Nana posa le tableau bien à plat sur son bureau et le fixa un moment. Elle resta debout, les mains posées sur les hanches, à se demander ce qui avait pu pousser le jeune Hijikata Kamui à le jeter. C’était inconcevable pour elle, car ce travail était une vraie merveille. À la fois du point de vue technique et symbolique. Le travail réalisé, notamment au niveau des couleurs, était impressionnant, et l’illustration en elle-même était chargée d’une telle tension. Il y avait aussi quelque chose d’étrange, légèrement terrifiant. Peut-être était-ce dû à la scène représentée, teintée de violence, ou encore à la vive pigmentation rouge qui avait quelque chose de tout nouveau aux yeux de l’enseignante. Elle se pencha pour en étudier les détails, puis se redressa avant d’émettre un sifflement énervé. Ce chef d’œuvre, à la poubelle ! Si elle n’avait pas été témoin de la scène, ce travail aurait disparu à jamais. Elle avait eu du mal à y croire quand elle avait aperçu l’étudiant le jeter, et encore moins quand la vue de ce qu’elle avait sorti du sac en plastique lui avait confirmé ses craintes. Kamui avait jeté son travail. Un devoir réalisé pour la veille, que chacun avait pu présenter à la professeur avant de le ramener chez lui.
C’était en tournant au coin d’un bâtiment qu’elle avait vu le jeune homme déposer un objet imposant et rectangulaire dans une poubelle. Il s’était éloigné vite, trop vite, et Nana s’était approchée du lieu de son méfait. Elle avait hésité. N’était-ce pas malvenu ? Et si quelqu’un la voyait ? La curiosité avait fini par prendre le dessus quand elle avait pris conscience des contours de l’objet. C’était de toute évidence un tableau. Et pas n’importe lequel. Elle était restée interdite un moment après l’avoir ramené au grand jour, l’avait emballé dans sa veste et s’était promise d’en discuter avec son étudiant. Le lendemain, elle le convoquait donc dans son bureau à la fin des cours. Elle n’avait pas dit pourquoi, seulement que c’était important et qu’elle comptait sur sa présence. Elle s’était montrée inhabituelle froide et cassante aussi. Est-ce qu’il se fichait du travail réalisé pour la classe ? Était-ce seulement une plaisanterie pour lui ? Nana était loin d’admirer ses propres tableaux. Elle avait même jeté un grand nombre d’esquisses. Mais jamais, au grand jamais, elle n’aurait mis de côté un travail aussi abouti et qui, de toute évidence, devait demander des heures de travail.
Elle s’approcha de la fenêtre et regarda la cours et les allées qui se remplissaient de monde. Une autre journée allait se terminer. Les cours étaient finis, mais les étudiants avaient encore de longues heures de travail derrière eux. Certains iraient se pencher sur leurs devoirs, d’autres rejoindraient leur travail du soir, et d’autres, encore, trouveraient peut-être le temps de s’amuser. Elle jouait avec la chaîne qu’elle portait à son cou quand quelqu’un frappa à la porte. Un coup discret mais qui suffit à l’arracher à ses rêveries. Elle se détourna sans attendre et se précipita son bureau. « Une minute ! » Elle attrapa le tableau et le rangea dans l’un des grands tiroirs. Une voix la prévint qu’il ne s’agissait pas de Kamui mais d’une collègue qui venait lui souhaiter bon soir. De toute façon, tant qu’elle n’avait pas le fin mot de l’histoire, elle ne voulait pas que le tableau devienne un sujet de conversation avec qui que ce soit d’autre que le principal intéressé. Elle préférait aussi que celui-ci ne le voit pas tout de suite quand il entrerait afin de le laisser cogiter un peu.
Elle alla rejoindre sa collègue qui s’amusa du temps qu’elle avait mis pour lui ouvrir. Elles discutèrent un moment dans le couloir jusqu’à ce que Nana n’aperçoive Kamui qui approchait. Il venait de tourner au coin du couloir. Elle se hâta donc de saluer l’autre enseignante. « Je te laisse. Je dois voir un élève. » Après un dernier mot, l’autre femme tourna les talons, laissant Nana seule, les bras croisés et postée à l’entrée de son bureau, à attendre l’étudiant. Elle le regarda s'approcher avec un air sévère. Il ne fallait pas qu'elle l'effraie non plus, mais elle n'arrivait toujours pas à comprendre ce qui avait pu lui passer par la tête. Quand il fut presque à sa hauteur, elle se décala pour qu'il puisse entrer dans le bureau. « Bonsoir Hijikata-san. Je t'attendais. » Il avait sûrement déjà vu plus chaleureux comme accueil.
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Dernière édition par Sukegawa Nana le Dim 26 Aoû - 23:40, édité 1 fois
Hijikata kamui
■ Pseudo : nobume ■ messages : 379 ■ Yen (¥) : 1149 ■ Avatar : Lee felix [stray kids] (c) fallen leave ■ DCs :
■ Age : 17 ans ■ Date de naissance : 15/09/2000 ■ Astrologie : ❀ vierge & Dragon 龙 (métal) ■ Métier : ❀ vendeur à mi temps dans un magasin de mangas & Peintre, photographe en moyennant de l'argent (officieusement)street artist ■ Année : ❀ 1 ère année ■ Résidant à : chez ses parents dans une résidence à shibuya bien que, il la passe majoritairement dans sa chambre, les volets fermés ■ Notes :
❀ Il fume des clopes en cachette ❀ Il est percé aux oreilles ainsi qu'au nombril pour son entrée prochaine à la faculté (il refait la signature de ses parents) ❀ Il souffre énormément depuis son plus jeune âge de la comparaison incessante avec son père qu'il ne connait pas au vu du peu de moments passés ensemble, il a plus l'impression que c'est un rêve ❀ Sa mère est celle qui l'a élevé, mais son univers n'a toujours été que son père, elle lui a brisé toute sa confiance au point, qu'il n'a plus de rêve ni rien, car rien ne sera jamais assez bien pour cette femme qui l'a élevé ❀ Il continue les études juste pour le plaisir de sa mère afin de garder ce père qui passe le plus clair de son temps dans son studio à Ota que chez eux ❀ Il a tout le temps faim ❀ Il fait du rap et du beat box ❀
❀ Il s'est mis à jouer de la basse et de la flûte dans son coin, mais n'en joue maintenant que rarement et quand il est seul. Pourquoi ses instruments ? Tout simplement parce que son père ne sait pas en jouer ❀ Il adore le baseball, c'était un lanceur hors paire qui lançait des balles rapides jusqu'à 90km/h et des frondes, sauf qu'à force de lancer, étant le seul numéro 1 de l'équipe au Japon, contrairement en Amérique, il s'est brisé l'épaule ainsi que son rêve d'être un lanceur de Major League. ❀ Dès, lors il s'est mis à dessiner à peindre, à faire des collages, diversifier ses supports et techniques sur des toiles et dans la rue. En effet, il fait du street art, ce qui lui vaut parfois des courses poursuites avec la police ❀ Il aime énormément prendre des paysages en photo.. Raison pour laquelle, il se lève très pour voir un lever de soleil. ❀ Il développe lui même ses propres photos qui sert de chambre noire, raison pour laquelle il cherche un local pour avoir l'espace nécessaire de développer son art ❀ Quant à ses peintures, il mélange parfois son propre sang dans les pigments pour donner plus de cachets que cela choque ou non, il s'en fiche. Enfin, ce n'est pas comme il allait exposer ses toiles de toute façon puisque, ses peintures sont toutes passées au feu par sa mère ou alors à la poubelle quand elle a découvert cette pratique "monstreuse" et "vampirique" ❀ Il est fan de mangas, du magazine Jump où chaque semaine apparaît un nouveau chapitre d'un shonen, comme les oeuvres de son père.. ❀ Il garde dans un carton les mangas de son père, hors de questions que celui-ci découvre qu'il le suit ❀ L'idée d'être mangaka lui est apparue une fois, mais il a abandonné puisqu'il n'arrivera jamais de toute façon au niveau de son père. Dans la famille, il n'est qu'un fils raté, c'est ce qu'il pense comme sa mère ❀
