■ Fît parti de la chorale de son église jusqu’à son entrée au lycée.
■ Il n’a peur de rien, ni personne ! A part son grand-père et sa femme hahaha… Heum…
■ Aime jouer avec des Légos… Et en a un paquet !
■ Fan de Star Wars et Star Trek. Il se fait aussi très souvent le Seigneur des Anneaux. En gros, Sciences Fiction et Fantastique pour lui !
■ Il est plus film que livre.
■ Joue de la guitare à ses heures perdues, des réminiscences de son adolescence rebelle uhuh~
■ Kyohei a toujours raison et même quand il a tort, il a raison !
■ A surnommé son frigidaire « Naya » juste pour emmerder sa femme.
■ Sa bibliothèque est remplie de mangas…
■ D’ailleurs, quand il était jeune il voulait devenir mangaka  
■ Manger est une activité qu’il pratique régulièrement, à grande dose. Sans prendre un gramme \o
■ Son deuxième fruit préféré est la clémentine.
■ Le premier est la viande. (si si)
■ Allergique au pollen, dès que le printemps arrive, il éternue et son visage vire rouge tomate… Sexy ?
■ Ca lui arrive très souvent d’être distrait et simplement rester les yeux dans le vide pendant quelques minutes… Les sourcils froncés.
■ Chanter sous la douche est une obligation !
■ Même s’il ne donne pas l’impression de faire grand-chose au travail, il est tout de même P.D.G et connaît ses responsabilités. Il reste tard dans la soirée et prend simplement son temps.
■ Par contre, il s’accorde toujours quelques minutes de retard avant les réunions… Par principe. Et parce que c’est sa société, il fait ce qu’il veut, nan mais ~
■ Bien qu’il ne soit pas doué en cuisine, il aime bien faire des petits plats pour sa femme de temps à autres !
■ Il participe aux différentes tâches ménagères et refuse tout sexisme dans sa maison ou son entourage. Naya a les mêmes droits que lui et les mêmes libertés. Et il a les mêmes obligations. La misogynie n’est pas accepté par ici è_é
■ Quand il est bourré, il embrasse tout le monde… Et n’importe quoi.
■ Les larmes de crocodiles n’ont aucun effet sur lui
■ Le stress c’est son dernier souci, il serait presque en vacances toute l’année dans sa tête…
■ Il a eu une période Baba Cool plus jeune… (Juste pour faire chier ses parents /BRIQUE/)
■ Ses amis, c’est sa tasse de bonheur dans la vie. Personne n’y touche… Et personne ne leur fait de malheurs.
■ A part lui héhéhéhéhéhéhéhé.
■ Il adore poster les photos dossiers de tout le monde !
■ Le sarcasme est parfois bien trop présent dans sa bouche
■ Il a fait scout pendant 4 ans au collège
■ Couramment, il parle anglais et japonais mais il apprend le coréen pour le business et pour Yu Jin
■Naya et lui ont été nommé "Plus beau couple du campus" 3 fois d'affilée héhéhé
■ Il adore jouer au Ping-Pong!
■ Il possède 2 maisons de vacances (Une à la mer et une à la montagne) et possède une maison de ville dans le quartier riche de Chûô.
■ Le fait pas aller au karaoké par pitié, c'est qu'après il s'arrête jamais...

Dans la famille Matsumoto, être chiant se passe de père en fils. Et devinez quoi ? Kyohei ne l’est pas, non, il est pire. C’est un être dénué d’anxiété ou de mal aise qui ne se sent que parfaitement bien dans sa peau… Bourré de qualités, il ne peut avoir de défaut. A part peut-être son imbu de soi… Mais ça aussi, on peut dire que c’est de famille, aussi bien du côté maternel que paternelle, si on n’a pas un brin d’égo sur-gonflé, on finit par être écrasé et étiqueté de vilain petit canard.

