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 C'est Sho, ça brûle! Qu'on me pardonne cet humour des bons jours. | Sho

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Anonymous
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Ce message a été posté Mar 1 Déc - 22:39
Scénario Inventé
Nom  Kobayashi
Prénom(s) Sho
âge 24
Date de naissance 03.11.1991
Ville de naissance near tokyo
origine japonais
groupe étudiants
année 5ième
Section éco/gestion
Matière(s) économie & gestion
sexualité misexuel
situation hakuna matata
Qualités souriant • ouvert d’esprit • social • honnête (un peu trop?) • volontaire
Défauts distrait • feignant • extraverti • gauche • un peu trop pressé
Couleur préférée  turquoise
Boisson favorite citronnade
Vis dans les dortoirs oui
Permis de conduire  oui
revenus et/ou métier   revenus moyens, papa et maman
dors principalement sur le ventre
a en horreur les grésillements
adore les mets salés
ne supporte pas la vue du sang
 aime décider des choses à pile ou face lorsqu’il est indécis
a toujours rêvé de s’acheter une guitar, sans jamais le faire
passerait sa vie à manger s’il ne fallait pas sortir
supporte très bien le froid
déteste rester sans rien faire
parle souvent trop vite et s’emmêle les pinceaux
a du mal à garder les choses pour lui, bien qu’il aimerait
se vexe facilement si on s’attaque à son comportement
>
a toujours  souhaité devenir un homme comme son grand père

C'est ta vie, ta story, ton destin.
«  L'homme seul est l'auteur de sa propre histoire »
— Mes doigts se serrent sur la robe de kaasan alors que je regarde le corps de papy de mes grands yeux noisette. Il est parti, ils ont dit. Il est parti au ciel et il ne reviendra pas, mais je n’ai pas envie qu’il reste au ciel, parce que j’ai encore besoin de papy, moi. Papy il a toujours été là pour moi et maintenant, il est plus là. Je comprends pas, parce que je le vois encore, là, et j’ai envie de le toucher pour lui dire au revoir, mais je peux pas. Ils veulent pas que je m’approche de papy, pourtant je suis sûr qu’il va se réveiller si je le touche. D’habitude, ça fonctionne tout le temps, il ouvre les yeux et il me regarde en souriant avant de dire que je l’ai réveillé. Qu’il dormait bien. Peut-être qu’il a besoin de dormir maintenant. En plus, il a l’air d’avoir froid.

Silencieux, l’enfant laissa son regard se promener sur la pièce où se trouvaient bien trop d’adultes pour qu’il puisse donner tous leurs prénoms. Il n’avait que quatre ans, son grand-père avait entamé le plus long sommeil de son existence et, même s’il essayait de comprendre, il ne parvenait pas à saisir qu’il ne se réveillerait plus jamais. Il avait passé son enfance chez lui, avec lui, à écouter les histoires qu’il lui racontait lorsqu’une soudaine terreur le prenait alors qu’il essayait de s’endormir, et il était bien trop jeune pour réaliser que cet homme, qui avait pendant si longtemps été à ses côtés pour l’aider à grandir, n’allait plus jamais lui sourire, si ce n’était dans ses rêves où la famille était encore unie et heureuse. Il fallait que papy se réveille, mais il ne voulait pas. Maman ne voulait pas qu’il l’approche pour le toucher, pour lui dire de se réveiller. Il savait pourtant que ça fonctionnerait. Et cette interdiction le rendait triste, parce qu’il voyait que papy ne se réveillerait pas.

Son grand-père était mort d’un cancer. Quelque chose qu’il ne connaissait pas, qu’il aurait encore moins comprise si on avait essayé de lui expliquer. Dans son monde, tout allait bien. C’était un monde de petit garçon comme les autres, le petit garçon d’une famille aimante qui avait toujours fait de son mieux pour qu’il soit heureux, souriant, mais il perdait quelque fois ce sourire, lorsqu’il réalisait que son grand-père dormait encore, qu’il n’était toujours pas revenu à la maison pour lui dire bonjour. Un jour, peut-être allait-il arriver et lui dire qu’il avait assez dormi, qu’ils allaient pouvoir jouer à nouveau, parler, qu’il allait pouvoir grimper sur son dos et tendre les bras en prétendant qu’il était un avion. Mais ce jour semblait ne pas vouloir arriver.

