■ Il fait de l'aviron au niveau national (solo). ■ Dans son club il était surnommé "Duck" en référence à son prénom mais aussi son habileté sur l'eau. ■ Il essayera toujours de vous faire croire qu'il fait 1m80 et que ses cheveux sont noisette au naturel. La vérité ? 1m75 et noir de jais. ■ Il rêve de s'acheter une île privée. ■ C'est difficile à remarquer mais sa soeur et lui sont très proches. ■ Il veut travailler dans l'aéronautique car son père lui a toujours dit qu'il prendrait sa relève, mais en réalité ce n'est pas ce qu'il veut vraiment. Peut-être le réalisera-t-il un jour. ■ Il est tatoué sur le haut du pectoral droit, presque au niveau de l'épaule, la phrase "Don't try to steer the river." (Deepak Chopra). Ses parents ne le savent pas, il l'a fait avec sa tante et sa soeur trouve ça "trop génial". C'est d'ailleurs lui qui a payé le piercing au nombril de sa petite soeur. ■ Il accepte très facilement la défaite mais pourrait se rendre malade si ses performances sont mauvaises à l'entraînement. ■ Il voudrait être végétarien mais n'ose pas rompre sa diète sportive qui comporte de la viande. ■ Il n'a jamais bu d'alcool ni consommé de drogue et son entrée à l'université risque de rendre cette phrase mensongère. ■ Sa première relation sexuelle ne lui a pas particulièrement plu et la demoiselle concernée ne s'est pas gênée pour lui dire qu'à elle non plus ("d'ailleurs le seul point positif était son physique" a-t-elle ajouté). ■ Quand il était enfant on s'est souvent moqué de son nez très droit et long et complexe toujours à ce sujet. ■ Il écoute du reggae et se moque souvent des idoles de kpop. ■ Il se trompe toujours quand il essaye de lire l'heure sur une montre non digitale. ■ Il porte toujours son boxer donald duck. Le weekend. ■ Son film préféré est Laputa, Le château dans le ciel des Studio Ghibli. Il pleure devant mais ne l'avouera jamais. ■ Il est très mauvais aux jeux vidéos mais le vit bien. ■ Oui, il aime l'odeur de ses flatulences.

Juillet 1992.
Le hanbok brille de mille feux au centre du cadre, et les fleurs dans les mains de Kim Eun Sil sont pâles en comparaison de ses joues rougies par le maquillage et la joie de se marier. A ses côtés son époux, futur père de ses enfants, porte les vêtements traditionnels aussi, revenu des Etats-Unis le temps de lui offrir le plus beau jour de sa vie. Ils sont heureux et la photo à immortalisé un échange de regard tout en délicatesse, des prunelles brillantes et la promesse de raconter ce jour merveilleux à leurs enfants, quelques années plus tard.

Mai 1997.
Un autre jour qui compte parmi les plus beaux pour Duck Young et Eun Sil. Leur premier enfant est né. C'est un garçon, il est en bonne santé, et il va porter le nom de Duck-Hwan. Personne n'a blagué au sujet du mot "Duck" qui compose son prénom, parce que le canard ne vient à l'esprit de personne. Pourtant, ce mot signifiera beaucoup de choses pour le bambin, des années plus tard. Pour le moment il gazouille joyeusement dans les bras de son père, qui essuie discrètement une larme de fierté.

1999.
A l'aube de l'an 2000, Duck-Hwan se promène au bord de la rivière Han avec sa mère. Son père travaille du matin au soir pour leur permettre de vivre confortablement et il est très fier de son fils. C'est un petit garçon sage et bien élevé, qui donne son pain aux canards et sourit aux vieilles dames assises sur un banc au bord de l'eau, un sac de courses entre elles. Il a les cheveux noir de jais et le nez un peu trop grand pour son visage mais sa mère est radieuse à ses côtés.

2000.
Park Eun Mi vient de naitre, sous les yeux ébahis de son frère aînée. Elle est mignonne comme tout et ressemble à son père qui a abandonné les croquis d'un avion pour venir voir la petite dernière. Duck Hwan demande avec intérêt si sa petite soeur pourra monter avec lui sur son bateau à roulettes (sujet à de nombreux débats dans la famille, Duck Young aurait préféré un avion !) et ses parents rient, amusés par son innocence. Plus tard, lui promettent-ils.

