Emp'4VERYOUNG.présence connexion 5/7présence rp 4/7feat Gong Seung Yeon

Scénario Inventé

◆ Nom  Byakuya ◆ Prénom(s) Noa ◆ âge 19 ans ◆ Date de naissance 21 juin 1996 ◆ Ville de naissance Tokyo, 東京 ◆ origine Japonaise pure souche ◆ groupe étudiant, 学生 ◆ année Deuxième à la rentrée de 2016, après avoir survécu à l’enfer des partiels, elle espère profiter du fait de devenir senpai et d’avoir des kōhai pleins à croquer. ◆ Section en économie-gestion, son choix a été fait lors de la journée porte ouverte organisée pour les bacheliers, non pas que le cursus l’intéressait particulièrement, juste le professeur qui enseignait la matière. ◆ Matières Économie, gestion et management ◆ sexualité Hétérosexuelle, mais la curiosité n'empêche rien – du moins, c'est ce qu'elle se dit. ◆ situation célibataire ◆ Qualités Compétitive, énergique, curieuse, joviale, souriante, patiente, affectueuse, volontaire ◆ Défauts Violente, caractérielle, volage, possessive, distraite, impulsive, profiteuse, secrète ◆ Couleur préférée  Gris de lin ◆ Boisson favorite  fanta citron ◆ Vis dans les dortoirs  oui, histoire de pouvoir rentrer tranquillement après une très très très longue soirée. ◆ Permis de conduire  Non, elle a essayé de le passer à deux reprises. Depuis, elle n’a pas envisagé de le repasser et si elle le faisait, elle n’en dirait pas un mot à ses frères histoire de garder profil bas si jamais elle échourait  encore. ◆ revenus et  métier   Profite du salaire de papa, maman et des grands-frères, mais se fait de l'argent de poche en entraînant des enfants au dojo du quartier.

