tenue - minus le manteau + « Hoshi je suis tellement désolé...c'est vraiment ok si je te laisse fermer tout seul?» elle n'a pas à s'excuser auprès de toi, ça arrive à tout le monde d'avoir une urgence familiale soudaine. « oui oui! Vas! Il ne reste que quelques livres à replacer sur les étagères, rien de bien méchant. Je vais m'en sortir. » tu chasses ses soucis du revers de la main et laisse échapper un doux rire. La bibliothèque était pratiquement vide, il n'y avait plus que deux ou trois étudiants qui commençaient déjà à ramasser leurs affaires vue l'heure de fermeture qui approchait à grands pat. Après quoi tu n'auras qu'à faire une dernière ronde pour t'assurer que tu n'enfermais personne dans la salle cette nuit, fermer les lumières et verrouiller la porte. Elle n'avait pas besoin d'être présente pour ça, tu allais gérer. « tu es certain? … merci! Tu me sauves la vie! » elle exagère vraiment, sauver la vie c'est un peu fort. Enfin tu lui souris et lui réponds avec une vague de la main alors qu'elle ramasse son sac derrière le comptoirs et fait sa sortie. Il ne te restait plus qu'une vingtaine de minutes avant que l'heure de fermeture de la bibliothèque et un chariot de livres retournées à replacer à leurs emplacements initiales. Il valait mieux te bouger si tu ne voulais pas traîner sur ton lieu de travail en sur temps ce soir. « on ferme dans vingt minutes! » que tu annonças aux occupant de la bibliothèque du campus assez fort pour attirer l'attention de ceux-ci. Tu bossais ici quelques soirs par semaines pour te faire un peu d'argent, rien de bien impressionnant, mais tu aimais bien. C'était tranquille et quand il y avait des périodes douces ça te permet de lire tranquillement derrière le comptoir. Tu poussas le chariot de livres retournées dans les allées, en les replaçant un à un. Tu avais un écouteur qui pendant de ton oreille qui résonnait du girls génération ça te prenait un contrôle pour ne pas te dandiner sur la musique, cela dit tu chantonnais tout de même à voix basse. C'était inévitable. « trouble troube troube nareul no ryeosseo. neoneun shoot shoot shoot... hum hum hummm » tu n'es pas particulièrement petit, mais tu n'es pas un géant non plus, alors oui pour replacer les livres sur la rangée supérieure tu devais te relever sur le bout de tes orteils et tiré ton avant bras comme le mec élastique des quatre fantastiques et encore tu manquas tomber sur les fesses.tu te serais effondré si deux mains ne s'étaient pas posées sur tes hanches pour te stabiliser. « huh? » tu croyais que la bibliothèque aurait été vide depuis que tu avais annoncé que ça allait fermer. « merci .. » tu retournas la tête vers le bon samaritain avec un large sourire bien que celui-ci tomba rapidement pour laisser place à la surprise. Tu battis des paupières à répétition comme pour t'assurer que tu n'étais pas en train de rêver mais peut-importe le nombre de fois que tu fermais et rouvrait les yeux Tao il était toujours là.
Eodironga nareul tteonabeorin cheonsa gateun neo. I need you ♪
Tenue ► Le froid du mois de décembre menaçait les chaudes joues du garçon alors qu'il venait de quitter un des bâtiments de l'université. Le vent était presque inexistant, mais l'air ambiant avait vu une chute de sa température au cours des derniers jours. Les manteaux et les écharpes avaient refait le grand retour, on peut dire que ce n'était pas pour déplaire au Japonais. Il avait beau être né au mois de juin, sa saison préférée resté l'hiver. Le froid, la neige, les douces polaires et les chocolats chauds, toute cette atmosphère cosy incitant au rapprochement et à la tendresse. L'hiver avait quelque chose de romantique pour lui. Ce n'était pas pour rien que la fête des amoureux se déroulait en hiver n'est-ce pas ? Celui étant, il n'avait pas vraiment la tête à l'amour à l'heure actuelle. Son seul désir était de marcher le plus vite possible pour se rendre à la bibliothèque du campus avant que celle-ci ne ferme.
S'il voulait emprunter un livre pour les cours ? Non, pas plus pour sa lecture personnelle. En réalité, il tentait juste d'atteindre la bibliothèque afin d'avoir une chance de voir Hoshi avant que celui-ci ne parte. Parce qu'il savait qu'il travaillait ici, bon, ce n'était un secret pour personne, mais il aimait à se venter qu'il l'avait découvert grâce à ses propres talents d'observation. Tao n'avait pas de raison particulière pour être en présence de Hoshi, ni même de chose importante à lui dire. Mais, faut-il une raison à deux amoureux pour se voir, hormis celle de se languir de l'autre durant une longue journée de séparation ? Alors pourquoi lui faudrait-il une excuse à lui ? Tout ce qu'il pouvait dire, c'est que son petit trésor lui manquait et qu'il ne désirait qu'une chose, de pouvoir croiser son chemin pour l'étreindre tendrement.
Lorsqu'il arriva à destination, les battements de son cœur s'emballaient, à croire qu'il avait attendu un instant comme celui-ci des années durant. Comme si, le manque de la chaleur et du parfum de sa belle étoile reprenait ses droits sur son esprit, l'encerclant d'un douloureux sentiment. Il se lança alors avec la plus belle des convictions dans l'enceinte du bâtiment. Vu l'heure qu'il était, la bâtisse s'était vidé des étudiants venus travailler ou se divertir avec de la lecture. Par volonté de s'assurer de la chose, Tao fit un tour rapide entre les différentes allées de livre et autres endroits de l'édifice. C'était sans compter sur la douce mélodie qui raisonna à ses oreilles, une voix qu'il connaissait, une voix qu'il appréciait. C'était lui, sans aucun doute. Se dirigeant à l'oreille, il trouva le plus bel ange qui soit s'évertuant à replacer des bouquins en hauteur, le voyant en peine face à sa tache, le japonais se rapprocha de lui, mais à peine avait-il fait quelque pas que Hoshi commença à perdre équilibre. Il se précipita alors pour lui éviter la chute, déposant ses mains froides sur les hanches du garçon. Celui-ci prononça un merci avant de se retourner avec un sourire, sourire qui laissa bien vite à une expression de surprise sur son visage. Tao lui sourit alors à son tour « De rien ! » Glissa-t-il avant de venir serrer ses bras autour des hanches du garçon et d'approcher son visage pour le déposer sur son épaule « Tu devrais être plus prudent, je ne voudrais pas que tu te fasses du mal. » Il pencha légèrement le visage, ce qui lui conféra l'attitude la plus mignonne qui soit. Rien n'était trop beau pour faire craquer Hoshi. « Tu m'as manqué, tu sais ! »
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Ce message a été posté Sam 16 Jan - 0:25
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uyeda tao + sonoda k. hoshi
tenue - minus le manteau + à bien y réfléchir c'est sans doute la première fois que tu te retrouves complètement seul sur ton quart de travail. Pendants les heures de cours la bibliothèque est tellement achalandée que vous deviez constamment être au moins deux à trois employés pour tenir le comptoir. La plupart sont des étudiants comme toi, boursiers évidements, ce n'est certainement pas ses gosses de riches qui vont s'affairer avec un petit boulot comme celui-ci. Dans les films d'horreur c'est le moment où le maniaque ferme les lumières et se faufile à travers les étagères de bouquins pour te faire la peau. Quand le protagoniste est seule et à la merci du psychopathe. Anyway. Je m'égare. Livres à livres, tu les replaces dans les étagèrent uns à uns jusqu'à ce que l'un d'entre eux te donne du fils à retordre. C'est de ta faute en même temps, tu aurais franchement pu utiliser l'un des escabots pour atteindre l'étage la plus haute, mais il n'y en avait aucun à porter de main. Aller en chercher un dans une autre allée pour un seul livre, no no! Puis tu as eu de la chance qu'un prince sur son cheval blanc vienne te retenir avant que tu ne chutes... oui bon prince charmant... il en avait toujours l'allure. il avait l'air d'être sorti tout droit d'un compte de fée. « t..tao..» .
« oh hum, oui. je vais essayé d'être plus prudent.... » qu'est-ce que tu racontes... qu'est-ce qu'il faisait là? Tu ne l'avais pas revu depuis... quoi.. deux ans? Depuis que ses parents vous avaient surpris à partager le même lit et t'avaient traités de tous les noms et insultes blessantes imaginable. Tu ne l'avais pas revue depuis que tu t'étais enfuis pendants la nuit sans jamais revenir... tu ne l'avais pas revu depuis que tu lui avais pris le contenue de son porte-feuille... shit. Bon ça datait non, alors il ne doit plus t'en vouloir si? Tu avais un peu peur sur le coup en fait, qu'il te tabasse comme un clébard... mais ses bras t'encerclèrent avec douceur. « qu'est-ce que tu fais ici? » tu aurais voulu lutter, le repousser, mais tu n'en fis rien. Déjà parce que tu étais bien trop surprit qu'il se trouve devant toi à te coller comme il le faisait par le passé, comme si pas une seconde s'était écoulée depuis votre dernière rencontre.. mais aussi parce que tu savais pertinemment que même si tu tentais ce serais impossible de le déloger. Tao il n'accepte pas les refus. Le bout de sa chevelure venait chatouillé la peau sensible de ton cou alors que sa tête venait de se poser au creux de ton épaule. En reculant d'un pat vers l'Arrière tu te retrouvais piégé entre le blond et l'étagère. « la... la bibliothèque ferme, si tu es venu pour trouver un bouquin il faudra repasser demain.. » il n'était pas venu pour te voir, si? Lui demander franchement te semblait un peu prétentieux alors tu lui demandas autrement. Comment savait-il seulement que tu travaillais ici? Était-il un étudiant de la royal lui aussi?
