TENUE † Depuis le jour de la fête foraine, il fallait dire que Hoseok et moi ce n’était plus trop ça. On se voyait encore moins qu’avant et ça, fallait le faire car déjà à l’époque on se voyait à peine. Je n’arrêtais pas de penser à lui et de me dire que j’allais plus le faire souffrir qu’autre chose. Autant arrêter cette relation. Nous ne sommes pas faits pour sortir ensemble. Je ne peux pas lui en vouloir, c’est en partie de ma faute. Je n’ai pas confiance en moi, je suis encore perdue dans mon passé et… Même si je tiens à lui c’est difficile. Je ne vais faire que le faire souffrir. Il ne mérite tellement pas ça… Pourtant j’étais déjà dans son immeuble, il ne me suffisait que de faire quelques pas et de sonner à sa porte. Pour dire à quel point j’étais motivée. Autant arrêter le massacre. Je ne pouvais pas continuer ainsi, pour le bien de ma conscience mais aussi pour son bien à lui. M’asseyant quelques instants dans les escaliers, j’essayais encore une fois, de peser le pour et le contre, mais ce n’était pas facile du tout. Passant une main dans mes cheveux pour les tirer en arrière, je mordillais mes lèvres avant de me relever. Je ne devais plus hésiter. Il fallait que j’agisse avant de le regretter. De toute façon, que je le fasse ou pas, j’allais tout de même le regretter. Finissant par me retrouver devant sa porte, je sonnais longuement avant d’enlever mon index du bouton. Fermant brièvement les yeux, je les ouvris en entendant la porte s’ouvrir. Le regardant, j’avais l’impression, de ne pas l’avoir vu depuis un siècle. « Hey. » Dis-je simplement avant de me demander si je pouvais entrer ou pas. « Je te dérange pas ? J’ai besoin de te parler. »

TENUE † « Non, ne t'en fais pas… Je t’en prie, entre.. » Je lui souris doucement avant d’entrer dans son appartement. Ça me rappelait la fois où j’étais venue pour lui parler de Zero. Mon cœur se serrait longuement avant de m’avancer un peu plus sans rien dire. Je me devais de faire vite. Si je commençais à devenir sentimentale, je n’allais jamais y arriver… Le voyant me faire signe de m’asseoir sur le canapé, je soupirais longuement avant de m’asseoir et le voir, s’asseoir plus loin. Je n’étais donc pas la seule à vouloir à en finir. Je baissais la tête, agacée. Il n’avait pas le courage d’agir, tant pis, je serais la méchante. « Je… Je voulais aussi te parler, de ce qu’il s’est passé l’autre jour. J’y pense sans cesse » Je passais brièvement ma langue sur mes lèvres tout en le regardant. Il devait s’en vouloir, ou que sais-je. Je m’en voulais aussi, mais le mieux, c’était d’en finir. Pourquoi devrait-on continuer ? On ne peut jamais se voir, et le peu de temps ou l’on se voit, ça finit toujours par en venir sur mon métier. Je comprends qu’il ne veuille pas que je continue. Mais voilà… J’ai encore besoin d’argent. Au moins encore pour deux mois pour être dans une bonne situation. « Mais toi, tu es venue jusqu’ici pour me voir, ça doit être important. Que voulais-tu me dire ? » Je mordillais mes lèvres avant de me redresser un peu. « Tu as raison. J’y ai pensé aussi, longuement, et c’est pour ça que je suis venue aujourd’hui, sans te prévenir. » Dis-je en détournant le regard. Je n’étais pas à l’aise. Je n’avais pas envie de le quitter, mais il le fallait. « Ecoute, ça ne sert à rien de faire durer tout ça alors je vais te le dire directement, mais j’aimerais qu’on arrête notre relation. » Je me levais, je ne comptais pas m’éterniser ici. Ça ne servait à rien. « C’est bien mieux pour toi, tu mérites mieux que moi. Désolée de te faire souffrir. Mais je crois qu’on n’est pas fait pour une relation de ce genre. Restons ami. Je comprendrai si tu ne veux plus me voir. » Je regardais la pièce en soupirant avant de commencer à partir. « Je ne t’occupe pas plus, tu dois avoir du travail. Désolée… » Pas besoin qu’il m’accompagne, je connaissais le chemin.

