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 You, Poor fool. Love ain't simple

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Anonymous
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Ce message a été posté Dim 17 Sep - 22:56

You, poor fool. Love ain't simple.
Avec Yeon i

Tout avait été si vite. Un instant tu le regardais de loin en te prenant le poteau non loin. Un autre instant tu dansais avec lui, comme si le destin s'était mêlé à tout ça et t'avait laissé ta chance. Et maintenant tu étais embrassé par ses lèvres que tu avais tant regardé. Tu avais le droit à ce sourire tendre et à ses gestes qui faisaient battre ton coeur. Dans l'eau il s'était passé tellement de chose que tu penses établir ton temple ici. Tu édifieras dessus "ici où Eun Mi a eu de la chance". Ou alors tout n'est qu'illusion. Tu crois tout ce qu'on te dit et ses gestes te font fondre avant même que tu ne saches qui il est réellement. Parce que toutes ces paroles ont un but, comme les gestes. Mais tu ne vois pas la finalité, tu crois naïvement qu'ils sont là pour te faire plaisir, pour montrer qu'il tient à toi. Eun Mi, comment quelqu'un pourrait tenir à toi?

Ce manque de confiance se dissipe quand il te parle. Il te parle de dessin animé et tu ris parce que tu ressembles à une enfant mais tu aimes autre chose. Tu lui dis que c'est possible ou alors que tu aimes de tout, sauf des films d'horreur. Que tu ne pourras pas dormir sinon après. Alors tu le laisseras choisir, continuant d'avoir ce sourire trop heureux sur ton visage.

Ses mots sont doux comme son sourire, tu crois rêver à chaque fois que tu te retrouves dans ses bras. Et ce n'était que le début de la journée. Qu'un début mouvementé dans l'eau. Ce n'est qu'en étant seule aux vestiaires que tu laisses éclater ta joie. Tu sautilles tu te sens comme... trop heureuse pour tout libérer. T'essaies de ne pas crier tes mains sur la bouche alors que tu crèves de bonheur. Lorsque tu sors, tel un prince il met sa veste sur tes épaules et ton premier réflexe et de lui demander pourquoi avec ton regard. Réponse qui ne peut que te faire rougir.

Tu tombes, tu t'enfonces, tu rêves et ça te mèneras à ta pertes. Tu vacilles pour lui quand il se joue de toi. Tu lui donnes ce qu'il veut, il prend tout sans rien te laisser. Quand viendra la vérité, que te restera t il? Tu le suis regardant vos mains entrelacées avec ce sourire prêt à exploser. Puis tu pinces tes lèvres pour te contenir et une fois devant ta porte tu le regardes en hochant la tête. Tu lui rends sa veste. T'es trop attentionnée. Il est joueur il veut juste jouer. Et pourtant tu tombes dedans comme si t'étais perdue. Parce que tu l'es son regard, son sourire. Il te perd. A son baiser tu souris un peu avant de rentrer dans ta chambre et de sauter partout crier et te comporter comme une vraie gamine. Ton premier copain. la première personne qui t'aime; La première personne que tu embrasses. La première qui te remarque.. Tu sembles crever de joie et te dépêche donc de te préparer.

Sur ton lit, les tenues s'accumule et tu ne sais laquelle mettre. L'angoisse te vient et tu mords ta lèvre en serrant tes cheveux d'une main. La douche ne t'a pas calmé au contraire. Tu cours partout avant de trouver quelque chose. La.. C'était pas grand chose, mais tu ne savais pas comment prendre cette soirée. Alors tu la joues soft. Une fois prête tu cours presque, en triturant tes doigts, pour rejoindre Yeon dans sa chambre.

Arrivée devant la porte tu soupires un bon coup et toque avant de mettre une de tes mèches de cheveux derrière ton oreille, tout en mordant ta lèvre.


" Annyeong.  "


© HELLOPAINFUL



Anonymous
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Ce message a été posté Jeu 5 Oct - 19:05

   


You, Poor fool. Love ain't simple.
Laisse moi te décevoir.

Rapide et efficace, comme toujours tout avec toi est rapide, court et bien souvent dévastateur. Les coups de foudre avec toi, ils n'effleurent pas, ils frappent. En plein dans le mile et ravage tout sur son passage. Parfois, il y a du challenge, parfois non. Actuellement Eun-Mi, elle t'a mangé dans la main, elle a avalé chacun de tes mots, chacune de tes phrases. La facilité à l'état brut. Cela dit et contre toute attente, la naïve est plutôt intéressante, parfois, quelques courts instants. Elle est sûrement le genre idéal pour beaucoup, mais tu t'obstines à refuser de le voir, tu refuses de participer à ces moments de tendresse humaine. Toi, tu joues, tu profites, tu utilises, puis tu jettes. Seulement, tu ne fais rien de manière à être en cause... 《 pourquoi tu en regardes d'autres ? 》 tout est toujours de leurs fautes. Bien sûr, il est évident que pour elle, ce jeu n'aura pas de fin heureuse.

Une fin heureuse, qui a inventé ces mensonges à deux balles ? Ça n'existe pas ou pas la fin heureuse à deux. Rien que les deux mots ensemble ne conviennent pas. Qui est heureux de la fin ? Ils finirent par mourir, séparément. Laissant leurs enfants au tapis. Comme les humains sont cons et tu en fais partie. Triste constatation que celle-là. Elle rit lorsque tu parles de dessin animé, elle semble contester et préféré autre chose. Tu la scrutes du regard, au fond, tu le prends mal, un peu, beaucoup passionnément, à la folie, complètement. 

- Ne te moque pas de moi.

Un peu plus froid, distant, c'est le seul défaut que tu lui laisses le droit d'observer. Le seul très de caractère vrai, fidèle à toi. Alors tu regardes ailleurs l'air faussement gêné, tu oses contester librement. Elle comprendra d'elle-même que tu es un garçon très susceptible.

L'épisode de la piscine se termine, tu es encore dans ta chambre, lorsque la demoiselle frappe à ta porte. Tu lui ouvres la porte en finissant de t'habiller, les clefs de ta chambre entre les lèvres. Tu as beau être incroyablement pénible et également pas spécialement gentil il t'arrive, très rarement d'être naturellement drôle et maladroit. Alors que l'une de tes mains enfonce ta chaussure et l'autre ouvre ta porte, tes clefs tombe d'entre tes dents et tu t'abaisses pour les récupérer... Tu te penche un peu trop, ton équilibre n'est pas bon et tu te prend la porte et la referme sur elle en tombant. Merde.