« Kaasan, Papy, il va bien ? »
« Bien sûr, mon chéri, pourquoi ? »
« Ça fait longtemps qu’on l’a pas vu. Je veux le voir. »

— Maman a promis qu’on irait voir papy dans trois dodos. Alors je vais faire trois dodos très vite, parce papy me manque. Ça fait longtemps qu’il est plus là. Je crois qu’il a assez dormi maintenant. Je veux qu’il revienne à la maison, toosan et kaasan crient trop avec les autres et je sais pas pourquoi. Ça fait beaucoup trop de jours qu’il est plus là et il me manque beaucoup. J’ai peur qu’il se soit réveillé et qu’il se soit perdu après. Parce qu’après avoir dormi longtemps, parfois, je sais pas où je suis, moi. Peut-être qu’il faut que j’aille le chercher.

Tout était calme dans la longue allée de pierres dressées. Le petit garçon voyait toutes les inscriptions, mais ne les comprenait pas. Il faisait froid, très froid, mais ce n’était pas seulement l’air qui lui donnait cette sensation ; quelque chose, au fond de lui, semblait froid également, alors qu’il regardait les blocs qui s’élevaient partout autour de lui et de sa mère. « Kaasan, on va où ? » Avait-il demandé timidement, accroché à la main de sa mère, alors qu’ils traversaient les lieux. Elle avait répondu qu’ils allaient chez papy, mais papy ne vivait pas dehors dans un endroit où il faisait froid et mouillé comme ici. Alors il ne comprenait pas.

Il avait reconnu le nom de papy sur la pierre devant laquelle ils s’étaient arrêtés, puis avait levé les yeux vers sa mère sans comprendre ce qu’il se passait. Papy vivait dans une pierre, maintenant ? Ses sourcils s’étaient froncés alors qu’il essayait de faire le puzzle en regardant le bloc devant lequel ils se trouvaient, puis il avait levé les yeux vers le visage de sa mère pour lui poser une question. Il voulait savoir où était papy, il voulait comprendre. « Kaasan, papy il dort pour toujours ? » avait-il demandé de sa voix aiguë et un peu triste. «Kaasan, pourquoi tu pleures ? »

— Kaasan pleure toujours quand on parle de papy. Je crois qu’elle est triste parce qu’il se réveillera pas. En plus, j’ai entendu Tata dire que papy reviendrait plus, que le petit devait savoir. D’habitude, elle parle de moi quand elle dit le papy. Kaasan dit qu’il faut rien me dire parce que je vais être triste et qu’elle veut pas que je sois triste, mais moi je serai pas triste. Papy il était toujours content et, quand je serai grand, je veux devenir comme lui. Et je veux que Kaasan soit contente aussi. Papy il m’a toujours dit que kaasan était plus belle avec un sourire.

Il avait compris. Papy était parti pour de bon, il ne reviendrait jamais. Sa tante avait employé le mot « mort » pour expliquer ce qu’il s’était passé. Il l’avait entendu alors qu’il voulait aller chiper des bonbons dans la boîte que maman rangeait dans l’armoire qu’ils étaient allés chercher chez papy. Il s’était arrêté près du chambrant de la porte et y avait laissé du sucre comme il en avait plein les doigts, puis il était reparti en courant lorsqu’il avait tout entendu et qu’il avait compris. Il était triste, mais il n’oubliait pas ce que son grand père lui avait dit, parce que c’était plus important que savoir qu’il était parti. En plus, papy lui avait souvent dit qu’il serait encore là, même lorsqu’il ne le verrait plus. Il espérait que papy ne l’avait pas vu piquer les bonbons, sinon il lui dirait que ce n’était pas sa faute ; ils étaient trop bons.

— Demain, je vais à la grande école. Kaasan m’a acheté un joli sac verni pour que je mette toutes mes affaires dedans. Elle m’a dit que j’allais pouvoir apprendre des choses intéressantes et compliquées. J’ai peur que ça soit compliqué, mais je suis content d’aller à l’école. C’est quelque chose que j’aime bien, car il paraît qu’il y aura d’autres enfants de mon âge, encore plus qu’avant. J’espère qu’ils seront gentils avec moi. Ça me permettra d’oublier que tout le monde crie à la maison. Mais avant d’aller à l’école, j’ai demandé à maman pour aller voir papy. Je vais toujours voir papy.

Cela faisait environ trois ans que papy était mort. Il allait rentrer à la grande école, maintenant. Il allait apprendre à faire du calcul et à écrire des choses sans se tromper, parce que c’était important. Il avait acheté son cartable rouge pour mettre ses affaires et l’avait fièrement rempli avant de s’habiller comme un grand. Avant de partir, maman l’avait arrêté et avait remis son t-shirt à l’endroit avant de faire ses lacets. Il n’y arrivait jamais, même s’il essayait. C’était trop compliqué de faire un nœud et de tout fermer comme ça. Il avait l’impression qu’il fallait toujours que tout soit compliqué. Mais ils n’avaient pas le temps de traîner : il fallait aller à l’école et ne pas trop être en retard, sinon la maîtresse allait être fâchée. Maman devait avoir raison. Il se demandait un peu si la maîtresse allait ressembler à sa mère.