Et puis, de toute façon, dès son berceau Kyohei était parfait. Une bouille à vous en faire glapir même les hommes mûrs et trop fiers, le plus redoutable d’entre eux même craqua, un sourire ayant trahit son habituel stoïque visage. Enfin ce fût avant qu’ils s’en rongent tous les ongles et mordent les doigts : « Fais pas ci ! Fais pas ça ! Non ! Arrête ! S’il te plait ? Kyohei, je t’en supplie… » Ses parents, les gouvernantes, tout le monde abandonnait devant l’atrocité, le monstre, le roi que pouvait être le pourri gâté de bambin. A peine quatre ans et il fallait parlementer et négocier pour qu’il dédaigne de faire ce qu’on lui demande. Lui donner des ordres était inconcevables et les fessées ne servaient strictement à rien, c’est limite s’il n’en redemandait pas encore, il n’en faisait qu’à sa tête et il n’a jamais lâché le morceau. Personne ne lui tenait tête et s’il voulait hurler dans un lieu public, sommer un énième caprice et s’insurger pour tout et rien, il le faisait. La famille a été tellement désespérée qu’elle l’envoya voir un psychologue, à dire vrai, il finit avec une sucette et une gentille tape sur la tête : Le sourire de Kyohei et ses belles paroles sont sûrement beaucoup plus efficace qu’un philtre d’amour. Personne n’arrivait à s’en remettre, le professionnel leur conseilla même une thérapie de groupe pour voir comment simplement gagner plus d’autorité.  

En grandissant, il devint un vrai manipulateur, plus qu’il ne l’était déjà, retournant ses parents l’un contre l’autre et même, utilisant ses deux petites sœurs pour obtenir ce qu’il voulait. Il n’y avait rien de méchant chez lui, il détestait simplement qu’on lui donne des ordres et la discipline était à l’encontre de ses principes, faire tourner en bourrique son entourage était donc un moyen de se faire respecter et surtout, qu’on l’oublie et le laisse tranquille ! Mais comment lui reprocher quoi que ce soit ? Il était poli et courtois face aux invités, il s’occupait de ses cadettes avec un talent inouï et était dans les premiers de l’école. Un garçon rempli de charmes qui mettait à profit sa divine voix dans la chorale de l’église du quartier. De quoi casser l’image de démon qu’on a de lui.

Les Matsumoto font partis de ces japonais mélangeant le bouddhisme, taoïsme et catéchisme dans leur quotidien, priant Dieu, remerciant les esprits de la nature et respectant les rites et traditions funéraires. Ils s’adaptent à la modernité et à l’ouverture du pays tout en diffusant la  beauté de la culture japonaise. Le grand-père paternel dénommé Shigeyuki est le fondateur de la «Matsumoto Fondation», sponsorisant différents projets culturels et artistiques depuis maintenant plus de cinquante ans, une banque d’investissements n’ayant jamais eu peur de se lancer dans de projets paraissant fous et parfois, pas dès plus triomphant. Alors il paraissait évident que les enfants suivent une éducation digne de ce nom, là où la musique est une façon de paraître élégant et gracieux, les mathématiques un moyen de forger son avenir et son intellectuel. On ne lésinait pas sur les talents et les capacités présentes, il ne fallait rien laisser derrière et simplement donner du temps au temps…

Toutefois, il n’a jamais été question de mettre une muselière, aussi bien à Yuka et Shiori qu’à Kyohei, simplement les guider dans la direction souhaitée. Tous les trois avaient leurs mots à dire et bien que les filles fussent coopératives, le garçon quant à lui, comme à son habitude, eut toujours montré une réticence à toute activité forcée… Plus le temps passait et plus sa personnalité s’affirmait, il jouait même au Robin des bois et couvrait les erreurs des plus jeunes et dénonçait leur passivité, cherchant à faire comprendre qu’ils avaient bien plus qu’un simple mot à dire : Sa vie, il voulait être le seul et l’unique à la diriger. Car malheureusement, bien qu’il se trouvait être très souvent en position de force face aux plus sages, il restait toujours la figure hégémonique du lignage, le créateur de ce grand empire : L’ombre de son aïeul planait sur ses décisions et il n’arrivait pas à s’en détacher.

Certaines choses lui étaient obligatoires et prescrites, le suivant durant toute son enfance. Les bonnes manières et les leçons de solfège, la calligraphie et les sessions de répétition pour le chœur de messe, Kyohei passa entre les mains de tuteurs et tutrices sans pouvoir en compter le nombre, s’efforçant à garder les attentes sur ses épaules les plus légères possibles. Même s’il fallait sacrifier un peu de son temps libre, il baissait la tête quand de sévères yeux se posaient de lui et il suivait les indications du grand chef Matsumoto, craignant d’apporter honte et problèmes à ses propres parents. Il le savait, en tant que seul garçon, il fallait qu’il montre l’exemple et emprunte malgré tout le chemin qu’on le pousse à emprunter : Héritier de la fondation.

