■ Il fait partie d’une troupe de cirque : Le Happy Virus. C’est un cirque connu pour ces diverses activités mais surtout pour les acrobaties. L’incroyable souplesse et la fluidité des mouvements d’Alak (ainsi que son charisme sur scène) font de lui un artiste prometteur du cirque.■ Recruté à l’âge de 5 ans, il ne voit pratiquement jamais sa famille à Bangkok. Il n’a aucun souvenir d’eux mais pense régulièrement à eux. ■ Il est un des seul Thaïlandais de la troupe, il a réussi à entretenir sa langue natale grâce à une artiste Thaïlandaise. Elle est comme une mère pour lui.  ■ Il se débrouille bien en Anglais. Il parle d’une façon assez maladroite le coréen. En général, il arrive à comprendre les autres langues mais la parler est plus difficile, lire encore plus. ■ Les peurs d’Alak sont différentes de la plupart des gens. Il est le premier à vouloir exécuter les numéros dangereux tels que sauter à plusieurs mètres de hauteur, se jeter dans les roues de feu, mais quand il est question de chasser un insecte… Ne comptez plus sur lui. ■ Il n’a jamais eu d’éducation à proprement parler. Il envie secrètement ceux qui sont dans les études. Depuis qu’il a entendu parler de Royal, il ne cesse de porter en admiration ceux qui y vont. ■ Sa troupe a déjà conquis plusieurs pays. Le Happy Virus fonctionne par contrat en termes d’année. Ils se sont installés au Japon depuis maintenant un an.  ■ « Tout humour un peu élevé commence par cesser de prendre au sérieux sa propre personne. »  Décrit bien Alak. Il n’a pas peur du ridicule pour faire rire ses amis. (ou alors n’en a-t-il pas simplement conscience ?!) ■ Il a été victime de violence conjugale lors d’une de ses précédentes relations. Il a fini par appeler la police pour arrêter son petit ami. Il ne sait si ce qu’il a fait était juste ou pas. ■ Il déteste la violence, surtout depuis son histoire avec Nash. Il a encore du mal à regarder des films d’action, il surmonte ça en se disant que ce n’est pas réel. Mais ça ne marche pas à tous les coups. ■ Il apprend doucement à jouer du piano. Autant c’est un as pour faire des acrobaties des plus impressionnantes, autant il n'arrive pas à taper les touches du piano avec ses deux mains simultanément. Du coup, il ne joue qu’avec la main droite.■ Une gorgée de thé le rend incapable de fermer l’oeil. Lui qui aime beaucoup dormir, cette boisson est son pire cauchemar.■ Il a pour l’habitude de manger du chocolat pour se détendre. Comme il stresse pour quasiment tout, il mange beaucoup de cette sucrerie. ■ Ça lui arrive de parler pendant qu’il dort. Personne n'a réussi à déchiffrer ce qu’il dit. Il aimerait bien avoir une chambre tout seul pour ne pas déranger les autres, mais il se sent plus rassuré quand il n’est pas seul dans une pièce.■ Il est myope. Il porte des lentilles pour corriger sa vue et déteste porter des lunettes. Il est aussi en train d'économiser pour faire une opération.■ Il aime bien se faire passer pour un étudiant à Royal en se promenant dans les locaux.

Né dans une famille nombreuse à Bangkok, Alak n’avait rien qui pouvait le distinguer de ses frères et ses sœurs. Il était un enfant parmi tant d’autres et n’était pas spécialement le plus joli, du moins à l’époque où tous les enfants se ressemblaient tous, ni le plus intelligent. N’étant ni l’ainé, ni le benjamin, ses parents ne prêtaient pas plus attention à lui qu’à un autre. Autant dire qu’il n’était pas destiné à briller. Il était ces enfants qui rêvaient sans jamais pouvoir réaliser ses vrais désirs. Pourtant, le petit Alak fut choisi pour faire partie d’une troupe de cirque. Ce n’était pas un hasard. C’était la gentillesse d’Alak qui lui avait permis d’avoir cette opportunité. Pendant que le chef de troupe était à Bangkok, Alak l’avait rencontré pendant qu’il était en train d’aider sa mère au marché.  Le chef avait été conquis par le sourire du garçon ainsi que sa vitalité. Au bout de plusieurs rencontres, il avait compris que ce petit garçon n’était pas fait pour rester coincé avec sa famille. Il ne pouvait promettre qu’Alak allait devenir quelqu’un d’important mais il était persuadé qu’il pourrait briller si on le sortait de là.

