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 Homecoming

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Choi A. Kellian
Choi A. Kellian
I am the strawberry fonda
Pseudo : Miki messages : 5873 Yen (¥) : 5133 Avatar : lee dong yeol - Xiao - UP10TION DCs : Kyann ☽☆ London ☽☆ Shion ☽☆ nai ☽☆ Mika ☽☆ Ryoma ☽☆ Sasuke ☽☆ Dakota ☽☆ Haru ☽☆ Phoenix ☽☆ taiga ☽☆ Shinya ☽☆ Zero ☽☆ Candy ☽☆ Hyoga ☽☆ Hinata ☽☆ Inaho ☽☆ Dewei ☽☆ Dan ☽☆ meliodas ☽☆ Ace ☽☆ Tenma ☽☆ Wu Liang ☽☆ Seiha ☽☆ Tsubasa ☽☆ Nobu ☽☆ Ritsu ☽☆

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Homecoming PpvPsiM Age : 22 ans Date de naissance : 05/10/1995 Astrologie : Balance & Cochon j'ai tout gagné haha! Métier : Il aime faire des petits boulots, travailler dans un bar ou autre trucs du genre, ça lui donne une certaines expériences bien que les mèdecins lui déconseille, Kellian n'est pas du genre à obéir sagement. Année : troisième année Résidant à : dans le dortoir numéro 7 Notes : Passer du temps avec Orion, profiter de mon petit frère pour que le jour où je disparait il puisse garder de bon souvenirs de moi et rire a défaut de pleurer mon absence. Faire plein de mugcake, depuis que Kaien m'a montré comment faire c'est un passe temps et un régale à déguster, vraiment. Devenir ami avec Momiji, je ne comprends pas sa façon de faire, cette violence ou cette réticence à se lier. Essayer d'éviter les crises devant la foule, mon cœur atteint ses limites, il me reste peu de temps. Appeler mes parents et les rassurer, tout va bien, je vais bien.

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Discuter avec Tsukiko, c'est agréable de pouvoir partager des conversations avec une personne qui comprends ce que c'est d'être malade. Regarder Kaoru jouer aux jeux vidéos et m'amuser avec son visage de marbre. Manger et boire tout ce que je peux, même si je suis limité en apport liquide, je veux gouter a tout!

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Arrêter de vouloir être son ami. Usagi Momiji c'est fini. Vérifier sur ma liste des souhaits ce que je peux encore faire avant de mourir. Rêver et transmettre ma vision a ceux qui seront réceptif, vivre c'est le plus important.
Navigation : Homecoming CFKci9J

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On a tous une histoire à raconter, qu'elle soit courte ou bien longue, la vie est remplis de surprises et de souvenirs, la plupart sont partagés avec nos amis avec qui on aime se remémorer le passé.

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Ce message a été posté Ven 16 Jan - 21:06
TenueOn avait de la route à faire, grâce à Saya qui m’a remis en question, mes doutes sont pour l’instant mis de côté, je ne veux pas regretter de ne pas avoir agi et finir par le perdre, lui qui a réussi à me rendre plus « humain » je ne faisais qu’agir comme je le voulais jusque-là, ne devant des comptes à personne, même mon supérieur avait besoin de moi et n’oser pas me contredire, j’avais une place dans l’armée qu’une autre personne n’aurait surement jamais quittée et c’est pourquoi je sais qu’une fois de retour... Peut-être que les choses seront différentes, j’ai une retraite plus que généreuse et si je le voulais je n’aurais même pas besoin de travailler ou encore une fois de risquer ma peau, pourtant si je ne fais rien, si je ne bouge pas et ne me bat pas, je sais que ce serait comme me laisser mourir à petit feu. L’action, l’adrénaline, la sensation de visée toujours juste c’est quelque chose qui fait partie de moi et je ne pense pas un jour être capable de m’en détourner. Je me souviens des paroles de ma cousine avant qu’on ne quitte la pièce. Je ne remets pas en question le pouvoir de la famille impériale, sauf que ce sont deux choses différentes, car si le Pays perd sont armées ou si cette dernière se retourne contre la royauté, à son avis... qu’est-ce qu’il se passerait ? Les soldats sont au service des citoyens, le cœur du Pays... Tout semble si faux dans un sens, mais qui suis-je pour juger une famille qui fait passer le pouvoir avant le sang ? Enfin bon, je ne suis pas vraiment du genre à débattre sur les choses qui me sont indifférentes et qui de toute façon n’apporterons rien de plus à la situation. Cependant, je peux me rendre utile en tant qu’ancien soldat, bien que Saya risque de découvrir des choses sur moi que j’ai laissé dans la base militaire et surement rencontrer mes « parents » en chemin, j’ai toujours un laissez-passer actif pour faire mes visites grâce à mon titre. Ça va nous être bénéfique pour faire nos recherches et poser nos questions, même si je vois déjà d’ici les gens se « braquer » pour protéger leur camarades. Saya devra rester en retrait quand je questionnerai mes anciens compagnons pour ne pas éveiller de soupçons. Conduisant pour me rendre là où l’armée se trouvée, un endroit assez éloigné de la capitale, il nous fallut rouler une grande partie de l’après-midi, on rentrera surement en ville dans la nuit vu l’heure. On avait jusqu’au couvre-feu pour trouver des indices, ce qui laissait très peu de temps.

« Dis-toi une chose Saya, une fois qu’on va rentrer dedans, garde tes pensées pour toi, ils ne trahiront pas leurs « camarades » même s’ils savent quelque chose. On va devoir la jouer discret et je vais feindre une visite amicale pour qu’il ne se doute pas de la réelle raison de ma venue. Personne ne doit savoir mon métier, ok ? Et si on te demande qui tu es, simplement une cousine qui voulait rencontrer mes parents. » Je la regarde en souriant, réfléchissant un instant, j’ai encore des micros que m’avait donnés Gabriel pour une mission et j’en donne un à la jeune fille avant de reprendre.