Néanmoins la pression qu’on pouvait lui infliger n’était rien, il ne se laissait jamais abattre et lutter contre du mieux qu’il pouvait, naviguant aux fils des années entre rébellion et brossage dans le sens du poil, il fallait savoir pousser et ramener, tenir les fils dans ses mains. Il obtenait ce qu’il voulait tout en acceptant la dure réalité : Sacrifier un peu de sa liberté pour en garder un minimum. Ainsi, ROYAL qui a été pour lui son école de la maternelle jusqu’à l’université, partagea des millions de souvenirs avec lui : Ses premiers moments de colères, ses fous rires et ses premiers ébats sentimentaux.

Et surtout, Il y découvrit sa passion pour le dessin et les mangas, entamant une collection impressionnante avec plus de 2 000 tomes en quelques mois contre quelques lavages de vaisselles de temps en temps. Puis, il se mit à  la guitare, faisant craquer toutes les minettes autour de lui, bien qu’au fond il voulait juste se donner un côté rebelle… C’était l’adolescent type « Tout le monde est à mes pieds », « Tout me réussit » donnant l’impression de faire simplement ce qu’il voulait. Riche, beau, intelligent et incroyablement drôle et plein de caractère, l’établissement privé le craignait pour sa manie de mâcher du chewing-gum en cours, ses bavardages incessants avec son voisin de table Zao Yu, ses notes excellentes alors qu’il passait sa moitié du temps à simplement dessiner sur ses cahiers de cours… Une terreur souriante et naturelle, au rire franc et au sourire maladif qui rendait les gens autour de lui attiré comme des moustiques autour d’une ampoule allumée…

Son côté « Contradictoire » était toujours bien présent, il aimait dire « Non » simplement pour le plaisir, râlant à longueur de journée pour si et pour ça, feignant l’indifférence quand un sujet lui passait par-dessus la tête. La plupart en riaient, même si beaucoup le trouvaient insupportable, peut-être était-ce de la jalousie ? De l’envie ? Il faut avouer qu’il était facile de se demander pourquoi tout avait l’air de briller de son côté et pas du nôtre… Toutefois, la raison est belle et bien parce qu’il se battait, qu’il refusait de jeter ses planches de dessin manga qu’il se tuait à faire toute la nuit, qu’il contestait de se plier aux exigences futiles de ses parents et décidait lui-même de son emploi du temps, de ses rendez-vous. Il ne se laissait pas faire, rejetait les conseils de sa famille et les envoyer paitre quand on lui parler de reprendre le flambeau de la société. Bien qu’au fond, une partie infime de lui-même lui répétait sans arrêt qu’au final, il n’aura pas le choix…

Mangaka… C’était devenu son truc, son objectif, son seul rêve et le fait que cela faisait chier les Matsumoto lui donnait encore plus envie ! Alors il s’inscrit au club de dessin, prêt à s’y mettre entièrement et réclamer l’avis de professionnels… Il n’avait juste pas du tout prévu de tomber amoureux de la plus belle fille du lycée : Enfin selon lui elle l’était et l’est toujours.

Cheveux sombres et yeux pétillants, aussi cucu la praline que ça pouvait être, il s’interrogea sur sa provenance angélique et son cœur battait si vite et fort qu’il pensait souffrir de tachycardie ! Il manqua d’en lâcher son crayon mais ne fît rien et s’entêta à continuer son croquis, s’appliquant sur les détails de son paysage. Il n’osait pas trop lui parler, pour une fois qu’il fermait son clapet ça en devenait presque louche ! Pendant plusieurs jours, il ne faisait que la regarder dans la discrétion la plus ridicule, ses joues rougissant dès que leurs pupilles se croisaient par accident et ça en devenait presque agaçant de le voir aussi désarmé devant une donzelle, lui qui d’habitude avait toujours de doux compliments aux commissures de ses lèvres. Peut-être que le bon Dieu aussi eut pitié face au comportement du jeune homme car voilà deux semaines passées et ils devaient tous travailler en paire, se retrouvant nez à nez avec une certaine Naya…

