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 bestfriends with benefits [Feat. Suki]

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Anonymous
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Ce message a été posté Jeu 28 Avr - 15:43

" bestfriends with benefits "
••• Je suis confortablement installé devant la télévision, les yeux rivés sur les images qui défilent devant moi, une petite bouteille de lait de soja dans une main, l’autre tenant fermement la télécommande par précaution et pour mieux changer les chaînes, quand je sens soudainement une vague de solitude m’envahir, aussi brusque qu’inattendue. Je ne suis pourtant pas, d’ordinaire, un homme qui craint le fait d’être seul, au contraire. J’apprécie même ces moments où mes pensées voguent là où elles le désirent, où je suis seul dans ma bulle sans personne pour m’importuner. Mais présentement je n’y adhère pas, j’ai envie d’une présence, d’être en compagnie de quelqu’un, pas forcément pour avoir des débats ou juste des discussions normales mais juste pour avoir quelqu’un à mes côtés. C’est une chose qui arrive très rarement, voir jamais. J’aime la solitude, n’entendre aucun bruit ou juste le son de ma respiration, fermer les yeux et plonger dans les parties les plus obscures de mon esprit mais aujourd’hui je n’en ai pas envie, j’ai envie d’être avec un être vivant, un humain. La télévision ne suffit pas à assouvir mon besoin de loup enfermé. J’ai besoin qu’un autre être me tienne compagnie que cela soit dans le silence ou dans le bruit. Je jette un rapide coup d’œil à mon téléphone pour voir la date d’aujourd’hui essayant de trouver la cause de cette envie, car il y a toujours une raison derrière ce désir, et je me rends rapidement compte que dans un mois j’arrive à la date tant détestée, tant redoutée, la date fatidique, la date de ce fameux jour qui a radicalement bouleversé ma vie. Je pousse un long soupir qui reflète bien mon état d’âme. Ce n’est franchement pas le moment de perdre pied, pas maintenant en tout cas. Ceci dit je comprends désormais mon désir d’être avec quelqu’un ce soir, inconsciemment mon esprit s’est mis à y repenser et à m’alerter. Je sais pertinemment que c’est une période où je ne dois pas être seul au risque de ruminer pendant plusieurs heures voir plusieurs jours, entrainant très certainement une décompensation, il est préférable d’éviter une telle situation autant que faire se peut. Je n’ai sincèrement pas envie de retourner dans les profondeurs de mon âme me perdant encore et encore, ramant pour trouver l’issue de secours. Je préfère trouver la solution adéquate pour échapper à ce destin.

Je me lève donc de mon fauteuil avec quelques grognements contrariés et me dirige vers le téléphone fixe pour appeler la personne qui saura répondre, à coup sûr, à ma demande et pas qu’un peu. J’espère vraiment qu’elle va me répondre. Je ne sais pas si à cette heure-ci elle est chez elle ou même si elle est disponible même si je sais que pour moi elle pourra se rendre disponible. Je ne dis pas cela parce que je suis certain de moi ou même parce que j’ai un trop plein de confiance mais c’est juste que c’est ainsi. Je ne saurai l’expliquer mais je sais que cette personne ne pourra pas me refuser. Enfin, cela reste à voir mais pour le moment j’ai totalement confiance en cette personne et c’est bien pour cette raison que je l’appelle à cette heure-ci et que j’ai immédiatement eu une pensée pour elle quand j’ai eu l’envie d’être en charmante compagnie. Je suis tout de même inquiet d’entendre uniquement la sonnerie en écho et pas sa voix. Je tombe alors sur le répondeur et préfère lui laisser un message, sait-on jamais, « Koonneekkoooo» dis-je d’une voix mielleuse, « où es-tu ? Que fais-tu ? Me trompes-tu déjà ? Mon cœur est brisé, reviens moi vite ». Je raccroche en explosant presque de rire. Je dois avouer que même en temps normal je me pose quelques questions sur ma santé mentale. Si quelqu’un m’avait entendu il aurait sûrement fait les gros yeux prenant immédiatement ma température, de un parce que je ne suis pas du tout un homme qui va dire de telles sottises si pathétiques, et de deux parce que je suis un homme célibataire sauf au lit. Mais je ne suis pas malade, en tout cas pas pour ça. Je la rappelle une seconde fois et tombe une seconde fois sur le répondeur, « YAH » dis-je en employant un ton plus agressif, « si tu ne viens pas chez moi dans l’heure qui suit je te promets qu’entre toi et moi c’est fini et à jamais ». Je raccroche de nouveau et esquisse un petit sourire. La pauvre, dire qu’elle doit supporter un être tel que moi. M’enfin ceci dit je n’ai jamais un tel comportement sauf peut-être de temps en temps avec elle, mais rien de bien méchant. Je pars me réinstaller sur mon fauteuil. Tant pis si elle ne vient pas, le simple fait de l’appeler a finalement eu le don de m’apaiser et d’entrer de nouveau dans ma solitude.
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Ce message a été posté Jeu 28 Avr - 17:02
Le magazine entre les mains, elle tourne les pages au fur et à mesure de sa lecture. Le regard rivé sur les pavés écrit, les gros titres, les photos, elle semble concentrée sur sa lecture. Elle semble, car sa tête bouge légèrement au rythme de la musique. Musique qui vient de son IPhone posé sur un petit tabouret près de la baignoire. Elle fait deux choses en même temps, pourtant elle ne manque pas une miette sur les derniers potins. Cela fait presque une heure qu’elle est dans son bain et il faut savoir qu’elle n’a pas l’intention d’en sortir. Sa lecture se termine rapidement, ouais, bon, elle n’a pas appris grand-chose, elle savait déjà tout grâce à twitter. Internet est plus rapide pour ces choses-là. Elle soupire en se redressant légèrement pour jeter le magazine par terre. Elle se remet bien vite en position plongeant ses avant-bras trop secs depuis longtemps. Elle affiche une grimace quand elle se rend compte que l’eau est entrain de refroidir. Avec un grognement, elle se poste en position assise, vidant un peu la baignoire avant de remettre de l’eau bouillante. Elle se perd dans ses pensées pendant que l’eau coule. L’eau est trop clair, vraiment. Elle souffle avant d’afficher un sourire pervers. Elle recule trop vite dans la baignoire ce qui créer une mine vague. Elle se fige, priant pour que l’eau ne coule pas en dehors. Ouf. Elle soupire, rassurée avant de fouiller dans le petit placard sous le lavabo près d’elle. Elle se contorsionne un peu à la recherche du précieux. Elle sort un panier avec des boules à l’intérieur. Elle regarde, le plus sérieusement, ces boules précieuses, comme si le choix relevé de l’avenir du monde. Elle prit une boule aux teintes roses dans sa main et referma le placard. Elle la plonge rapidement dans l’eau et éteint l’eau chaude. Telle une enfant, elle se concentre sur sa boule à effet effervescence. L’eau prend rapidement une jolie couleur rose avec des paillettes. La russe est genre, clairement, amoureuse des boules de bains de la marque Lush, depuis qu’elle a découvert cette marque, elle a littéralement dévalisée le magasin. La musique se stoppe, elle ne sait pourquoi et en cherche pas vraiment à comprendre, trop concentré sur ce qu’il se passe au-dessus de ses jambes. La musique reprend et c’est la chanson Alive de Vixx qui envahit la salle de bain. Il faut l’excuser, même à vingt-trois ans elle essaye d’attraper l’eau avec les paillettes. La musique se recoupe et un grognement s’échappe de sa gorge, pour autant, elle ne regarde pas qui c’est. La personne attendra encore un peu. Suki sort ses mains de l’eau pour défaire le reste du chignon qu’elle s’était fait il y a une heure. Elle tente de refaire un chignon mais abandonne l’idée, se disant que de toute façon, elle va devoir les laver après. La musique reprend un peu plus loin. Elle a manqué le refrain et se rend compte que c’est déjà la fin. Elle affiche une moue boudeuse en se rallongeant dans l’eau. Son regard fatigué se pose sur le plafond de sa salle de bain. « .serait pas mal que je mette quelque chose là-haut. ça fait triste un peu. » lâche-t-elle dans le vide. Elle hoche la tête, contente de sa propre idée, peut-être pensé à acheter le rétroprojecteur qui projette un ciel étoilé. Ce serait classe. Elle sort une main de l’eau et l’essuie avec la petite serviette à côté de son portable. Evitons de le noyer. Elle attrape son IPhone 6 rose gold et appuie sur le détecteur d’emprunte. Deux appels en absence de Doby. Un sourire s’affiche tout de suite sur ses lèvres. Doby = Horobin. Plus quelques autres notifications qui n’ont pas grande importance. Deux messages vocaux, elle appuie sur la touche adéquate et met le hautparleur. Sa voix sur le premier message la fait rire. Qu’est-ce qu’il lui arrive à celui-là ? Puis vient le deuxième message. Elle lève les yeux au ciel. « .aish, t’as vraiment le don d’apparaître quand il faut pas toi. » elle éteint son portable, elle ne prend pas la peine de lui répondre. Un soupire presque exaspéré sort de ses lèvres tandis qu’elle débouche la baignoire. Prête à prendre une douche.

