Te voilà enfin étudiante. Il faut dire qu’avant quelques mois, tu ne savais pas si tu allais même passer étudiante, il faut dire que ton avenir était plus qu’incertain. Tu espérais quand même avoir fait le bon choix d’études. Mais ce qui te remplissait de joie pour le moment, c’est l’idée que tu pourras à nouveau approcher Yi Han. Il faut dire que tes vacances ont été horribles pour ta part. Tu avais définitivement craqué la première semaine, reprenant tes mauvaises habitudes, à savoir tes scarifications ou encore tes petites tortures animalières pour rejeter ta frustration et ta tristesse. Mais bon, rien y faisait, le vide était toujours présent. Tous tes jeux n’avaient pas pu le combler, et ni ton grand frère qui n’avait que très peu de temps à t’accorder. Tu te rendais compte que ton obsession que tu avais pour lui en devenait presque vital.
Tu avoues même que ça été plus fort que toi, tu as mit les pieds dans chambre durant ses sorties nocturnes. Tu savais que tu ne devais pas, mais tu n’as pas su résister. L’idée de pouvoir pénétrer dans son petit monde qu’était sa chambre était une aubaine. Depuis le temps que vous viviez sous le même toit, tu espérais que ça arrive. Et c’était aussi plus fort que toi, tu ne pouvais pas t’empêcher de mettre un peu ton nez dans ses affaires. Tu t’es même permis de prendre un de ses t-shirts, comme pour avoir quelque chose pour te rappeler un peu plus de lui. Bon, il ne semblait pas l’avoir remarqué que tu lui as piqué, parce que sachant les sauts d’humeur du coréen, il ne t’aurait pas loupé. Il était sûrement trop occupé à coucher à gauche à droite et profiter du fait de ne plus t’avoir dans les pattes. Enfin quoi qu’il en soit, votre deal était terminé et tu allais enfin pouvoir lui adresser à nouveau la parole. Mais pour commencer, tu te devais de remettre ce que tu avais emprunté à sa place. Récupérant son vêtement dans le linge propre, tu remettais les pieds dans sa chambre, avec l’intention d’accomplir ta mission. Cependant, l’euphorie te gagnait a nouveau. Tu disais que c’était sûrement la dernière fois que tu mettais les pieds. Tu avais sûrement besoin de te rappeler de son environnement. Instinctivement, son t-shirt contre ton coeur, tu t’allongeais sur son lit. Tu aimerais tellement le voir dormir au lieu de simplement l’imaginer. Mais déjà être allongée dans la même place que lui t'embaumer un peu ton coeur.
electric bird.
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Ce message a été posté Sam 22 Avr - 19:07
TENUE † La rentrée des classes. Ah. Le temps passait trop vite à mon goût, surtout, que je n’ai pas vu les vacances passer. Cet enfoiré de Yi Han, ne m’a pas laissé sortir trop souvent. Soupirant doucement, je regardais devant moi, avant de me sortir une clope et la fumer tranquillement. Il faisait beau et chaud. Si les filles se protégeaient du soleil, moi c’était tout l’inverse. Je tentais de prendre un peu des couleurs, alors que je profitais, de la vue, de certaines filles, en mini-jupe, ou mini short. C’était très agréable à voir, je n’allais pas le nier. Même si j’aurais préféré les avoir dans mon lit. Soupirant doucement, je regardais l’heure avant de plisser le nez, autant rentrer. Je m’emmerdais, et