Fire

Ce message a été posté Lun 9 Mai - 21:22

Tenue † Le monde était contre nous. C’était ce qu’il pensait ardemment depuis quelques jours maintenant. Les jours se ressemblaient tous pour lui. C’était la guerre. Une sorte de troisième guerre mondiale, mais qui ne concernait que deux personnes. Le fils du directeur et lui. Il vaincrait, oh que oui, il vaincrait. Il ne se laisserait pas faire comme ça. Il était aussi dur que du roc, alors il ne doutait pas un seul instant sur ses capacités. Mais alors ça, il ne s’y était pas attendu. Devoir confectionner un vêtement avec l’autre plouc. Déjà qu’il n’y connaissait pas grand-chose, il devait se farcir l’autre dindon. Ça pour être verni il était verni. Et c’est bien avec toute la haine du monde qui rejoignait l’autre con dans la réserve pour choisir les tissus et autres pour pouvoir se fixer sur ce qu’ils allaient faire. Il avait plutôt envie de prendre une corde et de le pendre mais il se retiendrait encore un peu. Il n’allait pas le tuer maintenant et encore moins si rapidement. S’arrêtant à la cafet, il s’acheta un café, bien grand et bien serré, il en avait besoin. Regardant autour de lui, il regarda les gens, s’attarda un peu sur certaines personnes avant de jeter le gobelet à la poubelle une fois vide et parti en reprenant son chemin. Un soupire s’échappa d’entre ses lèvres, alors qu’il filait à la réserve. Marmonnant un rapide bonjour à la personne qui était en charge de la salle, il s’aventura dans les grands rayons de tissus, à la recherche du plouc avec qui il devait travailler. Ils auraient pu partir du dortoir ensemble, mais fallait pas trop leur en demander. L’apercevant au loin, il plissa le nez avant de s’approcher et regarder ce qu’il fixait. Tout était moche à ses yeux, ce type y compris. « Quelle poisse. Comme si je ne te voyais pas assez. » Cracha-t-il en soupirant. Mais ça l’arrangeait dans le fond. Il pourrait le battre encore plus.

Ce message a été posté Mar 10 Mai - 5:21

Tenue † C’était vraiment la merde, en temps normal ma vie était un long fleuve tranquille et j’étais celui qui jouer l’ouragan dans celle des autres, les détruisant aussi rapidement d’un tourbillon de vent puissant. L’arrivée de ce con dans l’école et dans le dortoir est loin de m’être bénéfique, en plus j’ignore pourquoi il a autant la rage contre moi, pas que j’en ai réellement quelque chose à faire, ce ne serait pas le premier à me détester ni le dernier, mais avant lui aucun et aucune ne m’avait affronté de cette manière allant même jusqu’à « violer » mon intimité de ses mains sale après avoir retourné ma chambre de pièce puérile et enfantine, vraiment... c’est fatigant. Heureusement je bosse toujours autant que ce soit dans mon boulot oud dans mes études, personne ne me ferait manquer mes objectifs et surtout pas lui. Aujourd’hui je suis tout aussi désapprobateur du choix de notre professeur de nous mettre ensemble, cependant en classe nous sommes à côtés, ce qui ne me surprends donc qu’à moitié, nous partageons également le même dortoir ce qui encore une fois semble être un choix judicieux pour l’enseignant, nous facilitant l’échange, sauf que dans notre situation ça n’a rien de bien positif. Sauf qu’un boulot est un boulot et avec ou sans son aide je compte bien rendre ce devoir à temps et bien fait, je ne l’attends pas pour partir à la recherche de tissus et d’idée pour travailler, jusqu’à ce qu’il me rejoigne, entendant sa voix je lance un soupire peu discret avant de répondre sans le regarder. « Tu m’enlèves les mots de la bouche, j’espérais pouvoir bosser seul en fait, un zéro te branche pas ? » Même si je dis ça, le professeur ne nous laisserait pas faire et cet idiot récolterait les lauriers de mon travail, donc autant l’exploiter, ça peut être marrant.

Ce message a été posté Jeu 12 Mai - 20:43

Tenue † Faire ce travail avec lui, c’était pas du tout de chance, mais dans tous les cas, les deux, devaient faire avec. Peut-être qu’ils n’auraient pas le temps de finir le travail que l’autre aurait buté l’autre. Allez savoir, tout pouvait arriver avec ces deux-là. Et ça, Tomoe, le savait très bien. Parce que quand il le voyait, il s’arrangeait pour lui faire la misère. Tout comme au dortoir. Vivre sous le même toit, au final, n’avait pas été une si bonne idée. Tomoe, doutait de tout, surement comme son comparse qui devait s’imaginer le pire. En tout cas, Tomoe, dormait la porte verrouillée à clé, avec une chaise devant pour entendre si celle-ci s’ouvrait, au cas où l’autre barge, saurait crocheter une serrure… Oui, ça allait jusque-là. Le rejoignant dans la salle des tissus, il tourna un moment pour le trouver, avant de montrer tout son désarroi lorsqu’il tomba sur son compagnon de travail. « Tu m’enlèves les mots de la bouche, j’espérais pouvoir bosser seul en fait, un zéro te branche pas ? » Comme si Tomoe allait se cantonner à un zéro. Ce n’était pas un froussard pour autant. Bon ok, il se barricadait dans sa chambre, mais ça c’est parce que franchement, pour le bien de l’autre con, valait mieux pas le faire chier quand il dormait. Il serait pire que tout. Mais pour le reste… ça allait. « Abandonne, toi, si tu veux un zéro. » Cracha-t-il en s’arrêtant devant un tissu. Il n’y comprenait toujours rien. Il avait étudié un peu, mais pour lui, n’importe quel tissu, c’était… Du tissu. Soupirant franchement, montrant son ennui le plus profond, il tourna un bref regard vers lui, avant de regarder les tissus. Amusé, il tira d’un coup sec sur l’un des rouleaux, faisant tomber une pile sur l’autre. « Oups. » Il ricana doucement avant de s’éloigner pour aller dans une autre allée. Ah. Il allait s’amusait c’était sûr. Quoi qu’il arrive.

