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 Le mariage de toute ma vie ! [Amy]

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Anonymous
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Ce message a été posté Ven 7 Juil - 18:32
TENUE          Je connais un peu trop cette boîte. Et ils commencent à trop me connaître aussi :  Je suis arrivé déjà à moitié bourré, en baskets, la clope encore au bec, pas même besoin de faire la queue et c’est le 3ème cocktail que la maison m’offre ! Si ça ce n’est pas de l’amour alors qu’on m’épargne les sentiments et qu’on me rende mes Mojito ! Faut dire qu’ils m’ont vu passer aussi bien ivre que sobre. Et je vais être honnête, les toilettes je les ai baptisées ! C’est pratique et confortable aussi bien pour la drague que pour le roulage de pelle, le sexe. Et vomir aussi. Puis pleurer, mais ça c’est moins fun à raconter...

L’ambiance est bonne, la piste de danse est pour une fois remplie et le bar, pour une fois quelque peu déserté. Enfin ! Je pouvais continuer à oublier mes problèmes et ceci, en paix. Mes lèvres se trempent dans l’alcool une énième fois et mon cerveau souffre rien qu’à l’idée de perdre encore une bonne centaine de neurones à chaque millilitre ingurgité. Je salue ceux qui arrivent, flirt par-ci & par-là les brebis égarées en faisant des sourires de charmeur et réussi même à choper le numéro d’une demoiselle pour « une gâterie bien méritée ». Cela à ses avantages d’être beau gosse, c’est bien vrai. Mais mes partenaires sexuelles savent que je rends la pareille quoi qu’il en soit.

Tu mets ta tête en bas une fois, tu peux être sûre d’avoir le droit de t’assoir sur mon menton pour que j’arrête de parler. Et aucune d’entre elles ne s’en est encore plaint. Faut dire que j’ai un gros appétit huhuhu….

Une fois bien imprégné de rhum et de vodka et chauffé à blanc par une blonde non loin, je me lève de mon tabouret et pars rejoindre les corps entrelacés pour me serrer contre elle et danser. Mon bassin s’ondule et je me lancine de sentir ses courbes féminines sous mes doigts, caressant de haut en bas. Petit bémol dans l’histoire, elle ne comprend rien au japonais et son anglais ne vaut même pas un clou… D’habitude ça ne m’aurait pas dérangé mais là j’ai besoin d’un minimum de communication si je veux la ramener chez moi. Je lui tapote l’épaule et grimace gentiment, boh chérie, on se reverra sûrement t’inquiète pas !

C’est alors que, me faufilant dans la file, mon entrejambe frôle une paire de fesses digne de ce nom ! Mes yeux pétillent et ma peau frissonne, je susurre à l’oreille de la belle : « Serait-ce moi ou tu as un corps parfait ?» Ce n’était pas subtil et de toute façon ce n’est pas dans mon caractère. Doucement, sans brusquer la sensualité du moment, je me glisse derrière elle un peu plus, les bras sous les siens pour attraper ses hanches et continue de chuchoter : « Rassure-moi, tu parles japonais ?» Un ricanement m’échappe et je tangue contre elle, respirant son parfum et l’odeur de son shampoing.

C’est cliché mais je suis un homme faible face aux senteurs corporelles… Et aux tignasses bien coiffées. Et les seins aussi. En fait les femmes me rendent dingues, c’est génial !!

« Noah au fait.» Je sais pas pourquoi, tout à coup j'ai un rictus bien crétin pendu au visage et c'est stupide parce qu’elle ne me voit pas... Je ne peux juste pas m’en empêcher, une de plus à conquérir, l’adrénaline et l’excitation m'envahit. Peut-être que ça marchera, peut-être pas. Mais qui arrive à résister à Noah hein ? ~


Anonymous
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Ce message a été posté Ven 7 Juil - 20:08
The Wedding
Le mariage de toute ma vie. Let me be your wife. Δ Noah &
Amy

Tenue• Encore une journée à se taper la tête à ne pas réussir une putain de note. Non je n'étais absolument pas énervée. J'étais furieuse. J'avais pas la tête à chanter une chanson aussi sentimentale que le téléfilm à l'eau de rose de l'après midi. Moi. Amoureuse et déprimée parce que cet homme m'a quittée? Ah ! Moi ? Déclarer ma flamme à un homme parce qu'il est tout ce que j'ai ? Ah ah !! Non mais pour qui elle se prend cette prof de chant ? J'ai une tête à aimer quelqu'un? Fichtre ! C'était complètement insensé. Elle m'avait embrouillée avec tout ça et mon humeur était mauvaise. Oui je l'avais mauvaise et on ne me contrariait pas !
Je rentrais donc dans ma chambre d'un pas pressé en regardant l'heure. Un petit sourire s'esquissa sur mes lèvres alors que j'allais prendre une douche. Deux heures après j'avais mangé un peu et j'étais fin prête pour sortir. Sortir où ? Quelle bonne question, et quelle question idiote. Après un moment de taxi j'arrive enfin devant cette fameuse boîte. Elle était un peu comme un repère des mauvais jours. J'y allais pour boire et draguer. Je finissais par être ivre, je rentrais et puis c'était à peu près tout. Si je n'étais pas ivre alors je finissais avec un de ces beaux gars sur lequel toutes les filles bavaient. J'avoue avoir de la chance, je ne connais plus la honte ou la gêne, je les ai laissé dans un placard ou une boîte qui est restée chez mes parents, bien enfermée à double clefs avec ma sacrée sœur.

Coupant la file je me dirige vers l'entrée. Ce n'est pas que je suis au dessus de tout le monde mais j'ai la chance d'avoir le physique, un vagin et de l'argent. Pourquoi ne pas être VIP ? Je souris et rentre donc donnant ma veste à cet homme qui travaille là. Je n'ai jamais fait plus ample connaissance avec lui. Et puis mon but était droit devant moi. Ma tenue provocante, mon attitude, ma confiance en moi, tout ce mélange intrigue ou désespère. Les regards se posent sur moi et avant que je ne puisse prendre mon premier verre on m'accoste. "Pas avant mon premier verre chéri. Va voir les autres. " Je lui lance un de ces sourires vide d'intérêt et de sincérité avant de boire ce fameux premier verre. Rapidement on m'en offre un deuxième, plus exotique. Enchaînant quelques verres mon corps se met à se mouver au rythme de la musique. L'alcool commence à faire effet et ma bonne humeur revient.

C'est dingue la différence quand on danse au bar et quand on se mêle à tout le monde. Les corps deviennent d'un coup beaucoup plus proche. La chaleur monte rapidement, les joues deviennent rouges et ce n'est pas moi qui vais dire le contraire vu mon état. Les déhanchements c'est le béaba. D'autres bassins viennent se frotter contre le tiens et tu continues jusqu'à ne plus pouvoir respirer. C'était souvent mon cas. C'était d'ailleurs comme ça que j'arrivais à emballer deux trois personnes et finir avec dans mon lit. Pas de sœur plus bonne, pas de frère qui fait la morale, pas de gros con qui préfère cette grande courge.