Le cul au sol, tu es convaincues que si dieux existe c'est lui qui te foudroies pour toute ces pauvres femmes que tu mènes en bateaux. La porte se rouvre doucement, tu poses ta main sur ton front, tu râles intérieurement.

- Putain...
© Frimelda, sur une proposition de © Blork

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Ce message a été posté Dim 8 Oct - 21:49

   


You, Poor fool. Love ain't simple.
Laisse moi te décevoir.

Pouvait on t'en vouloir ? De croire encore aux histoires dites par ces adultes qui sont bien différents de l'esprit enfantin dans laquelle tu grandis peu à peu. Peut on t'en vouloir de refuser la méchanceté du monde et de la subir sans jamais faillir? Sans jamais vouloir être ce mur devant lequel tout le monde semble se heurter. La communication, les envies, l'amour des gens semblent avoir changé, disparu. C'est comme si la peur avait envahi tout ce monde dans lequel tu t'épanouissais. La preuve. Après tes longues d'années de patience le destin t'avait fait un joli cadeau. Un cadeau que tu n'attendais pas. Un cadeau que tu n'espérais plus. Finalement dans ta vie solitaire venait de faire l’émergence d'une rencontre peu commune, peu hasardeuse. Si le destin t'avait été conté tu ne l'aurais pas cru. Mais c'était ça la beauté de la vie, c'était ce que tu aimais, c'était ce pourquoi tu souriais. Comme une récompense que tu avais toujours attendu tu souriais. Parce qu'enfin, ta gentillesse était remboursée. Enfin tu souriais à ton tour de bonheur. Parce qu'il te rendait ça bien. Il te le rendait au centuple ce que tu donnais par pure envie. Pour une fois tu te sentais désirée, non plus envieuse des autres mais heureuse de ta situation.

Si tout ceci était un rêve alors tu ne voulais pas être réveillée. Pas encore. Tu voulais passer tranquillement ces jours avec lui avant de te réveiller lorsque tout irait mal. Te réveiller en te disant que tu avais été heureuse l'espace d'un moment. Te réveiller en te demandant si les songes et la réalité n'était pas un tout ? Un tout qui se complétait. Un tout qui finissait de toute façon par nous faire passer par toutes les émotions. Alors que tu souriais aux mots du plus grand tu ne cessais de voir cette carte. Cette carte du rêves. Tu ne cesses de te demander quand est ce que tu te réveilleras. Quand est ce que ta vie retourneras à la normale, dans ton coin. Et puis tu arrives à te dire que tu peux profiter, qu'entre ses bras et ses attentions tu peux te perdre, l'espace d'un instant. tu l'as mérité Eun Mi, reposes toi. Ta tête ne cesse de te faire sourire, car elle t'indique ce que veut ton coeur, et par conséquent, s'installe en toi une sorte de paix et de bonheur que tu n'arrives pas à cacher, même pas devant l'air boudeur et susceptible de ton crush.

Mais tout ça est derrière toi. Tu t'es excusée, tu t'es préparée, tu as même ton coeur qui bat fort tant tu te sens stressée pour un simple film. Ce n'était pas comme si c'était la toute première fois que vous vous voyez mais tu n'arrives pas à croire que quelques heures plus tôt ton crush, celui qui te faisait te prendre des poteaux, t'avais embrassé puis proposé de regarder un film. Tu te sentais extrêmement bien et la porte qui s'ouvrit ne fit qu'agrandir ton sourire qui laissa place à un coeur battant la chamade. Mais tu ne t'attendais pas à un tel spectacle lorsque la porte s'ouvrit. Surprise tu voulus lui proposer ton aide pour tenir ses clefs avant qu'il ne finisse par tomber et la porte se referma devant ton nez. Ouvrant grand les yeux presque choquée tu eus très envie de rigoler par la suite. Mais en le voyant sur les fesses tu te rapprochas de lui t'accroupissant avant de poser ta main froide sur son front endolori du coup.

- Ca va ?

Tes yeux regardent déjà si il n'a ni bosse, ni rien d'autre plus grave. Mais finalement rien de grave, plus de peur que de mal, et surtout une scène à mourir de rire. Doucement tu ris et te caches quelques peu en mordant fortement ta lèvre avant de l'aider à se relever, prenant ses mains et mettant toute ta petite force à le relever.

- Je te fais tant d'effet ?

Riant doucement tu prouvais aux autres, et surtout à ce beau jeune homme que tu pouvais rigoler toi aussi. même si tu ne pensais pas vraiment ce que tu venais de dire, c'était une manière de briser la glace, de passer ce moment certainement gênant pour le brun.

- alors ce film ?


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Ce message a été posté Ven 13 Oct - 17:54

   


You, Poor fool. Love ain't simple.
Laisse moi te décevoir.

《  Ca va ? 》 Ton sourcil s'arque sans que tu ne le veuilles vraiment, non ça ne va pas, vraiment pas du tout. Tu as mal, tu es vexé et ta fierté et touché à son apogée. Tu regardes ailleurs, sur le côté, elle commence à te taper un peu sur les nerfs de rire de toi, tu n'en as pas l'habitude que les gens ose réellement agir comme ça avec toi.

- Non, ça ne va pas. J'ai mal au front et au à mon cul, puis à mes lèvres.

Un sourire narquois née sur tes lèvres, tu sais pertinemment ce que tu cherches à faire, tu poses lentement ton doigts sur tes lèvres en la regardent.

- Je suis sur qu'un bisous les guériras.

Lentement elle t'aide à te relever, mais ce n'est pas ce que tu veux, ce n'est pas ton objectif premier, tu veux lui voler un baiser, lui voler, son cœur, lui voler tout espoir de se sortir de ton emprise. La rendre folle, puis la libérer, la lâcher dans une chute infini.  《 Je te fais tant d'effet ? 》 Un sourire sur tes lèvres, sous ton doigt. Bien sur que tu qu'elle te fais de l'effet, mais bien moins que tu lui en fait. C'est clair, non ? En tout cas sa remarques semble bien la faire rire, elle est d'ailleurs la seule que ça fasse rire, tu la tires contre toi.

- Bien sur que oui.