Clairement, elle n’a fait aucun effort ; les cheveux encore humides de sa douche sont attachés en chignon fait à la va vite tandis qu’elle est habillée d’un bas de jogging, d’un débardeur noire sous son gros pull à capuche. Postée devant l’appartement de Doby, elle tape plusieurs fois à la porte. « .YAAAH. » lâche-t-elle en tapant une nouvelle fois à la porte. Elle espère qu’il est là parce que sinon il va l’entendre ! « .Ouvre la porte mocheté, sinon tu vas voir ! » non, avec son meilleur ami, elle ne fait pas dans la dentelle. Des personnes passent derrière elle, ce n’est pas pour autant que la russe baisse la tête, au non, au contraire, elle les regarde passer avec un faux sourire sur ce visage qu’elle n’a pas pris la peine de maquiller. Les passants se montrent choqués d’un tel comportement. Connaissant son caractère, elle ne s’arrête pas. « .il vous faut quelque chose ? » demande-t-elle d’un air hautain. Le monsieur secoue la tête et soupire avant d’emmener le reste de sa famille plus loin. Suki leur fait une grimace dans le dos avant de refaire face à la porte. Qui ne s’ouvre toujours pas. Elle inspire profondément et finalement, elle décide de taper le code d’entrée. La porte s’ouvre et la jeune femme prend ses aises en pénétrant dans l’appartement, tombant nez contre le torse d’Horobin. « .TOI JE VAIS TE … » commence-t-elle en lui sautant dessus, passant son bras autour de son cou pour abaisser sa tête à la hauteur de son ventre. « .je te déteste, c’est finit entre nous, tu le sais ça ? je me suis tapée la honte devant tes voisins ! ils m’ont prises pour une tarée ! » finit-elle par gémir.

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Ce message a été posté Sam 30 Avr - 22:32

" bestfriends with benefits "
••• Je regarde l’heure qui tourne sans vraiment savoir ce que j’attends, le regard dans le vide, je regarde la petite aiguille qui tente de rattraper la grande, mais c’est toujours la plus grande qui passe et repasse devant elle, sans même lui prêt attention. Elle a quand même une vie bien triste cette petite aiguille car elle aura beau faire tous les efforts du monde jamais elle ne pourra rattraper la grande aiguille, jamais elle ne pourra surpasser son temps. Elle doit se sentir frustrée mais elle doit aussi avoir l’habitude. Je commence donc à partir dans une profonde réflexion concernant les deux aiguilles de l’horloge face à moi mais je me rends rapidement compte de la stupidité de mes pensées et sors rapidement de ce débat. Je m’ennuie vraiment beaucoup pour échanger sur de telles stupidités. Je me lève donc de mon siège et m’en vais prendre une douche, histoire de me rafraichir un peu et surtout histoire d’attendre la présence de ma très chère compagne que je viens tout juste d’appeler, même si cela me parait déjà loin. A peine ai-je fait un pas vers la salle de bain que la sonnerie de l’interphone résonne me faisant sursauter. Par réflexe je pose une main sur ma poitrine, surpris par cette perturbation. Je n’ai pas le temps non plus de me poser la question de qui se trouve derrière la porte que j’entends d’ors et déjà la voix charmeuse de ma meilleure amie. Un sourire se délie sur mon visage, l’éclairant soudainement. Elle est déjà là et pour mon plus grand bonheur. Je savais que je pouvais compter sur elle et qu’elle allait courir pour venir jusqu’à moi. Certes j’exagère, elle n’a sûrement pas couru, cependant elle est là et c’est le plus important. Je me mets à rigoler toute seule, comme un guignol, quand je l’entends crier de l’ouvrir. Elle ne risque pas de passer inaperçue avec le voisinage c’est certain. Aucune retenue cette femme ! Mais c’est bien pour cette raison que je m’entends si bien avec elle. Je m’approche donc doucement de la porte, me positionnant devant, mais je ne l’ouvre pas, la laissant dehors. C’est sa punition pour m’avoir surnommé ‘’mocheté’’, moi le plus bel homme de la résidence. Je n’ose pas dire de la ville ni même du pays car je le sais très bien ça serait mentir et puis je ne suis pas autant imbu de ma personne. Il ne lui faut que quelques secondes pour ouvrir la porte elle-même. Oh ! J’avais oublié qu’elle était l’une des seules personnes à connaître le code de la porte en dehors de ma colocataire bien sûr. Je n’ai pas le temps de me défendre qu’elle m’attaque de suite, m’étranglant presque. C’est toujours une grande joie de la retrouver.

