so much to you, but nothing to me

TENUE ☍ il était mal. Oh oui, il était très mal. Parce que nagisa n'était pas si fort, que ses belles paroles ne valaient rien de plus que son mensonge de se convaincre qu'il n'aimait plus l'idole. Il savait... il savait pourtant que ce n'était pas vrai ((et que ça ne le serait jamais)). Il aimerait le regarder encore une fois, et en toute franchise, en lui affirmant que non. Non il n'était pas à lui. Sauf que même ça, ce n'était pas la vérité. Il en avait parfois marre de faire semblant ; devant ses amis, devant son psy. Il aurait voulu avouer, mais certainement pas à la personne concernée. C'était bien trop dangereux, il ne voulait pas lui donner la satisfaction qu'il réclamait. Pourtant, et incontestablement, il finirait par le faire. Il en avait toujours été ainsi, il en sera toujours de cette manière. Parfois, nagisa se disait que sa rencontre avec yoseob avait ruiné sa vie ((alors même qu'il avait trouvé le but de celle-ci)). « parce que ce sera beaucoup plus facile de profiter de ton état d'ébriété pour en tirer ce que je veux babe. » il le détestait ! Il détestait cette façon de le traiter, de l'avoir. Il avait horreur qu'il puisse toujours savoir comment profiter de sa personnalité, le blond haïssant tant de ne plus avoir le contrôle de sa propre existence. //il était coincé là à cause de lui, il était à Tokyo pour lui, il avait tout plaqué & il l'aimait lui// depuis des années. Il lui avait donné bien plus que toutes les personnes ayant partagées son lit réunies. Mais ça, il savait qu'il n'en avait rien à faire. Il n'était pas idiot, il se dévouait pour un être qui s'en foutait. Hors c'était plus facile de ne rien voir ((de croire)). Silencieux, prisonnier, perdu. Entre ses envies et sa fierté. Entre son amour et sa peine. Il était sur la route du bonheur ; mais il n'allait pas vers le bonheur. Pas ce soir. Il écoutait parce qu'il n'avait pas le choix et il mordait sa lèvre pour ne pas dire oui. Pour contenir son désir. Une journée et le voilà de nouveau amoureux. Il subit son cœur, sauf que cette fois il n'y a que la souffrance qui lui soulève la poitrine. Il veut que l'alpha abuse du nixen. et a récompense l'excite... « Je suis capable de te donner ce que tu veux sans avoir à boire la moindre gorgée. » c'est la vérité, car yoseob n'a qu'à réclamer. Il pose ses mains sur ses bras pour le pousser à les retirer de sous son haut et il tente de se défiler, mais comme il n'y parvient pas, il relève les yeux vers lui ((toujours ces yeux qui ne se dérobent pas)). « Reste éloigné de moi et je te promet d'en boire une. Mais tu ne me touches pas. » et il jure de ne pas en boire deux.
 

so much to you, but nothing to me

TENUE ☍ Tu l'avais fait prisonnier dans un coin de la pièce, un sourire carnassier flottant sur tes lèvres. Après l'avoir affaiblit d'un échange de salive tu avais Nagisa à ta portée entre tes griffes qui remontent lentement sur son ventre, caressant sa peau du bout des doigts. Tu observes la vixen entre tes mains, il peut tenter de prétendre tant qu'il veut, mais tu n'as qu'à poser ton regard dans ses prunelles pour savoir que tu n'as qu'à tendre la paume pour qu'il vienne manger dans ta main. Tu as volé son cœur sans jamais le lui redonner après l'avoir largué. Ha ha. ( ici lire : mouhahahhahahaaa! ) ton manager forcé au pied du mur tu avais été droit au but en lui dévoilant tes intentions. Ton honnêteté cachant fourberies que tu continues à manigancer sans scrupules alors que tu tiens ton pauvre manager entre tes mains. Tu es fourbes et calculateur, tu lui tends le bonbon. Lui offrant une récompense contre sa docilité. Est-ce que le garçon va prendre le bonbon que l'idole lui tends? Tu souris. « hmmmm » tu humes en le brûlant de ton regard sur lui. Malgré quoi tu continues de le fixer, attendant patientent qu'il te cède. Ce qu'il ne tarde pas à faire d'ailleurs te fait sourire de satisfaction alors que tu vois lâcher les armes et admettre défaite. il impose tout de même sa petite règle ( règle qu'il regrettera probablement plus tard d'ailleurs une fois dans son mode Drunk-Nagisa-touchy-Nagisa-Horny-Nagisa. x) ) et tu lâches un petit rire arrogant avant de libérer ta prise retirant tes mains de sur lui. « Deal. » une seule bière c'est plus que suffisant. Pas besoin de deux, une seule suffies. Ce n'est pas pour rien qu'il avait refusé d'abord,  il ne tient pas sa liqueur. La seconde suivante, tu t'étais éloigné de lui, venant reprendre ta place à la table et repiquer dans les plats présentés. « ta bière t'attend manager-nim! » le plus effrayant c'est définitivement la voix innocente et ton expression sur le visage qui pourrait sur le coup invoqué des anges jouant de leurs harpes alors que tu pointex la canne sur la table qui n'attend que d'être consommé.     