Ce message a été posté Sam 14 Mai - 10:03

Tenue † On est vraiment en guerre, bien que je n’aie jamais connu le sentiment sur un champ de bataille c’est ce que je ressens avec Tomoe, nous sommes à un stade où la méfiance est de mise, il m’a déjà piégé et depuis je reste sur mes gardes, il est complètement taré et venant de moi c’est déjà impressionnant, normalement je ne trouve pas quelqu’un à ma hauteur, me résistant autant, pourtant ce mec donne l’impression d’être tout droit sorti d’un asile avec ses idées barges et puis cette haine envers moi, je me fiche qu’on me déteste, j’en hais plus d’un sans raison vraiment logique, mais lui je ne le connais pas et dès la première seconde il m’a pris pour cible et j’ignore toujours pourquoi, j’ai tenté de faire des recherches, mais son dossier est normal à mon grand malheur, je n’ai pas découvert de secret valable d’être utilisé ou pouvant m’aider à lui faire fermer son claper, mais je n’ai pas dit mon dernier mot, je trouverai. Pour l’instant on doit bosser ensemble, quelle merde... J’aurais vraiment préféré me débrouiller seul, je suis doué et bosseur, mais je le sens mal avec ce type dans mes pattes, il est un peu un boulet à mes yeux, le genre de chose qu’on se trimballe et qu’on a juste envie de jeter, lourd et énervant qui plus est. « Aucune chance. » Il m’a bien regardé, je suis le meilleur, un zéro c’est juste IMPOSSIBLE. Regardant les tissus en l’oubliant l’espace d’un court instant, je touchais les matières, jugé le mieux ou celle qui n’allait pas coller avec mon idée, j’étais concentré et bien partie pour faire cavalier seul, mais fallait que l'autre abruti fasse des siennes, arrêtant les rouleaux qui tombaient en lui lançant un regard noir, c’est le genre de chose à pas faire. « Fais attention au matériel pauvre con. » Aaah, il m’énerve, normalement je ne suis pas du tout du genre à être agressif direct, mais lui... Soupirant lourdement je remets tout bien, ça va pas être facile de bosser avec cet abruti, la poisse.

Ce message a été posté Lun 16 Mai - 15:06

Tenue † « Aucune chance. » Tant pis alors. Tomoe n’allait pas se sacrifier pour sa gueule de petit emmerdeur. Alors tous les deux allaient devoir se supporter pour ce travail en commun. Même si Tomoe avait autant envie que l’autre de le tuer. Ce n’était pas un souci, ils survivraient, il l’espérait du moins. Lasse de le voir, déjà, il se démerda, pour faire tomber des rouleaux de tissus sur lui, en marmonnant un faible oups, l’air de rien. « Fais attention au matériel pauvre con. » Tomoe, haussa simplement les épaules sans rien répondre. Il pouvait lui dire ce qu’il voulait, il s’en fichait éperdument. Il se permit même de bâiller, s’en donnant à cœur joie. Pour lui du tissu était du tissu, il ne faisait aucune différence. Encore moins dans les couleurs. Il y avait là, trop de tons. Du rose c’était du rose, du vert c’était du vert. Pourquoi s’emmerder à donner autant de noms pour de simple couleur. Vert plus clair, vers plus foncé, ça suffisait au pire dans sa tête. Attrapant un tabouret il se posa dessus, adossant alors son dos contre l’une des étagères. « Bon dépêche-toi. Choisi le tissu que tu veux. On s’emmerde là. » Et pas qu’un peu. Il se faisait chier dans cette grande salle. « Tu veux faire quoi comme fringue ? » Oui, il voulait savoir. Pas que ça l’intéressait, mais s’il pouvait le faire chier en fonction de son choix, il n’hésiterait pas non plus. Une petite bataille sur le choix de la confection, pouvait bien l’amuser, tant que l’autre, en devenait fou à force de se prendre la tête avec lui. Tomoe était partant pour n’importe quoi, tant que ça faisait chier l’autre Taiga. « On a qu’à faire une robe, avec la gueule et le corps de femmellettes que t’a, ça t’ira à merveille. Tu pourras même jouer la mannequin en la portant. » Il se mit à rire en imaginant la chose. Suffisait de lui foutre une perruque et de cacher les nombreux tatouages qu’il avait pu apercevoir et le tour était joué.

Ce message a été posté Ven 20 Mai - 0:49

Tenue † Je le sentais vraiment mal ce boulot, vraiment. Pourtant j’avais bien l’intention de surmonter cette épreuve, partager un devoir avec ce con c’était comme relever un défis et j’étais pas mal pour dépasser mes limites, enfin ce qui me fait me rappeler qu’à cause de lui je n’ai pas eu le temps de m’amuser dernièrement, les autres doivent penser que je me suis assagis, mais c’est surtout que je suis trop occuper à fuir cet enfoiré ou à élaborer des plans pour le briser. Même là il fait l’abruti en manquant d’abimer le matériel, le tissus c’est important pour confectionner des vêtements, faut savoir faire attention et bien choisir aussi. C’était juste un amateur ce mec. Je préfère bosser seul donc ça m’arrange, mais lui il attend que l’heure passe comme un coucou inutile. « Oh la ferme. » Il me saoule à parler pour rien dire, s’il veut que ça soit plus rapide il a qu’à faire son boulot aussi, moi je prends le temps que je veux et plus il me dira de me bouger, moins je me bougerai, c’est la logique des emmerdeurs pas vrai ? Je rêve où il vient de poser une question « normale » ? Je le juge du regard sans répondre, avant d’entendre la suite. J’aurais dû m’en douter. Soufflant, las de ces remarques, je hausse les épaules. « Pourquoi pas, je suis déjà mannequin tout me va naturellement. » Modestie zéro. Dommage pour lui, même si l’idée de porter une robe ne m’enchante pas et qu’en plus il a dénigré mon physique de « mâle » ce petit jeu ne s’arrêtera jamais et je préfère avoir le dernier mot alors fuck, il va bien finir par capituler et se taire. « T’as d’autres idée intéressantes ? Ou on peut se mettre au boulot, si tu comptes rester assis tu peux partir, j’ai pas besoin de toi. »

