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Ce message a été posté Ven 14 Avr - 20:50  Tenue ♔ L’enfoiré. J’attrapai rageusement mon sac à main et fermai tout aussi délicatement la porte de mon appartement. Heureusement que Roxas n’était pas là. On aurait beau croire que quelques semaines après avoir découvert le fiasco médical orchestré par mon père j’irais mieux, c’était pourtant loin d’être le cas. Non seulement frustrée de ne pas pouvoir faire grand-chose contre celui-ci, il avait fallu que quelqu’un vienne ajouter son grain de sel. Une nouvelle raison de me maudire d’être montée dans cet avion à Noël, le sort me punissait. Je savais que je n’aurais jamais dû accepter une faveur de quelque sorte que ce soit à Baozi, ce chien, mais le tremblement de terre m’avait fichue la trouille et je n’avais pas de tendances suicidaires. Dommage qu’il ait été le seul être humain dans les parages en mesure de m’aider. Me voilà donc contrainte de répondre à sa demande, j’avais bien essayé d’esquiver cette dernière mais le salop avait des photos compromettantes sur moi. Un autre rappel qu’il ne fallait jamais sortir avec un connard. Je ne pouvais pas effacer mes erreurs passées et j’en faisais à présent les frais, en espérant que je ne fasse pas d’accident au volant de ma voiture en chemin. Non, on m’aura au moins épargné cela. Heureusement pour moi, il logeait encore dans les dortoirs de l’université, qui n’était pas trop loin et où je ne craignais a priori pas grand-chose. En théorie. Pourtant, c’était avec une boule d’appréhension au ventre que je sortis de mon véhicule et que je me dirigeai vers l’entrée de la Royal. Je me demandais bien ce qu’il avait en tête, après tout, « esclave » pouvait impliquer bien des choses, toutes très différentes. Jamais positives cela dit. Un frisson parcourut mon échine. Il était encore temps de faire demi-tour. Mais après tout ce que j’avais pu subir l’an passé, je n’étais pas certaine de vouloir tenter d’être exposée sur le web à mon insu, le cyber-bullying n’ayant franchement rien d’attrayant. C’était la peste ou le choléra, mais je préférais être décriée par une seule personne que par tout un établissement, où je me rendais chaque jour qui plus est. J’étais enfin devant la porte de son dortoir et j’entrepris avant toute chose de réajuster mon haut et ma jupe. Les consignes avaient été claires, je ne pouvais pas risquer de l’énerver, pas avec un tel moyen de pression dans ses mains. La main tremblante, je me mis à frapper doucement avant de m’appuyer sur le mur à côté, en attendant qu’il m’ouvre. Je n’étais vraiment pas préparée à ce qu’il allait suivre et j’espérais simplement qu’il me demande de faire ses devoirs à sa place. Je pouvais toujours rêver, ce n’était pas interdit, même si clairement trop utopique. Du moment qu’il ne me plantait pas à la dernière minute et qu’il me fichait la paix par la suite, ça devrait aller. Enfin, c’est ce que je croyais. |
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Ce message a été posté Ven 21 Avr - 19:44 become the beast feat. yun hua 
 tenue ••• Le marché avait été fait un peu avant noël lorsque leur avion s’est écrasé sur une ile perdue et que Yun Hua s’était prise le chandail dans une branche sauvage. Un gentleman l’aurait aidé sans rien demander en contrepartie, mais évidemment pour un opportuniste sans cœur comme Baozi ça aurait été beaucoup trop espéré qu’un élan de bonté le touche soudainement. Non, au lieu de cela il a profité de la situation pour avoir une esclave pour une semaine. Il aurait préféré ne pas avoir à la menacer pour qu’elle vienne mais bon c’était sa faute, elle avait voulu revenir sur leur deal. Il avait rigolé tout bonnement en envoyant le dernier message, imaginant sa tête contorsionnée de colère. Elle avait intérêt à se