La déstabilisé, lui faire perdre le nord, la rendre accroc, tu seras sa drogue et tu finiras par disparaître. C'est ainsi la vie.  《 Alors ce film ? 》 Tu hoches la tête, puis tu effleures le bas de son dos du bout des doigts.

- Oui, mais je ne suis pas sur de me concentrer.
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Ce message a été posté Lun 16 Oct - 0:09

   


You, Poor fool. Love ain't simple.
Laisse moi te décevoir.

Ta question est purement rhétorique, tu connais la réponse mais c'était plus fort que toi. Comme tout ces imbéciles qui demandaient à quelqu'un de très mal comment il allait, si ça allait. C'était idiot et pourtant purement culturel, peut être une once de gentillesse, et beaucoup de mots qu'on ne trouvait pas. Toi tu étais à presque rire de cette situation car tu découvrais qu'il n'était pas si parfait, qu'il pouvait aussi faire des erreurs. Et tu aimais ça ça te mettais plus à l'aise, comme si ta maladresse était également normale. Mais dans cette ambiance un peu tendue il semblait réellement mal le prendre et mal le vivre. Tu penches doucement ta tête en le regardant.

- Han... tes lèvres ? Tu te les ais mordu en tombant?

Ce n'était pas si logique, pour quelqu'un qui n'avait jamais attiré. Pour quelqu'un qui n'avait jamais été embrassé. Tu regardais alors ses lèvres en t'approchant avant de voir son sourire et son doigt les désigner avec une sorte de fierté. Ton regard détailla alors un moment ces deux lèvres rosées parfaitement proportionnées, qui avaient déjà touché les tiennes. Le rouge de tes joues revint en t'en souvenant. Sa phrase ne t'aide pas à t'en remettre alors que tu le relèves comme tu peux avec ta petite force et surtout sa volonté. Soyons clair, tu serais incapable de le porter, ni même de le soutenir, ou alors tu t'écroulerais juste après. Alors que tes yeux ne cessent de regarder ces lèvres narquoises qui t'appellent sous un doigt provocateur ton corps est tiré contre le sien. Ton regard s'enfonce dans le tien, tu craques. Encore et encore comme si cette journée avait été rêvée et que rien de mal ne pouvait se passer.
Tes grands yeux sont sur lui, cette expression de surprise, de gêne et d'une tendresse naissante se mélangent et te rendent vulnérable.

- Tu dis surtout des âneries plus grosse que toi.

Tu ris un peu avant de lui sourire de toutes tes dents. Ton sourire angélique parfait, innocent. Si fragile, si naturel qu'il pouvait se briser avec une force tellement minime qu'il fallait quelqu'un pour le protéger. Tu pensais l'avoir trouver. Tu te mets sur la pointe des pieds avant d'embrasser ses lèvres avec tendresse et sourire en revenant sur tes pieds bien à plat.

- Bien sûr que tu y arriveras.

Avec un sourire tu essaies de paraître le plus naturelle alors que son geste t'as fait frissonner plus que de raison. Tu regardes alors sa chambre et vais vers ce qu'il semble être des DVD. Tu regardes le tout avant de lui en montrer plusieurs.

- tu as une envie particulière?

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Ce message a été posté Dim 22 Oct - 19:59

   


You, Poor fool. Love ain't simple.
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Tu dois forcément rêver, une personne si naïve ne doit pas exister. Elle remarque cependant le malaise, la vitesse à laquelle tu te vexes, elle te demande si tu t'es mordu la lèvre en tombant, elle ne semble pas avoir compris ce que tu désires. Pourtant, cela te semble bien clair à toi, c'est elle que tu désires, c'est elle que tu veux. Lorsque qu'elle explique que tu dis des âneries plus grosse que toi-même, tu souris. C'est bien la seule vérité.

- Moi des âneries ? Jamais.

Tu lui pinces la joue en faisant semblant d'être vexé, puis mademoiselle vient embrasser tes lèvres, tu la serres contre toi, puis lentement, tu te relèves pour passer tes mains sur ces joues, embrasser son front, son nez, ses lèvres. Puis tu la lâches, tu la libères de ton emprise toxique, de cette partie de toi qui est meurtrière.

- Je vais nous mettre un truc.

Tu choisis le derniers pirates des Caraïbes, parce que tu n'as pas d'autre idée et que de toute façon, ce sera très bien comme ça. Tu ne comptes pas vraiment regarder le film. Tu éteins les lumières, tu ramènes des bonbons et de l'eau sur la table basse, puis tu te glisses derrière Eun-mi et l'entour de tes bras.

- Bon film...


Un murmure, des mots chuchotés contre sa nuque suivis d'un baiser sur sa peau et tes mains se rejoignent sur son ventre pour la resserrer contre toi. Tu poses ton menton sur son épaule, tu colles ton corps au siens. Un sourire naquit sur tes lèvres, actuellement, tu as exactement tout ce dont tu as besoin pour la faire tomber un peu plus.

- Tu sens bon.


Le film commence, tu gardes ton menton appuyé sur son épaule, tes bras autour de son corps et tes jambes contre les siennes.

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Ce message a été posté Jeu 26 Oct - 12:26

   


You, Poor fool. Love ain't simple.
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La naïveté contre cette manipulation constante. Un beau parleur qui pourrait sûrement voir d'autre filles pendant que tu pensais à lui, pendant que tes journées s'éclairaient et semblaient bien plus ensoleillées, même en cet hiver naissant. Alors tu ne pensais pas à tout ça, parce que tu aimais beaucoup trop les gens, tu aimais l'amour en soi, et tes yeux refusaient de s'ouvrir, ta raison refusait de douter. Riant doucement en te laissant aller tu lui dis clairement qu'il ne fait dire que des âneries et toi ça te fait rire. Son côté susceptible a un côté attendrissant et tu espères ne pas l'avoir trop taquiné. Mais il le prend bien tu peux voir son sourire, et ton coeur bat encore plus fort.

- Hm hm

Ton sourire n'est pas parti, mais tes joues sont en feu et ton coeur bat bien trop vite. Qu'as tu osé faire ? Tu mords quelque peu ta lèvre avant qu'elle ne soit de nouveau solliciter. Tu souris doucement à ses baisers, tu te laisses porter. L'étreinte est douce et chaleureuse, tu ne sais pas qu'elle est empoisonnée et qu'elle s'infiltre doucement en toi pour te faire tomber plus tard. Lentement tes bras passent autour de lui avant de le laisser partir et choisir le film. Ton sourire est doux parce que le bonheur est grand, mais tendre. Tu ressens toute cette tendresse qui te manquait depuis si longtemps. Décidant donc de bouger tu vas directement t'installer pour voir ce qu'il a mit et tape doucement dans tes mains lorsqu'il lance le film.