ce petit con, avait planqué l’argent, de sorte à ce que je ne puisse pas sortir au casino m’amuser. Ce vicieux, j’allais maltraiter son corps pour me venger. Passant une main dans mes cheveux, je pris le chemin du retour, en grimaçant, on ne vivait plus dans notre maison, vu qu’on avait déménagé… Vivre avec l’autre tarée…. Je me demande comment ça s’est passé d’ailleurs, entre eux. Y’a pas eu de mort apparemment, c’est déjà pas mal… Je rentrais, ignorant si y’a du monde, avant d’aller en cuisine, pour m’ouvrir une canette de bière, et en boire une longue gorgée. Montant les escaliers, sans un bruit, je poussais la porte de ma chambre avant de voir un intrus dedans. Fronçant les sourcils, je penchais ma tête sur le côté avant de soupirer. « Aish. Si y’a bien un truc que je déteste, c’est bien ça. Qu’on vienne dans ma chambre quand je n’y suis pas. » Je claquais la porte d’un coup de pied agacé. « Et puis… Je peux savoir ce que tu fous, allongée sur mon lit, avec un t-shirt… » A moi de toute l’occurrence. Posant ma bière sur le meuble, je m’approchais avant de rire, et m’allonger au-dessus d’elle. Ecartant ses cuisses, je posais une main sur son menton. « Quoi ? La dernière fois sur le toit, ça t’a plu, alors t’en redemande ? En manque ? » susurrai-je, en baissant le regard sur son corps. « En plus tu as mis une jupe, hum, bien plus facile… » Je glissais ma main pour caresser sa cuisse avant de soulever sa jupe et m’amuser avec, l’air de rien.
Tu te sentais tellement bien à cette place que Yi Han occupait chaque nuit. Tu aimerais tellement pouvoir un jour partager lit ou même voir son adorable minois endormi. Cependant, tu fus prise de court lorsque la voix du coréen résonnait dans la pièce et que les murs tremblaient au claquement de la porte. Instinctivement, tu te redressais sur le lit, ton coeur battant. Prise sur le fait une fois de plus. Tu ne savais pas quoi lui répondre à cet instant. Avant même que tu ne puisses répondre ou même bouger, tu te retrouvais surplombé par le poids du jeune homme, te caressant la peau, n’hésitant même pas à jouer avec les volants de ta jupe. Ton sang ne fit qu’un tour. Repensant à l’épisode du toit, tu n’avais pas oublié ses paroles, ni même ses gestes qui aisément comparable à ce qu’il te faisait subir maintenant
▬ Yi Han, arrête putain, j’ai pas envie
Tu agrippais son bras sous ta jupe pour le stoppait dans sa course tandis que l’autre sur son torse tentait en vain de le repousser. Le rythme de ton coeur s’accélérait au fur et à mesure que les secondes défilaient. Etait-il capable de franchir le cap, d’abuser de ton innocence sans aucun remords ? Vu ce qu’il a été capable de faire au lycée, pourquoi se retenir alors que tu étais dans sa chambre, sur son territoire ? D’une voix faible, tu continuais tes supplications, tirant sur ta jupe pour cacher au moins ton dessous
▬ Désolée je venais juste rapporter un de tes t-shirts qui était dans mes affaires alors lâche-moi bordel
Tu ne voulais plus lui mentir, c’est vrai, mais tu te voyais mal lui dire que tu as déjà mis les pieds dans sa chambre a plusieurs reprises, et ce n’est pas seulement ce que tu as fait ici. Tu n’osais même pas imaginer sa réaction s’il le découvrait.
electric bird.
