Tenue – Cette enquête était difficile et quand j’avais vu ces deux gosses partirent, j’ai vu deux fantômes du passé. Je me demandais si le vieil homme que je remplace aujourd’hui avait ressentit le même sentiment que je ressens aujourd’hui ? Je me le demande vraiment. Peut-être que oui, peut-être que non mais, je devais désormais, configurer l’arme du crime pour la deuxième femme et surtout les refermer et m’occuper d’elles afin que leurs familles quand, je saurais qui sait et que je les appellerais pourront les voir dans un bon état. Bien que pour la deuxième… Il serait préférable qu’elle ne la regarde pas et garde un agréable souvenir. Cette dernière vision supprimerait tous les bons passés à ses côtés. Je suis toujours sur l’eau qui vive attendant des résultats pendant que je lave, recouds les corps, les mets prudemment dans des sacs pour conserver leurs corps et les porte avec l’aide d’un petit officier dans une autre salle car, au moment où j’agis ils ne sont connus que sous X. Combien de temps cela m’a pris ? Je ne sais pas mais, pendant que je lave les tables en les débarrassant de ce sang avec la musique sur mes oreilles je sursaute quand je vois un visage que je ne connais que trop bien apparaitre devant moi ! Je ferme les paupières un moment et les ouvre pour le menacer avec le tuyau d’eau

«Ah espèce de gamin ! Tu sais que si tu n’étais pas aussi beau et que tu n’étais pas mon cousin tu recevrais ma magnifique prise de catch dont j’ai le secret !»

Evidemment je me mis à rire de ma stupidité, je suis certaine que je me retrouverais rapidement au sol avant même que je ne bronche d’un geste ! Enlevant mes écouteurs après avoir terminé d’incarner Miss Propreté de la Morgue. Je me retourne vers lui enlevant mon masque de mes lèvres ainsi que mes gants que je jette dans la poubelle la plus proche et retira ce cache cheveux. J’étais déjà bien mieux ainsi malgré que je ne sois pas le sujet principal. Que faisait mon cousin ici ? Où se trouvait Gabriel ? De retour pour jouer un sale tour ? Je ne suis pas certaine qu’il connaisse ce dessin animé de Pokemon. Soupirant doucement, je pressens qu’il s’est passé quelque chose.. Rikiya qui est si cool d’habitude semble ébranlé. Je ne le connais pas vraiment mais, je suis certaine qu’il n’est pas le genre à être dépité pour si peu… Lui offrant une mine dubitative, les poings sur les hanches essayant de percer sa carapace de surhomme me foutant complètement de sa question. Question qui fut annulée sous sa demande puisque, maintenant il me demande d’oublier. Je m’approche de lui et j’ai l’impression que se trouve sous mes yeux un petit garçon perdu. Sa position sur cette chaise. Enlevant ma blouse je m’approche de lui :

«Hey Superman, je me change, et je vais te préparer un bon chocolat chaud tu me parleras après ! C’est toujours plus appréciable d’écouter une histoire auprès d’une boisson chaude !»

Je lui offre une tape à l’arrière de la tête et un joli clin d’œil avant de m’éloigner rapidement pour me changer et prendre une douche rapide ! Une fois de nouveau prête, j’invite mon cousin à venir me rejoindre dans ma salle de détente et le force à prendre un siège pendant que moi, je fais marcher ma machine senseo et prends deux tasses une qui va être emplie de chocolat avec une dosette chocobreak et pour ma part, ce serait cappuccino saveur spéculos. Les deux tasses fumantes en main je lui tends une :

«Si tu veux, j’ai aussi des paquets de gâteaux !»

Y aller en douceur cependant, cela n’arrive pas à réprimer cette inquiétude. Où se trouvait le jeune patron d’Avici ? Eux qui semblaient si complices il y a encore quelques heures, quand je vois l’expression de mon cousin, j’ai le sentiment d’avoir loupé plusieurs épisodes. Prenant à mon tour un siège, mes deux mains emprisonnant la tasse que je porte à mes lèvres pour en goûter le contenu. Je ne cesse de surveiller ses tiques, ses gestes et puis, n’étant pas connue pour tourner autour du pot je demande :

«Alors, si tu me disais ce qui passe ! Dis tout à Onee san ! Laisse-moi deviner, vous vous êtes disputés ? Première querelle ?»