❀ il parle l’anglais couramment puisqu’il a vécu en grande majorité aux states, le japonais et le portugais avec l’espagnol.❀ Il adore les jeux de stratégies sur ordinateurs et autres, comme parfois il joue au go ❀ il a souffert de discrimination petit à cause de son physique dû à ses origines japonaise et de ses tâches de rousseurs.. raison, pour laquelle, il a apprit la boxe pour attaquer les autres et ne plus se laisser marcher sur les pieds en grandissant. ❀ quand il dessine ou prend des photos, il porte toujours un casque avec la musique dans les oreilles. cela lui permet de mieux se concentrer et de se couper du monde extérieur. ❀ ne fois, juste pour faire criser sa mère, il s’est complètement rasé la tête en l’absence de son père, il se rappellera toujours de l’expression qu’elle a faite, mais alors, elle l’a puni en lui confisquant son téléphone, son portable, tout ce qui pourrait lui servir pour ses dessins et l’a obligé à faire des grues en origami en guise de punition. autant vous dire que maintenant il déteste ça, et qu’il n’a plus recommencé. ❀ il adore les snickers, les twixs et les kit kats ❀ Il aime nager ❀ Il adore lire des livres policiers et regarder des films d'actions ❀ Dès qu'il a un moment ou l'occasion, il en profite pour dormir, que cela soit en classe ou non ❀ Il est bisexuel, mais ne s'assume pas du tout, raison pour laquelle il flirt surtout avec des filles tout en se donnant un genre alors qu'il est puceau ❀ Il se demande souvent pourquoi il est né ❀ Il croit que son père ne l'aime pas et que s'il reste avec sa mère c'est de sa faute alors que pour sa mère, c'est sa faute si son père préfère se concentrer sur son boulot plutôt qu'à eux ❀
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FT. Sukegawa Nana Une convocation hein ? Est-ce son enseignante était contrariée parce que finalement, il n’avait rendu qu’un croquis d’un rossignol et qui n’était même pas peint ? Juste un coup de crayon, mais ça.. Rien de bien difficile, ni de très travaillé.. En même temps, il l’avait fait à main levée en quelques heures, mais au vu de son logement, de son milieu familial qui est devenu plus compliqué qu’il ne l’était auparavant.. Autant dire.. Que c’était devenu très dangereux pour lui de peindre, de développer des photos ou autres. Alors, il avait bien terminé un tableau.. Mais, il s’est rappelé le dégoût de son ami Haruto quand il lui a révélé chez son oncle qu’il peignait avec son sang.. Il n’avait pas encore osé le dire à son propre paternel et en fait, il était terrifié de sa réaction. Il pouvait comprendre que cela puisse choquer.. Seulement, avec l’art, il voulait juste que le message véhiculé frappe vraiment. Seulement, au vu du schéma.. Il n’était pas sûr que ses autres camarades ne le regarderaient pas bizarrement ou bien, auraient décidé de l’éviter comme s’il était atteint de la peste et du collérat en même temps, en plus d’être considéré comme un fou, un gourou ou tous autres personnages ayant un lien avec les cultes sataniques et il en pensait. Il ne sacrifiait aucun animal, il ne faisait de mal à personne, mais personne pour le croire tout simplement. Le regard des autres lui importe peu, mais étant le fils du mangaka Hijikata Katsura, il ne souhaitait pas créer une polémique si cela venait à se savoir. Il ne souhaitait pas que la réputation de son paternel soit terni parce que son fils peint avec son propre sang. Il était sain d’esprit. Même si, il est vrai qu’il se sentait mal dans sa peau.. Toutefois, il ne se tailladait pas les poignets, au contraire, il faisait simplement des prises de sang pour remplir une petite poche afin de pouvoir le mélanger avec d’autre pigments de peinture. Il n’y avait pas beaucoup de sang alors.. En plus d’être effrayé à l’idée d’être surpris à tous moments par sa mère, propriétaire de leur maison. Au fond.. Ce qu’il avait voulu utilisé pour un devoir.. Il avait préféré s’en débarrasser en se disant q’il ne ferait plus de tableau.. De ce type. Peu de personnes peignent avec ce fluide coulant dans leurs veines.
Alors, il s’était débarrassé de ce tableau précipitamment ne pouvant pas rentrer chez lui avec. Sa mère rentrait tôt, comme si elle se doutait qu’il n’était pas en cours de littérature. Alors pour lui, ce tableau, cette création était de l’histoire ancienne, mais au vu de la froideur à laquelle il eut droit de son professeur, pour lui c’était évident que son dessin de rossignol sur une branche devait être « du foutage de gueules » complet. Il allait sûrement écoper d’un sermon de long et en large qui lui coûtera sûrement sa moyenne. En même temps, il ne voyait pas d’autres raisons qui pousseraient cette femme à l’interpeller dans son bureau. L’adolescent s’estime déjà heureux que ses parents ne furent pas convoqués avec lui, parce qu’il n’était pas sûr que cela ne se serait pas transformés combat à coq et il sait que sa mère lui aurait retourné la tête avec une bonne gifle parce qu’en plus de lui avoir mentit sur son cursus, elle a été convoqué et ça.. C’était une honte. C’est ainsi, pensif essayant déjà de trouver des excuses à sortir du tac au tac qu’il subit cette journée.
Finalement, l’heure du rendez-vous approche et il décide, les bras bâillants et mains dans les poches, la démarche lâche, qu’il traverse les couloirs pour arriver devant la salle d’arts appliqués où était postée son enseignante avec les bras croisés et le regard sévère. Finalement, il semblerait qu’elle soit encore plus en colère contre lui qu’il ne l’aurait pensé. Il pouvait comprendre qu’elle soit contrariée, mais à ce point ? Il ne lui avait pas manqué de respect à ces derniers souvenirs.
« Bonsoir Sensei. »
Pas besoin de rajouter un autre mot supplémentaire. Il attendit qu’elle le laisse entrer dans la pièce pour s’assoir sur son bureau. De là, il resta debout, attendant qu’elle lui permette de s’assoir sur une chaise. Mais, il ne peut s’empêcher malgré tout de lui demander :
« Puis-je connaître la raison de ma venue ici. Je suppose que cela à avoir avec le devoir que je vous ai rendu ? »
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Ce message a été posté Dim 26 Aoû - 21:35
What's wrong ?
ft. Kamui
Après une brève salutation, Nana laissa l’étudiant entrer avant de claquer la porte du bureau. Elle prit conscience de toute la mesure de son énervement au bruit que fit celle-ci quand elle se ferma et aux vibrations qui se répercutèrent dans la pièce. Bon, elle y allait peut-être un peu fort, mais l’attitude désinvolte affichée par Kamui n’y aidait pas franchement. Elle le regarda s’appuyer contre une table et lui fit signe qu’il pouvait s’asseoir s’il le souhaitait. De son côté, elle vint s’appuyer contre son bureau et resta debout à le fixer. Les bras croisés, elle étudia les gestes du jeune homme. En face d’elle, se trouvait un artiste abouti et avec un style bien à lui en plus. Talent qu’elle n’aurait jamais pu lui reconnaître si elle n’avait pas trouvé le tableau. Jusque-là, il n’avait fourni que des croquis et esquisses propres mais relativement neutres. Bien sûr, elle aurait pu penser qu’il avait jeté le travail de quelqu’un d’autre, sauf qu’elle avait reconnu son coup de crayon. Pour elle, cela ne faisait aucun doute. C’était bien lui qui l’avait réalisé. Alors, pourquoi ne l’avait-il pas soumis comme devoir plutôt que son dessin d’un rossignol. Joli, mais honnêtement inapproprié à ce niveau d’études et aux exigences qu’elle avait.