« Yah ! C’est de ta faute, tu n’avais pas qu’à me traiter de mocheté, je t’aurai immédiatement ouvert » dis-je en essayant de sortir de son emprise, « |b]et puis ça ne pourra jamais finir entre nous, tu le sais bien[/b] ». Je finis par parvenir à m’éclipser de son bras en faisant un pas en arrière, histoire de me protéger d’une potentielle nouvelle attaque. Je lui fais un grand sourire tout mignon et presque coquin et dans un geste précipité je l’attrape par la taille pour la porter et la faire tournoyer. Sincèrement si quelqu’un avait été présent il aurait sûrement eu des doutes sur notre relation alors qu’il n’y a aucune question à se poser entre elle et moi. Pourtant il est vrai que je ne suis pas quelqu’un de tactile et je déteste même certaines proximités, je ne suis pas affectueux, je ne sais même pas ce que cela veut réellement dire ‘’prendre soin de quelqu’un’’, mais disons que Suki a su ouvrir une partie de moi que je ne connaissais pas jusqu’à maintenant. Je peux me montrer assez doux en sa présence. Je ne dis pas être un meilleur ami très attentionné, je suis certainement maladroit pour certaines choses et je doute qu’il y ait beaucoup de femmes en ce monde avec un meilleur ami qui sert aussi de plan sexe, mais notre relation fonctionne comme il est et cela me convient totalement. « Tu sais que ça fait longtemps que tu n’es pas venue me voir », ce qui signifie dans mon langage qu’elle m’a manqué et que je suis bien heureux de la voir aujourd’hui. Je dépose un rapide baisé sur son front puis sur ses lèvres d’un naturel déconcertant. « Tu veux quelque chose à boire ou à manger ? Enfin tu peux aussi m’avoir en repas », je lui fais un clin d’œil en disant ça, sans aucun sous-entendu. Je la juge rapidement du pied jusqu’à la tête, un sourcille levé, le doigt pointé vers elle, « C’est sûr que comme ça tu vas en exciter plus d’un ! Ce n’est pas parce que tu te rends chez ton meilleur ami que tu dois obligatoirement d’habiller comme une souillon. Bon . . .  au moins je suis certain d’être le seul homme dans ta vie ». J’ébouriffe ses cheveux encore un peu mouillés.
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Ce message a été posté Ven 6 Mai - 19:34
Elle lève les yeux au ciel, la bouche ouverte laissant échapper un hoquet de surprise. Il ose. Reporter la faute sur elle, après ce qu’elle a dû faire pour arriver ici pour sauver cette demoiselle en détresse. Pourquoi déjà ? De l’ennui ? Elle baisse son regard sur le haut de son crâne, elle tente de le maintenir sous son emprise. Ce qui devient compliqué sachant qu’il est beaucoup plus grand qu’elle et du coup, plus fort qu’elle. Enfin, ça dépend quand même des situations. « .c’est ce que tu dis ! arrête de te chercher des excuses et de retourner la situation contre moi mocheté ! » aller, on en remet une couche, pour le plaisir de l’entendre se plaindre. « .la blague, c’est toi qui l’a dit en premier. » il arrive à lui échapper des bras en faisant un pas en avant. La jeune femme se retourne prête à relancer l’assaut, mais il la connait tellement bien qu’il est déjà en position défense. Elle affiche un sourire amusé sur les lèvres ; elle se radoucit instantanément. C’en est presque déconcertant. Il est l’un des seuls à avoir cet effet sur elle. Elle pose ses mains sur ses hanches. Ouais, c’est vrai, ça fait un moment qu’ils ne sont pas vu de cette façon, disons que tous les deux. Parce que bon, ils se sont vus il n’y a pas longtemps mais ils n’étaient pas seuls. « .je te retourne le compliment ! » c’est l’amour fou entre eux, c’est clair comme du coca. Il dépose un baiser sur son front puis rapidement sur ses lèvres. Geste qui ne la choque pas. Qui ne la choque plus à vrai dire. C’est devenu d’un naturel entre eux. Ce qui pourrait porter à confusion quand même. C’est pourquoi ce geste est seulement réservé quand ils sont seuls. Déjà d’une parce que certaines personnes pourraient les penser ensembles, et de deux, le plus important, c’est que monsieur se fait passer pour un gay pour une soi-disant histoire de colocation. Chose complètement délirante et idiote, made Horobin. Elle sourit puis grimace, se tenant le ventre. Ouais, maintenant qu’il lui propose à boire ou à manger, elle n’a pas mangé depuis le midi. Prête à répondre à sa proposition, son clin d’oeul et elle explose de rire face à la sienne de proposition. Donc c’est pour ça qu’elle est là ? Elle lève les bras et s’étire de tout son long. « .ah mais voilà, je me disais bien qu’il y avait une bonne raison ! » plaisante-t-elle. Elle s’approche de lui et s’arrête, figée par le doigt pointé en sa direction. Elle ouvre la bouche en o avant de baisser le visage vers sa tenue, disons loin d’être glamour. Bon, il n’a pas tout à fait tords là-dessus. Elle n’attire personne dans cet accoutrement, ce qui l’arrange bien en soit. Moins de chances d’être accosté par des lourds. Une souillon ? Elle rit de bon cœur. Le seul homme dans sa vie ? Bon, un demi-point. Il y en a plein, mais lui est là depuis longtemps. Il lui ébouriffe les cheveux, elle lui tire la langue. « .mais oui, c’est ça. moque toi va. tu peux avec tes cheveux blonds. » elle a bien envie de lui faire la surprise pour le lendemain, qu’il se réveille brun. « .et puis oh. c’est un camouflage ! comme ça, je suis tranquille dans la rue ! » elle joue, elle tourne sur elle-même, faisant apprécier son gros pull et son jogging. « .et puis j’ai juste envie de te dire que j’étais encore dans mon bain quand t’as pété ton câble parce que je te manquais, alors faut savoir ! » elle croise les bras contre sa poitrine et affiche une moue boudeuse. Elle le contourne et s’avance dans l’appartement.

Ah ouais, comme une souillon ? Elle n’attirerait personne comme ça ? Un sourire joueur sur les lèvres elle se retourne pour se mettre face à lui. « .et puis sorry not sorry. mais habillée comme un canon ou pas, mon corps est une tuerie et ce n’est pas toi qui dira le contraire ! right ? » conclut-elle en enlevant son gros pull, se retrouvant en débardeur blanc. Oops. Pas de soutien-gorge. Oui, clairement elle a eu la flemme d’en mettre un en s’habillant. Un sourire satisfait sur le visage, elle croise ses bras contre sa poitrine, la relevant et révélant un peu plus. De toute façon, il l’a vu et revu de nombreuses fois, alors une fois de plus, ce n’est pas grand-chose. Elle jette son pull sur le canapé avant de s’effondrer dessus. « .j’ai faim, tu as quoi à manger ? » minaude-t-elle en tenant son ventre. Pour autant, elle n’attend pas, son air suffisant sur le visage, elle traverse le salon pour l’endroit le plus important dans l’appartement, la cuisine qui est jointe au salon. Elle fait clairement comme chez elle. Elle ouvre un placard, puis un autre. Il n’y a qu’avec lui qu’elle se permet des choses comme ça –et ses sœurs mais ça c’est autre chose. « .Alors, dis-moi, je te manquais tant que ça ? tu as perdu ta langue ? »