La « négociation » avec les parents d’Alak ne fut pas difficile. Même s’ils avaient sorti la carte du « c’est notre fils chéri donc on ne veut s’en séparer », le contrat d’Alak rapportait plus que s’il restait en Thaïlande avec eux. Contrat signé, Alek rejoignit officiellement la troupe du Happy Virus. Cette troupe était surtout connue en Corée, mais avec l’arrivée de plusieurs nouveaux membres, cette troupe allait prendre une autre ampleur. Au début, Alak ne savait rien faire. Mais comme il était jeune, il apprenait rapidement. Le Thaïlandais était tellement heureux de découvrir de nouvelles choses qu’il ne trouvait pas les entrainements contraignants. C’était dur, mais il avait toujours la bonne humeur et était, comme le nom de la troupe, un Happy Virus ambulant. Alak n’était pas le seul enfant de la troupe, elle comportait plusieurs familles avec des enfants qui avaient plus ou moins son âge. Le Happy Virus était une grande famille, même en étant orphelin, Alak ne s’était jamais senti seul. Il avait toujours eu l’impression de faire partie d’une grande famille recomposée de plusieurs nationalités différentes.

En grandissant, Alak était fidèle à lui-même. Il était resté le petit enfant joyeux et la mascotte du Happy Virus. Même s’il n’avait pas encore de performance avec lui comme artiste principal, il ne baissait pas des bras et continuait à rêver. Un de ses rêves avait déjà été réalisé en visitant plusieurs pays (grâce au déplacement de la troupe), un autre aussi, en tombant amoureux d’un garçon. Ce garçon, il l’aimait. Il était le seul à le faire ressentir, le seul qui pouvait faire battre son cœur aussi fort. Mais il fut aussi le seul qui le blessa comme jamais. Alak ne comprenait pas pourquoi il se faisait frapper, il n’avait rien fait de mal qui méritait une telle punition. D’ailleurs, aucune punition ne méritait d’utiliser la violence. Alak n’osait pas dire à son entourage qu’il était victime de violence, c’était dur de cacher les traces mais il ne pouvait se confier à quelqu’un.

Ce soir là, ce fut la fois de trop. Il ne savait pas ce qui l’avait poussé à faire un tel geste mais Alak prit son courage à deux mains et appela la police pour dénoncer son petit ami. Un coup de folie ? De courage ? Par instinct de survie ? Il n’osait pas y réfléchir, il avait juste eu terriblement peur. Pendant que la police s’occupait de son cas, il était resté enfermé dans le cirque, n’osant pas du tout contacter son petit copain. Une partie de lui avait peur pour son agresseur alors que l’autre voulait qu’il soit punit.  Il douta encore plus de son action quand la troupe déménagea tout de suite au Japon. Il s’était dit que s’il n’avait pas appelé la police, il aurait tout simplement pu partir sans rien dire à son petit copain et l’histoire se serait estompée sans qu’il n’ait eu besoin de faire quoi que soit. C’était ce qu’il pensait à chaque fois. Un an s’est écoulé depuis sa « rupture », il ne garde aucune trace physique des violences subites mais son cœur est encore en voie de cicatrisation.

■ pseudo: Miyu■ âge: 22 ans ■ presence connexion: 6/7 ■ presence rp :  5/7■ Personnage inventé ou scénario: Inventé 



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<span class="botinsym">▲</span> <font color="#e98ab0">Ten Chittaphon Leechaiyapornkul ➦ Ten  [NCT]</font> [u]»[/u]Nitipon Alak