Les mains deviennent baladeuses mais mon envie n'est pas là. Je dégage donc quelques mains en souriant bien comme il faut, il était très clair que mes yeux et mon sourire disait : pas touche. Et pourtant je continue à danser même si aucun ici ne mérite vraiment ces mouvements. Enfin jusqu'à ce que je sente un vrai danseur. Ouais on pouvait dire ça. Un vrai lover du bassin qui cherchait quelque chose ce soir. Je suis pas conne et encore moins innocente. Cette question me fait sourire. Le tact et lui, la subtilité, c'était des contraire dans le dictionnaire et c'était totalement mon type. Et puis il fallait dire que ce compliment était une revanche pour moi alors oui j'étais contente. Cette fois je n'éloigne pas les mains qui viennent pourtant sur mon territoire. La musique ne cesse pas tout comme nos mouvements et je souris de nouveau.  "Je crois bien oui. "

Drôle de question mais ici toutes nationalité se mélangeaient alors ça prenait un sens. Encore une fois sa voix vint susurrer quelque chose à mon oreille et je souris. Il avait intérêt à être canon après m'avoir tant plu. Restant encore comme ça sans rien dire pendant quelques minutes je fini par me retourner d'un coup et mettre mes bras autour de son cou. Jackpot. Je ne peux empêcher un sourire de rester coller à mon visage. " Amy. ". Tiens on fait la paire de bons japonais.

En tout cas il a très bien commencé ce Noah mais s'il veut plus il va falloir faire encore plus. Que le  jeu commence. J'étais trop seule pour laisser filer ce beau spécimen.


© GASMASK

Anonymous
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Ce message a été posté Ven 7 Juil - 21:37
TENUE          Je crois avoir oublié ce que je voulais oublier. En même temps, n’est-ce pas là le but ? Puis vu mon antécédent avec les amnésies, c’est facile pour moi de ne pas me rappeler. Comme lorsqu’une de mes conquêtes se plaint que je ne la rappelle pas… Souvent je dis que c’est parce que son numéro ne me revenait pas. Ni sa tronche. Une petite moquerie à toujours réussi à me faire détester mais au moins, elles comprennent rapidement que je ne voulais que du sexe. Certaines sont collantes vous savez ? Je ne sais pas, certaines pensent qu’elles peuvent me changer haha ! Laissez-moi rire ! Et quand j’entreprends d’expliquer mon historique, me faisant passer pour un meurtrier, elles veulent m’aider à changer en mieux… Comme si.

Les filles (et les garçons aussi quand j'y pense, ils font tout autant pitié) peuvent se montrer désespérées pour qu’on les trouve belles et qu’on leur donne l’impression d’être appréciées juste quelques instants. Ça m’attriste rien que d’y penser. Aucune nana ne mérite de douter d’elle-même, elles ont toutes du charme quand elles veulent bien s’en donner ! Et pas forcément besoin d’être toute mince ou d’avoir les cheveux longs, non. L’attitude et le caractère, c’est ce qui fait le plus bander !

Bien sûr, c’est plutôt hypocrite de ma part étant donné que je suis actuellement en train de faire frotti-frotta contre une déesse du déhanché, bien gaulée et bien habillée. Elle se houle contre mon bassin et me rend fou, je me laisse bercé par les mouvements, fasciné par le rythme lascif et charnel. Un ronronnement grave quitte ma gorge à sa voix confiante et je souffle contre son cou dans un soupire d’anticipation. Elle me rend électrique et intéressé, quoi de mieux ? Je crois que ce n’est pas la première fois que je la vois par ici, j'aurai dû venir la saluer bien avant en y réfléchissant bien...

Glissant un genou entre ses cuisses pour taquiner, je me sens tout à coup bien trop habillé pour ça mais passe outre, je retirerai mon pull quand le temps sera voulu. Le corps d’Amy est chaud et l’humidité s’est installée sur sa peau, je trace des cercles du bout des doigts sur son ventre pour débuter puis épris par la mélodie, pianote les notes et ris doucement, la tête partant en avant sur son épaule. « Amy ? Tu as des origines occidentales ? » C’est la question bateau pour faire passer le temps, pour faire connaissance et monter la pression pendant que nos corps s’entre-chauffent à coups de frictions torrides mais sérieusement, tant qu'on se comprend je peux bander. Mes yeux cherchent les siens et de ma main gauche je dégage ses cheveux sur le côté pour arquer un sourcil et lui lancer un rictus plutôt satisfait. « Bonsoir mademoiselle ~ Tu viens parfois ici. Enchanté. » Elle a un sacré minois, je dois avouer que j'ai envie de le toucher et l'embrasser.

Faire la cour devient un challenge quand le niveau est soutenu comme celui-ci et ça m’enthousiasme d’autant plus car Bouddha seul sait combien j’aime qu’on me lance des défis. Naturellement, je dessine de mes paumes les courbes de ses hanches de chaque côté, sans cesser de la fixer, remontant mon genou de temps à autres juste de quoi la titiller, juste de quoi lui confirmer que oui, mes intentions ne sont pas innocentes mais ça, je crois qu'elle le sait.

« Que dirais-tu de te retourner pour que je puisse mieux te contempler et apprécier ce que tu as offrir devant ? Suivant ses contours, j’atterris sur la bordure de son haut et y dérapent mes pouces dessous, tentant le diable cependant sans jamais oser toucher sa poitrine habillée. Ce serait déplacé voyons ~  « Et peut-être veux-tu un peu mieux m’observer aussi ? »

Ok, si j’avais su que j’allais tomber sur un cas aussi alléchant, j’aurai mis des vêtements plus branchés. M’enfin, je voulais boire et pas me prendre la tête et puis si ça ne lui plait pas, elle n’a qu’à me les retirer. Après tout, on a l’air d’apprécier les bonnes choses tous les deux. A cette pensée, je balance avec plus de fermeté mon pelvis contre ses fesses rebondies et serrent prudemment mes phalanges sur ses côtes pour plus d’appui et la masser à chaque mouvement de bascule. Oh noon... L’alcool n’aide en rien l’envie à se calmer sous mon pantalon.

Alala Noah, quel faible homme es-tu ! Mais que dire ? Je suis embrumé par le rhum et j’ai ce fort besoin à contenter. Pas de honte à vouloir forniquer. Pas de problème si le deuxième parti fini par accepter ;)



Anonymous
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Ce message a été posté Ven 7 Juil - 22:52
The Wedding
Le mariage de toute ma vie. Let me be your wife. Δ Noah &
Amy

Tenue• Les histoires des gens m'importent peu. Ceux qui pensent qu'enchaîner quelques petites phrases peut suffire à me mettre dans leur lit et pire encore à rester avec eux, sont de pauvres idiots qui n'ont rien compris. Qui vient chercher son mari en boîte de nuit ? Pas moi. D'ailleurs je ne cherche pas de mari. Les gens pensent qu'une femme ne doit pas batifoler. Un homme dans sa vie est bien assez. Je ne suis au service de personne et encore moins ces cas au pénis qui les démangent. Si j'arrive dans un appartement que je ne connais pas, c'est que j'en ai décidé, moi et moi seule. Pas de mot doux, juste un comportement impulsif, un désir ardant qui doit être satisfait. Je ne parle pas de ma vie privée avec mes plans cul. Il manquerait plus que ça. Je suis peut être une fille qui ne se respecte pas pour la plus part des japonais mais je suis une fille qui choisie sa vie.