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Ce message a été posté Lun 9 Mai - 11:05

" bestfriends with benefits "
••• Il est vrai que j’abuse sûrement un peu mais vraiment un peu parce que je sais moi-même que même si elle ne m’avait pas qualifié de moche je me serai amusé à laisser la porte fermée juste pour le plaisir de l’entendre se plaindre et crier.  Elle me connait peut-être trop bien pour savoir que je tente juste d’éviter de rejeter la faute sur ma propre stupidité et malice. Je ne la laisse donc pas parler plus et prends rapidement et immédiatement ses lèvres, ce qui a le don au moins de ne pas continuer le débat. Il connait très bien sa meilleure amie aussi, tout comme elle le connait. Passant dans le salon pour lui proposer certains encas je souris intérieurement face à cette proposition quelque peu tordue. En même temps je pense que Suki a l’habitude d’entendre mes sous-entendus et de les deviner aussi vite que l’éclair, ce qui est justement le cas. Je fronce les sourcils et porte mes mains jusqu’à mes hanches, l’air contrarié et vexé par les propos de la jeune femme. « N’insinue pas que je t’ai appelé juste pour ça » dis-je en insistant sur le dernier mot de la phrase. Tout comme moi elle sait pertinemment ce que ce ‘’ça’’ veut en réalité dire. Certes ce n’est pas un détail commun à toute amitié et ce n’est pas quelque chose qui est évoqué au sein d’un homme et d’une femme non plus, amis soient-ils, mais je me répète, entre Suki et moi il n’y a pas d’ambiguïté, et c’est sûrement là le souci. « Et puis bonne raison pour toi aussi ou juste pour moi ? Parce que bonne ça connote quelque chose de positif ». De toute manière si je le veux, elle le veut aussi, c’est ainsi. Même si son actuel tenu n’est franchement pas agréable au niveau des yeux elle n’en reste pas moins toujours aussi attirante parce que moi je sais que malgré ses vêtements de souillon il y a un corps d’une beauté indéniable. « N’attaque pas mes cheveux blonds, c’est une couleur tendance en ce moment et puis j’avais envie de changer un peu et d’essayer le blond, mais promis je me remettrai brun avant que tu ne me déshérites du poste de meilleur ami ». C’est vrai que dans cette tenue au moins elle n’attire pas tous les pervers de la ville et c’est un avantage, je n’ai pas à m’inquiéter stupidement pour elle et sa survie dans ce bas monde. « Arrête de chercher des excuses aussi et accepte ta vraie nature ».

Je ne peux m’empêcher de rire lorsqu’elle affirme avoir un beau corps caché derrière ce tas de vêtement et malheureusement je dois avouer que je ne peux pas dire le contraire. Un sourire presque malsain s’étire sur mes lèvres quand Madame se décide à enlever son pull, montrant presque sa poitrine. Elle s’est vraiment promenée sans soutien-gorge ? Certes je ne peux qu’admirer la vue devant moi et me sentir tout excité, tel un homme trouvant sa proie, mais quand même, cela aurait pu être dangereux pour elle si quelqu’un d’autre l’avait remarqué, «  tu es vilaine, tu le sais ça ? » dis-je avec un grand sourire reflétant totalement le fond de ma pensée. Je n’ai pas le temps de lui répondre concernant les choix possibles à manger qu’elle s’en va directement dans la cuisine pour faire son propre choix. Je la suis discrètement et l’attrape par les hanches dans un moment d’inattention. J’approche son corps du mien tout en gardant un certain éloignement et lui dit au creux de l’oreille, « j’ai tout ce que tu veux pour manger aujourd’hui ». Je la lâche et lui ouvre un placard juste à proximité d’elle où s’y trouvent quelques biscuits autant salés que sucrés. « Sers toi mais prends pas trop de temps, par ta faute je suis tout excité maintenant », je lui donne une petite claque sur les fesses au passage et retourne me poser au salon, «  et non tu ne m’as pas manqué du tout, sache que je t’ai fait venir ici juste à cause de mes envies masculines et sûrement pas pour te voir ». Bien sûr je le dis sur le ton de la rigolade surtout que de base je ne l’avais pas vraiment appelé pour ça, ce n’était pas en tout cas le premier but. J’ai beau être un homme je ne suis pas non plus une bête, même si parfois il peut y avoir quelques doutes.
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Ce message a été posté Dim 15 Mai - 19:21
Il a l’air vachement outré par ce qu’elle vient de lui dire. Elle sourit, les lèvres pincées, presque contente d’avoir deviné la raison de sa venue ici. Non pas qu’ils fassent ça tout le temps, mais en général, c’est comme ça … « .mais oui, mais bien sûr, j’vais te croire ! à d’autre, je te connais comme si je t’avais fait ! » qu’elle lui lance quand il essaye de se défendre. Elle secoue la tête, elle sait très bien qu’il se fout de sa tête. Elle le regarde, l’air à demi-sérieux alors qu’un sourire moqueur s’installe sur ses lèvres. « .aaah. t’es fatiguant tu le sais ça ? » lui répond-t-elle alors qu’elle passe une de ses mains sur ses cheveux humides et attachés. Il l’attaque sur sa tenue, le traitant de souillon. Elle se défend, tactique pour être tranquille dans la rue, même si la raison principale était la flemme de s’habiller normalement. Cheveux. Elle ne manque pas une seconde de plus pour lui parler de ses cheveux à lui. Une couleur tendance ? Elle ne peut plus se retenir, elle explose de rire. « .ouais, fais-vite sinon le post sera à pourvoir. » elle lui fait un clin d’œil. Elle sait très bien tout comme lui, que cette place qui l’occupe dans sa vie ne sera jamais remplacée par quelqu’un d’autre. D’une, parce que c’est lui et de deux, elle ne s’enverrait jamais en l’air de cette manière avec un inconnu. Bon, bien sûr qu’elle a ses aventures, mais personne ne remplacera Horobin. Elle lui tire la langue quand il dit qu’elle devrait arrêter de se chercher des excuses mais surtout d’accepter sa vraie nature. « .tu peux parler toi et ton jeu d’acteur ! » après tout, ce n’est pas moi qui me fait passer pour un homo dans l’histoire.