À l’heure de rentrer à la maison, il s’était accroché à la jambe de la maîtresse pour ne pas repartir. Il aimait bien l’école, il trouvait ça chouette. Il avait envie de rester là-bas et continuer à faire des choses. Maman lui avait dit qu’il retournerait le lendemain, mais il avait peur que l’école ait disparu, que ça ne soit pas vrai. Heureusement pour lui, l’école avait recommencé quand il y était allé, et il était plus content que jamais. En plus, il s’était fait des amis et il pouvait jouer dans la cour avec eux. Ça lui rappelait un peu papy, quand il n’était pas mort. Il pouvait rigoler avec eux et il imitait l’avion. En plus, un des petits garçons s’appelait Hiroki, comme son papy. Ça lui faisait bizarre, mais il l’aimait bien.

— Haha a dit qu’elle avait une surprise pour moi. Moi, j’aime pas les surprises, parce que parfois ça fait un peu peur et que j’ai pas envie de recevoir quelque chose que j’aime pas. Elle m’a dit que je le voulais vraiment, mais je dois attendre jusqu’à minuit, quand ça sera Noël. Elle m’a dit qu’à ce moment-là je pourrai savoir ce qu’elle veut m’annoncer. Je veux pas attendre jusque minuit, même si j’aime pas les surprises, parce qu’à minuit c’est le moment où on ouvre les cadeaux. Je sais pas si la surprise c’est un cadeau.

Et il avait attendu sagement, frottant ses mains devant le radiateur alors que ses parents discutaient autour de la table garnie de dizaines de plats plus différents les uns que les autres. Ils avaient pensé à mettre des bonbons pour lui, et du chocolat aussi, mais il n’y avait presque pas touché. Peut-être qu’il n’aimait plus ? Maman n’en avait pas mangé beaucoup, elle non plus, alors qu’elle aimait ça d’habitude. C’était peut-être parce qu’elle avait grossi ? Il ne savait pas. Quand les aiguilles s’étaient rencontrées sur le douzième tiret, le garçon de huit ans s’était levé pour rejoindre l’endroit où se trouvaient ses parents, pressé de découvrir enfin ce qu’on n’avait pas voulu lui révéler un peu plus tôt. C’est alors qu’il avait appris que, d’ici quelques temps, il ne serait plus seul, il aurait une petite sœur. Il avait sauté de joie en l’apprenant ; il l’avait toujours demandé. C’était un très beau cadeau de Noël. Quand Hiroki lui avait parlé de cadette, il s’était toujours demandé ce que ça faisait d’être un grand frère, d’avoir quelqu’un sur qui veiller, quelqu’un qu’il pourrait prendre sur son dos pour faire l’avion, un jour ou l’autre. Souriant comme jamais, il avait ouvert ses autres cadeaux, adoptant directement la peluche en forme de lapin que lui avait offert sa mère, puis il était allé dormir, épuisé, sans oublier d’éteindre une bougie presque consumée qu’il allumait chaque année avant le repas de Noël, comme si son grand-père était avec eux.

— Ils m’ont dit que je pouvais choisir son prénom, mais ils n’ont pas voulu que je l’appelle Dana. J’aimais bien Dana. Du coup, j’ai décidé qu’on l’appellerait Mirai, parce que c’est joli aussi et que maintenant je sais l’écrire, comme un grand. J’ai peut-être que neuf ans, mais je suis sûr que je serai un bon grand frère comme il faut. J’ai même demandé à maman si je pouvais acheter une peluche pour Mirai, j’ai vu un nounours tout gros et tout mignon avec plein de poils tout doux. J’aime bien les peluches, elles me rassurent quand j’ai peur. Mon lapin s’appelle Hiroki maintenant.

Quand on lui avait demandé de choisir le prénom de sa petite sœur, il était très heureux. Ils avaient mis longtemps à se décider, mais ils avaient finalement choisi. Dès qu’il avait vu le visage de la petite fille, il avait voulu la protéger et faire de son mieux pour qu’elle soit tout le temps heureuse, comme sa maman et son papa, maintenant qu’ils étaient plus calmes et qu’ils ne se disputaient plus. Il fallait qu’ils restent tous ensemble, tout le temps, et qu’ils soient une belle famille, comme celle de ses amis, même si papy n’était plus là. Papy voulait qu’il protège les autres, surtout les gens qu’il aimait, et il avait décidé qu’il le ferait.  C’était plus important que tout le reste, même qu’avoir des bonnes notes à l’école. Sa maîtresse l’avait d’ailleurs réprimandé parce qu’il n’avait pas écouté lors de la dernière leçon et qu’il n’avait pas réussi à faire un exercice. Ce n’était pas de sa faute si les hommes qui travaillaient dehors avaient attiré son attention. Il était toujours occupé à écouter les choses qui se passaient autour plutôt que le cours.