J'ai vite compris que la vie nous emmerdait et qu'on devait la prendre en main. J'ai beaucoup changé en prenant une claque. Maintenant j'en donne. D'ailleurs je me demandais à quand le prochain. J'avais une envie de me dépenser qui était assez étonnante. J'avais donc deux solution, tout donner ce soir et l'heureux élu serait content, je parie, ou aller me défouler demain en faisant de la boxe. Mais sincèrement, le moment était mal choisi pour réfléchir à quoique se soit.

Il fallait dire que peu à peu je perdais la raison, oubliant toutes les recommandations qu'on peut faire aux jeunes femmes. J'oubliais même ce que j'avais pu endurer avant. J'oubliais presque d'être raisonnable. Et non, me frotter à un inconnu sans même voir son visage, ne prenant pour compte que sa voix, sa manière de parler, et ses mouvements ne me dérangeait aucunement. Au contraire. J'aimais les beaux garçons comme tout le monde. Mais j'aimais à dire que le physique ne faisait pas tout. Dans sa voix et dans ses intentions, il était clair. Pas de faux semblant juste une envie que je partageais plus les mouvements devenaient lents et langoureux. Il faisait extrêmement chaud d'un coup et je suis sûre qu'il ne dirait pas le contraire. Alors le souffle contre mon cou, aussi minime soit il, me fit grandement frissonner.

Les habits ne font pas le moine comme on dit. Je sens bien qu'il est plus habillé qu'il ne le faudrait pour ce genre d'endroit mais qu'est ce que les vêtements venaient à faire dans cette histoire trop bien commencée pour finir maintenant? Non sérieusement. Ses gestes assurés et provocateurs, cette voix suave et sans tabou. On aurait dit un moi en mec. Peut être même plus poussé que moi ! Chaque geste qu'il entreprenait me faisait frissonner contre lui alors que ma main passe lentement dans ses cheveux prenant comme un repère. Ce n'est pas ni son sourire ni le mien qui va disparaître de si tôt. Si il voulait de l’occidentale il était mal tombé mais j'étais décidé à lui montrer que l'asie remportait toutes les médailles. "Pas du tout.. Taïwanaise et coréenne. Faut pas se fier au prénom. Et toi, No-ah ? ". Insistais je. Mes paroles étaient directes et confiantes. Mon visage se rapprochait de son cou avant de venir mordre légèrement son lobe d'oreille. Ah vieille technique qui fait son effet. Je lui donnais juste un avant goût. Après tout j'étais aussi étrangère si ça le faisait bander.

Lorsque je me sentis un peu plus découverte, non toucher mon corps n'est pas trop me découvrir. Voir mon visage c'est me connaître oui. Je préfère regarder quelqu'un dans les yeux quand je lui parle plutôt que son cul, quoique certains c'est mieux le cul. Mes cheveux étant tirer un peu en arrière je peux également le voir et ça mes amis ce n'était pas du bas de gamme de supermarché. On était à la marque de luxe à ce niveau, à tel point que j'en mords ma lèvre tout en souriant. Drôle d'approche mais toujours aussi efficace. " Enchantée également. Souvent oui. Habitué de ce lieu ou de passage pour voir ce qu'on y trouve ?".

Comme si cette approche collée serrée était innocente. S'il vous plait ne me prenez pas pour une idiote. Je ne cherchais pas de gars posé non plus alors j'avais répondu et j'avais bien fait. Ses mains sur moi ne me dérangeaient aucunement, bien au contraire. Il avait ce donc de toucher le point sensible qui frissonnait et faisait perdre un peu plus la tête. Sentant son genoux je ne pus que sourire en laissant échapper une citation qui me vient d'un coup pour je ne sais quelle raison. " Je jure que mes intentions sont mauvaises. ". Chuchoter, presque murmurer c'était surtout pour moi. Je trouvais ça assez drôle qu'il confirme tant ses intentions qui n'étaient pas pures avons le.

Sa question aussi me fait sourire et me fait comprendre que ce jeu était assez marrant. Ne pas regarder totalement l'autre. Laisser la surprise en se risquant de tomber sur une personne peu à notre goût. Je le laisse encore un moment en continuant chaque mouvement contre lui et plus je me rapproche plus je sens que je ne partirai pas seule ce soir. Et si ses doigts passent quelques peu sous mon haut je ne peux lui en vouloir, pas avec l'effet qu'il me fait. Je décide donc de me retourner pour contempler ce visage qui n'est pas totalement japonais à ça non. Comme mélange je n'ai pas encore vu mieux à ce jour. Mon sourire s'agrandit alors qu'il ne semble pas insatisfait non plus. " J'aurai dû me retourner plus tôt si j'avais su que j'allais voir cette vision. ". Collant mon corps totalement à lui en passant mes mains sur son torse je me rapproche dangereusement pour venir susurrer près de ses lèvres: " La vision de devant te plait autant que de derrière? ".

La musique est entraînante et le corps de mon partenaire également. Alors au fur et à mesure qu'il augmente la cadence je ne me fais pas prier et viens plus près, plus loin. Cette danse endiablée n'a pas fini de nous mettre dans un état que je qualifierai de second. Je sais maintenant l'effet que je lui fais. Les frottements aidant. Remarquant les tissus qui s'empilaient sur son corps je fis une légère moue avant de tirer quelque peu son pull. " Tu n'as pas trop chaud là? Tu sais que tu peux l'enlever.. Ou te le faire enlever. ". Mon sourire ne démord pas, j'allais voir ce qu'il cachait sous ce gros truc qui allait bien avec la tenue mais qui me gâchait la vue et le toucher.

Moi ? Chercher ? Jamais voyons. Je suis la plus sainte des filles qui n'a comme idée que de l'empêcher de tomber sous la chaleur voyons! Mais même en enlevant le pull je promettais qu'il aurait toujours aussi chaud. Me retournant de nouveau je laisse mon fessier se frotter contre son entre jambe bien réveillée. Si se mouver en faisant des mouvements lents et langoureux étaient un sport je serais sûrement championne.

Amy quand vas tu te calmer? A chaque mouvement de sa part je me disais que j'étais bien célibataire et libre. Appelez moi comme vous voulez, cet homme là il ne fallait pas le louper.

© GASMASK

Anonymous
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Ce message a été posté Sam 8 Juil - 15:02
TENUE          Les femmes sont mon pêché mignon. Je peux pas m’en empêcher, même au lycée avant Alissa j’avais une réputation de Don Juan et à cette époque, ça n’arrêtait pas même les plus innocentes à venir me confesser leur amour ou me montrer ce qu’il se cachaient sous leurs jupes… Comme quoi, le faciès joue un rôle dedans (et peut-être le fait que mes parents soient connus, qui sait…). Cette volupté et cette rondeur réveille en moi une animosité et quand la jeune femme est en plus accompagnée d’un caractère bien trempé, c’est assuré qu’il faut que ça finisse par nos corps dénudés.