Tenue – Je crois que ce n’est pas qu’un épisode que j’ai manqué mais, un train ! C’est quoi cette histoire de gars et de connaissances hein ? Il faudrait que je rembobine le fil mais, je le laisse parler, vider un peu son sac même s’il me manque des pièces pour comprendre son récit ! D’un côté, quand je le regarde, j’ai l’impression que ma propre image d’une saya plus ancienne me fait face. Je l’écoute et m’abreuve de mon capuccino que j’affectionne. Il m’attendrit, je n’ai jamais pensé que je pourrais être mère, j’ai toujours été celle qui prenait soin de ses cousines quand je le pouvais bien que, ces dernières m’ont tourné le dos depuis longtemps et continuent leurs vies pour certaines car, elles sont mariées. Rencontrer Rikiya est vraiment une belle rencontre pour moi, qui pensait que je n’avais rien à faire dans cette famille de fous. Je garde la tasse entre mes deux mains et le regarde compatissant à son combat intérieur qu’il est en train de mener. Je n’ai pas toutes les cartes en mains mais, d’après ce qu’il me laisse sous-entendre je crois que de leurs côtés ils ont bien avancé dans l’enquête et rapidement…

«J’aimerais comprendre c’est quoi cette histoire de gars ? J’aimerais que tu m’expliques ce qui s’est exactement passé depuis le début et non en sautant des étapes parce que là, je suis perdue, larguée à des kilomètres. Vous avez déjà des suspects ? Ce sont des connaissances à toi ? »

Je n’ai pas mis de côté ce qu’il m’a dit avant mais, là je suis un peu consternée de savoir qu’en si peu de temps, ils ont déjà des suspects alors que la Police patine sur cette affaire au point de n’avoir jamais trouvé un suspect qui convient mais, si ils voyagent constamment pour le boulot même si, l’hypothèse qu’ils soient des membres d’une armée, de la marine etc m’a effleuré l’esprit quand ils sont partis. Je ne sais pas ce que je devrais lui dire tant que je ne connais pas tous les éléments de cette dispute entre les deux. Je conçois que ce n’était pas une mince affaire cette histoire et, c’est la raison pour laquelle je l’écoute. Comprendre pourquoi mon cousin s’est éloigné de cette mission lui, qui semblait euphorique d’arrêter les suspects à un ton plus bas que je ne l’ai été mais ça… Cela remonte à une décennie. Regardant la fumée qui s’élevait de ma tasse, je finis par reprendre la parole :

«Tu sais… Dans les forces de l’ordre… Quand une affaire nous touche de trop près, nous sommes évincés de l’affaire car, généralement nos propres sentiments prennent le dessus et, nous n’arrivons pas à réfléchir quand bien même nous sommes, forts nous sommes blessés. D’ailleurs toi-même n’arrive pas à croire que ces hommes sont des tueurs… Et quoi que tu dises, cette annonce t’écorche un peu non ?»

En même temps, même s’ils n’étaient pas amis, une sorte de liens s’était créé entre-eux non ? Je me demande si je ne devrais pas me reconvertir en tant que psychologue. Ce ne serait pas une si mauvaise idée mais, j’aime mon métier et, je dois avant tout me faire suivre par des pairs afin d’être sûr que je sois apte à l’être. D’un côté, je crois qu’être médecin légiste me convient parfaitement. Je bois une autre gorgée et le regarde en étant sérieuse et calme. Je ne veux prendre partit pour personne mais, je ne veux pas qu’il s’égare et, s’ils sont les vrais criminels alors… Peut-être que c’est dangereux que Gabriel se retrouve « délaissé » par mon cousin. Les heurts, c’est normal qu’il y en ait, cela ne sera pas le dernier qu’ils auront. Leurs personnalités sont hétéroclites. Même moi, qui ne connais rien de son jeune patron, je me suis aperçue qu’il semblait sur la réserve contrairement à lui. Un petit sourire et je reprends :

«Tu sais, je pense que Gabriel a surtout voulu t’empêcher de te retrouver divisé en deux. Je ne pense pas qu’il s’agisse entièrement d’une question de confiance. Je ne le connais pas donc je peux me tromper… Mais, est-ce que cela t’es venu à l’idée qu’il a préféré te protéger à sa façon afin que tu ne souffres pas d’une trahison suite à la vérité?!»