— Maman m’a dit que l’on n’irait pas voir grand-père cette année-ci. Elle est trop occupée par le travail et tatie doit s’occuper de Mirai et moi pour quelques jours. Je ne sais pas pourquoi personne n’a envie d’aller voir papy. Il fait partie de la famille, non ? Elle n’a pas acheté de bougies pour Noël. Mais ce n’est pas grave, je sais qu’il était là quand même.

Ses parents travaillaient beaucoup, il avait l’impression que son père était de plus en plus absent, et le petit garçon de dix ans faisait tout son possible pour être là pour sa petite sœur, même si elle avait l’air un peu fragile. Il l’écoutait beaucoup, jouait avec elle comme tous les grands frères, il lui racontait même des histoires, maintenant qu’il savait lire un peu mieux, et elle avait l’air de beaucoup aimer qu’il reste près d’elle jusqu’à ce qu’elle s’endorme. Petit à petit, il s’éveillait au monde qui l’entourait, sortait de chez lui pour aller chez Hiroki qui n’habitait pas loin, et ils jouaient à la console pendant un moment avant de rentrer à la maison. Il allait avoir onze ans d’ici quelques temps, il allait devenir un grand garçon, et il voulait absolument que son entourage voie à quel point il avait grandi, maintenant. Il espérait juste que sa mère ne serait plus triste maintenant, car il l’avait entendue se disputer avec son père, une fois encore, et il n’avait pas compris pourquoi. Visiblement, il s’était passé quelque chose. Il devait y réfléchir, encore, même si ça semblait compliqué. Il ne savait pas qui était Nanako. Peut-être qu’il comprendrait s’il essayait de poser la question, mais il préférait attendre que maman arrête de pleurer. De toute façon, elle pleurait beaucoup depuis quelques temps, et il avait l’impression de ne rien pouvoir faire pour la calmer, puisque même appeler papa ne suffisait plus.

— Maman a été appelée par mon institutrice aujourd’hui. Elle n’était pas contente parce que je n’écoute pas à l’école et que mes notes ne sont pas bonnes. Il paraît que je ne « ferai pas long feu » au collège si je continue comme ça. Ça me met en colère parce que j’essaie de comprendre ce qu’il se passe à la maison, que j’y réfléchis beaucoup pendant les cours et que personne ne m’explique. Maman continue de bouder papa et je les ai entendus parler de se séparer, mais je ne sais pas s’ils vont vraiment le faire. Mirai commence à devenir plus grande maintenant. Je me rappelle que j’avais son âge lorsque papy est parti. Je suis un peu triste qu’elle ne l’ai pas connu, mais j’aime beaucoup lui raconter comment il était. Je passe beaucoup de temps avec elle pour éviter qu’elle entende papa et maman crier.

Quelques semaines plus tard, la mère de famille quittait la maison en abandonnant son fils aux bras du père. Ils s’étaient disputés une énième fois, les choses n’allaient plus, et comme il était le plus âgé des deux enfants, ils avaient décidé, au prix de nombreux débats, qu’il serait celui qui resterait auprès de leur géniteur. Sans savoir où partaient sa mère et sa petite sœur, le jeune garçon avait d’abord refusé d’adresser la parole à son père pendant plusieurs semaines, mais avait fini par se résigner en voyant que cela faisait beaucoup de peine au plus âgé. Il lui avait expliqué qu’il ne connaissait pas de Nanako, et que même si sa maman lui avait dit qu’elle l’avait vu avec une autre femme, ce n’était pas vrai. En vérité, il n’avait jamais entendu une telle chose de la bouche de sa mère, mais il avait compris que son père disait la vérité lorsqu’il avait vu les larmes rouler sur les joues de son père. Il ne pouvait pas le laisser comme ça. Son papa devait aller mieux. Il n’avait peut-être que douze ans, mais il avait compris beaucoup de choses. Même si tout devenait de plus en plus compliqué pour lui et que, suite au départ de sa mère et de sa petite sœur, il avait beaucoup de mal à gérer son émotion, et qu’il préférait garder pour lui ce qu’il avait sur le cœur.

En remontant se coucher, ce soir-là, il avait regardé Hiroki et l’avait rangé dans un placard. Il était temps qu’il devienne plus adulte, maintenant. Qu’il fasse quelque chose pour ne pas décevoir son père. Il n’était plus le petit garçon qu’il avait été dans son enfance. Il avait douze ans. Il devait devenir grand, maintenant, et arrêter de faire n’importe quoi. Il n’avait plus envie de jouer avec des peluches. Les peluches, c’était pour les bébés.