Ce message a été posté Ven 20 Mai - 19:20

Tenue † « Pourquoi pas, je suis déjà mannequin tout me va naturellement. » Ce type n’avait aucune modestie et Tomoe s’en rendait bien compte. Il avait envie de lui foutre son poing dans la gueule, mais se retiendrait. Juste pour être un petit peu civilisé dans ce lieu où il ne devrait pas faire le con. Mais puisqu’il était partant, autant qu’ils fassent ça. Au moins Tomoe pourrait rire un peu et se détendre. « Si tu le dis. Je crois que tu t’es pas bien vu dans un miroir. » Avec sa tête de ballon rikiki là. Il était moche comme un pou aux yeux du japonais. Non mais vraiment, c’était un nain qui faisait office de mannequin. Comme si lui pouvait être mannequin aussi. Même pas un mètre quatre-vingt et il marchait sur les podiums. Il pouvait remercier papa plutôt oui. Oui, Tomoe, ne faisait que le critiquer et il assumait. « T’as d’autres idées intéressantes ? Ou on peut se mettre au boulot, si tu comptes rester assis tu peux partir, j’ai pas besoin de toi. » Tomoe souffla franchement en le fixant. « Non, l’idée que tu puisses jouer la femme est la seule qui me vienne. J’attends que t’ai fini de choisir le tissu. » Tomoe se leva en plongeant ses mains dans ses poches. « Me fait pas croire que si je choisi du tissu et autres, tu seras ok sur mes choix. » Tomoe n’était pas con. Et puis, il préférait laisser ça à lui, qui s’y connaissait que lui qui n’y connaissait foutrement rien. S’approchant de lui, l’aîné le toisa rapidement. « Bon on bosse où ? On reste ici ou on se casse ailleurs ? » Tomoe en avait déjà marre, il voulait se barrer d’ici et pouvoir faire souffrir sa petite proie. Oui, il avait des idées derrière la tête, et comptait bien les mettre en application aujourd’hui même. C’est que bizarrement l’activité l’inspiré pour les conneries.

Ce message a été posté Mer 25 Mai - 19:03

Tenue † La modestie ne servait à rien, je n’avais aucune intention de cacher le fait que j’étais le meilleur, tout comme un très bon mannequin, le doute est proscrit dans ma vie, je n’ai pas le droit de douter, de me remettre en question, je dois seulement avancer et rester au top, c’est comme ça, il y a aucune autre solution. Même les insultes de cet idiot ne me faisaient rien à cet instant, je pouvais me regarder dans le miroir je me trouverai toujours aussi beau. Si on joue à ce jeu-là je peux tout aussi bien lui dire de porter des lunettes ou d’enlever la merde de ses yeux de temps en temps. Pauvre con. Si mon père pouvait m’offrir de gros avantages au sein de l’établissement, je n’avais pas eu besoin de lui pour devenir un mannequin, j’étais même plutôt populaire et demandé, ma taille entré dans la moyenne, mais mon style, ma démarche, mon corps n’était pas commun. Je finis par remettre le sujet principal sur le tapis, le boulot. On était là pour ça non ? « Jouer la femme... » Je soupire sans retenue, il m’exaspère. Je trouve un tissu pas mal et le prends sur une longue marge pour pouvoir en avoir assez afin de confectionner le vêtement en question, quel qu’il soit. « Non, je n’écouterai pas tes propositions, de toute façon j’ai trouvé. » Je préfère avoir les choses en main. « On doit trouver un endroit tranquille pour bosser, même si ça ne m’enchante pas de partager ça avec un abruti inutile, mais bon, vu que je dois faire avec. » Ouai, au final il me servait à rien quand on y pense et je doute qu’il me serve à quelque chose dans les prochaines heures, à part jouer les statuts bavards. « Un lieu en tête peut-être ? » Sait-on jamais, je pourrais retirer le inutile avec un peu de chance.

Ce message a été posté Mar 7 Juin - 16:19

Tenue † « Jouer la femme.. » Oui ça pourrait très bien lui aller même. Mettez-lui une perruque s’il vous plait, et tout le monde pourra voir que Taiga est une magnifique femme. Enfin, magnifique c’était vite dit. Il ne fallait pas non plus déconner. Tomoe c’était un peu emporter sur sa pensée pour le coup. Et rien que d’imaginer ça, il avait envie de vomir. Son nez se plissa sous le coup. Berk. Non. « Non, je n’écouterai pas tes propositions, de toute façon j’ai trouvé. » Tomoe s’en doutait bien de toute façon. Mais s’il croyait qu’il allait le laisser faire son devoir avec toute la tranquillité du monde, il se foutait le doigt dans l’œil. C’était la partie la plus intéressante à venir pour Tomoe en tout cas. [colo=#7bbb7a]« On doit trouver un endroit tranquille pour bosser, même si ça ne m’enchante pas de partager ça avec un abruti inutile, mais bon, vu que je dois faire avec. »[/color] Il se permettait de l’insulter, comme ça, gratuitement. « T’inquiète pas, c’est réciproque, rien que voir ta face de con me donne de l’urticaire. » Et c’était peu dire… « Un lieu en tête peut-être ? » Un lieu… Parce qu’en plus il devait choisir un lieu ? Soupirant franchement, il fourra ses mains dans ses poches en réfléchissant. « Une salle de cours vide ? Y’a tout ce qu’il faut là-bas. »[/color] si tentait qu’ils puissent en trouver une de libre, ça s’était autre chose. Il pourrait même peut-être l’enfermer dans une des salles de la classe ? Qui sait… Les armoires aussi étaient assez grandes pour pouvoir l’enfermer dedans… « Ouais, on a qu’à faire ça. » Sans attendre de réponse, il quitta la salle de tissu, pour longer le couloir à la recherche d’une salle. Ce n’est pas ce qui manquait… Ils trouveraient bien sans trop de souci. Ce qu’il fit assez rapidement. Personne dans celle-ci. Il pénétra dedans, posant ses affaires avant de poser son cul sur l’une des chaises et poser ses pieds sur la table. En vrai pacha, il comptait bien regarder Taiga faire tout le boulot. Et lui se roulerait les pouces pendant ce temps.