Sans attendre, il l’interrogea sur les raisons de sa venue. Il fit même preuve de bon sens en devinant qu’il s’agissait de son devoir. Elle continua à le regarder avec une curiosité teintée de perplexité. Elle le voyait différemment maintenant qu’elle savait ce dont il était capable. Elle inspira profondément et lui offrit la réponse qu’il attendait. Il avait dû se torturer les méninges une bonne partie de la journée, avait peut-être aussi d’autres choses plus intéressantes à faire, et elle ne voulait pas lui faire perdre son temps. Elle n’aimait pas non plus y aller par quatre chemins. Elle préférait être directe. Franche. « En effet. » Pour autant, elle ne voulait pas dévoiler toutes ses cartes immédiatement. S’il évoquait le devoir, c’est qu’il savait avoir quelque chose à se reprocher. Mais quoi ? Pensaient-ils seulement à la même chose ? « Pourquoi ce rossignol ? » Elle laissa la question en suspens. Des rires leur parvenaient depuis l’extérieur et Nana alla refermer la fenêtre. « Je vous avais demandé un tableau engagé. Et complètement terminé. » Elle s’appuya à la fenêtre et tourna son regard vers Kamui. « Les instructions étaient pourtant claires. Par terminé, je sous-entendais qu’il devait présenter toutes les qualités pour pouvoir être exposé. Un travail conséquent donc. Vous aviez plusieurs semaines pour le faire. »
Elle s’approcha de la table où il était installé. « Ton rossignol était très joli, ce n’est pas le problème. Mais il n’a pas dû te falloir plus de quelques heures pour le faire. Je me trompe ? » Elle n’avait plus son dessin sous la main pour illustrer ses propos puisqu’elle leur avait laissé les récupérer. « Tu es capable de faire bien mieux et tu aimes dessiner. Alors je te repose la question, pourquoi ce rossignol ? » Elle voulait connaître sa réponse, savoir s’il évoquerait de lui-même le tableau. S’il l’avait jeté, il y avait une bonne raison. Peut-être très intime. Nana n’était pas dénuée de sensibilité. Ce tableau l’avait touché. Elle ne voulait pas le brusquer en le sortant tout de suite du tiroir et en lui disant qu’elle savait. Mais, au fond, elle souhaitait aussi lui faire comprendre que le travail qu’il avait jeté comme un vulgaire déchet ressemblait de près à ce qu’on qualifie de chef d’œuvre. C’était son rôle d’encourager les élèves, de leur faire trouver confiance en eux. Un manque de confiance fréquent chez les artistes, et pas forcément les moins talentueux… Elle lui parlerait du tableau, de la pigmentation, mais pas tout de suite. Il devait réfléchir à son acte. Au vulgaire rossignol qu’il avait rendu à la place.
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Dernière édition par Sukegawa Nana le Mer 29 Aoû - 11:52, édité 1 fois
Hijikata kamui
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■ Age : 17 ans ■ Date de naissance : 15/09/2000 ■ Astrologie : ❀ vierge & Dragon 龙 (métal) ■ Métier : ❀ vendeur à mi temps dans un magasin de mangas & Peintre, photographe en moyennant de l'argent (officieusement)street artist ■ Année : ❀ 1 ère année ■ Résidant à : chez ses parents dans une résidence à shibuya bien que, il la passe majoritairement dans sa chambre, les volets fermés ■ Notes :
❀ Il fume des clopes en cachette ❀ Il est percé aux oreilles ainsi qu'au nombril pour son entrée prochaine à la faculté (il refait la signature de ses parents) ❀ Il souffre énormément depuis son plus jeune âge de la comparaison incessante avec son père qu'il ne connait pas au vu du peu de moments passés ensemble, il a plus l'impression que c'est un rêve ❀ Sa mère est celle qui l'a élevé, mais son univers n'a toujours été que son père, elle lui a brisé toute sa confiance au point, qu'il n'a plus de rêve ni rien, car rien ne sera jamais assez bien pour cette femme qui l'a élevé ❀ Il continue les études juste pour le plaisir de sa mère afin de garder ce père qui passe le plus clair de son temps dans son studio à Ota que chez eux ❀ Il a tout le temps faim ❀ Il fait du rap et du beat box ❀
❀ Il s'est mis à jouer de la basse et de la flûte dans son coin, mais n'en joue maintenant que rarement et quand il est seul. Pourquoi ses instruments ? Tout simplement parce que son père ne sait pas en jouer ❀ Il adore le baseball, c'était un lanceur hors paire qui lançait des balles rapides jusqu'à 90km/h et des frondes, sauf qu'à force de lancer, étant le seul numéro 1 de l'équipe au Japon, contrairement en Amérique, il s'est brisé l'épaule ainsi que son rêve d'être un lanceur de Major League. ❀ Dès, lors il s'est mis à dessiner à peindre, à faire des collages, diversifier ses supports et techniques sur des toiles et dans la rue. En effet, il fait du street art, ce qui lui vaut parfois des courses poursuites avec la police ❀ Il aime énormément prendre des paysages en photo.. Raison pour laquelle, il se lève très pour voir un lever de soleil. ❀ Il développe lui même ses propres photos qui sert de chambre noire, raison pour laquelle il cherche un local pour avoir l'espace nécessaire de développer son art ❀ Quant à ses peintures, il mélange parfois son propre sang dans les pigments pour donner plus de cachets que cela choque ou non, il s'en fiche. Enfin, ce n'est pas comme il allait exposer ses toiles de toute façon puisque, ses peintures sont toutes passées au feu par sa mère ou alors à la poubelle quand elle a découvert cette pratique "monstreuse" et "vampirique" ❀ Il est fan de mangas, du magazine Jump où chaque semaine apparaît un nouveau chapitre d'un shonen, comme les oeuvres de son père.. ❀ Il garde dans un carton les mangas de son père, hors de questions que celui-ci découvre qu'il le suit ❀ L'idée d'être mangaka lui est apparue une fois, mais il a abandonné puisqu'il n'arrivera jamais de toute façon au niveau de son père. Dans la famille, il n'est qu'un fils raté, c'est ce qu'il pense comme sa mère ❀
❀ il parle l’anglais couramment puisqu’il a vécu en grande majorité aux states, le japonais et le portugais avec l’espagnol.❀ Il adore les jeux de stratégies sur ordinateurs et autres, comme parfois il joue au go ❀ il a souffert de discrimination petit à cause de son physique dû à ses origines japonaise et de ses tâches de rousseurs.. raison, pour laquelle, il a apprit la boxe pour attaquer les autres et ne plus se laisser marcher sur les pieds en grandissant. ❀ quand il dessine ou prend des photos, il porte toujours un casque avec la musique dans les oreilles. cela lui permet de mieux se concentrer et de se couper du monde extérieur. ❀ ne fois, juste pour faire criser sa mère, il s’est complètement rasé la tête en l’absence de son père, il se rappellera toujours de l’expression qu’elle a faite, mais alors, elle l’a puni en lui confisquant son téléphone, son portable, tout ce qui pourrait lui servir pour ses dessins et l’a obligé à faire des grues en origami en guise de punition. autant vous dire que maintenant il déteste ça, et qu’il n’a plus recommencé. ❀ il adore les snickers, les twixs et les kit kats ❀ Il aime nager ❀ Il adore lire des livres policiers et regarder des films d'actions ❀ Dès qu'il a un moment ou l'occasion, il en profite pour dormir, que cela soit en classe ou non ❀ Il est bisexuel, mais ne s'assume pas du tout, raison pour laquelle il flirt surtout avec des filles tout en se donnant un genre alors qu'il est puceau ❀ Il se demande souvent pourquoi il est né ❀ Il croit que son père ne l'aime pas et que s'il reste avec sa mère c'est de sa faute alors que pour sa mère, c'est sa faute si son père préfère se concentrer sur son boulot plutôt qu'à eux ❀
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Ce bruit sourd et brusque.. Cela pourrait presque le faire sursauter, s’il n’était pas habitué à entendre cette « musique » rêche et violente de la porte. Chaque soir, quand sa mère rentrait, c’était souvent ce même son de métronome. Signe qu’elle était toujours contrariée même ces soirées mondaines n’aidait pas sa mère à lâcher prise. Il ne comprenait pas où son obsession pour son père trouvait ses limites.. Mais, il sait qu’il ne devait pas la faire attendre, quand sa voix légèrement perchée montait jusqu’à ses oreilles. Cependant, aujourd’hui, du moins, à cet instant précis, ce n’était pas l’ombre de loin ou de près de son parent, mais son professeur d’art. C’était sa première année à l’université, il se demandait s’il avait vraiment bien fait de suivre ce cursus au fond. Etudier la littérature française, ne l’aurait pas dérangé, loin de là même, quand il y pense. Quoi qu’il en soit, il n’était sûrement pas ici au vu de son regard froid et tempétueux pour ses beaux yeux. Blague mis à part, ses parents ont mis au monde un fils qui est loin d’être stupide. Il ne comprend pas pourquoi elle est si contrariée par son travail rendu, mais il ne voit que ce point là, bien qu’il soit loin d’imaginer que sur son bureau se trouvait l’unique rescapé de l’échafaud. Pour lui ce tableau se trouvait dans une benne à ordure, était détruit ou autres.. Enfin, plus de ce monde en somme. Une autre victime, par ses soins, mais, cela en était de même avec ses photos. Finalement, la réponse tomba sans grande surprise. Il l’observe sans la défier, mais ne cille pas non plus face à son comportement. Elle voulait quoi des excuses. Par contre, il fut légèrement déstabilisé quand elle lui posa une question à laquelle, il ne s’y attendait pas. Avant de répondre, il fut attiré par les rires frivoles des étudiants ou lycéens où, il aimerait bien être à leur place. Seulement voilà, la fenêtre se ferme et elle finit par défendre son idée d’attente. Engagé et terminé ? Mouais, Sauf que peu de personnes étaient prêtes à voir ses œuvres engagées réellement et puis il ne sait pas.. Il arrivait pas à jauger son talent. Il était tourné en sa direction, afin de ne pas lui manquer de respect, cette femme qui s’était docilement assise sur le rebord de la fenêtre. Exposé hein ? C’est vrai que certains étudiants de la classe allait pouvoir exposer leurs œuvres.. Mais, justement.. Lui ne souhaitait pas l’être. Il manquerait plus qu’on le critique et que cela retombe sur son paternel qui avait bien assez de problèmes et puis, si sa mère l’apprend.. Sachant pertinemment, que des enfants de ses connaissaient étaient dans ce bahut.. Si l’un d’eux soufflait cela à l’un de ses parents.. Cela reviendrait sûrement à l’oreille et de sa mère et ça.. C’était simplement inconcevable. Se massant la nuque et haussant les épaules, il finit par dire :
«Sûrement que j’ai pas envie d’être exposé. De plus, ce n’est pas comme si vous n’aviez pas d’autres œuvres. Quant au rossignol.. C’est juste car un oiseau représente la liberté. Et lui, est reconnu pour son chant. Donc la liberté de chanter et voler. Je ne suis pas complètement hors sujet pour ma défense.»