-" Ohhhh bon choix !!! Parfait parfait ! "

Tu ris un peu avant de ramener ton gilet sur ton ventre comme pour t'en entourer. Cette prédominance de blanc te va bien. Seul ton short est bleu jean. Mais tu te sens comme dans un cocon surtout quand tu sens lentement son corps se coller au tien. Ton dos s'appuie lentement contre son torse. Comme une protection ses bras passent autour de toi, tes yeux ne savent alors plus où regarder, ton sourire est gêné.

- "Ah... merci toi aussi "

Même tes paroles sont hésitantes. Sa voix étaient tellement basse qu'elle t'a fait frisonner, ses lèvres prenant rapidement le relais. Tu te tend un peu avant de sentir ses mains sur ton ventre et de venir poser tes mains sur les siennes. Lentement, comme une enfant qui prendrait lentement confiance en soi tu te détends et tes yeux se posent sur le film. Presque tout aussi lentement une de tes mains vient caresser ses cheveux au dessus de ton épaule. Tu souris et tu retournes prendre sa main.

-" Merci .. t'es confortable. "

Même si tes rougeurs étaient visibles tu riais doucement essayant de dissimuler la gêne en toi. Regarder le film, ne plus te concentrer sur ces choses déroutantes, toutes ces questions qui se bousculent dans ta tête. Puis ta tête s'appuie quelque peu sur la sienne, le film continue et cette proximité est devenue presque vitale. Passant d'agréable à nécessaire, tu viens de perdre. Tu viens de signer ton arrêt de mort. Notamment avec cette douce caresse que tu ne cesses de produire contre sa main.

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Ce message a été posté Dim 29 Oct - 22:18

   


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Elle semble aimer le film, toi aussi tu aimes ce film, mais tu as tout à fais autre chose en tête. Elle exprime la gêne, celle de la proximité que tu as crée. Son corps est parcourus de frisson lorsque tu chuchote contre sa nuque. C'est bien entendu complètement volontaire. Un sourire ce dessine sur tes lèvres, un sourire qui en dit long sur ton humeur coquine.

Elle glisse sa main dans tes cheveux, tu appuis ta tête contre sa main, tu embrasses son bras. « Tu es confortable. » Avec ces mots, ces gestes, elle signe son arrêt de mort, effectivement. Tu glisses ta main sur ces yeux, tu caresses son ventre lentement.

- Je suis un peu jaloux de la télévision.

De jolie mots pour attirer son attention, de jolie mot que tu pourrais crier juste pour te faire remarquer. Tu la fais basculer sur le côté. Elle tombe la tête sur l'oreiller, ces jambes contre toi, tu souris, puis tu te rapproche, tu surpasses son corps. Tu embrasses ces lèvres, puis sans te décoller tu lui murmure.

- Je suis un peu moins jaloux.

Tu souris, tu joues, tu poses ton visage sous sa poitrine et ferme tes yeux.

- Je préfère cette position là. Je préfère que tu me regardes moi que ces acteurs Européen.

Même si à ton humble avis, ils ne t'arrive tout de même pas à la cheville niveaux acteur.

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Ce message a été posté Sam 4 Nov - 11:11

   


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Le film passe, les sons se mélange, chaque scène se reflète dans tes yeux alors que la lumière ne cesse de changer d'intensité. Mais bizarrement ton esprit n'est pas sur les pirates qui jouent sur petit écran mais bien sur la voix de celui qui est contre toi. Son corps, sa chaleur tout ça te perturbe. C'est frisant et à la fois enivrant. Cette proximité tu ne l'avais jamais eu. Alors lentement tu fais un pas vers lui, comme il en avait fait pour toi et tu passes ta main dans ses cheveux.

Une autre sensation qu'on ne pourrait pas comprendre sans le faire. Ce n'était pas anodin, surtout venant de toi, et chaque geste que rajoute et fait Yeon te fait ressentir quelque chose de nouveau. Un léger sourire tendre fend tes lèvres alors que la lumière laisse place à la noirceur. Sa main a caché tes yeux, ta vision alors que son autre main ne cesse de te faire ressentir des frissons inconnus. Au début tu ne comprends pas mais ses mots sont un peut plus clair. Ses mots résonnent et tu tournes lentement ton visage vers lui sans rien voir. C'est sans compter ton corps qui tombe doucement sur le lit et te fait t'allongée. Ce n'était pas prévu mais bizarrement ton coeur ne cesse de battre plus fort encore.

Ses mots étaient étrangement remplis de sens et dénués de compréhension pour toi. Mais lentement il commença à t'expliquer, ou du moins, à jouer le jaloux. Tes lèvres sont prises alors que tu rougis encore plus rouvrant les yeux pour le regarder.

- Jaloux de quoi ?

Tu ne comprenais pas mais cela t'intriguais. Oui il avait les mots pour te convaincre. Les mots pour te faire devenir faible. Pour te plier à sa volonté. Sa tête se pose sur ton ventre et l'explication qu'il te donne te fait légèrement rire. Tu le regardes en caressant une nouvelle fois ses cheveux.

- Alors je ne peux pas regarder le film ? La différence est que tu es là et pas eux.. J'ai le droit de regarder ?

Souriant tu t'étais redressée sur tes coudes pour pouvoir le regarder. Le meilleur acteur était incontestablement celui qui se posait sur toi. Mais tu ne le savais pas. Tu ne pouvais le savoir.

- Mais tu es bien plus beau que ces acteurs !