Alors Amy aurait pu être congolaise, italienne ou américaine, ça n’aurait rien changé, elle m’a tapé dans l’œil et me donne des frissons, ce n’est pas une nationalité ou des origines qui vont me faire changer d’avis. « Haa, je vois, je vois. » J’ai la chair de poule quand sa main file entre mes cheveux et m’en mord la lippe, mes muscles se détendant, les effets de l’alcool rendant le monde plus éthéré, plus éphémères. « Franco-japonais. » dis-je avec le souffle coupé, souriant jusqu’aux pommettes à son suçotement à l’oreille. Je n’ai jamais été très fan de ce genre de geste mais les sensations restent attrayantes malgré tout, j’en aurai presque enfoncé mes ongles sur sa cage thoracique par plaisir. Ma langue passe sur ma lèvre inférieure pour ensuite glisser des baisers papillons sur le triangle de sa nuque.  Me retenir de lui sauter dessus, de succomber dans l’immédiat, c’est ce qui me rend bien plus dur en bas, je suis passé maître dans la frustration. Plus c’est lent et plus j’aime ça et souvent, c’est la même pour les nanas. Je découvre son visage et je vois qu’on porte la même expression. Et ce n’est que le début Amy, je suis encore mieux vu de devant.

« Un peu trop habitué si tu veux mon avis. » Si je pouvais me jeter sur ses lèvres là, maintenant, de suite, je le ferai. Cependant ce serait trop jouer cartes sur table et la patience paraît-il, est une vertu. Dans nos remous libidineux, calmes et décidées, mes mains tracent et retracent le territoire de son enveloppe charnelle si bien dessinées. Pas besoin d’être doué en mathématiques pour deviner ses mensurations et se rendre compte qu’elle pratique une activité physique régulière, ah ça non.

Qu’est-ce que j’ai envie de faire disparaître tous ces gens qui nous bousculent quand ils passent et qui hurlent par-dessus la musique. Il y a un petit je ne sais quoi dans sa voix, une étincelle dans son comportement qui me rappelle moi sous bien des plans. ? Tiens ? Je dégage mon nez de ses cheveux, qui s’était perdu là pour respirer son odeur et cligne des paupières de curiosité. Qu’est-ce qu’elle a dit ? Les basses résonnent dans mon poitrail et les sifflements aigües des enceintes encadrant le bar ne me permettent pas de déchiffrer plus que « mes intentions ». Je passe outre et attaque sa nuque de mes dents, mordillant puis couvrant de bises une parcelle satinée de blanc. Amy est faîte d’ivoire et j’ai un affolant désir de la faire se plier sous ma langue et mes morsures bien placées.
En quête de plus, d’encore et de mieux, elle tournoie sur elle comme une danseuse après ma demande et mon cœur, ou bien mon pénis qui sait, se languit de pouvoir l’effleurer de part et d’autre et de retirer tous ces vêtements.

« Je te retourne le compliment, bon sang. » Je grogne à ses attouchements sur mon torse et plaque mes paumes sur son postérieur avec agressivité, palpant les muscles qui me tentaient depuis cinq bonnes minutes maintenant. « Devant ? C’est même encore plus irrésistible si je puis me permettre… » Bouche presque contre bouche, j’ai du mal à rester concentrer et le monde tangue et mon équilibre me quitte presque, entretenant notre danse avec plus de difficulté.

Nous sommes en trance, un peu à cause des cocktails, un peu à cause de notre appétit sexuels : Je le vois dans ces pupilles dilatées, dans la sueur qui nous recouvre, dans mon membre qui s’engorge, c’est un tout qui confirme le résultat qui adviendra si nous continuons ses pas. Mes actions deviennent plus précises sur ses fesses, tâtant de droite à gauche et osant même appuyer vers le centre des indexes, m’imaginant sa lune déshabillée sur moi. Intrépide oui, brusque ? Non, voyons, je n'ai pas été élevé comme ça. Là-haut, je reste sage et continue de faire héler les soupapes, caressant son nez du mien, manquant de plaquer nos commissures ensemble au moins trois fois. Et dire que je n'attends que ça est un euphémisme, croyez-moi ! « J’ai très chaud. Mais laisse-moi l’enlever et je te laisserai m’arracher ma chemise le temps venu. » Un sourire arrogant en décoration, elle se retourne et j’insiste sur le bassin, balançant mon torse et mes jambes comme un pendule. Profitant de cet interlude dépravé, je la tire avec moi vers le bar pour enfin pouvoir jeter cet horrible pull et la retourne de mon initiative cette fois, plein de vigueur et loin de la tenir avec des pincettes pour ENFIN heurter son menton du mien dans une embrassade chaude, main gauche dans ses mèches brunes, la droite sur sa chute de reins. Elle a le goût de vodka, sirop de grenadine et extasie, je sens tout le long de mon échine un courant électrique passer putain, que c'est bon ! Délicieux même. Et c’est seulement en me reculant pour mieux l’observer que je reprends enfin mon souffle, suffoquant de libido. « Et tu n’as pas chaud avec tes bas ? Ta chemise ? Tes habits ? Tout court ? » Mon rictus ne me quitte pas et il y a de quoi, j’ai goûté à la pomme, il ne me reste plus qu’à goûter au paradis se trouvant entre ses jambes.

Confiant, je confirme mon insolence en la maintenant entre mes bras, descendant sur ses cuisses dénudées de tissu, sifflant entre mes dents, mes iris plantées dans les siennes. « J’ai envie de toucher plus que ça, je l’admets. Mais j’ai aussi envie de t’inviter prendre un verre, c’est bizarre peut-être ? » Je ris et retourne provoquer sa lippe de la mienne, notre premier baiser était bon et urgent certes, toutefois ne nous hâtons pas trop à passer de suite à la vitesse supérieure, la soirée ne fait que commencer et nous n’en profiterons pas assez à cause du buzz spiritueux. Ce serait dommage de gâcher une occasion pareille à cause de ça, non ? Pfff, que dis-je, je serai le premier à lui proposer qu'on aille se finir dans les toilettes...




Anonymous
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Ce message a été posté Sam 8 Juil - 16:49
The Wedding
Le mariage de toute ma vie. Let me be your wife. Δ Noah &
Amy

Tenue•  Dire que j'avais toujours été aussi désirée aurait été un mensonge plus gros que moi. Plus gros que n'importe qui sur cette terre. Mais j'ai toujours trouvé intérêt dans les muscles masculins. Comme toutes les autres je bavais sur les quelques idoles assez masculines que je connaissais. Comme les autres sans être pareille. Je n'ai jamais eu autant de conquête qu'en cinq ans environ. J'enchaîne en ayant même parfois des relations. Les grosses blagues de la décennie d'ailleurs. Mais  c'est amusant de les voir s'énerver pour une voiture disparue ou des affaires brûlées. J'aime jouer mais je suis mauvaise joueuse..de temps en temps.

Les origines. Belles manières de ne pas tomber dans la routine des japonais. Mais ce n'était pas important. Beaucoup de japonais m'ont surprise. Les origines n'étaient qu'un petit moyen de faire voyager rapidement son interlocuteur. Sait on jamais le fantasme de certains. La discussion n'est pas à son beau fixe mais ce n'est pas vraiment ce qu'on cherche à faire. Parler devient difficile, la respiration étant saccadée et guidée par des désirs primaires augmentés par des mouvements bien trop sensuels. L'alcool coule dans mes veines et me donne encore plus d'envie. Comme si il avait brisé toutes les chaînes de retenue que je pouvais me mettre. Franco-japonais. Eh beh, j'en connais pas des français japonais, mais ce mélange est très réussit quand tu vois le magnifique Apollon derrière moi. " Les deux font bon ménage ". Chaque geste est calculé et déplacé. Qui ferait ça à un inconnu? Et c'est ça que j'aime chez Noah. Il ne demande pas la permission, il la prend. C'est assez hasardeux mais ce soir ça marche. Et pas qu'un peu, son emprise se resserrant, ses lèvres sur ma peau ça a le don de me rendre folle. Ces sensations sont presque trop fortes pour être contenue, l'envie de me retourner, l'embrasser et directement le tirer hors de cette piste de danse est grand, mais quand on voit comment réagit à si peu, je suis sûre qu'on peu avoir encore mieux. Frissons, soupire, sourire tout se mélange et ma tête tourne quelque peu. La chaleur, le désir et l'alcool faisant bon ménage pour être complètement déboussolé.