C’était quelque part engagé. Alors, certes, on pouvait l’accuser ou le soupçonner d’avoir fait le strict nécessaire, mais il avait quand même pensé au plan de secours bien qu’au fond, il ne l’avait pas peint non plus. Il n’avait pas eu le temps de peindre, puisqu’il l’a dessiné, à en peine :
«Deux heures.»
Juste avant le cours pour répondre à sa question avec nonchalence. Entre deux cours et pause, il avait pu offrit ce tableau au crayon gris sur une toile avec des détails ok, mais bon, c’est sûr que même s’il était quand même plus jolis que certaines peintures qu’il avait vu de ses camarades.. Eux, avaient pris la peine de le terminer de leurs œuvres. Lui ben.. Sur le pouce comme on dit. Au moins, il avait rendu quelque chose, ce n’est pas comme s’il était venu à son cours les mains dans les poches. Par contre, il tique, quand elle met en avant qu’il est capable de bien mieux ? Ah bon ? Vraiment.. Il avait encore de forts doutes. Par contre, il ne comprenait pas ce qu’elle voulait dire par «rossignol ». Sa réponse, ne lui avait-elle pas plût ?
«J’ai déjà répondu à cette question non ? A moins.. Que vous sous entendiez quelque chose d’autre ?»
Kamui était quand même méfiant. C’est bon il avait donné un rossignol. Ce n’était pas très original. La prochaine fois, il fera un aigle.. S’il a arrive à pouvoir dessiner réellement comme avant, mais ça il en doutait vraiment. Il ne comprenait pas la raison de son insistement pour un tableau qui était..
«Je conviens que ce n’est pas un chef d’oeuvre. C’est juste.. Je n’étais pas très inspiré et que c’est la première chose qui m’est venue à l’esprit. J’aime dessiner, mais je sais que je loin d’un Michael Ange. J’essaierais de faire plus d’efforts la prochaine fois.»
De toute façon, il avait vraiment du mal à comprendre ce qu’elle sous-entendait. Il avait beau aimé dessiner, 0 multiplié par n’importe quel chiffre, restera toujours à zéro. C’est ce qu’il ressentait pour lui-même.. Il sait qu’il devrait travailler sur lui-même par rapport à cela, mais c’était assez compliqué pour lui.
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Ce message a été posté Mer 29 Aoû - 12:04
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ft. Kamui
Nana mourrait d’impatience de pouvoir sortir le tableau du tiroir de son bureau. Mais ce qui l’amenait à ne pas évoquer tout de suite le sujet était son inquiétude vis-à-vis de comment pourrait réagir Kamui. Si elle ne pouvait se douter de la cause, elle comprenait toutefois qu’il avait certainement eu une bonne raison, ou du moins valable à ses yeux, pour le jeter. Elle n’avait donc aucun droit de lui imposer quoi que ce soit. Elle doutait même que ce qu’elle avait fait soit parfaitement légal. N’avait-elle pas porté atteinte à son droit de créateur ? En vérité, sa curiosité avait été plus forte. Ainsi que le besoin de savoir pourquoi un jeune artiste aussi talentueux se cachait derrière un croquis de rossignol plutôt que de montrer l’expression même de son talent et de sa personnalité. L’autre objet des inquiétudes de Nana, était de pouvoir blesser l’étudiant ou le mettre mal à l’aise. Étant une artiste elle-aussi, elle n’ignorait pas que certaines œuvres pouvaient être intimement personnelles, au point de rendre difficile le fait de les montrer à autrui. Tout en le questionnant sur son devoir, elle ne cessait de se torturer l’esprit et de resasser en boucle les mêmes interrogations. Pourtant, plus la discussion avançait, plus la situation devenait irréversible. Elle l’avait convoqué. Il était trop tard pour faire demi-tour. À la place, elle laissa grandir la conviction que ce qu’elle faisait n’avait d’autre intérêt que d’encourager cet étudiant. Il ne devait pas avoir honte de son tableau car il était splendide. Et s’il était associé à un moment difficile de sa vie pour lui, ce n’était pas non plus une raison de le rejeter. L’expression de ses sentiments par l’art était un bon échappatoire. L’accepter l’aiderait aussi à avancer, à ne plus fuir et progresser. Nana s’inquiétait peut-être trop. En tout cas, elle ne pourrait jamais le savoir si elle ne lui parlait pas enfin du tableau. Ce qu’elle se décida à faire. Promis, elle le sortirait dès qu’il aurait répondu à toutes ces questions. Ce qu’il fit avec un brin d’ennui mais, au moins, d’honnêteté.
Nana l’écouta patiemment, lui laissant toute la place pour s’exprimer à son tour. Il ne voulait pas être exposé. Bon, elle n’obligeait personne. Il avança aussi qu’elle ne manquait pas d’autres œuvres. Ce n’était pas la question. Elle se fichait d’en exposer trois ou dix. L’important était de valoriser un travail. L’exposition publique était aussi une étape à franchir en tant qu’artiste car elle exposait aux critiques, négatives comme positives, et permettait de prendre du recul, de gagner en confiance. C’était un exercice plus au moins difficile et chacun devait s’y soumettre à son rythme, selon elle. Mais à ce niveau d’études, il ne pouvait pas espérer dessiner seulement pour lui. Il continua en défendant parfaitement son tableau. Une sorte de version réactualisée de la colombe de la paix de Picasso. Elle hocha la tête, à demi convaincue. C’était une belle idée, mais est-ce qu’il ne l’improvisait pas tout à coup ? Elle se leva, masquant difficilement son énervement, quand il avoua le temps que cela lui avait pris. Deux heures ! Nana évita de le regarder, craignant que cela réussisse à le réduire en cendres. Elle lui reconnaissait une chose. Il était honnête. L’une des qualités les plus appréciables d’après elle. C’était assez insolent, mais elle préférait ça à un élève qui affirmerait s’y être consacré jour et nuit pendant des semaines. Elle regretterait plus tard ce qu’elle allait dire, mais ne pouvait s’en empêcher. « L’idée n’est pas mauvaise. Un oiseau pour représenter la paix. Le prof d’histoire de l’art adorerait. Mais, deux heures, ce n’est rien du tout à ce niveau d’exigence. Vous aviez largement le temps de le faire. Et si vous êtes dans cette classe, je suppose que c’est parce que vous souhaitez vous donner les moyens de réussir. Alors, soit le sujet ne t’a pas inspiré, soit tu considères que l’exercice n’était pas assez bien pour toi. » Elle reprit sa respiration. Peut-être y était-elle allée un peu fort. Pour sa défense, c’était rageant de voir un élève aussi talentueux rabaisser son travail.
