■ Il est allergique aux crevettes depuis qu'il est gamin. La première fois qu'il en a mangé c'était chez sa grand-mère, sa langue a doublé de volume en seulement quelques secondes et il s'est retrouvé à l'hôpital parce que personne n'avait d'antihistaminique. Du coup, il vérifie toujours ce qu'il mange et garde toujours une seringue d'épinéphrine à disposition. on est jamais assez prudent. ■ C'est un cuisinier hors paire quand il a le temps, ce qui n'arrive pas souvent le cas à son grand regret. Sa spécialité c'est les plats épicés, après tout il n'est pas brésilien pour rien. Il aime avoir le feu au corps dans tous les sens du terme, y compris gustativement. ■  Il a les oreilles percés depuis ses douze ans. il se les ai percé lui-même avec une aiguille et un glaçon pour endormir un peu la zone, tout ça parce que sa mère avait refuser de l'emmené chez un perceur. elle trouvait que ça ne convenait pas à un jeune homme de bonne famille. ■ Peu après ses début à la Angel, il s'est fait faire deux tatouages – une croix sur presque tout le flanc droit et un croissant de lune dans le haut de son dos, dont chaque extrémités revient sur ses épaules et mettant en scène le christ – sans même demander la permission. les deux ont une importante symbolique religieuse parce que la famille de sa mère est très croyante. ■ Il s'est récemment fait tatouer "PASSION" sur le haut du torse, sans nul doute parce que c'est elle qui guide sa vie. La musique, le chant, la danse,... Ça résume plus que bien sa vie. ■ Petit il rêvait de devenir le nouveau Ronaldo et de passer pro au FC Corinthians, mais suite à une bagarre avec des petites racailles des Favelas, il a eu une vilaine rupture des ligaments croisés du genou droit. Après ça, il a renoncé au football mais il reste malgré tout très doué avec un ballon. Avec le temps c'est devenu un passe temps qu'il pratique pour se détendre quand il en a l'occasion. ■ De sa blessure au genou, il a gardé quelques séquelles au niveau de l'articulation, qui est moins souple et flexible qu'avant. Les ligaments sont aussi plus sensibles et c'est parfois franchement douloureux, au point qu'il est forcé de prends des antidouleurs. C'est parfois handicapant pour danser, mais l'important ce de ne rien laisser paraître auprès des fans. ■ il est fan de captain tsubasa, saint seiya et dbz depuis qu'il à l'âge de lire des mangas et de regarder des animes. il avait plein de poster dans sa chambre, de goodies et de figurines. tout est rester chez ses parents dans un carton. mais quand il se fait chier, il aime bien regarder quelques animes. ■ parfois, quand on le voit avec sa dégaine de rappeur américain, on pourrait penser qu'il est plutôt branché gros 4x4, hummer, mais c'est un véritable fan des coupés sport. il aime leur coté nerveux et leurs jolies courbes… ■ Il adore passer du temps à flâner sur le net. Il trouve certaine fanfictions sympa mais c'est qu'il préfère ses lire les commentaires des fans, que ce soit sur son compte instagram, sur youtube ou Twiter. Parfois il aime bien répondre aussi, mais il n'a pas forcément toujours l'occasion de répondre à tout le monde. ■ Il est hyper proche de ses fan. Si certain attendent à la fin de ses concerts, ils aiment faire un détour pour les salué personnellement. Il a toujours un mot gentil et il accepte volontiers tous les petits cadeaux qu'on lui offre. Encore mieux, il les garde tous. Quand il s'agit de vêtement ou de bijoux, ils tentent de les porter aussi souvent qu'il le peut.