Trop habitué ? Il peut être trop habitué? Mon sourire ne cache pas mon amusement face à cette déclaration. L'habitude de venir est grande, le désir de toujours revenir l'est encore plus. Mais cette fois j'avais bien fait de revenir. C'était le soir parfait. N'importe qui qui regarderait de l'extérieur nous prendrait pour des gens nous connaissant. C'est pourquoi ses mains qui semblaient refaire chaque courbe de mon corps semblait si familières. Et mes mains semblaient également faire de son corps un endroit familier où elles reconnaîtraient chaque parcelle.

Il était clair que si nous n'étions pas sur cette piste de danse, dans cette boîte de nuit et sans ces gens, je ne me serais pas autant contrôler. Même si l'attente fait partie de préliminaires d'un nouveau genre et surtout d'un autre level je n'arriverais pas à attendre. Mais je ferai tout pour le faire craquer en premier tout de même. Ici ou ailleurs il craquera le premier, je ne voulais pas perdre ce duel que je m'étais mise en tête moi même. Si j'avais lâché cette citation tout à fait naturellement je ne l'avais pas fait pour qu'elle soit entendu. Mais j'avais cette manie de devoir dire ce qu'il me passait par la tête. Sauf en ce moment, je ne parlais pas à Noah mais je lui montrait directement ce que je voulais, et ses intentions étaient aussi claires que les miennes. Pour preuve mes hanches ne cessent de frotter contre ce corps chaud qui me colle depuis quelques minutes maintenant. Les dents de mon camarade de jeu se font sentir sur ma peau frissonnante, une vague de chaleur me prend alors, commençant dans le  bas ventre comme s'il venait pile poil de toucher un endroit sensible. Ce qui me fit d'ailleurs fermer les yeux quelques secondes avant que je ne me retourne complètement faisant maintenant face à l'objet de mon désir.

Un petit rire m'échappe alors que notre état ne cesse d'être de pire en pire. La chaleur est presque insupportable et l'attente un supplice. D'un coup mon corps épouse parfaitement les courbes de celui du brun alors qu'il vient de plaquer ses paumes contre mon fessier. Un geste de gros con lorsqu'on ne s'amuse pas comme nous. Là son geste est le bienvenu. Le reste devient superflu, il est dur de ne pas se laisser tenter par les lèvres de l'autre, dur de ne pas aller plus loin. " J'avoue avoir eu une belle surprise. ".

Rien ni personne ne peut dire le contraire: nos corps sont en feu et les mouvements de danse deviennent difficile à effectuer. Et si je continue de bouger quelque peu ce n'est qu'une envie lacérante qui brûle mes reins et me donne envie de plus. La tête me manque et l'envie prend le dessus sur tout. Il a le dessus avec ces gestes à la limites du raisonnable. A la limite de l'acceptable même. Et pourtant je suis incapable de lui refuser quoique se soit. Notre danse est beaucoup trop chaude, notre envie beaucoup trop mordante et présente pour que je le repousse. Ses lèvres sont beaucoup trop près pour que les miennes ne se sentent appeler par elles. Je n'ai qu'une envie: en finir avec cette attente qui me fait tourner la tête. C'est comme si je ne faisais que regarder mais que ma respiration se stoppait. Mon sourire lui répond alors que je serre un peu plus son pull dans mes mains, seule pression que je peux exercer et qui me permet d'évacuer un peu un trop plein d'émotions. " N'oublies pas ce que tu viens de dire et n'ose même pas ne pas tenir parole ! ". Je viens chercher ses lèvres ne faisant que les frôler avant de me retourner. Cette danse allait mal finir c'est moi qui vous le dit. Mais fort heureusement après de longs gestes il m’entraîne vers le bar. Enfin un peu de répit et surtout: une légère intimité, vu le nombre de personnes qui sont sur la piste et non au bar. Et c'est surtout là que je sens enfin ses lèvres contre les miennes. Plus de jeu, on ne se frôle plus. Le pull enlevé je peux enfin venir serrer ce haut bien plus fin qui me donne presque accès à sa peau. Mes talons me permettent d'être à une bonne taille pour pouvoir continuer cette échange, chaud, langoureux et rempli de désir l'un pour l'autre. Pourquoi je ne rencontre pas des gens comme ça tous les jours? Je pourrai même finir par me caser si on me promets une nuit comme celle ci au moins une fois par semaine.Lui aussi a bu avant d'aller danser, lui aussi sent l'alcool. Et ce n'est qu'une autre manière de me sentir enivrée par lui. Le souffle court, les joues rougies, les yeux luisant d'une envie non dissimulée je le regarde et sourit une fois nos corps légèrement séparés. Je passe une main sur sa nuque en répondant avec autant de malice. "Tellement chaud! J'aimerai ne plus rien avoir là maintenant. Mais se serait indécent non? ".Ce faux air innocent, cette invitation totalement ouverte et non subtile. Il faut encore attendre. On vient à peine de commencer, mais c'est de plus en plus dur et il n'y avait pas que l'attente qui l'était.

Et rapidement il me donne confirmation. Il me donne encore une fois une raison de vouloir le plaquer contre ce bar et de faire des choses, vraiment vraiment peu catholiques, même pas orthodoxes tiens. Ma lèvre se fait encore mordre mon sourire étire une fois de plus mes lèvres. " Non. La chaleur va t on dire. ". La demande est un frein au reste mais ne remet qu'à légèrement plus tard l'inévitable. Un petit verre n'a jamais fait de mal à personne et encore moins avec cette chaleur qui nous bouffe depuis tout à l'heure. Je passe une main dans mes cheveux, il me cherche encore alors que j'essaie de me calmer, il va se retrouver avec une mauvaise surprise. Prenant mon temps je joue également avec sa lèvre. Et merde où est la raison quand on a besoin d'elle? Disons qu'il sera dommage de finir rapidement ce qui était si bien parti.. Mais j'avais une envie folle de finir. Alors rapidement je commande un verre mordant plus que de raison ma lèvre qui me fait office de self Control. En prenant deux verres commandés je lui en donne un avant de boire ce verre cul sec de mon côté. Beaucoup trop de chaleur, beaucoup trop d'envie. " J'admets que c'est en train de me faire perdre la tête ton attente.. ".Je ris un peu en commandant un autre verre.