Ce message a été posté Ven 10 Juin - 1:31

Tenue † Je n’ai aucune envie de jouer la femme avec lui, surtout que je n’aime pas vraiment la façon dont sonne cette phrase, autant je me fiche de m’habiller en fille si c’est pour montrer que tout me va naturellement, autant je n’ai aucune envie que cela fuse dans tous les sens, il devrait juste voir que je suis parfait et que tout me va, ça serait tellement plus simple de l’avouer. Pour le boulot qu’on doit faire ensemble je n’ai aucune envie d’écouter ce qu’il a à dire, pour moi il est juste inutile, il sert de décoration, mais une décoration bavarde ce qui détruit un peu son intérêt il faut l’avouer. « J’espère que tu seras forcé de me regarder alors, que je puisse me marrer. » Il est juste aveugle, mais bon de toute façon ce n’est pas comme si j’avais envie de plaire à un connard dans son genre. J’ose tout de même demander s’il a un lieu en tête histoire qu’il se rende peut-être plus utile vu que jusque-là il n’a absolument aucune utilité quelle qu'elle soit pour moi. Un salle de cours ? Il est sérieux, je le regarde sans un mot, je n’ai pas vraiment le temps de donner ma réponse qu’il confirme, de toute façon je ne pense pas que ce soit une mauvaise idée même si je ne compte pas l’avouer, soupirant, le tissu sur le bras je le suis, voyant qu’il a trouvé une pièce vide, je rentre en ne le calculant même pas, en fait il devrait être invisible ça serait pareil pour moi. Il peut bien s’installer peinard sur un siège et rester à glander, je ne vais même pas gaspiller ma salive pour lui demander de bosser avec moi, il détruirait tout mon boulot avec ses mains sales. C’est donc en continuant d’ignorer totalement sa présence que je commence à bosser, ayant déjà tout en tête, je suis un bosseur qui fait son travaille bien, rapide et qui n’a confiance en personne pour m’aider à le faire, alors c’est parfait de bosser en solitaire, ça lui retombera dessus plus tard haha. S’il croit que je vais dire qu’il m’a aidé il rêve, il aura juste un beau zéro et je pourrais en rire fièrement, d’ailleurs mes pensées se lisent à travers mon sourire, fières de pouvoir l’écraser à ma façon.

Ce message a été posté Lun 13 Juin - 20:51

Tenue † « J’espère que tu seras forcé de me regarder alors, que je puisse me marrer. » Un petit sourire se logea sur le visage de Tomoe. Ah. S’il savait tout ce qu’il avait en tête. Tout ce qu’il allait lui faire subir, lui et son travail. Il pleurerait. Parce que clairement, il comptait bien ruiner tout ce qu’il allait faire. S’il allait avoir un zéro, lui aussi. Ou pas. Tomoe n’était pas si stupide. Il avait toujours un plan B pour ce genre de chose. Plan qu’il ne dirait pas à voix haute. Il préférait laisser croire à l’autre énergumène qu’il n’allait rien faire, et aurait un zéro. Il était pourtant facile, pour Tomoe, ou pas, de faire le travail, sans Taiga. Enfin, il demanderait de l’aider, il connaissait des gens pour ça. En attendant, il préférait se la couler douce et le regarder bosser. Pieds sur la table, il sifflotait de temps en temps pour passer le temps. Histoire de montrer qu’il ne s’ennuyait pas et qu’il en avait dans la tête. Pleins de mélodies passaient dans ses sifflotements. Rien de bien méchant rien de bien folichon, il passait le temps. « Alors, ça avance ce boulot ? Je te pensais plus rapide. » Oui, il aimait bien faire son chieur en prime. C’était le cas typique du gars qui ne foutait rien mais aimait donner des leçons. Enfin, il faisait exprès pour lui. Dans la vraie vie, Tomoe était loin d’être un fainéant. C’était un bosseur acharné et assidue. Se levant, il s’étira longuement. « J’vais m’acheter à boire. » Oh, il aurait pu partir sans rien dire, mais c’était juste pour le blaser. Oui, il allait revenir. Même s’il prenait tout son temps. Marchant même lentement. Prenant le temps de regarder autour de lui, d’admirer le paysage. Bref, il faisait son chieur. Il faisait ça pour que l’autre avance bien le travail. D’ailleurs, il ne repassa la porte de la salle qu’après une bonne trentaine de minutes. Deux gobelets de café en main, il s’avança vers son comparse. « Tiens, je t’ai pris un ca… » Pas le temps de finir sa phrase. Oups, le café venait de tomber sur les tissus et le travail qu’il avait fait jusqu’à présent. C’était accidentel, bien évidemment.

Ce message a été posté Mer 15 Juin - 22:05

Tenue † Je me contentais simplement de l’ignorer, de ne pas le calculer, entre ses murs je travailler tranquillement pendant que monsieur menait sa vie ennuyante assis sur une chaise, pour moi c’était mieux ainsi, je n’avais pas besoin de son aide, il serait clairement plus un boulet qu’autre chose, je préfère même pas bosser avec, ça serait une perte de temps pour quelqu’un d’aussi doué que moi. On n'est jamais mieux servi que par soi-même, c’est mon cas. Je ne réponds même pas à ses questions ou provocation, je ne l’entends pas, il n’est pas là. Concentré sur le vêtement où je suis en train de confectionner avec sérieux il peut bien se casser ça sera du pareil au même. D’ailleurs c’est ce qu’il fait et tant mieux, j’ai même pensé à fermer la porte de la classe à clef pour qu’il ne puisse plus rentrer et revenir me faire chier, mais concentrer sur mon boulot ça m’est sorti de la tête, chose que j’allais rapidement regretter. J’ignore combien de minutes sont passées depuis qu’il est parti, je ne vois pas le temps filer quand je travaille, mais le bruit de la porte qui s’ouvre m’annonce son retour, que je ne calcule toujours pas, pas la peine il est insignifiant à mes yeux. Sauf que cet abruti s’approche et renverse son... PUTAIN DE CAFÉ sur tout ce que je viens de faire... Ruinant tout en une seconde. Je lui lance un regard noir, vraiment aussi noir que possible avant de je repousser violemment. « Espèce d’enfoiré ! Tu peux pas juste rester à ta place et m’oublier une seconde. Pauvre con inutile, je n'ai jamais vu une merde aussi pourrie que toi . » Oui ça m’énerve, il m’énerve, qu’il s’en prenne à moi je m’en fiche, mais là il me cherche même sur mon « boulot » je n’ai pas le droit à l’erreur et avec ce ... Je rage. Par les nerfs j’attrape son café pour lui balancer dessus, qu’il aille en enfer avec sa boisson de fekedkei ah... fais chier.