Les yeux fermés, les premières notes de piano m'arrivent directement et aussi à travers l'oreillette, comme si j'avais besoin de ça pour me rappeler des paroles. Bon d'accord, c'est avant tout pour avoir un bon retour son, pour pouvoir placer ma voix correctement. Mais cette musique je la connais par cœur, peut-être parce que c'est moi qui l'ai écrite et composée, peut-être parce que je l'ai chanté trop souvent… à moins que ce ne soit parce qu'elle me fait penser à elle, à nous… A ce "nous" dont j'avais tellement envie mais que je n'ai pas pu m'empêché de réduire à néants, par stupidité, par peur, parce que dans le fond je suis un crétin trouillard et égocentrique. Stupide. Je l'ai été, sans aucun doute, et cette chanson, c'est un peu une demande tacite de pardon. Un pardon que je ne suis pas sûr d'avoir le droit de demander… Mais voilà, c'est son visage, ses traits fins et délicats qui se glissent dans mon esprit quand mes lèvres s'ouvrent pour laisser sortir ma voix. J'ouvre les yeux et mes iris tombent sur le visage de ma partenaire alors qu'autour de nous, les lumières baignent le plateau d'une douce clarté, donnant un coté intime au moment. C'est avec elle que je devrais partager ce moment, mais c'est à Kalaya que je pense, encore et toujours, comme je le fais depuis deux longues années déjà. C'est fou la vie. On oublie des tas de choses dont on aimerait se souvenir et les choses qu'on essaie d'oublier sont impossibles à effacer, comme gravées a jamais dans le marbre de notre existence.

C'est à Sao Paulo, au brésil que j'ai vu le jour. C'est là bas que mon père médecin sans frontière à rencontré ma mère, alors qu'il venait en mission pour soigner les pauvres gens des trop nombreuse favelas du pays. Elle enseignait le portugais au jeune défavorisé, c'est elle qui l'a aidé à s'intégrer parmi les petites minorités locales, là où le fait d'être étranger n'attirait pas forcément la confiance. Forcément ça rapproche. Ils ont eu une liaison, ma mère est tombée enceinte et ils se sont mariés. Neuf mois plus tard, j'arrivais. Enfant, c'est surtout le football, sport national, qui a attiré mon attention. En fait, tous les gamins du quartier jouaient au football, puisque pour la majorité d'entre eux c'était le seul moyen de pouvoir quitter la pauvreté pour s'élever et mené une vie décente, loin des tôles gondolées, des petits dealers et du manque d'hygiène. Perso, je n'ai jamais vraiment fais attention aux différences sociales, certes mes parents avaient plus que largement de quoi subvenir à mes besoins, mais tous mes copains venaient des quartiers pauvres. Ça ne posait de problème à personne, sauf qu'en grandissant, les enfants deviennent moins gentils, moins conciliants. Du copain qui venait jouer au football avec eux, je suis devenu le fils de bourge, le petit chintok, celui qui avait trop de chance. Doué avec un ballon, je rêvais, comme de nombreux autres, d'intégrer le FC Corinthian et de passé pro une fois que j'aurais seize ans, mais après une vilaine rencontre avec un groupe de petites racailles, mon rêve est tombé à l'eau.

C'est à cause de moi que mes parents et mon petit frère ont quitté le brésil. Mon père a absolument tenu à rentrer au pays pour me faire voir un de ses amis spécialiste, parce qu'une rupture des ligaments croisé du genou droits ce n'est pas rien pour un gamin de dix ans. Mais le résulta n'a pas beaucoup changé et la convalescence a été plutôt difficile. On est resté quelques années en Corée, c'est la que j'ai découvert les idoles, la musique, la danse, le chant. Je pouvais plus jouer au football à un haut niveau, il fallait bien que je m'intéresse à autre chose. Mon père a fini par être muté, sur recommandation, dans un hôpital de Tokyo. Les finances de mes parents étant plutôt bonne, ils m'ont inscrit à la Royal, d'abord pour le collège et ensuite pour le lycée. J'étais en fin de seconde année quand je me suis présenté à une audition de la Angel. A la base ce n'était pas spécialement pour être pris, mais plutôt pour savoir ce que je valais, si j'avais des raisons de m'accrocher et contre toute attente, j'ai été retenu. Sans est suivis plusieurs années en temps que trainee, c'est véritablement là que j'ai découvert que mon genou me faisait toujours mal, surtout après les longues heures de danse. Heureusement, avec les cachets et le kiné, j'ai réussi a stabilisé les crises de douleur, ce qui m'a permis de progresser plutôt rapidement.