« Mets ça, soit discrète, tu sais comment agir sans que je te le dise, mais... Je pense que la meilleure chose à faire une fois à l’intérieur, quand on sera dans les quartiers de mon bataillon, je m’occuperai de détourner leur attention en parlant avec eux tout ça, toi tu iras chercher des preuves dans la chambre des « suspects », ça te va ? » On devait établir tout ce qui devait l’être avant de pénétrer à l’intérieur de la base, il y a des yeux et des oreilles partout, bien qu’on me fasse confiance à 100%, un seul faux pas et c’est des années de services, de fidélités, de respects, qui tombent à l'eau. Je ne suis peut-être pas attaché à ses gens, mais je ne compte pas perdre mon « passé » pour autant.

« Soyons prudent, même si ce sont nos alliés, un seul faux pas, des doutes ou des suspicions et c’est fichu. » Garé sur le parking dédié aux invités, je m’approche des gardes armées attendant que ma cousine me suive et quand j’arrive à quelques mètres d’eux ils me saluent sans hésitation, j’en fais de même avec le geste habituel, passant les barrières, mais il arrête Saya et je leur dis d’un ton calme et serein.

« C’est ma cousine, pas d’inquiétude elle est avec moi. » Ils acquiescent et la saluent à son tour. Une fois près de moi je chuchote. « Tu risques d’être surprise, la vision ici et de l’autre côté de la barrière n’a rien en commun. Suis-moi. » Marchant le long du chemin observant tous les soldats aux entrainements, je serais presque nostalgique en voyant ça. J’aimerais avoir le temps de les défier, mais mon esprit est ailleurs en ce moment. Arrivant dans le hangar mécanique, je rentre pour observer l’avion en réparation et voyant une femme d'une quarantaine d'années sur le toit, je souris et balance.

« On dirait que tu es toujours en vie. » Elle se tourne dès que le son de ma voix à résonner pour sauter me rejoindre. « Rikiya ! C’est comme ça que tu parles à ta mère ? Un fils de génie ?  Mes fesses, regardes-toi, c’est quoi cet accoutrement ? » Je regarde Saya et je murmure. « Elle vient de l’an 40 la pauvre, faut l’excuser. » Elle me donne un coup sur la tête en lâchant un grognement. « Riki ! » Riant naturellement, je demande ensuite. « Papa ? » Elle soupire. « Depuis qu’un certain idiot, apparemment connu sous un certain surnom a quitté l’armée subitement son pauvre père a dû se sacrifier et repartir sur le terrain... AAAAh quel fils indique il a. » « Mais oui, mais oui, je suis sûr que c’est le plus heureux de m’avoir chipé mon rôle. » Elle rigole et finit par s’intéressait à la jeune fille. « Rikiya, ne me dis pas que tu es venue me présenter ta copine ? Non, je ne suis pas d’accord ! Je suis la seule femme de ta vie ! » Dit-elle en s'accrochant à moi. Elle ne change pas... Toujours aussi extrême, mais c’est comme ça que mes parents sont, ils ont beau être des soldats, ils sont aussi « simplistes » que je le suis, seulement faut pas se fier aux apparences, car ils sont parmi les meilleurs et ils ne sont pas différents de ce que je suis au final. Une apparence chaleureuse pour un cœur froid. Enfin... Elle est tout de même timbrée. Je regarde Saya et souris en lui tirant la langue en mode. « je t’en prie, présente-toi. » Autant jouer le jeu et après se mettre au boulot, ainsi personne ne doutera des raisons de notre venue.

Anonymous
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Ce message a été posté Sam 17 Jan - 21:32
Tenue – Visiter une base militaire qu’est-ce que c’était excitant ou peut-être le suis-je car, c’est la première fois que je reviens sur le terrain depuis cette « affaire » ? Cela me fait drôle d’avoir mon propre cousin comme partenaire. Nous ne sommes pas des doublons, ni des jumeaux et j’ai l’impression que c’est le cas pourtant. J’aurais aimé avoir un petit ou un grand-frère bien qu’au final, le pouvoir impérial ne serait ainsi pas remis en question quoi que je suppose que cela aurait rendu les choses plus compliquées… Le pouvoir de la famille Impériale hein ? Quelle belle ânerie ai-je sortit encore ? Je suis consciente que Rikiya marquait un point mais, si je voulais visiter une base, je le pourrais, je n’ai qu’à donner un coup de fil. Toutefois, c’est mieux que ce soit cet « bout en train » en apparence qui me serve de passe. On ne s’y rend pas pour jouer, je ne suis plus une enfant et sachant que je ne serais pas là avant un moment, j’envoie un sms à Shirong pour le prévenir de mon absence mais, aussi à Mochi san afin qu’il me tienne au courant s’il y a un nouveau meurtre mais, que les deux songent à faire appel à un autre médecin légiste si, je ne suis pas dans les parages. Les résultats même prioritaires sont longs à venir et, je me demande si, on n’aura pas finis l’enquête avant qu’ils n’arrivent. Les messages envoyés, observant sagement le paysage, Rikiya décide de se la jouer « chef » sûrement à cause du fait qu’on s’approche de la base et qu’il y avait plusieurs choses en jeu pour lui… D’où le fait que je forme un « Ok » avec mes doigts et lui fit un salut militaire pour qu’on reste dans la bonne humeur.

«Ne t’inquiètes pas Taisho ! Je n’en dirais pas un mot et puis, ce n’est pas si faux ! Je suis ta cousine et j’ai toujours eu envie de visiter une base militaire !»