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Ce message a été posté Dim 9 Juil - 16:00
TENUE          Il y a des jours comme ça où je suis chanceux, je tombe sur une rencontre agréable, une demoiselle qui me laisse jouer, une nana que ça ne dérange pas de ne rien connaître de moi. Et c’est dans ces moments-là que je suis rassuré. Loin de tout problème d’identité, je ne me pose pas la question du pourquoi, ni de comment. La seule chose qui m’importe ce sont ses doigts sur ma nuque, ses lèvres sur ma peau humide et la façon dont se courbe son dos à chacune de mes provocations buccales. Une façon comme une autre de faire connaissance selon moi, on en apprend beaucoup sur la personne pendant les préliminaires vous savez. Conseil d’ami, vous me remercierai plus tard, un homme qui ne va pas en bas alors que vous le faîte, non non non. Pas la peine de vous donner toutes les excuses du monde, y en a des gens comme moi qui cherche à se faire s’assoir dessus alors allez voir ailleurs tant que vous en avez encore le temps !

C’est poétique en soit, de toucher le corps d’Amy pour le connaître et l’assimiler, y déceler tous les trésors qu’elle peut bien planquer. J’ai envie de le mordre et le griffer, la faire tirer mes cheveux dans un orgasme et l’entendre gémir des « oui » à chaque à-coup bien placé. C’est aussi érotique en soit, de sentir tout mon être bouillir et frémir, que mes veines pulsent de désir et de rhum citronné, que mon souffle m’abandonne à chaque touché. « Une très belle surprise » ajoutais-je dans une respiration rauque, je vais finir par craquer, j’en tremble du bout des doigts tellement je me sens exploser. Non, pas maintenant, pas de suite, pas quand je la tien et qu’elle se donne à moi sans aucun frein. A sa détermination, je lâche un sourire jusqu’aux oreilles et hoche de la tête : « J’en meurs d’envie alors crois-moi, tu peux même la déchirer et la brûler après. » Oh oui, oui, je ne veux que ça : Déshabille-moi comme si c’était la dernière fois.

Et laisse-moi t’embrasser comme si les secondes étaient comptées… En face du bar, j’en ai rien à branler, je lui mange les lèvres et l’agrippe par la taille, je baigne dans l’intoxication et goûte un peu de paradis, c’est flou et fou, Amy me fait grogner, Amy c’est ma nouvelle lubie, je dois la posséder. Je m’accroche, encore une minute s’il vous plait, tant pis si ma gorge s’assèche et que mon cerveau n’est plus irrigué, comme si je m’en servais anyway. Toutefois, l’embrassade réclame deux personnes et quand sa langue contre la mienne fatigue et que ma vision se trouble, je décroche et enchaîne avec plus de teasing et de sex appeal et je lui lâche la phrase de de je veux te tripoter plus bas. Parce qu’il m’en faut plus, plus et encore plus, putain. Si on m’avait prévenu que je serai tombé sur une déesse, j’aurai fait en sorte de ressembler au moins à Apollon. M’enfin, une fois tous nus, c’est le talent et le nature qui marche et franchement, vu l’alcool qu’on a dans le sang, je crois peut-être un peu exagérer ? Peut-être ? Je verrai ça demain matin.

« Ce serait indécent mais plutôt sympa à regarder, je crois. J'aime la forme de tes seins» Un brin moqueur, un brin provocateur, et surtout ne connaissant pas la courtoisie, je la cherche et la trouve, fixe ses yeux et enregistre tout le désir qui y brûle au fond et rien que de savoir ça, je m’étonne que le bouton de mon jean n’est pas encore sauté. Et c’est dangereux, très dangereux, de m’approcher, de l’effleurer, de la contempler et de l’imaginer nu entre mes mains. « C’est clair qu’il fait chaud, mais je ne crois pas que ça soit nos habits ou la danse ha !» J’en rigole et commande aussi quatre shots pour bien nous achever et, comme ma partenaire, enfile sec le cocktail fruité, mes tempes faisant pression sur ma boîte crânienne. Je n’ai même pas remarqué ma putain de migraine tellement mon sang est calé dans ma région basse, manquerait plus que mes hallucinations commencent et là je saurai que j’ai atteint ma limite d’alcool. De toute façon c’est certain, demain matin je vomis mes intestins !

« Je suis pété si je dois être honnête avec toi. » Quoi ? Vaut mieux être dans le vrai, au moins elle a quoi s’attendre. « Je te fais attendre mais je fais pas mon malin, là tu me dirais vas-y Noah, viens, on va se marier. Pfff, j’irai sans hésiter ! » En y repensant c’est pas une mauvaise idée… Je fronce les sourcils, pensif, et glisse une main sur sa cuisse tout en buvant un shot de tequila, grimaçant. « Bien que je préfèrerai qu'on finisse dans mon lit plutôt qu'à la mairie... » Non mais franchement, Noah t’es pas en train d’y songer là ? Tu la connais ni d’Eve, ni d’Adam ! C’est là où c’est drôle, nan ? Je veux dire, où est l’intérêt de se marier avec une personne qu’on connaît ?! Je suis un gros amas de WTF. Mes lèvres se pincent et je m’appuie un peu plus sur le bar pour garder l’équilibre, égaré dans mes pensées, remontant mes doigts vers son petit short pour la titiller. Noah ? Allo ?   « Non sérieux. Ce serait pas génial ? » Ca m’a échappé okay ?! Elle ferait une bonne femme. « On a pas d’antécédents de crise cardiaque dans la famille donc y a ça. » Je crois que la folie m’a gagné, encore une fois. Rah, je suis irrécupérable et complètement taré.

Toutefois, dans la vie, faut savoir s'amuser!




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Ce message a été posté Dim 9 Juil - 20:19
The Wedding
Le mariage de toute ma vie. Let me be your wife. Δ Noah &
Amy

Tenue•  Les soirées passaient généralement assez rapidement et pourtant je les voyais s'écouler lentement. Peut être parce que mon intérêt n'avait pas été autant titiller depuis longtemps; Je ne cherchais pas qui était les personnes qui m’intéressaient parce que je savais que je ne me poserai pas avec eux. C'était une histoire d'un soir, d'une soirée, d'un verre. C'était presque triste pour certains, qui disaient que ma vie n'était pas satisfaite et que je fuyais le bonheur autant que d'être blessée. Sans blague?? Qui veut être blessé ? AH oui y a les maso mais pas moi. Je ne voulais pas m'encombrer d'une gêne qu'était le couple. Je ne voulais pas m'encombrer d'un poids qu'était l'amour. Et puis que dire ? Je ne ressentais pas ce battement de coeur irrégulier pour qui que se soit, et comment ne pas résister à toutes ces chairs si délicieuses qui se présentaient devant moi? Je ne pouvais pas. Et je ne refuserai pas Noah. Certainement pas. Je n'avais pas besoin d'en savoir plus sur lui: ce qu'il faisait me plaisait, point.

Et si le laisser me toucher voulait dire qu'il pouvait en apprendre plus sur moi alors qu'il le fasse. Ses mains semblaient expertes et savaient exactement où se placer pour faire frémir mon corps, pour le faire vibrer au rythme qu'il voulait. Dans tout ça j'avoue ne pas avoir beaucoup de contrôle même si je mélange son habilité avec mon sens de la provocation. Si mes hanches se frottent contre les siennes, si mes mains passent dans sa chevelure et que mes lèvres veulent désespéramment rejoindre leurs jumelles c'est que le jeu continue. Que le jeu auquel nous jouons est dangereux mais tellement bon qu'il met impossible d'y mettre fin. Un rire m'échappe. La surprise est belle, la surprise est grande. Devrais je le faire craquer? Ou juste attendre encore et encore jusqu'à ne plus tenir ? Mes mots sont assurés et honnêtes. Je ne laisserai pas cette chemise sur ce torse. La brûler? Je ris grandement,
si il savait.." Alors ne t'attends pas à la revoir.  "Un sourire charmeur prend place sur mon visage.

