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Anonymous
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Ce message a été posté Mar 13 Sep - 0:49
Tenue Une nouvelle journée commençait.  Me massant doucement la nuque, je la fis craquer avant de sourire doucement. Il faisait une chaleur à mourir mais je le supportais comme je le pouvais. J’essayais simplement de m’occuper. Pourquoi ? Parce que j’avais un peu déconné. Ok, je faisais ce que bon me semble. On ne vivait qu’une fois. Mais là… Merde il était mineur… Je n’aurais pas dû aller jusqu’au bout. J’avais l’impression d’y être encore. Putain je pourrais être sa mère ! Bon j’exagérais un peu, mais… Soupirant, je penchais ma tête en arrière en ayant un flash de notre nuit. Mon nez se plissait. Le pire ? C’est que ce n’était pas désagréable. Merde. Comment un gosse si jeune pouvait aussi bien… Soupirant franchement, je me levais de ma chaise avant de m’étirer. Journée plutôt tranquille à l’infirmerie. Sortant de là, faisant claquer mes talons aiguilles sur le sol, je longeais le couloir en direction de la cafeteria. J’avais envie d’un bon café pour me changer les idées. Passant une main dans mes cheveux rosés, je souriais aux élèves que je croisais avant de mettre mes mains dans les poches de ma blouse blanche. Baissant la tête, je regardais mes pieds fouler le bitume goudronné avant de rentrer dans la pièce. Quelques peu remplit d’élève, je marmonnais des bonjours à ceux qui me le disaient avant de commander un grand café avec de la crème dedans. M’asseyant au comptoir, je me mis à discuter avec le serveur pendant qu’il faisait mon café. Tendant ma carte pour qu’il puisse en retirer le crédit du café, je soupirais avant de croiser les jambes et regarder un peu autour de moi. Les jeunes s’amusaient. Ah… Ça me rappelait un peu mes années de lycée. Il y a si longtemps. Attrapant mon café, je lui fis signe que je m’en allais, avant de partir. Sortant de la pièce, dans la cours du lycée, mon regard se posa sur une personne que je connaissais que trop bien. Un peu trop même à mon goût. Nos regards se croisant, je détournais le regard avant de partir dans le sens inverse pour ne pas le croiser. Tant pis si je devais faire un détour pour arriver à l’infirmerie. Pressant le pas, je me trouvais, simplement ridicule de l’ignorer et de le fuir. Putain, j’avais vingt-six ans, pas dix-huit ans… Je devais agir en adulte. Merde quoi. Ruminant dans mon coin, je filais dans les couloirs de l’école avant de trottiner un peu trop vite pour aller sur mon lieu de travail.


Anonymous
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Ce message a été posté Mar 13 Sep - 16:40

Tenue ce matin, Satoshi m'avait encore une fois engueulé parce que je n'ai pas dormi à la maison (depuis que je suis revenu il me surveille tout le temps) et je sais qu'en fait il est jaloux que je sois pas venu faire dodo avec lui ! Alors, après lui avoir fait un groooooooos câlin je lui ai promis de squatter son lit ce soir ! Comme ça, il m'aura pour lui tout seul, j'ai tellement envie de regarder un film avec mes deux frères, ça me manque. Je pouvais pas faire ça au Brésil, vu que Gabriel n'avait pas la télé (comment on peut ne pas avoir la télé !? je comprends tellement pas ! Moi si je peux pas regarder dora le matin ou les chevaliers du zodiaque je suis de mauvaise humeur toute la journée)(d'ailleurs j'ai vu que dix minutes de mon épisode tout à l'heure à cause de satoshi !  :0226: je me vengerais en le réveillant avec de la glace !!) J'avais envie de rien faire en classe et je me suis fais gronder par la maîtresse parce que je dormais, en plus elle m'a pas cru quand je lui ai dis que j'avais pas pu dodo à cause d'une femme, qu'on avait joué au papa et à la maman. Non seulement elle m'a pas cru, mais en plus elle m'a puni et m'a collé demain. COMME SI J'AVAIS FAIT QUELQUE CHOSE DE MAL, j'ai boudé toute la matinée, je vous jure, j'étais pas content. J'avais trop passé une bonne nuit, alors on se vengeait en me faisant passer une sale journée, c'est pas juste. J'avais limite les larmes aux yeux lorsqu'on m'a proposé de venir faire un foot dans la cours, ce que j'ai pas refusé (j'adore marqué des buts et être le héros du match !). Et ça faisait au moins trente minutes qu'on jouait tous ensembles (même qu'on gagnait trois à un ahahahah) quand j'ai vu ma chupachups à la fraise dans l'un des couloirs. J'étais trop content de la voir (en plus j'avais toujours dis aux coupains qu'elle avait de gros lolos, mais ils disaient qu'elle en avait moins que la prof d'anglais)(alors que c'était même pas vrai en plus). J'étais content de la voir moi, même que j'allais l'appeler foooort et aller lui donner un bonbon que j'avais dans ma poche (c'est une copine qui me les a donné parce que je lui ai fais un bisou) sauf qu'elle a fait quelque chose qu'elle m'avait encore jamais fait avant ... je comprend pas, elle tourné les yeux et elle est partie. Pourquoi elle m'ignore ? Heureusement, je sais très bien où elle va, quand on est infirmière y a pas une masse de lieu où on passe son temps. Alors sans plus attendre, je dis au revoir à mes copains et j'ai courru vers l'arrière du bâtiment, là où donne la fenêtre de l’infirmerie. Je la laisse toujours ouverte avec l'aide d'un caillou parce que j'aime pas passer par la porte (c'est plus drôle de jouer au ninja). Comme ça, j'peux aller m'installer sur le lit (assis comme les indiens) et croiser les bras à mon torse pour faire genre que j'suis trop pas content. Et quand elle rentre, j'lui laisse juste le temps de refermer la porte avant de commencer à parler « pourquoi tu m'as pas attendu ? » (je savais que j'arriverais avant elle)(c'était facile de calculer la distance de son chemin et celle du mien)(sato il a toujours dit que je savais bien compter et c'est vrai que c'est facile) je fais ma mine trop triste et je sors une brique de lait à la fraise de mon sac (C'EST TROP BON OK) puis j'étire les jambes comme si j'étais sur mon canapé. « J'avais un truc TROP drôle à te raconter en plus ! » faut que je lui dise comment la prof m'a frappé quand je lui ai dis que j'avais fait un bébé cette nuit.