Et puis elle se sent joueuse. Pour conclure ses dires, elle enlève son pull devant lui, révélant ce qu’il y a en dessous. Un simple débardeur blanc, sans rien d’autre. Un sourire en coin sur les lèvres, elle le regarde. Son expression change et encore une fois, elle est certaine de la raison. « .je n’ai jamais dit le contraire. » et pour le faire narguer encore un peu, la jeune femme change de sujet, la nourriture. Elle a faim, de quoi, elle n’est pas encore sûre. Elle s’approche de la cuisine. Elle sent des mains se poser sur ses hanches. Elle les connait, vu le nombre de fois qu’elles se sont posées sur son corps. Un sourire s’installe sur ses lèvres tandis qu’elle se mord les lèvres quand il lui chuchote quelques mots à l’oreille. « .irrécupérable sérieux. » lâche-t-elle tandis qu’il fait de même avec son corps. Il lui ouvre un placard et elle n’attend pas une seconde de plus pour mettre la main sur un paquet de gâteau au chocolat. Plus il parle et plus il se trahit. Elle n’a pas le temps de lui faire face qu’il lui met une claque aux fesses avant de partir. « .AH ! tu vois, je le savais ! » dit-elle, un peu trop fort, le doigt pointé vers lui tandis qu’elle ferme le placard de son autre main. « .tu sais, je me sens presque utilisée là … c’est … » commence-t-elle, la main libre porté sur le cœur, une mine exagérée sur le visage. « .et rien que pour ça, tu vas attendre encore un peu. j’ai faim, parce que j’ai pas mangé depuis je sais plus combien de temps ! »  conclut-elle, selon elle, en ouvrant le paquet de gâteau. Elle en fourre un dans sa bouche et le rejoint très vite dans le salon. Il n’est pas très loin du canapé. Elle affiche un air sournois sur le visage et se rapproche rapidement de lui pour le pousser sur le canapé. Suffisamment pour qu’il puisse être assit face à elle. Postée devant lui, elle regarde le paquet de gâteau dans sa main. « .t’en veux un ? ils sont super bons ! » elle est pleine d’innocence.

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Ce message a été posté Jeu 19 Mai - 22:37

" bestfriends with benefits "
••• Je rigole doucement face à sa remarque. C'est vrai qu'elle me connaît très bien, c'est sûrement même l'une des seules filles à me connaître aussi bien, elle n'aurait pas un tel rôle si cela n'était pas le cas. Cependant même si, certes, je l'ai appelé pour qu'elle me tienne compagnie, elle m'est aussi utile pour de nombreuses autres choses, après tout, c'est ma meilleure amie ce n'est donc pas qu'une seule sexfriend comme on les appelle de nos jours, « je vais finir par me fâcher à force » dis-je en lui tirant la langue même si je sais pertinemment qu'elle n'a pas totalement tort. Je prends un air particulièrement choqué lorsqu'elle annonce que le post de meilleur ami sera potentiellement mis sur le marché. Comment peut-elle oser me remplacer ? Moi qui suis le meilleur ami le plus parfait au monde, sincèrement, je suis beau, attirant, chaleureux, drôle, protecteur, bref que des qualités qui vont en ma faveur. « Sincèrement tu veux que je te dis . . . tu ne trouveras pas mieux, mais si tu souhaites me remplacer vas-y, tu reviendras rapidement vers moi ». Il faut bien se valoriser de temps en temps. « Et oui j'ai un très bon jeu d'acteur, que veux-tu, ce n'est pas de ma faute si les circonstances on fait que », mais oui bien sûr, j'ai toujours besoin de me trouver une excuse. Enfin bref, je la laisse donc prendre quelque chose à manger, lui montrant tout de même quelques marques d'affection qui sont dignes de ma personnalité et de ma relation avec elle.

Après m'être installé dans un fauteuil elle finit par me rejoindre, un paquet de gâteau en main, me narguant presque. « Tu sais très bien que je ne t'utilise pas, je n'aimerai pas que tu vois réellement les choses comme ça, tu sais qu'entre nous c'est bien plus qu'une histoire de fesse » dis-je sans mâcher les mots en faisant un petit sourire coquin. Pour une fois que je dis la vérité. Je la laisse donc manger tranquillement, riant intérieurement face à cette gloutonnerie, « je sens que tu vas passer plus régulièrement chez moi juste pour avoir quelque chose à manger. J'ai l'impression que tu redécouvres la nourriture ». Une véritable morfale, tout comme moi lorsqu'il s'agit de certains aliments. Je sourcille pendant un court moment, me lève et m'approche sensuellement d'elle. J'approche mes lèvres du gâteau qu'elle tient entre les doigts et le prends entre celles-ci, le mangeant. Je lui fais un grand sourire et lui donne un baiser sur le front, « moi c'est autre chose que je veux manger ». Sans même attendre une quelconque approbation de sa part je finis par retirer le paquet de gâteaux qu'elle a entre les mains, je l'attrape soudainement par la taille et la porte tel un sac à dos, tout en faisant quand même attention. Où est-ce que je l'emmène ? Quelle question, dans un endroit plus confortable que le salon, là où mon envie pourra être assouvie. Je ne la dépose pas directement sur le lit et la pose simplement au beau milieu de la chambre, un sourire joueur sur le visage. « Tu sais très bien que je n'aime pas être frustré » dis-je en l'attrapant de nouveau par la taille, déplaçant en hauteur mes doigts le long de sa colonne vertébrale, «  et tu sais aussi que depuis ta petite intervention, je veux . . .  ça ! ». Mes doigts atteignent finalement son cou et c'est dans un mouvement doux mais à la fois brusque que j'approche langoureusement ses lèvres des miennes, pour les unir.
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Ce message a été posté Mer 25 Mai - 17:30
Elle le connait tellement bien. Si bien que ça en deviendrait effrayant. Un sourire satisfait sur les lèvres, elle hoche vigoureusement la tête. Comme s’il pouvait se fâcher contre elle. « .mais bien, sur j’aimerais bien voir ça. » ses lèvres s’étirent en un sourire en coin. « .de toute façon, tu m’aime trop pour être fâché contre moi, j’ai rien à craindre ! » conclut-elle en croisant ses bras contre sa poitrine. Et puis pour rajouter une couche, elle le nargue un peu, juste pour le plaisir de le chauffer un peu, en lui disant qu’elle risquait de mettre son job en libre-service. Et ça le fait réagir, elle s’amuse de son faux air choqué. Elle a envie de rire, mais pour le moment, elle se contente de rire intérieurement. Et puis le voilà qui se lance des fleurs, certes, il n’a pas tout à fait tort, c’est le seul qui peut remplir le rôle de meilleur ami dans sa vie et pour rien au monde elle l’échangerait contre qui que ce soit … Sauf … Sauf peut-être Song Joong-Ki, mais ça, ça reste à voir. « .mais c’est qu’il est sûr de lui en plus. » jamais elle n’approuvera ses dires, ça lui ferait trop plaisir. Elle hoche la tête en guise de réponse quant à sa réponse pour son statut actuel. Elle ne comprendra jamais pourquoi il se fait passer pour gay. C’est bizarre. Son ventre gronde une nouvelle fois et elle se rassasie rapidement avec un gâteau du paquet qu’elle vient de shipper dans l’un des placards. Elle savoure le goût du chocolat et se rend compte qu’elle avait vraiment faim. Elle pourrait tout engloutir sur son passage, ça ne la dérangerait pas. Horobin quitte la cuisine pour aller s’installer sur l’un des fauteuils. Bien sûr qu’elle le sait mais elle adore le taquiner sur ce sujet-là, comment ne pas craquer quand on voit la réaction qu’il a chaque fois. « .oh, c’est mignon. Encore un peu et je pourrais me mettre à pleurer devant ta déclaration. » lâche-t-elle en terminant son morceau de gâteau. Elle le rejoint rapidement, lui proposant un au passage. Redécouvrir la nourriture, mais chez elle c’est une seconde nature. Elle renait à chaque fois qu’elle mange. « .c’est parce que c’est gratuit c’est pour ça. et puis c’est tellement meilleur quand c’est chez toi. » elle lui lance un clin d’œil. Détrompez-vous, son frio, ses placards sont pleins à craquer … Elle le doit, quand on sait ce qu’elle mange et puis quand on a une petite sœur comme ayumi, les placards se doivent d’être pleins. Sans crier gare, il se lève de son fauteuil avec une façon presque trop sensuelle et qui pourrait en fait craquer plus d’une pour croquer le gâteau qu’elle a encore dans les mains. Elle roule des yeux, avec un peu d’exaspération. Instinctivement, la jeune femme ferme les yeux quand il dépose un baiser sur son front. Autre chose ? Elle ouvre la bouche pour parler puis tout d’un coup, le paquet de gâteau n’est plus en sa possession et elle sent qu’on la porte. Non, mais sérieux, c’est quoi cette manie de la porter tous comme ça. D’abord Yûgi puis lui … La tête en bas, elle serre les dents quand elle repense à lui, leur dernière rencontre a été on ne peut plus douloureuse pour son petit cœur.