Petit à petit, avec prudence et candeur, ce sont de bonnes bases qui se sont placées, une amitié parfois décorée de regards persistants et langoureux, à la recherche de réponses à des questions inexistantes, des effleurements et des mots toujours plus calculés et engageants… Testant les limites et les frontières, l’abordable et l’interdit, dans leur groupe d’amis, il n’y avait pas à se poser la question, ils allaient bel et bien être un couple un jour ou l’autre… Mais ils prenaient leur temps, se découvraient à travers des rendez-vous à deux, des dîners intimes et des confessions obscures… Le chemin vers leur amour mutuel se dessinait tranquillement… Les torts et les travers s’exposaient, le caractère plantait le décor et les recoins à explorer devenaient une quête à compléter…

Jusqu’à ce qu’un obstacle se présente dans le tableau, une tâche qui s’incruste dans la toile et la fait noircir sans une raison potable ou une excuse au préalable. Parce que pour les Matsumoto, Naya n’est qu’un être nuisible, un parasite : Un souvenir douloureux d’un client qu’on leur a volé, un client qui a préféré allé voir ailleurs que leur fondation. La concurrence ! Pfff, et maintenant la fille essaye de voler le fils ? Bien sûr que c’est mal passé ! Un scandale, une honte, quel déshonneur ! Mais Kyohei n’entendait mot, il allait faire ce qu’il voulait, refusait d’accepter qu’on lui dise avec qui sortir et se permettait même d’insulter au passage qui compte venait l’emmerder par rapport à ça : Oncle, Tante, Cousin et même mère, sa relation ne concernait que lui et lui seulement ! Il savait que leurs sentiments n’étaient peut-être que jeunes et immatures, toutefois il était hors de question que quelqu’un lui dise comment vivre et encore moins comment aimer.

Alors le temps passa et l’eau coula sous les ponts, la dernière année marquant le début officiel de leur couple. « Ce n’est qu’une amourette de jeunesse, rien de plus. » lui disait-on dès le matin, « Bientôt tu ne voudras plus d’elle », lui annonçait-on l’après-midi, « Couche une bonne fois pour toute avec et tes hormones se calmeront ! » lui criait-on dessus le soir ; Ils le  méprisaient d’être tombé amoureux d’une nana pareille. Une dépravée, une folle, une crétine, une abrutie, ils avaient apparemment toutes les raisons au monde de la haïr mais lui ne voyait que du feu et des menaces futiles et exagérées. Ils ne la connaissaient même pas ! Il ignorait, il prenait sur lui et faisait l’indifférent, il la défendait du mieux qu’il pouvait mais son grand-père avait tout aussi mauvais caractère que lui et très souvent, cela finissait par des baffes et des hurlements incessants : Des menaces de déshérite et des rétorques comme quoi sans lui, la Fondation ne pourrait continuer puisqu’ils n’auraient jamais le culot d’utiliser ses petites-sœurs et qu’ils n’ont jamais pensé une seconde que ça ne l’intéressait pas ! Des aveugles, des sourds ! Plus d’une fois, Kyohei s’enfuyait chez son meilleur ami, poussé à bout car plus les mois passés et plus la sentence était prête à tomber… Son destin devait prendre un tournant, l’épée de Damoclès se rapprochant dangereusement de son crâne.

Fuir la réalité lui était impossible cependant et il le comprît bien vite... C’était peut-être injuste et injustifiable, mais en aimant ??? elle était devenue son point faible, son talon d’Achille. Elle offrait à sa famille un point d’appui pour lui faire faire ce qu’il ne voulait pas car maintenant il y avait moyen de le faire chanter. Il en pleura beaucoup, il en voulut au monde entier de lui demander de faire une croix sur le seul rêve qu’on lui avait donné… Mais il ne réfléchit pas une seconde lorsqu’on lui demanda de choisir, lorsqu’on lui dit de décider entre son couple ou ses mangas… Elle lui donna goût aux dessins, à la création et aux couleurs certes mais elle vaut bien plus que tout ça : Quand le lycée fût fini, il s’inscrivit à l’université de ROYAL en économie et gestion, comme il l’avait promis, mettant fin à tout rêve de planches et d’encre que son adolescence eut nourri. Cela lui permit d’acheter la paix pendant un petit moment, ce fût du répit pour son cœur et pour son mental. Peut-être pas pour très longtemps : Remplir le rôle du parfait petit héritier à la perfection n’était plus rien, se laissant dompter pour ne pas avoir de reproches mal placées concernant sa vie sentimentale non plus. Il y avait juste maintenant sa fiancée qui compté.