Anonymous
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Ce message a été posté Mar 13 Sep - 18:54
Tenue S’il avait bien une personne que je n’avais pas envie de voir là, c’était bien lui… Parce que ce qu’on avait fait, n’avait pas de sens. Enfin, si, s’adonner à un plaisir charnel avait du sens. Surtout que j’avais pris mon pied. Mais là n’était pas le souci. Il avait dix-huit ans. Dix-huit putain d’années. Autant je pouvais coucher avec quelqu’un de quarante ans sans souci. Mais là… Puis un élève ! Qu’est-ce qui m’avait pris. J’allais finir par m’arracher les cheveux. Pour autant, plus j’y pensais et plus je me maudissais… car si intérieurement ma tête le regrettais mon corps lui, ne faisait que me rappeler cette soirée vibrante… Ses mains sur mon corps, ses gémissements, bref. Je ne voulais pas y penser. Parce que ça me rendait encore plus confuse. Et de le voir dans la cour de l’école là, ça n’arrangeait rien. Je voyais bien qu’il m’avait vu. Je l’avais vu moi aussi… Détournant le regard, je fis demi-tour, le café dans mes mains pour partir en direction de ma salle. Je me trouvais stupide, à mon âge de fuir de la sorte… Mais quand on n’a pas le choix. De toute façon, je savais que j’allais forcément le voir et le croiser à un moment donné. Le monde pouvait se trouver très petit… Claquant mes talons dans le couloir, je pressais le pas en regardant derrière moi. Personne. Du moins, pas de Hideyoshi… Tant mieux… Soupirant, je ralentissais un peu avant de poser ma main sur la poignée de ma porte. Soupirant, j’entrais avant de fermer la porte, gobelet à la bouche en train de boire. « pourquoi tu m'as pas attendu ? » Sursautant je lâchais un faible cri de surprise. Bordel. J’aurais dû m’y attendre venant de lui qu’il allait passer par la fenêtre… Main sur le cœur, qui battait cruellement vite, je fermais les yeux quelques secondes. « J'avais un truc TROP drôle à te raconter en plus ! » Soufflant, je pris la direction de la voix avant de tirer sur le rideau qui cachait le lit. Heureusement qu’il n’y avait personne. Je crois ? Le foudroyant du regard je lui fis signe de se taire. Vérifiant tous les lits, vides, je revins vers lui en soupirant. « Pourquoi je t’aurais attendu ? T’es un lycéen. Je suis une infirmière. » Dis-je doucement en le fixant. Hormis s’il était au point de mourir ou souffrant… Je n’avais pas de raison de lui parler… Et d’aller le voir… Il était dangereux. Trop dangereux même. « Qu’est-ce que tu as à me dire… » Soupirais-je en buvant une gorgée de mon café. Main libre, plongée dans la main de ma blouse je baissais la tête. « Ecoute… Ça serait bien si… On oubliait ce qu’il s’est passé hum ? » C’était cruel mais… Je n’y pouvais rien moi… « On ne peut pas avoir ce genre de relation toi et moi. J’ai déconné. On a qu’à dire que rien ne s’est produit hum ? »


Anonymous
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Ce message a été posté Mar 13 Sep - 21:04

Tenue avec le vent, le rideau s'était un peu soulevé et je reconnais que j'en avais profité pour regarder ses fesses (en même temps elle en avait des jolies)(même que je suis sûr que les culottes à fleur que j'aime lui irait bien) je lui demanderai un jour !! J'aurais pu m'excuser de lui avoir fait peur, mais je le ferais pas parce que c'était sa faute, si elle m'avait salué comme d'habitude, j'aurais pas eu besoin de venir en cachette à l'infirmerie. C'est trop bête, je comprend pas et ça m'énerve (genre beaucoup). J'aime pas quand on m'ignore, c'est comme peter, s'il est pas le héros de son histoire il n'ira jamais bien. Et je suis comme lui, Joy n'aurait pas dû s'en aller. En plus, c'était trop voyant qu'elle l'avait fait exprès, j'étais vexé. « Pourquoi je t’aurais attendu ? T’es un lycéen. Je suis une infirmière. » J'haussais un sourcil, j'avais un peu de mal à la suivre, bien sûr ; TOUT LE MONDE DOIT M'ATTENDRE, c'est la règle première de l'école hein hein hein ?? je levais les yeux vers elle, et je lui souriais de toutes mes dents. « Justement chupachups, t'es mon infirmière et je me suis blessé au foot, là ! » j'lui tends mon coude pour lui montrer la MICRO égratignure, mais ça c'est qu'un détail, même si j'avais qu'une coupure, c'est son travail de me soigner. J'le sais parce que Bae il m'a dit que c'était elle qui nous réparait. J'allais m'apprêter à lui répondre et à lui dire l'histoire marrante que j'avais à lui raconter (j'rigolais déjà d'avance)(mais elle m'a encore coupé dans mon élan). « Ecoute… Ça serait bien si… On oubliait ce qu’il s’est passé hum ? » ses mots résonnent bizarrement dans ma tête et au départ je ne comprend pas trop de quoi elle parle. Puis après c'est ... c'est beaucoup plus clair. « On ne peut pas avoir ce genre de relation toi et moi. J’ai déconné. On a qu’à dire que rien ne s’est produit hum ? » le problème c'est que même un enfant comme moi peut savoir que c'est pas vrai, qu'il y a eu un truc et je déteste mentir. Quand je suis avec les garçons, ou les filles dans les toilettes, aucun d'entre eux demande à oublier. « Tu n'as pas aimé Joy ? » je l'appelle rarement par son prénom, mais c'est important, je déteste quand ça ne se passe pas comme je le veux et là ça se déroule pas comme je le pensais. Alors je m'étire et je me lève, plaçant mes mains dans mes poches et cherchant son regard du mien (sauf qu'elle refuse de lever la tête). « Tu as dis ; on ne peut pas, pas que tu ne voulais pas ~ » je rigole et fini par venir vers elle, je l'aime bien mon infirmière, mais elle réfléchit trop et j'ai pas l'habitude de ça moi. Quand je suis proche d'elle, j'ai beau être plus jeune, elle n'est pas très grande ; je me penche légèrement pour voir son visage baisser. « moi je fais souvent des câlins et c'est comme si tu m'avais fais des bisous magiques parce que j'avais bobo. Dis Chupachups, tu es infirmière, c'est normal de soigner un élève non ? » hier, son traitement m'a fait du bien et après je n'étais plus triste, mais là, c'est pas pareil. En plus j'ai bien le droit d'avoir toutes les namoureuses que je veux, et même si c'est pas l'une d'elles, on est pas obligés de le devenir pour des bisous et des câlins alors je vois pas trop où il est le problème, c'est pas grave si je suis un élève. « C'est bête ! On sait tous les deux ce qui s'est passé et moi j'veux pas oublier ! » je recule et je croise les bras en allant m'asseoir sur le lit, boudeur. C'est pas drôle.


