Pouvons-nous croire que l'amour ai une réelle importance dans le monde ? L'argent ne prend pas le dessus sur toute affaire, y compris la liaison de deux êtres ? Certain pense à croire que rien ne marche sans les petits billets verts. Mirai est l'une de ces personnes dont la définition de l'amour s'est perdue au vu des conditions de sa mise au monde. Issus d'un mariage né dans l'unique but de créer un lien de profit entre deux familles, il ne pouvait rien comprendre aux sentiments humain. Ses parents ont subit ce que l'on appelle communément un mariage arrangé. Sa très chère génitrice est née avec une petite cuillère en argent dans la bouche, au niveau où elle se trouve, nous pouvons même parler d'une cuillère d'or. Une famille de la noblesse suédoise, une famille de celle digne de fréquenter la cour du roi lui-même, c'est pour dire. Alors on aurait pu penser qu'elle pourrait, malgré le protocole et les autres conneries qui dirigent son monde, faire un mariage d'amour. Grosse erreur. La famille de son géniteur, ami de longue date et partenaire de commerce de la famille maternelle, ont fait irruption dans sa vie et tel une tornade, ont dévasté le peu d'espoir de sentiment amoureux possible. Tous aussi plein aux as, les uns que les autres, ils ont décidé d'unir leur progéniture dans le but de leur crée un avenir fructueux et plein de petites coupures. C'est ainsi que ses parents se sont retrouvé à reproduire le même pattern que leurs prédécesseurs et se mettre à procréer dans le même but : crée des alliances plus grandes.

L'histoire serait peut-être plus simple s'il avait été seul victime de cette tradition ridicule. Hélas, avant sa propre naissance, une demoiselle avait fait irruption dans la vie cadrée du riche couple. Une aînée qui a vécu comme une princesse pendant 4 ans de sa vie, avant de voir son petit monde bouleversé par l'arriver d'un héritier digne de ce nom. Wada Johan Mirai, premier fils, celui qui était parti pour devenir le futur héritier de l'empire paternel. On commença à prendre soin du garçon comme on s’occuperait d'un trésor, du moins, le père prenait soin de son successeur tandis que sa mère se préoccupait uniquement de sa fille. Bien vite, son père, trop pris par le travail, ne fut plus en mesure de s'occuper de l'éducation du garçon et il fut confié à une nourrice, une demoiselle française ayant fait ses classes dans l'une de ces écoles spécialisées. Il devait désormais faire, seul, face à ce qu'il considérera plus tard comme sa seconde mère. Comment voulez-vous qu'un garçon d'à peine 6 ans comprenne que sa mère se trouvais trop occuper par sa sœur pour prendre soin de lui ? Malgré l'attention qu'il essaye d'obtenir de sa mère, il bien vite prit la chose, pour un abandon complet de sa personne.

La nourrice engagée par ses parents était désormais son seul repère dans le vaste monde dans lequel il vivait. Elle pris plus soin de lui que ne le faisait sa propre mère. La française éduquait le garçon de la meilleur façon qu'il soit, lui inculquant ce qu'elle considérait êtres des valeurs morales essentielles. Son éducation aurait pus être parfaite si la femme qui l'avait mis au monde n'avais pas décider, momentanément, de s'occuper de son fils. Chaque fois qu'elle décidait de reprendre le flambeau de l'éducation de son rejeton, elle ne faisait que détruire tout les principes et les fondements, pour la création d'un homme bon, que la française s'était efforcé d'apprendre au garçon. Les efforts de la nourrice était vain, peut importe le nombre de fois où elle parvenait à faire de lui un être respectable en tout point, sa foutu génitrice venais tout balayer d'un revers de main. A force de persévérance, elle avait réussi son plan diabolique, mettre son propre fils sur la mauvaise voie, la voie pavé d'argent, celle où l'homme noble ne doit pas se mélanger à la plèbe. C'est à cause de cette vipère qui a sali son esprit, qu'il n'éprouve aucun respect envers ce qu'il appelle les petites-gens.  