Le baiser est chaud, il est désireux et ne se stoppe pas après quelques secondes. Il ne réclame aucune raison et ne demande que de la folie. Oui on est complètement fous et personnes autour n'a d'importance en ce moment où sa bouche rencontre la mienne. Où je découvre le goût qu'à ce jeune homme bien imprudent et direct. Et si on m'avait dit qu'il avait le goût de la vodka alors j'en aurai fait mon cocktail préféré depuis longtemps. Ce baiser nous enivre et me rend encore plus impatiente. Mes mains cherchent désespéramment à s'agripper à quelque chose. A lui surtout. Sa chemise, son torse, peu importe il me faut cette prise qui me laisse sur terre avant que je ne décolle complètement et que je deviennes vraiment quelqu'un d'autre. Sous l'alcool et la chaleur j'ai l'impression de fondre alors qu'il me tease encore et encore. Tu ne l'emporteras pas au paradis ça mon petit Noah. Ce soir je vais lui montrer qu'il ne s'est pas frotter contre une fille calme, une fille qui attend et qui se laisse faire. S'il voulait du caractère il allait en avoir.

" Le problème est que ce spectacle n'est pas non plus tout public. Il faut être VIP. Alors dans l'intimité c'est mieux. Ah merci. ON me le dit pas souvent  " Je répondis aussi naturellement qu'un simple "ils sont beaux tes yeux". Oh ne mentez pas, personne ne regarde dans les yeux de nos jours. Et puis mes mains se sont délibérément mises sur mes seins pour regarder la forme de moi même. Mouais pas mal. Je le regarde toujours avec autant d'envie et de désir, de l'impatience mélangée à une sorte de sentiment qui se veut joueur. Celui qui vous fait patienter jusqu'au dernière limite physique. " Je ne pense pas non plus. Si tu veux mon avis on a beaucoup trop envie l'un de l'autre et ça...ça donne chaud.  " Franche ? Oui je l'étais. On allait pas passer par quatre chemins. On allait pas non plus blaguer sur ça alors que j'étais sur le point de craquer et l'emmener dans n'importe quel endroit qui fasse "intime". Mais l'alcool me ramène vers le bar et m'empêche de faire cette "connerie". Après avoir attendu tout ce temps il fallait bien finir. Prenant donc ce cocktail d'un coup puis ces shot ma tête à l'impression de faire un looping. Rien n'est attaché et même mon coeur se met à tanguer. Merde... Je vais pas vomir maintenant !! Mais mes yeux se ferment afin d'essayer de reprendre un centre de gravité alors que je commence à rire.

Je connaissais cet état second d'ivresse, je le connaissais bien. Riant toujours plus je le regarde et hoche la tête. " Là moi aussi ! mais y a aucun soucis ! Tant que je te vomis pas dessus et toi non plus tout va bien se passer " Alors que je reprenais un shot en redonnant un à mon futur amant d'un soir je le regarda en ouvrant bien les yeux une fois le shot prit. " Tant qu'on baise ce soir tout est bon :! Ah non !! Pas de mariage ça va pas ou quoi ? Il faut des fiançailles avant !!  " Pardon ? des fiançailles ? Qu'est ce que je venais de dire? En fait de quoi parlait on? De mariage ? Finalement c'était drôle. J'aimerai me marier avec un mec qui me donne cette sensation à chaque fois. Ne rien connaître de lui pour tout découvrir dans la vie, c'était quitte ou double. Mais je ne me marierai jamais alors peut être que c'était l'occasion. L'occa-quoi? Je viens un peu plus contre lui faisant frotter cette cuisse contre son point le plus sensible l'ayant passée préalablement entre ces deux jambes. J'hochais la tête. Le lit était une fucking bonne idée. Le regardant avec un verre dans la main, celui vide, je me mords un peu la lèvre. C'est vrai que bizarrement cette perspective ne semble pas étrange, ou folle, ou complètement impossible mais belle et bien "géniale. " Une nouvelle fois mon rire raisonne et je pose mon verre l'air décidée. Non non non non. Amy tu sais ce que c'est de faire des connerie, n'en fais pas. " Très bien !!! Monsieur Noah Bombe sexuel que je veux avoir dans mon lit et qui n'a pas d'antécédents de crise cardiaque , fiances toi avec moi ce soir! Là. Maintenant !  " Je souris étant sérieuse dans ma connerie. Ce soir il serait mon mari !!

Au fait, qu'est ce que je venais faire ici?

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Ce message a été posté Lun 24 Juil - 22:13
TENUE           Si la folie était une de mes tendres connaissances, celle qui hante mes nuits et me fait halluciner… La connerie reste quant à elle ma meilleure amie, la femme de ma vie et en même temps, ma pire ennemie. Comment sommes-nous passés d’entrelacements langoureux et chaud sur la piste de danse à des yeux retournés, des estomacs alcoolisés et des paroles douteuses et vides de logique. Et ce souhait stupide ? Dans ma tête, mon petit cerveau bulle et je le sens tremper dans la vodka, le rhum et tous les autres spiritueux que j’ai dû avaler.

Plus je regarde Amy et plus j’ai des flashs de ce qu’on a pu se dire, de notre façon de se regarder, de se toucher. De ses ongles de couleur foncées et brillants sur ses seins voluptueux et de ses lèvres dessinant tous ces sourires. J’en avais même ri de cette fameuse réplique qu’on lui dit pas souvent « Je suis toujours content de faire des compliments originaux ! »

On joue au chat et la souris mais nous sommes tous les deux prédateurs et tout le monde finit par gagner à la fin du jeu, ses pupilles dilatées, ses jambes douces et fermes, mes doigts sur ses cuisses et mes iris fixant son faciès et sa bouche à chacun de ses mots : Je meurs d’envie de l’embrasser. Mais on boit, on boit, on boit et on boit, j’ai toujours aussi chaud. On boit encore. Cocktails et shots, c’est comme ça que nous sommes devenus des éponges imbibées. Je vois un peu flou toutefois, je vois encore les courbes et les formes d’Amy, sa chevelure ondulée et sauvage et tous ces atouts qu’elle ne cache pas du tout.