Ce message a été posté Ven 17 Juin - 16:25

Tenue † « Espèce d’enfoiré ! Tu ne peux pas juste rester à ta place et m’oublier une seconde. Pauvre con inutile, je n'ai jamais vu une merde aussi pourrie que toi. » Tomoe ne pensait pas comme lui. Tomoe pensait à quelqu’un pour ce genre de chose. Oui, Tomoe lui, pensait à Taiga, quand celui-ci disait qu’il n’avait jamais vu une merde aussi pourrie que lui. Bah, Tomoe lui affirmait que plus pourrie que lui, il y avait. C’était simplement Taiga. Lui, qui se croyait au-dessus des lois, lui qui de par son statut, se sentait important, alors qu’il n’était strictement rien. Lui qui avait tué sa petite sœur. Il l’avait poussé à bout, l’avait poussé au suicide. Il se devait de la venger. Commettre un meurtre de la sorte, même s’il ne l’avait pas commis au premier degré, restait dans tous les cas sa faute. Recevant son café dessus, il ne bougea pas. Il n’avait pas besoin de bouger. Il s’en fichait. Il avait gâché son boulot, c’est tout ce qui comptait. « Moi j’en connais une de merde plus pourrie que moi. » Tomoe le fixait longuement, avant de lever la main vers lui et le pointer du doigt. Comme pour rendre la scène encore plus mystérieuse. Le jeune garçon se mit à sourire, amusé de par son geste. C’est qu’il en devenait un peu parano à force. « Ne crois pas que j’abandonne. Je vais te pourrir la vie jusqu’à ce que tu deviennes cinglé. Jusqu’à ce que tu en viennes à bout. Je vais tellement titiller tes nerfs que tu ne pourras plus jamais penser à autre chose que moi. » C’était le but. Le faire devenir fou. Soupirant il attrapa le morceau de tissu, foutu à présent avant de le balancer par terre. « De toute façon, ce que tu avais fait été moche. Tu ferais mieux de recommencer. Franchement. »

Ce message a été posté Sam 18 Juin - 2:55

Tenue † Il m’a mis les nerfs, ma jauge était basse, j’étais calme et concentré sur mon travail, mais il a fallu qu’il vienne, qu’il s’approche avec le café et qu’il fasse exprès de tout détruire sans hésiter, cette jauge a simplement et purement grimper au sommet en explosant ma patience, un peu ça va, mais depuis qu’il est arrivé ici il m’a pris pour cible et me casse clairement les couilles. J’ai beau être un tortionnaire à ma manière, quelles sont ses raisons pour me pourrir la vie de cette façon ? Je serais curieux de le savoir, parce que là il m’exaspère à un point où j’ai juste envie de lui briser le cou en deux. Pauvre naze. Il ose user de reparti pour me dire qu’il connaissait une merde plus pourrie que lui et étrangement j’ai bien la sensation de voir de qui il parle, sauf que je me fiche complètement de son « ce n'est pas moi c’est toi », tellement inutile. Je lui lance un regard noir, avant d’écouter sa tirade sans grande conviction, mais... « Quoi, ton but est que je pense à toi ? T’es obsédé par moi à ce point ? Et bah. » Ouai je suis du genre à garder l’information la moins « stupide », mais là il prenait ses rêves pour une réalité ce petit con. « Essaie donc. » Mes iris le défiant sans flancher, je pouvais aussi être une personne tenace, si j’étais si facile à abattre ça se saurait, quoiqu’on pense de moi et de mon caractère ou de mes avantages dû au fait d’être le fils du directeur, je ne suis pas et ne serai jamais aussi stupide que lui. « Vu ton talent et ton gout en la matière c’est certain que je devrais faire attention à tes critiques, vraiment. » Je vous jure, il s’y croit trop celui-là. Bien entendu c’était ironique, un long et lourd soupirent franchissant mes lèvres avant que je ne le pousse violemment vers la sortie. « Casse toi looser, je n'ai pas besoin de toi ici. » Ma patience a des limites et je puise déjà dans la réserve là.

Ce message a été posté Dim 19 Juin - 20:04

Tenue † « Quoi, ton but est que je pense à toi ? T’es obsédé par moi à ce point ? Et bah. » Oui, bon. Quand ce type le prononçait, ça sonnait un peu bizarre, mais Tomoe, voulait qu’il pense à lui, de façon… mal. Qu’il le haïsse, qu’il en ait peur. Pas autre chose. Il avait presque envie de rire, en entendant ce qu’il venait d’entendre. « Essaie donc. » « Ne t’inquiète pas, je ne suis pas obsédé par toi. Je veux juste te rendre encore plus con que tu ne l’es déjà. » Est-ce qu’il allait y arriver ? Ça s’était une autre histoire. Il n’en savait rien… Il savait qu’avec le temps, il pouvait parfaitement y arriver. Ce n’était qu’une question de patience. Même s’il se doutait qu’il allait devoir en avoir… De la patience… « Vu ton talent et ton gout en la matière c’est certain que je devrais faire attention à tes critiques, vraiment. » Ma foi, il était tout de même un minimum fashion. Juste un minimum. Il avait du goût. Il savait quelle couleur mettre en harmonie, lesquelles ne pas mettre ensemble. Enfin, il connaissait la base. Ni plus ni moins. Mais c’était déjà pas mal. Certains ne la connaissaient même pas cette base… « Casse toi looser, je n'ai pas besoin de toi ici. » En plus, il se permettait de le pousser. Ah, c’est ce qui énervait le plus Tomoe. Il n’aimait pas ça. Le poussant franchement à son tour il le regardait à présent de façon mauvaise. « Ne te crois pas tout permis. Bats les pattes tapette. » Il s’essuyait l’air de rien, pour marquer ses paroles. « Ah, je devrais peut-être te montrer mon talent de couturier pour que tu admettes que je suis talentueux… » Sans attendre de réponse de sa part, il se dirigeait vers le matériel en prenant une aiguille et du fil. Sans trop de difficulté, il passa le fil dans le chat de l’aiguille et fit un nœud au fil. Tirant dessus, solide, il se tourna vers Taiga en souriant en coin. S’approchant à nouveau, il lui attrapa le bras avant de violement le plaquer contre la table, face contre celle-ci, le bras tordu dans son dos. « Devrais-je m’amuser à coudre sur ta peau ? » Rapidement il planta l’aiguille dans sa peau avant de la ressortir en tirant jusqu’à ce que le fil bute contre la peau. Il le tenait contre la table avec force, le temps de pouvoir planter l’aiguille un peu plus loin et faire… n’importe quoi sur son bras.