◆ Issue d’une famille recomposée, elle a 10 frères et sœurs, le nombre idéal pour former une équipe de football si les derniers n’étaient pas un peu trop jeune, du haut de leurs trois ans. Parmi eux, son véritable frère est Hinata, souvent absent du fait de sa profession, mais elle fait en sorte de toujours se libérer dès qu’il revient après ses incalculables heures de vol autour du globe terrestre. Pour autant, elle chérit chaque membre de la fratrie, c’est en eux qu’elle puise sa force et son envie de vivre. ◆ Survivante du tsunami de 2011, elle a gardé beaucoup de séquelle. Outre le déclenchement de sa maladie, elle est depuis atteinte d’aquaphobie. La pluie ou la simple éclaboussure accidentelle suffit à la mettre en état de stress. Cette peur l’empêcher de sortir lorsqu’il pleut, préférant s’enfermer en sécurité dans sa chambre plutôt qu’affronter l’averse. Elle est suivie par un psychologue, mais elle doute un jour pouvoir surpasser sa phobie. C’est un traumatisme bien trop profondément ancré pour que ce praticien comprenne l’ampleur. Il faut l’avoir vécu pour comprendre qu’on ne peut en sortir indemne. Le fait qu’elle se tienne sur ces deux jambes est un miracle, ce n’est même plus une histoire de chance. ◆ Atteinte d’une maladie incurable aux origines encore imprécises, mais dont on sait que l’incident de 2011 est en lien. Elle a appris que le temps lui était compté il y a deux ans, depuis elle a drastiquement changé de comportement, et cela a commencé par un changement physique. Elle s’est débarrassée de ses trente-cinq kilos en trop et a commencé à devenir plus féminine. Sauf que la maladie la rend extrêmement vulnérable au froid étant donné que sa température interne est plus faible que la moyenne. Elle ressemble presque à un esquimau toute l’année, juste qu’en hiver, c’est pire. Sa chambre est surchauffée toute l’année et elle prend des bains brûlants. ◆ Personne n’est au courant de sa maladie (du moins qu'elle est condamnée), ni même sa famille. Elle ne sait pas comment leur annoncer. D’un côté elle ne veut pas lire sur leur visage la tristesse, d’un autre elle ne veut pas qu’ils l’apprennent par accident. Elle cherche les opportunités mais elle manque de courage, elle voudrait tellement que tout cela soit un cauchemar duquel elle peut se réveiller. Alors elle multiplie les sorties en famille, et prend les initiatives pour faire de bon souvenir. Si elle pouvait réconcilier ses frères, elle en serait ravie. Ce n’est pas parce qu’ils font semblant de s’entendre qu’elle est tombée dans le panneau. ◆  Gamine, elle était l’objet de brimade de la part de ses camarades. Cela a duré pendant un an, elle a pris sur elle et puis un jour, elle s’est simplement transformée en hulk et avec son supposé surpoids, elle les a tous écrasé comme il le fallait. Cela lui a valu des crampes à la main pour écrire ses lettres d’excuse et une semaine de travaux d’intérêt général. Si à l’époque elle se fichait de son poids, aujourd’hui elle est vigilante et va jusqu’à se forcer à vomir. ◆ Elle a fait du judo pendant onze ans, mais a renoncé à intégrer l’équipe de réserve (nationale). Personne ne sait que c’est sa condition physique qui est la principale cause de son refus, et non le simple désintérêt suite à sa défaite en demi-finale, lors de sa dernière compétition nationale. Elle a été médaillée d’or quatre fois, dix fois d’argent et dix fois de bronze. Elle a repris le judo grâce à un de ses professeurs qui lui a proposé d’enseigner aux enfants six heures par semaine. Un moyen pour se réconcilier avec la discipline tout en gagnant de l’argent de poche. ◆ Lors de son onzième anniversaire, son père lui a offert un paquet de post-it en guise de cadeau. Si au début elle lui en avait beaucoup voulu, elle a fini par en devenir amoureuse. Elle a un mur rempli de post-il (elle accroche également des photos polaroids), c’est presque son journal intime. Parce que quatre murs ne suffisent pas toujours, elle a demandé à l’un de ses frères de lui installer des panneaux muraux coulissants pour coller toujours plus de post-it de toutes les couleurs et de toutes les formes.   ◆ Elle enchaîne les coups de foudre, coups de foudre qui disparaissent  aussi rapidement qu’ils apparaissent parfois. Il suffit d’un rendez-vous, pour que les sentiments ne suivent plus, et même sans, quelques heures suffisent pour qu’elle change d’avis sur une personne. Elle n’a jamais eu de relation sérieuse, surtout depuis qu’elle a changé physiquement. Avant, c’était souvent de longue histoire d’amour à sens unique. Non pas qu’elle prend sa revanche, c’est juste qu’elle n’arrive pas à se poser car elle sait qu’une relation ne pourra jamais aboutir avec elle. Elle est le problème. Mais son indécision fait plus de dégât qu’elle ne se l’imagine. ◆ Elle passe des castings pour tenter de devenir chanteuse ou actrice, pour le moment elle n’a essuyé que des rejets mais elle persévère (elle a tenté être comédienne, mais ses blagues puent). Elle retient facilement les répliques de film, tout comme elle est complimentée pour son timbre de voix par ses amies. Néanmoins, elle manque un peu d’assurance, d’ambition et c’est certainement ce qui fait qu’elle n’est pas retenue. Si elle aime les vieilles chansons, cela ne l’empêche pas d’être une grande fan des CD. ◆ Niveau rencontre, elle a souvent la poisse ; la plupart du temps, elle rencontre des personnes bizarres. Un fétichiste qui était prêt à débourser deux cent dollars pour lui lécher les pieds un instant alors qu’elle sortait de chez le cordonnier, une vieille femme qui la siffla dans la rue pour lui demander si elle ne voulait pas se faire couper les cheveux, ou encore l’enfant qui clairement la conduisait vers un groupe d’individu très louches devant un van noir. ◆ Elle a ouvert une chaîne youtube où elle poste des covers, des reprises de chanson, ou alors des vlogs de ses voyages. Elle compte bien faire le tour du monde, tant qu'elle le peut, même contre l'avis de ses médecins qui lui préfèrent du repos.

C'est ta vie, ta story, ton destin.
«  L'homme seul est l'auteur de sa propre histoire »

