X+18présence connexion 5/7présence rp 3/7feat Sally Chou

Scénario Inventé

◆ Nom  Wang ◆ Prénoms Qing Zhao 清照, originellement Wu Qing 无情 ◆ âge dix-sept ans ◆ Date de naissance 21.11.1998 ◆ Ville de naissance province de Yunnan ( 雲南), retrouvée dans les Gorges du Saut du tigre (虎跳峡) ◆ origine chinoise, il est difficile de retracer ses origines puisqu'elle a été abandonnée à la naissance ◆ groupe lycéen ◆ année terminale,  s'impatiente à l'idée de pouvoir en finir ◆ Section aucune pour le moment ◆ Matières toutes sans exception ◆ sexualité Hétérosexuelle par défaut, bien qu’elle ne soit pas vraiment intéressée par ce genre de question.  Seul le coeur l'intéresse. ◆ situation célibataire, jusqu'au jour où un prétendant assez virile supporte l'idée d'avoir non pas une épée de damocles fictive au-dessus de la tête, mais une bombe à retardement attaché au torse . ◆ Qualités Compétitive, enjouée, débrouillarde,  douée, téménaire, créative, endurante, intuitive, minutieuse. ◆ Défauts Violente, irrationnelle, secrète, capricieuse, manipulatrice, impulsive, émotive, jalouse, possessive, colérique. ◆ Couleur préférée  Rouge ◆ Boisson favorite schweppes au citron, bien frais surtout ◆ Vis dans les dortoirs  oui, bien que Xia He l'oblige à retourner à l'appartement ◆ Permis de conduire  officiellement, non. ◆ revenus et/ou métier  rien de bien légal dans la plupart de ses activités, néanmoins, elle est employée à temps partiel d'un café.

◆ Depuis son arrivée au Japon, le son ou la vision de la pluie la paralyse et l’angoisse. Ressurgissent alors dans son esprit les moments les plus difficiles qu’elle ait pu subir. Alors qu’elle devrait se sentir libre et en sécurité, elle ressent toujours au fond d’elle une appréhension. Et si… La pluie fait renaître une cage où elle resombre dans le passé. ◆ Elle fait souvent des crises d’insomnies, dormir l’angoisse tout comme l’obscurité. Il y a un vide en elle qu’elle n’arrive à expliquer, alors souvent, elle tente de s’occuper l’esprit ou trouve un semblant de refuge en serrant contre elle, le dog tag qui a longtemps représenté la preuve de son existence. ◆ Bruyante, envahissante, et parfois irrationnelle, c’est le seul moyen qu’elle a trouvé pour ne pas être seule ou le silence. Elle casse, elle crie, elle est fière, mais elle cherche désespérément l’attention. Elle a l’impression d’être sur le bord d’imploser quand ses questions ne trouvent pas écho. Des pulsions autodestructrices, une colère intérieur qu’elle ne semble pas maîtriser. ◆ Inconsciemment, elle continue de chercher son frère. Parfois, elle est certaine de l’avoir entraperçu dans la foule. Elle reproche à Xia He sa disparition mais ne peut accepter la réalité. Certains jours, lorsqu’elle voit un couteau, elle rêve de partir loin, de qui sait le retrouver lui. En attendant, elle se fait un malin plaisir à pourrir la vie de Xia He. Elle éprouve du ressentiments à son égard, et plus que tout, elle se déteste de dépendre autant de lui. ◆ Elle traîne souvent dans les conservatoires, elle trouve le son des instruments de musique fascinant. Elle aimerait apprendre mais n’ose pas vraiment, alors elle observe pour ensuite tenter de reproduire les mouvements par elle-même, en se faufilant la nuit dans les lieux. Après le fantôme de l’opéra, le fantôme du conservatoire. ◆  Si elle n’est pas en train de tester les explosifs ou autre création de sa main, elle s’amuse à faire planter les systèmes de sécurité des établissements à proximité. Parfois, pour aider Xia He afin de lui faciliter la tâche lorsqu’il fait ses sessions de nettoyage, ou alors pour se venger personnellement d’un « mauvais traitement », ou pointer du doigt une injustice dont elle aurait été témoin (et facultativement une caméra). ◆ Elle a la main verte. Tout ce qu’elle plante pousse toujours avec abondance. Ce n’est pas comme si elle parlait aux plantes ou leur faisait écouter de la musique pour stimuler leur croissance. Mais, étrangement, c’est une bonne jardinière. Elle saoule Xia He pour vivre pour avoir un espace jardin, une serre, un endroit comme un jardin secret. ◆ Elle est maladroite dans ses relations, et finit toujours par utiliser la violence ou la méchanceté.  Elle n’aime pas qu’on lui dicte les choses mais ça ne l’empêche pas de les prendre en considération. Elle n’aime pas qu’on décide pour elle, mais ça ne l’empêche pas de prendre la même décision. Elle est pleines de contradiction, elle se complique souvent la vie car elle ne sait pas accepter, elle ne sait pas recevoir. La gratuité l’effraie. ◆ Elle sèche souvent les cours pour traîner dans l’établissement, souvent sur le toit pour s’improviser un mini-bain de soleil ou sieste, dans la librairie pour lire un manga, sur le lit de l’infirmerie pour jouer sur son smartphone, dans le terrain de basket à tirer des balles, dans la piscine à faire de l’apnée. Elle se fait son propre programme tout en ayant des notes plus qu’honorables enfin de semestre. ◆ Elle parle plusieurs langues, chinois, nord-coréen, japonais et anglais. Des langues qu’elle a apprises lorsqu’elle était une recrue des forces spéciales afin de pouvoir espionner et comprendre les directives des opposants afin d’anticiper leur action. Les langues faisaient partie de cet apprentissage tout comme la géographie, la politique, l’histoire, etc.