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Tenue ► L'entrée chevaleresque de Tao n'avait pas vraiment eu le même effet que celui d'un prince dans les contes de fées. La princesse n'était pas tombée éperdument amoureuse de son prince. De même que la réaction de Hoshi ne semblait pas présager un quelconque baiser romantique pour remercier son sauveur. La surprise n'était-elle pas à son goût ? La réalité semblait bien décevante. Cela dit, les retrouvailles n'étaient pas vraiment des plus communes non plus. Combien d'années avait-il attendu afin de pouvoir ressentir une nouvelle fois le corps de son petit trésor contre le sien ? Deux longues années peut-être ? Son départ avait été trop précipité, il ne l'avait prévenu de rien, mais pire, il avait lui avait subtiliser de l'argent. Bien qu'il ne lui en veuille pas plus que cela a ce propos, il trouverait bien un moyen ou un autre pour que le garçon paye sa dette.
Enfin, son corps collé à celui de Hoshi, Tao était presque aux anges. Sentir tous les mouvements de sa respiration le plongeait dans les réminiscences des nuits passées. Une obsession pareille pouvait bien être dangereuse. Tao fut bien vite ôté de ses songes par cette voix qu'il aimait tant. « Hum ? » Fut sa seule réaction à l'entente de son prénom. Il observa son vis-à-vis d’aussi près qu'il le pouvait. Qu'est-ce qu'il faisait ici ? Ne lui avait-il pas dit quelques secondes plus tôt. Il lui manquait considérablement. Y'avait-il une autre explication à fournir à cela ? Il ne prit pas la peine de répondre à cette question. Non, il le comprendrait par lui-même c'était sur. Hoshi n'était pas si bête pour ne pas saisir la chose. S'il était venu pour un bouquin, non, il n'avait que faire d'un bouquin à l'heure actuelle. Ôtant son visage de son épaule, il sourit gentiment. « Je ne suis pas venu pour un bouquin. Je suis venu pour toi idiot. Je ne t'ai pas dit que tu m'avais manqué ? »
Finalement, il relâcha la pression de ses bras contre les hanches de l'autre. Dans l'espoir que celui-ci se retourne et qu'il puisse revoir son visage, l'avoir face à lui. Lui demander des explications, lui demander pourquoi il ne l'avait pas recontacté, que devait-il faire à présent. Bien que le flot de joie, dû au fait de le revoir, prît une grande place dans son esprit, des questions subsistaient. Sans savoir s'il devait les poser ou non, il se contenta d'un silence pendant un instant. Non sans garder ce sourire quasi-niais qui faisait sa popularité. Que se passerait-il dans les films à un moment pareil ? Le héros saurait forcement quoi dire, il trouverait une phrase de malade pour exprimer tout ce qu'il avait vécu pendant l'absence de l'autre. Quelque chose du genre expression de ses sentiments et tout. Mais la seule chose qu'on pouvait entendre dans le cerveau de Tao, c'était les grillons qui chantaient en résonance, dans le vide intersidérale entres ses deux oreilles. Pas qu'il ne savait pas quoi dire, loin de là, il préféré juste le faire avec ses mains. Il prit alors le visage de sa petite étoile entre ses mains et vint déposer un baiser avec douceur sur son front, puis sur la pointe de son nez.« J'ai cru que je ne te retrouverais jamais quand tu es partis. Pourquoi tu ne m'as pas dit où tu étais ? » Demanda-t-il innocemment.
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Ce message a été posté Sam 16 Jan - 2:14
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tenue - minus le manteau + tu sentais sa chaleur que dégageait son torse contre ton dos. Ses bras t'encercler doucement. Tu avalais difficilement... le souffle court et la tête qui tourne. Des tonnes de souvenirs du passé remontaient à la surface. Toutes ses nuits enlacés dans ses bras à ronronner contre son torse alors qu'il te berçait de mots doux. Tu lui manquais? Il était venu pour toi? Comment-est ce qu'il savait que tu travaillais dans cette bibliothèque? Tu ne savais même pas qu'il était dans la même ville que toi, encore moins dans la même Université. il n'était pas venu pour se procurer un bouquin ou en rapporter un, il était venu pour toi. Pour toi... parce que tu lui as manqué...qu'il t'a dit.. « comment tu as su que je travaillais ici?..»
« je.. je t'ai manqué? » tu étais surpris oui... tu sentis son étreinte se desserrer autour de tes hanches, tu te mordillais la lèvre inférieure nerveusement. Tu n'étais pas certain d'être prêt à lui faire face... lui faire face sans éclater en sanglot comme le faiblard que tu es. Mais tu te retournas doucement, laissant ton regard traîner à la hauteur de tes chaussure plus longtemps que nécessaire avant de finalement le verrouillé dans ses prunelles. Il n'avait pas beaucoup changé, aussi séduisant qu'avant, même davantage si c'est possible. Son visage n'affichait pas la moindre pointe de colère dirigée sur toi, au contraire il te souriait comme si tu étais la personne la plus merveilleuse de la terre entière. Il te rendait nerveux... trop nerveux. Ton cœur il palpitait comme si tu venais de courir un marathon. Tu avais complètement oublié la fermeture de la bibliothèque ou que tu étais précédemment presser de rentrer chez toi. Tu sentis ses doigts glisser sur la peau de ton visage, caresser ta peau du bout des doigts. Ses lèvres... les doux baisés...omg! Ton cœur il va exploser. « je... je suis désolé! » tes yeux s'étaient remplis de larmes menaçant de couler à tout moment..
la vérité c'est que tu ne voulais pas qu'il te retrouve. Ses parents ils avaient tous mis sur ton dos quand ils vous avaient surpris. Et même si au fond ce n'était pas de ta faute, tu avais tellement une basse estime de ta personne que tu y as crue. Que s'était ta faute. Que tu étais une petite putain qui avait séduit leurs fils alors qu'ils t'avaient accueils sous leurs toits. Que tu étais immorale et dégoûtant. Que tu méritais les regards de méprit qu'ils t'avaient lancé. Que tu ne méritais pas d'être aimé. Puis tu ne sais même pas si tu sais vraiment ce que c'est que l'amour. Ta conception de la chose est tellement biaisée qu'aujourd'hui tu es la personne avec la plus grande mis-conception de la chose. Ton frère il ne t'aimait pas, il avait préféré se laisser enlever par un vieux pervers, te repousser et le suivre dans sa camionnette. Tes parents ils te haïssaient carrément, ton père tellement qu'il t'avait fait prendre la place de punching bag jusqu'à ce que les services sociaux viennent s'en mêler.... et Tao... tu ne sais pas. Tu pensais qu'il t'aimait lui. Tu t'étais couvé dans son amour comme une chenille dans son cocon. Seulement quand tu es parti, que tu t'es sauvé dans la nuit comme un voleur et que tu t'es réfugié complètement brisé chez ta cousine elle t'a dit, elle t'as assuré que ce n'était pas de l'amour. Que si'il t'aimait il t'aurait défendu, qu'il ne se serait pas forcé en toi... tu ne sais vraiment pas. Tu l'avais désiré non? Tu avais gémis comme une putain damné quand il te touchait ensuite, gémis son nom encore et encore.. tu l'avais aimé non? Tu ne sais pas.
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Tenue ► Toujours collés à lui, les bras accrochés telle une ceinture à ses hanches, le Japonais ne donnait pas signe de vouloir lâcher son compagnon d'infortune de sitôt. Bien trop en joie de l'avoir retrouvé et avoir la chance d'un moment seul avec lui après autant de temps. Mais ce sentiment ne dura pas plus longtemps quand Hoshi posa une question qui le fit réagir. Il voulait savoir comment le garçon avait eu connaissance de l'endroit où il travaillait. Il fit une moue légèrement boudeuse avait pris place sur son visage pourtant souriant habituellement. Était-ce la seule chose à laquelle son petit ange pensait ? N'était-il pas heureux de le revoir comme l'était Tao ? La façon dont il avait appris qu'il travaillait là avait-elle plus d'importance que lui a ses yeux ? Pour seule réponse, Tao enfouit son visage contre la nuque de son vis-à-vis. Tout ça avant que celui-ci ne daigne lui poser une seconde question. S'il lui manquait ? Bien sûr, plus qu'il était possible de l'imaginer, n’arrêtait-il pas de lui répéter que c'était le cas, depuis que ses yeux s'étaient de nouveau posés sur lui ? « Oui, tu m'as manqué, tu ne me crois pas ? »
Finalement, le garçon se détacha de l'autre. Ne pas voir sa petite étoile se retourner immédiatement ne faisait qu'alimenter sa frustration, alimenter son envie de revoir son visage de près. De pouvoir dessiner du bout des doigts toutes les parcelles de celui-ci. Quand il se décida enfin à lui faire face, Tao ne put s'empêcher de le scruter, d'observer s'il avait changé, s'il avait ses traits c'était durcit ou s'il avait gardé ce doux visage. Lorsque l'autre daigna croiser son regard, cela intensifia sa volonté de l'avoir près de lui, de l'avoir pour lui. Il glissa alors ses mains sur le visage de Hoshi, avant d'y déposer deux baiser, un sur le front et l'autre sur la pointe de son nez. Une douceur, une façon de lui prouver que pour lui, rien avait changer. Quand, il détacha son visage de celui de son vis-à-vis, il aperçut que des larmes s'étaient accumulées au bord de ses yeux. Son cœur se serra dans sa poitrine, était-ce lui qui le faisait pleurer ? Était-ce du chagrin ? Ce devait en être, pour lui, ce fut une certitude au moment où son adorable petit ange prononça le mot désolé.