Chaque jour, je me prépare à te dire adieu, avec le sourire. Je cache mon chagrin et je continue à te taquiner, alors que petit à petit je m'éloigne de toi. Chaque jour, je laisse grandir la distance entre nous, avec le sourire. Je cache mon angoisse et je continue à rire, alors que petit à petit je t'habitue à mon absence. Chaque jour, je me fais une raison à nos adieux, avec le sourire. Je cache mon égoïsme et je continue à faire comme si de rien n’était, alors que petit à petit je m'enfonce dans le silence. Chaque jour, je trouve des excuses pour repousser nos rencontres, avec le sourire. Je cache mon exaspération, alors que petit à petit je m’agace de ton ignorance. Te tromper est tellement facile que je me demande si tu te soucis réellement de moi. Alors, je finis par te détester de jour en jour. Je veux d'aussi beaux adieux que ceux que je vois dans les films ou dévore dans les romans ; entre fiction et réalité, mon humanité me ronge. Ton sourire me rend malade autant que tes silences m’obsèdent, je voudrais être forte. Forte pour te dire adieu. Adieu à nos souvenirs, adieu à mes sentiments. Adieu à toi. Toi que j'ai aimé jusqu’à tout haïr de toi. J’espère pouvoir te le dire avant que la folie me pousse à tout détruire, toi y compris, toi peut-être. Avec ou sans moi, tu sembles continuer paisiblement ta vie. Ton bonheur m'afflige et ton malheur me réjouit. Oublie-moi mais continue de souffrir. Mon corps est une mécanique brisée, mon esprit est une horloge déréglée, mes sentiments sont des bombes à retardement ; de jour en jour j’en perds le contrôle, et ma conscience sombre. Rien ne pourra plus me réveiller, ni le baiser d’un véritable amour, ni la magie de la technologie. Je suis cassée, endommagée. La fin approche et quand le dernier glas sonnera, je disparaîtrais comme l’écume sur les flots. *** Si l’écume des vagues emporte loin du rivage, nos mots laissés sur le sable, j’aurais voulu qu’elle emporte mes peines, mes souffrances et mon passé pour retourner à cette époque où l’insouciance portait mes larmes, mes rires et mes rêves. L’avenir me semblait aussi vaste que cette étendu bleue scintillante devant mes yeux, reflétant à la fois les nuages et les astres inlassablement, comme s’il me suffisait de nager pour enfin les toucher du bout du doigt, les attraper d’une étreinte, comme si terre et ciel ne faisaient plus qu’un. Et le phare au loin me suffirait à retrouver le chemin du retour, revenir sur mes pas et de nouveau sentir la terre sous mes pieds.  Je rêvais de l’océan, je l’imaginais, mais dans une ville comme Tokyo, tout est artificiel. Les étoiles ne sont plus que de grands panneaux lumineux, des néons accrochés dans le vide. La mer n’est plus qu’un fleuve aux couleurs ternes. Le phare est caché par des gratte-ciels qui semblent défier les lois de la gravité. Du haut d’un escarbot, j’ai peint mon plafond de chambre de bleu, j’ai accroché des étoiles, des poissons, des constellations. La mer et le ciel me fascinait sans raison, j’aimais la sensation de me perdre dans cette immensité. Mais, un jour, la terre a tremblé et la mer est entrée dans la ville. En une secousse, les murs se sont fissurés et d’une vague, l’eau s’est engouffrée dans le dojo. Pour la première fois, l’émerveillement s’est transformé en crainte, en peur. J’ai pensé qu’une fois l’eau retirée, je n’aurais plus qu’à fouler la terre et retourner d’où je viens. Plus que je me l’étais imaginé, la mer m’a apposé d’un sceau maudit. Tandis que je verrais les enfants prendre leur envol, je serais condamnée à les voir s’élever vers ses hautes sphères. Certains se brûleront les ailes, d’autre y renonceront, mais le chemin est long et le temps est une silencieuse amie. Amie qui m’a quitté, qui me file entre les doigts de la même façon que je ne peux retenir dans le creux de mes mains, l’eau, que je ne peux saisir l’air flottant autour de moi. Sans repère, perdue, au début de tout et de nulle part à la fois, j’erre sans savoir quel chemin poursuivre, tracer, ignorer. Je voudrais les arpenter tous, vivre ma vie comme jamais je ne l’aurais fait, quitte à me brûler, à me détruire davantage, après tout, je ne suis qu’une machine qu’on ne peut plus retaper. J’apprends à sourire, rire et à faire semblant que tout va bien. Je triche, je mens et je fuis. Je compte les jours que j’ai passé plutôt que ceux qui me restent, je vis dans l’incertitude de demain en rejetant hier, je tombe plus que je ne me relève. Écorchée, blessée, brisée, je ne prends plus la peine de me poser. Le point de non-retour est loin derrière moi. Insatisfaite, peu importe ce que je fais, mange, ou bois, rien ne semble combler ce vide en moi. Ce que je cherche au fond, c’est un sens à donner à ma vie. Plutôt que d’avancer vers la lumière, je sens le sol s’écrouler sous mes pieds je m’enfonce dans des abîmes qui me dépassent.

Code:

<span class="botinsym">▲</span> <font color="#e98ab0">Gong Seung Yeon ➦ </font> [u]»[/u] Byakuya Noa

Onii-san, y’a un hentai sur ma fiche et pas que, il me stalke/suit partout, quoique je fasse, où que je me cache. Débarasse-toi de lui, j'ai trop peur... ! J'ai l'impression qu'il me veut du mal  :0229: :0229: :0229: :0229: :-0115-: :-0115-: :-0115-: :-0115-: :-0115-: :-0115-: :0189: :0189: :0189: :0189:

Citation :

en économie-gestion, son choix a été fait lors de la journée porte ouverte, non pas que le cursus l’intéressait particulièrement, juste le professeur qui enseignait la matière.