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Ce message a été posté Dim 5 Nov - 12:04

   


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Sa main se glisse dans tes cheveux, elle semble enfin oser, caresser, effleurer et mademoiselle sourit, elle ne semble pas aussi timide qu'il y a quelques heures, ça te fait sourire, tu sais que tu pourras en tirer ce que tu veux, si tu es patient. Ton esprit invente déjà ce que tu pourras lui faire, les endroits où tes mains pourront se glisser. Un frisson parcourt ton corps, ton regard capture le sien lorsque tu retires ta main de ces prunelles brunes.
Le rythme de son cœur tressaute, il divague. Comme des enfants jouant à la Chaise Musicale. Le rythme est là, puis soudain plus rien, les mouvements cesses et quelqu'un est perdent. Actuellement, la perdante c'est elle, d'ailleurs se seras sûrement toujours elle. Elle perdra tant qu'elle t'approchera. Tu es comme son soleil, vitale de loin, fatale de près. Toi, tu joues, tu es comme sur la scène d'un film, tu incarnes les personnages, les choisis à la perfection. « Jaloux de quoi ? » Fait-elle exprès, de ne pas te comprendre ou est-elle si peu sur d'elle ? Peut-être est-elle une bonne comédienne. Tu secoues ta tête, non en fait c'est sur que non. Finalement en brisant sa naïveté tu lui rendras sûrement service. Ce qui ne nous tu pas, nous rend plus fort. Elle en sortira sûrement très forte.

- Je préfères que tu n'es d'yeux que pour moi.

Tu glisses ta main sous elle, contre son dos, tu embrasses son ventre par-dessus le tissu, comme si tu avais eu la flemme de te redresser pour l'embrasser. « J'ai le droit de regarder . » Un sourire illumine ton visage et tes mains remontes contre son dos et la redresse alors que tu t'assois à califourchon sur ces cuisses.

- Tu as le droit de regarder, mais... Je te punirais à chaque regards.

Tu souris, tu ris un peu, puis lentement tu attends qu'elle regarde la télévision, lorsqu'elle s'avise à jeter un coup d'oeil, tu glisses tes lèvres sur la peau de son cou, tu la marques d'une trace violacée. Elle sera à toi, ton jeu du moment, ton passe-temps. « Tu es bien plus beau que ces acteurs. » Maintenant c'est ta langue qui effleure ces lèvres, tu joues le jeune homme coquin, rien de surprenant, tu t'amuses, attise la flemme. Tu sais jouer comme ça, tu sais te faire désirer. Oh oui, tu le sais. Tu fais semblant de te ventiler le visage et poses ta tête contre son épaule en veillant à ne pas l'écraser, tu appuies ton torse contre sa poitrine et viens embrasser ces lèvres, tu glisses l'une de tes mains sur son cou.

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Ce message a été posté Mer 8 Nov - 22:27

   


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Combien de temps ce rêve durera-t-il ? Tu ne vois pas la fin et pourtant elle est là, elle pointe le bout de son nez et te menace. Mais la vois tu ? Tu ne vois rien d'autre que ce soleil qui a éblouit ta vie un peu trop rapidement. Ce n'est pas étrange ? Pour toi tout était étonnant et pourtant tu ne voyais pas le mal, juste une chance presque inouïe. Alors chaque geste envers lui est presque une envie qui remonte à des années, des connaissances théoriques sur un sentiments complètement empirique. Et pourtant tu fais de ton mieux pour te détendre ouvrant lentement les yeux quand il te permet de le voir, de le regarder.
Ton coeur bat un rythme irrégulier qui suit son regard, qui suit ses gestes. Il trésaille, sursaute, accélère, ralenti. Tu n'as jamais ressenti autant de choses qu'en cette petite minute si près de lui et pourtant si loin. Le sais tu ? Tu n'es rien pour lui. Le sais tu ? Tu ne comptes pas pour lui. Mais tu ne sais rien, tu ne comprends rien, ta perte est assurée, mais tu marches droit devant, tu y vas avec le sourire comme une idiote écervelée. tu ne comprenais pas certaines de ses remarques censées te faire réagir. Tu ne comprenais pas les blagues que faisaient les gens en général. Pourquoi? Tu avais vécu dans une bulle depuis toute petite. Aujourd'hui tu ne cessais d'essayer d'apprendre, mais rien n'avait vraiment changé et tu trouvais un bon nombre de personne sympathiques autour de toi. Et tu avais même fini par trouver l'amour. Le vrai, celui qui brisera tes os et fendra ton coeur. Celui dont parlait les films, le chagrin. Mais le sais tu? En as tu peur? Tu le regardes sans penser à autre chose que ses yeux et son corps tout près du tien. Tes joues rougissent doucement.

- Comme si je ne t'avais pas assez regardé

Un petit rire t'échappe alors que tes yeux essaient de se dérober, ta lèvre se faisant mordre doucement. Sa main parcours ton dos et tu pinces un peu plus fort ta lèvre avant de le regarder. Il embrasse ton ventre et te donne un léger et doux sourire par la même occasion. Ta main vient doucement s'approcher de son visage avant d'être interrompu. Tu te retrouves à quelques centimètres de son visage, assise. Tu baisses un instant les yeux avant de le regarder de nouveau.

- Pu-punirai?

Tu attends une réponse mais tes mots ne semblent pas trouver preneur. Alors tu le regarde un moment avant d'entendre une scène particulièrement intéressante et dévie doucement ton regard sur la télé, après tout il avait rit, il blaguait sûrement, il fallait que tu arrêtes de tout prendre à la lettre. C'est précisément à ce moment que tu sens ses lèvres contre la peau fine de ton cou et que tu as cette sensation étrange et pourtant pas si désagréable. Lorsqu'il s'éloigne, après avoir frissonner comme si l'hiver avait frappé à ta porte tu poses ta main sur ton cou, à l'endroit de la marque.

- Tu as fait une marque ?

La surprise se lit sur ton visage et pourtant tu peines à le croire. Lentement tous ses gestes deviennent une lente torture qui te demande plus de concentration pour ne pas te perdre. Déglutissant tu passes une main dans tes cheveux avant de voir tes lèvres être prises d'assaut et de répondre au baiser posant une main sur son bras. C'était une sensation réellement nouvelle qui faisait naître quelques sensations au creux de ton ventre. Etait ce réellement normal? Ton autre main serre fortement son haut au niveau de sa taille, tu ne sais plus quoi faire, quoi toucher tout semble bien loin de ta zone de confort, bien loin de ton environnement naturel. Lorsque le baiser se rompt tu le regarde un moment avant de cacher ton visage contre son cou. Qu'est ce qu'il t'avait fait ?

© Frimelda, sur une proposition de © Blork

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Ce message a été posté Jeu 16 Nov - 17:42


   


You, Poor fool. Love ain't simple.
Laisse moi te décevoir.