Je pense que j’aurais été comme Rikiya mais, avec du recul et parce que j’ai vécu cette situation tant de fois, que ne plus les vivre cela me manque. Je croise mes jambes à la manière d’un « mec ». En même temps, même si je pouvais user de raffinement quand, j’étais ici, j’étais naturelle peut-être un peu trop… Soupirant doucement, je reprends toujours sur le même ton.

«De toute façon, ce ne sera pas votre première querelle ! Vous êtes trop différents, alors si tu continues à être son partenaire des « crises » vous allez en avoir crois-moi… Ce n’est pas si mal même si ça fait mal… Des disputes avec mon partenaire j’en ai eu pleins !»

Tenue – Les faits racontés ont toujours différés de la réalité. J’analyse les paroles de mon cousin et le reste, je le laisse à mon imagination pour caser tous les éléments comme il se doit. L’irritation de Rikiya est raisonnable à sa place j’aurais enfin, j’ai déjà réagi ainsi par le passé. Que les sentiments sont mesquins à nous faire douter de nous-même plus qu’en nos coéquipiers. On dit toujours qu’on a une dette envers quelqu’un quand ce ledit quelqu’un nous a sauvés la mise mais, est-ce vrai ? L’appellation « Partenaire » portait une toute autre signification. Mon cadet avait mis le doigt dessus mais, il en oublie certains côtés. L’envie de protéger l’autre est toujours là que cela agace ou pas. C’est mieux de savoir que l’autre s’inquiète de notre sécurité que le contraire. Rikiya est fort mais, si je devais le reprendre sur quelque chose est son impulsivité dans ses actes comme dans sa discussion. Alors c’était ainsi ? Gabriel suspecte donc les camarades de Rikiya ? D’après ce que j’entends, lui-même a des doutes sur eux non ? Du coup, fouiller de ce côté ma parait bien même si, cela nuit la conscience du membre de ma famille. Un sourire flotta sur mes lèvres quand il mentionna Gabriel et qu’il sorte dans sa tirade « on est pas en couple ». Ne vient-il pas de se trahir ou alors, il n’a pas conscience de la portée de ses paroles ? Ce qui me fait interroger le plus sont les réels sentiments à son égard… Il m’a malgré tout, donné instantanément froid dans le dos à cause de son sérieux concernant le sort qu’il réservait à ceux qu’il avait sous ordres. Est-ce qu’il serait prêt à les tuer ? ll ne rigole pas…

Il est sérieux…. Est-ce ça que son jeune patron a voulu éviter ? Les génies ont une autre manière de penser qu’il est difficile de lire leurs actions pourtant, ils restent malgré tout des humains. Quand il me regarde dans les yeux et sourit et répète que son coéquipier est agaçant c’est tellement lisible… J’ai l’impression de lire en mon cousin comme dans un livre ouvert concernant ses sentiments pour l’absent dont le prénom est répété tant de fois. Et ne parlons pas de la liste de défauts qu’il me sort chose à laquelle, je n’étais pas prêt à entendre. Je dois dire qu’il me prend un peu de court en finissant son listing en me demandant comment j’agirais si j’étais à sa place. Je le regarde avec de grands yeux, gonfle mes joues et, je me déride en riant un peu sous son regard alors que la situation ne s’y prêtait pas mais, je crois que je n’ai jamais entendu quelque chose d’aussi craquant. Ils font réellement la paire.

«Vous n’êtes pas en couple hein ? On ne dirait pas… Tu sais, il n’y a pas de mal à tomber amoureux de son partenaire.. La ligne est si mince.»