« Ne soit pas désolé, ce n'est pas grave. Je suis là maintenant. » Tao porta ensuite ses pouces au niveau des yeux du garçon, il les passa doucement sur le pourtour de ceux-ci, comme pour effacer les larmes qui s'y étaient logé. Ça n'avait plus d'importance, ils étaient réunis à présent. Il savait que ses parents lui avaient fait de la peine à cette époque, qu'ils avaient eu des mots très durs à son encontre, alors qu'il ne méritait rien de tout ça. Il savait qu'à ce moment, il aurait dû le protéger, se lever face à ses géniteurs pour leur expliquer la situation. Mais il s'était tût, ne rien faire que s'écraser face à ceux qui avaient fait fuir son petit ange. Les choses étaient différentes maintenant, ils n'étaient plus là pour lui dicter quoi faire. Ils pourraient rester ensemble à présent. C'est tout la seule chose qu'il souhaitait. Il pencha doucement son visage sur le côté et lui sourit. « Ne pleure pas, je vais être obligé de te garder avec moi sinon. » N'était-ce pas ce qu'il faisait déjà ? Peu importe, de toute façon, il était à lui. « On est censé sourire quand on retrouve quelqu'un. » Lui dit-il pour le pousser à sourire, lui qui aimait son visage lorsqu'il se faisait rayonnant. Même s'il appréciait la farandole d'expression qu'il lui avait offerte jusque-là. Même ce visage près a exploser en sanglots était beau à ses yeux. Il glissa doucement ses mains dans celle de Hoshi, entrelaçant ses doigts aux siens. « Depuis quand tu es ici ? Tu as vécu où quand tu es parti ? J’étais inquiet pour toi... »
AVENGEDINCHAINS
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Ce message a été posté Sam 16 Jan - 23:27
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uyeda tao + sonoda k. hoshi
tenue - minus le manteau + c'est la première fois dans toutes les fermetures que tu as eu à exécuter que tu te retrouves dans cette situation... tu ne sais toujours pas comment il a su que tu travaillais à la bibliothèque de l'université. Comme tu ignores toujours s'il est même un étudiant ici... enfin logiquement oui, bien qu'il n'y a pas une sécurité digne d'un aéroport, ce n'est pas non plus si facile de pénétrer l'enceinte non plus. I devait sans doute étudier à cette université. Peut-être qu'il t'avait aperçu quelque part sur le campus avant aujourd'hui. N'empêche, pourquoi il n'était pas venu à ta rencontre avant ?... encore le destin fait drôlement les choses, qu'il décide de t'approcher la soirée même ou ta collègue de travail avait dû partir avant la fermeture te laissant complètement seul avec Tao et des milliers de livres. Tu ne sais pas trop si tu es heureux de le voir en fait, tu n'as pas encore passé le choc initiale. Tu ne sais pas trop s'il a l'intention de se venger de ton départ impromptu ou du fait que quand tu sois parti tu lui as piqué ses économies... bon il vivait dans une famille pleine aux as alors tu ne l'avais pas non plus laisser à mendier dans les rues, mais quand même, tu restes hésitant sur ses motifs. Tu n'es pas non plus capable d'envisager que tu lui avais manqué... « je.. je sais pas.. » que tu balbutias en guise de réponse sentant son souffle contre la peau sensible de ta nuque.
Lorsqu'il s'était détaché de ton corps tu en avais profité pour te retourner face à lui, bien que tu ais traîné le geste hésitant à plonger ton regards dans le siens. Comme tu l'observais, comme tu suivais chacun de ses traits du regards, il scriptait ton visage du sien. Personnellement, mis à part la couleur des cheveux tu ne pense pas avoir grandement changé.. quoi que tu es un mauvais juge de toi-même... alors qui sait. Tu tressaillis d'abord en sentant ses lèvres se poser sur ton front, puis sur le bout de ton nez... tu es toujours très hésitant, comme un petit chiwawa... il était doux certes, mais vu tes expériences passé tu devais toujours douter... souvent les claques venaient peut après... tes yeux s'étaient emplis de larmes menaçant a tout moment d'humidifier tes joues... tu t'excusais... d'être parti sans lui dire où il allait aller, en prenant son argent... « Ne soit pas désolé, ce n'est pas grave. Je suis là maintenant. »
tes larmes n'eurent pas le temps de faire une longue descente que les pouces du blondinet venaient les effacer doucement. Tu ne sais pas trop quoi faire... le repousser en prétextant que tu devais fermer les lieux même si franchement qu'est-ce qu'on s'en fichait de fermer la bibliothèque, il n'y avait plus un chat dans l'établissement à part eux deux. Te laisser tomber dans ses bras pour qu'il ne te laisse plus jamais partir... depuis que tu étais parti de chez lui, tu t'étais laissé baisé par n'importe quel type qui te montrait un peu d'affection... c'est Tao qui t'avait rendu aussi facile.. en quelque sorte. Depuis votre relation tu étais complètement fuck top... et là tu avais un coup de cœur pour le seul mec dans toute cette université qui ne voulait pas t'avoir dans son lit... un bel étudiant en médecine... tu es complètement confus.. totalement perdu. Tu ne t'attendais pas à revoir Tao. Tu croyais l'avoir laissé dans le passé derrière toi... « je ne pleurs pas! » que tu te défends comme un gamin qui se défend de ne pas être fatigué alors qu'il a peine à garder les yeux ouverts. Tu devrais sourire qu'il te dit... que tu devrais sourire pendant des retrouvailles.. ton regard tomba sur tes mains qui étaient désormais prisent dans celle plus grandes du jeune homme. « j'ai transféré à l'université cette année... c'est Misa qui m'a aidé à obtenir une bourse.. je suis allé vivre chez elle avant ça..je ne savais pas ou aller d'autre... » tu restas silencieux un moment avant d'ajouter... « tu n'es pas en colère contre moi? »
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Tenue ► S'il avait connaissance de toutes les émotions qui se bousculaient en lui à l'instant présent, te demanderait-il s'il lui avait réellement manqué ? Bien sûr que non. À ne rien douter, c'était une grande vague de joie et soulagement aussi. Soulagement de voir qu'il allait bien, qu'il n'avait pas changé, qu'il était toujours le petit ange qu'il était lorsqu'il s'était rencontré. Il ne paraissait pas avoir changé, alors pourrait-il le récupérer et le garder près de lui à présent ? C'est la seule chose qu'il désirait au plus profond de lui-même. À un moment ou a un autre, il finirait sûrement par sortir ces mots qui bataillaient dans son cerveau. Mais à l'instant, il se concentra sur ces larmes qui lentement se frayais un chemin sur les joues de Hoshi. Il glissa ses pouces sur le bord de ses yeux humides afin de les effacer, de faire en sorte qu'elles ne coulent plus. Tout en lui disant qu'il ne devait pas être désolé, puis il lui demanda de ne pas pleurer. Ceux à quoi il lui répond qu'il ne pleure pas. C'est paradoxal lorsque l'on sait que des larmes s'étaient déversées sur ces douces joues quelques secondes auparavant. Avait-il toujours eu cet esprit de contradiction ? Peut importer, cette réflexion arracha un sourire sur le visage du Japonais.
Tout naturellement, Tao glissa ses doigts entres les interstices de ceux de son étoile. Pour lui, ils coïncidaient parfaitement, ses doigts avait reprit leur place initiale, ses mains jointes à celle de son vis-a-vis. Il avait l'impression qu'un vide venait de se combler, il se sentait enfin complet. Le garçon lui dit alors de sourire, que c'était quelque chose que l'on était censé faire pour des retrouvailles. Avant de poser alors une nouvelle vague de question. Sur sa présence ici, mais aussi sur l'endroit où il a vécu après avoir quitté le domicile. Il lui indiqua également son inquiétude, comme si sa présence ici ne l'expliquait pas suffisamment. Enfin, il observa le jeune homme face à lui, celui qui avait fait vibrer son cœur quelques années auparavant, mais qui aujourd'hui, n'osai apparemment pas le regarder dans les yeux. Tandis qu'un rictus de mécontentement apparut sur son visage Hoshi répondit à ses questions. Il lui apprit qu'il avait été transférer l'année même grâce à une bourse qu'il avait obtenue avec l'aide d'une Misa. Par la même, il sut qu'il avait vécu chez elle durant ce temps, ne sachant pas ou se rendre. Un silence pris ensuite place entre les deux garçons, qui fut rompu par la voix du plus jeune. Il questionna le garçon, savoir s'il était en colère contre lui.
Le blond baissa les yeux sur leur main liée, resserrant doucement ses doigts sur la main de l'autre. De la colère, il ne dirait pas cela. Plus de la déception, ses actes ne lui avaient pas plut, il lui avait causé toute sorte d'émotions négatives, mais se retrouver maintenant face à lui après deux années, c'était comme si rien n'était arrivé et toute celle-ci avait quasi-disparut. Il prit une grande inspiration, puis regarda de nouveau son petit ange. « Un peu, et un peu déçu aussi. Mais qu'est-ce que je peux dire contre toi. » Il lâcha l'une des mains du garçon pour la passer sous son menton, levant son visage afin de voir ses yeux. « Regarde-toi, comment je pourrais t'en vouloir. Je suis juste reconnaissant envers Misa d'avoir pris soin de toi, et envers qui que ce soit là-haut. » Dit-il en levant ses yeux au ciel. « Pour m'avoir donné la chance de te voir encore une fois. » Ses doigts caressèrent de nouveau les joues de Hoshi avec délicatesse. Il était avide de contact, de la sensation de sa peau sous ses doigts, mais pour le moment, il se contenterait de si peu, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus. Il fit un pas de plus pour se rapprocher du plus jeune, tout en passant son pouce sur la lèvre inférieure du garçon tandis qu'un sourire emplit d'amertume se dessina sur les siennes. « Je suis désole de tout ce qu'il s'est passé à cette époque. Je n'ai pas voulu ça. » La vérité était là, et il avait besoin de s'en excuser à présent.