« Bien sûr que plusieurs des tableaux de tes camarades vont être exposés. Mais il ne s’agit pas d’un concours. Et je n’ai pas une prime pour chaque tableau exposé. Je me moque du nombre. D’ailleurs, un artiste qui aime vraiment son art ne travaille pas, au moins dans un premier temps, dans l’optique d’être au centre d’un musée. » Elle défendait la passion, l’amour de l’art. Et elle savait, aux vues du tableau tragiquement jeté, que Kamui aimait ce qu’il faisait. Ou en était-elle convaincue à tort ? Et dire qu’il continuait à dénigrer encore son travail. Elle leva les yeux au ciel et sa voix devint plus douce. C’était donc ça, il n’avait pas une si bonne image de lui-même apparemment. Elle ne voulait pas l’enfoncer plus. « Si tu n’étais pas inspiré, on aurait pu en parler ensemble. Aragaki-san et Ogawa-san sont venues me voir, par exemple. Parce qu’elles ne trouvaient pas d’idée. D'autre part, tu pouvais poursuivre l’idée du rossignol mais de manière plus travaillée, tu ne crois pas ? » Elle lui jeta un regard un tantinet moqueur, parce qu’elle était sûre qu’il comprenait. « Ici, dans ma classe en tout cas, on ne se compare pas à des artistes connus. On essaye d’apprendre de leur travail et c’est suffisant. Chacun a son propre style, son propre univers. On n’attend pas d’un artiste qu’il nous offre une copie conforme d’un grand maître. Sinon l’art serait affreusement ennuyeux ! Tu aimes dessiner et c’est déjà beaucoup. Parmi tes camarades, certains rêvent davantage d’être exposés à Rome, Paris ou New-York que de la joie de créer quelque chose. » Elle se rapprocha de l’étudiant. Elle n’était plus énervée, juste un peu lassée. C’était trop facile que les plus talentueux soient les moins sûrs d’eux. « Tu n’as pas à faire plus d’effort. Je t’ai vu jeter l’un de tes tableaux à la poubelle l’autre soir. » Voilà, c’était dit. Enfin.
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Hijikata kamui
■ Pseudo : nobume ■ messages : 379 ■ Yen (¥) : 1149 ■ Avatar : Lee felix [stray kids] (c) fallen leave ■ DCs :
■ Age : 17 ans ■ Date de naissance : 15/09/2000 ■ Astrologie : ❀ vierge & Dragon 龙 (métal) ■ Métier : ❀ vendeur à mi temps dans un magasin de mangas & Peintre, photographe en moyennant de l'argent (officieusement)street artist ■ Année : ❀ 1 ère année ■ Résidant à : chez ses parents dans une résidence à shibuya bien que, il la passe majoritairement dans sa chambre, les volets fermés ■ Notes :
❀ Il fume des clopes en cachette ❀ Il est percé aux oreilles ainsi qu'au nombril pour son entrée prochaine à la faculté (il refait la signature de ses parents) ❀ Il souffre énormément depuis son plus jeune âge de la comparaison incessante avec son père qu'il ne connait pas au vu du peu de moments passés ensemble, il a plus l'impression que c'est un rêve ❀ Sa mère est celle qui l'a élevé, mais son univers n'a toujours été que son père, elle lui a brisé toute sa confiance au point, qu'il n'a plus de rêve ni rien, car rien ne sera jamais assez bien pour cette femme qui l'a élevé ❀ Il continue les études juste pour le plaisir de sa mère afin de garder ce père qui passe le plus clair de son temps dans son studio à Ota que chez eux ❀ Il a tout le temps faim ❀ Il fait du rap et du beat box ❀
❀ Il s'est mis à jouer de la basse et de la flûte dans son coin, mais n'en joue maintenant que rarement et quand il est seul. Pourquoi ses instruments ? Tout simplement parce que son père ne sait pas en jouer ❀ Il adore le baseball, c'était un lanceur hors paire qui lançait des balles rapides jusqu'à 90km/h et des frondes, sauf qu'à force de lancer, étant le seul numéro 1 de l'équipe au Japon, contrairement en Amérique, il s'est brisé l'épaule ainsi que son rêve d'être un lanceur de Major League. ❀ Dès, lors il s'est mis à dessiner à peindre, à faire des collages, diversifier ses supports et techniques sur des toiles et dans la rue. En effet, il fait du street art, ce qui lui vaut parfois des courses poursuites avec la police ❀ Il aime énormément prendre des paysages en photo.. Raison pour laquelle, il se lève très pour voir un lever de soleil. ❀ Il développe lui même ses propres photos qui sert de chambre noire, raison pour laquelle il cherche un local pour avoir l'espace nécessaire de développer son art ❀ Quant à ses peintures, il mélange parfois son propre sang dans les pigments pour donner plus de cachets que cela choque ou non, il s'en fiche. Enfin, ce n'est pas comme il allait exposer ses toiles de toute façon puisque, ses peintures sont toutes passées au feu par sa mère ou alors à la poubelle quand elle a découvert cette pratique "monstreuse" et "vampirique" ❀ Il est fan de mangas, du magazine Jump où chaque semaine apparaît un nouveau chapitre d'un shonen, comme les oeuvres de son père.. ❀ Il garde dans un carton les mangas de son père, hors de questions que celui-ci découvre qu'il le suit ❀ L'idée d'être mangaka lui est apparue une fois, mais il a abandonné puisqu'il n'arrivera jamais de toute façon au niveau de son père. Dans la famille, il n'est qu'un fils raté, c'est ce qu'il pense comme sa mère ❀
❀ il parle l’anglais couramment puisqu’il a vécu en grande majorité aux states, le japonais et le portugais avec l’espagnol.❀ Il adore les jeux de stratégies sur ordinateurs et autres, comme parfois il joue au go ❀ il a souffert de discrimination petit à cause de son physique dû à ses origines japonaise et de ses tâches de rousseurs.. raison, pour laquelle, il a apprit la boxe pour attaquer les autres et ne plus se laisser marcher sur les pieds en grandissant. ❀ quand il dessine ou prend des photos, il porte toujours un casque avec la musique dans les oreilles. cela lui permet de mieux se concentrer et de se couper du monde extérieur. ❀ ne fois, juste pour faire criser sa mère, il s’est complètement rasé la tête en l’absence de son père, il se rappellera toujours de l’expression qu’elle a faite, mais alors, elle l’a puni en lui confisquant son téléphone, son portable, tout ce qui pourrait lui servir pour ses dessins et l’a obligé à faire des grues en origami en guise de punition. autant vous dire que maintenant il déteste ça, et qu’il n’a plus recommencé. ❀ il adore les snickers, les twixs et les kit kats ❀ Il aime nager ❀ Il adore lire des livres policiers et regarder des films d'actions ❀ Dès qu'il a un moment ou l'occasion, il en profite pour dormir, que cela soit en classe ou non ❀ Il est bisexuel, mais ne s'assume pas du tout, raison pour laquelle il flirt surtout avec des filles tout en se donnant un genre alors qu'il est puceau ❀ Il se demande souvent pourquoi il est né ❀ Il croit que son père ne l'aime pas et que s'il reste avec sa mère c'est de sa faute alors que pour sa mère, c'est sa faute si son père préfère se concentrer sur son boulot plutôt qu'à eux ❀
■ Navigation : Mon modèle et en même temps, mon plus grand rival
Certes, il était sûrement trop franc… Trop franc pour son bien, mais sur les mauvaises choses. Il pourrait être plus honnête au niveau des sentiments, mais pour ça, il était pire qu’un menteur. Il n’était pas arrivé à dire sur cette satanée plage, trois petits mots que son paternel espérait sûrement, mais il était trop pudique. Comme il a démenti le fait qu’il n’était pas inquiet pour Haruto, alors qu’en réalité, celui-ci, au vu de son comportement exécrable. Cependant, c’était bien de vouloir s’éclipser maintenant dans son monde « spirituel » ou autres, mais maintenant, il était trop tard pour revenir sur le fait que dessiner un oiseau ne lui avait consommé que deux petites heures de son existence. Certes, il aurait peut-être dû le travailler davantage, mais bon c’était déjà difficile de faire ce travail quelques heures avant qu’il ne pénètre dans cette salle de classe où, tout le monde échangeait et parler de ce qu’ils ont fait la semaine ou bien de montrer fièrement leurs devoirs comme à chaque cours. Il sait très bien qu’il aurait pu développer son idée, ajouter de la couleur, mais il n’a pas eu le temps, et il avait même hésité à lui rendre feuille blanche. Donc, pourquoi, est-ce que cette enseignante cherchait à savoir à tout prix pourquoi il avait fait cet oiseau. Par contre, il n’a jamais une seule fois pensé, que le travail était pas assez bien pour lui. Ah vraiment.. Tous les enseignants, ou adultes pensaient vraiment tout savoir. Elle semblait avoir eu la chance d’avoir des parents compréhensifs sans souffrir de la popularité d’un de ses parents. Bien que dernièrement, avec le divorce de ses parents, quand il pénétrait chez, il avait l’impression de marcher sur des charbons ardents. Quant à son paternel.. Tout ce qu’il souhaitait, c’était éviter un drama au niveau de la popularité de son père. Après, elle se trompait aussi. Réussir ? Oui et non.. Il ne se voyait pas exposer dans un musée, une galerie… En fait…
«Liberté c’est égale à paix ?»