Je bois une autre gorgée pour me réchauffer qu’importe si mes mots sont pris au quatrième degré en réalité, j’étais mis sérieuse/mi blagueuse. Je voulais juste le brancher un peu pour qu’il sourit soit moins sévère envers-lui-même et son partenaire. L’important n’est probablement pas d’essayer de comprendre l’autre même si tout le crie. Je pense que, lorsque nous avons un partenaire nous voulons surtout être utile à l’autre. Montrer que nous sommes présents, qu’il ne doit pas s’inquiéter. Aujourd’hui si j’en suis là à être seule et parler aux morts et parce que je ne l’ai pas compris jusqu’au bout. Je ne me suis pas résolue à me tenir à l’écart forcé qu’il m’avait mise. Mon expression devint plus fermée.

«Gamin s’il y a bien un truc où on ne se ressemble pas c’est qu’à ta place, je n’aurais jamais abandonné mon partenaire comme tu l’as fait ! Au contraire j’aurais cherché, je ne serais pas là à me morfondre ! Je me serais rendue à l’endroit le plus susceptible de trouver des réponses. »

Le dessous de ma tasse résonna contre la table. Je le regardais dans les yeux ! Un sourire puant l’assurance. Sérieusement, je crois que ce gamin vient de réveiller la flamme qui est en moi et puis… Je lui donne un coup de poing d’amour sur cette caboche qui semble « vide » une fois, penchée vers lui par-dessus la table.

«Peut-être qu’il savait que tu réagirais ainsi et que tu aurais pleins d’hésitations qu’il t’a caché ses doutes ! Il avait sûrement peur de te « perdre », que tu le laisses seul mener l’enquête ! Tu te plains de ce qu’il ne t’a pas dit mais, toi-même a peur de découvrir la vérité. Tu ne veux plus enquêter !? Et tu te dis fort ? Avoues que tu as juste la trouille de connaitre les véritables visages de tes hommes ! Ce que je peux comprendre seulement toutes ces belles paroles que tu me dis là, ne suivent en rien ta ligne de conduite que tu me montres ! »

Oui je m’étais déchainée mais, parce que j’étais franche, ne mâché pas mes mots et surtout, je voulais qu’il se réveille ! Il était détective de l’agence que j’idolâtrais ! Son attitude ne correspondait pas avec ses paroles !! Je l’avais même pris par le col pour le secouer ! Je suis extrême je m’en rends compte pourtant ça me rends dingue ! Le « pas certain de reprendre l’enquête » je crois que c’est ce qui m’a blasé le plus. Après tout ce qu’il m’a dit avant, ne se rend t’il pas compte qu’il est contradictoire avec lui-même ? Qu’il arrête de faire le fort s’il ne veut pas faire face à cette « probabilité » que ses anciens hommes sont les assassins que nous recherchons. Je ne suis pas sur le terrain mais, je suis aussi sur le bateau. Cette enquête, ne les concerne pas seulement ! Elle touche Mochi san, moi et les autres officiers qui travaillent dessus !

«Mettons de côté tes amis… Gabriel ne s’arrêtera pas dans l’enquête et, si l’équipe en a vent… Qu’est-ce qu’il fera tout seul ? Et si ce sont tes anciens hommes… Ils t’ont eu comme chef, tu connais leurs capacités, est-ce qu’ils auront de la pitié pour lui ? De toute façon, étant donné que je suis aussi sur l’enquête, si tu arrêtes, j’enquêterais à ta place, en rendant dès maintenant visite à tes supérieurs et anciens camarades qui sont posés au Japon. Etre une princesse de sang impériale cela a du bon mais, je dois avouer que ton aide serait très appréciable !»

Je m’étais relevée de ma chaise, je ferme la fermeture éclair de ma veste, prend mon sac et mes clefs de voiture mais avant de sortir de la pièce je rajoute en repensant au fait qu’il ne voulait pas être épargné pour finir par l’éveiller et puis, n’est-ce pas ce qu’il voulait ? Une réponse… :

«Cette enquête est dangereuse… A rester là sans rien faire pendant que ton partenaire cherche la vérité seul mettant ainsi sa vie en jeu… Tu fais le choix de prendre le risque de le perdre.»