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Ce message a été posté Ven 28 Avr - 18:06
TENUE † Elle jouait avec le feu, elle n’avait que ce qu’elle méritait après tout. Je ne voyais pas pourquoi je devrais prendre des pincettes pour madame. Elle n’apprécie pas ? Alors qu’elle arrête de me casser les pieds. S’il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est bien de l’interdiction de rentrer dans la chambre. Elle n’a pas le droit. Je connais Yi Han par cœur. Et puis moi non plus je n’en voulais pas de cette chose dans ma chambre. « Yi Han, arrête putain, j’ai pas envie » Depuis quand une femme a le droit de choisir son sort ? N’importe quoi. Je souriais doucement avant de la laisser faire, se débattre. Ca rendait la chose plus mignonne, c’était là qu’on voyait la faiblesse de la femme. « Mais moi j’ai envie. » Alors c’est tout ce qui compte. Seul mes envies comptent, les siennes, je m’en fiche totalement. Si je veux l’emmerder, il faut bien que j’aille à l’encontre de ses envies de toute façon. « Désolée je venais juste rapporter un de tes t-shirts qui était dans mes affaires alors lâche-moi bordel » J’arquais un sourcil, avant de me redresser. Laissant mes jambes entre les siennes, je me mis sur mes genoux avant de lui faire relever les siennes avec mes cuisses. « Comment un t-shirt à moi pouvait être dans tes affaires ? » ça c’était la question qui m’intriguait. Je souriais doucement avant de poser une main sur l’arrière de sa cuisse. « Pourquoi tu n’as pas envie hum ? Tu m’aimes après tout… Ce n’est pas ce dont tu rêves ? Moi entre tes cuisses, le plaisir… La fascination… » Je susurrai pour la provoquer avant de baisser mon regard sur son corps. Même si elle m’agaçait je devais reconnaître qu’elle n’était pas dégueulasse, et ça ne me laissait pas indifférent… Je me penchais à nouveau vers elle avant de laisser mes lèvres caresser sa joue pour venir vers son oreille. « Sauf si tu es vierge ? »
« Mais moi j’ai envie. » Tu ne cachais même pas le frisson qui glaçait ton sang. Tu avais l’impression d’être dans un mauvais dont l’antagoniste était Yi Han. Il avait ses défauts, il ne te porte pas du tout dans ton coeur mais cette fois, tu aurais préféré de loin qu’il s’en prenne a toi physiquement plutôt que tu sois dans cette position, limite découverte a lui quitte à choisir. « Comment un t-shirt à moi pouvait être dans tes affaires ? ». Les mots te manquaient. Bon, il n’est pas idiot et tu ne voulais pas non plus accuser une employée de la maison qui pourrait mal faire son travail. Bien que tout se bousculait dans ta tête, ton coeur ratait un battement sentait son souffle sur ta peau, ses lèvres aussi proche de ta joue. Non malgré tout ce que tu pouvais dire ceci ne te laissait pas totalement indifférente et là était un problème
▬ Tu… Tu connais déjà la réponse
Depuis le premier jour où vous vous êtes adressés la parole, il savait que tu étais encore vierge. C’est limite écrit sur ton front que tu n’as jamais rien fait avec qui que ce soit. Tu n’as jamais été attiré par personne en dehors de lui. Alors toutes ces sensations que tu pouvais ressentir qu’il te décrivait t’étaient totalement inconnues
▬ Et ce n’est pas parce que j’ai des sentiments pour toi que tu peux te permettre de profiter de moi. Surtout par la force
Il y avait une part de vrai dans ce qu'il disait. Il était déjà arrivé que tu rêves d’un tel moment avec Yi Han plus d’une fois. Mais ceci ne lui permettait pas de faire ce qu’il veut. En fait, tu ne voulais surtout pas qu’il pense que du fait que tu l’aimes que tu étais prête à faire quelque concession pour lui ; surtout ce type de concession. Et la même si la façon dont il te touchait te faisait honteusement frissonner, voire même de l’effet, tu restais campé sur tes positions.
▬ Je ne vais pas me soumettre de cette façon pour ton plaisir personnel. Tu n’as qu’a demander aux putes que tu as l’habitude de sauter si t'es en manque.
Bon, cette idée ne te plaisait pas du tout, cependant qu’il ne te voit que comme un morceau de viande pour se vider était encore plus déplaisant.
▬ Alors je te le redemande laisse moi partir !
Tu commences à tenter a nouveau d’échapper à ses griffes, en lui assignant de plus en plus de coups contre son torse, ses bras en espérant qu’il te laisse quitter cette pièce
electric bird.