C'est ta vie, ta story, ton destin.
«  L'homme seul est l'auteur de sa propre histoire »

Mon univers était une tour dont les fondations étaient la peur, la soumission et l’acceptation. Une tour si sombre et si haute, j’avais beau la fuir, je la voyais toujours et elle me retrouvait toujours. Fuir était qu’une illusion, un mot sans fond, un mensonge grossier pour les plus insouciants. Ma liberté était de lourdes et froides chaînes et le métal faisait résonner mes pensées alors j’ai appris à ne plus penser, a simplement obéir et me résigner pour que mes enclaves ne resserrent pas davantage leur emprise autour de mon cou, mes poignets, mes chevilles. La tour était vivante et son silence me glaçait le sang  mais tant que le calme régnait, je me savais épargnée de ses foudres  J’étais seule et désespérée dans la noirceur de la tour, et pourtant, il me suffisait de tendre l’oreille pour entendre la détresse des autres. L’obscurité emplissait les lieux, nous nous pensions seuls mais nous étions nombreux. Nombreux à fermer les yeux et nous recroqueviller sur nous-même. La seule lumière qui me restait, une lueur étouffée au plus profond de mon âme. Faites qu’elle ne la voit pas, les ténèbres m’angoissent.    Un jour, la tour m’a laissé sortir et j’ai découvert un autre monde baigné sous les raies lumineux de l’astre diurne. Je ne pouvais ni sourire, ni même me réjouir car même si en me retournant je ne voyais plus cette tour imposante, je savais qu’elle continuait de m’épier. Ma liberté avait un prix, la douleur de mes proches. Même en étant libérer de mes enclaves, j’avais encore leur poids autour de mon cou, mes poignets, mes chevilles. Je n’avais plus peur, j’avais appris à vivre avec. La tour était ma maîtresse et j’ai à jamais son éternel serviteur, son ombre dans ce monde de faux-semblant. Dans ce nouveau monde, les gens souriaient et riaient à gorge déployé, mais ceux que j’avais laissés continuaient à pleurer des larmes de sang, à serrer leur point et à vivre consciencieusement. Mon cœur s’endurcit, je ne devais pas oublier d’où je venais. La lumière m’éblouissait, elle m’aveuglait dans ses reflets hypocrites mais telle une tour, je resterai inébranlable. Je peux feindre un sourire, forcer un rire, danser et jouer à faire semblant si on me le demande. Tout ceci n’est qu’une comédie où je fais que jouer un rôle. Mon corps est ici mais mes pensées vont toutes dans la même direction. Le temps passe, les jours s’écoulent et les saisons se succèdent, cependant je reste là, enracinée et fière telle une tour. Formatée, la Tour est ce qui fait battre mon cœur, je la déteste tout comme je ne peux m’en passer. Je ne vis que pour elle mais ne représente rien pour elle, si ce n’est qu’un pion dans un échiquier géant. o1.  Le frère stupide Assise, le regard baissé, l’enfant regarde les traces de sang sillonnant la surface rugueuse  du bois. Le spectacle était le même depuis qu’elle était en âge de raisonner ; l’enfant assis avant elle était mort, une balle dans la tête. L’impact se voyait au sol, mais la balle avas disparu. Ils faisaient exprès de laisser ses tâches, tel un esto memor. La peur avait laissé place à l’indifférence, la mort était devenue chose commune dans ses lieux. Les jours passés à l’orphelinat ressemblait à un rêve, teinté de bonheur bien que l’enfant savait que la directrice qu’elle aimait tant l’avait vendu à ses officiers en uniforme un beau matin. Depuis, ses camarades disparaissaient les uns après les autres mais les exercices continuaient. Les pleurs ne les ramèneraient pas à la vie, l’affection était un poison et trop réfléchir était des tourmentes inutiles. « Vous avez trente minutes pour assembler les pièces l’arme posée devant vous. Tous ceux qui ne respecteront pas le délai le payeront de leur vie. » Le compte à rebours était lancé, l’enfant