so much to you, but nothing to me

TENUE ☍ il a des sentiments désagréables tel que le regret, le chagrin, la douleur, mais il y a tellement pire que tous les sentiments négatifs ; le dégoût. Et à l'instant, nagisa ne sait pas de qui il es le plus dégoûté. Lui, pour sa faiblesse ou yoseob pour sa cruauté. L'enfant n'est qu'un poisson dans un bassin de requin. Et son plus grand prédateur n'est autre que son ex petit-copain. Il est en colère pour avoir céder, il est triste qu'il le manipule ainsi alors qu'il est prêt à tout lui donner. Oh oui, il ne comprend pas... il n'a pas besoin de ça pour avoir nagisa. Parfois, il se dit qu'il n'a pas conscience de son importance, de son amour. Bien sûr, yoseob doit probablement savoir qu'il est à lui -- dans tellement de sens, mais il reste aveugle de sa sincérité. Et c'est si dommage, il pourrait être un soutien, un allié d'une authenticité unique et rarissime. Si seulement il ne l'humiliait pas à longueur de journée. « Deal. » et il se permet enfin de respirer ; quand il s'éloigne de lui. Il retrouve le plaisir de l'air, la joie de vivre sur terre. Il n'y a plus cette oppressante sensation au creux de son ventre. Et il le regarde se rasseoir, manger et lui dire que sa bière l'attends. Il est si naturel, si... si angélique sur l'instant. Trop, c'est trop. nagisa est fragile, il ne peut pas se permettre de de glisser sur cette pente-là. Alors, toujours dans son coin, les poings serrés et la tête baissée, il se surprend à vouloir s'en aller ; le quitter pour la première fois de sa vie. « Tu as raison... tu devrais probablement trouver un manager autre que moi. » il relève les yeux vers lui, sa franchise est à la fois ce qui le caractérise et ce qui lui fait défaut. Il est sincère, y pense sérieusement, mais s'en attriste à la fois, vaudrait désespérément qu'il lui dise que non, qu'il a besoin de lui ((doux rêve)) il est si naïf. Trop croyant. Puis il sourit, surtout ne pas montrer qu'il a envie de pleurer, avant de revenir à sa place en restant à une distance plus qu'exagérée. Attrapant la bière qu'il craint tant, il n'a plus faim ((devrait probablement manger avec l'alcool pourtant)) mais son estomac lui fait mal. Très mal. Il avale une première gorgée ; qui est en réalité la seconde et grimace légèrement. Il adore la bière, c'est vrai, mais la déteste également, parce qu'il en est faible. Beaucoup trop. Il ne parle pas, n'ajoute rien, il ne sait pas quoi dire. De toute manière tout ce qu'il dira sera retourné contre lui ; il est dégoûté, ce n'est pas le travail qu'il attendait, ce n'est pas ce qu'il voulait. C'est loin de l'être. « Toi et moi, ça ne fonctionnera pas. » parce qu'ils ne pourront jamais se faire confiance, qu'il sera abusé alors que son travail est toujours impeccable. Il perd son temps, il déteste ça ; a horreur de ce yoseob ((il l'aime)) tellement. Il a été bête de penser que pour sa carrière il pourrait au moins avoir un minimum de respect et il pense encore que tout pourrait s'arranger ; aie, si seulement il comprenait que le monde n'est pas si rose. « Bon alors, tu veux savoir quoi ? » il n'a pas encore la tête qui tourne, mais cela ne serait tarder. Il est sûr d'être allergique à l'alcool, en réalité.