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Ce message a été posté Dim 7 Mai - 19:47
TENUE † « Tu… Tu connais déjà la réponse » Bien évidemment que je la connais. Cette idiote, a sûrement porté le t-shirt, reniflé, ou que sais-je. Je suis pour la seconde option. Je la vois bien renifler le t-shirt, comme une abrutie… C’est malsain. Berk. Elle est vraiment atteinte. On ne pouvait pas tomber plus pire avec Yi han. Quelle poisse, mine de rien… Aish… « Et ce n’est pas parce que j’ai des sentiments pour toi que tu peux te permettre de profiter de moi. Surtout par la force » Je passais ma main sur sa joue, avant de la regarder longuement, droit dans les yeux. « Donc, si je le fais en douceur, ça veut dire que tu accepterais ? » Demandai-je d’une voix, qui se voulait suave et provocatrice. J’étais un crevard quand je m’y mettais. Il ne fallait pas m’en vouloir non plus… Ma main descendant de sa joue, je passais le bout de mes doigts sur l’un de ses seins. Je ne m’attardais pas dessus, j’éraflais simplement. Histoire de ne pas lui faire avoir une crise cardiaque non plus. Il ne manquerait plus que ça tient. « Je ne vais pas me soumettre de cette façon pour ton plaisir personnel. Tu n’as qu’a demander aux putes que tu as l’habitude de sauter si t'es en manque. » Je levais les yeux au ciel. Les putes. Ah… Pourtant, je n’ai jamais payé une seule fille de ma vie pour pouvoir me vider les couilles. C’est bien triste quand même, de devoir en arriver là. « Alors je te le redemande laisse moi partir ! » J’évitais ses coups, avant de me redresser, et en profiter, pour regarder entre ses cuisses. Quelle magnifique petite culotte d’adolescente. Je m’installais sur le lit en soupirant. « Tu n’es pas drôle. Pour quelqu’un, qui me pourrie la vie, si je ne peux même pas coucher avec toi… Je ne vois pas l’utilité de penser à me rapprocher de toi. » A quoi bon ? Je ne suis qu’un homme. Un homme qui aime baiser. « Si tu crois que tu pourras toujours m’aimer dans ton coin, tu te trompes. C’est dommage, je t’offrais une chance de te rapprocher. Je devrais me trouver une petite-amie tiens. Plus gentille que toi. »
Tu avais l’impression qu’il t’avait tétanisé par son geste si doux sur ta joue, son regard si intense, ou même sa voix qui fut une douce musique a tes oreilles. Tu étais même incapable de lui répondre à cet instant, comme s’il avait remplacé cette peur que tu avais par cette fascination que tu avais à son égard depuis des mois. C’était vraiment fou la manière dont il pouvait parfois manipuler tes émotions. C’était vraiment déstabilisant. Mais tu ne voulais pas qu’il en profite, tu ne voulais pas non plus qu’il le voit aussi facilement. Encore moins qu’il pense à te traiter comme les filles qu’il a l’habitude de se faire. Sans même oser bouger, je l’écoutais parler. Une occasion de me rapprocher de lui ? Vraiment ?... Mais lorsqu’il évoquait une raison de se trouver une copine, ton sang ne fis qu’un tour. Tu te redressais soudainement, le visage assombri. Cette éventualité… Tu ne pourrais jamais l’accepter. Tu ne voudras jamais qu’une autre femme entre dans sa vie et si c’est le cas, tu espérais que cette potentielle fille avait les os solides
▬ J’ai envie de me rapprocher de toi, oui. Et normalement cette fois
Dis-tu d’une faible voix. Ces trois semaines loin de lui t’ont permis quand même de réfléchir un peu sur tout ce que Yi Han a pu te dire mot pour mot, ou même les conversations que as eu avec ton grand frère. Tu souhaitais le connaître réellement en dehors des infos que tu as pu dénicher, en savoir plus sur sa personnalité, sur la personne qu’il était vraiment. et sans a avoir à empiéter sur son espace personnel. Tu avais tout gâché à la Saint-Valentin. Tu te redressais un peu mieux pour ainsi remettre ta jupe en place. Tu t’adossais contre la tête de lit puis ramenais tes jambes contre ton buste.