@ Hinata ; Owiii ♥ je te fais confiance les yeux fermés onii-san, car de toute façon, tu es le meilleur du monde, de l'univers, de toutes les galaxies qui puissent exister :-0126-: :-0126-: :-0126-: :-0126-: :0252: :0252: :0252:

@ Joo-Won ; couple mais pas responsable , on connait tous la chanson. Ce n'est pas ma faute si j'ai croqué la pomme que tu m'as tendu, poussée par tes belles paroles :0268: :0187: j'attendais une meilleure déclaration


EDIT / un crétin a édité son post /
@ Shuhei ; T'es qui toi déjà ? Ton visage m'est familier mais je ne suis pas certaine d'avoir bien en tête notre dernière rencontre. Sorry not sorry.

Blblblbl. Tu sais déjà ce que j'en pense *tire la chasse d'eau*  :-0126-:  :-0141-:

@ Toru ; Huhuhu. Et ce n’est que le début voyons, chuut ! :-01-:
@ Ai ; Merci ~ ! Je ne sais pas si son humour est apprécié de tous :-0147-:
@ Sae Jin ; Non mais ça, c’est dans ses rêves ! En revanche, un lien ne se refuse absolument pas o/
@ Raijû ; oyeaah ♥ pas besoin de partager le même sang pour que Noa t’aime inconditionnellement (même si Winnie se transformait en Grizzli !) :0252: :0268: Il reste du temps avant la fin, mais prépare un bon paquet, si elle meurt dimanche, pas certain que les boutiques soient ouvertes /brique. :-0141-:
@ Yeo Jin ; *lui tend une carte* Merci, j'y compte bien :-048-:
@ Bo Gum ; Volontiers :-0126-: Tant que l’option divorce est invocable, même unilatéralement :-070-:

En tout cas, merci pour cet accueil ♥

Oow ♥ quelle pression pour écrire la suite, blblblbl. :-03-: la suite reste d'être moins poétique jolie /avion/
C'est certain qu'elles vont se comprendre sur ce point ~~ Je t'attends de pied ferme alors ! :-031-:

Ok Joo-Won a écrit:

Ma déclaration d'amour
«  Tu es la seule à mes yeux. »

Entre nous, c'est plus qu'une simple histoire de pacotille. Entre nous, c'est l'amour fou  :-0140-:

" Je t’aime une fois, je t’aime deux fois, je t’aime plus que le riz et les petits pois. "

:-031-:  :0190:

" Notre amour est comme le vent. Je ne peux pas le voir, mais je peux le sentir. "

:0251:

TIME OF MY LIFE WITH YOU  :-03-:

"L’amour est toujours passion et désintéressé.
Il n’est jamais jaloux.
L’amour n’est ni prétentieux, ni orgueilleux.
Il n’est jamais grossier, ni égoïste.
Il n’est pas colérique.
Et il n’est pas rancunier.
L’amour ne se réjouit pas de tous les péchés d’autrui.
Mais trouve sa joie dans l’infinité.
Il excuse tout.
Il croit tout.
Il espère tout.
Et endure tout.
Voila ce qu’est l’amour."

:0259:  


:-0124-:

Spoiler:

@ Haneul ; J’ai hâte d’élaborer un lien avec toi en tout cas ♥ si tu as déjà des propositions, tu sais que ma boîte à mp est ouverte o/

@ Joo-Won ; Blblblbl.  :0224:  Même si ce n’est pas toujours pas dans cette vie, tu connais mes sentiments, n’est-ce pas ? Même si je finis par blesser les tiens, tu sais qu’une part de moi reviendra. Jamais exactement sous la même forme, mais je ferais en sorte que dans cette autre vie, de panser ces plaies que j’aurais laissé.
Pour une déclaration, je ne m’attendais vraiment pas à ça.  J’ai l’impression d’avoir été trompée, arnaqué, mais agréablement.  :0252:  Tu le sais, je me répèterais pas, mais encore merci ♥ make me thrill as only you know how

@ Shuhei ; sorry not sorry, je te pensais parti avec Onii-san à l'autre bout du monde :0252:  :0252:  :0252:  :0252:  :0252:  :0252:  :0252:  :0252:  :0252:  :0252:

@ Ori ; Non mais toi et ton 666ème message (screen), je réfléchis à quel sort te réserver  :0268:  :0268:

@ Seiki ; Mais ouiii, je suis déçue de pas t’avoir vu plus tôt :-0115-:  *HUG tout de même* Tu sais bien qu’entre nous, il n’y a pas besoin de mots :-01-:

@ Roy ; T'as vu ça ? Welcome to the partyyyyyyy :-0113-: :-0148-:  Huhu, done, sir !





Fiche terminée ~ Sorry pour la suite de l'histoire :0267:
J'ai honte, je vais mourir caché pour le restant de mes jours. :0241: