bullying in progess

feat. wu liang

SCHOOL UNIFORM ••• Le Junior se tenait seul au milieu du couloir en train de prendre les livres pour sa prochaine classe lorsqu’il se prend son casier après avoir été bousculé par Baozi qui le percute avec son épaule solide envoie le garçon collisionner durement avec la porte de son casier faisant tomber ses livres de cours sur le sol du couloir.   Baozi trônait au-dessus de lui un sourire narquois aux lèvres et bientôt le garçon frêle au regard reflétant la peur qu’il devait ressentir en voyant le capitaine de l’équipe de basketball et trois de ses coéquipiers qui se referment autour de lui. Ils étaient tous si grands rendant sa petite taille et stature encore plus notable dans l’enclos de basketteurs l’entourant. « Petite merde! il semble que tu as oublié de faire mes tâches après les cours hier. J’ai eu le prof sur le dos par ta faute. » chaque semaines différentes tâche sont donnés aux élèves et cette semaine Baozi était l’élu. Évidement il avait mieux à faire que sortir les poubelles de la classe. Il ne se rabaissera jamais à une telle pratique alors il avait "délégué" un autre étudiant pour le faire. Il persécute plutôt les boursiers de rps et les utilise comme ses valets personnels. « Tu avais mieux à faire? tu penses que ton temps est plus précieux que le mien peut-être? » Baozi utilise le ballon de basket entre ses mains pour le frapper en plein visage. Pas assez fort pour le faire tomber, mais assez pour faire mal, puis il rattrape la balle au rebond. Le junior à beau tenté d’expliquer qu’il avait un job après les cours et qu’il n’avait pas pu être en retard, ça ne lui attire aucune compassion sinon même plus de mépris pour avoir un job aussi dégradant. C’était une stupide erreur de croire que ce groupe de fils de riches auraient la moindre compassion pour les déboires financier de la classe inférieur. « Ce sont les taxes de nos parents qui paient ta scolarité tu sais? tu devrais être plus reconnaissant. Si tu as un peu de conscience tu devrais repayer un peu non? alors sortir les poubelles c’est trop dur? Tu n’as pas honte? » le capitaine accuse alors que ses potes de marre en arrière de lui. Ça ne prend ensuite qu’un signe de Baozi pour que l’un de ses potes obéissant à son commandement silencieux vienne vider une corbeille à déchet sur la tête du junior le recouvrant d’ordures en tous genre. « Look at that. Le boursier dans son élément. » se moque Baozi alors que les yeux de sa victime baignent de larmes. Il avait juste à faire ce que Baozi avait exigé de lui et il aurait évité cette humiliation. Quelques-uns des étudiants dans les couloirs spectateurs de la scène rigolaient et certain prenaient même des photos du garçon recouverts de déchet.

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MACFLY

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SCHOOL UNIFORM ••• La journée avait plutôt bien commencé, en venant en cours j’ai pu aider une personne âgée à traverser la route, cela pouvait sembler anodin pour les jeunes de nos jours, mais j’étais loin d’avoir la même mentalité que tous ses nombrilistes égoïstes qui passaient leur temps à vivre sans faire attention aux gens qui les entourent. S’il y avait bien une chose que j’adorais, c’était les sourires des gens et quand ils me remerciaient sincèrement je trouvais la sincérité dans leurs expressions vraiment magnifiques. Cela suffisait pour égayer ma bonne humeur. Sur le chemin je ne pouvais m’empêcher de m’arrêter pour prendre quelques photos ici et là, le temps était agréable et la saison nous laisse entrevoir les fleurs prêtes à s’épanouir pour colorer le paysage de leurs beautés et combler nos odorats par leur senteur agréable. Une fois satisfait, je pus continuer ma route pour arriver à l’université, le premier endroit où je me suis rendu fut dans la salle du club, je voulais mettre sur l’ordinateur les clichés de ce matin et revoir les belles choses qui m’ont donné la pêche, seulement l’agitation dans le couloir ne me permit pas de travailler tranquillement, obligé de regarder en direction de la porte jusqu’à ce qu’un élève du club annonce que le capitaine de l'équipe de basket faisait encore des siennes. J’avais un problème avec ce gars, alors que je ne lui ai jamais parlé, ses actions arrivant jusqu’à mes oreilles me donnait de l’urticaire -façon de parler-. Bien qu’on me demande de rester là, je n’ai pas pu m’empêcher de sortir de la salle de club pour suivre l’agitation devant les casiers.  Les paroles étaient violentes et je ne comprenais pas pourquoi personne ne réagissait en laissant ce garçon se faire martyriser par cette bande d’idiots. Voyant la corbeille se vider sur le jeune homme qui était en larmes, les mots du capitaine étaient en trop, le fait qu’il soit boursier voulait-il dire que c’était une merde ? Sans vraiment réfléchir, j’avais tendance à ne pas fermer ma gueule quand quelque chose m’agace et contrairement aux spectateurs présents trop occupés à rire et approuver la vision horrible qui se dérouler sous nos yeux, je n’étais pas du tout comme eux. « Tu trouves ça marrant ? » Regardant les autres étudiants. « Vous aussi ? » Je les fixais droit dans les yeux sans aucune gêne ou crainte quelconque. M’avançant jusqu’au joueur de basket pour le défier du regard. « Si tu as du temps à perdre pour faire une scène inutile et inintéressante pourquoi ne pas l’utiliser pour t’entrainer. Les capitaines sa montre l’exemple normalement. » Je tends la main au boursier sur le sol pour l’aider à se relever. « Là tu dénigres toute ton équipe abruti. » Je n’ai pas peur de parler franchement, à mes yeux ce n'était pas un mec populaire digne, mais plutôt pitoyable.

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SCHOOL UNIFORM ••• Les hyènes derrière Baozi rigolent au dépend du junior recouvert de déchets en tout genre qui venaient d’être versé sur lui. La scène avait attiré beaucoup d’étudiants. Les photos prisent sur les portables du Boursier recouvert du contenue de la poubelle avaient déjà atteint beaucoup d’étudiants qui commencent à se rassembler dans le couloir pour apercevoir l’interaction en live et les rires moqueurs s’élevaient de plus en plus. Au coin des lèvres de Baozi un rictus narquois apparait en voyant les larmes couler sur les joues de sa victime. Il s’apprêtait à tourner les talons, clairement le boursier allait retenir la leçon et ne risquait plus de prioriser son job à la tâche que Baozi lui avait délégué, seulement à sa plus grande surprise, l’un des étudiants qui avait été spectateur apparait au milieu du cercle, signant son arrêt de mort du même coup, en osant défier Baozi devant ses potes et les personnes spectatrice de cette tournure d’évènement inattendue. Qui était cette petite merde osant lui adresser les paroles avec autant d’audace!? Saleté de petit insecte, Baozi se fera un plaisir de l’écraser et lui faire regretter d’être apparu sur son radar. « Regardez-moi ça. T’es venu à la rescousse de ton petit copain tête de panda? » le garçon avait tendu sa main à la victime des Basketteurs en pleurs au sol l’aidant à se relever. Geste inutile comme Baozi, qui continue d’être l’enfoiré qu’il est, vient le repousser sur le sol durement en poussant de son pied ur son épaule et le faisant retomber aussitôt. «  Tu veux aider ton amoureux? Alors pourquoi est-ce que tu ne prends pas ton temps à toi pour l’aider à faire ses corvées cette semaine qu’ils ne les oublient pas à nouveau. Huh? T’as envie de prendre sa place peut-être? » il moque le garçon à la tête de panda jouant les justiciers de couloir. Il aurait mieux fait de baisser la tête et se mêler de ses affaires.

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SCHOOL UNIFORM ••• Si les gens s’amusent d’une scène aussi lamentable je doute avoir le même humour que ces gens, pour ma part je pense que la mentalité de toutes les personnes présentes est très peu développée et celle de ce capitaine encore plus basse que les autres pour prendre plaisir à humilier un gars seul et démuni avec autant de fierté. Je le trouve lamentable et pitoyable, pas de quoi rendre service à son équipe ni à l’école, bien au contraire. Les gens en groupe sont toujours entrain de faire les malins et de s’en prendre au plus faible, mais devant plus fort qu’eux ils fuient la queue entre les jambes, c’est vraiment n’importe quoi. Je me fiche de m’attirer les foudres des étudiants, je n’y pense pas vraiment en intervenant, honnêtement je ne peux pas m’empêcher d’agir selon mes causes et celle que je vois face à moi est l’opposé de mes pensées et de mes valeurs. Petit copain ? Je rirais presque devant cette remarque, mais j’aime bien son insulte donc je hausse les épaules sans grande admiration devant ses paroles enfantines et dénuées de sens. Aidant le boursier à ce relevé, l’autre gars le refait tomber intentionnellement et je soupire devant autant de lâcheté. « Tu trouves ça drôle ? Haha, j’en pleure de rire. » Me moquais-je sans crainte, me fichant bien de son statut ou de son influence. « Va faire joujou avec la balle plutôt. » Je vous jure, ce genre de jeune est le plus agaçant. « Tu as deux bras, deux jambes, deux mains. Débrouilles-toi comme un grand, ça me parait mieux comme idée non ? » Mâcher mes mots n’est pas dans mes habitudes, s’il pense que je vais courber la tête et dire oui à ses paroles il se trompe. « On dirait que tu as quelques larbins avec toi, si t’es tellement incapable de t’en occuper, utilise-les. » Visant les gens derrière lui, si certain lui baise les pieds, ce n’est pas mon cas.

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SCHOOL UNIFORM ••• On pouvait bien condamné Bazoi d’être un tyran immature et lamentable, mais autour du groupe de sportif les témoins ne faisaient que rire et s’amuser de la scène. Les étudiants documentaient même l’humiliation de la victimes en le prenant en photo avec leur téléphones cellulaires et partageant avec leurs amis ou partageant sur les réseaux sociaux l’image du garçon en pleurs et recouvert de déchets. Le cliché avait déjà probablement fait le tour de la Royal et la cour de Bazoi se faisait plus grande. Un seul étudiant eu le courage de venir s’interposer entre le tyran et sa victime et bien que le geste fût très courageux et chevaleresque. C’était aussi ultimement très stupide. Le boursier et sa bravoure allait lui couté cher. Il voulait être honorable et venir en aide au garçon et pour ça il venait de signer sa descente aux enfers aux mains de l’un des kingas les plus dangereux de la Royal. Baozi est tout sauf une mère Thérèsa. Il n’allait certainement pas oublier le garçon à tête de panda qui venait d’oser s’interposer dans sa petite démonstration d’autorité. Wu liang venait de signer le début de sa fin à la Royal et son bourreau se tenait devant lui dans toute sa hauteur. Il regrettera bientôt de s’être interposer entre son petit copain boursier et Baozi qui vient repousser le garçon au son de sa semelle. « Hilarant même. » sourit fièrement le capitaine. Au fil des paroles du garçon apparemment suicidaire, les ‘‘larbins’’ derrière le capitaine de l’équipe de basket semblent ne pas du tout apprécier d’être ainsi caractérisé et Baozi pouvait facilement sentir leurs irritation et envie de lui foutre leur point sur sa gueule de panda. Les poings se serrant derrière lui et mouvements se faisant évident même du coin de l’œil. Heureusement pour le chinois suicidaire, Baozi les stops d’un simple. «  il est à moi. » et de ses simples paroles, Baozi s’était approprier le monopole sur le panda boy et sa misère futur. «  Tu veux être son preux chevalier, sauver ton amoureux? Alors occupes toi de ses tâches cette semaines. Si tu ne le fais pas ce sera lui qui payera. La prochaine fois je ne serais pas aussi indulgent qu’aujourd’hui alors pense s’y bien. À moins tu veux que je le tabasse tous les jours… han? Dis-moi. » rigole Baozi. C’est simple, chaque jour ou la fierté du panda boy le stoppera de faire les tâches originellement attribué à Baozi, le garçon pleurnichant au sol se fera tabasser par lui et ses larbins plus violemment chaque jour. Simple non? « son sort est entre tes main panda boy. »  