Quand je suis entré à l'université, mon père voulait que je fasse médecine comme lui, mais j'ai préférer le chant, la musique, la danse… Même si les séquelles de ma blessure au genou étaient toujours présent et ça en plus des heures de répétition à l'agence, je n'étais absolument pas sur de pouvoir tenir le coup, mais on est du genre déterminé dans la famille, de vrai battant. J'étais en troisième année quand j'ai fais mes débuts et si j'ai été rapidement accepté dans le milieu japonais, c'est surtout en Corée que j'ai eu du succès. Tout c'est très vite enchaîné pour moi: les albums, les performances, les interviews, les photoshootings... Tout était parfait. J'ai terminé mes études et j'ai presque aussitôt enchaîné sur des concerts et c'est là que je l'ai rencontrée.

Je vais sans nul doute passer pour un salaud en disant ça, mais elle n'avait absolument rien d'exceptionnel. Ce n'étais pas le genre de fille qui attiraient tous les regards et qui faisaient tourner toutes les têtes, le genre de pimbêches qu'on admire pour sa beauté et qu'on désir l'espace d'une fraction de seconde. Non, elle était relativement banale, c'est peut-être ça qui m'a attiré vers elle, dans cette aéroport alors que je partais. Elle était là, toute seule, à son guichet comme une petite chose fragile. Personne ne faisait vraiment attention à elle et elle semblait presque transparente… Pourtant moi je l'ai vue et contrairement a beaucoup d'autres, je l'ai trouvé belle, pleine de charme avec ses petites joues rondes, son large sourire et ses beaux yeux bruns. Et pour la première fois de ma vie, je crois que je suis tombé amoureux.

Avec mon emploi du temps ça n'a pas été facile, mais on a réussi a créer quelques choses de bien a nous. Une nouvelle fois, je pensais que tout était parfait, mais je me trompais. A moins que ce ne soit elle, qui se soit trompée. Un an après j'ai fini par apprendre qu'elle avait une fille d'un an et comme le connard égoïste et égocentrique que je suis, j'ai pris peur et j'ai mis fin a notre relation. J'avais beau l'aimer, je ne me sentais pas prêt à jouer le rôle de papa. Pas avec ma carrière, pas a mon âge. A seulement 26 ans, je me trouvais trop jeune pour ça. J'ai cessé de la voir, je l'ai évitée un maximum malgré le mal de chien que ça me faisait, parce qu'il m'était juste impossible d'arrêter de l'aimer. Je me suis plongé dans le travail, j'ai fais des conneries. J'ai tenté de l'oublier dans les bras d'autres personnes. Ça m'a d'ailleurs coûté mon frère, parce que je me suis retrouvé, sans trop savoir comment, dans mon lit avec une méga gueule de bois et son petit ami lové contre moi. Le lendemain de la soirée de son 20ème anniversaire.  Depuis lors les relations sont plus que tendues, en fait on ne s'adresse presque plus la parole et le pire c'est que je ne peux pas lui en vouloir.

Si ma vie personnelle est un véritable fiasco, professionnellement parlant tout roule. Les yeux fixés sur la jeune fiche qui partage un duo avec moi pour une émission coréenne dont j'ai oublié le nom, je lui adresse un sourire entre deux phrases. Cette année, j'ai décidé de devenir sérieux. A presque trente ans, il est temps que je devienne plus responsable, que je pense à ce qui est vraiment important. Bien sûr je ne compte pas abandonner ma carrière d'idole solo, mais j'ai envie de nouvelles chose. C'est pour ça que je me suis présenté à la Royale pour enseigner la dans et le chant, transmettre ma passion et pourquoi pas, formé de futur talent. C'est peut-être aussi l'occasion de renouer le contact avec Kalaya, même si vu la manière dont ça c'est fini entre nous, je doute qu'elle veuille me voir. Mais si en deux ans j'ai beaucoup changé, mon amour pour elle est resté le même.

■ pseudo: Nana / Magnus ■ âge: 28 ans ■ presence connexion: 3/7 en moyenne ■ presence rp :  3/7 en moyenne ■ Personnage inventé ou scénario: Inventé

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<span class="botinsym">▲</span> <font color="#e98ab0">Dong Young Bae ➦ Taeyang [BIGBANG]</font> [u]»[/u] Song Ydraÿs