— Papa m’a disputé parce que j’ai eu une mauvaise note en japonais. Je n’ai pas voulu répondre à une question alors qu’on m’interrogeait. En vérité, j’étais trop occupé à regarder les filles qui avaient cours de gym dans la cour, mais je n’ai pas eu envie de lui dire. En même temps, il ne me comprend pas. J’ai l’impression qu’il refuse tout ce que je dis et qu’il passe son temps à se lamenter sur le départ de maman et Mirai. Si elle est partie, c’est la vie. Grand-père n’aurait pas voulu qu’il pleure comme ça, même si c’était triste. Papy ne pleurait jamais après la mort de ma grand-mère, pas même une fois. Il était toujours joyeux, je m’en rappelle. Je n’ai jamais connu ma grand-mère, mais on me l’a expliqué. Il m’a dit que mamy s’était endormie, mais qu’elle n’avait pas besoin d’être réveillée, c’est tout.

Debout devant la tombe de son grand-père, il avait fermé les yeux pendant quelques secondes, puis envoyé quelques pensées à celui qui lui manquait tant. Il se demandait si, de là-haut, son grand-père les regardait encore, s’il avait honte d’eux, s’il était fier de lui. Il avait toujours donné son avis sur tout et, quelque part, il se demandait s’il n’aurait pas du faire pareil. À son âge, il avait beaucoup de mal à rester silencieux lorsque son père commençait à lui reprocher des choses qu’il n’avait pas faites, lorsqu’il devait accepter que l’on ne l’écoute pas alors qu’il disait la vérité. Peut-être qu’il devait faire le même.

— Hiroki déménage dans une semaine. Il paraît qu’il a déjà trouvé une nouvelle école, mais j’ai peur qu’il m’oublie, même s’il restera en contact avec moi. Je sais qu’il va avoir d’autres camarades et qu’il aura un autre meilleur ami, mais j’ose espérer qu’on le restera quand même. J’ai peur de me retrouver tout seul à nouveau.

Quand on lui avait annoncé la nouvelle, c’est avec tristesse qu’il l’avait accueillie. Son meilleur ami de toujours allait l’abandonner et partir à l’aventure dans une autre ville, avec d’autres gens, et peut-être qu’ils ne seraient plus jamais aussi proches qu’ils l’avaient été. Il ne s’inquiétait pas, car il avait tous les moyens du monde pour rester en contact avec lui, mais il savait surtout que cela ne serait plus jamais pareil. En plus, il avait besoin de son amitié, maintenant plus que jamais, parce que son père était toujours en colère, qu’il buvait beaucoup, et qu’il avait du mal à garder le sourire dans de telles conditions. Il faisait des efforts pour le comprendre, mais ils finissaient souvent par hausser le ton, par crier alors que ce n’était pas nécessaire, surtout lorsqu’il avait de mauvaises notes. Mais il n’avait pas la littérature, il n’aimait pas les sciences, il n’avait pas envie d’écouter et, surtout, il était distrait. Ce n’était pas de sa faute s’il réfléchissait toujours de trop, à trop de choses. Il aurait peut-être du arrêter l’école.

Pourtant, il continuait à y aller, tous les jours, à passer ses examens même s’il n’obtenait pas toujours les meilleures notes, et il espérait vraiment qu’il parviendrait à réussir, d’une façon ou d’une autre. Il était doué pour les mathématiques et s’intéressait beaucoup à tout ça. Il aidait son père avec les factures, il l’empêchait d’oublier les choses à cause de l’alcool. Bientôt, il allait devoir choisir vers quoi se tourner dans le futur. Il choisirait les mathématiques, quelque chose qui y ressemblait. C’était ce pourquoi il était le meilleur, ou en tout cas le moins mauvais.

J’ai seize ans aujourd’hui. J’ai décidé de m’orienter vers les mathématiques, mais j’ignore toujours ce que je vais faire après le lycée. Ils nous ont dit de commencer à y réfléchir parce que c’était important, parce qu’il fallait passer un concours pour ce genre de choses, mais j’ignore quoi faire exactement. J’ai demandé à Mizuki de m’expliquer un exercice que je ne comprends pas bien. J’espère qu’elle comprend mieux que moi.