2005.
Huit ans et déjà les pieds dans l'eau. Duck Hwan est comme un poisson dans l'eau à la piscine, et heureux de profiter de la plage chez sa tante (la soeur de sa mère, Ki Suk). Elle n'est pas mariée et on le lui rappelle assez souvent quand il est en séjour chez ses grands parents. Il faut dire qu'elle a consacré sa vie à l'association sportive de sa petite ville côtière, pour permettre aux enfants de découvrir les plaisirs de la mer. Elle le fait d'ailleurs pour lui aussi et il découvre l'aviron en mer, enjoué par l'expérience qu'il rapporte à ses parents le soir même. Au début ils ne se sentent pas vraiment concernés, une fois de retour à Séoul ça lui passera, pensent-ils. Si seulement.

2010.
Treize ans et il est pressenti pour concourir en national. L'aviron en rivière l'a encore plus passionné qu'en mer, et il a fait l'un de ses rares caprices pour rejoindre un club d'aviron. La rivière Han, si paisible lorsqu'il la longe, paraît indomptable lorsqu'il veut la briser de ses rames. Le feu qui brûle dans ses bras et ses jambes est dérisoire sur l'eau et il n'y a que Ki Suk pour partager sa passion. Parfois Eun Mi vient regarder ses entraînements, du haut de ses dix ans, mais elle s'en désintéressera bientôt. Elle n'a jamais aimé monter dans son bateau à roulettes avec lui de toute façon. On le surnomme Duck dans le club, un jeu de mot entre son nom et son habilité sur l'eau. Il assume son rôle de mascotte avec assurance, et n'hésite pas à porter des boxers à l'effigie de Donald Duck dont on lui reparlera sûrement toute sa vie.

2014.
Les journées sont longues et épuisantes mais la fierté dans le regard de son père lorsqu'il revient victorieux, une médaille d'or autour du coup et une coupe scintillante dans la main, vaut toutes les tasses de café qu'il avale entre deux cours et un entraînement. Sa mère a finit par se rendre à l'évidence et supervise son éducation pour qu'il puisse cumuler sport à haut niveau et études. Il veut faire comme son père mais pour cela il faut exceller. Exceller dans tous les domaines puis qu'il est athlète, et il n'a pas vraiment le temps de penser aux filles bien que parfois, il rejoigne ses camarades d'aviron et regarde par la fente entre leur vestiaire et celui des filles. Elles sont beaucoup plus musclées que les lycéennes qu'il a pu bécoter de temps en temps derrière les bâtiments, mais il les trouve plus intéressantes que les écervelées qui se pâment devant la musculature que lui procurent ses entraînements réguliers.

2016.
Le diplôme en poche il profite des félicitations de ses parents pour éclaircir ses cheveux, décidé à prendre le rôle de l'athlète beau garçon, ça ne changera pas grand chose de toute façon. Ses parents ont décidé de lui assurer une éduction toujours plus prestigieuse en lui offrant une place à la Royal Private School et il doit se plonger dans les cours de japonais en plus de ses entraînements journaliers, malheureusement l'eau l'a toujours mieux accueilli que la langue et même s'il tente aussi de perfectionner son anglais déjà faible, Duck Young a peur de ne pas s'en sortir. Il a peur pour Eun-Mi aussi, qui n'a pas sa passion pour l'aviron et ne s'illustre pas non plus dans les études malgré les attentes de leurs parents. Il craint d'avoir placé la barre trop haut et l'entend parfois sangloter dans sa chambre tard le soir, des bruits étouffés qui le bercent au-dessus de ses cahiers où il gribouille en japonais, désespéré.

■ pseudo: pxdxlf // myulalie ■ âge: 20 (bon, dans 6 mois... :3) ■ presence connexion: 7/7 ■ presence rp : ?/7 (très variable, vraiment) ■ Personnage inventé ou scénario: tout droit venu de mon petit cerveau ! (boudiou v'là qu'ça fume là-d'dans !)

   

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