Oui, oui, fiancée. Voilà bel et bien le combattant que nous connaissons, mettez-lui des bâtons dans les roues et il en fera construire une autre plus résistante. Il se plia aux grés des Matsumoto mais le contrat léonin qu’il signa n’était rien face à la promesse de mariage qu’il offrit à Naya. De quoi prouver qu’on ne jouait pas avec lui et de quoi rabattre les gueules bien trop pendantes de certains proches qui ne le prenaient pas au sérieux. C’est avec une magnifique bague ornant son annulaire qu’il entra à sa première réunion en tant qu’apprenti dans la fondation, lançant des regards méprisants à son grand-père qui ne fît qu’afficher un sourire hypocrite et forcé. Les premiers coups de canons avaient été lancés mais c’était de très loin les soucis de notre jeune étudiant. Il décida de reprendre du poil de la bête car au fond, personne ne peut vraiment l’attrister longtemps et il quitta la maison pour se mettre en colocation avec Zao Yu, les deux partageant quasiment les mêmes matières. Il passa par des phases rock’n roll déchainées, des moments baba cool et même un mois techno pétant, son pantalon jaune fluo depuis longtemps brûlé après une soirée bien arrosée… Ce qui ne changea pas heureusement, c’est bel et bien son amour pour sa future femme, lui promettant terre et mer, lune et Soleil et ciel et univers dès qu’il le pouvait, la rassurant que qu’importe combien de fois on lui fermera la porte de chez lui au nez, il reviendra toujours auprès d’elle. Ils étaient solides tel un roc, pleins d’ambitions et surtout, loin de s’inquiéter de l’avenir. Naya et Kyohei ont toujours vécus au jour le jour et cela leur suffisait amplement. Les Matsumoto n’étaient qu’un sujet de conversation en plus durant les dîners et la plupart des fois, ils en riaient plus qu’ils n’en pleuraient !

Le seul moment le plus embarrassant et le plus comique qu’ils aient pu avoir, c’est bel et bien leur cérémonie de mariage en fin de troisième année universitaire, là où quasiment la moitié des invités ne sont pas venus et les présents tirés presque tous la gueule à part leur bande habituelle. Les deux avaient tentés de garder leur sérieux devant l’autel mais ils ne pouvaient qu’exploser de rire en voyant la mère du marié tenter de paraître élégante et classe quand au final, ses lèvres étaient tellement pincées de rancœur et de rage que son rouge flamboyant débordé de tous les côtés ! Non vraiment, notre couple n’a jamais arrêté de marcher main dans la main, qu’importe combien leurs propres familles pouvaient les voir : Kyohei est devenu PDG de la fondation comme prévu, narguant son aïeul de toutes ses dents, les deux tourtereaux s’installèrent ensemble dans un loft en plein milieu de la capitale et tout : Oui, tout, leur paraît surmontable maintenant qu’ils sont enfin bel et bien ensemble.

Ce sont de meilleurs ennemis, amis et amants, se chamaillant pour tout et rien, s’offrant à l’autre sans la moindre hésitation, une confiance régnant jusqu’au bout des ongles, jusqu’au bout des cheveux…

■ pseudo: Shokibo ■ âge: 23 ans ■ presence connexion: 7/7 ■ presence rp :  4/7■ Personnage inventé ou scénario: C'est mon propre prédéfini =w=

Salut RPS, mon amour  :-0141-: mon coeur  :-040-: (ça dégouline d'amour ♫ c'est beau mais c'est insupportable ~ ♪)

Code:

<span class="botinsym">▲</span> <font color="#e98ab0">Shim Changmin ➦ Max [DBSK]</font> [u]»[/u] Matsumoto Kyohei