Arrivés dans la chambre, oui parce que bon, elle connait le chemin quand même, il la dépose tout doucement. Une fois sur ses pieds, elle se met les mains dans ses cheveux humides. Il n’aime pas être frustré, non sans blague ? Qui aime l’être ? Elle se mord les lèvres devant son expression, encore plus quand il la rapproche de lui par la taille. Elle le regarde droit dans les yeux, essayant de ne pas faillir au contact de ses doigts le long de son dos. Un léger sourire s’installe sur ses lèvres quand il lui fait comprendre ce qu’il veut. Une de ses mains se pose dans son cou et elle se laisse faire quand il scelle ses lèvres aux siennes. Joueuse, Suki ne lui donne pas accès tout de suite. Les yeux à demi-clos, elle pose ses mains sur les hanches d’Horobin, le rapprochant un peu plus d’elle, ses doigts jouent avec son tee-shirt, frôlant sa peau au passage. Elle sourit contre ses lèvres. Finalement, elle passe ses mains sous son tee-shirt, touchant la peau chaude de son meilleur ami. Ses doigts remontent le long de son ventre, tentant de le faire réagir à son toucher. Puis tout d’un coup, elle s’arrête, retirant ses mains et coupant court au baiser. Elle le regarde, un sourire enjôleur sur les lèvres, elle se retourne et monte sur le lit. « .il fait chaud non ? » demande-t-elle en se mettant face à lui, gagnant de la hauteur tout d’un coup. « .ça t’dérange pas si j’enlève mon jogging hein ? » bien sûr que ça ne le dérange pas. Les lèvres pincées, elle le fait rapidement tombé à ses pieds, révélant son corps à moitié nu. Bon, pas tout à fait, sachant qu’elle a un mini boxer noir et son débardeur. « .tu disais ? »

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Ce message a été posté Ven 27 Mai - 15:47

" bestfriends with benefits "
••• « Mais oui bien sûr, ne sois pas si sûre de toi concernant mon attachement par rapport à toi » dis-je en fronçant des sourcils, les bras autour de mon torse. Elle sait pertinemment que pour le moment je ne peux pas la remplacer et de toute manière je ne vois pas qui pourrait remplacer une meilleure amie telle que Suki. Notre relation est si particulière et je doute que n'importe quelle femme aurait accepté d'être dans une telle relation avec un autre homme puisque les femmes ont tendance à ressentir des sentiments forts pour leurs meilleurs amis, tandis qu'eux sont plus dans la retenue, ou faiblissent aussi, mais en tout cas la barrière de l'amitié reste permanente, chacun ne pouvant franchir cette ligne d'amitié alors qu'avec Suki je peux dépasser cette ligne sans aucun souci. Et puis, quelque part, elle me ressemble, à toujours me charrier, à se valoriser. Deux vrais gamins lorsque l'on est ensemble. « Et tu sais très bien que je suis toujours sûr de moi » dis-je en accompagnant ma phrase d'un clin d'oeil. Je ne suis pas un homme qui va perdre la face facilement ou même confiance en lui assez rapidement, au contraire, je suis toujours dans la valorisation, dans quelque chose de toujours positif, qui me concerne moi. Le jour où je ne serai pas certain d'une chose c'est que le monde court à sa perte. « Yah! Ne critique pas ma belle déclaration d'amour s'il te plaît, elle est très sincère, tu ne sais pas le nombre de femmes qui souhaiteraient être à ta place juste pour m'entendre dire de telles belles choses » et en même temps je sais aussi que beaucoup d'hommes ont le souhait d'être à ma place, il faut dire que je suis entouré de femmes particulièrement belles, je n'ai pas à me plaindre là-dessus. Je pense que c'est l'avantage de se faire passer pour un homosexuel mais aussi d'être beau. C'est une qualité qui ne peut qu'attirer une foule de femmes aussi belles les unes des autres. Je souris quant à la remarque de ma meilleure amie concernant la nourriture présente chez moi, « forcément que la nourriture est toujours meilleure chez moi parce que tu viens chez moi pour te nourrir. Avoue qu'il n'y a pas la nourriture qui est tellement bonne ». Il y a là un sous-entendu qui n'a pas besoin de prendre un temps fou avant d'être compris. Je suis certain que si elle aime autant la nourriture, plus particulièrement chez moi, c'est à cause de moi aussi, j'y joue un rôle là-dedans.