faire belle, il ne faut pas croire qu’il laisse n’importe qui entré chez lui. Il a une réputation à maintenir. Il ne pouvait pas laisser les gens croire qu’il côtoie des thons quand même. Presque pile poil à l’heure qu’il lui avait imposé, la jeune maman arriva au pat de la porte et Baozi pu entendre les cognements à l’entrée du dortoir. Lorsqu’il ouvre la porte son regard se pose aussitôt sur sa tenue, la notant de chaque détail. Pas qu’elle allait la garder longtemps mais bon, il lui avait dit de faire un effort non? putain. « je t’ai dit d’être sexy et t’as décidé de mettre ça? t’as l’air grosse. » il lance en se massant les tempes. Heureusement il avait quelque chose qu’elle allait pouvoir enfiler qui montre plus ses formes que ça. la longueur de sa jupe est consternante, probablement qu’un sac à patate aurait montré plus ses formes que ça. il la fait entré quand même dans son dortoir. Heureusement pour elle ses colocataires sont absent, ils sont quatre mecs à vivre dans le même dortoir alors probablement qu’ils auraient maté avec le planning qu’il a pour son ex. « va enfiler cette tenue petite esclave. » il ne prend pas la peine de lui donner le sac, il le lui pointe sur la table du salon. L’ensemble de Maid s’y trouvant à ses calculs devrait à peine lui couvrir les fesses et le décolleté bien plongeant devrait être assez intéressant à voir. Kekeke. ♡ ♡ ♡
MACFLY
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Ce message a été posté Jeu 27 Avr - 20:57 Tenue ♔ Il m’était difficile, voire quasiment impossible, de conserver mon sang-froid dans une telle situation. Ce lieu, ces dortoirs, me rappelait trop ce que j’avais pu perdre en choisissant de garder Roxas et de m’occuper de lui, cette vie paisible d’étudiante qui n’avait à se préoccuper d’être un modèle de parenté en parallèle de ses études. Cependant, ce jour-là me rappelait combien les années précédant la naissance du bambin n’avaient pas été un véritable répit. Si j’étais tombée entre les griffes de Baozi c’était entièrement de ma faute, de ma naïveté, de ma crédulité et, surtout, de mon indestructible bêtise. Comment avais-je pu être assez idiote pour penser qu’il tenait ne serait-ce qu’un peu à moi ? Vu comment il me traitait désormais, le doute n’était plus permis, il n’avait pas une once de considération ou de respect à mon égard. J’avais tout au plus été un simple butin pour lui, fin de l’histoire. Et maintenant il m’utilisait à ses heures perdues pour tromper son ennui, comme un vulgaire toutou qu’on sifflerait quand on avait besoin de divertissement. Ça me répugnait, mais je n’avais pas le choix. Il m’ouvrit rapidement, sans un mot, me dévisageant de haut en bas, comme un client qui observait sa marchandise. Eurk. Je lâchai un soupir en sortant mon téléphone portable, ignorant la pique malvenue de l’étudiant. Je n’avais pas besoin que quelqu’un d’autre se charge de me créer des complexes de temps à autre, je le faisais suffisamment seule. Avec un air blasé, je pointai mon écran de smartphone sous son nez. « Tu as dit « belle » pour être exact. Tu peux regarder, pas de « sexy » dans le message. L’interprétation est libre. ». Je n’avais pas enfilé un jogging, il pouvait être content, non ? Ce n’était pas parce que je n’avais pas sorti la minijupe ou le minishort qu’il pouvait me prendre de haut de la sorte. Je me résolus tout de même à entrer dans son dortoir, d’un pas nonchalant et peu motivé, comme un agneau qui se rend à l’abattoir de son plein gré. Je jaugeai d’un air intrigué le sac qu’il m’indiquait, appréhendant ce qui pouvait s’y trouver. Des vêtements à l’évidence, mais ce n’était pas rassurant. Je me saisis dudit sac en levant les yeux au ciel, en me dirigeant vers la salle de bains. Mais je ne pus retenir une réflexion. « Je vois pas bien l’intérêt de me pomponner si je dois me changer en arrivant. Un peu de logique ne ferait pas de mal parfois tu sais. ». Non je n’arrivais pas à le suivre ni à le cerner, c’était pour cela que j’angoissais tant quant à ce qui pouvait suivre. Vu le mépris dont il avait fait preuve à mon égard, au fait que je n’étais plus l’innocente fille d’autrefois, ça ne pouvait pas dire qu’il s’intéressait encore à moi. Pourtant, une fois dans la salle de bains – fermée à clef par sécurité – je retins un cri d’indignation. Sérieusement ? Le fantasme de la maid qui travaillait en petite tenue était encore d’actualité ? Triste. Le maudissant dans mon esprit, j’enfilai à contrecœur l’accoutrement, ô combien court et inconfortable. Ceux qui l’avaient créé n’avaient jamais essayé de faire les poussières avec, cela allait de soi. Les bas et la petite coiffe en place, je fus stupéfiée par l’ampleur du décolleté et la petite longueur de la jupe. Pour une fois, j’étais plutôt satisfaite de ne pas avoir beaucoup de formes, je pouvais encore conserver un semblant de dignité. L’espoir fait vivre. Je remis mes talons et sortis enfin de la pièce, ayant placé mes vêtements personnels dans le sac, que je déposai dans un coin. « Satisfait ? C’est plus à ton goût peut-être ?, ironisai-je en tirant un peu sur la jupe pour essayer de couvrir décemment mes fesses, je suppose que je n’ai mis ça pour rien, alors dis-moi de suite ce que je dois nettoyer ou ranger. ». Même si vu l’état des lieux, il apparaissait évident que j’allais devoir mettre en ordre tout le dortoir. Quelle joie. |
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Ce message a été posté Sam 24 Juin - 18:01 become the beast feat. yun hua
tenue ••• Dès que Baozi eu ouvert la porte pour découvrir la demoiselle son expression s’était faite dure, the fuck qu’elle portait? Sérieusement? Une jupe de bonne sœur et son haut était aussi large qu’une tente, Baozi pourrait faire du camping sous son top putain! Il était vraiment insatisfait avec son choix vestimentaire c’était assez claire d’ailleurs. Elle lui met son téléphone sous le nez pour lui montrer son propre message. Interprétation libre… elle avait raison quand même, en somme il avait dit jolie et de mettre des talons haut, ce qu’elle avait fait. « Whatever, espérons que personne ne t’ai vu entrer ici, on va croire que je traîne avec une bonne sœur. » grommelle le joueur de basket. En tout cas il note mentalement que la prochaine fois il va être plus spécifique de ne pas refaire la même erreur. Heureusement elle ne gardera pas son uniforme du couvent longtemps, Baozi avait prévu le coup lui pointant un sac sur la petite table dans le salon pour qu’elle aille le récupérer et se changer de son contenue. « t’as l’air d’une grosse truie dans cette tenue. Tu devais être hot au cas où on te voit entrer chez moi, qu’on ne croit pas que je fréquente des thons. Clairement c’est raté, arrête de discuter et va enfiler ce qu’il y a dans le sac. » Il l’envoie se changer, la pressant à suivre son commandement, elle est son esclave et de ce fait elle devrait faire moins de débat et plus d’obéissance. Baozi la regarde s’enfermé dans la salle de bain alors qu’il va ensuite s’installer sur le canapé rigolant doucement en imaginant sa tête lorsqu’elle allait voir ce qui se trouvait dans le sac. Vraiment elle devrait être contente, ce n’était pas un petit costume cheap, il avait été fait spécialement pour elle, les tissus étaient luxueux et le travail avait été fait sublimement, pas un petit costume cheap de sexe shop. Tant qu’à la faire nettoyer son dortoir, Baozi la voulait bien accoutré. Baozi attend qu’elle ressorte la matant ouvertement quand c’est le cas, elle à toujours pas beaucoup de seins vraiment, il aurait pensé qu’avoir un enfant lui aurait augmenté la poitrine