'un air joueur en me rapprochant de la nouvelle aventure que nous allions vivre ensemble.

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Ce message a été posté Dim 10 Avr - 20:18
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✧ Misa & Danashiri✧

Jamais je ne lui dirais ces mots qui sont dans trop de films, chansons et livres. Ces mots qu’elle tremble d’entendre et que lui offrent ses vendeurs de rêves et pourfendeur de moulin à vent. Ordinaires mais flatteurs, ils ne sont qu’un vent qui polit davantage sa peau de porcelaine et le cristal qui entoure son égo. Jamais je ne m’abaisserais à cela, non pas que mes genoux n’aiment se poser sur le goudron, mais parce qu’elle mérite tellement mieux et que cela, elle ne le sait pas. J’ai envie de l’égratigner un peu, juste un peu mais suffisamment pour laisser une trace, la marquer. Elle n’appartient à personne si ce n’est qu’à moi, et si elle ne m’appartenait pas, alors personne ne pourrait. Son air boudeur m’inspire des rires et des idées folles, j’ai envie de la torturer davantage tout en lui murmurant que tout ira bien mais Misa est belle quand elle sourit. Elle est belle en colère, magnifique quand elle explose mais enchanteresse quand elle sourit tout simplement. Agitant presque nerveusement le bout de mes orteils au fond de mes converses, je luttais contre la tentation d’embellir davantage mon œuvre d’art, j’ai promis d’être sage ou plutôt d’enterrer la hache de guerre mais les promesses sans entorses ne sont que vaines et futiles. Elle me le pardonnera encore, cet écart de conduite, elle le fait toujours et gracieusement avec tout son tendre amour.

« Recevoir une raclée… » murmurais-je en répétant sa phrase d’un ton blasé pour mieux l’ennuyer, pensait-elle que ces simples mots suffisait à réellement m’effrayer ? Ces mots n’étaient que vides et sonnaient terriblement creux, j’attendais de la voir en action. Un sourire narquois étire mes lèvres en même temps que je me remémore l’historique de nos guerres et leur résultat. Il n’y avait jamais réellement de vainqueur et de vaincu, il n’y avait jamais eu de pardon à réclamer, juste des rires et un sentiment étrange comme si nous bouder respectivement n’était qu’une perte de temps. On s’était jurée de ne pas recommencer pour ne plus perdre de temps avec ces enfantillages, mais à croire qu’on ne pouvait pas s’en empêcher. Il fallait toujours qu’une l’une pousse l’autre aux orties et pour le coup, j’étais coupable. Coupable mais pas responsable comme le dirait certain. « J’attends clairement envie de voir ce qu’une brindille comme toi peut lancer ! Vas-y, que veux-tu parier ? Réfléchis-y bien avant de vouloir t’y lancer car…. Si tu le prends comme ça, je n’irais pas de main morte avec toi, honey. » Des idées fusaient dans mon esprit, mon imagination était déjà portée à ébullition maintenant qu’elle avait mis sur la table, un pari. Un sourire narquois étire mes lèvres en pensant à tout ce qui me serait permis de souhaiter et exiger d’elle, surtout que son anniversaire approchait. Enfin, je me méfiais de mon amie, sa compétitivité n’était pas à prendre à la légère non plus. Ceux qui pensaient qu’elle était seulement capable d’être une jolie poupée ^vêtue de marque se trompait.

«Qui ça, moi ? Tu sais bien qui porte la culotte dans notre couple ! » Le château gonflable n’était que la première partie, car en vérité, l’attraction n’avait rien à envier aux parcs aquatiques. La surface gonflable s’étendait sur une très grande surface et les activités étaient multiples. « En plus de te redonner un peu de couleur à tes vêtements, je pourrais aussi te saupoudrer de farine et faire de toi.. le gâteau le plus.. hm. Bref ! » M’avançant vers l’accueil, je ne fis que donner mon nom et tendre ma carte bancaire pour que ce royaume d’air nous appartienne. Parce que j’étais plutôt du genre fair-play, je me rejoignais ma petite femme et future rivale. « Pistolets à eau, ballons, farines sont cachés un peu partout, il suffit de les récupérer et les utiliser. La plus moche sera la perdante. Enfin, avant d’exprimer notre amour vache, faut qu’on aille déposer dans le cassier nos affaires, y compris les chaussures. » Attrapant son poignet, je lui remis la petite clef de son cassier. « Tu veux toujours parier ? »
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Anonymous
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Ce message a été posté Lun 2 Mai - 22:01
I can ignore you.