Sans la présence d'un père pour contrôler ses faits et gestes, une génitrice trop désintéressée par son propre enfant pour intervenir dans son éducation et une nourrice qui a baissé les bras suite aux interventions destructrices de sa patronne, Mirai commença à sombre lentement dans l'adolescence. Période de malheur, qui apporte soit une sorte de bonheur, un caractère supportable et de grandes amitiés soit le malheur, une rébellion et de mauvaises relations. Le chemin que le garçon s'était vite tracé, la route droite et pavée n'était définitivement pas pour lui. Le chemin défoncé et torturé lui plaisait d'avantage. Les fils de bonne famille aux poches bourrées de petit billet, les bars élitistes, les soirées trop arrosées et le caractère un peu trop flambeur du garçon. La jolie petite roue du destin avait tourné en la défaveur de la raison et de la retenue. Sans même avoir le temps de sortir d'un bar, il entrait dans un autre, puis une boite de nuit bondé. Les filles, l’alcool parfois même la drogue, peut importer tant qu'il avait l'argent, tout pouvais être consommé à outrance. Il perdait des fortunes aux jeux d'argent en tous genre, ceux qu'on trouvait dans ces rues malfamées, qui mène parfois à plus qu'un simple délinquant. Heureusement pour lui, il n'a jamais eu la malchance de ne pas pouvoir payer les sommes importantes qu'il devait.

Imaginez-vous être à la tête d'une multinationale dont la valeur pourrait dépasser le PIB d'un pays.  Maintenant, imaginez que les agissements de votre fils aient des conséquences sur la réputation de votre empire. N'importe qui aurait tenter de supprimer la tare qu'il est. Mais Monsieur Wada tenta le tout pour le tout, il devait faire une proposition à son fils, une de celle qu'il ne pourrait refuser. S'il se calmait et accepter de se fiancer avec l'une de ses prétendantes, son père lui céderait, après sa majorité et son mariage, une des succursales pour qu'il puisse se lancer sur le marché, jusqu'au jour du décès de son paternel où il héritera de toute la firme. Proposition plutôt alléchante pour n'importe qui, sauf pour Mirai. Il ne se prononça pas, fit miroiter à son père l'espoir d'une trêve. Il accepta même de rencontrer plusieurs prétendantes. Quelle erreur. Elles étaient jolies, c'était sans conteste, toute de bonne famille avec des revenues plus que convenable. Mais tout ce que voulait le garçon était s'amuser encore, dévergondé ces filles maintenues en laisse par l'étiquette et la bienséance. Alors à défaut de parvenir à ses fins, il joua avec elles.

Il ne joua pas seulement avec elles, au final, il les traîna dans la boue, leur nom avec. Toutes ont eut de très mauvaises aventures en compagnie du garçon, des aventures qui eurent de nouvelles répercussions sur son propre nom. Qu'est-ce que ça pouvait foutre au monde les relations qu'il a, les mecs avec qui il pouvait bien coucher, les shoots qu'il se prend en boites. Si tout est question d'argent alors il pourrait de toute manière effacer ses mauvaises actions à coup de pot-de-vin. Et il avait raison. Certaines de ses prétendantes et leurs familles le menacer d'entamer des procès à son encontre, et son père effaça toute trace de ces maux avec quelques mallettes et autres menaces. Il était désormais temps pour lui de faire face à son paternel. Il était temps pour lui de ne plus traîner dans ses pattes, de s'éloigner quelque temps, faire son éducation. Ce n'est pas en traînant en boîtes qu'il apprendra comment diriger un empire, et ce n'est surtout pas en salissant le nom de sa famille qui apportera fortune à sa personne. Puisqu'il était temps, il se devait de prendre ses affaires, de prendre ses mauvaises habitudes et mauvaises actions, de les amener à plusieurs kilomètres de sa famille et peut-être enfin se reprendre en main pour devenir un homme digne de ce nom.

Il était temps de l'abandonner, physiquement cette fois. Il devait tirer un trait sur ce passé de débauche et de mauvaise action, il n'avait plus le choix. Encore un erreur et il risquait de tout perdre, sa famille, et surtout son héritage. Sa sœur récupererais l'empire familiale, cette simple idée lui donner des frissons. Cet simple idée le gonfla d'une résolution nouvelle. Il devait reprendre sa place dans la famille, se montrer digne d'être l'héritier, digne de suivre les pas de son père. Ou du moins, prétendre qu'il en était digne. Mettre de coté son être profond ne devait pas être si compliqué. Mentir...il devait mentir et jouer les fils exemplaire. Jusqu'à ce qu'on le fasse revenir à la maison. En attendant, Royal Private School, tient toi prête, Mirai arrive.

■ pseudo: Na.■ âge: Le 21 janvier, ça feras 6 mois tout pile que j'ai 22 ans. ■ presence connexion: 5/7 ■ presence rp :  3-4/7■ Personnage inventé ou scénario: personnage inventé. 

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<span class="botinsym">▲</span> <font color="#e98ab0">Christiant Yu </font> [u]»[/u] Wada J. Mirai