AVENGEDINCHAINS
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Ce message a été posté Mer 20 Jan - 17:50
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uyeda tao + sonoda k. hoshi
tenue - minus le manteau + tu es tellement confus. Ça devait n'être qu'une soirée tranquille à vérifier qu'il n'y avait plus personne dans la bibliothèque, fermer les lumières et puis verrouiller les portes. Simple. Tu n'avais pas revu Tao depuis que tu avais quitté le domicile qui t'avait accueillis pendants quelques années en familles d'accueils pendant la nuit. Tu ne savais pas trop si tu devais te réjouir de ses retrouvailles ou les craindre. Par le passé tu lui étais complètement dépendant, complètement soumis tu t'abreuvais à son amour comme une source d'eau au milieu du désert. Tu croyais qu'il était l'amour de ta vie... tu as toujours été très naïf... Mais tu ne sais plus quoi penser aujourd'hui... on t'a affirmé que ce n'était pas ça l'amour... alors tu ne sais pas.. tu ne sais plus. Si Tao il t'a fait du mal par le passé, mais tu étais tomber amoureux de lui tous de même. Mais s'était le passé... tout ça c'est dans le passé. Tu es tellement confus... ça devait être une soirée tranquille, mais il était là. Il t'avait retrouvé. Il est devant toi et il te sourit... ce sourire... entre le blond et l'étagère, tes doigts qui étaient désormais entrelacés avec les siens.
Quand tu étais partie tu ne savais pas ou allé. Tu n'avais personne dans ce monde. Tu ne pouvais pas retourner chez tes parents, même si tu l'avais voulu, ils ne voudraient pas de toi. Ils avaient eu l'aire même soulager et horriblement satisfait quand les services sociaux t'avais dégagé de leurs pattes. Ils n'avaient plus à s'occuper de toi. Tu n'étais plus un fardeau pour eux. Tu ne connaissais pas vraiment Misa à l'époque... tu ne l'avais rencontré qu'une seule fois quand vous étiez petit. Mais tu savais que ton père il avait un frère plus âgé qui avait bien mieux réussi que lui... votre famille s'était le mouton noir.. la tâche d'encre sur la feuille blanche immaculé de ton arbre généalogique. Du coup quand tu es arrivé sur le pat de sa porte elle aurait pu te renvoyer à la rue.. ça ne t'aurait pas surprit... loin de là.. mais elle t'avait laissé entrer. Elle t'avait recueillis comme un chaton abandonné dans une boite de carton dans la rue. Ça t'avait pris un bon moment avant de lui raconter ce que tu avais vécu avant... c'est elle qui t'a dit que Tao il ne t'aimait pas comme tu le pensais, que ''s'était qu'un violeur'' qui avait ''profité'' de ton innocence. Apparemment tu ne savais pas ce que c'est que l'amour... mais voir Tao en face de toi ce soir, tu es complètement perdu... quand il te regarde comme ça, te touche comme si tu étais la personne la plus précieuse au monde tu doutes..
« Un peu, et un peu déçu aussi. Mais qu'est-ce que je peux dire contre toi. » bien sûr qu'il était en colère contre toi, tu l'avais quitté un soir brusquement sans jamais revenir... tu étais disparu comme si tu n'avais jamais été une pièce de puzzle dans son existence. Sa main vint relever ton menton te forçant à le regarder dans les yeux. Il n'y a personne là haut que tu as envie de lui dire, mais la pensé meurt dans ton silence. « je suis désolé... s'était de ma faute, je ne voulais pas te créer d'autres problèmes... » C'était ta faute parce que s'était toi qui l'avais séduit et poussé à coucher avec toi... s'était ta faute si ses parents ils s'étaient mis en colère.. ils t'auraient jeté à la rue de toute manière, tu les avais simplement devancé. « je ne pensais pas que je t'aurais manqué... » tu n'avais jamais été important pour qui que ce soit, pourquoi ça aurais été différent. Mais tu apprécies, tu aimes quand il te touche. Quand ses doigts ils caressent ta joue avec autant de douceur. Inconsciemment tu laisses ta peau épouser son touché. S'il était avide de contact, toi tu étais limite prêt a retirer tout ce que tu avais sur le dos et le laisser faire tout ce qui lui plaît de ta personne. Te donner de l'Affection comme tu en avais toujours tellement besoin. Tu tremblais carrément sous ses mains, le souffle court alors que son pouce traçait ta lèvre, ton cœur battant un peu plus rapidement. « c'était... s'était ma faute. »
Eodironga nareul tteonabeorin cheonsa gateun neo. I need you ♪
Tenue ► Les doigts de Tao avaient parcouru le visage de son petit ange, comme il l'avais fait auparavant. Tout ce contact lui avait manqué et malgré le fait qu'il désirait plus que ce simple geste, il se retenait. Cette impression que son vis-à-vis n'était pas prêt, ou que lui-même de n'était pas. Voulait-il attendre d'être sûr que Hoshi le croit ? Qu'il se rende vraiment compte qu'il lui avait manqué plus que de raison ? Il voulait également voir si le sentiment était partagé. Lui qui ne supportait pas le rejet, comment réagirait-il si l'homme qui le faisait vibrer, l'homme dont il a tant attendu les retrouvailles, lui disait simplement qu'il ne voulait pas de lui ? Sur qu'il tenterait de le regagner, de tenter de le reconquérir par tous les moyen possible. Il ne pouvait pas juste effacer ceux qui avaient vécu de toute façon. C'était impossible qu'il fasse l'impasse de sa personne alors qu'ils avaient été si proches, tellement proches. Plus qu'il ne leur était permis de l'être. Tao avait du mal à se battre avec l'envie de prendre son ange dans ses bras, de sentir son parfum de plus près, de profiter de la chaleur qui pouvait lui procurer. Il voulait revivre ces moments passés au plus vite. Mais il se contenta de remercier la jeune femme qui avait pris soin de Hoshi durant le temps où il était parti de la maison avant de lui présenter ses excuses pour la façon dont ses parents avaient traité le garçon. Ils l'avaient traité comme une catin, une tare venue profiter de la famille. Et lui n'avait rien dit, et encore aujourd'hui, il se sentait aussi coupable du départ de son petit ange.
Tandis que le japonais laissait le bout de ses doigts caresser les joues de sa petite étoile, son corps semblait répondre à ses gestes. Un sourire se dessina de nouveau sur le visage que blond alors que l'autre annonça que c'était de sa faute, ce sourire disparut de son visage aussi vite qu'il en était apparu. Comme si c'était réellement le cas. Pensait-il qu'il était responsable de tout ça ? Comment avait-il vécu les paroles des parents de Tao ? La question se posa à l'intérieur du garçon. Lui n'avait pas reçu les mots durs que ses parents avaient eus, au final, il avait vécu cela de l’extérieur, comme s'il ne faisait pas partie de ce moment, comme s'il n'était en rien responsable de tout ça. Le blond n'était pas inconnu à l'histoire, au contraire, il en était le premier coupable. C'est lui qui avait commencé à se rapprocher dangereusement de son cadet, qui l'avait couver dans un amour interdit, qui avait profiter de lui, qui l'avait fait sien. Hoshi n'était fautif que d'avoir laissé faire le garçon beaucoup trop insistant. Mais là n'était pas la question. Le garçon prit alors le visage de son petit ange entre ses mains pour le regarder dans les yeux, avec un regard exprimant une certaine détresse, bien qu'il gardât un sourire sur son visage pour le pas perdre la face devant son vis-à-vis. Il colla ensuite son front à celui de l'autre, glissant doucement. « Tu n'es fautif de rien Hoshi. »
Dans une volonté de le réconforter, de lui exprimer le fond de sa pensée, mais également parce que sa volonté s'était faite trop forte. Tao finit par prendre le garçon dans ses bras, le coinçant entre son propre corps et l'étagère derrière lui. Collant son visage contre celui de son petit trésor, il lui chuchota à l'oreille. « Arrête de dire que c'est de ta faute. Arrête de prendre tous les torts sur toi. » Sentir la chaleur, le parfum, les mouvements de sa respiration. Tout rendait Tao un peu misérable face à la situation. Bien qu'il fût parfois compliqué de paraître heureux en tout temps, il devait parfois prendre sur lui. Au moins pour le pas rendre son petit ange malheureux. Il extirpa à contrecœur son visage de celui du garçon pour le regarder, pour lui sourire. « Qui venait te voir dans ta chambre ? Hein ? C'est moi. Alors ce n'est pas de ta faute, malgré ce que mes parents ont dit. » Il reprit le visage de son vis-à-vis entre ses mains, y poussa quelques mèches de cheveux puis il embrassa doucement le coin de ses lèvres. « Ce n'est pas de ta faute. Compris ? »
HRP:
Je suis vraiment désolé pour le délai de réponse e.e
AVENGEDINCHAINS
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Ce message a été posté Lun 25 Jan - 20:58
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uyeda tao + sonoda k. hoshi
tenue - minus le manteau + tu ne savais pas trop comment réagir sous les doigts de Tao... il ne t'avait pas touché comme ça depuis très très longtemps, mais quand il te touche comme ça tu as l'impression que ce n'était qu'hier qu'il se glissait dans ton lit la nuit pour venir t'encercler de ses bras. T'offrir des centaines de baisées sur chaque parcelles de ton corps et te faire gémir son prénom dans la nuit. Tu ne sais pas si tu es prêt à te réfugier dans ses bras et réclamé son amour après toutes les blessures que cette relation t'as causée. Tu étais tellement accros à son amour que tu le laissais faire absolument tout ce qu'il voulait de toi. Encore aujourd'hui tu n'arrivais pas à le repousser te retrouvant coincé entre lui et l'étagère. Tu lui avais vraiment manqué? Tu pensais qu'il serait soulager après ton départ. Ses parents devaient l'être dans tous les cas... tu les avais devancé cette nuit là... tu savais à la lueur dans leurs regards que si tu ne partais pas de toi-même que le lendemain ils te jetteraient à la rue de toute manière. Alors, oui tu les as devancé avant qu'ils ne puissent te faire plus de mal qu'ils ne l'avaient déjà fait en te jetant tous les noms aux visages comme ton paternel l'avaient fait avant eux. Te calomnié comme un reclus, un déchet dont ils devaient se débarrasser. Tu n'étais plus qu'une catin vulgaire à leurs yeux et tu te devais de disparaître avec que tu ne tâches Tao comme la vermine que tu étais.