de ses petites doigts frêles s’exécutait tandis que les officiers déambulait le long des rangées d’enfant pour surveiller qu’ils faisaient leur travail sous menace de se faire battre, pour finalement y laisser la vie. Aujourd’hui, c’était une arme à feu, demain peut-être une bombe artisanale, ou encore le test où chacun devait faire preuve de résistance au poison jusqu’au bout du temps imparti pour avoir une chance d’avaler l’antidote, sans compter les épreuves physiques. À la fin de la journée, les enfants étaient tous rassemblé dans un bungalow, tous recroquevillé sur eux-mêmes, en attendant avec angoisse, que le jour commence. Personne ne parlait, on entendait des pleurs étouffés ou encore des cris, mais personne n’osait regardait son voisin. Car demain, il y avait des chances qu’il disparaisse. Chacun essayait de surmonter comme il le pouvait, ce cauchemar. Allongée, la petite fille ne pouvait s’empêcher d’essuyer ses larmes. Demain l’effrayait, elle se sentait lésée et à bout de force. « Ne pleure pas, t’es encore plus moche comme ça » elle lève les yeux et découvre un garçon accoudé sur son matelas, contaminé par ses larmes puisqu’il commençait lui aussi à pleurer. C’est avec cette phrase maladroitement formulée qu’elle a rencontré celui qui deviendra son grand-frère. Il était plus grand qu’elle, mais aussi ridicule qu’elle. Le temps passait et il continuait à veiller sur elle. Dans cet enfer, il représentait à lui seul un univers où elle pouvait trouver de la chaleur humaine, du réconfort et des mots attentionnés. Elle voulait vivre, elle avait une raison de se battre. Dans cette grande tour, elle avait trouvé une lueur qu’elle pensait disparu. o2.  L'angoisse de l'attente Assise, le regard baissé, l’adolescente regarde sa plaque d’identité militaire accrochée autour de son cou. Cela faisait plusieurs heures qu’elle patientait sur le banc, non loin de l’entrée du bungalow. Elle était seule, son grand-frère était parti en mission et aujourd’hui était le jour où il était supposé rentrer. Il était rare de perdre un camarade d’arme dans les locaux, c’est à présent au-delà des murs que la mort rodait. Ainsi, l’adolescente ne pouvait s’empêcher de paniquer à l’idée que son frère Leng Xue ait du retard. Celui qui traversera le seuil de la porte sera lui ou alors un autre tenant son pendentif pour le lui rendre. La porte s’ouvre et son visage ne pouvait cacher la déception lorsqu’elle reconnaissait Xiao Lu, le meilleur ami de son frère. Elle se lève et lui saisit la main, pour le forcer à ouvrir sa paume, et un sourire se dessina sur le coin de ses lèvres. « Ne fais pas l’imbécile, entre » cria-t-elle avant qu’une silhouette apparaisse et ouvre ses bras, bras dans lesquels elle se logea. Dix ans les séparait mais lorsqu’on les voyait, on oubliait souvent qu’elle était si jeune et lui aussi vieux. L’adolescente était contente de le revoir, de les revoir. Après avoir quitté l’étreinte de son frère, elle enroula son bras autour de celui de Xiao Lu, le regard pétillant « 3 matchs, si tu perds tu devras me raconter tous les détails de la mission ! » Elle-aussi avait hâte de commencer les véritables missions de terrain. Elle ne faisait que des missions de support, ou d’éclairage, jamais elle n’avait encore fait de face à face. Les seuls qu’elle pouvait faire, c’était par les entraînements avec ses camarades, son frère ou le meilleur ami de celui-ci. Elle l’aimait bien Xiau Lu, contrairement à son frère qui se montrait envahissant et parfois immature ne la prenant jamais au sérieux pour la faire tourner en bourrique, lui était beaucoup plus calme et ne la ménageait absolument pas dès lors qu’elle lui demandait de s’entraîner. D’une certaine façon, elle l’admirait et ne pouvait s’empêcher de se vanter aux autres d’être proche de lui. Après tout, il faisait partie des meilleurs avec son frère, il était premier dans sa catégorie, le chef d’équipe. Le temps qu’elle passait avec eux était souvent court, les missions s’enchaînaient souvent et elle restait seule. Elle voulait grandir plus vite, elle travaillait dur pour obtenir la reconnaissance de ses supérieurs car elle espérait pouvoir partir un jour en mission avec eux.  