▬ Mais tu veux juste te rapprocher pour me dépuceler ?
Lui qui semblait si obnubilé par ta virginité et ne cessait de te la balancer au visage dès que l’occasion se présentait. Comme il y a quelque minutes plus tôt.
▬ Mais admettons que nous couchions ensemble, qu’est-ce qui me prouve que tu vas cesser de t’en prendre a moi comme tu sais le faire ?
Ou même qu’il te laisserait ta chance. Il t’a clairement fait comprendre cette fois que ce qu’il l'intéressait, c’était te sauter...
▬ Je n'ai pas envie d’être juste un plan cul ou un coup d’un soir pour toi.
Tu l’aimais sincèrement, tu refusais d’être qu’une simple fille de passage. Toi aussi, tu voulais qu’il te connaisse au-delà de cette image qu’il s’est faite de toi. Et s’il avait raison ? Peut-être que coucher avec lui était mon seul moyen de créer un lien avec lui. Tu griffais tes jambes avant de secouer ta tête. Devais-tu réellement en arriver là...
electric bird.
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Ce message a été posté Mar 16 Mai - 20:27
TENUE † « J’ai envie de me rapprocher de toi, oui. Et normalement cette fois » Normalement. Cette fois. Mon dieu, c’était limite flippant à entendre ce genre de phrase mine de rien. Moi, je comprends pourquoi Yi Han, la repoussait tout ce temps, et y’a de quoi. Non, mais vraiment, cette fille faisait peur, et je suis sûr que si je filmais tout ça, et le diffusait sur internet, les gens me diraient, d’aller la faire internet. Elle fait tout à l’envers et joue les saintes ni touches. C’est le genre de fille à mériter qu’il lui arrive quelque chose. Comment peut-être suivre, non-stop et partout un garçon, l’aimer à un point, indescriptible et jouer, la pétasse vierge au dernier moment. Ah… Vraiment, c’est agaçant. « Pourquoi je devrais suivre tes envies ? Je dois toujours me plier à toi ? Te laisser me suivre ? Te laisser m’aimer ? Et maintenant te laisser te rapprocher de moi, normalement ? Qui a dit que je devais accepter tout ça venant de toi ? » Il était peut-être temps qu’on la remette à sa place aussi. Si Yi Han, ne le fait pas, moi je le ferai. « T’es pas la reine, ni une princesse. Alors je ferai ce que je voudrai, quand je le voudrai maintenant. » J’ai été bien con, de me reculer, de pas aller jusqu’au bout. Ce n’est pas elle qui aurait crié, elle aurait bien trop peur de prévenir son père, j’en suis sûr. Au pire, je l’aurai faite taire. Ce n’était pas un souci pour moi. « Mais tu veux juste te rapprocher pour me dépuceler ? » Je levais les yeux au ciel. « A ton avis ? J’ai juste envie de baiser. Un cul c’est un cul hein. T’as cru que quoi ? Que je t’aimais ? » Je pouffais doucement pour me foutre d’elle. Tellement naïve. « Mais admettons que nous couchions ensemble, qu’est-ce qui me prouve que tu vas cesser de t’en prendre a moi comme tu sais le faire ? Je n'ai pas envie d’être juste un plan cul ou un coup d’un soir pour toi. » Je me levais du lit, en prenant une clope, pour l’allumer. Sans attendre, j’ouvris la fenêtre pour faire une aération. « Aigo. Tu n’as qu’à coucher avec moi et tu sauras comment je me comporterai avec toi. Je n’ai jamais eu de plan cul, c’est très rare. Mais si tu veux, je peux t’offrir cette place. Sex friend. Il paraît que quatre-vingt-quinze pourcent des cas, finissent en couple. » Je la regardais avant de soupirer. « Aigo. Cette tenue… Ne m’excite pas. »
Tu avais l’impression d’être dans une impasse. Il ne savait pas à quel point c’était important toi d’être près de lui, l'effet qu'il pouvait avoir sur toi. C’est vrai, tu pouvais au moins admettre que tout ce que tu disais et faisais était quand même des caprices. Mais franchement que voulait-il ? Tu étais prête à faire cet énorme effort pour lui.