Je m’enfonce un peu plus dans mon siège que je recule pour allonger mes jambes sur le coin de la fenêtre. Non je ne prenais pas trop mes aises, vous vous faites une illusion. Je le gratifie d’un grand sourire pour le rassurer, je ne comptais pas que par ma faute, il soit obligé de jeter ses nombreux états de loyaux services dans un dépotoir. Je me demande quel genre de soldat il était. Je présume qu’il est de ceux dont il vaut mieux avoir dans sa poche. Je redevins plus sérieuse et récupère le micro que mon cadet m’attribue afin qu’on reste tous les deux en contacts. Je me rends compte par la même occasion.

«Whaou ! Vous pensez vraiment à tout chez vous ! Et vous êtes équipés en conséquence ! La police devrait vraiment en prendre de la graine »

Une fois le micro enfilé au creux de mon oreille je pense que j’étais fin prête ! On parla encore un peu ou plutôt, c’est Rikiya qui organisa le « plan d’attaque ». C’était une idée ingénieuse mais, dangereuse car, je ne devais pas me rater. Au final, j’avais de lourdes responsabilités sur les épaules parce que c’est sur moi qu’une grande partie de cette quête de vérité reposait. On me découvre, nous tombons tous les deux et, les retombées je ne veux pas imaginer ce qu’elles pourraient être. N’imagine pas le pire Saya ! Ce n’est pas comme si tu allais utiliser un flingue ! Juste des gants et des petits sachets pour sauver les indices que je trouverais. Espérant en trouver car, faire autant de route pour des nèfles, cela nous en mettrait un coup au moral et si on en trouve… Je regarde du coin de l’œil le jeune détective et je commence à m’inquiéter pour lui… Malgré notre conversation à la morgue.

«T’inquiètes pas Papa je serais prudente. Finissons-en rapidement !»

J’étais sérieuse. Nous sortîmes de la voiture tous les deux, moi avec mon sac où se trouvait mon matériel et je dois avouer que j’étais impressionnée mais, nous n’avions pas vraiment de temps à perdre. Je laisse Rikiya parler aux deux soldats faisant le guet à qui j’offris un magnifique sourire amicale tout en reproduisant le geste de mon cousin quand ils me laissèrent passer suite aux mots de ce dernier. De nouveau proche de Rikiya je lui chuchote :

«Très accueillants dis donc !»

Je regarde non sans un soupçon de surprise et de curiosité tous ces soldats s’entraînant, c’était une scène des plus étonnantes. Je suis toujours mon « guide » de la nuit ne connaissant pas les lieux et, il nous mène vers un hangar où j’aperçois une femme d’un âge assez avancé mais, il semblerait qu’elle soit proche de l’homme qui est à mes côtés et la scène à laquelle j’assistai m’en boucha un coin et, je fis tous les efforts du monde pour ne pas rire à cet échange mère-fils !! Ils me feraient presque envie… Quand elle s’adresse à moi en me captant enfin et qu’elle s’accroche ainsi à son fils, je jette un regard à Rikiya qui me tire la langue après m’avoir souri, je ne peux m’empêcher de rire doucement et de me jeter à l’eau :

«Ne vous en faites pas, je ne suis pas sa copine !! De toute façon, il a des vues sur un adorable chaton ! N’est-ce pas Riki ? Vous savez, il ne veut même pas le partager avec son incroyable cousine que je suis !»

Je finis par sourire sadiquement et tirer la langue au concerné avant de mimer à nouveau le signe qu’on a dut faire à l’entrée tout en étant au garde à vous car, après tout elle devait posséder un grade important dans l’armée :

«Toshinomiya Saya Madame ! Heureuse de vous rencontrer enfin en personne !»

Choi A. Kellian
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Discuter avec Tsukiko, c'est agréable de pouvoir partager des conversations avec une personne qui comprends ce que c'est d'être malade. Regarder Kaoru jouer aux jeux vidéos et m'amuser avec son visage de marbre. Manger et boire tout ce que je peux, même si je suis limité en apport liquide, je veux gouter a tout!

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On a tous une histoire à raconter, qu'elle soit courte ou bien longue, la vie est remplis de surprises et de souvenirs, la plupart sont partagés avec nos amis avec qui on aime se remémorer le passé.

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Ce message a été posté Mar 20 Jan - 0:11
TenueD’un côté je ne pensais pas revenir ici pour régler une affaire, c’était vraiment la chose que je n’aurais jamais vue venir, penser que je pourrais en venir à suspecter mes propres camarades, des soldats à qui j’ai appris des trucs et qui m’en ont appris en retour, puis l’armée que j’ai servis abritant des « criminels » ce n'était pas l’image la plus glorieuse que je pouvais avoir à cet instant, m’enfin il faut croire que même moi je peux faire des erreurs et tomber de haut... Puis je tenais vraiment à mettre en garde Saya sur certaines choses peut-être que je me montre trop autoritaire et que j’impose un peu ma « loi » dans cette voiture, mais elle est peut-être une princesse, je connais comment marchent les règles sur la base et c’est peut-être contradictoire dans un sens avec ma vision des choses mais je ne veux pas impliquer tous ces militaires innocents dans cette affaire et si cela s’ébruite la confiance envers ceux protégeant le pays pourrait être remise en doute pour trois imbéciles, je veux à tout prix éviter ce genre de chose, ils peuvent tous mourir en se battant ou autres je ne ressentirais rien, mais qu’ils soient tous jugés et mis dans le même panier que des assassins c’est une autre histoire. Je sais ce que c’est que de mettre sa vie en jeu et quand on se dit qu’on le fait pour des prunes ou des mensonges, il n’y a aucun honneur à continuer. Du coup je prenais les devants en effet et je souris à sa réponse qui ne m’étonna pas, je pouvais l’imaginer impatiente de découvrir cet endroit où seul les privilégiés et les soldats peuvent mettre le pied. La base n’est pas une prison, mais dans un sens cela y ressemble. Bien que « libre » il y a des règles, interdit de sortir hors du camp sauf en cas de permissions, et aucune visite n’est permise comme en prison, ou alors seulement en cas d’urgence. C’est un milieu plutôt « fermé » quand on y pense... puis qu'elle m’appelle Taisho m’obligea à balancer.