Il s’était dirigé vers l’option scientifique même s’il n’avait pas de véritable intérêt pour la physique et la biologie. Doucement, il s’était tissé des relations, s’était rapproché des autres, participait aux activités sportives et festives de son établissement avec une grande motivation, même s’il rechignait parfois à faire les choses jusqu’au bout. Il était un peu maladroit lorsqu’il fallait servir les autres, il n’était pas vraiment doué pour retenir les tâches à effectuer, mais il y mettait du sien et faisait de son mieux pour ne pas être un obstacle pour les autres. Dans sa classe, on lui donnait souvent le titre du blagueur, le bout-en-train, la personne qui passait son temps à faire sourire les autres même s’il était triste. En vérité, il trouvait toujours une blague à faire, même si elle n’était pas très drôle. L’important était qu’il essaie de faire rires les autres, peu importe le prix. Il aimait beaucoup cette classe, mais ce n’était pas la seule chose qu’il portait dans son cœur.

Il y avait également Mizuki, cette fille qu’il avait aimée dès son arrivée, bien qu’elle ait l’air un peu différente des autres. Elle était intelligente, belle, et il en était tombé amoureux. Cela ne faisait que quelques mois qu’ils étaient ensemble, mais il espérait vraiment que cela allait durer. Il n’avait encore jamais été véritablement amoureux, mais c’était juste incroyable à ses yeux et, même si elle était un peu bizarre par moments, il ne lui en voulait pas. En fait, il ne lui en voulait jamais pour rien, mais elle lui en voulait souvent. Il ne comprenait pas pourquoi elle n’aimait pas qu’il traine avec tous les autres alors qu’elle restait chez elle à étudier. Elle n’aimait pas qu’il complimente les autres et qu’il soit toujours où elle n’était pas. Mais il ne comprenait pas pourquoi. À ses yeux, c’était normal.

— J’ai décidé de devenir économiste. Quand je l’ai dit à mon père, il m’a ri au nez. Il n’a pas l’air de comprendre à quel point c’est important pour moi. En fait, je ne sais même pas pourquoi j’ai décidé de m’intéresser à tout ça, si ce n’est parce que ces notions sont partout à l’heure actuelle. Tout est déterminé par l’économie, absolument tout. Et savoir que certaines décisions sont prises en fonction des habitudes des gens m’amuse encore plus. Je sais que ça ne sera pas facile, que mon père m’a ri au nez quand je lui ai dit que je comptais étudier cette matière, comme si j’étais incapable de le faire, mais je vais y arriver. Au pire, je pourrai devenir patron d’une boîte, un jour, avec la gestion ? Je ne sais pas, mais je ne changerai pas d’avis. Promis. Même si j’ai du mal à tenir mes résolutions.

Mizuki l’avait quitté après deux ans de relation. Il avait eu du mal à comprendre pourquoi, mais il commençait à se demander si les femmes n’avaient pas du mal à se décider lorsqu’il s’agissait de leurs sentiments. Il n’avait pas envie de se prendre la tête à ce sujet, de toute façon ; il préférait vivre sa vie comme elle avait commencé, sans y réfléchir trop souvent, juste pour avancer et faire ces études auxquelles il avait tant réfléchi. Il allait devoir travailler, il allait avoir du mal à certains moments, mais il parviendrait à obtenir un diplôme au bout du compte. Il avait confiance, un peu trop peut-être, et son opinion restait rarement secrète pour les autres. Il passait beaucoup de temps avec les autres étudiants de sa classe, l’année touchant à sa fin, et il espérait vraiment garder de bons souvenirs de ses années de lycée. Ils allaient tous lui manquer. L’année suivante, il partirait pour Tokyo. Une véritable aventure qu’il était prêt à mener, s’il le fallait. Tokyo avait toujours eu un côté impressionnant à ses yeux, mais l’idée d’aller étudier dans une université réputée l’était encore plus. Il espérait s’y faire une place facilement, même s’il n’avait pas trop peur à ce niveau. Il savait qu’il était suffisamment sociable pour ça.

— Je suis fatigué. J’ai faim. J’ai soif. Je comprends pas pourquoi mes camarades sont aussi lourds, parfois. J’ai déjà du mal à suivre les cours, ils pourraient au moins arrêter de se plaindre tout le temps et écouter ce que les professeurs disent. Je crois que je vais en baffer plus d’un s’ils continuent à manquer de respect aux autres comme ça. Bon, j’admets être moi-même en train de râler, mais parfois il le faut, non ? J’ai manqué une partie du cours maintenant…