Tenue –«Puisque tu es mon cousin adoré je te donnerais des cours gratuits sur l’amour !»

Je lui fis un clin d’œil même si je voulais rajouter quelque chose de supplémentaire, il m’avait secoué d’une certaine façon. Je n’avais peut-être pas compris pourquoi il hésitait tant à continuer cette histoire sans chercher des preuves. Je me trompais quand sa révélation sortit mais, j’étais heureuse qu’il me parle aussi franchement et ne semble pas indisposé par les propos que je lui ai tenu. Il semble le prendre sereinement et avec du recul. J’ai peut-être réussi à le remotiver, quand je le vois se lever n’est-ce pas un signe ? Je tranquillisais au fur et à mesure de ses paroles. Quant aux cours, il faudra bien que je mette mon petit grain de sel car, leur relation n’est pas prête de se terminer loin de là même… Je sens qu’elle sera d’autant plus mouvementée dans les jours à venir. Une main sur la taille, je me retourne vers lui et, je me sens en sécurité. Apparemment ma vie n’a aucune importance pour lui toutefois cela ne me choque pas car, il a une personne pour qui il s’inquiète. Signe qu’il n’est pas si insensible que ça. Je ne comprends toujours pas comment un homme peut grandir dans un tel milieu sans perdre son humanité et si Gabriel lui fait ressentir des émotions, il vient sans doute de trouver la meilleure thérapie qui soit. Je ne doute pas que chacun à sa part d’ombre mais ça, je ne le relève pas oralement par contre..

«Toi non plus ne le connait pas forcément je me trompe !? Tu as encore pleins de choses à apprendre sur le partenariat cousin ! Crois-en mon expérience ! Donc quand tu le retrouveras, discute-en avec lui. Faire trainer la chose ce n’est jamais très bon !»

Je voulais qu’il m’accompagne et pour cela j’étais obligée d’essayer de calmer un peu cette petite bombe. Je ne voulais qu’elle me saute au visage même si, j’ai le sentiment que cela va être le cas. Que je vais être témoin d’un autre visage de mon cousin dans peu de temps. Dans la police, nous n’avons pas le droit de tirer sur un criminel mais, lui, en tant que détective, il n’est pas sous l’emprise de cette règle. Je ne dis pas qu’il peut agir à sa guise mais, je ne pense pas que ce genre de types méritent de mourir même si, cela signifie se rabaisser à leurs niveaux. Je l’écoute et lui offre un sourire chaleureux avec une tape sur l’épaule pour m’exclamer ouvertement :

«J’ai crus que tu n’allais jamais admettre que je marquais un point ! Ne t’inquiète pas pour les règles, je les connais ! Je n’ai pas été élevée à l’armée mais je peux t’assurer que les lois, je les connais par cœur ! Cependant, la famille impériale au Japon n’est pas qu’une image de la nation comme la Reine d’Angleterre nous avons du pouvoir.. Moindre, mais, nous en avons toujours ! Leurs « Tribunaux sont les protecteurs du Pays » mais, la famille Impériale est le « Coeur du Pays ».

Le peuple est celui qui tient cet organe en vie. On dit que le gouvernement l’est mais, notre pouvoir impérialiste, nous commençons à le retrouver. Evidemment, je ne suis rien et, je ne pourrais pas entrer… Comme vient de le dire Rikiya… Rentrer ne sera pas aisé mais, nous sommes sur une enquête criminelle d’où le fait que soit on rentre plus facilement soit, ils se mettent tous sur leurs gardes… Je suis plus motivés que jamais et c’est pour cette raison que j’acquiesce d’un signe de tête et agrandit mon sourire à ses dernières paroles :

« Oui ! Allons débusquer la vérité surtout que… Tu es impatient de retrouver Gabriel ! Plus vite on saura la vérité, plus rapidement vous vous réunirez ! »

A cette dernière phrase je lui tire la langue pour l’entrainer rapidement à l’extérieur afin que nous décidions, de prendre une seule voiture. Autant ne pas attirer trop l’attention sur nous d’où le fait que je décide de le laisser conduire.