« Tu comprends vite ma petite, je suis fier de toi. » Rire un peu en chemin cela ne fera de mal à personne. Mais rapidement le sérieux de la mission reprit le dessus, je ne pouvais pas me permettre la moindre erreur, enfin nous ne pouvons pas. Car à défaut de Gabriel aujourd’hui ma cousine sera ma partenaire et il faudra qu’on arrive à gérer au mieux, j’ai vraiment hâte que toute cette affaire se termine. C’est là que je lui donna le micro, on en aura besoin pour communiquer et sa nouvelle remarque m’amusa toujours, je tire rapidement la langue. « On est Avici, n’oublie pas. » Un petit clin d’œil et il était temps de se mettre en route. Bien que les gardes de l’entrée avaient stoppé la jeune fille, mon « autorité » encore suffisante et présente suffisait à ce qu’il l’a laissée passer. Je souris amusé aux mots qu’elle prononce, mais reste silencieux, nous conduisant donc jusqu’aux hangar ou se trouve... ma mère, cette tempête, on se demande après de qui je tiens, la réponse est devant les yeux, je n’ai peut-être pas son sang, mais je suis certain que j’ai tout pris d’eux. Autant le caractère de ma mère que le talent de mon père. Et il faut dire qu’elle est très possessive avec moi, en apparence en tout cas. C’est pourquoi elle regarde Saya avec ce côté « je ne te donnerai pas mon fils », jusqu’à ce qu’elle se présente.

« Oh une cousine ! Je suis ravi, un instant j’ai cru qu’il comptait vous mettre la bague au doigt hahaha quelle idée ridicule... » « Maman... » « Oh, pardon. D’ailleurs... depuis quand tu aimes les chats ? » ... Je regarde Saya et soupire. « Ce n’est pas un vrai chaton, lis entre les lignes des fois... Je suis juste très proche d’un ami avec qui je travaille. Et non... Je ne le partage pas ! » Lançais-je en regarde la jeune fille qui avait lancé la « bombe » puis je repris en tapotant l’épaule de ma mère. « Il est incroyable je suis sur que tu l’aimeras ! Mais pour l’instant je vais faire le tour de la base, dire coucou tout ça. Travaille bien la veille. » «  Attends, pourquoi tu ne l’as pas emmené avec toi ! Je veux le rencontrer ! »   « Il est indisposé, il a ses règles ou j’en sais rien...  Cherche pas ! » Dire que des conneries c’est tellement amusant. Ma mère voulut en savoir plus sur le « chaton » mais je préférais ne rien dire de plus pour l’instant, quittant l’endroit en tirant Saya. « Merci, grâce à toi elle ne va pas me lâcher jusqu’à ce que je lui présente Gabriel haha, j’imagine bien si je dois l’emmener ici... » Je me frotte la tête et souris a cette vision. « Bon, on va rentrer dans les dortoirs, pas la peine de tous les faire, je vais te guider dans ceux de mon bataillon, la chambre de nos suspects et la 611 tu ne peux pas la louper c’est celle à droite au bout du couloir. Elle se trouve à côté de la mienne... Enfin on s'en fout. Pendant ce temps je veillerai à tes arrières en les empêchant de te remarquer, compris ? À partir de là, on ne parle que par code, plus un mot qui pourrait attirer des doutes sur notre venue. » Je lui tapote la tête et j’offre un sourire rassurant. « On y va. » Dis-je dans un chuchotement. Marchant tranquillement sans aucune appréhension, on pénètre dans les bâtiments où « habitent » les soldats et c’est là que plusieurs gars m’interpelle, je fais signe à Saya discrètement de continuer sa route. Les micros allumaient on resterait en contact de toute façon.

« L’as est de retour ! On croyait qu’on ne te verrait plus, qu’est-ce que tu fais là Kirihara-san ? » Je profite de leur coup amical, ils semblent contents de me voir débarquer, mais je peux remarquer que certains m’en « veulent » encore d’être parti sans les prévenir et je souris en venant les embêter. « Ne fais pas la tête Daichi-kun ! » Il tente de continuer à faire la gueule, mais il ne résiste pas à m’enlacer, je lui ai tant manqué que ça. « Hahaha vous aussi vous m’avez manqué. Et pour te répondre je suis venu voir mes parents, mais mon père n’est pas là... j’ai emmené ma cousine aussi, mais elle avait une envie pressante, donc... » Et la conversation dura ainsi pendant quelques longues minutes, jusqu’à ce que furtivement je demande à Saya.

« Enfin... La poule a bientôt pondue des œufs non ? »   Et les mecs me regardent perplexes avant de rire. Le temps presse, j’espère vraiment qu’elle a trouvé un truc pour qu’on ne revienne pas bredouille...

Anonymous
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Ce message a été posté Jeu 22 Jan - 0:31

Tenue – La mère de Rikiya était incroyable… Je suis certaine que je me prendrais d’affection pour elle à cause de son grain de folie mais, si cette femme était dans l’armée, qu’elle a élevé ce gamin « incroyable » même si, je n’ai pas assisté à ses capacités, ce charisme qu’il dégage j’ai le nez pour le sentir est quasi identique à ce qui se dégage de cette femme. Je pourrais presque en pâlir de peur ou bien être intimidée. Une femme à l’armée… Ce n’était pas un boulot facile… Elle avait dû fournir beaucoup plus d’efforts qu’un homme militaire et pour ça, je lui tirais entièrement mon chapeau. Mon sourire n’était que plus grand et, j’étais d’humeur sans oublier la raison de notre présence.