TENUE † Je n’eus même pas le temps de partir du salon, que sa main, m’empoigna violemment la main. « Et quoi, c’est tout ? » Je le regardais, un peu perdue, de par sa réaction. Je pensais avoir le temps de fuir, le laissait surpris, sans qu’il ne puisse agir. Mais non, bien évidemment ça ne se passait pas comme prévu. Je suis bête, j’ai tout foiré. Qu’est-ce que je vais lui dire à présent ? « Tu as pris la décision principalement pour toi ? Je n’ai jamais dit que ceci était bien mieux pour moi que notre relation se termine » Je me mordillais la langue, surprise de tels propos. Je sais… En général, on n’a pas envie de se faire larguer, moi-même je n’étais pas prête quand Kang Jae m’a quitté… On n’est jamais prêt. C’est blessant je le sais… « Tu crois que toutes les ruptures se font d’un commun accord ? » Je le regardais en soupirant. C’est utopique de croire ça… Et je sais que je suis blessante… Je suis la pire fille au monde. Je devais l’assumer, ce qui était fait, était fait, on ne pouvait pas revenir en arrière de toute façon… « Tu sais, c’est principalement avec de telles paroles que tu me fais souffrir » Je baissais le regard avant de tirer sur ma main, pour qu’il puisse me lâcher et me laisser m’éloigner de lui. Ce n’était pas facile, je n’avais pas la force suffisante pour y arriver. Surtout que lui me tirer vers lui. Un vrai combat de coq. « Arrête. » Je le suppliais d’arrêter de parler. « C’est quoi les critères pour d’une “fille bien pour moi” à tes yeux, hein ? Tu penses vraiment que si je ne pensais pas que tu avais bon fond, j’aurais perdu mon temps avec toi. » Je baissais les yeux, embuée par les larmes. Je ne voulais pas pleurer, je ne pouvais pas pleurer, il ne fallait pas que je pleure. « Une fille qui te blesse pas justement ! Une qui ne dévoile pas son corps, une qui saura t’écouter et faire ce que tu lui dis. Quelqu’un d’attentionnée. Moi je suis une pauvre fille qui n’écoute rien ni personne. Tu mérites une fille douce et sage. Je ne suis même pas l’ombre d’une fille. Je mange comme un porc. Je rote aussi à table. » Autant le dégouter jusqu’au bout. J’aurai pu lui dire que je trainais dans ma chambre comme un pacha à poil, de façon dégueulasse, mais je n’allais pas aller jusque-là. « Ce n’est pas parce que tu as peur que je sois comme les autres ? Que moi aussi, je te fasse souffrir tôt ou tard ? Ou alors que je ne sois pas assez attentionné comme l’était ton âme soeur » Je finissais par le pousser assez violemment avant d’arranger mes cheveux agacée de par ce qu’il venait dire. « Ne parle pas de Zero, il n’a rien à voir là-dedans ! » Pour autant, il touchait vrai. Pas que j’avais peur qu’il ne soit pas aussi attentionné, mais parce que malheureusement je tenais encore à lui. « Tu ne sais pas ce que j’ai vécu dans mon ancienne relation alors tu ferais mieux de te taire. Je sais très bien que tu n’es pas comme lui. Mais… Je… » Je passais une main sur mes joues humidifiées par les larmes. « C’est moi le souci je te dis, alors arrête. Laisse-moi partir. Ne me fait pas regretter mon choix. »

