■ Hyôga a une façon de s'exprimer assez personnelle qui n'est pas toujours comprise par son entourage.  ■ D'ailleurs sans vraiment savoir pourquoi il n'a pas un accent des natifs de Tokyo, quand il s'énerve ou parle vite il roule les lettres, essayer de ne pas rire! Même si les gens trouvent ça mignon en général... ■ Il tombe "facilement" amoureux, mais l'adrenaline sentimentale retombe généralement aussitôt, donc ça ne dure jamais longtemps. ■Il fait du BMX depuis qu'il a 10 ans et est passé pro à l'adolescence, il est spécialisé dans le freestyle, dangereux, mais tellement excitant! ■  Il aime trainer sur internet et surtout sur les forums de conversation autour de ce sport qu'il pratique, depuis quelque temps déjà il parle avec un gars, "Yuki" , il ressens une attirance incontrôlable qui ne devrait pas exister, c'est un piège, c'est sûr! ■ on pseudo sur internet c'est Atlas, le prénom de son cheval. ■ Son cheval vit à l'écurie de ses parents, mais c'est lui le seul a s'en occuper! ■ Il devait avoir quinze ans quand il a eu son accident, deux semaines dans le coma et trois mois a l'hôpital, pourtant ça ne l'a pas empêché de remonter sur son bmx dès qu'il fut guéri. ■ Il étudie à la royal depuis la primaire. ■ Il a déjà travaillé dans une ferme pendant des vacances quand il était plus jeune, son père disait que ça l'aiderait à grandir... C'est sur courir après des cochons ça fait mûrir.  ■ Il n'aime pas les personne pessimiste ou qui détourne la vérité. ■ Sa mère voulait avoir un second enfant, une fille, mais ils n'ont jamais réussi à faire cet enfant, quelle tristesse... #tousse#. ■ Il va au cinéma juste pour se goinfrer de popcorn et faire du bruit faisant chier les autres, un vrai emmerdeur quand il s'y met.  ■ l n'aime pas les parie, mais s'il devait parier il n'hésiterait pas et mettrait tout son argent sur son cheval, un coureur de génie occasionnel, il est certain qu'il ferait mieux que toutes ces pauvres bêtes forcées d'entrer dans des boxes et d’obéir aveuglément aux jockeys.  ■  Il aime les motifs en cœur. Quoi? Ce n'est pas masculin? ET ALORS?  ■ Il adore cuisiner, ce mec c'est une meuf des fois... ■ Il a un comportement digne des Occidentaux, il est plutôt perverti et très à l'aise avec la nudité, si on rajoute qu'il a un accent complètement différent des Tokyoïte on pourrait presque en déduire qu'il a été adopter, c'est sûr.  ■ Il sort souvent, salle d'arcade, fast-food, magasins, il aime trainer un peu partout. ■ Il a des cicatrices suite à ses nombreuses chutes. ■ Il fait réviser son bmx par d'autres pros une fois par mois, par précaution, c'est son outil de travail après tout! ■ Il s'est déjà fait passer pour une fille sur internet juste pour piéger un mec trop chiant. ■ Hyôga aimerait bien partir en Camargue un jour pour voir les chevaux sauvages. ■ Il déteste les perroquets, c'est inutile ces choses-là. "Bonjour" -> "Bonjour" OK, wow, clap-clap.

Mon enfance fut plutôt banale, très jeune j’ai fréquenté les rangs de la Royal Private Schools, mon père a eu un gros, très gros héritage à la mort de ses parents, je ne peux pas dire que cela m' attriste, je ne les ai pas connus et ils ont rempli le compte en banque de ma famille alors je suppose que je devrais les remercier plutôt. Contrairement à ce que mes paroles pourraient laisser penser je ne suis pas un de ses connards matérialistes qui ne pense qu’à sa poire et aime l’argent, quoiqu’en fait... Si, c'est exactement ce que je suis, mais ne sommes-nous pas tous comme ça ? Avec une toute petite partie de cet argent mes parents ont choisi de faire construire un centre équestre, attention, pas ceux où on loue des chevaux ou des poneys pour les gosses et les enfants de bourge amoureux de ses montures, pas du tout, il y a une partie pour ça, mais c’est infime, la partie presque « inexistante » de la choses, le point central ce sont ces jockeys entraînant de fiers chevaux bien bâtis, de ses courses où les paries monte parfois dans des sommes exubérantes, oui, ce genre de centre équestre tournant dans la passion autant que dans le business, avec un point de plus pour le business bien entendu, sinon c'est pas drôle.

Je suis donc monté sur des chevaux dès que j’ai su marcher, j’ai vu mon poney naitre, grandir et devenir un fier étalon -comme moi oupas-, personne ne le touche, je m’occupe de sa boxe, de sa nourriture et de le faire galoper, c’est un peu ma responsabilité. Mais même si j’aime ces bêtes je n’ai jamais rêvé de devenir jockey, de les grimper pour la compétition et pour tous les paries misés sur leurs têtes, ma plus grande passion n’avait pas quatre pattes et des sabots, mais deux roues, des pédales et une selle.

J’ai découvert le bmx quand j’avais dix ans ? Je suis resté fasciné devant cette pente énorme que ce gars avait descendu sur sa « monture » en faisant des figures sorties tout droit d’un monde irréel. J’ai demandé à avoir un de ces vélos et à douze ans je pouvais déjà faire du Freestyle avec une aisance digne des petits génies. Première compétition, première victoire, le monde du bmx est loin d’être facile, c’est des dangers perpétuels, sauter des hauteurs avec sa deux roues sans aucune protection pour nous rattraper, ce danger-là, ça m’excite.

Ma mère pensait au début que j’allais me lasser, mon père lui disait que ce n’était pas bien différent de grimper sur un cheval et que je finirais par choisir les bêtes... Aucun des deux n’avaient vus juste, les années sont passées et mon amour pour ce sport n’a cessé de grandir jusqu’à ce que j’atteigne l’âge de 18 ans et demande à passer pro, une licence et de l’argent, je peux m’éclater en créant toujours de nouvelles figures, trainant sur des forums traitant du sujet et rencontrant des personnes fréquentant ce milieu, je pouvais évoluer indéfiniment.

Cependant, pour mes parents j’ai décidé d’aller à l’université malgré tout, comme il n’apprenait pas le BMX je prends des cours d’équitation, de quoi « rassurer » mes géniteurs qui trouvent mon « métier » trop dangereux, mais je les comprends après tout je me suis déjà blessé gravement, quand je me lance dans quelques choses j’aime le faire à fond, je déteste l’idée de m’engager sur un chemin que je ne suis pas prêt à suivre, et à trop forcé je suis tombé lors d’un enchainement de flat et de dirt. Résultat deux semaines de coma et 3 mois d’hôpital, fracture de... je ne sais pas trop où, bref sans importance... Je me suis remis et je suis réparti sur mon bmx comme si de rien n’était.

L’histoire ne fait que commencer, je choisirai moi-même quand une page devra être tournée.