Aujourd’hui, ils étaient supposés revenir, comme à son habitude, elle attendait de les accueillir à l’entrée. Mais au lieu de ça, un officier est venu la chercher pour lui faire passer un message urgent ; elle devait retourner dans le village. Village où elle vivait depuis un an avec son frère, ils s’étaient installé là pour s’éloigner un peu des murs froids de la caserne lorsqu’ils avaient des permissions de sortie. Parce que l’agent refusait de lui en dire plus, elle se faufila à l’extérieur de la caserne, sans permission, bien trop inquiète. Elle ne voulait pas attirer l’attention, elle sentait que quelque chose n’allait pas. Le même soir, elle retrouva Xiao Lu mais les retrouvailles ne se passèrent pas comme elle l’avait espérer, sa conscience sombrait. o3.  L'ami pathétique Les premiers mois à Tokyo furent difficiles. Il y avait en elle une colère qu’elle ne pouvait contrôler, des émotions qui l’étouffaient de jour comme de nuit, elle avait l’impression de mourir constamment. Elle ne sombrait dans un sommeil sans rêve qu’à bout de force, submergée par une fatigue plus mentale que physique. Elle refusait de croire Xiao Lu, il n’avait aucune preuve que son frère était tombé. Plusieurs fois, elle a tenté de quitter le Japon, mais à chaque fois il se mettait au travers de son chemin. Elle avait beau de frapper, le blesser, le supplier, même à genou il ne vacillait pas. Il était un mur, une nouvelle tour. Plus que jamais, elle se sentit captive. Plus que jamais, elle le détestait. Alors, elle a tenté d’oublier la douleur. Alcool, médicaments, drogue, rien ne faisait effet, rien ne l’écorchait suffisamment pour qu’elle oublie. De jour en jour, elle se détruisait. Même la mort l’avait abandonné. Elle déversait sa colère sur tout ce qui avait le malheur de la croiser. Lui, les objets, les murs, les gens à l’extérieur. Elle voulait tout détruire, elle voulait combler ce trou béant qu’elle avait dans la poitrine. Sa détresse ne trouvait pas d’écho. Pendant plusieurs jours, elle disparut. Dans un endroit qu’elle ne connaissait pas, elle s’est isolée et s’est repliée sur elle-même. Elle est devenue une coquille vide, et son état s’empirait les jours de pluie. En plus de refuser de faire face à la réalité, elle s’enfermait dans la bulle du passé. Lorsqu’elle retrouva ses esprits, elle réapparut devant Xiao Lu. Pour la première fois, elle réalisait sa douleur, ses traits étaient étirés et marqué par le remord et l’impuissance, lui aussi était tout aussi détruit et dévasté qu’elle. Et lorsqu’il remarqua sa présence, elle vit dans son regard un soulagement et une joie, qu’elle sentit au fond d’elle, une chaîne se verrouiller. Ce qu’elle représentait pour lui jusqu’à présent, elle ne s’en était jamais doutée. En prenant conscience du pouvoir qu’elle pouvait exercer sur lui, elle eut cette douloureux au fond de la poitrine. Elle quitta le seuil de la porte, d’une démarche féline, elle s’avança vers lui et doucement, elle l’enlaça. « Je te le ferais regretter » murmura-t-elle. Sans lui, elle se sentait perdu. Le retrouver, la soulageait. Il était un remède et un poison, et même si elle dépendait de lui et ne pouvait le quitter, par cette même proximité elle comptait le faire souffrir. Avec amour et indifférence, elle voulait le détruire. Elle aurait voulu mourir, mais maintenant, elle en était incapable. Elle s’était trouvé une raison de vivre. Une raison pour continuer à errer dans cette obscurité.  Oh, elle l’aimait.