Les rêves ne durent jamais longtemps, alors en voilà une belle comparaison. En attendant elle est entre tes bras, à la merci de tes vices, de tes délires. Alors que le soleil la brûle elle sourit, parce qu'elle se sent joyeuse, parce qu'elle ne sent pas encore la brûlure. Seulement c'est comme une insolation, on s'en rend compte quand il est déjà trop tard.

Elle est là, entre tes bras, un trésor que tu t'apprêtes à détruire, briser. Une jeune femme trop fragile pour t'effleurer, te surmonter. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, peut-être que ce sera le cas avec elle, peut-être qu'elle se fera salement avoir, mais qu'elle en deviendra plus forte. Ce sera en quelque sorte grâce à toi, grâce à cette cruauté que certains hommes, certaines femmes cachent au plus profond de leur cœur.

« Comme si je ne t'avais pas assez regardé. » Bien sur que si, bien sur qu'elle te regarde suffisamment, trop même. Seulement c'est agréable, c'est confortable de sentir que l'on est désiré, envié. Alors tu joues, tu mimes un caprice, tu joues l'amoureux jaloux, l'amoureux peu sur de lui. Tu joues si bien, trop bien. Lorsque tu t'empares de sa nuque, lorsque tu la marques de tes lèvres, que tu signes sa peau éphémèrement elle frissonne et cache cette marque avec ces doigts. « Tu as fait une marque . » Bien sur que tu l'as marqué. Elle ne t'a pas regardé.

- Ce serait un problème ?

Elle cache sa tête contre toi, elle se dissimule et tu attrapes son visage entre tes mains pour l'obliger à te regarder, l'obliger à te répondre en te regardent dans les yeux. Tu es à cheval sur elle, tu as le contrôle absolue de la situation et cette sensation est grisante, électrisante.

- Je pourrais toujours te prêter une .. écharpe.

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Ce message a été posté Lun 27 Nov - 21:49

   


You, Poor fool. Love ain't simple.
Laisse moi te décevoir.
C'était si compliqué de lire entre les lignes. Un travail fastidieux que tu ne voulais pas faire. Douter de tout et de tout le monde. Cela protégerait ton coeur autant que ça l'éloignerait des autres. Ca lui ferait mal de voir à quel point tu es distante et confuse. Alors qu'en ce moment ton coeur est léger et en paix. Pour combien de temps tu ne sais pas, et tu ne veux pas savoir. Tu veux laisser le temps décider. Le laisser décider. Tu lui fais confiance, une confiance que tu ne devrais pas lui donner et pourtant .. Quel est le problème? C'est l'amour. C'est bon tant que c'est ça. Tant que rien ne glisse de cette pente. Tant que tu ne le détestes pas.

Peu de gens arrivent à voir quand s'arrêter. Quand leur méchanceté a été trop loin. Comme la plupart des gens essaient de protéger les enfants, on aurait voulu te protéger toute ta vie, si tu n'avais pas eu à grandir. N'importe comment on te regardait on pensait voir une enfant, une fille qui ne connaissait rien alors que tu avais été confrontée à la mort, à la solitude, à la peine, la tristesse, les moqueries, le travail acharné, la douleur, le masque. Toi aussi tu connaissais tout ça. Mais les autres que voyaient ils ? Une enfant qui n'avait rien vécu. Entre ses bras tu aurais voulu que se soit autrement et pour le moment ça l'était. Plus de passé d'avenir, rien qu'un moment présent.

Le jaloux sort de sa cachette, penses tu. Il devient jaloux pour un film, jaloux de rien, c'est sûrement ça l'amour. Pourtant au fond de toi tout doute encore sur comment pourrait on aimer. Et pourtant tu ne doutes pas une seconde qu'il se joue de toi. POurquoi? Parce que tu l'observes depuis longtemps et que ce n'est qu'un rêve. Lorsqu'il te demande de le regarder tu repenses à toutes ces fois où tu t'es cachée. Tu rougis un peu avant de sourire, il avait toute ton attention et pourtant, il avait marqué ta peau comme sienne. Rapidement tu touchait la marque sans rien voir les yeux grand ouverts. Il n'avait pas.. Les autres allaient se méprendre et c'était sûr que tu deviendrais rouge écarlate. Tu te redresses un peu.

- Les autres vont le voir.. Je sais pas quoi dire du coup..

Ne pas le mettre dans l'embarras. Qui voudrait sortir avec toi et l'afficher ? TU le regardes un peu gênée avant de mordre ta lèvre. Les rumeurs sur ta personne tu n'en as avais que faire. Tu te caches mais ton visage est remis face au sien. Tu ne peux contrôler ton rougissement alors que tu mords fortement ta lèvre. Et puis sa phrase te fait rire. Tu n'as aucun pouvoir, ni sorte de force mais il te fait rire.

- Tout le monde saurait que c'est de toi, les gens vont savoir qu'on.. enfin tous les deux..

Ca n'avait pas été très clair. Sortiez vous ensemble pour lui?


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Ce message a été posté Mer 3 Jan - 22:16

   


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Laisse moi te décevoir.

Lire entre les lignes, comprendre les mots énoncés sans se tromper, mais être manipulé. On comprend ce que l'on veut comprendre, on sait ce que l'on veut nous faire savoir, rarement plus. Si un démon peut cacher un ange, tu caches un démon et tu n'es pas un ange. Un mélange des deux, 90 % Mauvais, 10 % Bon. Comment pourrait-elle s'en douter ? Pour toi Eun-Mi est une imbécile, mais au final tu ne l'es pas moins. Dans le futur elle trouvera sans-doute le bonheur, toi la solitude sera ton seul accompagnement. Elle a le cœur léger, bientôt il sera broyé, mais avant autant en profiter. Profiter de son cœur, de son corps, d'elle en entier. Elle ne prend pas peur sous tes gestes audacieux, elle est imprudente. Le problème n'est pas l'amour, le problème c'est la complexité des hommes, des femmes. C'est la haine qu'ils déversent à leur semblable, qu'ils sèment sans distinction, sans voir plus loin que le bout de leur nez. Le problème, c'est toi, c'est elle, c'est aussi la naïveté et la méchanceté qui n'est pas justement partagée. Elle n'est pas mauvaise, tu n'es pas bon et vous êtes l'un contre l'autre. Vous pourriez être le Yin et le Yang, mais c'est deux opposés ne s'auto détruisent pas, toi tu l'as détruit, elle. Cette jeune femme enfantine pourrait te rendre bon, elle pourrait apporter du blanc dans le noir de ton cœur. Elle pourrait te donner un peu d'humanité, mais elle t'effraie rien que d'y penser. « Plus jamais je n'aimerais. » C'est l'enfant blessé qui te cris ça, c'est l'enfant que tu étais qui est effrayé.