 

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TENUE ☍ les paroles de Nagisa te surprennent un peu. Inconsciemment ton cœur se serre un peu dans ta poitrine à sa décision même si tu n'as pas remarqué cette sensation désagréable qui était passé si rapidement que tu ne l'avais pas identifié. Sous la surface totalement détaché, tu rages un peu. Tu voulais jouer avec lui et il gâche tout ton fun. « whatever. » tu réponds avec un peu d'agacement dans la voix tout en haussant les épaules et piquant un ravioli dans une des assiettes sur la table. Qu'est-ce que tu en as à faire si Nagisa démissionne de son boulot de manager. ça te fait ni chaud ni froid que tu te dis. S'il penses que tu vas le supplier de rester avec toi, lui dire que tu as besoin de lui dans ta vie, il peut toujours rêver! Not gonna happen! Tu te contentes de manger simplement alors que tu vois du coin de l'œil le garçon porté la bière à ses lèvres et en prendre une nouvelle gorgé. Le silence s'installe comme cela un moment avec Nagisa visiblement sur le bord de fondre en larmes et toi qui ignore ses états d'âmes. ( il le faut, cette bouille tu craquerais sinon) c'est Nagisa qui brise à nouveau le silence en te demandant ce que tu voulais savoir.. mais franchement où il est l'intérêt maintenant? « si tu quittes le poste de manager mes questions n'ont plus d'importance de toute manière. » tu ne vois plus trop l'intérêt de lui passer ton petit interrogatoire d'égoïsme si le garçon compte donner sa démission après une journée passée comme ton manager. « bon, tu peux te tirer de chez moi. j'ai perdu tout mon intérêt dans ce petit jeu maintenant. » si à la base tu n'avais pas été enjoué d'avoir ton ex qui t's réveillé à coup de verre d'eau en plein visage, la perspective que tu allais pouvoir jouer avec ton jouet que tu avais abandonné quelques années plutôt t'avais visiblement intéressé par la suite. C'est pour cela que tu avais accepté de jouer le jeu. Tu avais accepté de manger avec lui ce soir et d'annuler tes plans lubriques avec Bo Han .. si Nagisa veut abandonné la partie, whatever que tu te dis, mais il ne te fera pas perdre ton temps. « oh et avant de partir. officiellement tu es toujours mon manager alors soit un bon employé et envoie un message à Bo Han pour moi réclamant son joli derrière dans mon lit ce soir. » une nouvelle vague de cruauté gratuite s'attaque au cœur brisé de ton ex. ça vous surprend encore? Il veut t'abandonner? ( bon ce n'est pas de l'abandon, mais dans ta tête d'égoïste illogique il n'y a que toi qui peut décidé de partir. ) il doit souffrir!   

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TENUE ☍ il y a des choses qu'il peut accepter. Certaines où il peut se oublier, pardonner ; et il y a cette liste d'acte qui le blesse à tel point qu'il ne peut passer outre. Tout le monde sait, personne n'ignore, nagisa est naïf ou parfois un peu idiot, mais il est comme tout le reste de la population. Il n'aime pas la douleur, ne veut pas souffrir. Il y a déjà goûté, il y a quelques années, et ne veut plus jamais avoir à le faire. Il s'attendait à ce que son idole ne le retienne pas, même s'il espérait réellement qui le ferait. Alors il est blessé de son attitude ((comme toujours)) hors il ne le relève pas. Comme toujours, trop timide pour regarder, trop peureux pour parler. « si tu quittes le poste de manager mes questions n'ont plus d'importance de toute manière. » et contre toutes attentes, on peut voir nagisa sourire ; même un petit rire. Il s'amuse de son attitude, tous savent qu'il n'est qu'un gamin encore amoureux de son ex-copain, mais l'idole est comme lui. Il n'a pas bien grandi. « Imbécile. » c'est sorti comme ça, sans qu'il n'y réfléchisse. C'est léger, il n'y a plus la moindre trace de tristesse, mais une infinie tendresse. C'est bête et il est probablement plus idiot que son poulain, parce qu'ils savent tous les deux que malgré tout nagisa ne pourra jamais lâcher ce poste. Puis la colère l'anime de nouveau, parce qu'il déteste tous ses mots. C'est propre à leur histoire, il passe continuellement d'un sentiment à un autre. C'est si désagréable qu'il aimerait être comme ces gens incapables de ressentir, il souhaiterait s'arracher le cœur pour oublier tout ça. Il reste silencieux et hésite -- doit-il partir ? Sa raison lui