Même si tu voulais lutter ton corps il répond de lui-même à ses caresses, ses baisés. Tu es comme ça, dès qu'on t'offre de l'affection tu te fondsdans celle-ci comme une chatte en chaleurs avides de caresses. Puis Tao il connaît ton corps presque par cœur, même si tu tentais de lutter tu allais perdre rapidement la lutte. Tu étais déjà prêt à t'abandonner à lui, décroisant tes doigts des siens pour accrocher tes doigts à son chandail pour l'attirer un peu plus contre toi d'un geste instinctif. Si tu t'en voulais... selon toi c'est ta faute si Tao il à commencer a venir te rejoindre dans ton lit, tu es celui qui l'a séduit... c'est toi qui l'a laissé se coller contre toi sous les draps sans jamais le repousser... c'est toi qui épousait ses embrassades le cœur battant à deux-milles battement secondes, c'est toi qui gémissais sans honte quand ses mains se glissaient sur ta peau immaculé, qui gémissait sous les baisées glisser dans ton cou. Bon après votre première fois s'était Tao qui l'avait forcé, tu t'étais débattu en pleurs, mais les fois suivantes tu l'avais même chauffé pour qu'il t'en offre plus... s'était ta faute à toi. Du moins, tu en es persuadé. Tu te remis à pleurer, front contre front... « si.. c'est ma faute... je m'excuse! Je m'excuse! »
tu sentis son corps te percuter doucement et ses bras t'entourer pour mieux t'attirer contre lui. Tu étais complètement coincé entre lui et l'étagère remplis de livres cette fois. Instinctivement les doigts vinrent s'agripper dans son dos, s'agripper au tissus de son chandail. Te réfugiant au creux de son épaule et l'humidifiant de larmes du même coup. Son souffle qui chatouille ton oreille avant que ses paroles vinrent s'y loger.... comment tu pouvais affirmer autre chose... c'est ta faute non? Tu as passé les deux dernières années à te répéter ses mots... mais il t'affirmait le contraire. « je... tao-ah» tu n'eus pas le temps de rétorquer à ses mots... si il venait dans ta chambre.. mais.. tes yeux se firent rond comme deux balles de golf. Ton visage entre ses mains, ses doigts qui dégageaient une mèche volatile.. .mais surtout, ses lèvres... ses lèvres qui te donnent de l'affection. Non tu n'as pas compris, mais tu va chercher ses lèvres quand même parce que tu as besoin de réconfort. Et tu l'embrasses doucement...
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Tenue ► Les mains de Tao ne cessaient de vouloir avoir ce contact avec la peau de sa petite étoile, comme si c'était quelque chose qui lui manquait, comme si c'était vital pour elles de le toucher ainsi. Non, c'était naturel, c'est comme si la chose n'avait jamais cessé, comme si les deux années pendant lesquelles ils avaient été séparé n'avaient pas exister. Il n'était pas hésitant à poser ses mains sur son visage, à le caresser comme la chose précieuse qu'il était à ses yeux. Et le fait que Hoshi lui semble si fragile, avec cette tristesse qui l'emplissait lentement plus leurs paroles s'échanger, lui donnait une raison de plus de garder ce contact. Et avec douceur, Tao expliqua à son ange qu'il n'était pas responsable de ce qu'avaient dit ses parents, qu'il n'avait pas mérité tant de violence verbale. Il lui fit même part de sa propre culpabilité, mais son petit trésor lui donnait l'impression d'être catégorique. Il croyait dur comme fer qu'il était fautif. Le blond colla alors son front contre celui de son vis-à-vis, lui répétant une nouvelle fois qu'il n'était fautif de rien. Il voulait le convaincre de cela, il voulais que le garçon arrête de se torturer avec une telle chose, parce qu'il se torturait, c'était sûr pour le garçon, au vu des larmes qui coulait sur les joues de Hoshi. Inefficaces, son action et ses paroles s'étaient révélé inefficace, puisque le garçon lui répéta une nouvelle fois que c'était de sa faute.
Finalement, il n'écouta que la petite voix au fond de lui, celle qui criait à Tao de prendre le garçon contre lui. De le serrer comme il aurait pus le faire deux ans auparavant. De lui faire reprendre sa place initiale, celle qu'il n'aurait jamais du quitter, sa place au creux des bras du blond.. Mais, il fit cela également parce sa petite étoile en avait besoin. La chose était sur, il avait besoin de réconfort, besoin de comprendre enfin ce que Tao voulait lui dire. Le garçon profita de cette proximité pour glisser des paroles au garçon, lui dire une nouvelle fois que malgré les paroles de ses parents, que le coupable dans l'histoire ce n'était pas lui, mais le blond. Et bien que sentir les doigts du garçon s'agripper à son pull, lui avait envoyé un pincement au cœur, et que les larmes qui trempaient son épaule lui donnaient envie de le serrer le plus fort possible. Le garçon sépara son visage de l'autre, et il se mit à sourire pour le regarder. Poussant des mèches venus se caler devant le visage de son petit ange, il vint déposer une baiser au coin de ses lèvres, comme il l'aurait toujours fait, avant de lui assurer une dernière fois que ce n'était pas de sa faute.
Comme seule réponse à cela, Tao eut le droit aux lèvres de Hoshi venu se poser sur les siennes, doucement, il l'avait embrassé. Celles qu'il avait attendues, celles qu'il avait ardemment désirées. Elles étaient enfin de nouveau sur les siennes, et pas de son propre chef à lui, non. Il n'avait pas tant forcé la chose, il avait juste agi de manière naturelle. Du moins, il le pensait, alors était-ce un signe ? Le blond lâcha le visage de son vis-à-vis pour finalement glisser ses mains contre son corps, pour le garder près de lui, au plus proche possible. Son esprit était brouillé, entre de la joie, la joie de l'avoir à nouveau contre lui, l'espoir qu'il comprenne ce que Tao essaye de lui dire, l'envie, oh oui, l'envie de le faire sien une nouvelle fois, ici, maintenant. Mais pour le moment, sa seule action fut de sceller ses lèvres à celle de sa petite étoile encore une fois. Goûter à ce plaisir après autant de temps était quasi inimaginable pour lui, pourtant, il était là. Le blond décolla finalement ses lèvres de celles de son cadet, lui offrant par la même occasion un sourire, tandis que son front se posa de nouveau contre celui de son vis-à-vis. « Hoshi. » Souffla-t-il. « Tu le sais maintenant ? Que ce n'est pas de ta faute, que tu m'as manquée. Hein ? » Il déposa une pluie de baisers sur les lèvres du garçon. « Je ne veux pas t'entendre dire le contraire. S'il te plaît. »
AVENGEDINCHAINS
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Ce message a été posté Mer 24 Fév - 19:20
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uyeda tao + sonoda k. hoshi
tenue - minus le manteau + il faut qu'il cesse de te toucher comme ça. Son touché il est trop doux, trop aimant. Tu ne vas pas pouvoir lui résister très longtemps s'il continue de la sorte. La caresses de ses doigts sur ton visage, avec finesse et douceur comme si tu étais un être précieux qui risque de se fissuré et tomber en pièces à tout moment. C'est ce que tu devais dégager, une aura de faiblesse, avec tes yeux pleins de larmes menaçant de tomber comme une goutte de rosé sur une feuille d'arbre et ton petit corps tremblotant. Tu es dans les faits un petit être brisé depuis déjà bien longtemps. tu l'étais bien avant que les services sociaux te place dans la famille d'accueil, dans la famille de Tao. Avant que le blond prenne ta première fois ou que ses parents t'accuse de tous les noms avec leurs regards pleins de haine et de dégoûts. Tao essayais en vain de te convaincre que tu n'étais pas la cause de ses réprimandes, que ce n'était pas de ta faute. Mais les mots ne restent que des mots et tu n'arrives pas à le croire. Il ne fait que te dire cela pour te rassurer, mais tu sais que ce n'est que des mots. Tu es le fautif, tu le sais bien. Les larmes tremblaient le chandail du blond qui t'avait enfermer dans l'embrassade de ses bras. Tes doigts se cramponnaient au tissu de celui-ci dans son dos comme tu te serais accroché à une bouée de sauvetage dans une mer en pleine tempête. Il répétait les mots de réconfort, les mots qui t'assuraient que tu n'étais pas en faute. Peut-être qu'à force de l'entendre tu finiras par y croire. Tao s'était reculé un peu, mais tu n'arrivais pas à voir son visage clairement, ou son sourire. Tes yeux son embués de larmes et ta vision est floue derrière ce voile de tristesse. Ses doigts poussant doucement les mèches de ta frange bloquant ton joli visage... et ses lèvres...
tu ne réfléchis plus clairement. Il est tellement doux et affectueux, sa joue sur toi. Parce que ses mains sur ta peau t'embrase. Il n'aurait pas dû te toucher comme ça. Te parles avec cette voix douce comme une berceuse. Tu dires que tu lui avais cruellement manqué. Caressé ta peau avec tant de tendresse et d'affection. Tu aurais dû lui demander de partir quand l'heure de la fermeture a été passé... tu ne te serais pas retrouvé seul avec lui dans cette grande bibliothèque, à sa merci... tu ne peux plus lui résister... tu as su que tu étais pris au piège dès que ses lèvres ont effleurés le coin des tiennes. Quand il te donne de l'affection comme ça, de l'amour comme ça, tu deviens un pantin.. son patin à qui il peut faire absolument tout ce qu'il désire. Tu deviens cette vixen de désir qui en veux toujours plus, plus de mots doux, plus de caresses, plus de touché, plus de peau, plus de désir, plus de plaisir...instinctivement et peut-être même avec une pointe de désespoir tu avais posé tes lèvres sur les siennes avec une douceur infini... tes mains se cramponnaient un peu plus à lui et tu le laissais te coller contre son torse. Le goût de ses lèvres t'enchantais beaucoup trop pour ton propre bien. Tu es complètement à sa merci. Après un moment Tao mit fin au baisée en se détachant doucement de tes lèvres. Sur les lèvres du blond un sourire presque éblouissant fit son apparition. Son front se colla à sa paire se joignant comme les mains le font lors de la prière. « Tu le sais maintenant ? Que ce n'est pas de ta faute, que tu m'as manquée. Hein ? (…) Je ne veux pas t'entendre dire le contraire. S'il te plaît. » Les baisés de Tao. Il parsemait tes lèvres de ceux-ci et ton petit cœur fragile il fit une vrille. « je sais... » non tu ne le sais pas. mais les paroles de Tao te poussent avec toute sorte d'espoir et d'amour.