Passant aux choses sérieuses, je profite du baiser langoureux que j'échange avec ma meilleure amie, mon corps s'enflammant de plus en plus. Le souci avec les hommes c'est que contrairement aux femmes, on a tendance à rapidement être brûlé par la pulsion, l'envie, le désir, il est difficile de nous contrôler ou même de nous calmer lorsque la tension monte encore et encore, tandis que les femmes peuvent arrêter le jeu à tout moment alors que les hommes non et c'est ce que Suki ose faire. Elle répond à mon baiser, place ses mains sur mon torse me faisant légèrement frisonner, réaction qui là encore ne vient pas de moi mais elle lâche rapidement l'affaire et s'éloigne de moi, s'amusant à me torturer alors qu'elle me connaît très bien. « Tu es tellement mesquine » dis-je entre deux souffles chauds, essayant de faire face à cette frustration énorme qu'elle me faut subir. Elle aime jouer, alors essayons de jouer aussi. « Tu fais comme chez toi Suki et tu sais que si tu ne l'enlèves pas je vais te l'enlever ». Je lance un regard provocateur à la jeune femme et ris de bon cœur quand elle finit par enlever son pantalon, ne la laissant qu'avec un boxeur et un débardeur. Je fais mine de la prendre en photo, « Magnifique : Un vrai corps de déesse qui se cachait derrière cette couche de vêtements », je hausse plusieurs fois mes sourcils, prenant un air coquin. Je me mords la lèvre supérieure, tentant de me retenir de ne pas lui sauter dessus. « Avoue que ça t'amuse de me frustrer autant, espèce d'ingrate!Après avoir mangé mes gâteaux, tu oses me faire ça, moi, Sanada Horobin, ton meilleur ami », je fais mine d'être particulièrement touché et triste et m'approche ensuite d'elle, montant à mon tour sur le lit et sautant, tel un imbécile. Je pose soudainement mes mains sur sa poitrine, « c'est moi ou en plus ils sont devenus plus petits », je fais mine de les peser, juste pour rire.
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Ce message a été posté Jeu 23 Juin - 20:56
« .t’es chiant. » qu’elle conclut, elle a la flemme d’argumenter sur cette petite guerre de je suis important pour toi car elle sait très bien qu’il serait perdu dans sa vie si elle n’était pas là pour lui. Les bras croisés contre sa poitrine, elle s’amuse de son caractère. « .justement, ça te perdra amour. » minaude-t-elle. Un sourire en coin sur les lèvres, elle roule des yeux lorsqu’il se défend sur sa soi-disant déclaration d’amour. tss, comme si. Elle secoue légèrement la tête. « .et pourtant, elles ne sont pas là actuellement, toutes ses gonzesses que tu prétends attirés. » elle est sournoise, légèrement vulgaire, mais elle s’en fout, il a l’habitude et puis si il n’est pas content, elle s’en fout doublement. Suki elle est comme ça. 40% naturelle, 20% de vulgarité, 20% sans tabou et 20% libérée. Elle ne sait jamais poser la question de ce que pouvait représenter cette relation. Elle a arrêté de réfléchir il y a cinq ans maintenant, quand son cœur s’est meurtrit en voyant l’homme qu’elle aimait avec un autre ; aujourd’hui, elle se tape sans compter son meilleur ami et n’a pas honte de le faire. Suki, elle est différente de cet idéal féminin pur et chaste, coincé au possible et qui s’offusque à chaque mot tabou, Suki elle vit et se dépêche de le faire. Elle n’a pas de tabou, elle n’a aucun problème à parler de sexe et encore moins à le faire. Elle roule des yeux, elle a compris son petit sous-entendu mais elle fait mine de ne pas l’avoir compris. Ce soir, elle est joueuse, la russe a en tête de le faire poireauté un peu avant de lui donner ce qu’il veut réellement.

Sa chambre devient alors témoins d’un échange sensuel et joueur. Les choses sérieuses commencent quand leurs lèvres rentrent en contact, pour autant, elle s’amuse avec et ne le lui rend pas comme d’habitude, un sourire sur les lèvres elle rompt le baiser et s’enfuit en sautant sur le lit. Elle est mesquine et elle le sait, elle l’a toujours été, ce n’est pas nouveau mais ce soir, elle est au maximum. En toute innocence, elle lui demande si elle peut enlever le bas, sans réellement attendre sa réponse, elle fait glisser son jogging contre ses jambes, dévoilant une peau nue et abimée par une cicatrice le long de la cuisse. « .je prends les devants, ne m’en veux pas. » lâche-t-elle après avoir entendu sa mini menace de le faire lui-même si elle ne l’enlevait pas. Il rit et fait semblant de la prendre en photo, elle se prête volontiers au jeu en tapant plusieurs poses, dévoilant des courbes à aimer. « .tss, j’croyais que j’étais une souillon !? » balance-t-elle d’un air chantant, les mains sur ses hanches. Les hommes changent d’avis comme de chemise. Après tout, Cendrillon était une souillon avant de tomber sur le prince charmant. Elle n’est pas du tout d’accord. « .rectifions les choses, tu m’as demandé si je voulais manger ! » elle lui tire la langue. « .ouais, ouais, j’ose et je n’arrêterais pas. » rit-elle en sautant de nouveau sur le lit, très vite rejoint par Horobin. Mais son sourire s’efface quand il pose ses mains sur sa poitrine, lui demandant s’ils sont devenus petits. Elle ouvre la bouche, outrée ; il n’est pas sérieux, non, c’est pour se venger. « .pardon ? tu oses les critiquer, si tu continues tu ne les reverra pas de sitôt ; je te préviens ! » menace-t-elle en affichant une moue boudeuse, elle enlève ses mains et croise les bras contre sa poitrine, se retournant par la même occasion. En lui montrant son dos, elle ne peut s’empêcher d’afficher un sourire moqueur sur les lèvres, s’empêchant d’exploser de rire par la même occasion.

Spoiler:

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Ce message a été posté Mar 5 Juil - 0:41

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••• J'aime m'amuser avec Suki, lui lancer quelques blâmes, quelques remarques, juste pour la voir relancer, et tourner autour du même pot. Je trouve cela agréable d'avoir une telle relation, pouvant se critiquer sans crainte de représailles, pouvant partager certaines relations plutôt charnelles, sans que cela n’entache l'amitié qu'il y a entre elle et moi. Je n'ai jamais eu une telle relation avec d'autres et je suis heureux que cela en soit ainsi avec elle. Je secoue négativement de la tête, quand elle me dit que mon côté trop sûr de moi risque de me perdre, pour le moment ce n'est pas le cas. Certes je ne suis pas à l'abri d'un retour de la médaille, mais je vas juste profiter pour l'instant, d'être quelque peu imbu de ma personne, sans que cela ne soit dans l'excès. « Mais non, ne dis pas ça, pour le moment je le vis très bien et j'ai aucun retour ». Je fais mine de passer ma main dans mes cheveux, semblant si fier de ma personnalité. Je lui tire soudainement la langue, me montrant beaucoup moins charmeur que précédemment. « Ne fais pas tant l'aveugle que ça, toi et moi on sait très bien que j'attire les femmes et puis . . . c'est parce que ce soir il n'y a que toi et moi, tu devrais ne profiter quand même au lieu de te plaindre. Ce n'est pas tous les jours que tu vas tomber sur un meilleur ami comme moi, je suis unique ». Je pense que je suis assez valorisé comme ça pour la soirée, bientôt, je vais finir par avoir les chevilles tellement gonflées que je ne pourrai même plus marcher.