«Hahaha ne vous en faites pas pour ça mon cœur est déjà pris ! Et puis au vu de nos personnalités, nous ne correspondons pas l’un à l’autre. Je suis désolée de te dire ça le cousin !»

Je ricane doucement à la question de sa mère par rapport au « chaton », comparaison que j’avais utilisée pour Gabriel en même temps, je ne me permettrais jamais de vendre la mèche que son fils pourrait être attiré par son partenaire bien qu’encore cela ne semblait pas être le cas, et j’ignorai royalement son regard. Je l’enviais en cet instant d’être tombé dans une bonne famille. J’ose frapper en sautillant le dessus de la tête de mon cadet à cause de l’utilisation de la « vieille ».

«Un peu de respect pour cette femme formidable ! En tout cas, j’espère avoir le temps de faire plus ample connaissances avec vous à une autre occasion ! J’ai vraiment été ravie de vous rencontrer !»

Je me courbe pour saluer cette femme avec respect et suivis l’ancien soldat qui est en train de se plaindre et pourtant, par ce sourire et cette bouille que j’aimerais bien pincer. Je souris amusée par ce dernier :

« Elle voudra sûrement que tu l’épouses. Je veux être invitée au mariage !»

Je lui offre une grande claque dans le dos et lui tire la langue ! Enfin, je me mets à l’écouter car, bientôt c’est moi qui vais moins rigoler en me fondant dans la masse pour aller m’incruster dans des chambres d’hommes. De nos suspects… Ce ne serait pas ma première infiltration mais, je dois avouer que Mochi san va sûrement me donner un joli savon.. Je sors de mes pensées quand je sens cette main dans mes cheveux. Elle est rassurante comme ce sourire qu’il m’octroie. Je lui rends et, lui en suis reconnaissante. Peut-être qu’en me mettant la pression de découvrir des preuves de leur culpabilité, sans m’en rendre compte, je lui ai donné l’aubaine de ressentir mes doutes.. Mes craintes que par ma faute sa crédibilité et autres soient remises à question. De plus, après avoir rencontré sa mère, je ne peux pas me permettre de ne pas veiller sur ce fils qui met en jeu plusieurs années de confiance sur un jugement de son coéquipier et, parce que je l’ai poussé à le faire. D’où le prétexte que je me sentais être sa « responsable ». Quand nous entrâmes dans la partie « dortoir », nous mettions en forme des codes de communications qui laissait pressentir de gros doutes sur nos états mentaux. Je le quitte pour aller rejoindre cette chambre en me remémorant ce qu’il m’a dit mais sérieusement… J’ai l’impression que tous les couloirs sont semblables, que je suis prisonnière du labyrinthe d’Alice au Pays des Merveilles. Vive mes références je sais. Finalement, j’arrive à destination, je ne perds pas de temps pour entrer dans une des chambres via la carte magnétique qu’il m’a donné. Un passe… Quand je suis à l’intérieur de la chambre, j’ai l’impression que les fenêtres n’ont pas été ouvertes depuis un long moment… Je me bouche soudainement le nez en me pinçant les arrêtes de ce dernier et lui glisse :

« Cela sent le chacal ! Sérieux.. Tes potes ne connaissent pas le sens de l’aération ? C’est propre mais, beurk ! Peut-être qu’un désodorisant leur serait utile !»

Oui je suis au courant, je ne suis pas là pour me plaindre, et je commence à chercher activement en vérifiant les matelas conformes.. Je les palpe avec mes mains sait-on jamais s’ils ne cachent pas quelque chose… Et puis soudainement, j’entends des bruits de pas… Sérieusement c’est ma veine : Quand je vois le bureau je me cache directement en-dessous me cognant la tête quand la porte s’ouvre… Recroquevillée sous le bureau… La porte juste ouverte, un homme prit la parole :

« Notre trio inséparable a encore disparu ! Purée je me demande bien ce qu’ils font de leurs nuits… Enfin bon… Allons retrouver les autres, il parait que Kirihara san ait de retour !»

La surprise se fit entendre et la porte se referma. J’expire bruyamment pour souffler à mon partenaire :

«Tu sais comment te faire aimer toi ! Les carottes ont failli être cuites pour moi ! Et je n’ai pas encore trouvé l’œuf pour faire la crêpe ! Outch ! Satané bureau !»

Je me frotte l’arrière du crâne et continue mon instigation après avoir mis des gants. Je fouille dans les placards… les vêtements, les poches… Mais, je ne trouve rien.. Si ce n’est que quelques yens et des tickets d’achats… Attendez, c’était un reçu de chez un fleuriste… Il y avait même le prix… Un achat d’une vingtaine de rose jaune… Je pris le reçu que je mis dans un sachet pour finalement souffler :

« Hey pour le mariage avec Gabi cela te dit des roses jaunes ? Je connais un bon fleuriste enfin tes camarades semblent en connaitre un ! »

Un sac pour découvrir des preuves… Je continue et m’attèle à fouiller dans les tiroirs, une fois la fouille des vêtements terminée. Je regarde même dans leurs portes stylos et, je commence à devenir folle. Ok, ils ont acheté des roses jaunes, comme notre meurtrier met sur le corps de chaque victime mais, est-ce assez ? Puis, mon regard tombe sur une paire de chaussure… Après tout, certains cachent leurs billets dans leurs chaussettes afin de se préserver d’un dépouillage dans les règles. Je me précipite vers les chaussures et… Je remercie mon métier de me procurer des gants.. Et puis… Au fond d’une chaussure… Je trouve quelque chose… Une pellicule ? Mais, aussi une clé usb ?... Pourquoi cachet ces deux objets dans une chaussure usée ? J’entends des pas… Je dois me précipiter de sortir d’ici et de tout ranger en prenant les deux objets, je vérifierais plus tard le secret de ces derniers car, ici nous n’avions pas le temps.