Ce message a été posté Dim 19 Juin - 22:17

Tenue † Je souris devant sa « déclaration » l’air totalement désintéressé par ses propos. « Bonne chance. » J’ai juste envie de ricaner devant ce pauvre débile, il a vu la vierge j’ai l’impression, il peut me menacer, me défier, me provoquer, même si je réponds il ne m’aura pas pour autant. Qu’il soit obsédé par moi ou non c’est son problème, pour moi il ne vaut rien. Il parle de mon travail en le critiquant, mais vu son niveau ce n’est pas ses paroles qui vont me faire renoncer où me questionner sur mon talent justement, je sais juger mon travail, s’il veut le rabaisser c’est à sa guise, je suis le meilleur quoi qu'il dise. Mais sa présence m’agace fortement, il n’a aucune raison d’être là, ça ne fait que me mettre sur les nefs et me déconcentrer, surtout qu’il ne m’est absolument pas utile, ce looser ne serait à jamais qu’un looser, c’est tout. Le poussant pour qu’il dégage, il semble voir les choses autrement et bien décider à reste, la poisse. Il me pousse en retour avec son regard, je lui lance le même genre, froid et noir, n’étant pas du tout effrayé ou déstabilisé par sa violence et sa haine, fuck à la fin, je vais perdre patience. « Tu n'as que ça ? Tapette ? Haha, belle répartie. » C’est sûr je n'aurais pas dit mieux... Ironique. « Montre donc que je puisse en rire. » Le regardant partir vers le matériel, je baisse ma garde ne me doutant pas qu’il me vise moi pour cette tâche, du coup il arrive aisément à me surprendre, me plaquer contre la table dans un gémissement de surprise, le bras dans le dos, je le regarde du coin de l’œil. « Enfoiré, lâche- moi de suite. » Il en loupe par une pour m’énerver celui-là... Coudre sur ma peau ? Il est sérieux ? Avant même que je n’ai le temps de répondre ou réaliser, je sens l’aiguille en question se planter dans ma chair et ressortir, ça pique bordel ! J’ai beau avoir connu la souffrance des aiguilles lorsqu’on m’a tatoué le corps, là ça n’est pas comparable, surtout la personne qui ose faire ça... Je vais le tuer. Il est complètement taré... Comprenant qu’il pouvait réellement faire ce qu’il veut de mon bras si je ne m’en dégage pas. « Tu trouves ça drôle ? » Je souris moi-même en tirant sur mon bras d’un coup sec, sans réussir à me libérer de sa force, mais montrant que je ne craignais pas de m’arracher la peau pour autant sous l’effet de l’adrénaline je me fiche de la douleur, il me pousse à bout. « Tu devrais pouvoir faire mieux, ça me chatouille là. » Je le provoque davantage, mais je ne vais pas juste fermer ma gueule et subir ses attaques. Ce serait mal me connaitre que de croire que je suis faible.

Ce message a été posté Sam 25 Juin - 14:30

Tenue † « Enfoiré, lâche- moi de suite » Tomoe n’avait pas du tout envie de le lâcher. Il voulait s’amuser avec lui, et lui montrer qui pouvait dominer des deux. Il n’allait pas se faire écraser par une puce comme lui. Si insignifiant, si petit… Si rien du tout. Il devait s’imposer, et quand il s’agissait de folie à son égard, bizarrement, il pouvait en trouver des idées… C’est bien pour ça qu’il se mit… à le coudre. Plus ou moins, parce que c’était tout sauf bien fait. Il piquait n’importe où, n’importe comment. Il se souciait peu de savoir si c’était esthétique ou pas. Il avait mis assez de fil pour s’amuser c’était l’essentiel. « Tu trouves ça drôle ? » Il sourit sous sa question. « Ça me fait bander. » Bon il ne bandait pas à proprement parler, mais ça l’excité clairement de le voir souffrir. Parce qu’il se doutait qu’il souffrait même s’il ne dévoilait rien. Il essayait de se débattre, mais Tomoe le tenait bien trop fort. De toute façon, il ne comptait pas le lâcher si rapidement. « Tu devrais pouvoir faire mieux, ça me chatouille là. » S’il le provoquait de la sorte. « A ta guise. » Il ne se gêna pas pour planter franchement l’aiguille, prenant bien son pied à appuyer bien fort pour faire du n’importe quoi sur son bras. Remontant et faisant des allés retours pour emmêler les fils. « J’ai bien envie de coudre ta bouche pour plus qu’on entende ta sale voix perfide. » Ce n’est pas l’envie qui lui manquait… Mais c’était plus délicat de coudre sa bouche que son bras… « J’ai bien envie de te piquer autant que la souffrance que tu as causé à toutes les personnes qui t’entourent… mais on y sera encore dans une semaine. » Parce que la souffrance qu’il avait causée à sa sœur n’avait pas de limite… Plantant l’aiguille dans sa main plus précisément entre son pouce et son index il passa de nombreuses fois avant de tirer franchement pour déchirer le fil. Balançant l’aiguille dans la pièce il s’éloigna en prenant rapidement une photo. « Bon courage pour tout enlever. »ça devait sacrément le tirailler…