Trêve d’enfantillage, les choses sérieuses peuvent débuter. Enfin, c'est sans compté sur le jeu qui s'instaure rapidement entre nous, elle me faisant patienter le plus possible, me frustrant légèrement, mais m'amusant tout autant. Je lui fais un grand sourire, charmeur, n'étant pas toujours habitué à ce que les femmes prennent les devants, mais cela ne m'étonne pas d'elle, j'en ai pris goût à ses côtés, « oh mais ne te gêne pas, fais moi un strip-tease digne de ce nom ». Je rigole à ma propre remarque,  la détaillant avec envie. « Moi ? Tu es sûre d'avoir bien entendu ça ? Je ne me souviens pas de l'avoir dit. Qui a osé dire que tu étais une souillon, cette personne est bien aveuglée ». Je sais pertinemment que c'est moi qui l'ai dit, mais ça, c'était avant de pouvoir voir son corps entier, même si je le connais que trop bien. Je suis presque fier d'avoir une telle meilleure amie à mes côtés. En plus, elle sait comment jouer, elle me connaît, elle aussi, bien trop. « J'aurai peut être pas dû te demander ça alors, maintenant je saurai que te faire manger avant est une très mauvaise idée ». Information enregistrée pour la prochaine occasion, même si faible que je suis je sais que je lui donnerai toujours à manger si elle a faim. M'avançant doucement vers elle, je rigole un peu en faisant mine de peser ses seins, lui faisant une petite remarque, qu'elle ne prend, forcément, pas bien ? J'avance mes mains vers elle, d'un air tentateur, « mais non, revenez à moi, je retire ce que j'ai dit ». Je lui fais une petite moue, tel un gamin étant privé de sa sucrerie. Suki se met alors dos à moi semblant peu contente, je lui fais alors un bisou dans le cou, pour la faire de nouveau succomber et l'attrape par derrière, « mais allez !! Je promets de ne plus dire de bêtises et même s'ils sont plus petits, ils sont beaux tes seins, alors tu veux bien me pardonner ? ». De toute manière les coréennes ne sont pas connues pour avoir de gros seins, mais ça ne me dérange pas, je ne regarde pas vraiment ça chez une femme, même si ça peut jouer. Je la tourne de nouveau vers moi, en prenant ses épaules et en plongeant après mon regard dans le sien, « hein ? Hein ? Hein ? » je lui fais quelques petits sourires coquins pour qu'elle cède et reprends ses lèvres entre les miennes.
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Ce message a été posté Mer 6 Juil - 23:23
Horoboin met un point d’honneur à se défendre, comme toujours. Malheureusement, entre les deux, personne n’a jamais le dernier mot finalement, puisqu’ils ne cessent de se chamailler pour finalement changer de sujet. Deux vraies têtes de mules. Même le mec qui s’en fout mais royalement de l’espèce humaine aurait un sacré mal de crâne avec eux deux dans la même pièce. Elle soupire et minaude un bla-bla silencieux. « .il n’empêche, mon cher amour, que tu devrais faire attention. » lâche-t-elle avec un air le plus sérieux du monde. « .je n’ai pas envie de faire du jardinage et ramasser les pots cassés. » un sourire presque trop satisfaisant sur les lèvres. Elle savoure quelque secondes ses répliques avant d’afficher une grimace désolante lorsqu’il ouvre de nouveau la bouche, des fois, même si cette bouche sert énormément, elle l’aimerait bien la coudre une bonne fois pour toute. Elle manque de s’étouffer dans un rire lorsqu’elle l’entend dire qu’elle ne devrait pas se plaindre. Elle lève les yeux au ciel, et d’un geste théâtral, elle lève les bras en l’air. « .excusez-moi mon bon seigneur, pardonnez mon impudence … je ne mettais pas rendu compte de la chance que vous avez de M’AVOIR ici après VOTRE message de détresse. » elle rectifie le tir au dernier moment. Oui, parce qu’après tout c’est lui qui l’a appelé. « .bref, sinon ça va les chevilles ? » un léger sourire en coin, elle savoure ses échanges avec lui. Parce qu’il a raison sur un point, il est unique, il n’y en a pas deux comme lui.

Elle s’amuse de le faire languir, un peu sadique sur les bords, elle se délecte de sa frustration. Un sourire malicieux sur les lèvres, elle rompt ce baiser qui la rend toute chose pour se mettre sur le lit, prenant les devants. Elle a appris, avec le temps, à se mettre en avant, à prendre les choses en mains. Et c’est ainsi qu’elle enlève son pantalon, recouvrant une paire de jambes dont elle est fière. Elle s’excuse, avec toute l’innocence qu’une Suki Aiko-Petrov peut avoir. Un stript-tease dit-il, ça lui ferait trop plaisir. « .je n’oserais. » elle se mord les lèvres quand elle tord son débardeur blanc entre ses doigts. « .j’aurais bien trop peur que tu tombes amoureux de moi. » la blague, le jour où ça arrive, il faudra sortir le pop-corn et le coca. Et puis, avec son éternel côté rancunière, la jeune femme ne manque pas de lui rappeler sa petite phrase de tout à l’heure. Tu sais, Horobin, celle où tu as dit qu’j’étais une souillon. Elle croise les bras contre sa poitrine presque dénudée. « .aveuglée par la connerie. » conclut-elle. Elle ne réplique pas sur le fait de la faire manger, il n’osera jamais la priver de nourriture, entre Suki et la bouffe, c’est une grande histoire d’amour, même ses followers le savent. Elle déchante lorsqu’il ose dire que ses seins sont devenus petits. Faux, elle a même dut racheter une compil de soutif avec un bonnet en plus. Choquée et frustrée, elle se détourne de lui, néanmoins un léger sourire moqueur au coin des lèvres, elle ne peut s’empêcher de frémir lorsqu’il supplie qu’ils reviennent. « .ils te boudent. » minaude-t-elle en secouant la tête des deux côtés. Elle sent soudainement son souffle chaud dans son cou puis ses lèvres qui rentrent en contact avec sa peau. Elle ferme les yeux quelques secondes et se pince les lèvres lorsqu’elle sent qu’il la prend de derrière. Il s’enfonce, encore une nouvelle fois. « .ils sont pas petits, ils ont d’ailleurs grossis ! » elle claque sa langue contre son palais et lâche un sifflement. Elle se laisse manipuler par les mains de son meilleur ami, un air suspicieux sur le visage. Elle soupire de résignation en guise de réponse. « .tu m’énerves. » elle sourit lorsqu’il reprend le contact avec ses lèvres.

Suki ne combat contre ses pulsions cette fois. Posant ses mains sur les hanches d’Horobin, elle approche son corps au sien tandis que ses mains se glissent sous son tee-shirt, le remontant tout doucement pour l’aider à l’enlever. Après tout, pourquoi elle serait la seule avec si peu de tissus sur le corps. Elle quitte ses lèvres quelques secondes, le temps pour lui de retirer son tee-shirt, lui laissant apercevoir un torse musclé. Ses doigts frôlent sa peau claire jusqu’à la terminaison de son v, prenant délicatement le tissu de son pantalon, elle lui fait comprendre avec un regard que lui aussi, il doit tomber. « .à toi de le faire. » murmure-t-elle tout en s’allongeant sur le dos. Ayant une vue impressionnante sur le corps de Horobin. Oui, ce petit con a raison, ce corps est largement demandé par la gente féminine, et pas que. Mais pour l’instant, juste pour cette nuit –comme pour les autres- il lui appartient.

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bestfriends with benefits [Feat. Suki]

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