«J’ai fini de ramasser les œufs. Mon panier est plein !»

Je mis les sachets en plastique dans mon sac dont la lanière est posée sur mon épaule. Jetant un dernier coup d’œil, tout semble être en ordre comme à mon entrée dans cette « tanière ». Je sors précipitamment et avance rapidement dans les couloirs pour le rejoindre une main sur le ventre :

« Ah vraiment je crois que les œufs étaient dépassés ! Ah bonsoir, je suis la cousine de ce bonhomme-là ! En tout cas c’est vraiment grand ici ! Oh Rikiya tu ne m’as pas dit que tu avais de beaux partenaires !»

Je lui donnai un coup de coude pour le taquiner, et offrit un petit sourire séducteur à deux trois soldats qui étaient désirables. Mais, bon fallait qu’on sorte de là alors, je finis par lui dire en me donnant une claque sur le front :

« Ah c’est vrai, j’ai eu un appel de mes parents ! Donc, je crois qu’on va devoir écourter la visite ! Tu peux me ramener ? A la prochaine, j’espère pouvoir assister à un entrainement la prochaine fois … J’adore voir les hommes pleins de sueurs c’est très viril !»

Je leur offris un clin d’œil et laissa Rikiya dire ses au revoir pour qu’on puisse sortir d’ici le plus rapidement possible. Quand nous étions de nouveau à l’extérieur, je soufflai mais, commença à parler que lorsque nous étions à l’intérieur de la voiture de mon cousin :

«On s’en est bien sortis hein ? Sinon, j’ai découvert un reçu d’un fleuriste dans une poche, une pellicule et une clé usb au fond d’une chaussure… Je ne sais pas ce que cela vaut mais, ça vaut qu’on y jette un œil. Car dissimuler cela dans une chaussure… C’est qu’ils ne voulaient pas qu’on le découvre… Tu… Tu vas bien ? Je sais que tu m'as dis que cela ne te faisait rien s'ils sont coupables mais.. »

Choi A. Kellian
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Pseudo : Miki messages : 5873 Yen (¥) : 5133 Avatar : lee dong yeol - Xiao - UP10TION DCs : Kyann ☽☆ London ☽☆ Shion ☽☆ nai ☽☆ Mika ☽☆ Ryoma ☽☆ Sasuke ☽☆ Dakota ☽☆ Haru ☽☆ Phoenix ☽☆ taiga ☽☆ Shinya ☽☆ Zero ☽☆ Candy ☽☆ Hyoga ☽☆ Hinata ☽☆ Inaho ☽☆ Dewei ☽☆ Dan ☽☆ meliodas ☽☆ Ace ☽☆ Tenma ☽☆ Wu Liang ☽☆ Seiha ☽☆ Tsubasa ☽☆ Nobu ☽☆ Ritsu ☽☆

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Homecoming PpvPsiM Age : 22 ans Date de naissance : 05/10/1995 Astrologie : Balance & Cochon j'ai tout gagné haha! Métier : Il aime faire des petits boulots, travailler dans un bar ou autre trucs du genre, ça lui donne une certaines expériences bien que les mèdecins lui déconseille, Kellian n'est pas du genre à obéir sagement. Année : troisième année Résidant à : dans le dortoir numéro 7 Notes : Passer du temps avec Orion, profiter de mon petit frère pour que le jour où je disparait il puisse garder de bon souvenirs de moi et rire a défaut de pleurer mon absence. Faire plein de mugcake, depuis que Kaien m'a montré comment faire c'est un passe temps et un régale à déguster, vraiment. Devenir ami avec Momiji, je ne comprends pas sa façon de faire, cette violence ou cette réticence à se lier. Essayer d'éviter les crises devant la foule, mon cœur atteint ses limites, il me reste peu de temps. Appeler mes parents et les rassurer, tout va bien, je vais bien.

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Discuter avec Tsukiko, c'est agréable de pouvoir partager des conversations avec une personne qui comprends ce que c'est d'être malade. Regarder Kaoru jouer aux jeux vidéos et m'amuser avec son visage de marbre. Manger et boire tout ce que je peux, même si je suis limité en apport liquide, je veux gouter a tout!

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Arrêter de vouloir être son ami. Usagi Momiji c'est fini. Vérifier sur ma liste des souhaits ce que je peux encore faire avant de mourir. Rêver et transmettre ma vision a ceux qui seront réceptif, vivre c'est le plus important.
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On a tous une histoire à raconter, qu'elle soit courte ou bien longue, la vie est remplis de surprises et de souvenirs, la plupart sont partagés avec nos amis avec qui on aime se remémorer le passé.