Ce message a été posté Lun 27 Juin - 1:33

Tenue † Être pris au piège par cet enfoiré ça ne m’enchante pas, je tente vainement de m’en défaire mais il est plutôt fort et ma tentative rêve en échec, mon bras fut tout à coup victime de sa folie, je pouvais sentir l’aiguille entrer dans ma chair et en ressortir encore et encore, ça n’avait rien à voir avec les tatouages où tout ce que j’ai pu endurer, là c’était vif, brouillon et ça piqué atrocement, mais je n’étais pas du genre à me plaindre ou à aller dans le sens que ce bourreau de merde s’attend à ce que j’aille, le pire c’est qu’il est complètement taré... « Tu dois rien avoir dans le froc alors. » Je sais que c’était une expression, mais il ne pas bander pour un sou et en répondant je montre que son petit jeu ne me fera pas courber l’échine pour autant. Je vais même jusqu’à le provoquer sans hésiter, ses prochains gestes furent plus intenses et profonds, l’aiguille semblait entrer et sortir n’importe où, je pouvais sentir le fil dans ma peau, c’était désagréable, vraiment, mais ce qui m’agaçait encore plus c’est de ne pas pouvoir l’empêcher d’agir, cet... « Crève. » Jamais il ne touchera à ma bouche, déjà s’il laisse la moindre ouverture je l’utiliserai pour me venger de son petit jeu malsain. « Qu’est-ce que t’en sais ? Tu connais une de mes victimes ? » Bang, inconsciemment je viens de taper dans le mile, le sourire aux lèvres. « pauvre chou. » Ricanant, je me fichais complètement de toutes ses « souffrances » causées. Son final entre mes doigts me fit serrer les dents, c’était un endroit sensible bordel. « T’es vraiment bon à enfermer. » C’était vraiment affreux, le fil, la sensation dans mon bras, tout était déplaisant, je commence à retirer le fil et déjà, le glissement dans ma chair était dérangeant, tiraillant, y avait des nœuds, arrêtant après avoir libéré l’avant-bras et ma main, je lève le regard noir sur cet enculé, m’approchant pour lui foutre un poing bien mérité dans sa sale tronche. Le fil pendant de mon bras, tant pis, j’ai juste envie du tué à force. « Enfoiré de sadique de merde, on t’a jamais dit de ne pas blesser le corps d’un mannequin, je vais écraser ta sale face. » Il me sort des yeux, sous l’adrénaline je le fixe en levant mon bras pour attraper le fil et tirer d’un coup sec quitte à m’arracher la peau, je l’ai entièrement enlevé, avant de poser ce même fil ensanglanté autour de son cou. « Moi aussi je peux devenir dangereux si on me cherche. »

Ce message a été posté Mar 28 Juin - 15:22

Tenue † « Qu’est-ce que t’en sais ? Tu connais une de mes victimes ? » De l’entendre parler de ça. Tomoe avait envie de clairement le buter. Planter sa main dans son torse, et lui arracher le cœur. Tant de violence, oui, mais c’était à ce point-là. Il voulait avoir son cœur entre ses mains, et pouvoir décider de sa vie. A la seconde près. C’était horrible, surement, mais c’était clairement ce qu’il ressentait. Pas de pitié pour des gens comme Taiga. Il voulait le voir souffrir sous ses mains. Il voulait le voir le supplier d’arrêter. Même s’il savait que ça, il n’était pas prêt de l’entendre vu ô combien il avait l’air buté. « pauvre chou. » Tomoe le fixait. Dans sa tête il l’avait égorgé, étripé, il l’avait tué de multiples façons. Ça le soulagé, dans un sens. « T’es vraiment bon à enfermer. » C’était un sauvage, c’était un lion, c’était un homme indomptable. La bête avait pris le dessus sur l’homme civilisé. C’était trop tard, de toute façon. Tomoe, ricanait simplement en guise de réponse. Il n’avait que ça à faire de toute façon. Alors que l’autre s’arrachait les fils. Ah… Il s’en fichait un peu. Qu’il souffre donc en silence. Pourtant, en peu de temps, Taiga vint lui assener un coup de poing. Tomoe ne bougea pas pour autant. « Enfoiré de sadique de merde, on t’a jamais dit de ne pas blesser le corps d’un mannequin, je vais écraser ta sale face. » « T’as vu ton corps ? T’es le premier à l’avoir abimé, enculé. » Alors c’est pas quelques coups d’aiguilles en plus qui allait changer la donne. Fallait pas déconner. Tomoe ne bougeait toujours pas, le laissant faire, alors que le fil venait se loger dans son cou pour l’étrangler. Qu’il fasse donc. « Moi aussi je peux devenir dangereux si on me cherche » Tomoe, plongea son regard dans celui de Taiga, sans bouger. La douleur que le fil lui procurait n’était rien comparée à tout ce qu’il avait ressenti lors de l’enterrement de sa sœur. « Tue-moi. » Il toussait faiblement, dû au manque d’air. Son visage devenait surement rouge, il sentait le sang lui monter au visage. Pour autant, il s’avança pour se coller contre Taiga en souriant, le provoquant. C’était deux fous ensemble.

Ce message a été posté Mer 29 Juin - 13:05

Tenue † Comment je pouvais savoir qu’il pouvait en connaitre une ou même laquelle, j’ai martyrisé beaucoup d’élèves depuis que je suis ici, en même temps c’est mon passe-temps, je suis le fils du directeur donc j’en profite un peu, même si je fais les choses à ma manière sans compter réellement sur ce statut qui me pousse surtout à être le meilleur partout, fierté personnelle bien sûr. Je m’en fiche au fond, qu’une de ses connaissances soit en déprime ou autres par ma faute ce n'est pas un problème qui m’empêchera de dormir, par contre il commence à me faire chier avec ses œuvres sadiques ce putain de connard agaçant. À peine libéré je lève le fils de ma main pour pouvoir serrer le poing que j’envoie directement dans le visage de cet enfoiré, pas de pitié merde, il ne va pas continuer son jeu longtemps. « Mon corps est parfait comme ça, tu n’as pas ton mot à dire, alors ferme là. » Marre. Tellement de nerfs que j’envoie la douleur en enfer en retirant d’un coup le fil sur mon bras, ma peau souffre et saigne, mais j’en ai rien à foutre, plus occupé à lui entourer ce fin fil autour du cou, depuis qu’il est arrivé il me cherche, je veux bien être « gentil » mais il y a des limites. « J’aimerais tellement me faire ce plaisir. » Le tuer en le regard yeux dans les yeux, mais après avoir bien serré, lui laissant une marque visible, je le retire en restant assis sur lui pour le juger en hauteur. « Je ne suis pas un meurtrier, si tu veux mourir fais le tout seul. » Vraiment, il devrait disparaitre lui et ses paroles et actes inutiles, je ne peux pas supporter ça indéfiniment merde.