Les autres le fatiguaient un peu. Il aimait beaucoup l’université, passait du temps à étudier et à écouter les cours, mais il avait parfois la flemme d’y aller. Il préférait rester au dortoir, à faire n’importe quoi, à voir les autres étudiants, et il avait quelques habitudes qu’on aurait pu lui reprocher, comme celle de donner un peu trop facilement son avis lorsque les gens étaient pénibles. C’était le cas de cette fille de sa classe qui, au lieu de réaliser ses travaux, passait son temps à se plaindre qu’il y en avait trop, que le professeur expliquait mal ou qu’il était toujours tard quand elle terminait de bosser. Ce n’était pas de sa faute. Il n’avait pas envie de les entendre se plaindre alors qu’il avait autant de difficultés, qu’il essayait de faire travailler tout le mon ensemble. Il se demandait parfois s’ils étaient vraiment passionnés par leurs cours. Lorsque les examens arrivaient, il passait beaucoup de temps à étudier, il devait faire beaucoup d’efforts pour avancer, et il n’hésitait pas à remercier les autres lorsqu’ils l’aidaient. Ils étaient tous dans le même bateau, alors il n’avait pas envie de laisser les autres baisser les bras, mais il fallait parfois arrêter d’espérer pour ceux qui passaient leur temps à geindre.  Son grand-père lui aurait dit de continuer ainsi. Il le savait. Son grand-père devait être fier de lui à l’heure qu’il était. Sans doute pour que jamais.

Plus que quelques années. Je serai bientôt diplômé, mais j’ai peur de ne pas savoir quoi faire après. Je crois que je devrais continuer à étudier après, essayer de faire un plus haut niveau, quelque chose comme ça ? Aucune idée. En vérité, je crois que je me prends la tête pour rien. J’ai raté mes examens l’année passée, j’ai du redoubler, mais j’imagine que c’est parce que j’ai été trop peu regardant à ce que je faisais. Je n’ai pas osé le dire à mon père. Ah, et j’ai repris contact avec maman. Elle m’a dit qu’elle allait bien. Mirai a vraiment grandi, je ne l’avais plus vue depuis tellement longtemps. Je crois que si je donne le meilleur de moi-même, tout ira pour le mieux. Je l’espère vraiment.

Rater son année avait été la plus grande difficulté à laquelle il avait du faire face. Il avait peiné à se reprendre, avait failli abandonner et, maintenant qu’il avait les même cours que l’an précédent, il passait beaucoup de temps à tourner en rond et à attendre que les choses se passent. Il ne travaillait peut-être pas assez ? Ou alors il ne comprenait pas ? Si ça tombe, c’était juste les professeurs qui s’en moquaient. Il était encore en première année, mais il allait finir par y arriver. En fait, les possibilités étaient nombreuses, mais il n’avait pas envie d’aller jusqu’au bout de ce qu’il faisait. S’il avait beaucoup travaillé pour réussir l’an passé et avait finalement raté, ce n’était pas forcément utile de faire autant d’efforts cette année-ci. Pourtant, il devait continuer.

Au lieu de se morfondre inutilement sur l’échec qu’il avait provoqué, l’étudiant avait préféré se divertir comme il le pouvait, en fréquentant les autres élèves, les associations étudiantes et tous les événements qu’organisait la faculté. Il n’avait pas envie de s’enfermer dans une bulle sous prétexte qu’il avait manqué son coup, qu’il était incapable de passer au-dessus de cette année de cours et, finalement, il avait réussi à se remotiver. Il avait recommencé à étudier sérieusement, avait demandé conseil aux autres étudiants et, au lieu de se plaindre de leurs lamentations, avait recommencé à les aider comme il l’aurait fait plus jeune. Il savait que ce n’était pas son rôle, mais il se disait que, peut-être, il parviendrait à arranger les choses pour tout le monde s’il y mettait un peu du sien. Les efforts payaient toujours, de toute façon, et il avait été heureux de constater, à la fin de l’année, qu’il avait eu raison. Lorsqu’il avait vu son nom sur la liste des étudiants qui avaient réussi, il avait été plus heureux que jamais, plus sûr qu’il pourrait un jour obtenir le diplôme après lequel il courait. Il espérait juste que le chemin resterait aussi paisible qu’il ne l’avait été jusque-là, même s’il avait bien compris que la vie n’était pas aussi tranquille qu’elle pouvait le sembler.


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Ce message a été posté Mar 1 Déc - 22:41
    :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238:

    petite armée de petits coeurs rien que pr twa +_+

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 1 Déc - 22:59
minseok ♥
Bienvenue - rebienvenue même je crois xDDD
Bon courage pour la suite de ta fiche ! ♥

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 1 Déc - 23:00
ton avatar il est canon tsé ♥️ of course
exo powaaa! tu me gardera un lien avec un de mes perso gniaaa :0238:
bienvenue à toi :0238: bonne chance pour ta fifiche! :0238:

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 1 Déc - 23:01
Re-Welcome :-049-:
Et bien je vois que tu as finis ta fiche donc je te souhaite un bon courage pour ta validation et rejoins nous au plus vite :-040-:

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 1 Déc - 23:10
Je lirais ta fiche plus tard ♥️ but rebienvenuuuuuuuuuuuue sweetie :0188:

T'es beau comme ça aussi !!! :-078-: :-014-: :-092-:

amuse-toi bien avec ce persooo et on aura des liens aussi :-03-: parce qu'on le vaut bien et puis c'est tout \o/

Anonymous
Invité
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Ce message a été posté Mar 1 Déc - 23:17
Re à toi coquinou ♥♥♥♥

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 1 Déc - 23:27
Rebienvenue :-0141-:
Amuse toi bien avec ce perso !