Anonymous
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Ce message a été posté Mar 13 Sep - 21:43
Tenue « Justement chupachups, t'es mon infirmière et je me suis blessé au foot, là ! » Chupa… chups ? Mais c’était quoi ce surnom qu’il me donnait ? Etait-ce en rapport à… Notre soirée ? Sur le coup, je ne pus m’empêcher de sourire, avant de me raviser. Ok, il ne fallait pas que je montre une quelconque faiblesse. Ne pas me laisser submerger par mon corps et ses pulsions là. Regardant son coude, où, je ne vis rien, parce que c’était surement microscopique comme blessure, je soupirais doucement. Il ne manquait pas d’air tout de même. « Alors la prochaine fois, que tu veux te faire soigner, passe par la porte d’entrée, Hideyoshi. » Dis-je en soupirant. Il n’en rate pas une. Passant une brève main dans mes cheveux les laissant onduler sur mes épaules, je serrais le gobelet de café dans mon autre main. Ce n’était pas facile. Ca ne m’arrivait jamais ce genre de situation. Non, jamais… Mais là, je ne pouvais pas, juste m’amuser, profiter de la vie. J’aurai pu, s’il n’avait pas été dans cet établissement… Mais là, je ne pouvais tout simplement pas ignorer… Il aurait dû être à l’université, être dans la vingtaine… ça m’aurait facilité la tâche. Je n’en serais pas là, à hésiter… Si stupide. Je lui fis par de mes pensées, et je voyais bien que ça l’agaçait un peu. « Tu n'as pas aimé Joy ? » Boguant en entendant mon prénom, sortant de sa bouche, je relevais faiblement la tête pour le regarder. Surprise. C’était toujours bizarre d’entendre mon prénom dans la bouche d’un étudiant, encore plus avec un garçon avec qui on avait couché. Sentant mon cœur s’emballer un peu, je déglutis en baissant la tête. « Je n’ai pas dit que je n’avais pas aimé… » Ça serait mentir… Il l’avait bien vu de toute façon… Impossible de simuler dans ce genre de moment. Je ne comprenais même pas les filles qui simulaient… Comment c’était possible ? L’entendant se lever, je regardais simplement ses pieds s’approcher de lui, sans faire quoi que ce soit. Restant là, contre mon bureau. « Tu as dis ; on ne peut pas, pas que tu ne voulais pas ~ » Je me mordis doucement la langue. Il était un peu trop futé pour un gosse. Il ne devrait pas l’être autant, ça m’agaçait. Parce qu’il avait bien raison. J’avais tout aussi bien envie de recommencer. De profiter de m’amuser, de passer du temps avec lui, sans me poser de question. Le voyant être face à moi, je fronçais les sourcils alors qu’il tentait de me regarder. Relevant doucement les yeux pour le voir, je détournais le regard avant même de voir ses yeux. « moi je fais souvent des câlins et c'est comme si tu m'avais fait des bisous magiques parce que j'avais bobo. Dis Chupachups, tu es infirmière, c'est normal de soigner un élève non ? » Quoi … ? Entrouvrant la bouche, surpris de sa réponse, je me mordillais les lèvres en relevant la tête. Il allait loin. Je l’avais soigné ? En faisant l’amour avec lui ? Etait-ce une méthode ? Il ne couchait pas qu’avec moi. Pourquoi il me faisait ça ? « Yoshi… Tu ne trouves pas que tu vas un peu loin dans ton raisonnement ? Tu me demandes de te soigner sexuellement là… N’avance pas des propos qui pourraient te porter préjudice. Tu ne me connais pas. » Ce n’était pas des menaces non. Mais moi je me connaissais. Et je savais très bien que sexuellement je pouvais être assez différente de ce qu’il connaissait. Parce que j’avais huit ans de plus. Parce que j’avais de l’expérience et parce qu’on m’avait initié à des pratiques un peu trop douteuse. « C'est bête ! On sait tous les deux ce qui s'est passé et moi j'veux pas oublier ! » Posant mon café sur le bureau, je me redressais doucement en le regardant, à présent assis sur le bord du lit, bras croisé sur son torse. « Qu’est-ce que tu attends de moi ? Qu’on recommence ? Qu’à chaque fois que tu ais mal, tu viennes et couche avec moi ? Mon âge ne te rebute pas ? Pourquoi ? Pourquoi moi ? Et pas une fille du lycée ? Pleins couchent pour un rien… » Je ne l’incitais pas forcément à aller coucher ailleurs. De toute façon, c’était déjà le cas. Mais pourquoi moi ? Pourquoi tout avait dérapé d’ailleurs ? J’étais tellement embrouillée, que je ne m’en rappelais même plus… Pour dire.


Anonymous
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Ce message a été posté Mar 13 Sep - 23:38

Tenue par... la porte ? ha ha ha ! Qu'elle est drôle ! C'est beaucoup moins amusant que passer par la fenêtre, là j'avais l'impression d'être comme naturo ; non plus un élève normal. et de toute façon j'étais comme un super-héros alors je pouvais pas passer par la porte, fallait que je mette en avant mes supers pouvoirs hein ! Je vois bien son petit sourire et je suis trop fier de moi parce que j'aime faire rire les gens, la vie est beaucoup plus amusante comme ça. Je vois pas l'intérêt d'une vie sans un sourire. « Jamais de la vie, les portes c'est pas pour les garçons perdus puis avoues que je suis plus classe quand je passe par la fenêtre ! » bon ok, j'tombe toujours et je me blesse encore plus mais ça c'est qu'un détail, le plus important c'est que après je peux dormir dans les lits au lieu d'aller en cours (et j'aime pas les cours alors je préfère être ici). j'attends la réponse à ma question, je sais pas pourquoi mais c'est important que je sache si c'est bien ou pas. Et j'trépigne sur place, incapable d'être moins patient (OH LA LA LA POURQUOI ELLE RÉPONDS PAS ENCORE ?), je la regarde, sans la lâcher des yeux parce que j'attends ses mots. « Je n’ai pas dit que je n’avais pas aimé… » BINGO ! je le savais bien, moi aussi ça m'avait plu hier. C'est comme si j'avais eu mon cadeau de noël avant l'heure. J'ai pas l'habitude de le faire avec des personnes plus âgées que moi (du moins autant) mais franchement si j'avais su, je l'aurais fait bien avant parce que j'ai trop aimé. C'est dommage qu'elle refuse de me regarder, j'aime bien ses yeux à chupachups, même si je préfère ses cheveux roses (oh oui, les cheveux roses c'est trop beau)(moi j'adore le rose). « Ben alors ? » le principe quand on aime quelque chose, c'est soit de le refaire, soit de s'en souvenir et apprécier, pas d'oublier, même moi je sais ça et je suis sûr que satoshi serait d'accord avec moi. Quand je suis proche d'elle, j'ai envie de la prendre dans mes bras, mais bizarrement mes mains reste dans mes poches. je continue de parler et j'dis tout ce que j'ai à dire sans m'priver puisque de toute manière c'est ce que je fais toujours. c'est genre, plus fort que moi quoi. Puis elle le dit... ELLE A DIT YOSHI ! j'tremble de tout mon corps et je m'éloigne encore plus vite. « HAAAAAAAAAA NON PAS YOSHI APRES LES CHAMPIGNONS VONT M'ATTAQUER ! » & je rigole pas ! c'est arrivé une fois, même que je me suis réveillé en sueur. J'ai eu tellement peur ce jour là que j'ai plus touché à un jeu de mario, c'est hyper dangereux ce truc là... la suite de ses mots par contre me font à nouveau pencher la tête et j'relève la tête vers elle. « mais naaaaan tu as l'air de vouloir te chercher des excuses, j'disais ça pour soulager ta conscience sucette. » j'ai pas besoin de connaître la personne pour dire ce que je veux en plus. en plus je vois pas en quoi ça pourrait m'apporter des problèmes (et ouais je sais ce que ça veut dire préjudice hahahaha) « en quoi ça me porterait préjudice hein ? » c'est vrai, je comprends vraiment pas, alors quand je m'assoie sur le lit, j'la regarde même plus, j'fixe la vitre et je pense, enfin je crois que je réfléchis, mais je sais pas encore trop à quoi au juste. « Qu’est-ce que tu attends de moi ? Qu’on recommence ? Qu’à chaque fois que tu ais mal, tu viennes et couche avec moi ? Mon âge ne te rebute pas ? Pourquoi ? Pourquoi moi ? Et pas une fille du lycée ? Pleins couchent pour un rien… » elle pose trop, trop, trop de questions, tant que ça m'fait mal à la tête. Moi j'ai pas l'habitude d'être ensevelit sous des interrogations, je préfère ne pas y penser. « dis pourquoi tu fais pas simplement ce dont tu as envie ? » moi je sais que là j'ai plus envie d'parler et j'ai envie de lui faire un câlin pour qu'elle arrête de paniquer comme ça. parce que j'arrive pas à voir où il est le soucis. « ton âge devrait me poser problème ? je vois pas en quoi. » et les filles du lycée elles sont biens (à part yuzu !) mais le monde est remplie de poupée, je vois pas pourquoi je devrais me limiter. en plus je m'en suis déjà fait pleins, alors elle peut continuer à me parler des autres ça change rien. « T'es jolie. » elle est belle Joy, j'adore. Je préfère voir son beau visage qu'entendre son sermon. Alors j'tends la main et je me penche sur le lit pour venir attraper la sienne. « j'attends rien, parce que je prévois rien, tu réfléchis trop chupachups. Hier, je ne t'ai pas demandé pourquoi moi. T'avais envie, j'avais envie, c'est si compliqué ? » j'suis pas comme ça, quand j'fais quelque chose, j'pense pas aux conséquences.


Anonymous
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Ce message a été posté Mer 14 Sep - 0:54
Tenue « Jamais de la vie, les portes c'est pas pour les garçons perdus puis avoues que je suis plus classe quand je passe par la fenêtre ! » Un sourire se logea sur mon visage. Je ne savais pas si je devais apprécier cette façon de penser, ou en avoir peur. J’admirais énormément sa façon d’être. Ce symptôme, ne pas grandir, rester innocent dans un sens. Ne pas se mêler au monde des grand, vouloir rester jeune… Je l’enviais, peut-être parce que moi aussi, j’aurais aimé rester jeune. Pourtant, on m’avait fait grandir bien trop vite, vraiment trop vite. Me rendant veuve à seulement dix-neuf ans. J’avais envie de le prendre dans mes bras, comme pour l’encourager à ne pas grandir, à rester dans sa bulle à lui. Je trouvais ça beau et magnifique, comme je trouvais ça flippant. Comment il serait dans quelques années. Ça me donnait envie de le protéger. Pathétique, voilà ce que j’étais. Et je le suis toujours. « Reste comme tu es va. » Cette authenticité c’est surement ça qui m’avait fait flancher. Se retrouver immergé dans un monde enfantin, adolescent, me donnant envie de revenir en arrière pour profiter de cette douce innocente. Mais malheureusement moi, j’avais vingt-six ans. Je ne pouvais pas décemment laisser passer. Si autant, je m’en foutais de tout, de ce que je pouvais faire, là c’était bel et bien différent. J’aurais bien envie de tout claquer et de ne pas m’en soucier, mais bizarrement ma conscience me jouait des tours. Impossible de penser normalement. De me dire que l’on ne vit qu’une fois, et que je ne dois pas regretter mes choix. Peut-être que d’ici quelques jours ça me passera. Tout dépendra… Soupirant, j’essayais de discuter avec lui, chose qui n’était tout de même pas facile. Ces propos étaient bizarres, je voyais bien ou il voulait en venir, mais ma tête ne cessait de me répéter l’âge qu’il avait. C’était stupide de ma part tout de même. « HAAAAAAAAAA NON PAS YOSHI APRES LES CHAMPIGNONS VONT M'ATTAQUER ! » Ecarquillant les yeux, je le regardais avant de rire. C’était si nul, et pourtant, j’arrivais à en rire. N’importe quoi. JE voyais bien ou il voulait en venir. « D’accord. Hide. Hideyoshi ? Moon ? Désolée, c’est pas moi, qui vais t’appeler oppa… Ni onii-chan. » J’étais l’ainée après tout. Et je n’étais pas très surnom comme lui faisait avec moi depuis tout à l’heure. Surtout que ça avait un rapport avec des sucettes et ça me laissait vraiment perplexe quant à savoir l’origine de ce surnom. « mais naaaaan tu as l'air de vouloir te chercher des excuses, j'disais ça pour soulager ta conscience sucette.  » Est-ce que je me cherchais des excuses ? Peut-être bien oui… Parce que son âge me bloquait. Pourtant, au fond de moi, si je m’écoutais... Je ne resterais pas là, à bavarder avec lui de ça… Soupirant, je fermais brièvement les yeux en baissant la tête. Main sur ma nuque, je la massais doucement. « en quoi ça me porterait préjudice hein ? » Il ne lâchait donc jamais l’affaire. Un sourire se logea sur mon visage. « Tu as besoin de grandir avec ton temps. Coucher avec moi, n’est pas forcément la meilleure des choses. J’ai des envies la plus part du temps, que tu ne pourrais pas satisfaire. Je ne veux pas t’initier malgré tout. » Parce que j’avais surtout tendance à déraper oui. Même si en général je me trouvais un partenaire dans le même délire. Parce que je demandais bien trop d’attention sexuellement. Que ça soit avec un homme ou une femme. Ou les deux en même temps. « dis pourquoi tu fais pas simplement ce dont tu as envie ? » Bonne question. Si seulement je le savais, je n’en serais pas là. C’était son âge le problème. Je me sentais cruellement coupable. Bon, ça pourrait être pire. Ce n’est pas moi qui l’ais dépucelé… Avec tout ce qu’il faisait, j’étais sûr de ne pas le rendre pervers. « ton âge devrait me poser problème ? je vois pas en quoi.  » Je le regardais sans rien répondre. Il était jeune, si jeune qu’il ne s’en souciait guerre. Je trouvais ça beau. Vraiment. De ne pas se soucier de tout ça, de vivre dans cette innocence, l’envie d’être frivole, sans se soucier des conséquences. « Je pourrais perdre mon job. » Si ça venait à se savoir surtout. « T'es jolie. » Sourire gênée, je tournais le visage pour le regarder, alors qu’il attrapait ma main. Le laissant faire, je serrais délicatement ses doigts des miens. « j'attends rien, parce que je prévois rien, tu réfléchis trop chupachups. Hier, je ne t'ai pas demandé pourquoi moi. T'avais envie, j'avais envie, c'est si compliqué ? » Je réfléchis trop oui. Inspirant longuement, je me relevais lentement sans lâcher sa main. Je réfléchissais trop oui. Mais il avait dix-huit ans. M’approchant de lui, je vins m’asseoir à ses côtés l’air de rien. Posant ma tête sur son épaule, je fermais les yeux en restant silencieuse un moment. « Pourquoi tu m’appelles Chupachups ? » Oui, parce qu’il fallait tout de même que je sache là. Me redressant, je regardais vers la porte d’entrée et la fenêtre, histoire que personne ne puisse nous voir. « Tu veux que je te soigne le coude ? » Oui, je changeais carrément de sujet. Dans le fond on allait tourner en rond.


Anonymous
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Ce message a été posté Mer 14 Sep - 15:07

Tenue « Reste comme tu es va. » carrément ! alors là, elle pouvait compter là-dessus. J'savais que j'étais sur le bon chemin (même que c'est peter qui me l'a dit un jour dans mon rêve alors que je rejoignais neverland).D'aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours su ce que j'étais (un garçon perdu) et je changerai ma place pour rien au monde (sauf mes frères, parce que mes frères c'est le plus important de chez important dans ma vie vus voyez ?) et chupachups elle a sourit, un peu rit aussi et je la trouve plus jolie ainsi. Quand elle me regarde comme ça (comme si elle était fière de moi) et qu'elle laisse ses lèvres s'étirer, c'est beau. Ça me prouve que la vie elle en vaut le coup seulement dans la bonne humeur. Parfois je me dis que y a pas besoin de plus et j'ai beaucoup de mal à comprendre pourquoi certains s'entêtent à chercher un bonheur de façon si compliqué ; moi tu me donnes du lait à la fraise et je suis le plus heureux des petits garçons, alors je pense qu'on devrait prendre exemple sur moi. Je peux leur apprendre !! et je repense à comment elle m'a appelé... yos... beurk ! rien que d'y penser j'en ai la chair de poule, oublie Hide, oublie ! « D’accord. Hide. Hideyoshi ? Moon ? Désolée, c’est pas moi, qui vais t’appeler oppa… Ni onii-chan. » han ! c'est trop dommage ça ! Onii-chan ça rend trop bien et c'est trop mignon et moi j'adore tout ce qui est mignon. Peut-être que je devrais la convaincre de l'utiliser, genre en lui faisait les yeux doux, ça marcherait ? « c'est triste ! parce que ça aurait été trop chou et j'adore tout ce qui est mignon ! Appelle moi comme tu veux, mais pas ce que tu as dis tout à l'heure, sinon je vais me faire manger par les champignons et tu me verras plus jamais, jamais, jamais. Si je pars, ça te fera de la peine hein ? » j'espère que oui, parce que moi je l'aime bien l'infirmière et si elle partait bah je serais tout triste, imaginer que le ou la prochain(e) soit une méchant(e) infirmier(ère), je pourrais plus venir dodo ici (ET CA C'EST UNE CATASTROPHE OK). D'ailleurs elle baisse encore une fois la tête et elle soupire, elle n'a plus son sourire, ça m'attriste, je me promet à moi-même de la faire rire à nouveau. Mais avant, j'veux entendre les réponses à mes questions, parce que j'aime pas, ne pas comprendre et là j'suis carrément largué dans un océan sans fond (ou avec un fond de coquillage mangeur d'ongle de pied)(dégueulasse). « Tu as besoin de grandir avec ton temps. Coucher avec moi, n’est pas forcément la meilleure des choses. J’ai des envies la plus part du temps, que tu ne pourrais pas satisfaire. Je ne veux pas t’initier malgré tout. » FAUX ! Faux, faux faux faux ! Je veux pas grandir, j'en ai pas envie et je le ferais pas, jamais ! Mon temps, je l'emmerde, je suis très bien comme ça, je peux évoluer tout en restant un enfant. Et je vois pas de quoi elle me parle, je comprends pas, comment ne peut-on pas réaliser l'envie d'une personne ? J'ai toujours fait ce qu'on me réclamait, je ne pense pas qu'elle pourrait me faire peur et je suis sûr que je suis capable de la satisfaire en plus. « j'peux tout faire. sauf grandir. » c'est la vérité vraie, j'le jure sur la fée clochette. Un garçon perdu ça réalise tout, mais ça grandit pas. C'est la règle et j'aime cet univers. J'suis un peu perdu dans tout ça, mais quand elle me laisse lui prendre la main (j'adore les mains des filles, c'est tout doux et tout fin) ça me fait plaisir et j'oublie la conversation parce que j'ai juste envie de lui faire un bisou. Mais je me mord la lèvre et je la regarde avec des graaaaaands yeux, je veux pas qu'elle perde son travail ! je veux qu'elle reste à l'école, sinon je vais être tout seul. C'est pour ça que je change de sujet et que je lui dis qu'elle est belle, parce que c'est vrai et que j'veux pas qu'elle perde son travail. et je suis content lorsqu'elle vient près de moi et qu'elle pose sa tête sur mon épaule, j'ai plus l'impression d'être comme les autres, d'être juste un petit garçon qu'elle soigne et je préfère ça, j'aime pas les positions simples de copains. Puis elle me pose cette question et elle se redresse (donc j'ai froid d'un coup), elle me demande aussi si je veux qu'elle me soigne alors j'hoche la tête doucement et je prend une moue toute triste. « ouiiiiiiiii ça pique je veux bien que madame l'infirmière s'en occupe ! » c'est bien quand y a pas d'autres malades, parce que je peux l'avoir pour moi tout seul ! J'attends qu'elle revienne avec le matériel et j'lui tend mon coude blesser (et dites pas qu'il y a rien parce qu'il y a OK) j'sais mieux que vous vu que c'est moi qui ai mal. BIM. et quand elle s'installe en face de moi pour me soigner, je sifflote un air gai le temps de quelques secondes puis je la regarde avec un grand sourire « c'est parce que t'es à croquer. » héhéhéhé ça c'est mon frère qui me l'a appris, sunnie il dit que ça marche à tous les coups ( ;))))))))) ). il dit que pour pécho faut faire son loveur, alors je trouve que je m'en sors pas trop mal (mais techniquement j'ai déjà pécho joy hier hein que c'est vrai)(elle est trop mignonne ok) « J'adore les sucettes à la fraise, et tes cheveux roses... c'est comme si tu étais une fraise grandeur nature c'est normal que je t'appelle chupachups ! » j'suis tellement fier de mon surnom, en plus je trouve que ça lui va trop bien, mais genre trop trop trop trop bien quoi. Abusé tant d'évidence. « Mais tu vois, du coup j'ai toujours envie de te manger. » c'est vrai ça aussi, c'est pour ça qu'hier j'étais trop content qu'on fasse des choses, parce que je dirais jamais no à une sucette à la fraise. Une sucette à la peau douce et fruitée, comment je pourrais refuser ? « Tu me fais un bisou ? » un seuuuuuuuuuuuul.