Ce message a été posté Mer 29 Juin - 18:39

Tenue † « Mon corps est parfait comme ça, tu n’as pas ton mot à dire, alors ferme là. » Ce type avait un égo surdimensionné, ce n’était pas possible de pouvoir autant s’apprécier et s’aimer. Il devait s’acheter un miroir, ou alors Tomoe devrait changer ceux de la salle de bains de Taiga. Parce que là, y’avait un souci. Il ne se voyait pas ce n’était pas possible autrement. En tout cas Tomoe se permis de rire à cette remarque. « T’es bien le seul à le penser. T’es juste le fils du directeur, haha. » Cette phrase à elle seule résumait tout. Que serait-il sans son père ? Pas grand-chose. C’était toujours comme ça de toute façon. Bien rapidement, Taiga s’approcha de lui, pour le plaquer au sol, et passer le fil autour de son cou. Tomoe, ne bronchait pas. Il s’en foutait. C’était un peu un masochiste pour le coup, mais il le provoquait allègrement en le regardant droit dans les yeux. Son visage pouvait devenir rouge, il pouvait crever, il s’en foutait. Jamais il ne supplierait ce type d’arrêter de le faire souffrir. « J’aimerais tellement me faire ce plaisir. » Tomoe souriait, légèrement, provocation, purement, simplement. « Je ne suis pas un meurtrier, si tu veux mourir fais le tout seul. » Respirant enfin, il toussa légèrement en tentant de retrouver une respiration normale. Cette situation était… Bizarre. Taiga, assis sur lui, cette position, tout. Tomoe ne pouvait que sourire. C’était, tellement rare que quelqu’un soit assis sur lui. Lui le dominant. Lui qui agit comme un prédateur. Sans un mot, il le fit basculer pour inverser la tendance. Se retrouvant sur lui, il bloqua son torse de son bras gauche. Une de ses jambes bloquée la sienne alors que sa main empoignée avec franchise ce qui lui servait de sexe. « Tu devrais faire attention à ce que tu fais avec moi. J’suis pas le gentil gars pour ça. Me cherche pas trop. » Tomoe avait une fâcheuse tendance à aimer le sexe. Plus de l’ordre du smut. Mais si on l’excitait comme ça, il ne répondait en général, plus de rien… Abuser de Taiga ? Ce n’était pas ce qui allait le faire reculer. Un trou c’est un trou pour lui. Et le voir souffrir pourrait le faire kiffer. Il s’approcha de son oreille en rigolant doucement. « Si tu veux pas penser à ma queue te défonçant le cul à chaque fois que tu t’assoies. Fait gaffe à ce que tu fais. »

Ce message a été posté Ven 1 Juil - 4:21

Tenue † Toujours à rabâcher que je suis seulement le fils du directeur, j’ai entendu ça tellement de fois et ça me fait vraiment chier, je profite de ce statut d’une certaine façon, mais ça ne veut pas dire que je n’ai pas de couilles. Il me fout les nerfs avec ses remarques, son jugement, son comportement que j’ai juste envie de le tuer de mes propres mains ! Serrant ce fil autour de son cou, mais j’ai beau ressentir ce désir fou de le faire disparaitre, je ne suis pas un meurtrier et je retire la pression le laissant tousser et se remettre de ça, assis sur lui je ne pense à rien, ni à la position dans laquelle je suis ou même au boulot que je dois me retaper, il m’exaspère purement et simplement. Qu’est-ce qu’il avait à sourire comme ça ce con... Sans comprendre pourquoi e me suis retrouvé renversé à la place dans laquelle il était une seconde avant, le jugeant de mon regard noir. Je ne pouvais pas me redresser, pas bouger, alors que je grimace en sentant sa main sur mon entrejambe. « Enfoiré. » Ce n’était pas la première fois qu’il s’amusait à me toucher là. « Qui cherche qui ? Retire ta main sale obsédé pervers de mes deux, ce n'est pas parce que tu fantasmes sur moi que ça te donne le droit de me toucher à ta guise. » Un peu d’ironie, mais sérieusement, sentir ce mec empoigner mon sexe ne m’excitait pas du tout. Un frisson parcourt mon corps alors qu’il s’amuse à me chuchoter à l’oreille brr... L'horreur. « Comme si j’avais peur de tes menaces sale pd, tu penses que je te laisserai faire ? Ne me fait pas rire avec ta queue de souris , tu serais incapable de satisfaire qui que ce soit, dominant ? Mes couilles. » Oui je le provoque complètement, mais je ne suis pas un lâche qui va prendre peur, surtout de lui, il se frotte à la mauvaise personne, il ferait mieux de me lâcher s’il ne veut pas de problème.

Ce message a été posté Sam 2 Juil - 0:12

Tenue † « Enfoiré. Qui cherche qui ? Retire ta main sale obsédé pervers de mes deux, ce n'est pas parce que tu fantasmes sur moi que ça te donne le droit de me toucher à ta guise. » Obsédé par lui ? Il se foutait de lui ? Tomoe n’était pas le moins du monde excité par lui. Rien que l’idée de pouvoir l’être lui donnait la nausée. Mais l’idée de le faire souffrir en abusant de lui, là, ça, ça l’excitait ! Et pas qu’un peu ! Il était prêt à le faire, juste pour le faire chier, juste pour le voir souffrir. Et pas que le jour même. Vivant dans le même dortoir, il pourrait se délecter de le voir souffrir tous les jours à chaque instant. C’était une tentation assez exquise. « Comme si j’avais peur de tes menaces sale pd, tu penses que je te laisserai faire ? Ne me fait pas rire avec ta queue de souris , tu serais incapable de satisfaire qui que ce soit, dominant ? Mes couilles. » L’insulte, sale pd, ne lui plaisait pas trop. Il ne l’était pas. Il s’en fichait, mais il préférait dire cybersexuel. Ouais, c’était ça son délire. Mais peut-être qu’aujourd’hui, ça ne le serait pas. « Un trou c’est un trou. J’suis sûr tu dis la même chose quand il s’agit de baiser une meuf. » Il allait pas lui faire croire que Taiga ne baisait pas à droite et à gauche. Il n’y croirait pas. Absolument pas. Souriant en coin, Tomoe arracha sa ceinture pour défaire son pantalon. « Wouha. T’sais quoi ? Tu m’as donné envie de te voir souffrir. »

Ce message a été posté Dim 3 Juil - 22:44

Tenue †

Ce message a été posté Lun 4 Juil - 23:30

Tenue †

Ce message a été posté

» i see fire.
» fire in my bones.
» Fear of Fire
» Fire & Water
» i'm house of fire.

Fire

Fire

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