hurle que oui, que sa santé mentale est plus importante qu'un rappeur imbue de sa personne. « oh et avant de partir. officiellement tu es toujours mon manager alors soit un bon employé et envoie un message à Bo Han pour moi réclamant son joli derrière dans mon lit ce soir. » il y a cette liste d'acte qui le blesse à tel point qu'il ne peut passer autre ; trop c'est trop. Nagisa est timide, naïf, il ne sait pas se battre, n'arrive pas à être violent, ni même vulgaire. Mais il est impulsif et refuse d'être pris pour un imbécile ((beaucoup trop souvent)). Alors pour la première fois, il ne réfléchit pas, il se lève d'un coup et regarde yoseob de haut. Il n'a pas honte de le faire descendre de son piédestal pour le moment et tend son bras. La bière coule sur ses cheveux roux, jusqu'à la dernière goûte. Avant qu'il pose la bouteille à présent vide juste en face de lui ((il ne réfléchit toujours pas)) et voit tellement rouge qu'il en perd la raison. Il oublie signer son arrêt de mort. Il oublie contre qui il joue ; mais à présent, une lueur de défi brille dans ses pupilles. « Tu crois que je suis ta bonniche ? Très honnêtement, va pourrir en enfer Yo Seob. » l’adrénaline est telle qu'il ne sait plus ce qu'il dit, il sait juste qu'il ne fera jamais venir Bo Han après lui et qu'il refuse qu'un autre puisse avoir l'emprise qu'il avait avant sur son idole. « Officiellement, je suis toujours ton manager. Alors officiellement mes règles sont toujours d'actualité. La seule personne que tu es autorisé à voir la veille de tournage c'est moi, la seule chose qui peut te toucher, c'est ta main. Si tu n'as rien à me demander alors fini de manger et va donc te coucher. » Il se penche et attrape les plats, se fichant qu'ils soient terminés ou non pour les jeter dans un des sacs qui finira très forcément à la poubelle en bas. Bien qu'en colère, il retrouve sa joie habituelle et sourit à celui qui a ruiné la totalité de sa vie. Et pour qui ses sentiments sont infinis. « Oh, et j'ai fini ma bière, tu n'as pas posé tes questions, ce qui est dommage car le marché est à présent terminé. » nagisa est bête, amoureux, influençable ((pourtant il est également travailleur)) et cette partie de lui semble plus importante que tout ce qui le constituait par le passé. Il sait qu'il va le regretter, mais Wolf Bo Han arrive à changer blanche-neige en la méchante reine.
 

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TENUE ☍ « WHAT THE FUCK!? » Qu'est-ce qu'il a contre tes cheveux pour les attaquer pour la seconde fois aujourd'hui. Ce matin il t'avait donner une douche avec son verre d'eau et maintenant il avait reversé le liquide alcoolisé sur ta tête en réponse à ta demande complètement dégradante et cruelle envers celui qui a toujours des sentiments irrésolu pour toi. Tu as envie de le tuer ce petit con! Mais aussi cruel et connard que tu puisses être 90% du temps, tu n'es pas assez un enfoiré pour faire du mal physiquement au garçon. Tu ne peux pas lever la main dessus... tu as beau bouillonner de rage t'es options sont limités pour ce qui est de ce que tu peux faire à Nagisa pour lui faire regretter son geste. En plus, il a le culot de te sourire tout bonnement en jetant les plats après t'avoir dit de finir de manger et d'aller au lit. par le passé tu l'aurais juste un peu malmené alors que tu l'aurais poussé torse contre le mur, l'aurais complètement déshabiller avant de lui lier les poignets avec ta ceinture et le baiser sauvagement à sec sans préparation et sans lubrifiants pour le punir. Bon Nagisa gémissait comme une damné au final, mais tu l'empêchais de jouir jusqu'à ce qu'il se confonde en excuses et en supplication pour le laisser atteindre son orgasme. Même si l'idée est définitivement tentante ce n'est pas une option. Un rire  sinistre résonne de tes lèvres. L'aura démoniaque assombrit la pièce et on pourrait possiblement croire que tu venais d'être possédé par un démon.  « h même si le marché est définitivement terminé. Nagisa, tu viens de briser notre deal. » ton rire sonne faux, limite glacial sur le coup. On dirait que tu n'as pas le choix pas vrai? Tu dois le dresser correctement, le punir d'avoir osé te verser une nouvelle du liquide sur la tête. « tu as brisé ta partie du deal ce qui me donne tous les droits de briser la mienne. » l'instant suivant tu étais derrière lui mes mains glissant sous son haut et le faisant monter sur son torse, par-dessus sa tête, mais reste coincé dans son dos pour ligoter ses bras. (lien) tu préfères qu'il soit complètement à ta merci pour la punition. « tu veux quitter le poste de manager, fine. Laisse filer cette chance d'être finalement près de ton Alpha. Voyons comment tu vis sans moi à nouveau. La première fois ça s'est passé comment? Huh? Comme tu es venue rappliquer devant ma porte la dernière fois, pas si facile que ça han? » tu avais manié le garçon aux mains liées sur le sol, glissant ta main sur son ventre et allant déboutonner le bouton de son jean. « puis comme c'est moi qui te touche je ne brise pas tes règles non plus. » t'as trouvé le loopole.. enfin as que tu te fiches de ses règles mais bon. « bon alors, t'es prêt à passer à la punition? Non? Dommage. Tu ne croyais pas que tu pourrait me reverser une bière sur la tête et t'en tiré pas vrai? »

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TENUE ☍ l’adrénaline est une chose agréable quand elle n'est pas contre soi. Quand notre cœur bat vite suite à une excitation voulue, il est plaisant de jouer avec elle. quand elle est dictée par la colère, elle fait du bien sur l'instant, mais on finit incontestablement par en subir les conséquences et quand elle est dictée par la peur... nagisa regrette tout. et la tension redescend dès que son idole se met à rire ; ce sourire mauvais, ce son qui lui promet les monts et merveilles ; dans la descente aux enfers. et si le manager le regrette autant c'est parce qu'il se souvient, il se rappelle de chose qui ((quand bien même il aimait ça)) l'humiliait et lui faisait mal. yo seob est le garçon qu'il aime, il le sait, mais il est aussi celui qui lui a fait le plus de mal et personne ne pourrait comprendre la douleur ressentie par le bonheur éprouvé. « hm même si le marché est définitivement terminé. Nagisa, tu viens de briser notre deal. » le blond relève les yeux directement et à présent c'est la panique qui se peint sur son visage ((il est bien trop transparent)) face à cette aura si menaçante et à ce qui l'attends. « N-n-n-n'im-importe quoi ! J'ai rien brisé du tout. » il tente vainement de s'en convaincre du moins. ni arrive pas vraiment. alors quand il lui affirme pouvoir briser le sien... l'homme redevenu gamin avale difficilement sa salive et se met en alerte. quand bien même il sait qu'il ne pourra rien y faire. il déteste ((il aime)) cet homme. il sent son tee-shirt se soulever et ses mains se retrouver prisonnières ; il est mal. très mal, il le sait et ne le vis pas très bien. après son regard vagabonde de la porte à son idole, de son torse nu à sa star. pourquoi n'est-il pas parti, il a voulu jouer aux grands, s'envoler vers l'indépendance et il comprend pertinemment que ses ailes vont être à nouveau brûlé ((il venait tout juste de les retrouver)). « QU'EST-CE QUE T---- » ses mots sont douloureux. ses larmes encore plus. il baisse la tête et se force à ne rien laisser paraître, à ravaler ses perles, il ne peut pas, n'a pas le droit. cette période dans sa vie a été si brutale et si violente qu'il désire plus que tout au monde l'enterrer. mettre ses paroles sur celle-ci est le pire poison possible. il veut pleurer, hurler, se débattre, tuer. il n'est pas revenu pour lui. il n'est pas revenu pour ça ((il essaye réellement d'y croire)) non il n'est pas là pour lui ! s'il-vous-plait, se surprend-t-il a penser, s'il-vous-plait. qu'on lui vienne en aide. et cette main sur son ventre, son jean qui perd une barrière, son cœur se brise. son envie de vomir grandit. « Non... non ne me touches pas... » pas comme ça, pas de cette manière là. il ne le supporte pas ; ne le peut plus. c'est trop dur pour lui. il relève la tête, c'est son dernier acte de rébellion, il ne sait plus comment agir. « C'est de ta faute ! Si tu arrêtais de me provoquer et que tu me laissais faire MON BOULOT on n'en serait pas là ! Je ne suis plus ton jouet, laisse-moi, lâche moi ! » tu veux qu'on soit fâchés pour toujours ? il se retient, car c'est déjà le cas. le monde n'est beau que devant ses yeux, il veut croire en l'humanité et sa beauté, mais le démon face à lui ne cesse de lui rappeler ; il n'est qu'un gamin naïf. une proie beaucoup trop facile.
 

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TENUE ☍  Ce petit enfoiré venait de te reverser sa bière sur la tête, tu avais laissé passer ce matin parce que ce n’était que de l’eau, mais si tu devais te coltiner ton ex en tant que manager tu allais au moins devoir lui apprendre les bonnes manières. Ton rire malveillant résonne dans la pièce, on dirait un super vilain avec une gueule de dieu. Tu es en colère et comme de fait sous la colère tu n’es pas particulièrement logique non plus. Probablement que tu pouvais utiliser une autre méthode que de pratiquement violer ton ex sur le sol de ton salon, mais que voulez-vous maintenant que tu avais Nagisa sans défense sur le sol, les poignets prisonniers du tissu de son chandail menottant ses mains au-dessus de sa tête, ce serais idiot de le laissé filé sans lui démontré clairement que tu as encore tout le contrôle. Tu aimes ça, le contrôle. Tu aimes entendre le garçon essayé de se défendre mais tombant dans l’oreille d’un sourd alors que tu laisses ta main glisser sur son ventre jusqu’à sa ceinture. Tu vois dans son regard la détresse et comment ça t’allume de le voir aussi sans défense sous toi. fuck tu le baiserais, mais non Yo seob ne flanche pas à se jolie minois et tu te reconcentre sur sa punition. Nagisa aurais dû s’enfuir lorsque tu lui en avais donné la chance. Nagisa est le petit ange qui avait mis du temps à panser ses ailes pour voler de nouveau et toi tu es le démon qui le vois retenter de prendre son envol après l’avoir clouer au sol un fois et qui décide de lui brûler les ailes à nouveau, juste pour te divertir. T’es un enfoiré, mais il le savait déjà ton petit manager. Nagisa est au bord des larmes forcé à écouter tes paroles venimeuses et cruelles et toi ca t’amuse, foutu sans cœur. Votre amour semble si loin pour toi. Nagisa réagit plus violement en sentant ta main défaire sa ceinture, il te demande d’arrêter, mais évidemment tu ne l’écoute pas. « non? t’es certain que tu veux que je te lâche, regarde comment ton corps il réagit rapidement. Je te touche à peine e tu frémis déjà sous mes mains comme une petit putain nagichatte. T’es mon manager maintenant, tu m’appartiens, alors je suppose que oui ça fait de toi mon jouet. tu peux nier mais je sais que tu meurs d’envie que je joue avec toi. » t’es tellement suffisant que l’arrogance te sort par tous les pores de ta peau. Tu fais descendre son pantalon et son caleçon, juste assez pour laisser sa petite érection visible. « tu m’as l’aire plutôt excité vixen. » tu te moque.

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TENUE ☍ il y a plus douloureux que de recevoir un coup. il n'existe pas de pire douleur qu'attendre, impuissant, le mal indéniable qu'on sait d'ores et déjà que l'on va recevoir. nagisa est là, à même le sol, mains liées et pieds paralysés. et s'il déteste autant être dans une position de faiblesse ce n'est pas uniquement parce qu'il ne peut rien faire ; simplement parce que ça lui rappelle sans cesse qu'il ne pourra jamais rien y faire. soumis à ce état de soumission depuis sa plus tendre enfance. s'il veut se montrer fort ce n'est pas uniquement pour un épanouissement personnel, mais plutôt pour le sauver d'une folie passagère. un mental constamment martyrisé par son entourage, on imagine pas souvent être face à un enfant. il travaille et fait bien son boulot ; froid et rêveur, cette image lui permet d'instaurer une distance nécessaire à son bonheur ((ou à sa tranquillité ?)) s'il la perdait, yoseob ne serait pas le dernier à profiter de sa faiblesse. ni le dernier à faire couler ses larmes. nu et sans défense, le nouvel manager semble n'avoir qu'une envie, se tailler les veines pour s'endormir en plein supplice et ne plus jamais se réveiller. la vision de son érection le plonge directement en enfer ; il déteste être abandonné par son corps, mais le garçon a toujours été sensible aux mains de son ancien partenaire. « non? t’es certain que tu veux que je te lâche, regarde comment ton corps il réagit rapidement. Je te touche à peine e tu frémis déjà sous mes mains comme une petit putain