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Tenue ►La tournure qu'avait prise leur retrouvaille était, dans un sens, inattendue pour Tao. Il ne s’attendait pas à voir Hoshi pleurer, il ne s’attendait pas à ce qu'il doive justifier sa propre implication dans ce qu'il s'était passé deux années auparavant. Au départ, son seul désir était de revoir enfin sa petite étoile. Juste pouvoir lui parler de nouveau, renouer un vrai contact, faire en sorte que les choses soit comme avant. Il ne voulait pas que l'histoire tourne au mélo-drame. Mais à quoi s'attendait-il ? Pensait-il vraiment que son trésor allait lui sauter dans les bras en riant, et qu'ils s'envoleraient ensuite au pays des bisounours à dos de licorne ? Ce genre de pensée laisser à douter sur la vision que le blond pouvais bien avoir du monde. C'est sûr qu'être bercé dans une bulle dorée ne lui permettait pas de vivre des émotions aussi fortes que celle-ci. Il avait des parents aimants, ne manquait de rien, n'avais pas fait face à la mort de par sa propre expérience, ni même par le décès d'un de ses proches. Non, il n'avait jamais été abandonner, du moins, jusqu'au cas Hoshi. De ce fait, ce fut bien être la seule chose qui avait pu secouer le cœur et la tête du garçon. Et pourtant, il faisait face à la chose d'une manière que l'on n'aurait pas imaginée de lui. Il tentait tant bien que mal de faire preuve de retenu pour laisser du temps à Hoshi, il cachait le fond de ses pensées, dissimulé une partie de ses propres émotions pour ne pas accabler son petit trésor. Agissait-il comme un adulte à ce moment ?
Pourtant au moment où les lèvres de son vis-à-vis avait pris possession des siennes, une partie de ses résolutions était partie en fumée. Il l'avait embrassé une nouvelle fois, en retour, pour se souvenir du bien que cela pût bien lui procurer. Profiter de l'immense plaisir de ressentir l'électricité qui nous traverse lorsqu'on dépose un baiser au creux des lèvres de celui qu'on aime. Si dans le cas suivant, nous pouvons appeler ça de l'amour. Un sourire nouveau, empli d'une joie qu'il aurait crue jusque-là disparu. Puis il posa son front contre sa paire, demandant la même question qu'il répétait depuis plusieurs minutes maintenant, pour ensuite presque le supplier de ne pas répéter le contraire que ce qu'il venait de lui dire, lui offrant entre-temps une pluie de baisers. Pour son plus grand bonheur, Hoshi prononça un simple « je sais », il avait enfin compris ? De toute manière, Tao ne lui laisserait plus à penser l'inverse.
Laissant ses bras se détacher doucement du corps de sa petite étoile, il se contenta de les laisser prendre place sur ses cotes. « Bien. » Dit-il dans un souffle, tout en resserrant ses mains sur le pull de son vis-à-vis. « Hoshi.. » Il aimait tant prononcer ce nom, ces syllabes qui résonnaient comme une mélodie à ses oreilles, et bêtement, cela faisait chavirer son cœur. Bien que ce qui le ferait plus réagir, serait d'entendre son propre nom sortir de la bouche de sa petite étoile. Cependant, il n'était pas question de cela à ce moment. Tao n'avait qu'une pensée maintenant, qu'une seule envie, alors, prenant une légère inspiration, le blond glissa d'une voix douce. « Je… Je veux prendre soin de toi comme je le faisais avant. » Le garçon se pencha ensuite en avant, parcourant le peu de centimètres séparant son visage de celui de son petit trésor, il emprisonna les lèvres de son cadet entre les siennes, bien vite, il éloigna son visage. « S'il te plaît, fait en sorte de ne plus me manquer autant. D'accord ? » Souriant après ses mots, on pourrait croire qu'il ne disait cela que pour le moment, que parce que cela colle à l'ambiance, pourtant, ceux-ci exprimaient exactement le fond de sa pensée. Ce désir de ne plus être séparé de Hoshi.
AVENGEDINCHAINS
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Ce message a été posté Sam 5 Mar - 15:55
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uyeda tao + sonoda k. hoshi
tenue - minus le manteau + La soirée avait prit un développement totalement inattendu. Normalement tu aurais déjà terminé la fermeture de la bibliothèque après avoir replacer les bouquins à leur emplacement originelle et avoir fait le tour de la grande salle pour t'assurer que tu n'enfermais pas un pauvre étudiant pour la nuit. Tu aurais sans doute déjà regagné ton dortoir et peut-être recroquevillé dans le lit de ton frère jumeaux en lui racontant les souvenirs de votre enfance qu'il avait oublié. Au lieu de cela tu te retrouvais entre l'étagère et le fantôme de ton amour passé que venait de ressurgir. Tu ne croyais pas le revoir un jour et sur le coup tu étais totalement perdu. Tu ne savais pas quoi faire dans cette situation, tu es tout confus. Tu allais te noyer dans les larmes à ce rythme. Tu allais te noyer. Dans ce tourbillons d'émotions qui resurgissaient du passé, dans les remords que tu n'avais jamais oubliés. Les remords qui t'ont fait fuir la seconde famille qui t'avait accueillis chez eux et que tu avais trahis en laissant leurs fils unique partagé ton lit chaques nuits après ton arrivée. Et même si tu lui affirmais que tu savais que ce n'était pas de ta faute tu ne croyais pas en tes mots. Cette idée que tout était de ta faute était tellement encré en toi que la déloger après tout ce temps ce ne serait pas une chose facile. Pourtant, tu lui as affirmé que tu savais, principalement parce que c'est ce qu'il veut entendre tu crois.
Tu avais oublié la sensation que prodiguant ses lèvres poser sur les tiennes. Ses lèvres douces et chaudes sur les tiennes, la manière dont il possède le baisé en transformant tes jambes en gello. Ton cœur il frappe dans ta poitrine plus rapidement. Avec plus de force. Tu as besoin de réconfort, tu as besoin d'amour et Tao, il peut t'offrir ce dont tu as besoin. Comme un petit chaton en manque d'affection, tu te mets à ronronner sous ses mains dès qu'il t'en offre. tes lèvres finissent pas se détacher de leur paire et ses mains se resserrent davantage sur toi. Une prison doré. Tu es le petit oiseau blesser enfermé dans la cage doré de ses bras. Tu n'as pas envie de t'en échapper. Ton prénom échappe ses lèvres et tu l'observes avec un peu d'appréhension pour être tout à fait honnête. « Je… Je veux prendre soin de toi comme je le faisais avant. » Prendre soin de toi. Qu'est-ce qu'il veut dire par là? Il veut que tu lui reviennes? Il veut ton corps? Il veut pourvoir venir dormir avec toi comme il le faisait lorsque vous habitiez sous le même toit? Tu ne comprends pas la demande et c'est visible dans ton regard remplis de confusion. « qu..qu'est-ce que tu veux dire?» le blond se penche vers toi et prend possession de tes lèvres à nouveau et tu te laisses faire... tu aimes comment il t'embrasse. « S'il te plaît, fait en sorte de ne plus me manquer autant. D'accord ? » tu es un bon garçon, alors tu aquièsses à sa demande timidement. « d'accord..»
Eodironga nareul tteonabeorin cheonsa gateun neo. I need you ♪
Tenue ►Tao venait tout juste de prononcer cette phrase, une phrase qui avait tellement de sens pour lui. Cette phrase qui démontrait plus ou moins sa volonté de reproduire les gestes du passé. Ces gestes qui lui avaient fait tant de bien pendant un moment. Passer du temps avec Hoshi, un peu innocemment , insouciamment. Tout comme avant. Il venait de lui dire une partie de sa volonté profonde pourtant, ce qu'il vu en retour, sur le visage de sa petite étoile, fut de la confusion. N'avait-il pas compris ou le garçon voulait en venir ? Ne désirait-il pas la même chose au fond ? Alors quand l'autre lui demanda ce qu'il voulait dire, une légère vague de tristesse traversa le regard du garçon. Chose qu'il dissimula bien vite en embrassant une nouvelle fois son cadet. Ce contact lui faisait plus de bien qu'il ne le devrait. Comme de la morphine, ça l'apaisait, mais comme l'endorphine, ça l’excitait, tout cela était confus pour lui-même, mais il savait qu'il voulait que ça dure encore. Avant de prendre le courage nécessaire pour répondre à la question de son cadet, le garçon lui demanda de faire en sorte que celui-ci ne lui manque plus. Demande vaine, qu'est-ce que sa petite étoile pouvait bien faire contre ça ? Un moment ou à un autre, ils devront se séparer et le manque sera toujours présent, peut importer ce que l'autre voudra bien faire.