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SCHOOL UNIFORM ••• Je me fiche bien que les étudiants ricanent ou me voit comme un imbécile parce que j’ose tenir tête à cet abruti. J’ai des principes, je suis né dans une famille qui protège son prochain et non lui inflige ce que ces idiots sont en train de faire à cet élève sans aucune raison valable. L’avantage c’est que je ne suis pas influençable, je n’écoute que moi et mes propres pensées, celles des autres me sont futiles et le danger ne m’effraie pas, si je dois me mettre à dit une bande d’idiots sportifs parce que j’agis de la meilleure façon, alors tant pis, je serais fier de moi et non honte d’avoir observé sans lever le petit doigt, comme la majorité des pantins présents. Il trouve ça marrant et ça me désole pour lui, haussant les épaules tellement c’est enfant, puéril et loin de montrer une once de maturité. Ces petits copains sont pire que n’importe lequel de ses victimes, ils jouent les fidèles par simple avidité, ça leur apporte une place, et une sécurité, ce sont juste des froussards qui suivent le mouvement pour ne pas se retrouver seul et je trouve ça lâche et insultant, ils en oublient de pensée par eux-mêmes... Je suis triste pour eux. Il ignore surement que je suis champion d’arts martiaux en voulant m’attaquer, même si je ne suis pas du genre à utiliser mes connaissances hors compétition, mais ça personne n’est censée le savoir à part moi et mes idéaux. Ce capitaine me fait rire, il s’approprie ma personne sans me demander mon avis, soit, s’il pense que j’ai peur de ses menaces il se trompe. « T’es lourd. Tu veux pas changer de disque ? » Oui ça ne me touche pas. « Puis tu parles trop, j’ai lâché en plein milieu, faut avoir des discours accrocheurs si tu veux qu’on t’écoute... Capitaine. » Me moquais-je en abordant un sourire fier. « Si tu veux bien m’excuser, contrairement à certain j’ai un club à m’occuper. » Je n'ai pas envie de perdre mon temps avec cet idiot, emmenant avec moi le boursier, il devrait lâcher l’affaire et retourner s’entrainer, parce que de mon côté j’en ai terminé avec lui.

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MACFLY

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SCHOOL UNIFORM •••  Depuis que Baozi est devenu le capitaine de l’équipe de basket et même un peu plus avant il régnait en tyran avec ses coéquipiers pour le plus grand amusement des étudiants de la royal. Comme ceux qui les entourent présentement, ceux qui rigolait en les voyant martyriser le boursier et le recouvrir des leurs déchets. Ceux qui rigolais comme des hyènes et prenaient des photos qui ont probablement déjà fait le tour de l’école. Certes Wu Liang n’était pas le premier à vouloir s’interposer, la plupart sont seulement trop lâche ou peureux pour le faire. Ça prend tout qu’un courage pour s’interposer. Même si le sens de la justice bouille dans un cœur il faut beaucoup de courage pour agir. L’intervention du panda boy était certainement un facteur inattendu. Ça l’a agacé oui qu’on défie son autorité devant les autres étudiant, mais vue comment ça s’était abouti, le tyran n’était pas non plus mécontent. Il venait de se dégoter une victime toute fraîche et vachement plus intéressante que les autres boursiers auxquels il s’en prend habituellement. « oh tu aurais dû écouter plus attentivement panda boy, il n’y a pas que toi de concerné ici. » souffle Baozi amusé plus que contraire vraiment à ce point. Ce garçon était incroyablement stupide. Alors qu’il tourne le dos ce serait facile de l’attraper par le collet, le jeter au sol et lui donné la raclé qu’il mérite pour avoir interféré dans la punition du kigna et ses supporters, mais il le laisse repartir avec le garçon déchet un sourire en coin aux lèvres n’annonçant rien de bon. Ses laquais l’interrogent du regard mais il leur dit simplement de retourner dans le gymnase pour l’entrainement. Le panda boy avait eu le choix de continuer sa chevalerie en sauvant le boursier des tâches. Baozi lui avait donné la conséquence qui pendraient sur la tête de sa précédente et future victime s’il ne prenait pas les tâche en charge.  Visiblement le panda boy voulait recevoir sa leçon et bien rapidement il l’obtiendrait. Il pensait que ce que lui avait promis le basketteur étaient des paroles en l’aires? Rapidement il réalisera oh comment elles ne le sont pas. oh comment confronté le kinga du terrain de basket allait lui coûter. On ne joue pas avec le feu si on ne veut pas s’y brûler. Bientôt Wu Liang allait être consumer par les flammes. Il allait le regretter d’avoir croiser le fer avec Zhuo Baozi et le payer très cher.

FIN

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MACFLY