Cette fille, on peut l’aimer. Car au plus profond d’elle, elle sera toujours belle. Même si tu es beau de l’extérieur à l’intérieur ce n’est pas la même chose. Ton cœur de pierre est une bombe à retardement, une bombe qui n’épargne pas grand monde. Alors tu joues le jaloux, tu joues l’amoureux transit celui que tu aurais réellement pus être, celui dont rêve la plus part des femmes.
Elle réagit d’une drôle de façon lorsque tu la marques, elle semble confuse, gêné. Bizarrement ça te vexe un peu, tu lui mordilles la lèvre en guise de punition, puis lentement tu prends son visage entre tes mains, tu l’oblige à te regarder, à t’observer. «  Les autres vont le voir... Je sais pas quoi dire du coup... »

- C’est un problème pour toi ?


La faire culpabiliser, prendre un air extrêmement triste, un peu déçu. Tu es un bon joueur, un bon comédien. Un homme débordant de compétence et de méchanceté. Elle rit entre tes bras, elle est tout à toi, tu le sais, elle le sait. C’est évident, s’en est presque gênant. « Tout le monde saurait que c'est de toi, les gens vont savoir qu'on… Enfin tous les deux… »

- Tant mieux, je ne veux pas que d’autres poses leur mains sur toi. Tu es à moi… Si tu veux bien.


Tu rirais presque de la deuxième partie de ta phrase, comment une fille comme elle, ne voudrait pas de toi ? Ce serait ridiculement idiot.



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Ce message a été posté Lun 15 Jan - 12:11

   


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Laisse moi te décevoir.
Les paroles étaient bien vide. Quand on y pensait parler était une faculté que certains développaient. Mais tu ne pensais pas à cet art prisé par beaucoup. Tu ne pensais pas que le jeune homme était en train de mentir comme il respirait, qu'il se jouait de toi, et en passant la soirée avec toi, il profitait d'une autre fille quelques heures plus tard ou plus tôt. Ce n'était pas évident à comprendre. Et pour toi encore moins. Tu ne comprenais pas ces gens là, tu n'imaginais pas le reste. Pourtant une personne avisée aurait vu dans son regard un petit truc dérangeant. Ce truc qu'on pouvait appeler mensonge, feinte, peut être même que certains auraient vu la lueur fine et brillante d'un homme qui réussi son coup. Mais tu n'y voyais rien, tu fonçais et tu croyais ses paroles. Tu pensais qu'il était vrai. >Ce n'était pas de ta faute, et en même ça l'était. tu ne voulais pas trouver autre chose que ce que tu voyais. Il était devenu bien trop important. Il était le premier qui avait su t'approcher et le premier qui était rentré ainsi dans ta vie. Pourquoi mentir ? Tu ne comprenais pas. Alors tu croyais ses paroles. Comme si tout cela était instinctif. Pauvre fille naïve que tu étais. Après avoir perdu cette guerre, après que la trahison ne soit révélée, tu irais peut être mieux, tu te ferais peut être moins avoir. Peut être que les gens ne verraient plus la fille naïve et qu'ils arriveraient à être honnête avec toi. Combien de fois devais tu te faire avoir pour en prendre de la graine. Vouloir rester ainsi c'était juste attendre de souffrir.

Et pourtant ton coeur s'emballait pour lui. Tu souriais car tu étais heureuse en étant avec lui. C'était sûrement de l'inexpérience, c'était sûrement basé sur un matérialisme éphémère mais tu l'aimais comme on pouvait aimer, parce que tu ne t'encombrais pas de la partie sombre des gens. Tu ne cherchais pas leurs défauts tu les transformaient en qualité. Pure. Peut être. Mais tu étais surotut une imbécile. Une imbécile qui ne voyait rien et ne savait même pas ce qui était bon pour elle. Si tu rêvais d'un avenir plus joyeux ce n'était pas un prince que tu attendais mais simplement quelqu'un sur qui te reposer, un peu. Partager beaucoup. Mais ce n'était pas ce que tu allais trouver avec lui. Et pourtant tu continuais d'aller vers lui, de fermer les yeux et lui faire confiance.

Ce n'était pas comme s'il était distant. Comme s'il cachait totalement ses attentions. Et pourtant tu craquais, tu souriais doucement mordant ta lèvres une dois qu'il l'avait lui même fait. Tu le regardais tes joues étant toujours rouge de cette gêne qui ne pouvait s'enlever face à lui.

- Non... Enfin.. Ca te dérange pas que tout le monde le sache?

Ce n'était pas tant que tu allais le dire à beaucoup, mais les rumeurs se rependaient bien trop vite. ce n'était pas comme si tout cela te touchait. Après tout tu avais une audition et tes chances de rentrer dans l'agence étaient assez élevé en vu de ce qu'ils t'avaient dit. Mais cela ne t'importait pas alors que tu voyais son visage se décomposer. Tu le regardes en prenant son visage entre tes mains caressant ses joues de tes pouces. La tendresse était quelque chose qui te qualifiait, au même titre que ta maladresse.

Un rire, une caresse, un regard, un sourire, c'était léger et c'était agréable. Et pourtant derrière ces apparences se cachait une vérité que personne n'aurait voulu découvrir. Personne ne voulait être à ta place. Tu le regardais avant de mordre ta lèvre. Son assurance, sa possessivité. C'était ce que tu avais besoin, pour te sentir entourée. Comment résister ?

- hmmm.. Ca dépend.. tu es à moi ?

Dis tu dans un petit rire pour le taquiner, bien que cela soit vrai, mais tu n'avais pas eu besoin de lui dire, il n'avait pas eu besoin de te demander que tu étais déjà à lui. Pour mieux tomber. Pour mieux te briser.



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Ce message a été posté Sam 27 Jan - 13:10

   


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Laisse moi te décevoir.