un peu. Vous savez, monté le lait et tout... mais bon son cul était toujours foutrement bon à regarder sous la jupe presque inexistante. La tenue la mettait quand même beaucoup plus en valeurs que ce qu’elle avait enfilé pour venir, ses jambes à découverte et la tenue lui affinant la taille et exposant toutes les bonnes choses. « ouais, t’as l’air bonne là-dedans. » il lui offre un compliment elle devrait être fier. Elle était brillante au moins elle comprenait vite ce qu’elle avait à faire, nettoyer un dortoir de mec. Donc ouais elle avait du boulot, Baozi est plutôt bien rangé mais ses collocs pas tant que ça. « ouais, je veux que tu ranges et nettoies l’appartement, tu trouveras le nécessaire dans le placard là » il lui pointe. ♡ ♡ ♡
MACFLY
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Ce message a été posté Ven 30 Juin - 1:30 Tenue ♔ Jamais je n’aurais dû accepter cette chose idiote, j’aurais mieux fait de tenter ma chance seule sur cette île infernale. J’étais certaine que j’en aurais réchappé, que je me serais décoincée sans son aide et alors, je n’aurais aucune dette à m’acquitter à cette heure. Bon sang, ma peur irrationnelle – mais pas tant au final – du feu m’emporterait dans la tombe un de ces jours. Espérons que ce fût le plus tard possible, et pas ce jour-là en l’occurrence. Chose difficile à savoir avec Baozi, qui avait la fâcheuse habitude d’être terriblement désagréable et mesquin, ou simplement méchant par plaisir. Est-ce qu’il prenait son pied à me maltraiter de la sorte ? N’avais-je pas suffisamment souffert suite à notre rupture ? Me jeter comme du linge sale n’était pas assez à ses yeux ? Pourtant, j’avais bien compris son point la dernière fois, je n’étais rien de plus qu’un objet usagé qui n’avait plus la moindre valeur depuis qu’il m’avait abandonnée. Alors pourquoi me tirer vers lui à nouveau ? Pour raviver mes vieux démons comme il se plaisait à le faire ? Personne ne m’avait traitée de « grosse » ou de « thon » depuis des années et le coup ne manqua pas. Touchée en plein cœur. « T’es pas obligé de forcer la chose. Je pense qu’il y a pire… », fut tout ce que je réussis à énoncer avant de m’éclipser dans la salle de bains pour me changer. Rien à faire, j’avais beau avoir un physique qui paraissait pour beaucoup être avantageux, ce spectre planait toujours au-dessus de moi. Et me donnait toujours autant la nausée. Les minutes que je pris pour enfiler ce costume ridicule me permirent au moins de reprendre contenance et de ne pas m’effondrer devant lui. Pas encore. J’avais trop donné. Ouvertement mal à l’aise, je me décidai tout de même à revenir dans la pièce, ayant abandonné mon honneur avec la douche. Et le fait que mon ex me regardait sous tous les angles n’aidait pas non plus. J’en eus un frisson d’horreur que je dissimulai comme je pus, son regard carnassier m’effrayait, loin de l’effet qu’il me procurait des années auparavant. Son intervention me permit de dédramatiser, je roulai des yeux, déroutée par son manque d’élégance dans ses mots. Courage, le calvaire serait fini dans quelques heures et après, je pourrais reprendre mon train-train habituel en faisant une croix sur cet épisode. Sans surprise, monsieur exigeait que je fasse le ménage dans l’ensemble du dortoir. Il eut au moins la bienveillance de m’indiquer où trouver les ustensiles nécessaires, un vrai gentleman. « Bien entendu. Avec un peu de chance, ça ne devrait pas être trop long », marmonnai-je en m’armant d’espoir et de courage. Comme indiqué, il y avait tout ce qu’il fallait dans le placard et j’optai pour le balai en premier lieu. Bordel, j’étais vraiment en train de passer le balai dans son dortoir ? Oui. Ravalant ma mauvaise volonté, je me mis à la tâche du mieux que je pouvais, priant pour qu’il vaque à ses occupations sans faire attention à moi. Mais vu le costume, ça ne devait pas être dans ses plans. |
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Ce message a été posté Sam 1 Juil - 17:20 become the beast feat. yun hua
tenue ••• Le temps s’était écoulé depuis leurs retour saint et sauf de l’île où l’avion s’était écrasé et que Baozi avait fait le marché avec la jeune femme. Alors pourquoi est-ce que c’est aujourd’hui que Baozi avait décidé de la faire venir? simplement pour élever son humeur ou parce que lorsqu’il lui avait envoyé le message il était en colère après avoir croisé son paternelle avec une de ses nouvelles greluches? Il avait envie de punir les femmes et c'est Yun Hua qui payaient pour elles. La jeune femme avait encore des sentiments non résolut depuis leurs ruptures où Baozi l’avait laissé tomber comme si elle n’avait jamais été rien d’autre qu’un trophée à vanter à ses potes. S’il y avait eu plus que cela entre eux Baozi rira simplement en dédaignant l’accusation. Elle avait été une belle paire de fesses à avoir dans son lit et un joli trophée à accrocher à son bras dans les soirées huppé et rien de plus. Les sentiments qu’elle avait eu ne sont qu’un jouet avec lesquels Baozi pourrait s’amuser à raviver juste pour la faire souffrir encore plus, la punir pour toutes ses femmes dans sa tranche d’âge qui tournent autour de sa famille et s’accrochent aux bras de son père et brise chaque jour un peu plus sa mère. Insultant Yun Hua pour atteindre sa confiance en soit, la manipuler psychologiquement en attaquant son physique. L’insultant en la rabaissant avec son poids ou plutôt comment elle avait l’aire grosse dans ses vêtements amples. il ne répond rien à sa piteuse réponse qu’un rire moqueur retournant le couteau que son insulte avait planté dans son cœur. Il la regarde partir la tête basse vers la salle de bain avec le sac refermant la tenue qu’il avait fait préparer pour elle. Celle-là au moins allait lui épouser ses courbes au lieu de lui donner des aires de grosse chienne abonné au MacDonald. Dès qu’elle fut sortie de la salle de bain et se dévoilant dans cette tenue Baozi semblait plus satisfait de son apparence allant même jusqu’à la mater ouvertement, mais ça valait mieux qu’elle s’y habitue parce qu’elle allait être regardé comme ça pendant le temps qu’elle allait passer sur ses genoux dans ce dortoir. Le sourire carnassier sur les lèvres il lui pointe le placard qu’elle bouge ses jolies fesses vers celui-ci. « pas trop long? Tu penses que je vais ne vais pas exploiter totalement de ton esclavage et te laissé partir après avoir nettoyé l’appartement. J’ai le fric pour employer une bonne, toi je vais t’utiliser jusqu’à ce que tu n’aies plus rien à donner. » lui offre Baozi dans toute la condescendance qu’il peut exprimer. Baozi la regarde faire se laissant tomber légèrement dans le sofa se mettant à son aide alors qu’il la regarde faire. « Va donc me chercher un bière dans le frigo. ah et tu devrais m’appeler ‘Master’’ ça sonne bien tu ne penses pas? » ♡ ♡ ♡
MACFLY
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Ce message a été posté Sam 1 Juil - 22:24 Tenue ♔ Je ne comprenais pas ce qu’il cherchait, quel était l’intérêt de toute cette mascarade et pourquoi le destin s’acharnait contre moi. J’étais venue, n’était-ce suffisant pour flatter son sale ego ? Avait-il besoin de me rappeler la prise qu’il avait sur moi, l’impact que pouvaient avoir ses mots ? Cela suffirait-il seulement à assouvir sa soif de supériorité ? C’était à peine si je l’avais reconnu dans ses dires lors du voyage, cela ne correspondait en rien aux souvenirs que j’avais gardés. L’amour devait vraiment rendre aveugle et idiot à la fois. Et mon idiotie m’avait conduite jusque-là, à m’abaisser de la sorte parce que je n’avais pas vraiment le choix. Tant qu’à faire une croix sur ma dignité, autant que ça ne sorte pas de ces quatre murs. Bien que le costume plus qu’affriolant et court de maid questionne mon jugement, sérieusement, c’était quoi son problème ? Il n’avait pas trouvé de fille prête à lui baiser les pieds depuis des lustres ? Enfin, si je pouvais acheter ma liberté avec un peu de ménage, je ne viendrais pas me plaindre. Pas trop. Malheureusement pour moi, il semblait que ses plans étaient tous autres et que je pouvais aller me faire voir si j’espérais m’en sortir aussi facilement. « Je doute qu’elle aurait accepté de nettoyer dans un tel accoutrement. C’est difficile de coupler efficacité et beauté tu sais. », lâchai-je d’un ton sarcastique. Je n’y croyais pas un seul instant mais vu que monsieur me trouvait « bonne » c’est que la vue était à son goût. Nul doute que les féministes me lapideraient sur la place publique pour ce que je faisais, mais mieux valait lui que tout le net pour commenter mon fessier. Et ce n’était pas comme s’il ne l’avait pas déjà vu. Le premier tas de poussière réuni, j’arquai un sourcil suite à la requête de mon ex. Il avait craqué ou bien ? Soupirant, j’allai chercher ladite bière dans le frigo, ne cachant en rien ma mauvaise volonté. « Voilà pour toi. Par contre, si tu crois que je vais t’appeler « master », tu peux toujours courir. Je fais ce que tu me demandes, c’est déjà bien assez. », rétorquai-je, en lui tendant sa boisson, avant de retourner à mes occupations. Pas moyen que j’atteste à voix haute de son ascendance sur moi, il devrait se réjouir que je m’exécute sans trop broncher. Avec un peu de chance, il se contenterait de quelques bons services sans pousser le jeu à la cruauté. Mouais. Au pire il me le ferait savoir, je n’en doutais pas un instant. |
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Ce message a été posté Sam 1 Juil - 23:38 become the beast feat. yun hua
tenue ••• L’amour rend aveugle probablement, pas que Baozi sache ce que ça fait d’aimer quelqu’un. Il ne connait que l’amour de sa propre personne. Yun Hua avait certainement été aveuglé par l’amour mais pas que cela, Baozi n’était pas toujours aussi ignoble non plus. La plupart du temps il peut-être un vrai prince même. Certes lorsqu’ils étaient ensemble il ne communiquait pas avec elle comme on le faisait normalement dans un couple, il était un peu contrôlant sur comment elle devait s’habiller, mais il était tellement subtil qu’au final il la manipulait à penser que s’était sa propre décision de changer de tenue. Il était tellement charmant quand il le coulait que s’était difficile de reconnaître l’homme incapable d’attachement réel qu’il est. Puis elle l’avait vue avec sa petite sœur et franchement si il y a bien une façade de la personnalité de Baozi qui est séduisante et extrêmement charmante c'est de le voir avec sa petite sœur dans les bras. De quoi faire rêver n’importe quelle femme de fondé une famille avec lui, parce qu’il ferait un excellent père. Seulement définitivement pas un bon mari… oh que non. Baozi est la déception incarnée, souvent quand l’on voit ses pires facettes il est déjà trop tard. « tu serais surprit, je suis certain que je peux avoir n’importe quoi avec le bons prix ou même il y a des chiennes partout prêt à faire n’importe quoi pour un de mes coups de queue.. Mais je préfère un peu plus de classe et ça m’amuse de te voir dedans. Tu le remplis bien, il te manque un peu de seins mais bon, tu as des fesses délicieuses. » oui il la trouvait bonne dans cette tenue, pourquoi cherché ailleurs lorsqu’il avait une esclave à sa portée par vrai? Bien installé dans son fauteuil Baozi lui demande une bière et la surveille du regard juste pour être certain qu’elle ne la brasse pas pour que ça lui explose au visage, ça aurait été bien possible. « aww come on, tu es mon esclave tu dois faire ce que je te dis. Il faut de que je te donne plus de motivation? » il demande. Bientôt sortant son téléphone pour allumer son appareil photo et prenant quelques clichés d’elle dans cette tenue ne cachant même pas le son de déclic de l’appareil. « je pourrais partagé cette photo, à moins que tu changes d’avis et que tu te sens soudainement plus obéissante huh? Alors Master Baozi? » il insiste portant la bière à ses lèvres. Quel enfoiré je vous jure. ♡ ♡ ♡