Code:

<span class="botinsym">▲</span> <font color="#e98ab0">Chou Sally ➦ Tzuyu [TWICE]</font> [u]»[/u] Wang Qing Zhao

Ori ; Mon petit 鷄  préféré :-09-: (tu m'épargnes les choeurs, j'y arriverai pas sinon ♥)
Hinhinhin, merci pour ton accueil ! Wiwi, j'arrive en renfort, il manque des jupes au lycée ( ๑ ❛ ڡ ❛ ๑ )

pépé  ; en attendant, t'es loin d'être un modèle ♥ va nettoyer ton cendrier et jetter ses bouteilles vides. ça craint sérieux comme lieu pour qu'une adolescente s'épanouisse :-041-: et je le mérite, c'est toi qui ne mérite riiiiiiiiien. nah.

Merciiii à toiii Yeo Jin ♥
J'en profite pour dire que j'aime ton choix de citation, Confucius  :-025-:  

bienvenue & bon courage pour finir ta fiche ! :0238: j'espère que tu passeras de bons moments parmi nous.

Arigatoooo Iwao :-094-: (je connaissais pas Mr. Nam mais je crois que je vais m'y pencher davantage ♥)

Shuuun ♥ j'étais justement en train de grapher sur ta petite commande (et je continuerai demain, car je vois plus rien à cette heure-ci) ! J'attends avec impatience ton lycéen alors, come on :-01-:

ohhhh tzuyuuuuuuuuuuuuuuuuu; very very good choice; bienvenue ou rebienvenue? et courage pour le reste j'ai hâte hâte de lire la suite tbh :0238::0238:

Mi ; hihihi, j’ai craqué pour cette demoiselle, elle est trop mignooone ♥ et c’est plutôt un rebienvenuuue mais ce n’est que du détail ~ merci pour l’accueil :-0141-:

Raylai ; rooh, c’est de la triche ! mais je ferais en sorte de rajouter des détails, enfin si j’y arrive :-03-: j’aurais bien besoin de chance, mais surtout de dame inspiration pour que ça se finisse vite vite !

Han Byul ; merci à toiiii :-0126-:

Jirô ; omg, un connaisseuuuuuur ! Ne pouvant incarner la jolie Yi Fei ou reprendre son personnage, j’ai repris son nom (tu verras que le frère aura aussi le nom d’un protagoniste, je te laisse deviner lequel :-031-: ) il nous faudra un lien juste pour ça, sérieusement ♥

Shōji ; Merciii beau gosse :0268:

Eri : Sankyuuu à toiii :0252: Lee Ha Yi est tout aussi un choiiiix parfait !

ptn voilà le second chinois, manquait plus que toi bordel ! :0232: rebienvenue sinon ~ et bon courage pour le reste de ta fiche. je viendrais chercher un lien, bien évidemment :-041-:

Kang Jae ; Oh voilà, un con ♥ merci pour ce petit mot d’encourage, grâce à toi, je me suis mis en tête de te répondre qu’en l’ayant terminé :-0126-:

Shojiro ;  J’ai anticipé la vague :0252:  sérieusement, je ne pouvais pas attendre qu’elles débutent pour pouvoir jouer la jolie Tzuyu !  On sera deux à attendre le début !  Merci pour ton accueil ~ ♥