Elle te croît, elle boit tes paroles, elle les avale comme par gourmandise. On sait que les boissons ne sont pas toujours bonnes pour la santé, mais par gourmandise on en consomme avec plus ou moins de modération, elle ne doit pas être modérée. Comme un verre d’alcool c’est bon sur le moment, puis les effets viennent et ça rend le tout encore meilleure et le lendemain tout deviens plus dur, plus nauséeux.  Elle est un papillon, fragile et belle, si tu l’effleures elle finira par perdre ses ailes, bêtement tu la regarderas tomber du ciel, sans remord ou presque tu te diras que tu l’as rendu plus forte, plus endurante, moins insouciante. Elle comprendra la différence entre elle et toi, entre le chat et le papillon. Le loup et l’agneau.

« - Non... Enfin... Ça te dérange pas que tout le monde le sache? » Qu’elle insouciance déconcertante, qu’elle imbécile. Tu hoches négativement la tête, elle ne sait pas encore que tu ne fais que jouer. Tu cherches déjà comment tu la largueras en lui faisant croire qu’elle est la coupable, qu’elle est fautive. Comme tu feras semblant de pleurer lorsqu’elle s’en voudra alors qu’elle n’a rien fait. Être un bon acteur c’est aussi ne pas perdre son rôle à la première fin d’épisode.

- Non, je m’en fiche des autres. Le monde ne m’intéresse pas.

C’est vrai que tu te fous du monde et elle en fait partit de ce monde. Elle est l’un des pions qui t’encombre et qui succombe. Elle est la tendresse, la douceur, tu es la cruauté, l’animosité. Ange et démon ça vous correspond, mais tu sais pourquoi tu es comme ça. Tu sais que si tu ne la quitte pas, si tu ne la pousse pas à te haïr, qu’elle reste là, elle est le genre à se faire aimer. Celle dont on tombe amoureux bien malgré nous, bien contre nous.  On l’aime parfois sans le savoir, sans l’accepter, parce qu’elle pourrait nous faire changer. Puis un jour, elle pourrait ne plus nous aimer, nous briser.

«  hmmm.. Ca dépend.. tu es à moi ? » Tu ne seras jamais à personne, tu ne le souhaites pas, mais tu peux lui faire croire, tu sais jouer comme ça, tu peux le faire, facilement. Alors dans un sourire qui paraît sincère tu hoches la tête en venant pour l’embrasser. Puis tu ne lui demande pas en retour d’être à elle, elle est à toi qu’elle le veuille ou pas. Tant que des sentiments résiderons en elle, elle sera prise au piège, elle ne pourra pas partir ailleurs, elle ne pourra pas oublier qui tu es.

- Nous sommes l’un à l’autre et on emmerde les autres. C’est ce que je veux !

Puis lentement tu glisses ta main sur sa joue, contre sa nuque, tu pourrais lui serrer son cou entre tes doigts qu’elle ne réaliserait pas. Tu es en train de la tuer, doucement, mais sûrement. Brutalement, douloureusement, de l’intérieur. Elle ne pourra pas échappé à sa fin, c’est triste. Seulement tu l’accompagne et peut-être que si tu ne te dépêche pas tu la suivras dans sa tombe.




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Ce message a été posté Jeu 1 Fév - 1:34

   


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Laisse moi te décevoir.

Où était le mal? Où il était quand quelqu'un voulait être vrai? QU'il voulait laisser une chance à tout ceux qu'il croisait d'être eux et de te faire découvrir qui ils étaient? Où était le mal, quand tu voulais qu'on se dévoile à toi et non qu'on joue dans une pièce grotesque où il n'y avait ni bon ni méchant, que des imbéciles qui pensaient vivre alors qu'ils se cachaient. Où était le mal quand tu voulais croire les paroles de ce jeune homme quand il te disait toutes ces choses que tu avais rêvé d'entendre? Pour une fois tu te sentais bien, tu te sentais entourée et aimée. Quel était le mal qui se profilait quand tu voulais juste être heureuse en étant toi même ? Le mal était partout, il guettait chacun de nous, n'ayons pas peur et sortons.

Sa négation te rassure. Il est prêt à t'assumer. A s'assumer avec toi et tu ne peux pas être plus ravie. C'était comme une récompense d'avoir attendu si longtemps sans changer. Mais c'était tout le contraire. Il aurait mieux valu qu'il te mente sur son nom. Qu'il cache son identité mais qu'il soit sincère dans ses sentiments. Il aurait mieux valu qu'il reste une image agréable au détour d'un couloir. Et pourtant tu n'en savais rien. Tu le laissais t'embarquer. Tu lui laissais la possibilité de te tirer vers le haut avant de te laisser tomber. la chute est plus rude, elle fait mal et on ne s'en relève pas.

- Je comprends.. et je suis pareille alors.. tant mieux?

Tu souris. Tu ne devrais pas. Tu devrais voir son jeu. Mais tu fonces tête baissée. Chacun se protégeait de tout le monde sans se rendre compte qu'ils ne font que vivre la vie de quelqu'un d'autre. A la fin ils se rendent compte qu'ils n'ont rien fait. Tu ne veux pas être de ces gens. Même si c'est dur. Même si tu ne portes aucun masque et que nombreux sont ceux qui pourraient te faire du mal. Tu ne veux pas croire qu'il porte un masque que tu dois enlever. Tu ne peux aps non plus croire qu'à ton tour tu pourrais avoir le pouvoir de briser quelqu'un. Parce que tu ne comprends pas. Mais laisser ce pouvoir aux autres , aussi dangereux soit il, permettait de vivre pleinement.

- Je suis totalement d'accord ! Ca me va parfaitement

Tu ris doucement en le regardant. Peu importe ce que tu entendais des autres il aurait son mot à dire. Peu importe ce qu'on disait. Peu importe si on vous détestait tu ne voulais prêter attention qu'à lui. Vivre à un rythme qui n'appartenait qu'à vous. NOn un rythme lui appartenant. Il menait la danse et tu suivais les yeux bandés en croyant toujours être tenue. Mais un jour viendra où tu finiras par tomber. Pour le moment rien n'est clair, il y a juste ce bonheur nouveau qui t'inonde. Tu viens l'embrasser en souriant ta main serrant son haut. Tu pouvais prendre les devants tout comme te reculer; T'adapter n'était pas un problème. Tu voulais juste qu'il reste.

C'était dur de voir qu'un jour tu finirais seule. Un jour tu allais tomber et sûrement ne jamais te relever. Combien de temps pouvais tu tenir en étant celle que tu étais? Piétinée, seule puis de nouveau trompée. Combien de temps ?



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