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Ce message a été posté Ven 23 Jan - 8:20
TenueMa mère était une des rares femmes de l’armée à avoir un rang élevé. Elle faisait partie de ceux qui s’occupe de la main-d’œuvre mécanique, elle était douée et respectée. Je ne peux pas dire que je « l’aime » car dans ce monde, j’ai grandi sans vraiment en connaitre le sens, je n’ai jamais à proprement parlé aimé et même si on a toujours eu une certaine complicité entre nous, que ce soit avec mon père où elle, je n’ai pas hésité à les abandonner derrière moi pour partir à la découverte du monde quand après vingt ans d’existence ils ont fini par m’avouer la vérité sur ma naissance suite à mes interrogations. Je suis heureux d’avoir des « parents » comme eux et dans mon cœur, aussi froid soit-il je sais qu’ils auront toujours cette place spéciale. Pourtant si un jour je meurs est-ce qu’ils seront tristes ? S'ils meurent serais-je triste ? Pour eux je l’ignore, mais moi j’ai côtoyé trop de fois et trop longtemps la mort pour pleurer la disparition des soldats, je suis un insensible dans l’âme et je ne le cache pas, si en apparence j’affiche un gars des plus sociables et agréables, souriant et chaleureux, la réalité des choses fait que... Je ne tiens réellement pas a quelqu’un. Sauf... à « lui ». Pourquoi est-ce qu’on m’a mis sur sa route ? Pourquoi l’a t-ont mis sur la mienne ? Des questions bien compliquées auxquelles aucune réponse ne peut être donnée, mais je sais que le fait qu’il soit le seul que je ne laisserai pas mourir est un signe bien suffisant de mon attachement envers Gabriel.

Pour en revenir au moment présent, je dois dire que ça part un peu en vrille, pour changer, ma mère est un peu beaucoup démonstrative, du moins elle sait très bien en jouer et elle en devient parfois même assez lourde, je ne peux cependant pas nier que son côté « je saute aux conclusions » est assez amusant. À la réponse de ma cousine je souris et lâche naturellement.

« Tu m’as enlevé les mots de la bouche ! » Sur le point de prendre congé pour notre affaire en cours, je n’échappe pas au coup laissé par Saya qui prend parti pour ma mère, alors c’est ça qu’on appelle la solidarité féminine ? Je soupire en me frottant la tête laissant un « Tss » sortir banalement. Quittant les lieux elle me fait dire des choses totalement insensée cette femme, bonne vieille qui arrive à me faire parfois perdre mon sérieux, alala, c’est surement son côté maternel qui prend le dessus. Puis quand ma cousine parle de mariage, je la regarde en souriant, jouant le jeu.

« Bien entendu ! C’est évident. » Au final on arrive donc à notre point critique, là où tout va commencer. Le plan mis au point, il est temps de se jeter à l’eau, j’espère que cela vaut la peine de faire tout ça et qu’il y aura des indices nous menant sur la piste des criminels, que ce soit mes anciens partenaires ou non il faut qu’on en soit certains avants d’agir. Restant avec des anciens camarades dans les couloirs du dortoir, je laisse Saya faire sa route jusqu’à leur chambre et je me retiens de sourire à sa remarque, il y a que des hommes ici après tout et la sueur des exercices tout ça, c’est sur que l’odeur de la rose est bien loin d’être présente. Je continue d’agir le plus naturellement possible en écoutant les mots glissés dans le micro par Saya et je serre les poings quand j’entends parler du fleuriste et des roses jaunes... Je suis maintenant certain que ce sont eux, même si cela ne suffit pas à le prouver, ce simple indice me donne la conviction qu’il me manquait et intérieurement je suis en train de bouiller, mes nerfs à vif j’ai des envies de meurtres ! Puis quand je comprends qu’elle a trouvé autre chose dans son « panier » j’ai juste envie de sortir d’ici le plus rapidement possible et quand elle me rejoint je ne prends pas la peine de rires ou autres, saluant les soldats qui semblent tristes que je m’en aille si vite et que Saya aussi d’ailleurs, elle semble avoir tapé à l’œil de certains d’entre eux, aha ce n'est pas ma cousine pour rien celle-là. Très vite on reprit le chemin inverse, sans me retourné je quitta la base suivi par ma cousine, retrouvant le volant de ma voiture, je pousse un lourd soupire et je suis impatient d’entendre ce qu’elle a trouvé ce qui ne mit pas longtemps à arriver. Et sans hésitation en démarrant le moteur je répondis.

« Je vais bien, par contre je risque de t’impliquer dans quelque chose que tu dois être sûr de supporter, parce que... Je vais surement les tuer Saya. » S’ils s’avèrent coupables je n’aurais aucune pitié et bien que je sache qu’elle est loin d’être une fille innocente, je veux qu’elle soit certaine de vouloir aller plus loin. Prenant la route je décide de conduire le plus rapidement possible en direction de l’agence où doit se trouver mon jeune patron, il saura quoi faire de cette clef USB qu’elle a trouvé et au bout de plusieurs heures à conduire, nous arrivons à Tokyo, la route fut calme et je suppose que c’est normal après tout ça, ce qui nous attend est encore incertain et moi-même je ne sais pas où cette histoire nous mène, mais je suis déterminé à la reprendre en main et à suivre mon ami, mon partenaire. J’ai hésité et j’ai voulu réfléchir dans mon coin, mais c’est terminé, après ça il est hors de question que je l’abandonne de nouveau, tel était ma promesse après tout. Il fait nuit... Je ne sais pas trop quelle heure il est, mais nous sommes arrivés à l’agence et je m’empresse de rentrer, allumant les lumières, il n’y a personne... Gabriel n’aurait pas quitté l’affaire en route, quelque chose est étrange, même l’ambiance de la pièce ne m’inspire pas confiance, ma veste... et, m’accroupissant au sol je touche cette tache rouge du bout des doigts... Du sang ? Mon esprit virevolte en une seconde, il n’y a plus de temps à perdre, je ne suis pas d’humeur à rigoler, mes poings sont si serrés par les nerfs et l’inquiétude qui s’empare de moi que j’arrive à me faire saigner, attrapant mon téléphone pour essayer de me rassurer et de joindre Gabriel, à peine allumé je remarque que j’ai un message... Gabi ? Je regarde Saya et sérieux, je mets le haut-parleur...

.....
....
...
..
.


La voix de ces enfoirés résonne encore dans ma tête, les mots qu’ils osèrent lancé et... Gabriel. Mon corps tremble... il tremble littéralement et ...