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 1 Déc - 23:53
Merci à vouuuuuuus :0238: :0238: :0238: :0238: :0238: :0238:

Yagyu Berry
Yagyu Berry
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Pseudo : calimena ✧ messages : 3375 Yen (¥) : 2814 Avatar : lee jihoon - woozi {seventeen} DCs : C'est Sho, ça brûle! Qu'on me pardonne cet humour des bons jours. | Sho Tumblr_plwcntTBV51utactko5_400
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C'est Sho, ça brûle! Qu'on me pardonne cet humour des bons jours. | Sho Tumblr_plwcntTBV51utactko6_400 Age : 24 y.o Date de naissance : 12/11/1994 Astrologie : born ♏ {scorpion} × 狗 {chien} « quiconque combat des monstres doit s'assurer qu'il ne devient pas lui-même un monstre, car, lorsque tu regardes au fond de l'abîme, l'abîme aussi regarde au fond de toi. » Métier : ancien dealer et trafiquant d'organe. officiellement, serveur dans un café. Année : quatrième année Résidant à : minato, dans un taudis merdique. & dans le dortoir V Notes : C'est Sho, ça brûle! Qu'on me pardonne cet humour des bons jours. | Sho Tumblr_plwcntTBV51utactko4_400
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trouver des nouveaux pigeons à plumer, je dois être le meilleur dealer de Tokyo. retrouver mon demi-frère et me venger de son connard d'père. pulvériser ces débiles qui critiquent ma taille, même si je dois garder une image innocente. ne pas me faire découvrir pendant la nuit, sinon je serais grillé! Faire comprendre au gens que je ne suis pas un collégien, sans pour autant dévoiler mon identité parmi les Bakuto. mon porte monnaie, ma peluche préférée, mes portes clés & mon téléphone ( rip )

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donner une leçon à phoenix cacher le tatouage de mon ancien clan (entre les omoplates) -même s'il est effacé au laser et barré d'une cicatrice-, et celui du nouveau aussi ( sur l'aîne ) retrouver mes contacts pour refaire mon nouveau répertoire téléphonique je pratique plusieurs arts martiaux. attaque: karaté, kung-fu & taekwondo × défense: penchak-silat, judo et aïkido × tueur: okichitaw et kapu ku'ialua. est actuellement blond, sisi. ah non, gris mauve. brun, châtain, blond vénitien, j'sais plus trop. convaincre Jiro que tout va bien, je m'en sors dans mes magouilles.
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changer de rêve et devenir médecin légiste comprendre pourquoi j'éprouve autant envers phoenix le fuir en attendant enterrer jirô vivant, parce qu'il est plus lucide que moi sur les sentiments et qu'il m'agace reprendre une vie normale maintenant que je ne suis plus un bakuto bosser sérieusement mon année être un bon externe à l'hosto
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will you berry me (pres') dance with the devil (lien) tell me something i don't know (rp) call me baby (phone) follow me (twitter) question please (ask)

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Ce message a été posté Mar 1 Déc - 23:53
avant toute chose, je te déteste toi et tes 5000 mots è______________________é
si il y avait un système de point, je t'aurai mit -5024 points! /OUT/
plus sérieusement, j'ai failli verser ma larme pour le début avec le papy ;; mais sinon tout est bon :0238:
rebienvenue surtout! & bon jeu avec ce nouveau personnage :-0158-:

Hey te voilà validé mon enfant!
Bienvenue sur Royal Private Schools te voilà validé! Surtout amuse toi parmi nous sans te prendre la tête! Et maintenant que tu as fait le plus "chiant" participe au forum pour des moments agréable, foufous et funny garantit! =3 Voici quelques trucs qu'il te faudra faire rapidement pour être totalement complet! Déjà première chose remplir ton profil (très important!), ta fiche de relation et ta fiche de rps (obligatoire bien sûr), ton Espace multimédia (Facultatif, si tu en demande un il faut le remplir!) , Une chambre à Royal (Facultatif, mais fortement conseillé! Pour les étudiants et lycéens qui veulent avoir des colocataires surprise o/). Pense à faire ta demande de club a te Recenser et a demander un rp . N'hésite pas à faire un tour dans le bon coin pour trouver des liens importants ou en chercher. Le flood! t'ouvres également ses portes, alors rejoint nous~~♥️ Puis n'hésite pas à faire le tour du forum et nous dire si tu as des questions.

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