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Ce message a été posté Lun 19 Sep - 20:19
Tenue « c'est triste ! parce que ça aurait été trop chou et j'adore tout ce qui est mignon ! Appelle moi comme tu veux, mais pas ce que tu as dit tout à l'heure, sinon je vais me faire manger par les champignons et tu me verras plus jamais, jamais, jamais. Si je pars, ça te fera de la peine hein ? » C’était clairement un enfant et on ne pouvait pas rater la différence quand il parlait. J’étais dans le monde des adultes, et lui était toujours dans l’innocence des enfants. Je l’enviais dans un sens. J’avais l’impression qu’on m’avait volé des années. J’avais vingt-six ans, mais j’avais l’impression d’être bloquée à mes dix-huit ans. Au final, j’aimerais pouvoir retourner en arrière. Mais ce n’était pas possible. M’enfermer dans un monde imaginaire, et rester jeune ? C’était trop tard. Ça aussi, je ne pouvais pas revenir en arrière. « Tu ne te feras pas manger par les champignons. Ne t’inquiète pas. Noona va te protéger. » Parce que j’avais ce sentiment qui grandissait en moi au fur et à mesure que je restais avec lui. Même si je restais sur ma pensée de tout à l’heure, j’avais trop déconné avec lui, il n’en restait pas moins qu’un sentiment de protection grandissait en moi à son égard. Je n’étais pas dupe, on pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert. Il ne se cachait pas. Il n’avait pas l’air de le vouloir en fait. Il était si jeune, je ne voulais pas l’entrainer là-dedans. Pas comme moi on m’y avait entrainé. Je ne le regrettais pas. Hiro avec sa liste de choses à faire avant de mourir, m’avait en quelque sorte, fait découvrir une facette de la vie que je n’aurais, en temps normal, pas connue. Alors pourquoi lui en vouloir ? Non ça serait mentir. J’aimais et je continuais de vivre ainsi. Vivre, comme si le lendemain n’allait pas exister. « j'peux tout faire. sauf grandir. » Cette remarque m’arracha un sourire naturel. Y’avait pas plus nature et franc que lui. Si innocent si enfantin, si drôle. Mignon aussi. Il avait vraiment dix-huit et les faisait bien. Voir même plus jeune… Dire que j’avais couché avec un enfant. Penser de la sorte me fit légèrement grimacer. Je ne devais pas y penser. Non. « Tu peux encore grandir. En taille. » Je n’attaquais pas la taille de son membre. Je précisais sans trop savoir. Par peur qu’il complexe sur la longueur de son membre ? Non, il n’avait pas l’air de complexer. En tout cas, il m’avait montré que la taille ne faisait pas tout, et que malgré son jeune âge, il gérait parfaitement. C’était fascinant comme flippant. Avec combien de personne avait-il couché ? Si jeune et déjà si expérimenté. A son âge c’est à peine si je couchais avec Hiro. Demandant si je devais soigner son coude, je le regardais avec sérieux. Parce qu’à ce moment-là, je ne déconnais pas. Ma demande était sérieuse. « ouiiiiiiiii ça pique je veux bien que madame l'infirmière s'en occupe ! » Hochant simplement la tête, je filais prendre la trousse de secours pour désinfecter son coude. Il n’était pas trop blessé non plus. C’était même rien du tout. M’installant face à lui, en silence, je sortis le coton et le désinfectant pour commencer mon boulot, tenant son bras de ma main libre pour qu’il reste le bras tourné. « c'est parce que t'es à croquer. » Un petit sourire se logea sur mon visage pour le coup. Il était cruellement mignon c’était un peu trop dérangeant mais tellement agréable. « J'adore les sucettes à la fraise, et tes cheveux roses... c'est comme si tu étais une fraise grandeur nature c'est normal que je t'appelle chupachups ! » Je relevais le regard en le regardant quelques secondes avant de lâcher son bras. « Ça ne m’étonne pas. Tu aimes le lait à la fraise, les sucettes… Quoi d’autres à la fraise ? » J’étais curieuse, je voulais en apprendre un peu plus sur lui. « Mais tu vois, du coup j'ai toujours envie de te manger. » Je le regardais avec sérieux. Mon estomac se contractait doucement. « Et comment tu souhaiterais me manger ? » Petite question dite de façon innocente, pourtant, il n’y avait rien d’innocent là-dedans, puisque je voulais juste le provoquer. Le faire réagir. Je voulais voir de quoi il était capable. « Tu me fais un bisou ? » Attrapant le kit de secours, je filais le reposer à sa place, sans un bruit, sans une parole. Mains dans les poches de ma blouse, je m’avançais vers lui, de façon féline, marchant pratiquement sur la pointe des pieds de façon légère. Me stoppant devant lui, je me penchais avant de voler ses lèvres. Sa lippe entre les miennes, je le suçotais doucement avant de lui faire un smack assez bruyant et me redresser. « La gourmandise est un pécher tu le sais ça ? » Regardant par la fenêtre, je m’approchais pour la fermer d’un coup sec avant de tirer le rideau. Pas que j’avais l’esprit pervers, mais je préférais ça que de nous faire repérer. On n’avait pas besoin de ça, ni lui ni moi. « Qu’est-ce que tu vas faire à présent ? Retourner jouer avec tes amis ? Ou jouer ailleurs ? » Mes bras se croisaient sous ma poitrine pour la faire redresser l’air de rien, un sourire narquois au coin des lèvres.


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Ce message a été posté Mar 20 Sep - 1:23