« S... Saya. Je crois que je vais... exploser. » La colère se lisait sur mon visage, je ne plaisantais pas, j’étais redevenue le soldat sans aucune pitié, mon regard était noir. «Rikiya… » mon cœur s’arrête. Je mords ma lèvre à sang, je n'ai jamais été aussi énervé et effrayé en même temps.

« Oh que oui je vais prendre mon pied... a tous vous tuer. » Avais-je murmuré et mon regard se posa sur ma veste, elle n’était pas là par hasard. Remarquant la trace des dents je la souleva quand le téléphone de Gabriel tomba au sol...

« Gabi... » J’attrape son portable et sans hésité je cours sautant toutes les marches, faisant un saut à travers la fenêtre pour atteindre plus vite la voiture, je démarre et sur le point de partir, je vois Saya et m’arrête en lui lançant.

« Une seconde de plus et je partais sans toi. » J’étais sérieux, ce n’était aucunement pour plaisanter. Je savais parfaitement ce que je devais faire et où je devais aller, mais je ne comptais pas perdre la moindre seconde, si j’arrive en retard... Non, j’y arriverai à temps, je le dois !

« Ces enfoirés. » Je le répéta plusieurs fois, avant de prendre la direction du quai, une chose est sûr il allait me le payé. La voix de Gabriel résonne encore en moi appelant mon prénom, je frissonne de rage, ce sont des hommes morts.

Anonymous
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Ce message a été posté Sam 24 Jan - 14:03
Tenue – Je suis inquiète pour Rikiya. Ses réactions m’effraient en quelque sorte je présume. Tuer avec si peu de preuves c’est dangereux, je peux toujours essayer de le couvrir et je pense que Mochi san le fera aussi. Au pire je demanderais à Shirong de nous aider. Je peux faire ça pour mon cousin en même temps, j’ai envie de le protéger même si, je sais qu’il est fort. Je suis incapable de tirer, mais, en même temps, c’est nous la police qui les avons entrainé là-dedans il est donc, notre devoir de veiller sur eux du moins, je présume. Je réponds à ce qu’il me dit car, je sais qu’il veut les tuer…

«Ne t’en fais pas pour moi ! Je m’attendais à être impliquée de la sorte quand je t’ai accompagné !»

Je ne mentais pas. Je le regarde franchement avec un air décidé. Dans sa situation, j’aurais dégainé aussi. C’est à ce moment-là que je reçois un message pour me prévenir qu’un nouveau corps a été découvert. Ils ne perdent pas leurs temps. Toutefois, j’envoie juste un texto à mon ancien supérieur pour lui dire que je me dirige avec Rikiya à leur agence. Mais, qu’il m’envoie des photographies car, je ne suis pas certaine que je pourrais me rendre sur la scène de crime ou à la morgue. Je lui fais confiance et je compte l’accompagner partout où il ira ce soir. En tout cas, je me demande ce qu’il y a sur cette clé comme sur cette bobine où il faut développer les photos. Nous sommes silencieux tous les deux dans la voiture chacun vaquant à des pensées qui doivent se ressembler. J’ai l’impression d’être un spectateur, juste un simple spectateur et je n’aime pas ça…. Nous mettons quelques heures à arriver et, je dois avouer que l’endroit est bien pensé même si, je trouve que c’est un peu lugubre mais, c’est un peu ce à quoi je pensais en imaginant leur « planque ». Quand nous montons je remarque des dégâts et je commence à avoir peur… Mon sang se glace… Qu’est-ce qui s’est passé ici ? J’ai l’impression qu’une grenade s’apprête à exploser.

Je le regarde sérieusement et hoche la tête un peu en avant pour le pousser à mettre le haut-parleur et là je crois…. Que j’étais loin de ce que j’avais imaginé. Mon teint devint blanc. Comment…. Ce sont des monstres et notre pays est confié à de tels monstres ? Je crois qu’il va vraiment falloir vérifier tous les « soldats ». Plus que ça, je peux voir que Rikiya voit rouge… Je l’entends et, j’essaie d’esquisser un pas vers lui mais, il me terrifie… Il est sombre. Je n’ai jamais autant vu d’aura meurtrières réunies dans un seul corps… Il est dangereux… Je regarde la veste et voit la marque de dents me rappelant parfaitement ces premiers mots entendu sur la messagerie et son portable qui tombe… Ce petit il…. Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit que Rikiya sort et je le suis instinctivement sans un mot. Je ne peux pas le blâmer de vouloir les tuer c’est son coéquipier qui est en danger de mort. Je pense que moi-même j’aurais réagi ainsi ! Il n’y a pas de doutes là-dessus. Je dévale les escaliers deux par deux et je cours à en perdre haleine. Je ne m’arrête pas quand je le vois dans la voiture. Je finis par lui répondre :

«Tu as besoin d’un médecin ! Allez roule !»

A peine ais-je repris ma place du côté passager, qu’il démarre avant même que je ne ferme la portière mais, je le comprends… Qui n’agirait pas ainsi ? Je suis inquiète pour lui mais, aussi pour Gabriel. J’espère que rien de mal ne lui ait arrivé mais, ma poitrine se compresse. Je souhaite que nous arriverons à temps… S’il y a un dieu quelque part… Une force divine, j’aimerais qu’elle soit là pour veiller sur ce jeune patron. Je ne veux pas perdre mon cousin que je viens d’à peine de rencontrer et encore moins son coéquipier. Ils sont encore trop jeunes. Je ne réponds pas à son injure car, je n’en pense pas moins. Je n’essaierais pas de l’arrêter parce que moi aussi, si j’étais dans la capacité de tirer, je le ferais sans aucuns doutes.

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Homecoming

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