▬ Je ne vois pas en quoi ca change de ton attitude habituelle
Il en faisait toujours qu’à sa tête. Pourquoi cela changerait aujourd'hui, quoi que tu décides. Il sait toujours frapper là ou ça fait mal. Ça te faisait mal de l’entendre dire que tu n’es qu’un morceau de viande qu’à baiser à ses yeux. « T’as cru que quoi ? Que je t’aimais ? ». Non, tu savais qu’il ne t’aimait pas. Ça ne t’avait même pas effleuré l’esprit. Encore moins après ce qu’il t’avait dit. Tu devenais las de tout ceci. Tu devais peut-être cesser d’espérer quoi que soit. Ta vie ne sera jamais comme dans tes otome. Essayer de compenser tes désirs et les siens, voilà l’ultime option qui te restait. Si c'était le seul moyen pour rester auprès de lui... Tu passais une main dans tes cheveux avant de te lever. Sans même réfléchir un peu plus, tu fis coulisser la fermeture éclair de ta jupe puis tu laissais cette dernière glisser le long de tes jambes. Tu retirais ton pull, que tu balançais sur ton lit.
▬ C’est plus ce genre de tenue qui émoustille ton pantalon ?
Toi qui habituellement n’aimais pas dévoiler tes bras, montrer ces cicatrices qui marquaient ta peau et te rappelaient sans cesse ta douleur, voilà chose faite. Mais bon, Yi Han n’allait pas t'interroger sur leur provenance. Il se peut même qu’il pense que tu sois assez folle pour te faire autant de marques seule. Tu te rapprochais de lui de quelques pas.
▬ Je sais que tu me mens. Tu ne m’apprécieras pas plus même après m’avoir baisé ou même que tu feras l’effort de t’intéresser à moi.
En repensant a ses statistiques de mise en couple en jouant sa sex friend, tu n’as pas pu t’empêcher de te retenir de rire. Tu savais que ceci était le cadet de ses soucis. Il n’en avait foutrement rien à faire de toi. Alors que toi c’était tout le contraire. Là était ton problème.
▬ Tu ne changes pas…
Et il ne le fera jamais. Cependant ne devais-tu pas accepter ses défauts malgré ton amour ? Tu te rapprocher un peu plus de lui, t’amusant a titiller son entrejambe à l'aide de ton genou. Quitte à perdre ta virginité, autant que ce soit avec le garçon que tu aimes, même si ça ne risquait pas d’être aussi idyllique que tu pouvais imaginer.
electric bird.