✧ Danashiri & Misa ✧

Relation sans aucun sens, relation échappant aux lois de la logique. Qu'est ce qui empêchait d'aimer des choses avec une logique qui nous échappe ? Ce n'est pas logique, c'est juste  hors de notre portée et si loin de notre logique. Elle faisait partie des relations qu'on avait jamais vu, bien qu'elle soit basée sur une logique simple ; le chat et la souris. Le pardon était pas une chose que j'accordais facilement, mais avec Danashiri, j'étais presque comme guidée à prendre le mode d'emploi pour rester auprès d'elle. Je ne peux me dissocier d'elle, comme elle ne pourra pas se dissocier de moi, elle faisait à présent parti de mon monde et je n'en redemandais que plus. Même si dans l'instant présent je lui en voulais encore, peut être pour quelque chose de bête mais nous fonctionnons toujours comme ça et ça semble nous aller. Prend le doucement et savoure le lentement, autant de temps que tu peux le ressentir, le pardon est quelque chose qui apaisera ton âme ; c'est ce que me disait ma mère. A croire qu'elle était professeur de catéchisme parfois.

Je mettais donc Dana-chérie à l'épreuve, la lançant sans ménagement avec un air de défi, j'étais partie pour l'ignorer mais elle savait y faire pour changer la donne avec moi, j'admettais être un peu, vraiment juste un peu être faible avec elle. Mais elle semblait pas prendre ma menace et mon défi au sérieux dans un premier temps je fais alors une moue avec mes lèvres. Elle rétorque ensuite d'avoir cette envie de voir "une brindille" comme moi en action, il était vraiment que j'étais pas très épaisse et je ne l'avais jamais été de toute façon. Je roule alors des yeux d'un air exaspéré avant de claquer ma langue contre mon palet.

- Tu pourrais être surprise, j'ai la grâce d'un chaton et la force d'une lionne tu vas être éblouie par mon talent ! Rétorquais-je dans un premier temps avant de faire mine de réfléchir à cet enjeu mis sur le pari. J'avais des idées toutes plus ou moins farfelues ou neutres, mais je voulais pas non plus trop me risquer avec Danashiri, elle pouvait prendre un malin plaisir à savourer ses oeuvres. Oui ! Alors si tu gagnes, on va manger dans ton restaurant préféré et je te réserve une journée avec moi où on fera ce que tu veux. Et si je gagne.. Tu devras m'accompagner sur un lieu pour un shooting et m'aduler dans Royals pendant une journée entière. Lançais-je avec un grand sourire mon idée qui semblait bonne. Ah aussi tu as pas intérêt d'oublier mon anniversaire c'est important ! Même si je perds le pari tu es OBLIGEE de t'en souvenir.

On arrivait donc devant la structure gonflable qu'était le château et encore ce n'était rien comparé à l'entièreté de la chose. Je tournais mon regard vers elle quand elle dit que c'est elle qui porte la culotte dans notre "couple" parce qu'on était tellement proches que parfois on ressemblait à un couple.

- Il existe bien des hommes qui exécutent tous les bons vouloir de leurs femmes et qui sont des vraies mauviettes. Disais-je dans un premier temps avant d'entendre que tu avais l'ambition de recolorer mes vêtements ainsi que me faire devenir un gâteau, à cette réflexion j'haussais un sourcil d'un air désapprobateur avant de hisser mon doigt en face du visage de Danashiri en le bougeant de droite à gauche pour dire "non même pas en rêve."  On s'avançait donc vers l'accueil, je te voyais payer bon après tout, tu me le devais je devais rappeler que je boudais déjà donc bon si je devais en plus payer pour faire parti du complot.  J'écoutais attentivement ses dires, avant d'hocher la tête d'un air d'accord, je lâchais un petit rire avant de passer ma main dans mes cheveux d'un air sûr et déterminé.

- Tu pourras jamais me trouver moche sweetie, rend toi à l'évidence.  Lâchais-je en faisant mine de faussement hausser les épaules en levant légèrement mes mains au même niveau des mes épaules. Bien sûr que je veux toujours parier pour qui me prends-tu ! Je n'abandonne jamais de tels défis en plus ça en vaut la chandelle.

Je prenais donc la clef de mon casier, je mettais donc l'entièreté de mes affaires qu'il devait y avoir dans le casier qu'on m'avait donnée au préalable, refermant le casier derrière moi avec l'aide de cette clef donné au préalable par cette chère Dana.

- Je suis prête, on peut commencer.

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