■ au lycée, il sortait avec son premier amour et ces deux-là étaient un power couple (''nagiseob'' qu'on les appelaient) il n'a jamais réussit à aimer une autre personne autant que lui. ■ il en était tellement amoureux qu'il se voyait finir sa vie à ses côtés (même qu'il avait un ancien cahier avec tout le planning de leur vie ensemble) il a pas vraiment compris quand il s'est fait largué comme une merde, ça a été le plus gros choc de sa vie. ■ il a fait une dépression de plusieurs mois arrêtant cours et sorties, sans sa meilleure amie il n'aurait jamais pu remonter la pente (ni même rencontrer l'homme qui l'a formé pour être manager) ils sont les deux piliers de sa vie. ■ il s'était donné pour objectif de devenir le manager d'une star plus influente que le deviendrait son ex-petit copain (mais quelle surprise qu'on lui propose de s'occuper de celui dont il désirait se venger quelques années plus tard) il a sauté sur l'occasion de revoir en personne yoseob ■ s'il clame haut et fort être célibataire et fier de l'être (et d'haïr ce garçon qui lui a pris son cœur) ceci n'est qu'un mensonge parmi tant d'autre, encore aujourd'hui il ne vit que pour une seule personne. ■ il a eu l'idée irrationnelle de droguer, boxer et envoyer bo han par la poste à l'autre bout du monde (mais il l'a jamais parce que vous voyez ça lui faisait mal au cul de dépenser autant d'argent pour lui) alors il s'est contenté de percer ses yeux avec l'aide d'un compas sur une photo. ■ il est sorti avec une fille pour tenter d'oublier et son ex et son homosexualité (il pensait que deux semaines suffiraient) sauf qu'il avait pas prévu que sa copine puisse avoir un frère aussi sexy. ■ avant d'être formé pour le management, il aurait enchaîné les petits boulots de misère et squattait chez sa meilleure amie (bah ouais, c'est dur d'être gay et de se faire largué après son coming out, parce du coup il a été foutu à la porte par ses parents et en plus il a perdu son mec) c'est pas facile tous les jours la crise économique j'vous l'dis. ■ si son père refuse le moindre contact avec lui (alors que putain, nagisa a toujours admirer et voulu l'amour de son paternel) il serait toujours en contact avec sa mère, mais par messages codés pour éviter la guerre. ■ lors de sa dépression et par un acte complètement fou (bon écoutez, c'est douloureux de tout perdre alors ne jugez pas ce gosse de dix-huit ans qui ne savait pas ce qu'il faisait) il aurait tourner dans deux films pornographique, mais le réalisateur lui avait dit que c'était un court-métrage romantique/érotique tout ce qu'il y a de plus saint. ■ il aurait déjà été mannequin (et durant six mois l'effigie d'une marque de vêtement chinoise) avant d'être remplacé par un adolescent... plus ambitieux qu'il ne l'était. ■ il ne boit pas, ou que très rarement car il ne tient pas l'alcool (et qu'il finit obligatoirement tout nu dans le lit d'un inconnu) et que bon il a fini par comprendre que "il ne sait rien passé, t'inquiètes" c'est le plus gros pipo du monde. ■ il est assez naïf pour croire que le monde est tout beau et tout rose malgré les coups de tepu qu'il s'est reçu en pleine poire (alors forcément à son arrivée à Tokyo il a bêtement pensé qu'en allant sonner chez son ex, celui-ci l'accueillerait à bras ouvert) il avait pas prévu qu'il se foute de sa gueule et lui claque la porte au nez. ■ au lycée c'était le gars hyper intelligent, mais qu'on croyait con parce qu'il faisait sans cesse des conneries (en vrai tout le monde  étaient choqués de le voir premier aux examens) mais bon avant ce semi-succès c'était la tête de turc au collège, il a mal vécu son enfance et n'aime pas beaucoup en parler. ■ pendant une période de sa vie, il pensait sincèrement qu'il faisait des rêves prémonitoires (alors il s'endormait toujours avec la photo d'une personne de sa classe pour guider son inconscient) et il se plaisait à dire l'avenir des gens le lendemain, sauf que bon il s'est toujours planté. ■ s'il change régulièrement de couleur de cheveux, il ne s'aime qu'en blond (alors que beaucoup le trouve plus sexy en brun) et restera généralement plusieurs mois sous celle-ci. ■ il aurait un très sérieux problème avec les pull dit 'wtf' (ouvrez son armoire et vous ne trouverez que des sweet pikachu, sushi, dessin animé, anglais, français, fleurs ou petites étoiles, etc...) et c'est en parti pour cette raison que les idoles le prennent pour un stagiaire et non pour un manager, la vie est dure de nos jours vous savez.

Qu'on se le dise, la douleur est relative au bonheur, et nul mensonge ne pourra corrompre une vérité aussi sincère et réelle. Il n'existe rien sans l'autre, une paire qui s'accompagne et se remplace quand l'un fatigue ou que l'autre se volatilise. Ce sont des notions vagues pourtant connues de tous, mais comprises de personne. Et nous voyons là tout le paradoxe des mots aux définitions pourtant écrites pour être assimilées. C'est amusant de penser que l'on sait, alors que l'on ignore. Qu'on désire, alors qu'on obéit. Et la vie est ainsi, loin de ce qu'on imagine.

▲la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable

Par exemple, lors d'un départ, il y a cette peine de perdre ce qui a été construit durant le temps où l'on a vécu quelque part. Le changement inévitable d'un lieu et d'un paysage ou encore les relations établies lors du voyage. L'obligation de devoir tout recommencer, tout revivre encore une fois avec la crainte constante d'entendre le téléphone sonner à nouveau, une fermeture de valise se fermer une fois encore et une voiture qui démarre et s'en va loin de la maison que l'on a apprit à aimer une nouvelle fois. La douleur ne s'efface pas, elle reste là, prend place, s'enracine puis grandit jusqu'à tout détruire. Ce n'est pas un maux qui guérit, mais qui pourrit, pour autant il s'oublie. ((nagisa lui se souvient de toutes les fois où ils ont du partir. Déménager et tout remplacer))

Et puis il y a les moqueries, qui existent aussi bien entre enfants qu'entre adultes. Ou entre familles et entre amis. Des mots balancés le plus souvent comme ça, mais qui font si mal qu'on n'arrive pas à les digérer. Spectateur ou victime, ce n'est pas à nous de choisir, ça nous tombe sur la gueule sans qu'on ne le demande à personne et on subit, ou alors on réagit. Hors, dans tous les cas, ça affecte indéniablement notre façon d'être ; on en veut à nos parents d'avoir choisit un prénom aussi ridicule, on déteste son père d'avoir planté sa graine dans une coréenne, à moins que ce ne soit une japonaise. À vrai force on ne sait plus trop, on vit avec et on accepte, ou on n'y arrive pas et on s'en va ; encore une fois. C'est dommage d'en arriver là, d'être si jeune et de vivre si mal. On comprend pas forcément ce qu'on nous reproche alors on grandit avec l'absurdité d'entrer en crise et de se rebeller contre le monde entier. ((nagisa il n'oubliera jamais ce qu'on a pu lui dire, mais il a grandit et a bien d'autres soucis))

Et il y a le chagrin qui s'ajoute à l'équation. Une nouvelle définition qui s'accompagne de la déception ; encore des termes qui nous enterrent alors même qu'on en comprend pas le sens. C'est triste d'être soumis à un langage si vaste et si incontrôlable à la fois. Comme le cœur et ses émotions, ça fait toujours selon ses envies ; ça nous concerte jamais avant décision et après ça se barre bien vite sans recoller les morceaux. Puis c'est à nous de reconstruire à nouveau, c'est comme un déménagement on arrive quelque part et on rencontre, on se pose et on construit, on découvre et on aime, on tombe amoureux et la voiture part de nouveau. Mais cette fois on reste, on reste parce qu'on est sûr d'avoir trouver son chez soi alors quand la vérité éclate, ça fait toujours très mal et encore une fois ; on ne comprend pas ce qu'on nomme douleur. ((nagisa se souvient avoir aimé et pleuré, admiré et protégé, avoir confié et écouté avant d'être lâchement abandonné))

Enfin on rencontre le rejet et c'est probablement la douleur la plus insupportable qui soi. Parce qu'on ne veut pas y croire et qu'on regarde de loin en se disant que ça ne sera jamais notre cas. On imagine toutes les situations et on s'espère à la meilleure des solutions, on relativise et on se fie aux films. C'est l'espoir le plus cruel qui existe, car la vie n'est pas aussi facile et tout le monde ne vit pas comme nous nous entêtons à le croire. Nous ne sommes pas à l'abri des je ne veux plus jamais te voir & c'est bien là le plus douloureux qui soi. On s'ouvre afin d'être honnête et trouver le réconfort que l'on mérite, mais à la place on se prend une gifle. Puis on ignore si celle-ci vient de notre famille, de nos amis ou tout simplement de la vie/ ((nagisa sait à quel point il s'est trouvé ridicule de faire confiance à son entourage en racontant ses secrets les plus intimes))

//mais maintenant nagisa est à la rue, sur la route de la douleur qui mène au bonheur. il sait également qu'il n'a strictement plus rien à perdre//

▲le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité

Un départ est aussi signe d'arrivée ((comme ces magnifiques moments passés à Busan après une multitude de perte dans d'autres pays))
Une moquerie est également la possibilité de mûrir ((comme ces enfants qui se moquaient de lui, lui forgeant une mentalité plus forte à présent))
Un chagrin est présent pour rappeler les bons souvenirs ((avant les pleures il y a eu les sourires et les rires))
Un rejet montre simplement l’incompatibilité des êtres ((seuls ceux qui nous complètent ne jugerons jamais et resterons toujours))

la douleur est relative au bonheur.
Ceux qui le comprenne, apprivoise la vie.
Nagisa est conscient de son inconscience... alors il aime la douleur, à la place de son bonheur.

■ pseudo: Cproject. comme toujours ! On change pas un pseudo qui gagne  :-0130-:  ■ âge: 20 ans (même que mon anniversaire c'est le 27 janvier, j'suis comme Hide j'aime les cadeaux **)~ ■ presence connexion: 6/7 ■ presence rp :  5/7■ Personnage inventé ou scénario: scénario (psk xiuyeol oh la la)(jtm exodus pour ce pv voilà  :0238: )

Code:

<span class="botinsym">▲</span> <font color="#e98ab0">Kim Min Seok ➦ Xiumin [EXO]</font> [u]»[/u] Nom Prénom du personnage