nagichatte. T’es mon manager maintenant, tu m’appartiens, alors je suppose que oui ça fait de toi mon jouet. tu peux nier mais je sais que tu meurs d’envie que je joue avec toi » et ça fait mal, mal parce que c'est la vérité, mal parce que malgré les larmes il aime ça. il aime ça et a horreur des battements de son cœur à la fois. et il ne sait pas nagisa, il ne sait pas si ça vibre de désir ou de peur ((sûrement les deux...)) il aimerait mourir là, faire un avc peut-être. peu importe tant que ça le sort d'entre ses griffes. « NON ! je ne veux pas, je ne veux pas, lâche moi ! Yo Seob détache moi ! tu ne peux pas ! » il n'a pas le droit, il n'en a pas le droit. lui, il n'est pas comme vixen, lui, il n'a pas besoin de nombreuses années pour se remettre de ces moments. nagisa est plus fragile, c'est douloureux, ça fait si mal qu'il n'oublie pas et c'est encore un sentiment négatif qui lui fait perdre ses souvenirs positifs... nagi n'arrive plus à être optimiste alors que son corps frisonne. il a peur ((de yoseob)) et de lui-même, il a peur d'aimer, d'aimer à en étouffer, comme il le faisait autrefois. « ar-arrête... s'il te plait, arrête... » le monde se brise à chaque centimètre de peau visible, dès que le tissu le dévoile un peu plus, un désir violent lui maltraite l'abdomen. hors, cette fois, il sait que ça ne lui fait pas plaisir, il sait que ce n'est pas la douleur qui lui apporter un bien indescriptible. non, c'est juste les prémices d'un regret qui pourrait lui être mortel. nagisa est là, attendant la douleur.
 

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TENUE ☍  La star avait fait prisonnier son manager sous lui sur le sol de son salon, le forçant dans une position à la fois humiliante, mais si familière alors que quelques années plus tôt, Nagisa s’était retrouvé dans des positions semblables sous son ex-petit copain dans la chambre. Cette fois seulement, les mains de Yo Seob parcourait son corps presque froidement, son sourire moqueur sur les lèvres et son touché avait perdu cette adoration de son être, le traitant plutôt comme un de ses vieux jouets qu’il a retrouvé au fond de sa boite. Au-dessus de lui et jouant de son attirance cruellement pour l’humilié sur son plancher immobiliser sous le chanteur qui le touche sans plus aucun signes d’affections ou de traces de leurs amours passé. Ses paroles aussi cruels que ses mains viennent attaquer ses sentiments. Non seulement Yoseob abuse le petit physiquement, mais il le rabaisse psychologiquement également, faisant comprendre à Nagisa qu’il était sa propriété toujours. Il avait voulu être son manager alors maintenant il est siens à nouveau. Qu’il est son jouet et qu’il allait s’amuser avec lui tant que ça lui chante. Il peut le voir dans ses yeux, blessé par ses paroles qui sont une triste vérité pour le garçon. La main de Yoseob se fait cruellement douce sur sa joue alors que le chanteur observe Nagisa les yeux larmoyant sous lui. Nagisa qu’il a réellement aimé un jour et qu’il a abandonné comme une vulgaire chaussette pour partir vivre sa vie d’idole à Tokyo. Nagisa ne méritait pas cela. Celui-ci implore Yoseob de le lâcher et c’est exactement ce que fait l’homme, il retire ses mains de sur Nagisa pour se rapprocher de son oreille. « je n’ai plus besoin de toi, j’ai trouvé une modèle plus jeune et plus adorable. Je te trouvait tellement joli ma vixen, mais tu n’es rien comparé à lui. à côté de Bohan tu n’es qu’un vieux modèle d’un jouet que j’ai vraiment aimé un jour. Certes te voir comme ça me rend nostalgique, seulement ta place à mes coté ne t’appartient plus, rappel toi cet information la prochaine fois que tu veux tenter de m’interdire de voir mon babydoll. » souffle l’idole dans l’oreille de Nagisa avant de se redresser et le laisser prisonnier de son haut sur le sol de la pièce. Il ne regardait même plus vers Nagisa sur le sol, son manager abandonné le cœur probablement un peu plus briser après que Yoseob ait fait exprès de le comparé à son nouveau copain pour le blesser un peu plus. Dire que Yoseob avait aimé Nagisa par le passé, il le cache bien maintenant.