Tenue « Tu ne te feras pas manger par les champignons. Ne t’inquiète pas. Noona va te protéger. » elle est tellement chou ! Quand elle me dit ça, j'y crois vraiment et j'ai envie qu'elle me protège comme Satoshi. Qu'elle me prenne dans ses bras et qu'elle soit mon bouclier contre les champignons mangeurs de pieds. Sunnie il dit que c'est aux garçons de protéger les filles, mais moi j'aime bien quand c'est moi qu'on câline et qu'on protège. Je sais pas je trouve ça trop mignon et ça me donne encore plus envie d'être cajoleur avec la personne, donc là j'ai genre trop trop trop envie d'aller dans ses bras. Mais bon, comme elle a pas encore l'air trop sûre d'elle pour le moment je reste sagement à ma place ((et franchement je fais grave des efforts là alors j'espère qu'elle le voit)). Moi je trouvais que Chupachups elle était vraiment plus jolie quand elle souriait comme ça, naturellement, ça changeait de certaines filles de ma classe qui gloussaient comme des idiotes ((le seul truc bien chez elle c'est leur culotte !!)) même si y en a plus beaucoup qui en mettent avec des fleurs. C'est trop triste, moi c'est ce que je préfère, plutôt que leurs espèces de ficelle. D'ailleurs faudrait que je demande aux frangins à quoi ça sert, parce que j'avoue que je comprends pas trop trop. « Tu peux encore grandir. En taille. » Ah ! Elle dit comme Sato. Enfin Sato lui il dit surtout que je dois grandir autre part, bon j'avoue que j'ai pas encore capté de quoi il parlait, mais quand je le saurais ben... ben je me concentrerai là-dessus pour grandir promis ! J'aime bien qu'elle précise pour ma taille, contrairement aux autres elle me dit pas de grandir dans ma tête, c'est pas ce que je veux, j'aime être comme ça mais faut croire que ça leur plait pas. Je me souviens une fois, la conseillère d'orientation m'a demandé quand je comptais grandir et ce que je voulais faire de ma vie. Lorsque j'ai répondu que je resterais comme ça pour toujours et que j'allais créer une marque de culotte pour les petites filles, elle m'a collé ((j'vous jure j'en ai trop marre d'être collé dans ce lycée, je sais qu'ils m'aiment mais c'est pas une raison ok...)) « Tu crois que je serais aussi grand que mes grands frères ? Non parce que c'est pas juste, on est tout pareil, mais ils sont tous les deux beaucoup beaucoup beaucoup plus grands que moi ! » et je comprends pas pourquoi, on est censés se ressembler, on a le même papa et la même maman alors on devrait faire la même taille. J'suis un peu triste de plus avoir sa main dans la mienne, en plus le désinfectant me brûle la peau, je dois probablement fait une petite grimace, mais je m’efforce de faire le fort et je dis rien, sauf répondre à ses questions. « Ça ne m’étonne pas. Tu aimes le lait à la fraise, les sucettes… Quoi d’autres à la fraise ? » J'aime tout ce qui est à la fraise, vraiment tout. Je sais pas pourquoi, je crois que c'est comme ça depuis que je suis tout petit, mais les fraises en soit ça coûte cher alors satoshi il peut pas toujours m'en acheter, c'est pour ça qu'il me prend des dériver. Les bonbons, les brioches, les sirops ((même si rien ne vaut le lait)). Quand il veut me faire plaisir, il me fait un set complet avec du lait à la fraise où dedans il met des fraises confites ((c'est vraiment trop bons ça)) avec de vraies fraises et tout ce qu'il trouve avec ce goût. Quand j'ai ça à mon anniversaire je suis toujours très content. J'comptais lui raconter à Joy, toutes mes histoires avec la fraise, mais elle me prend de court avec sa question. Alors je la regarde dans les yeux et je peux pas m'empêcher de sourire. J'ai pas envie de lui répondre. « Je te montre ? » c'est mieux que les mots, les actions. Moi je préfère quand je fais des démo ((même si j'adore parler)) je pourrais l'ouvrir toute la journée, sauf que là j'ai beaucoup d'autres idées en tête. Et c'est pourquoi j'enchaîne avec le bisou aussi, parce que je pourrais commencer par lui manger les lèvres. Sauf que mon infirmière elle s'en va. Genre comme ça, elle va poser sa trousse et je suis vraiment trop triste, mais quand je l'entends qui revient j'ai à peine le temps de relever la tête pour la regarder qu'elle est déjà penchée et que je sens ses lèvres sur les miennes. Est-ce que je vous ai déjà dis à quel point j'adorais embrasser ? Je crois même que c'est ce que je préfère dans toute ma vie ((après le lait à la fraise))((et après sato et sunnie)). J'ai envie qu'on prolonge le baiser, mais mon chaton il s'éloigne bien vite et j'ai pas le temps de le rattraper. Elle me parle de gourmandise et je comprends pas trop ce qu'elle veut dire dire quand elle parle de péché ((genre pécher le poisson ?)) enfin bref, du coup je me contente d'hausser les épaules. « J'aime bien être gourmand de ma chupachups. » d'elle j'entends, mais elle est pas bête elle va comprendre que je parle pas de la sucette. J'sursaute un peu quand elle claque la fenêtre mais j'ai tout de suite chaud quand elle ferme le rideau, je sais pas trop pourquoi je sens mon cœur qui commence à battre très très vite. « Qu’est-ce que tu vas faire à présent ? Retourner jouer avec tes amis ? Ou jouer ailleurs ? » Jouer au foot ? Ben en fait, je pense que là tout de suite j'ai surtout très envie de jouer avec ces deux amis à elle. J'adore comment elle veut les mettre encore plus en valeur avec ses bras et je me gêne pas pour regarder, de toute manière je suis quasiment sûr qu'elle l'a fait exprès, je le vois bien à son sourire. « Je veux jouer avec toi. Tu joues avec moi chupa ? » j'en profite pour me relever et je m'étire ((parce que je commençais à avoir un peu mal au dos)) puis je glisse mes mains dans les poches de mon jean, pourtant je me colle quand même vachement à elle pour qu'elle recule et soit coincée entre moi et la fenêtre. J'embrasse sa joue, puis le coin de ses lèvres et je laisse pleins de petits bisous sur sa mâchoires en descendant à son cou. Jusqu'à mordiller légèrement sa peau ((c'est doux))((c'est sucré)). J'adore la peau de ma sucette à la fraise. « Je veux te manger comme ça. » mes mains se retirent de mes poches parce que je tiens à ce qu'elle retire ses bras, c'est une barrière entre elle et moi, je n'aime pas ça. Du coup, je me sers des miennes pour lui faire doucement décroiser ses bras noués et j'en profite pour descendre jusqu'à la naissance de ses seins. J'entends son cœur. C'est tellement mignon. « Une sucette, on peut la lécher ou la sucer, mais y en a qui les croque. Tu préfères quoi toi ? » moi j'adore tout, mais j'aime tellement de choses avec Joy depuis hier que j'sais même plus où donner de la tête. Alors je laisse mes mains faire ce qu'elles veulent, ainsi elles caressent ses hanches et remontent jusqu'à ses épaules où je la papouille tout le long des bras ((j'adore ça))((j'adore prendre soin des autres comme je le fais là)). Sauf que je reviens bien vite à ses joues et à ses cheveux, ils sont roses. Ils sont doux et moi je les aime vraiment beaucoup. « J'avais les cheveux roses moi aussi avant. » je balance ça un peu au hasard. Mais je pense à autre chose que mes anciennes colorations. Alors y en a une ((de mes mains)) qui chatouille ((caresse)) délicatement sa nuque et y a l'autre qui joue avec ses cheveux. Je veux jouer avec elle. Je veux un autre bisou, un bisou qui dure plus longtemps, qui me donne plus envie, c'est sûrement pour ça que je l'embrasse à mon tour, que je capture ses lèvres. Et sa langue. Et je la regarde ma chupachups, je la regarde parce que j'adore ses yeux, j'adore quand elle joue avec moi, qu'elle se pose plus de question ou qu'elle m'évite pas.