MACFLY
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Ce message a été posté Dim 2 Juil - 0:46 Tenue ♔ Tout s’embrouillait dans mon esprit, je peinais encore à suivre et à comprendre la situation dans laquelle je me trouvais. Le pire était que Baozi paraissait prendre un malin plaisir à m’embrouiller encore plus. Je n’arrivais pas à le discerner, ce qui ne faisait qu’attester du fait qu’au fond, je ne le connaissais pas vraiment. Du moins, je n’en étais plus sûre, il pouvait avoir tellement de facettes d’un moment à l’autre, me rabaisser sans gêne puis me complimenter sans que ça ne fasse sens. Il pouvait être adorable un instant et exécrable la minute d’après. Et pendant des mois, je n’avais rien vu, je m’étais laissée bercer par ses beaux mots et les quelques instants où j’avais eu l’impression de valoir quelque chose à ses yeux. Mais le fait était que s’il n’avait ne serait-ce qu’une once de respect pour moi, il ne me ferait pas nettoyer son appartement dans une telle tenue, d’ailleurs si je n’avais pas pieds et poings liés, je ne serais jamais venue. Ou après qu’il eut sollicité ma bonne parole trois ou quatre fois, mais comme il n’était pas du genre patient, une fois encore, ça avait été la manière forte. Je devrais vraiment apprendre à être plus fine, il était trop mesquin pour jouer franc jeu. « Eh bien, je ne vois pas pourquoi tu t’embêtes avec moi quand tu pourrais avoir le gros lot, remarquai-je en soupirant d’un air las, que veux-tu, la nature ne m’a pas spécialement gâtée non plus. ». Chose que trop de gens ont pris de plaisir à me rappeler en me comparant sans cesse à ma mère. Etait-ce ma faute si elle était si fabuleuse qu’elle était devenue mannequin et adulée partout en Corée, voire au Japon ? Enfin bon, du moment qu’il se contentait de quelques coups de balai en petite tenue et d’une bière, je pouvais respirer. L’appeler maître était tout autre chose, j’avais encore un semblant de fierté à préserver. Qui disparut dès lors que j’entendis les déclics des photos que prenait l’autre psychopathe. Qu’est-ce qui m’avait pris de sortir avec un taré pareil, franchement, je me le demandais. « Tu n’es pas obligé d’en venir aux menaces. Va, si ça peut te faire plaisir, master Baozi, articulai-je avec insistance, mon piètre accent anglais ressortant, promets-moi juste de les effacer avec ta fichue vidéo une fois que t’es satisfait. ». J’ignorais à quel moment exactement je serais acquittée de ma dette, mais si j’avais la nette certitude qu’il me ficherait la paix ensuite, ça m’allait. Je valais déjà moins qu’un insecte à ses yeux, ça ne ferait pas de grande différence, vis-à-vis du reste de l’univers, ça restait différent. Surtout avec un enfant à s’occuper. Bordel. Une fois le ménage et le rangement effectués avec un soin hors pair, je replaçai les divers ustensiles dans le placard, non contente que cette première corvée soit finie. Je n’entrais pas vraiment dans la catégorie des femmes d’intérieur, ce n’était pas un secret. « C’est fait. Qu’est-ce que je peux faire maintenant pour master Baozi ? ». Mon mécontentement était à peine dissimulé. Il n’avait pas indiqué que je devais prononcer ces mots avec respect ou enthousiasme, juste les dire, c’était déjà beaucoup. |
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