Enfin, lorsque son petit ange prononça son accord, le garçon ferma les yeux, laissant un fin sourire se dessiner sur ses lèvres. Il souffla un instant, il fallait expliquer à Hoshi ce qu'il entendait par prendre soin de lui désormais. La chose n'allait pas être aisée vu le passé commun des garçons, mais surtout la façon dont cela avait pris fin. C'était à ce moment-là qu'il aurait dû prendre soin de lui. Le blond serra encore plus ses mains sur le pull du plus jeune, avant de relever le regarde vers celui-ci. « Je veux juste qu'on soit de nouveau tous les deux, passer du temps avec toi, qu'on se retrouve le soir. » Il s’arrêta, cherchait-il les mots ? Où trouvait-il que son discours n'avait pas lieu d'être ? Il avait perdu Hoshi deux ans auparavant, avait-il fait les efforts nécessaires pour le retrouver ? Était-il en mesure de faire cette demande a présent ? Au fond, cela avait-il vraiment de l'importance ? Hoshi était à lui, c'était son ange à lui. Il ne faisait que récupérer ce qui lui était dû, n'est-ce pas ? Sans dire la chose de but en blanc, ce n'était pas convenable, il plissa le nez un instant puis, ancra son regard plein de détermination dans celui de sa petite étoile. « Je veux faire comme si on ne s'était pas quitté il y a deux ans. » Il fit quelques pas en avant, collant le dos de son cadet contre l'étagère, ce qui fit chuter un livre. Il ne fuirait pas, plus maintenant, il ne lui en laisserait plus la possibilité. « Je veux t'aimer comme avant Hoshi, parce que tu es à moi. Non ? » Il fit un doux sourire au garçon.
AVENGEDINCHAINS
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Ce message a été posté Sam 2 Avr - 19:05
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uyeda tao + sonoda k. hoshi
tenue - minus le manteau + Tao il désire que vous soyez ensemble à nouveau, il veut passer du temps en ta compagnie... que vous vous retrouviez.. le soir... tu rougis instantanément à ses paroles. Ta main serres le tissu de son chandail fermement à ses mots, ton cœur s'affolant dans ta poitrine. Tu sens les picotements de désirs pétiller au creux de ton estomac. Tu te mordilles instinctivement la lèvre inférieure pour retenir un petit gémissement qui te trahie néanmoins. Tu le désirs tellement. Il doit s'en rendre compte, ton regard c'est automatiquement voilé de désir. Tao il était dans le passé. Deux ans s'étaient écoulés depuis que tu es disparu de sa vie.. mais s'il est là devant toi, à te regarder de la sorte, tu replonges où tu étais, huit saisons au-par avant. Complètement à sa merci. Complètement dépendant de sa personne. Foutu syndrome de Stockholm... enfin on t'as dit que s'était ça... mais ça te semble réel. Trop réel. Ce sentiment ne peut pas être une illusion pas vrai?
Mais quand il te touche comme ça, quand il te cage dans ses bras de cette manière. Ton cœur il tambourine dans ta poitrine tellement fort que tu en perds tes moyens. Lorsque ses lèvres effleurent les tiennes, quand il t'embrasse comme ça ses souvenirs que tu avais enfouis dans le passé te reviennes l'un après l'autre. s'il murmures ses mots à ton oreille, chatouillant l'arche de ton lobe comme ça... c'est tellement difficile de résister. Tous les souvenirs que vous avez partagés, toutes ses nuits avec ses bras enlacé autour de ton petit corps frêles où il parsemait des centaines de baisées sur ta nuque te reviennent en mémoire. Ses nuits de plaisir sans fin, ses mains sur ton corps brûlant de désirs, sa peau contre la tienne.. tous ses souvenirs brûlants te reviennent en mémoire. Il semblait si loin ce temps où tu n'avais que lui à qui t'accrocher, mais s'il te désire de la sorte, s'il a besoin de toi dans sa vie, comment tu peux lui résister?tu te sens faiblir aussitôt. Quand il te dit que tu lui appartiens. Tu ne devrais pas sentir ton cœur faire un bon dans ta poitrine à ses mots, mais il bondit comme il n'as jamais bondit avant. ses paroles te rappelle ce passé qui te semble désormais pas si lointain où tu n'étais qu'à lui. Où tu n'appartenais qu'à lui. Il t'a fait du mal par le passé et tu lui en as fait en le quittant dans les ténèbres de la nuit. Tu l'as blessé davantage en l'abandonnant... il était devenu histoire du passé en un claquement de porte. Mais s'il veut toujours de toi. Si son cœur te réclame toujours, comment tu peux lui résister? Quand il te plaque contre l'étagère comme ça, quand il t'emprisonne dans ses bras pour t'empêcher de fuir à nouveau... Tao et toi s'était il y a si longtemps, mais ses sentiments oubliés te reviennent comme ça. « si... je suis à toi. » ta voix est faible et tremblotante, mais elle est claire comme l'eau de source.
Eodironga nareul tteonabeorin cheonsa gateun neo. I need you ♪
Tenue ►Emprisonné entre le corps de Tao et l'étagère, Hoshi ne pouvait pas fuir, jamais. Tao ne lui permettrait plus de partir de la sorte. Et même s'il se décider à disparaître à nouveau, le garçon le retrouverait à coup sûr. Il ne voulait plus se défiler, ses parents n'étaient plus là pour diriger sa vie, du moins, ils ne pouvaient plus lui dire de ne pas chercher à retrouver le garçon comme ils l'avaient fait deux ans auparavant. Aujourd'hui, il voulait récupérer ce qui lui appartenait, il voulait qu'Hoshi reprenne sa place à ses côtés. C'est pour cette raison qu'il était ici, à exercer une sorte de pression sur son cadet. Ou tout du moins, à essayer de lui faire comprendre qu'il le désirait pour lui. Qu'il souhaitait que ce qu'il s'était passé ne soit plus que de l'histoire ancienne. Que sa seule volonté était de pouvoir prendre sa main et ne plus la lâcher. Le blond se faisait plus pressant, comme s'il réclamer ce qu'il lui était dû. Et d'une manière ou d'une autre, il reconquérait sa petite étoile. Alors, il lui avait dit. Il avait dit à son petit ange qu'il était à lui, tout cela en osant demander confirmation au garçon. S'il s’attendait à une réponse positive ? Non pas vraiment. Il pensait que Hoshi lui résisterait un peu, surtout après être partie comme il l'avais fait il y a deux ans. Il aurait pensé qu'il le rejetterait et que la tache serait plus difficile, qu'il aurait dû user d'autre chose pour le faire craquer. Cependant, à sa plus grande surprise, son cadet avait approuvé ses dires. Quel bien cela lui fut de savoir qu'il n'avait pas perdu le garçon.
De joie, de satisfaction, ou de n'importe quel autre mot pour exprimer la façon dont il se sentait actuellement, il souriait. Il avait l'impression que les choses allaient rentrer dans l'ordre naturellement. Qu'il pourrait de nouveau être proche de son petit ange comme il l'était avant. Doucement, il colla un peu plus son corps à celui du plus jeune. « Tout à fait. Tu es à moi. » D'une manière un peu plus brutale, il prit les lèvres de son vis-à-vis. Son désir pour le garçon s'était fait plus fort, moins soutenable. Il n'arriverait sûrement pas à le garder pour lui. Sa propre retenu ne lui permettrait plus de le faire bien longtemps. Glissant ses lèvres de la bouche de sa petite étoile à sa mâchoire, ensuite dans son cou, il lui susurra. « Je ne te laisserais plus partir maintenant. Tu le sais ça ? » Attrapant avec douceur la fine peau du cou de Hoshi, il la mordilla légèrement, de façon à ne pas lui faire de mal. Il voulait juste lui laisser une marque, la sienne. Celle qui empêcherait peut-être d'autre personne de s'approcher de sa propriété, de son petit ange à lui.
Une fois chose faite, il s'écarta du cou de son vis-à-vis pour en admirer son œuvre. Il passe son pouce dessus presque avec fierté. Désormais, il voulait juste que Hoshi soit sien. Cela faisait trop longtemps qu'il n'avait senti l'odeur de sa peau, la douceur de celle-ci, l'euphorie que le contact de celle-ci pouvait bien lui procurer. Le simple toucher de ses mains n'était plus suffisant. Devait-il céder à ses pulsions ? Il ne voulait pas effrayer cet amour qu'il venait seulement de retrouver. Ses mains reprirent place sur les hanches du plus jeune, glissant ses pouces sous le pull de celui-ci, juste pour ressentir un peu de cette peau délicate. « Tu es prêt à ce que je ne te lâche plus ? »
AVENGEDINCHAINS
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Ce message a été posté Dim 3 Avr - 18:29
you're definitely trouble
uyeda tao + sonoda k. hoshi
tenue - minus le manteau + à cette heure normalement tu aurais déjà terminé la fermeture de la bibliothèque et verrouillé les portes. au lieu de ça tu te retrouves collé contre l'étagère, quelques malheureux livres jonchant sur le sol, qui ont chuter sous le choc de ton dos percutant celle-ci. Les yeux voilés de luxures et d'envie sous les paroles possessives et dictatrice du blond. Tu devrais lui résister de toutes tes forces, chercher à échapper à son emprise, car tu sais très bien ou cela va vous mener. Tao il est extrêmement possessif et égoïste. S'il veut que tu sois à lui il ne te laissera pas le quitter à nouveau. Il va prendre ce qui lui est du et étant de nature docile, tu vas te soumettre à sa volonté et le laisser faire ce qu'il désire de toi même si tu peux te retrouver blesser dans le processus. Mais il t'aime plus qu'aucun autre homme puisse t'aimer. Dieu sait que tu as ce besoin d'affection, d'amour et d'attention comme un petit chiot abandonné. À quoi bon lui résister si en bout de ligne le résultat sera le même. Tu vas lui tomber dans les bras de toute manière, tu le sais pertinemment. Tu lui appartiens. Aujourd'hui, personne ne peut t'enlever à lui.
