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Anonymous
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Ce message a été posté Jeu 15 Sep - 18:24
Serré dans un costume couleur anthracite taillé sur mesure, Junya faisait quelques pas dans le hall d’accueil du prestigieux Palace Hotel de Tokyo. Le visage serein en apparence, le jeune homme ne pouvait néanmoins retenir quelques soupirs d’appréhension, sentant sur sa silhouette le regard amusé de son oncle. Quelques jours auparavant, l’homme lui avait fait part de ses projets ; le fiancer à l’une des filles Serizawa. Une alliance entre deux familles pesant dans le monde politique ne pourrait qu’être bienvenue, lui avait-il dit. Junya n’avait pas protesté, acceptant juste l’anneau de fiançailles qu’on lui avait remis, avant de le passer à son annulaire gauche, et finalement ajouter qu’il s’en montrerait digne. Et ces paroles n’étaient pas en l’air, ni même prononcées en toute inconscience. Non content d’être au fait des enjeux que représentaient ces fiançailles pour les familles respectives, Jun était déterminé à se montrer à la hauteur d’un futur époux digne de son nom. Sans nul doute était-il bien aidé par le fait qu’il n’avait jamais été indifférent aux charmes de Katarina. Mais ironiquement, si cet état des faits pouvait considérablement jouer en sa faveur, il ne s’en sentait que d’autant plus nerveux.

Le regard du jeune homme jonglait entre sa montre et le sas d’entrée. Les invités défilaient, se rendant dans la salle de réception privatisée à l’occasion d’un banquet mondain. Junya ne manquait jamais d’aller les saluer un à un, restant fidèle à son poste d’assistant de ministre, rappelant par la même occasion les noms à son oncle qui avait parfois la mémoire un peu courte. Et alors qu’il échangeait quelques politesses avec l’une de ces personnes, son regard revint vers l’entrée quand un nouveau groupe en franchit le seuil.

En tête, Monsieur Serizawa et son épouse, suivis de près par les jumelles. Le regard du jeune homme resta accroché quelques secondes à la silhouette gracieuse et élégante de Katarina, se raidissant immédiatement. Présentant des excuses à son interlocuteur, il prit immédiatement congés pour aller saluer les nouveaux arrivants. Courbettes et politesses furent adressées aux parents, avant qu’il n'échange également quelques mots avec la sœur, avant d'en venir à Katarina. Il lui adressa un sourire, malgré lui un peu crispé à cause de la nervosité, avant de se pencher en avant. « Bonsoir, Katarina. » ajouta-t-il, avant de se redresser. Il la regarda quelques secondes ; elle était semblable à ses souvenirs, d’une beauté froide à couper le souffle. « Toujours aussi élégante. » se permit-il de complimenter, avant de tendre un bras replier pour qu’elle puisse le saisir. L’annonce de leurs fiançailles était prévue dans la soirée, aussi valait-il mieux faire bonne impression.

Emboitant le pas à son oncle et aux autres Serizawa, Junya avança en silence en direction de la salle de réception, un peu anxieux, ne sachant que trop dire. La pièce était richement décorée, avec de grandes tables recouvertes de nappes et de mets divers, ainsi que d’autres mises à disposition pour les invités. Et au fond, sur une estrade, un piano à queue à place vacante. Il se tourna vers Katarina, lui demandant avec un doux sourire ; « Aura-t-on la chance de t’entendre jouer, ce soir ? »

Anonymous
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Ce message a été posté Lun 19 Sep - 23:38
Aujourd’hui est un jour particulier pour Katarina, elle allait se fiancer officiellement et publiquement au neveu du meilleur ami de son père qui est un ministre. Ce dernier, la jeune femme ne peut pas se le sentir puisqu’il ne lui inspire pas confiance en tout point et il semble cacher pas mal de choses à son père. Il a beau être intelligent et cultivé, mais son père est assez naïf au niveau de ses relations contrairement à sa mère. Certains regards ne trompent pas, l’oncle de son fiancé lançait des regards assez passionnés à Madame Serizawa durant le peu de temps que la jolie artiste l’ait vu. Katarina se prépare avec l’aide de sa mère et sa jumelle qui conseillent la maquilleuse et la coiffeuse. Comme à son habitude, elle les laisse faire sans rien dire en s’enfichant de ce qu’elle peut bien porter puisqu’elle se fiance pour leur faire plaisir. Beaucoup de gens trouveront ça triste, mais elle pense qu’elle ne se marierait jamais donc pourquoi pas accepter la situation. Au moins tout le monde est content enfin…presque. Elle connait un peu son fiancé, il est beau certes mais ne semble pas tout blanche comme elle. L’instinct féminin lui dit qu’elle ne sera pas avec un ange, tant pis de toute manière elle ne compte pas se comporter comme une vraie épouse à son égard. C’est ce qu’elle pense, parce qu’il ne semble pas être autant retissant à ce mariage qu’elle. Son avis sur lui est qu’il n’est juste pas vilain physiquement parlant du moins elle essaie de s’en convaincre. En réalité elle sait pertinemment qu’entre eux, c’est bien plus que de l’attirance malgré que tous les opposent en particulier sa haine des hommes et l’admiration que voue Junya à son oncle. Aimer un homme surtout un homme tel que lui, un vrai cauchemar pour la jeune étudiante.

Une fois habillé d’une longue robe blanche bustier et de hauts talons avec des bijoux en particulier son alliance qu’elle regarde en demandant pardon à Dieu pour ce mariage « sans amour » et en se disant qu’elle fera de son mieux. Ensuite elle prend le bas de sa robe d’une main afin de sortir de sa résidence et monter dans la limousine afin d’arriver au Palace Hotel où tout le gratin est convié. Katarina et sa famille arrivent en se faisant photographier, ce que déteste véritablement la jeune fille donc elle accélère le pas en se cachant suivi de sa jumelle de très près. Elle salue poliment les invités pour faire bonne figure même si elle ne les connait pas vraiment. Tout d’un coup elle aperçoit celui avec qui elle allait partager sa vie, la jeune femme se sent encore plus nerveuse en jouant avec ses longs cheveux qui tombent à sa chute de rein. Il est vraiment élégant et beau tellement qu’elle veut le fuir mais elle ne peut pas. Ses pieds ne veulent pas bouger.

« Bonsoir Monsieur Seol. »

La demoiselle veut mettre de la distance en faisant une révérence et en lui parlant poliment en restant assez froide et calme en apparence. Avant elle n’était pas comme ça, elle était la mignonne petite fille qui aime sourire, jouer timidement dans son coin avec ses deux grandes nattes qui lui allaient si bien quand elle l’a connu. Elle se rappelle de lui malgré les années passées et ils ont tous les deux biens changés.

« Merci bien… »

Un moment d’égarement et elle allait lui dire qu’il l’était aussi. Cependant elle fait semblant d’être totalement indifférente et insensible à ses sentiments en prenant son bras. Suivant les directives qu’on lui donnait, elle ne fait pas de vagues pour sa famille même si elle en veut toujours à ses parents pour ne pas avoir fait plus de recherches. Elle sort de ses pensées quand il lui parle de jouer et elle se demande pourquoi il veut savoir et pourquoi il s’intéresse à elle.

« Je ne sais pas, cela dépend de la suite des événements. Et vous ? »

Ses mots sont prononcés sans le moindre regard afin ne pas faiblir.

Anonymous
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Ce message a été posté Lun 10 Oct - 21:03
« Monsieur Seol. »… Ce fut une véritable douche froide pour un Junya qui certes, s’attendait à de la distance, mais pas à une formule aussi obséquieuse. Le jeune homme ne peut se retenir de déglutir en silence, s’efforçant néanmoins de garder un sourire doux. Fallait-il mettre cette distance imposée par Katarina sur le simple fait qu’ils ne s’étaient pas vu depuis longtemps, et qu’ils avaient chacun parcouru bien du chemin chacun de leur côté ? A y penser maintenant, Jun n’était pas mécontent de l’avoir perdue de vue pendant quelques années. Si la jeune femme avait su par quoi il était passé, il n’était pas certain qu’elle aurait accepté les fiançailles avec tant de fatalisme… Et même s’il voulait se montrer honnête et sincère, il n’avait clairement pas envie de lui déballer toutes les étapes par où il était passé lors de ses jeunes années… Et si c’était bien sûr par égard pour sa fiancée, c’était également parce que pour lui, cette période était révolue et enterrée, à six pieds sous terre.

Il hésita un instant. Devait-il lui préciser qu’il préfèrerait qu’elle l’appelle Junya ? Ou même mieux, Jun ? C’était tentant… Et s’il le faisait, c’était pour éventuellement dissiper les doutes sur le fait qu’elle devait se montrer polie avec lui parce que d’après tout, ils ne se connaissaient plus vraiment. Mais Jun avait comme pressentiment que le problème n’était pas celui-là. Katarina mettait clairement de la distance là où lui souhaitait qu’il n’y en ait pas. Il se passa donc de dire quoi que ce soit, attendant une occasion plus propice pour lui signifier la chose plus finement.

La jeune femme remercia fugacement pour le compliment, avant de saisir le bras tendu par Jun. Tous deux se mirent en marche pour la salle de réception, suivis de la famille Serizawa et de l’oncle du jeune homme. Constatant de la présence d’un piano, Jun s’enquit bien vite de l’intention de jouer de fiancée. La réponse, une fois encore, fut brève et sans un regard. Néanmoins, Katarina semblait au moins vouloir faire semblant de faire la conversation, car elle retourna la question à Jun. Ce dernier secoua la tête pour donner une réponse négative. « Je n’ai pas apporté mon instrument, malheureusement… Peut-être aura-t-on la chance de jouer ensemble une autre fois. J’espère, en tout cas ! » Il espérait vivement que cette dernière accroche attiserait un poil d’intérêt chez la jeune femme. Et puisque le sujet était lancé et que Jun avait besoin de se convaincre qu’il pouvait discuter de façon naturelle avec Katarina, il demanda ; « D’ailleurs, quel genre de répertoire aimes-tu le plus jouer, généralement ? »

Interpellés par un groupe de collègues de son oncle, Junya salua, non sans présenter sa fiancée à ses interlocuteurs. Passablement détendu par ces politesses échangées, le jeune homme était perplexe. Tenir ces mondanités l’ennuyait quelques peu, pour une fois qu’il avait l’occasion d’approcher un peu Katarina, mais se retrouver seul à devoir faire la conversation avec cette dernière le faisait doucement angoisser. De toute façon, il allait bien devoir se jeter à l’eau…

Riant doucement à une plaisanterie faite par un des hommes présent, il proposa ; « Et si nous allions nous mettre à table ? » L’invitation avait été faite à tout le monde, mais il se tourna vers Katarina pour lui demander son avis, lui adressant un sourire – qu’il réussit à faire taquin dans un élan de courage. « Mademoiselle Serizawa ? » Après tout, peut-être que la prendre à son propre jeu la ferait se montrer moins distante ? C’était bancal, mais peut-être un peu moins risqué que de lui demander de l’appeler par son prénom. A voir…

Anonymous
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Ce message a été posté Ven 21 Oct - 11:40
La jeune femme ne voulait pas se rapprocher de son fiancé donc elle se montre très formel et distante avec lui. Elle sait que lui veut être proche d’elle et qu’il fait de son mieux, mais le risque est trop grand de tomber amoureuse du neveu d’un homme qu’elle n’apprécie guère. Il faut qu’elle montre qu’elle ne sera sa femme que de nom et rien de plus malgré que sa sœur veuille qu’ils soient ensemble pour de vrai. Katarina voudrait lui faire plaisir si elle ne méprisait pas les hommes. De toute manière selon elle, il n’est pas amoureux et il la trouve juste physiquement à son goût donc ce n’est pas son style de se mettre avec un homme sans amour. Quand est-il de la jolie japonaise ? Elle vous dirait que non, qu’elle ne l’aime pas et qu’il est répugnant. Cependant c’est complètement faux, elle est bien trop fière et aveugle pour l’admettre qu’elle est irrésistiblement attirée voire amoureuse de ce charmant jeune homme. Le passé de ce dernier n’est pas des plus glorieux, sa vie n’a pas été aussi saine que celle de Katarina qui vivait auprès des religieuses qui lui inculquaient les valeurs et les principes moraux ainsi que leur foi en Dieu. L’une d’entre elles était sa marraine, Sœur Maria qui lui a donné la croix en argent qu’elle a autour du cou. Elle pense l’inviter à son mariage, mais elle se sent mal de savoir qu’elle va devoir lui faire croire que c’est un mariage d’amour alors que c’est plus un mariage arrangé et de convenance. Katarina se déteste elle-même pour avoir accepté cette demande, mais elle n’a pas vraiment le choix et elle ne veut pas être avec un homme de toute manière puisqu’elle veut préserver la pureté et la dignité qui lui restent. Néanmoins elle a un gros problème, c’est qu’elle voudrait être mère et un enfant ne peut pas se faire et avoir éducation tout seul. Certes elle est jeune, mais elle pense à l’avenir et sa fibre maternelle est assez importante. Sa sœur en fait les frais d’ailleurs, elle la couve comme une poule. Elle se dit qu’elle va devoir y renoncer et ça lui fait mal cœur, au moins il lui reste sa passion. A son bras la jeune femme est assez nerveuse et tremblante même si son visage semble confiant et fier. Elle ne reste pas moins une jeune fille de presque 20 ans. Son anniversaire est très bientôt et sa sœur jumelle veut qu’ils organisent une fête. Les fêtes ne sont pas une partie de plaisir pour elle. D’ailleurs elle a envie de fuir cette réception en courant, elle préfère quand c’est simple et conviviale. Les mondanités ne sont pas son dada même si elle y va souvent surtout quand elle est sur scène.

« Dommage, nous aurions pu faire un duo. Je pense que nous aurons tout le temps vu notre situation. A moins que vous comptiez fuir, je comprendrai très bien puisque les engagements ne sont pas le point fort des hommes. »

Ils allaient se marier donc ils ont toute la vie pour partager un moment comme celui-ci.

« Du rock et du classique principalement. Et vous ? »

Lorsque Junya la présente comme sa fiancée, elle se sent intimidée et toute gênée. Son visage devient rouge et elle se contente de faire une révérence pour les saluer. Les collègues semblent être amusés par l’adorable timidité dont fait preuve Katarina. La jeune femme n’est pas à son aise surtout entouré par des hommes, donc sans réfléchir elle se colle un peu plus à son fiancé comme un enfant se cache derrière sa mère. Quand il demande qu’ils aillent à table et se retourne vers elle, elle se contente de hocher la tête et de le suivre à leur table sans rien dire en tenant sa robe d’une main pour ne pas tomber et se ridiculiser en public. Une fois assise, elle dégage ses longs cheveux en arrière et met sa serviette sur ses genoux pour ne pas se salir.

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Ce message a été posté Ven 4 Nov - 18:49
Dommage. Elle avait dit dommage ! Est-ce que ça signifierait qu’elle soit vraiment déçue qu’ils n’aient pas l’occasion de jouer ensemble ?! Junya retient un sourire presque victorieux. C’était un peu bête, mais il était heureux d’entendre cette réponse de la part de sa fiancée. Katarina ajoute d’ailleurs qu’ils en auront probablement l’occasion par l’avenir. Le jeune homme acquiesce, tout en esquissant un sourire sincère. « J’espère, oui. On trouvera bien un moment pour jouer ensemble. »

Pourtant… C’est peut-être crier victoire un peu trop de vite de croire que la belle pianiste s’est un peu détendue. Et pour preuve, elle n’hésite pas à tacler avec froideur la gente masculine et sa fâcheuse tendance à fuir tout engagement. La remarque laisse un Jun pantois, qui arque les sourcils, un peu con sur le moment, à ne savoir que dire. Ça lui semblait un peu gratuit et sorti de nulle part, cette accusation… Mais pas désireux de froisser Rina en lui répliquant l’habituel refrain que non, les hommes n’étaient pas tous les mêmes, et que lui il était quelqu’un de bien et que tralali tralala, il se décide à prendre les choses plus à la légère. « Tu ne te déferas pas de moi comme ça ! J’aimerais vraiment qu’on puisse jouer ensemble. » Et avec un léger rire, il ajoute : « Reste à voir si ce n’est pas moi qui vais te faire fuir. » Petit clin d’œil complice, Jun tente de balayer le malaise instauré par la remarque de sa fiancée. Et puisque la question lui est retournée, il répond à son tour, brièvement : « Récemment, du rock essentiellement. »

Quelques paroles sont échangées avec d’autres convives. Katarina, visiblement un peu intimidée, se rapproche doucement de Jun, qui tente d’en faire fi pour faire bonne figure. Ces mondanités passées, le petit groupe s’en va se mettre à table, où quelques amuse-bouche occidentaux leur sont bientôt apportés, accompagnés d’une bouteille de vin dont Jun serait bien incapable de dire la provenance.

Katarina n’avait pas semblé relever la légère distance qu’avait mise Jun en l’appelant par son nom de famille. Mais le jeune homme était bien déterminé à continuer sur cette voie-là. Tout en se laissant servir un verre de vin par le serveur faisant le tour de table, le jeune homme se tourna vers sa fiancée, le visage dénué de tout sourire cette fois-ci. « Comment se déroulent vos études en musique, autrement ? »

Anonymous
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Ce message a été posté Sam 12 Nov - 17:29
Bien qu’elle n’ose pas l’avouer, elle le trouve très talentueux et qu’il a un véritable don pour la musique et le chant même si cela écorche la bouche de le dire. Katarina sait très bien qu’il a choisi les sciences politiques pour faire plaisir à son oncle, c’est admirable certes mais on n’a qu’une vie donc on devrait choisir ce que l’on aime le plus au monde et vivre de sa passion. C’est pourquoi Katarina a choisi de faire ses études dans les arts de la scène malgré qu’elle a du mal avec les cours de théâtre. La jeune femme se dit que s’ils ne font pas un duo ce soir, ils ont normalement toute la vie pour le faire.

« Nous devons nous supporter toute notre vie ensemble donc on aura le temps pour ce genre de choses. Vous ne croyais pas ? »

Enfin elle pense déjà que ce mariage sera voué à l’échec puisqu’il est un homme et les hommes sont infidèles, fourbes et manipulateurs. La belle brune n’aime pas les hommes voire les méprise et ils la dégoûtent. Elle n’est pas sortie de nulle part car cela fait référence à ce qu’elle a vécu. Loin de la petite fille naïve qui croyait au prince charmant quand ils se sont vus tous petits. Néanmoins au fond d’elle, il y a une partie qui voudrait que son fiancé l’aime et qu’il soit celui qui lui faut. Il a tout ce qui lui plait chez un homme, il est beau, viril, passionné de musique et il convient à sa famille puis il faut l’ignorer mais il est quand même assez gentil avec elle malgré sa froideur et sa réserve.

« Me défaire de vous ? Vous voulez rester avec moi pour toujours ? Qu’est-ce que vous me trouvez de si spécial ? »


Ce qu’il lui a dit la touche plus que cela devrait en temps normal. On dirait qu’il lui fait une déclaration d’amour plus ou moins. Comme quoi, même un playboy peut être romantique et passionné.

« Pensez-vous que je suis du genre à fuir mes responsabilités ? Ou bien vous comptez me faire peur ? Je sais qu’elle est mon devoir en tant que femme et en tant qu’enfant. Je ne vous abandonnerai jamais, telle une bonne future épouse. »

Mes joues deviennent rouges sans le savoir face à ce clin d’œil audacieux de Junya.

« Est-ce que je pourrai vous entendre jouer très bientôt ? »

La demoiselle respecte énormément les passionnées de musique même si cela doit être un homme ou un être méprisable. Tandis que les autres se font servir du vin, Katarina refuse poliment et demande de l’eau plate à la place. Elle ne consomme pas d’alcool et pratique la religion sans jamais la bafouer. L’église est un comme sa maison et son sanctuaire où règne la paix. Elle n’a jamais quitté sa croix en argent autour du cou.

« Mes études se portent à merveille. Merci de votre sollicitude. Et les vôtres, chez monsieur Seol ? Et le travail ? »





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