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Ce message a été posté Mer 31 Mai - 19:27
TENUE † « Je ne vois pas en quoi ça change de ton attitude habituelle » Elle avait parfaitement raison. Je ne changeais pas de d’habitude. Je restais tel que je suis. C’est ainsi, au moins, elle en était consciente et c’était une bonne chose. Même si concrètement, on pouvait dire que je changeais, puisque je la draguais, non je la provoquais. Alors que j’aurais pu ne pas le faire… Vu qu’elle n’est pas du tout mon style. Pour autant, avant même de dire quoi que ce soit, je la vis bouger. Bouger pour… Se déshabiller. La regardant faire, ne me gênant pas pour le faire, je suivais, tous ses mouvements. Pourquoi je détournerai le regard ? Elle m’offrait cette magnifique vue, autant en profiter, non ? Même si mon regard, se portait sur des cicatrices assez imposantes sur son corps. Dans le fond, sa folie, ne m’étonnait pas. Etait-ce de la folie ? Ou de la tristesse ? « C’est plus ce genre de tenue qui émoustille ton pantalon ? » Je riais doucement avant de passer une main dans mes cheveux sans la quitter du regard. « Disons que j’aime les dessous beaucoup plus sexy et pas aussi enfantin. » Je pinaillais sur des détails. Quand on a envie de baiser, franchement on ne fait pas gaffe aux tenues… Mais si je pouvais la faire chier, alors je le faisais, point. « Je sais que tu me mens. Tu ne m’apprécieras pas plus même après m’avoir baisé ou même que tu feras l’effort de t’intéresser à moi. Tu ne changes pas… » Je levais les yeux au ciel en soupirant, avant de froncer les sourcils en sentant son genou sur mon entre jambe. Wow. Elle n’y allait pas de mains mortes. Je riais doucement, avant de poser mes mains sur sa taille et la faire venir un peu plus vers moi. « Il faut aussi que je t’apprenne à m’exciter ? » Dis-je avant de pousser doucement son genou. La repoussant je me levais, avant d’attraper sa main, pour la poser délicatement sur mon entrejambe. De ma main libre j’attrapais son menton pour le relever vers moi. « Je préfère sentir une main qu’un genou ou un pied… » susurrai-je dans le creux de son cou. Est-ce qu’elle était réellement prête ? C’était le moment de tester ça. Ma main se posa sur sa peau nue, sa taille avant de glisser vers sa culotte pour la tirer doucement avant de venir caresser ses fesses. « C’est mou tout ça. » Je souriais avant de venir sur le devant de sa culotte, pour glisser mes doigts vers son intimité.
Tu ne savais pas réellement ce que tu faisais en agissant comme ça, mais qu’importe, au point où tu en étais. Tu aurais préféré que cela se passe autrement, cependant, on n'a jamais ce qu’on veut. « Disons que j’aime les dessous beaucoup plus sexy et pas aussi enfantin. » Tu ne pues t’empêcher de rouler des yeux. Le contraire ne t’étonnait même pas. Tu avais une préférence pour les sous-vêtements confortable qu’un bout de ficelle entre les fesses. Mais qu’importe, en attendant, je m’amusais à le titiller. Dans la pièce, j’étais la plus inexpérimentée. D’ailleurs, tu t’attendais presque qu’il finisse par te repousser dû à ça, vu qu’il t’a dit qu’il préférait celle qui en avait. Mais ton corps soudainement proche du sien, tu compris que désormais, tu ne pouvais plus faire marche arrière et que tu allais devoir assumer ton choix.
▬ Je te connais, mais je ne sais pas ce qui te plaît dans ce domaine-là.
Aux dernières nouvelles, tu ne l’as jamais suivi jusqu’au pieu alors c’est que pour savoir ce qu’il l'excite, tu as du chemin encore à faire. Tu le laissais guider ta main vers son entrejambe, te délectant de son souffle dans ton cou. Tout comme lui faisait avec toi, tu caressais sans ménagement sa virilité. Une vive décharge gagnait ton corps quand tu sentais les doigts sur ta féminité. Tu coinçais son t-shirt entre tes doigts alors que ton visage se crispa et un soupir échappait de tes lèvres, mêlant plaisir et surprise. Tu comprenais un peu mieux où il voulait en venir en parlant de plaisir et fascination… Tu étais aussi titillée par une certaine curiosité quant au sexe. Tu défies la boucle de sa ceinture, avant de laisser ta main s’aventurer sous son tissu. Tu n’hésitais pas a palper un peu son entrejambe. Toi qui taquiner la taille de son engin lors de votre petite réunion de famille, tu semblais bien t’être trompée.
▬ Tu sais, ce serait plus simple si tu me disais qui te plais vraiment
Tu te finissais par s'accroupir au niveau de son membre, abaissant sa braguette sans grande conviction que ce genre de plaisir soit quelque chose qui lui plaît.
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