Tu sens son corps se coller au tiens, l'épousant parfaitement. Tu te retrouves piégé entre Tao et l'étagère de bouquins, incapable de fuir le moment présent. Quoi que, à cet instant, tu ne veux être nulle part d'autre. « Tout à fait. Tu es à moi. » tu te soumets à ses paroles. Deviens sa possession si c'est ce qu'il veut de toi. Ses lèvres pèsent durement sur les tiennes, peut-être un peu brutalement, mais tu sens sous ceux-ci son désir pour toi et ça t'enflamme complètement. Ce n'est pas la première fois qu'il est brusque avec toi. For god sake, avec tous les mauvais traitements que tu as subis par le passé, de la main de ton frère d'accueil, de ton paternel ou de tous les autres salopards qui ont pris ce qu'il voulait de toi, que Tao soit un peu impulsif et fougueux t'émoustille comme pas possible. Tu réponds à son baiser hardent et lui offrant tout de toi. Des frissons font leurs apparitions sur ta peau d'ivoire sous le passage de ses lèvres qui glissent sur celle-ci. La pointe de ses dents marquant la peau fragile de ton cou. Te marquant possessivement sien aux yeux des autres. Tu te consumes et entre tes lèvres roses gonflées sous les ardents baisées, s'échappent les miaulements fiévreux que tu laisses s'évader sans honte. Il te dit que tu ne pourras plus le quitter désormais et tu acquiesces en mordillant ta lèvre au goût de bubble gum. « je n'irais nulle part si tu me gardes près de toi.» Les flammes montent, battent autour de toi. Il glisse sa main sous ton pull et tu sens tes phéromones s'activer. la façon dont il te touche t'embrase complètement, fait tambouriner ton cœur dans ta poitrine, te coupe le souffle. Tu laisses tes paumes glisser sur son torse, faisant glisser sa veste de ses épaules vers le sol de la bibliothèque. « Fais-moi tien ce soir,et pour toujours. »
Eodironga nareul tteonabeorin cheonsa gateun neo. I need you ♪
Tenue ►Ses mots démontrés à quel point, il voulait assouvir cette envie de possession, à quel point son cadet était désormais pris dans le labyrinthe qu'étaient les sentiments de Tao. Il lui appartiendrait aussi longtemps que le blond le voudrait. Autant dire que la date serait la plus lointaine possible pour le garçon. Puisque dès qu'il en aurait fait entièrement sien, une nouvelle fois, il ne le lâcherait plus. Alors de manière un peu brutale, il lui prouva sa volonté de le reconquérir. Et tout en se dirigeant vers la vallée que son cou lui offrait, il prononça ce qu'il comptait faire, ou plutôt ce qu'il ne comptait pas faire. Appliquant une légère ecchymose sur la peau laiteuse de sa petite étoile. Cette marque que Tao avait fièrement apposée sur la peau de son cadet. Elle montrait à quiconque la verrait que Hoshi était sien. Pour lui, ce n'était que la suite logique de leur histoire. La chose avait été bien plus aisée qu'il ne l'aurait imaginé. Cependant, il en appréciait que plus le dénouement, d'autant plus lorsque son cadet fait preuve de cette docilité. Celle-ci qui aurait tendance à le rendre désireux de se montrer plus entreprenant, peut-être même de faire sortir de lui un côté despote bien caché. Les mains du plus jeune se glissent alors le long du torse du blond, repoussant de cette manière la veste devenu presque gênante, tandis que lui-même, avide de cette peau crème y passa d'abord les pouces sous le sweat de son vis-à-vis.
Les mots de son cadet sonnaient dans sa tête, comme pour briser les dernières barrières qu'il s'était lui-même imposer. Ce garde-fou l'empêchant de faire le geste de trop. Faire tomber ce qui lui restait de retenu, lui faire perdre tout bon sens. Son regard s'était-il fait concupiscent à présent ? Pourquoi à l'instant, Hoshi lui semblait dégageant la sensualité par tous les pores ? Se débarrassant définitivement de cette veste devenue de trop, il empoigna brusquement les hanches du plus jeune. La seule chose qu'il souhaiter maintenant, c'était de dépouiller son petit ange de ces morceaux de tissu lui permettant de garder une certaine décence. Encore un mot du garçon, juste un mot ou même un souffle trop sensuel et toute bienséance quittera inéluctablement l'endroit. Toutes les vertus que l'on peut trouver dans les livres présents au sein de cette bibliothèque se verront à jamais souillées par la luxure.
Glissant son genou entre les deux jambes de sa petite étoile, Tao se pencha à hauteur de l'oreille de son cadet. Entendait-il à quel point son cœur battait à tout rompre ? Sentait-il à quel point sa chaleur corporelle avait augmenté ? Il était responsable de tous ces changements, il lui faudrait prendre ses responsabilités à un moment. L'endroit était sûrement mal choisi, alors retrouvant les dernières miettes de sa propre retenue, il chuchota à l'oreille de son compagnon. « Ne dis rien, s'il te plaît. » Sa voix pleine de supplique sonnait pourtant d'une manière presque érotique, il poursuivit. « Je ne pourrais plus me retenir sinon. » Le constat était fait, la prochaine réaction que pourra avoir le plus jeune décidera de la suite des événements, décidera de s'il se verra la victuaille du blond ou si ce moment se verra reculer.
AVENGEDINCHAINS
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Ce message a été posté Lun 4 Avr - 2:07
you're definitely trouble
uyeda tao + sonoda k. hoshi
tenue - minus le manteau +Tao il est incroyablement possessif, plus petit il devait garder jalousement ses jouets préférés pour que personne d'autre que lui ne lestouche. Quand tu as fait ton apparition dans sa vie tu es devenue sa possession favorite. Tu lui appartiens depuis le premier jour ou tu as passé la porte de chez lui. Tu te souviens comment il t'avait couvert de compliments, te disant que tu étais son ange tombé du ciel, sa petite étoile envoyé que pour lui. Tu venais d'une famille peu aimante, un père qui te maltraitant et te battais comme un clébard et une mère qui t'ignorait complètement. Tu ne connaissais pas l'amour. On ne t'en avait jamais donné depuis le kidnapping de ton jumeau et lorsque Tao t'avais offert tant d'affection, tu étais tombé dans ses bras sans hésiter. Il te donnait tout cet amour que tu avais rêvé d'avoir. Après que tu l'ais quitté dans la nuit tu l'avais chassé de ton esprit. Ta cousine à qui t'étais confié ne comprenait pas votre connexion. Elle l'avait traiter de violeur et de profiteur.. mais maintenant que tu te retrouves à nouveau dans ses bras tu sais que c'est plus compliqué que ça. Il pouvait faire ce qu'il voulait de toi, s'était son droit parce que tu lui appartiens. Parce qu'il t'aime plus que personne ne pourra jamais t'aimer.
Tao il semble près a arracher chaque morceau de vêtement recouvrant ta peau d'ivoire et posséder ton petit corps complètement. Ses vêtements qui brûlaient ta peau. Tu voulais qu'il te déballe comme si tu étais le cadeau de noël sous le sapin qu'il avait tant espéré déballer. Tes paupières à moiter close, voilé de désir et de désir pour le plus vieux, tes lèves légèrement entrouverts laissant échapper ses miaulements sensuelles. Tu veux son affection, tu désires ses mains sur ton corps, tu veux qu'il te fasse siens complètement à nouveau. Il avait complètement réveillé ta libido en glissant ses mains sur toi, en laissant ses lèvres possédés ta peau frêles, en s'appropriant tes lèvres roses. Une marque violacé fit son apparition sur ta gorge montrant à tous ceux qui pourront l'apercevoir que tu es la propriété du jeune homme. Que tu lui appartiens. Tu veux qu'il te prenne contre l'étagère, qu'il te souille de sa passion. Ton appétit sexuelle à toujours été très élevé depuis que le jeune homme avait volé ta première fois et quelques mots doux et caresses sont tout ce qu'il faut pour te chauffer comme pas possible. Ton souffle se casse lorsque tu sens son genou venir se glisser entre te cuisse te faisant couiné sensuellement. Tu te sens déjà durcir dans ton caleçon tranquillement. S'il ne se met pas à te toucher plus intimement rapidement tu vas te mettre a pleurnicher, le supplie de te baiser contre l'étagère remplis de livres. Tu sais qu'il en as autant envie que toi, tu sens son corps émané cette chaleur grimpante qui te fait perdre la tête. Tu es sans doute le pire bibliothécaire de l'histoire de rps, mais tu n'arrives pas à penser clairement. Ton cerveau bouillonne de désir. Tu sens son souffle chaud au creux de ton oreille et tu te mets a gémir comme une putain en manque. Sa voix était grave, rauques, pleine de désirs. Seulement le son de sa voix transformes tes jambes en spaghettis, s'il ne te tenais pas tu t'effondrais sans doute au sol. Tu passes ta langue au goût de cerise sur ta lèvre inférieure et laisse une main glisser sur sa braguette épousant les formes de sa virilité. « baise-moi Tao-shi, s'il-te-plait! J'ai besoin de te sentir en moi, j'ai besoin que tu me fasses complètement tiens! » que tu gémis contre son torse d'une voix tellement sensuelle qui te couverait sans doute de honte si tu n'étais pas autant en chaleur.
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