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Ce message a été posté Mer 21 Sep - 11:28
Tenue Plus je le voyais et plus je le trouvais jeune. Non mais sérieusement, il n’avait que dix-huit ans mais là, plus les secondes passaient et plus je le rajeunissais. C’était dans ma tête. Tout ça c’était mon imagination. Il faisait tout de même plus de dix-huit ans. Il ne fallait pas que j’y pense. Tout ça c’était psychologique mais je bloquais dessus. Jusqu’à présent je me fichais de tout, je faisais ma vie comme bon me semblait. Est-ce que Hideyoshi était ce qui me bloquait ? Après tant d’années à faire tout et n’importe quoi ? Aurais-je trouvé mon frein ? Pouvais-je l’appeler ainsi ? Bonne question. C’était trop bizarre. Je l’observais, je décortiquais chacune de ses paroles, chacun de ses gestes. Comme s’il était un cobaye ou dieu sait quoi. Plus on parlait et plus je trouvais qu’il avait raison. Un gosse de dix-huit ans était en train de me faire la morale. C’était le monde à l’envers quand même. « Tu crois que je serais aussi grand que mes grands frères ? Non parce que c'est pas juste, on est tout pareil, mais ils sont tous les deux beaucoup beaucoup beaucoup plus grands que moi ! » Surpris par sa question, je réfléchissais quelque peu à sa question. Mais surtout j’essayais de reconstituer l’image de ses frères dans ma tête. L’un d’eux était d’ailleurs en médecine dans mes souvenirs. L’aîné, si mes souvenirs sont bon. C’était trois garçons assez beaux tout de même. Différent, mais très beau. Un peu … Spéciaux tout de même mais ça faisait leur charme. Y’avait pas à dire. « Je ne trouve pas qu’ils soient bien plus grand que toi… » Après je ne les avais pas vu nu. Je savais qu’il n’avait pas compris de quoi je parlais. Et ça, ça me donnait envie de rire, de lui dire de rester innocent. Pourtant… Bon sang, il était loin d’être innocent au lit. Comment avait-il pu finir ainsi ? Si pervers ? Si taquin, si gourmand ? Alors qu’il est si innocent et naïf… « Mais tu es déjà bien grand. Si tu grandis plus, je vais devoir mettre des talons plus hauts. » Et c’est pas pratique. J’avais déjà des talons là. Je n’étais pourtant pas petite. Loin de là même. Mais ce n’était pas agréable d’être si petite que ça dans le fond. Ou du moins simplement de paraître. Continuant de parler, alors que je le soigne, je le taquine un peu. Parce que j’aime bien le taquiner et que je trouve ses réactions, tout de même assez mignonne. Oui, j’utilisais le terme mignon pour Hide… C’était bizarre dans un sens, mais pas si surprenant non plus. « Je te montre ? » Amusée de sa répartie, je pris le kit de secours en rigolant pour l’abandonner là. J’avais envie un peu aussi de le taquiner. Parce qu’il n’avait plus l’air du petit garçon si innocent que ça quand il se mettait à faire des sous-entendu comme ça. C’était vraiment un garçon qui méritait d’être examiné. Pas qu’il soit fou ou autre, mais cette contradiction entre son symptôme et ses envies sexuelles étaient tout de même surprenant. « J'aime bien être gourmand de ma chupachups. » Plus besoin de demander qui était sa chupachups, je savais que c’était moi. Mais c’était plaisant à entendre, le pronom devant le nom. J’étais sa, la sienne. C’était toujours plaisant à entendre, d’être la chose de quelqu’un, un sentiment d’appartenance. Depuis quand ne l’avais-je pas ressenti ? Bras croisé sous ma poitrine, je souris doucement. « J’aime quand tu es gourmand. » Je le taquinais un peu plus. Le provoquant sans aucune once de remord. J’entrais peut-être un peu trop dans son jeu. Mais ça ne me dérangeait pas au contraire, sachant ou ça pouvait mener. Tant qu’aucun élève n’entrait dans l’infirmerie à ce moment-là. C’était la seule chose risquée…« Je veux jouer avec toi. Tu joues avec moi chupa ? » Je le regarde se lever et s’étirer sans pour autant bouger, bras toujours croisés sur mon torse, avant de sourire en coin quand je le vois s’approcher de moi. Me poussant doucement contre la fenêtre, je détournais le regard vers l’extérieur, le rideau était tiré, alors il n’y aurait pas de souci de visibilité. Retournant le regard vers lui, un frisson s’empara de mon corps alors qu’il embrassait ma joue avant de venir près de mes lèvres, sans pour autant venir les taquiner. Il se jouait de moi en plus. Souriant un peu plus, je penchais la tête en arrière alors qu’il vint s’amuser à mordiller la peau de mon cou. Il éveillait un peu trop de sens à mon goût. Comme si la soirée d’hier n’avait pas suffi. « Je veux te manger comme ça. » « Hum… »[/Color] Dis-je simplement alors pour le provoquer un peu plus. Parce que sinon, ce n’est pas drôle. Me décroisant les bras, je le laissais mener la danse, lui donnant l’impression de me dominer alors que ses mains viennent caresser la naissance de mes seins. « Une sucette, on peut la lécher ou la sucer, mais y en a qui les croque. Tu préfères quoi toi ? » Riant doucement je plaçais une main dans ses cheveux les fourrageant doucement en m’amusant à enrouler un de mes doigts dans ses mèches. « Les trois ? » Je faisais clairement ma gourmande. « Commencer par la douceur, pour monter doucement vers ce côté sauvage, moi ça m’excite énormément. » Dis-je doucement en le provoquant de ma voix la plus sensuelle. Ses mains sur mon corps, je frissonnais doucement avant d’enlever ma blouse pour la jeter sur le lit à côté de nous. Je le laissais me caresser, s’amuser de moi, alors que je restais plus ou moins inerte contre cette fenêtre. « J'avais les cheveux roses moi aussi avant. » « Tu devrais te reteindre en rose alors… » juste pour le fun. Sentant ses lèvres s’écraser sur les mienne, un gémissement s’échappa d’entre mes lèvres, alors que nos yeux ne se quittaient pas. Me redressant je posais mes mains sur ses joues l’embrassant avec franchise et envie. Mon regard se voulait provoquant alors que je l’embrassais avec bien plus de passion et de hargne. Le poussant doucement je le fis tomber sur le lit sans aucune douceur avant de monter sur lui, à califourchon sans cesser une seule seconde de l’embrasser. Mes mains glissant sur ses épaules je me mouvais sur lui sans aucune impunité, laissant mon bassin frotter le sien pour réveiller sa virilité. Il avait éveillé mon côté sauvage, tant pis du lieu. Me redressant j’enlevais mon haut le laissant tomber dieu sait où avant de le tirer pour qu’il se redresse à son tour. Capturant sa mâchoire de ma main je le regardais longuement avant de passer le bout de ma langue sur ses lèvres. « Mange-moi. » Susurrai-je alors à son égard.


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Ce message a été posté Jeu 29 Sep - 11:48

Tenue


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Ce message a été posté Lun 3 Oct - 14:58
Tenue


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Ce message a été posté Mar 24 Jan - 11:35

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Ce message a été posté Mar 24 Jan - 17:20
Tenue


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