« Ah oui, respectons la tradition ! Les fiançailles d’abord et plus tard, mariage. D’abord, sexe et tout ça. Et surtout… ça. » dis-je, avec beaucoup de confiance et de euh, japonais. Je bouge les bras, les mains, le menton. Tout s’exprime avec moi, mes mouvements deviennent désordonnés, mon cœur s’emballe et ma peau chauffe de plaisir et d’euphorie. Puis, il y a sa jambe entre les miennes et je ronronne et reprends un autre verre pour le vider sec, la fixe et touche du bout du pouce sa lippe et je hoche la tête encore une fois et une autre fois et rigole en même temps. « Ptin oui. On va se fiancer. Et je ferai l’amour toute la nuit après !» J’agrippe sa hanche et la fait glisser hâtivement contre moi pour la réembrasser encore et encore, un peu plus raté, un peu plus bourré : Ma langue frotte contre ses dents en premier puis trouve l’entrée et là, explosion de saveurs ! De couleurs ! Mes tempes vibrent et ma respiration s’accélère, je la dévore et empoigne sa nuque aussi. Quand je resserre mes paumes, son corps se fond dedans et j’en oublie le monde extérieur et toute pudeur parce que je la câline, passe sous son tee-shirt pour tracer sa colonne vertébrale et grogne parce que son genou appui sur mon érection. « Ok. D’abord la mairie avant que je finisse par te prendre sur le bar oui. Je suis indécent là. » Un rictus et je me dégage à contre-cœur, attrapant mon pull à la main et payant pour nos verres avec ma carte. Je me lève et me mords ma lèvre inférieure. « Viens jouer les fiancés avec moi uhuh ! »

Quelques grimaces et bouches en cul de poule et me voilà à roucouler et sourciller sans pouvoir m’arrêter parce que je me crois drôle quand je suis pas pompette alors maintenant imaginé. « Oh non ! Je sais pas si on trouvera des bagues ! ROH MERDE » Et ça, c’est grave oui ! En plus j’en ai pas sur moi alors on peut pas faire semblant !
MALHEUR ! NOTRE PLAN AURAIT-IL ECHOUE ?!

«C’est pas grave mais quand même. » Dis-je en ronchonnant avec une mauvaise mine. Commençant à avancer vers la sortie, je titube et salue les gens par-ci par-là, me retournant toutes les 3 secondes pour voir si ma partenaire me suit PUIS finalement, lui tend la main : « Si ça ne te dérange pas du moins ? » Annonçais-je avec presque une pointe de timidité (mais c’est juste que le role-play j’adore ça tu vois héhé) : Papillonnement des cils et pommettes rougies, j’en fais TROP c’est ce qu’on appelle être mauvais comédien. Cependant, la connerie est mon amie et la honte n’existe pas chez moi, ne l’oublie pas.

Rien n’arrête Noah quand il s’agit de ruiner sa vie. Ô non ! Quand je le fais !! Je le fais bien !!! Mwouhahahaha





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Ce message a été posté Jeu 27 Juil - 12:35
The Wedding
Le mariage de toute ma vie. Let me be your wife. Δ Noah &
Amy

Tenue• L'alcool c'était le mauvais et le bon ami. Celui qui te tapait sur l'épaule en te rappelant qu'il était là pour toi avant de te mettre au sol et de te frapper. Les coups étaient si violents que parfois, le lendemain , tu ne te souvenais plus de rien. Seul ta tête te martyrisait et te rappelait que tu avais fait quelque chose de con. Et là ce soir. J'étais en présence de mon meilleur ami: l'alcool, et ma future connerie: Noah. Ce mec avait tout ce que je pouvais aimer, tout ce que je cherchais, avec la folie en plus. La folie poussée, la folie qui m'allait. On était partis de rien, puis quelques déhanchés avant de projeter des trucs insensés. Est ce qu'on s'en rendait compte ? Est ce que seulement demain allait nous foutre notre connerie en pleine gueule ? Je n'en avais aucune idée mais là de suite je m'en fichais éperdument.

Ses compliments sortaient de l'ordinaire. Pour n'importe qui ça aurait même valu une claque. Mais c'était bien trop drôle, bien trop flatteur pour que je fasse ceci. Je continuais de rire un verre à la main avant de le regarder. Mon regard devait être vitreux, avec l'alcool, le désir qu'il n'avait cessé de faire monter. " Je suis toujours ravie d'en avoir !   " Mon corps n'a plus aucun sens de gravité, plus d'équilibre et mon seul repère est ce jeune homme dont je connais plus les formes de son corps que son caractère.

Si il venait vers moi je ne le repoussais pas. Si mon corps allait contre le sien il me serrait encore plus. C'était un jeu bien trop dangereux mais un jeu que tous deux nous apprécions. Si nos verres se vidaient et se remplissaient, nos corps ne cessaient de se rencontrer. Mes lèvres étaient toujours étirés en un sourire, causé par l'alcool ou par la personne qui m'accompagnait, je dirai un mélange. Si une de mes mains est occupée avec la boisson l'autre explore encore le corps de mon homologue. Si je sens sa peau contre la mienne mon corps réagit. Et quand l'alcool arrive dans mon sang, mon corps défaille.

Regardant mon futur mari je rigole. Non j'explose de rire en lui tapant l'épaule. Après nos fiançailles on allait se marier !! Et on allait avoir des bébés, une maison, tout ! Je rigolais de ma propre bêtise. " Tout dans l'ordre ! .. Fiançailles, mariage, sexe, maison, enfants tout !! " Ma main s'accroche à son cou en riant alors que j'avais envie d'aller l'embrasser. De rester contre lui en souriant. Ma jambe était restée entre les siennes dans un geste provocateur. Je ne savais même pas ce qui m'empêchait de lui sauter dessus immédiatement. Je ne savais pas ce qu'il me retenait de l'embrasser alors qu'il touchait si sensuellement ma lèvre. Ses paroles résonnent dans ma tête, je ne sais pas si c'est le mal de crâne dû à l'alcool ou si c'est l'envie que provoque ses mots. Je souris " Tu as intérêt à accomplir ton devoir. Parce que tu ne peux pas me laisser insatisfaite !  ". Hors de question ! Hors de question que je finisse frustrée, même bourrée. Ses lèvres contre les miennes c'était un baiser maladroit. Fougueux, passionné et surtout complètement alcoolisé. Mais merde, mon corps restait collé au sien alors que ma main serrait son haut avant de venir caresser sa peau comme si tous ces gens autour de nous n'existaient pas. Personne n'était là, seulement nous. Ses mains sont baladeuses et je ne suis absolument pas déconcertée. Je me colle encore plus à lui; mes mains continuent de parcourir son corps et de le chercher. Mais tout s'arrête et c'est pour le mieux. Je ris avant de mordre ma lèvre. " Sois indécent.. C'est complètement excitant.   " Oui bon bah tant qu'à être fou, soyons honnêtes. Je le suis en reprenant ma veste au passage. Comment je m'en suis rappelée ? " Je ne vais pas joué.. Chéri !" ON rit. On est con.

Une fois sorti c'est la panique. On est fait comme des cons. On est torchés, on veut se marier. Vous pensez que c'est facile de trouver des bagues ? Bah moi oui. Mes expressions sont beaucoup trop grandes. Mes gestes bien trop présents. Je prends sa main dans un geste théâtral avant de le suivre jusqu'en dehors. Il s'arrête beaucoup trop. Mais une fois dehors je me stoppe. "ATTENDS !!!   " Je titube et va acheter deux cannettes de bières dans un combini non loin. Je ne cesse de me demander comment ,mais j'y arrive. L'ouvrant et la buvant je lui donne la sienne avant de prendre le bout qui sert à percer. Je prend sa main et le passe sur son petit doigt." MONSIEUR NOAH... Vous êtes à MOI !!! " Je lui tends ma main rapidement pour qu'il fasse de même toute excitée comme une gamine avec des moues plus idiotes les unes que les autres.

Putain.. Je me marie pour de faux. Ou pour de vrai. Ce mariage est vrai pour nous. Il est évident, autant qu'il est idiot. Et pourtant on fonce dedans ! ON y va .. et le pire c'est qu'on y va avec plaisir.


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Le mariage de toute ma vie ! [Amy]

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