TENUE † « Ce ne sont que des excuses…. » Il avait raison, ce ne sont que des excuses, mais je n’avais pas envie qu’il en dise plus, je ne voulais pas en discuter, tout ce que je voulais c’était partir d’ici… Je voulais… Pouvoir m’extirper de là. J’aurais dû le faire par message. Mais ça aurait fait de moi une horrible fille, et je ne voulais pas qu’il garde que ce point négatif de moi, face aux autres biens plus positifs. « Je ne sais pas ce que tu as subi, vécu dans tes précédentes relations et j’espérais qu’un jour, tu m’en parles… Mais je sais que je t’en demande trop. » Je ne pouvais pas lui dire. Encore moins quand il s’agit de viol. Que penserait-il de moi ? Une fille qui se fait violer et fini par tomber amoureuse de son agresseur ? Non, je n’avais pas envie qu’il le sache, qu’il me juge. Je ne voulais pas voir son regard, rempli de pitié à mon égard. Je ne voulais rien de tout ça, et c’est bien pour ça, que je l’écoutais, sans rien dire. Que dire de toute façon ? Je fermais brièvement les yeux en l’écoutant parler encore et encore. Je pouvais comprendre il défendait sa croute. Il ne voulait pas me perdre, moi, non plus je ne voulais pas le perdre. Mais je n’avais pas le choix. On ne se voyait jamais et à chaque fois qu’on se voyait, on en venait à parler de mon métier. « Pourquoi tu penses être le souci, que je ne te mérite pas ? A cause de ton métier ou ta façon d’être ? Je sais, c’est à cause de moi. Je suis lourd avec ça, mais ce n’est pas parce que j’ai honte de ce que tu fais ça. » Je détournais le regard, agacée, alors qu’en plus de ça, je laissais quelques larmes couler le long de mes joues. C’est ce qui m’énervait le plus, montrer ma faiblesse devant lui. Sentant ses mains sur mes joues, je relevais le regard en frissonnant. Non, pas ça. Il n’avait pas le droit de se rapprocher de moi comme ça. « Arrête… »[/color] Pour autant, intérieurement je lui disais de continuer, c’est bien ça le pire. « Tu crois que ça me plaît de te voir comme ça, malheureuse, te sentir obligée de faire quelque chose qui ne te plait pas ? » Je secouais le visage, sans réelle conviction, dans une intention de me libérer de son emprise, pour autant, je n’y arrivais pas. Ses mains chaudes sur ma peau, j’aimais terriblement ça. « Rukia, tout ce que je te demande, c’est de me laisser au moins une chance... Laisse-moi t’aimer. » Pas le temps de répliquer quoi que ce soit, que ses lèvres, s’emparaient des miennes. Frissonnant, je le laissais m’embrasser, alors que je reculais légèrement, sans pour autant rompre le baiser. C’était tellement bien… Gémissant légèrement, je finis par le repousser, sans pour autant le regarder. Je n’avais pas la force pour ça. « Tu ne devrais pas faire ça. On va souffrir plus qu’autre chose. J’ai besoin d’un copain présent pour moi… Depuis qu’on sort ensemble, on ne se voit plus… Je n’y arrive pas, j’ai besoin de te voir plus souvent… Tu as ton travail, j’ai le mien… Restons amis. » Je posais mes mains sur son torse, comme pour le tenir éloigné de moi. Pour autant, j’avais qu’une envie depuis son baiser, c’était de lui sauter dessus.

TENUE † J’étais tellement perdue, je ne savais plus ce que je venais faire ici, est-ce que j’étais venue pour mettre fin à notre relation, ou est-ce que j’étais venue pour la réparer ? Je sais qu’il ne veut pas qu’on rompe, mais moi je le voulais. Sûrement par peur, de ne pas pouvoir supporter cette distance. J’ai tellement donné pour Kang Jae, mais cette fois, je ne veux plus. Je ne veux plus souffrir, m’investir et voir qu’au final, on m’abandonne une nouvelle fois. Pas que je ne fasse pas confiance à Hoseok, mais j’ai peur. Tellement peur de souffrir, pile quand j’ouvrais mon cœur. Surtout qu’au final, je commençais déjà à m’attacher à lui. J’appréciais ses mots, son regards, ses caresses, sa façon de me regarder, ses baisers… Si je m’écoutais, je m’adonnerai à un plaisir charnel un peu trop intense… A-t-il idée des pensées perverses que j’avais eues avec lui ? Ce jour, à la fête foraine, ou j’aurais tellement aimé me retrouver dans une pièce seule avec lui, pour faire l’amour, au lieu de gagner des jeux bidons ? Il ne valait mieux pas qu’il sache, je ne voulais pas qu’il se dise que je suis une sale perverse, pour autant, mon imagination, n’a pas de limite. Tout ce que j’ai pu imaginer, simuler dans ma tête, tous mes rêves la nuit, ou nous nous retrouvions dans un lit… Alors non, ce n’était pas de sa faute. « Ce n’est pas de ta faute, c’est de la mienne. » Parce que j’ai peur. Je pourrai être patiente, et fermer les yeux sur ses paroles vis-à-vis de mon boulot. Mais j’ai tellement peur que je me retrouve à le quitter. A contre cœur, et je crois bien qu’il s’en rend compte. Ce baiser qu’il m’avait donné… S’il savait, ô combien ça avait éveillé en moi ce côté coquine et perverse. « Je crois que… Je crois que je tiens beaucoup trop à toi. Plus qu’au titre d’une amie » J’en tremblais, parce que c’était pareil pour moi. Cette frustration, j’avais réussi à la contenir, mais il avait su l’enlever. Je le haïssais pour ça, pour ce pouvoir qu’il avait sur moi. Ses mains, sur mon visage, sa façon d’avoir ce contrôle sur mon corps… Il ne s’en rendait pas compte, mais moi, je crevais. Le sentant me prendre dans ses bras, je laissais mon cœur s’emballer, mon nez lui s’enivrait de son odeur, me laissant presque au bord d’un malaise. « S’il te plaît laisse moi te le prouver » Mordillant ma langue, je pouvais sentir ses caresses dans mon dos, dénudé. Mais aussi, ses baisers sur ma peau, me rendant plus que folle. Posant mes mains sur ses omoplates, l’enlaçant doucement, je déglutissais en cachant mon visage dans son cou. « Qu’entends-tu par me le prouver ? » Ma voix était un peu enrouée, à cause de ce plaisir qui montait, me dévorait le corps. « Ne le fais pas. Ne me rends pas si faible, oppa. » J’enfonçais mes ongles dans sa chair en tremblant. « Les fantasmes ne sont-ils pas censés rester fantasme ? » Je divaguais totalement là. Tant pis, s’il ne parlait pas sexuellement parlant, mais moi, je l’avais compris comme ça, entre ses paroles et ses gestes. C’était trop tendancieux. « Est-ce… Est-ce… Que… Tu parles de vouloir coucher avec moi ? Me le prouver sexuellement ? » Je soufflais avant de racler ma gorge et le pousser violemment d’un coup sec. « Non. Non. Abandonne cette idée. Je ne peux pas coucher avec toi. J’en meurs d’envie, j’en rêve souvent mais non, non. » Je me trouvais stupide. Au secours. Je cachais mon visage dans mes mains avant de fuir. Enfin, me prendre la table basse dans les mollets et manquer de me fracasser au sol.

TENUE † « Les fantasmes aussi peuvent être réalisé, tu ne penses pas ? » Le fait d’entendre sa voix, au creux de mon oreille, me fit frissonner, il ne devrait pas me faire autant d’effet. C’est dingue… Pas en ce jour, ou je suis censée le quitter ? Je me sens tellement confuse. C’est horrible, déroutant, immonde, pour moi, d’avoir envie de lui, alors que je venais de dire, que je le quittais. Ca fait, vraiment la fille indécise, et je n’ai pas envie d’être ce genre de fille. Et moi, je ne trouvais pas d’autres moyens que de le provoquer, parce que j’en avais envie, et parce que je voulais tirer ça au clair. C’est horrible tout ça. « Émotionnellement, sexuellement… De toutes les manières possibles » Je me mordillais les lèvres. Il ne fallait pas que je réponde, ça serait, me perdre, sonner l’alarme de la fin, adieux. Non, je devais m’en aller, simplement et purement. Je n’étais pas venue ici pour copiner, mais pour le quitter. Pourtant mon corps ne m’obéissait plus du tout et c’était d’une frustration assez importante. En plus de ça, il me demandait, pourquoi je ne pourrais pas franchir le cap. Rah, je suis sûre qu’il a la réponse… Il n’est pas si bête que ça, mais la seule chose que je sais faire, au final, c’est de le pousser pour fuir, mais la table basse n’est pas de mon côté. Il me rattrapait avant même que je ne tombe. Je grimaçais légèrement. Je n’avais pas si mal que ça, j’étais simplement surprise en fait. Assise sur le canapé, il s’occupait de mes jambes, me demandant si je n’avais pas mal. Il ne devrait pas faire ça bon sang… « Je n’ai pas mal, t’inquiète. » Dis-je en repliant quelque peu mes jambes tout en regardant son corps. « Je peux bouger et tout. Juste plus de peur que de mal. » D’ailleurs, avant même d’avoir totalement retiré mes jambes de sur lui, je me redressais pour venir m’asseoir à califourchon sur lui. C’était plus fort que moi. C’était même affreux. Cette envie qui me tiraillait. Mes mains sur son cou, je me penchais pour l’embrasser doucement, sans réellement contrôler, mon gémissement, alors que je lui empoignais les cheveux pour le tirer plus vers moi. Mon autre main, se glissait sous son haut. Ok, on m’a perdu. « On ne devrait pas. » pour autant, je l’embrassais à nouveau.

TENUE †

TENUE †

TENUE †

TENUE †

TENUE †

TENUE †

TENUE † « Tu sais la nuit est encore longue... » Je me mis à rire en me serrant longuement contre lui. On venait à peine de finir, qu’il me faisait comprendre qu’on pouvait encore recommencer. Le souffle court, j’essayais de trouver un bon rythme, alors que je caressais sa peau du bout de mes doigts. J’étais tellement bien comme ça, contre lui. Entendre son souffle, pouvoir caresser sa peau, n’être que tous les deux. C’était quelque chose, qui me plaisait atrocement. « Ça fait bien longtemps que j’attendais ça. » Je relevais le regard, pour l’observer quelques instants avant de rire. « Ah bon ? Genre ? Combien de temps ? » J’étais bien curieuse de sa réponse pour le coup…  Parce que moi aussi il m’avait tardé, mais je ne présume pas autant que lui, bizarrement… J’avais l’impression, que lui, ça datait depuis bien plus longtemps. Peut-être que je me trompe après… Le sentant me serrer dans ses bras, j’en profitais pour le câliner avant de le voir se redresser. Je ne ratais aucun de ses gestes. Je l’observais faire. Enlevant la capote pour la jeter. Même en faisant ça, je le trouvais très beau… « Je vais aller me doucher, tu viens avec moi ou tu préfères encore récupérer ? » Je le regardais en fronçant les sourcils. Etait-ce une invitation coquine ? Je me mordillais les lèvres avant de me redresser à quatre pattes sur le lit pour venir me redresser vers lui et l’embrasser. « Douche. » Je souris avant de totalement quitter le lit. Sans un mot de plus, je le suivais à la salle de bains. Fermant la porte derrière moi, je regardais la douche avant de sourire en coin. Me collant à son dos, je le fis aller vers sa douche pour y entrer dedans. Contournant son corps, je me collais contre lui, avant de l’embrasser longuement. Mes mains se glissant dans ses cheveux je le tirais un peu plus contre moi avant de laisser une main glisser le long de son dos nu, pour venir se poser sur l’une de ses fesses que je caressais du bout des doigts.