Il sait qu’il était pointilleux et que le sujet n’était pas là. Il ne se foutait pas foncièrement d’elle, mais il n’était pas plus engagé que cela non plus. Disons, que c’était juste pour gagner du temps et qu’il ne comprenait pas vraiment pourquoi les adultes pensaient avoir la réponse à tout ? S’il avait choisit cette option, c’est juste parce que c’était seulement là, qu’il pouvait se lancer des défis ou du moindre un crayon et dessiner pendant des heures sans avoir peur que sa mère ne débarque. Toutefois, il ne comptait pas lui parler de sa vie, ni même de défendre son point de vue concernant sa présence dans ce cursus et ce cours.
«Donc, vous ne croyez pas un de vos élèves quand il dit que le sujet ne l’inspire pas ?»
Rebel ? Un peu sur les bords.. Mais, c’était sa personnalité, de plus, il ne voyait pas vraiment où cela menait la conversation, ni même pourquoi il se trouvait coincé dans ce bureau. Ok, il avait fait l’erreur de venir dans son cours pour lui rendre un devoir très en dessous des autres. Cela pouvait être un manque de respect envers ses camarades de classe qui y ont mis tous leurs coeurs ou, se sont cassés la tête. En réalité, le sujet l’avait inspiré.. D’un autre côté, à force de trainer dans la rue, il y en avait des choses à raconter vraiment.. Donc la thématique lui disait quelque chose, énormément même.. Sauf que.. Il y a certaines choses que l’homme était incapable d’accepter. Il développait lui-même ses propres techniques de peinture et ce, à l’aide de ses deux mains. Il sait que tenir tête n’arrangeait certainement pas son cas auprès de cette enseignante. Il devrait se calmer et essayer de la jouer finement pour se sortir de cette situation.
«Je suis content d’apprendre que tous ne veulent pas être exposés dans un musée, mais vos tableaux le sont non ? La majorité de vos étudiants cherchent justement la gloire, et doit-on parler de tous ces grands peintres qui recherchaient malgré tout cette place ? Sauf que, la majorité a finit pauvre alors qu’ils cherchaient quand même la gloire de leurs vivants ? Mais, ils ne l’ont été qu’après leur mort.. Alors, pour sûr qu’ils n’ont rien pu toucher, ni voir leurs tableaux au milieu d’un musée.. Puisqu’ils ne sont plus de ce monde.»
Ce qui leur faisait sans doute de belles jambes de savoir que beaucoup de monde admiraient leurs génies. Pour le coup, Kamui la trouvait un peu hypocrite sur le coup. Il s’était renseigné un peu et puis, tout le monde chantait les louages de ses portraits qui étaient vraiment quelque chose. Il reconnaissait le talent de cette femme. Il était heureux qu’elle puisse vivre de cette passion, qu’elle soit célèbre et puis, elle participait à plusieurs vernissages aussi.. Lui ? Il ne s’était jamais projeté à vivre de cet art.. Certes, il souffrait d’un syndrome important d’un manque de confiance en lui.
«Je vous le concède sensei. La prochaine fois, je viendrais vous voir ou j’essaierais vraiment de faire de mon mieux pour le prochain travail. Du coup, je peux partir ? Je ne vois pas ce qu’il y a de plus à dire.»
Pour s’en sortir, il préférait se la jouer finement, même si il n’avait pu s’empêcher de montrer un certain agacement de cette situation. Pourquoi, est-ce qu’il fallait toujours qu’il s’explique pour un travail non terminé. Qu’elle lui attribue un zéro, cela ne lui ferait ni chaud ni froid. Il dessinait, parce qu’il aimait vraiment ça, c’est vrai. C’était sa bouée de sauvetage.. Il s’était entrainé, c’était son exutoire, mais aussi parce qu’il avait pris goût à tenter de nouvelles techniques.. Au départ, c’était un juste un coup de crayon et finalement, c’était devenu quelque chose de plus. Il apprécia toutefois, le fait qu’elle ne soit plus aussi froide que lors de son arrivée dans son bureau. Elle marquait un point. En même temps.. Qui aimerait voir une partie de son style dans sa galerie hein ? C’était abject.. Des mots durs et douloureux et ne parlons pas de la lueur des regards des quelques personnes à qui, il en avait parlé.. Il ne voulait pas que son père apprenne qu’il était capable d’utiliser son sang pour peindre par une tierce personne.. Il préféra toutefois garder le silence pour ne pas rebondir et s’enfoncer et sur dire quelque chose qui pourrait la sortir de ses gonds alors qu’elle s’était calmée. Toutefois, il ne s’attendait pas à cette « chute »..
«Qu.. Quoi ?»
Il ne comprenait pas ou avait peur d’avoir bien compris ce qu’elle avait dit.. Un tableau.. Il y en avait qu’un, qu’il avait jeté et…
«Co.. Pourquoi ?»
Donc, elle l’avait vu ? Ce tableau … Finalement, il se sentait pris au piège… Il commençait à couler de l’eau, mais finit par reprendre :
«Donc.. Vous m’avez appelé pour ce tableau ? »
Il décide de s’approcher de la fenêtre pour regarder en bas et finir par dire :
«Et donc.. Vous pouvez y aller.. Je ne suis plus ça près.. C’est horrible et je suis poli avec ça, vous pouvez le dire, pas besoin de prendre des pincettes, j’ai entendu pire.»
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Ce message a été posté Dim 16 Sep - 19:29
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ft. Kamui
«Liberté c’est égale à paix ?»
Nana se laissa surprendre par la question et fixa l’étudiant en clignant des yeux. Elle se repassa en tête leur discussion. En effet, il avait bien parlé de liberté et non de paix. C’était elle qui s’était trompée. Le sens était différent, mais était-ce si important ? S’il jouait avec les mots, c’était pour lui montrer son erreur. Il avait raison et, en même temps, c’était particulièrement insolent de sa part. Elle hocha la tête pour lui montrer qu’il marquait un point sans chercher à répondre par des paroles. Elle n’avait pas envie de s’étendre sur le sujet, ni même d’envenimer une situation qu’elle rendait déjà toute seule compliquée de part son énervement. Et Kamui semblait vouloir en rajouter une dose. Est-ce qu’elle ne croyait pas ses étudiants quand ils disaient ne pas être inspirés par un sujet ? Étonnée par son comportement, elle recula d’un pas et vint s’appuyer contre son bureau. Il fallait qu’elle reste calme. Ce genre de comportement était parfait pour provoquer Nana mais elle était face à un élève et devait donc conserver son calme. Elle tenta de maîtriser sa respiration et regarda le jeune homme avec sérieux.
« Si, je te crois. Je trouve juste cette justification un peu facile. » Avec un air affreusement hautain, elle poursuivit. « Je peux aussi vous laisser complètement libre dans vos travaux. Mais en entrant dans cette école et en suivant ce cursus, vous aviez tous conscience du travail attendu. » Elle inspira profondément, se redressa et croisa les bras sur sa poitrine. Les bruits à l’extérieur commençaient à diminuer, signe que l’heure de la fin des cours s’éloignait de plus en plus du moment présent. Nana n’aurait peut-être pas dû tergiverser, mais elle souhaitait vraiment comprendre ce qui l’avait poussé à lui rendre un tel travail, plutôt que l’autre. Celui, impressionnant, qu’il avait traité comme un vulgaire déchet. Elle voulait en venir aux faits, mais Kamui reprenait la parole. Elle ne pouvait l’interrompre, parce qu’elle était curieuse de connaître son avis. Malheureusement, ses propos, d’une grande justesse, eurent seulement le don de l’excéder davantage. Elle se détourna et aligna machinalement une pile de feuilles sur son bureau. Quand il eut fini sa tirade sur les peintres célèbres, elle se tourna à nouveau pour lui faire face.
« Tu dis vrai. Mes tableaux sont exposés et rencontrent un certain succès. Donc, selon toi, je suis mal placée pour parler des peintres maudits ? » Il était si intelligent que s’en était énervant. « Bref, passons ces réflexions philosophiques et revenons-en au sujet qui nous intéresse. » L’étudiant avait raison. Aujourd’hui, Nana était la reine suprême des hypocrites. Consciente de cela, elle s’en mordit la lèvre supérieure. C’était elle qui avait laissé leur entretien prendre des détours et des détours, s’éloignant du sujet principal. Elle n’en comprit que trop bien l’étudiant qui lui demandait s’il pouvait finalement partir. D’un côté, son attitude la piquait de par son insolence et, de l’autre, elle appréciait de rencontrer de jeunes artistes avec un vrai tempérament. Seulement, elle n’avait pas fini et elle lui parla enfin du tableau qu’elle l’avait vu jeter. La réaction de Kamui dépassa alors tout ce qu’elle aurait pu imaginer et elle s’en sentit très gênée. Il semblait transformé, mal à l’aise et presque effrayé. Peut-être était-elle en train de commettre une grosse erreur. De toute façon, il était trop tard pour faire demi-tour. « En effet, je voulais te parler de ce tableau et évoquer ton dernier devoir me semblait une bonne introduction puisque je voulais comprendre tes motivations… »
Soucieuse, elle s’avança de quelques pas vers lui. Sa voix était désormais dénuée de toute énervement et se fit plus sincère, presque maternelle sans qu’elle s’en rende compte. « Je tiens à te présenter mes excuses. Ce que vous faites en dehors de la classe ne me regarde pas. Mais… » Elle fut interrompue par la jeune homme et ce qu’il dit suffit à la réduire au silence. Elle s’approcha de lui tandis qu’il regardait par la fenêtre. Ainsi, il n’aimait pas son travail. Il le trouvait même horrible et semblait certain qu’elle s’était fait le même avis. Elle prit une profonde inspiration et haussa la voix, non sans colère mais une pointe d’exaspération. « Dire quoi ? Que c’est horrible, comme tu semble le penser ? Que ton oiseau griffonné à la va-vite entre deux cours vaut mille fois mieux ? » On pouvait la payer qu’elle ne dirait jamais ça. « Je t’ai dit plus tôt que tu étais capable de faire bien mieux qu’un croquis de rossignol. Je me basais sur quelque chose de concret pour dire ça. » Un petit prodige qui reniait son travail. Ce qu’il l’énervait à se concentrer sur le paysage extérieur. « Regarde-moi. » Elle doutait qu’il trouve les travaux de son enseignante digne d’estime aux vues de ce qu’il avait dit plus tôt, ni même qu’il considère que son avis ait une quelconque importance. Pourtant, elle se fichait bien qu’il l’apprécie ou pas. Elle voulait qu’il retrouve sa confiance en soi, qu’il prenne conscience de son talent. « Ce quelque chose, c’est ce tableau que tu as jeté. » S’il le reniait par fausse modestie, alors elle en aurait ri, mais elle savait que c’était plus que ça. « Je me suis permise de le récupérer. » Elle leva la main pour empêcher toute objection. « Je n’ai pas l’intention de t’obliger à quoi que ce soit. Je te laisse le récupérer ce soir et tu pourras en faire ce que tu veux. » Elle partit vers son bureau et commença à ouvrir le tiroir dans lequel se trouvait l’objet de leur entretien. « En revanche, tu dois savoir que ce que tu as fait là est juste incroyable. » Elle n’avait pas d’autres mots pour le décrire. Pas pour le moment.
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Hijikata kamui
■ Pseudo : nobume ■ messages : 379 ■ Yen (¥) : 1149 ■ Avatar : Lee felix [stray kids] (c) fallen leave ■ DCs :
■ Age : 17 ans ■ Date de naissance : 15/09/2000 ■ Astrologie : ❀ vierge & Dragon 龙 (métal) ■ Métier : ❀ vendeur à mi temps dans un magasin de mangas & Peintre, photographe en moyennant de l'argent (officieusement)street artist ■ Année : ❀ 1 ère année ■ Résidant à : chez ses parents dans une résidence à shibuya bien que, il la passe majoritairement dans sa chambre, les volets fermés ■ Notes :
❀ Il fume des clopes en cachette ❀ Il est percé aux oreilles ainsi qu'au nombril pour son entrée prochaine à la faculté (il refait la signature de ses parents) ❀ Il souffre énormément depuis son plus jeune âge de la comparaison incessante avec son père qu'il ne connait pas au vu du peu de moments passés ensemble, il a plus l'impression que c'est un rêve ❀ Sa mère est celle qui l'a élevé, mais son univers n'a toujours été que son père, elle lui a brisé toute sa confiance au point, qu'il n'a plus de rêve ni rien, car rien ne sera jamais assez bien pour cette femme qui l'a élevé ❀ Il continue les études juste pour le plaisir de sa mère afin de garder ce père qui passe le plus clair de son temps dans son studio à Ota que chez eux ❀ Il a tout le temps faim ❀ Il fait du rap et du beat box ❀
❀ Il s'est mis à jouer de la basse et de la flûte dans son coin, mais n'en joue maintenant que rarement et quand il est seul. Pourquoi ses instruments ? Tout simplement parce que son père ne sait pas en jouer ❀ Il adore le baseball, c'était un lanceur hors paire qui lançait des balles rapides jusqu'à 90km/h et des frondes, sauf qu'à force de lancer, étant le seul numéro 1 de l'équipe au Japon, contrairement en Amérique, il s'est brisé l'épaule ainsi que son rêve d'être un lanceur de Major League. ❀ Dès, lors il s'est mis à dessiner à peindre, à faire des collages, diversifier ses supports et techniques sur des toiles et dans la rue. En effet, il fait du street art, ce qui lui vaut parfois des courses poursuites avec la police ❀ Il aime énormément prendre des paysages en photo.. Raison pour laquelle, il se lève très pour voir un lever de soleil. ❀ Il développe lui même ses propres photos qui sert de chambre noire, raison pour laquelle il cherche un local pour avoir l'espace nécessaire de développer son art ❀ Quant à ses peintures, il mélange parfois son propre sang dans les pigments pour donner plus de cachets que cela choque ou non, il s'en fiche. Enfin, ce n'est pas comme il allait exposer ses toiles de toute façon puisque, ses peintures sont toutes passées au feu par sa mère ou alors à la poubelle quand elle a découvert cette pratique "monstreuse" et "vampirique" ❀ Il est fan de mangas, du magazine Jump où chaque semaine apparaît un nouveau chapitre d'un shonen, comme les oeuvres de son père.. ❀ Il garde dans un carton les mangas de son père, hors de questions que celui-ci découvre qu'il le suit ❀ L'idée d'être mangaka lui est apparue une fois, mais il a abandonné puisqu'il n'arrivera jamais de toute façon au niveau de son père. Dans la famille, il n'est qu'un fils raté, c'est ce qu'il pense comme sa mère ❀
❀ il parle l’anglais couramment puisqu’il a vécu en grande majorité aux states, le japonais et le portugais avec l’espagnol.❀ Il adore les jeux de stratégies sur ordinateurs et autres, comme parfois il joue au go ❀ il a souffert de discrimination petit à cause de son physique dû à ses origines japonaise et de ses tâches de rousseurs.. raison, pour laquelle, il a apprit la boxe pour attaquer les autres et ne plus se laisser marcher sur les pieds en grandissant. ❀ quand il dessine ou prend des photos, il porte toujours un casque avec la musique dans les oreilles. cela lui permet de mieux se concentrer et de se couper du monde extérieur. ❀ ne fois, juste pour faire criser sa mère, il s’est complètement rasé la tête en l’absence de son père, il se rappellera toujours de l’expression qu’elle a faite, mais alors, elle l’a puni en lui confisquant son téléphone, son portable, tout ce qui pourrait lui servir pour ses dessins et l’a obligé à faire des grues en origami en guise de punition. autant vous dire que maintenant il déteste ça, et qu’il n’a plus recommencé. ❀ il adore les snickers, les twixs et les kit kats ❀ Il aime nager ❀ Il adore lire des livres policiers et regarder des films d'actions ❀ Dès qu'il a un moment ou l'occasion, il en profite pour dormir, que cela soit en classe ou non ❀ Il est bisexuel, mais ne s'assume pas du tout, raison pour laquelle il flirt surtout avec des filles tout en se donnant un genre alors qu'il est puceau ❀ Il se demande souvent pourquoi il est né ❀ Il croit que son père ne l'aime pas et que s'il reste avec sa mère c'est de sa faute alors que pour sa mère, c'est sa faute si son père préfère se concentrer sur son boulot plutôt qu'à eux ❀
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«En effet, ceci dit, je n’ai pas l’impression que vous prenez vraiment tous les facteurs en compte. Vous ne voyez que le doigt ! »
Pour accompagner ses paroles, il pointa son index en haut, mais en fait ce n’était pas son doigt qu’il montrait. Si, elle pensait que tous avaient les mêmes moyens pour arriver dans cette classe, elle se trompait lourdement. Oh sûr, qu’il devait être insolent, mais il ne dépassait quand même pas les limites. Certes, il les frôlait, mais tant qu’il ne franchissait pas la ligne alors, tout irait bien non ? Finalement, le « gamin » reprit de plus belle :
« Ce n’est pas mon doigt qu’il faut regarder.. En vérité il montre le ciel.. Si vous ne voyez que ce doigt comme vos confrères, vous ne sortez pas du lot. Mais, ce n’est pas un défaut, après tout, ceux qui sont trop marginaux, qui sortent de la « case » sont mis de côté. »
Ou plutôt poussé vers la sortie. D’un côté, mieux valait parfois l’ignorance par certains moments, même si l’ignorance fait plus mal que le reste. Enfin, ce n’était pas la question, lui, il ne comprenait toujours pas ce qui le retenait encore ici. Tout cela pour lui rappelait que certes, ils en étaient conscients en entrant ici, mais cela ne signifiait pas que s’ils étaient riches, ils le resteraient ou alors, s’ils n'avaient pas des divergences avec leurs parents. Ce qui était son cas actuellement. Si sa mère apprenait qu’il était dans ce cursus, il craignait vraiment le pire. Pas tous avaient des parents compréhensibles ou leur laisser une certaine limite pour faire ce qu’ils veulent qu’en cours avant de sommer pour qu’ils reprennent après qu’ils soient diplômés leurs entreprises pour ceux qui en possédaient une. Quant au fait qu’elle lui déclare que tous ne veulent pas être exposés là encore, il arrive à placer son avis. Apparemment, son commentaire auquel, elle ne trouva rien à contredire, semblait l’avoir agacée. Finalement le proverbe qui disait : « Il n’y a que la vérité qui fâche », cela se révélait vraiment juste une fois encore. Elle était exposée, ce n’est pas comme s’il ne s’était pas renseignés non plus sur ses enseignants. Parfois, il se demandait même pourquoi il prenait des cours d’art, car il développait en autodidacte ses propres compétences en s’essayant à des techniques de dessin, de peinture.. La preuve, il a commencé au crayon avant de faire du street art tout en commençant à peindre avec son sang, qu’il mélangeait avec des pigments de peintures, à l’huile.. A l’aquarelle aussi.. Et finalement, il commençait grâce à son meilleur ami et quelques conseils de peintre automobiles à peindre sur la carrosserie et c’était intéressant de s’essayer à d’autres approches de la peinture. Toutefois, il était vraiment intransigeant envers ses capacités et plus que ça.. Il trouvait son travail « horrible ».. Un travail complètement incompris. De toute façon, il ne cherchait pas vraiment à ce qu’on le comprenne. Ni même où il voulait en venir et puis la réaction de son ami sur l’utilisation de son sang, le regard épouvanté de sa mère quand elle l’avait pris sur le fait et puis.. Elle n’a jamais perdu une occasion de le descendre de tout lui brûler, encore une fois.. Par contre, il ne s’attendait pas à ce qu’elle lui sorte un tableau qu’il pensait être déjà écrabouillé par une benne à ordure ou autres. Ce tableau.. Pourquoi est-ce qu’elle l’avait ? Donc, maintenant il était espionné ? Cela le mettait un peu hors de lui.
« En effet, surtout pour me ressortir un tableau aussi repoussant. »
Il ne le pensait pas vraiment parce que pour lui, utiliser son sang n’était pas repoussant, c’était une manière de donner plus de puissance à son message sur la pollution comme ce tableau ici. En tout cas, il décida de regarder à nouveau la cour, cependant s’il s’attendait à ce qu’elle descende son travail, il fut étonné par son emportement modéré. Sûrement qu’elle aurait pu se laisser aller, si elle ne possédait pas le rang d’enseignant. Elle trouvait ce tableau « beau » ? Possible qu’elle change d’avis si elle savait qu’il n’avait utilisé que de la peinture. Il ne voulait pas la voir ou qu’elle joue la gentille prof après avoir joué le bad teacher ! Il soupire et lâcha :
« Ok je vous regarde et quoi ? Qu’est-ce qui vous plait là-dedans ?»
Est-ce qu’elle comprenait même son devoir ? Il se le demandait, mais le pouvoir de l’art c’était justement de laisser à chacun le loisir de penser de voir ce que chacun veut. Bien que là, le message était quand même clair, à moins que son avis soit trop tranché, car il en était l’auteur ? Allez savoir.. Il l’écoute et ne la comprend pas et même s’il veut répliquer, elle ne le laisse pas faire. Il n’arrive toujours pas à core qu’elle trouve ce travail « stupéfiant ». Cela le touche provenant d’un artiste dont les tableaux sont sont exposés, mais..
« Si vous l’appréciez, je vous le laisse. Je ne compte pas le reprendre. De toute façon, si je le fais il finira sûrement au feu cette foi ou en pièce. »
Il le pensait sérieusement. De plus, il ne pouvait pas se permettre à ce que la mère le surprenne avec un tableau sous le bras. Il jette un dernier coup d’oeil sur ce tableau et finit par dire, qu’il pouvait très bien le lui laisser, il n’est pas certain que son père apprécie aussi le fait qu’il utilise son sang. Et avant qu’elle ne s’énerve à nouveau par rapport à ce qu’il lui a dit, il finit par reprendre rapidement :
« Avant de vous emporter je dis simplement, vous avez beau le trouver incroyable, ce n’est pas le cas de tout le monde. Vous avez peut-être eu des parents compréhensifs sans vous manquer de respect, mais ce n’est pas mon cas. Cela horripile ma mère, qui n’est même pas au courant que je suis ce cursus. C’est ce que vous vouliez savoir non ? »
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