Tenue -  « T’inquiètes pas ! Pour sûr que cela repartira même si, en rentrant une douche avec du savon s’impose ! Vraiment il n’y a que toi à qui cela doit arriver ! C’est marrant !»
 
Il le taquinait et puis, il aimait l’embêter quand il en avait l’occasion. Qui aime bien, chatie bien non ? C’est ce qu’il s’efforçait de croire, de penser mais, c’était compliqué. Parce que bien qu’il souhaitait former un couple comme il l’avait dit plus tôt, il n’était pas certain que cela soit le cas de son vis-à-vis. En temps normal, qui voudrait sortir avec un garnement de son espèce hein ? Etre en couple avec une personne qui vous envoie de petites vannes et la liste est tellement longue que, lui-même désespère. Le pire est probablement le fait qu’il était un Casanova jusqu’à ce qu’il commence à se calmer préférant de loin la compagnie de Big Ben que de toutes ces femmes qui ne connaissaient rien à sa vie. C’était bien, car au moins, il ne ressentait pas le besoin imminent de parler de sa vie, de sa famille. Il partait le lendemain sans aucunes promesses d’un autre tour. Dans quoi il s’engageait là ? A rien car, il était persuadé que son aîné refuserait. A son désolé, un sourire s’y glissa pendant que son esprit de chieur reprit le dessus et qu’il prit une photo parce qu’il le trouvait adorable ainsi et aussi, en guise de menace. Il se doutait que ce petit diable au visage d’ange prenait des photos de lui à son insu. Aujourd’hui était le temps pour lui d’avoir sa revanche.
 
« Petite vengeance pour les photos que tu mets sur ton facebook ! Kekekeke ! Ne sois pas grognon, tu es mignon avec de la peinture au visage hahaha !»
 
Un autre rire mais, il continua de le nettoyer. Quand ce fut terminé, il s’était relevé en indiquant à l’anglais qu’il allait trouver une poubelle pour jeter les cotons et lingettes lui laissant ainsi le loisir de découvrir ce qu’il avait écrit sur le mur. Il était nerveux. Plus il approchait la poubelle du parc plus, l’envie de prendre ses jambes à son cou s’imposait. Wolfram aurait sûrement cédé s’ils ne se trouvaient pas dans le même dortoir. A quoi cela sert de se faufiler alors, que son ami pourrait le retrouver très rapidement ? S’ils n’étaient pas dans le même dortoir, il le retrouvait dans la même classe d’ailleurs, il devrait peut-être lui demander de faire ses devoirs de mathématiques pour lui non ? Ah vraiment, il venait de rater son coup. Il entendit des pas et, il se crispa avant de finir par se retourner mais voilà… Un coup et il grimaça de douleur à cause du coup dans le tibia qui l’oblige à sautiller un peu ! Et ben dis donc, cela fait plus mal qu’une gifle ! Qu’est-ce qu’il n’avait pas fait encore cet imbécile hein ? La prochaine fois, il tagguerait autre chose ! Peut-être que s’il avait refait son portrait ? Quoi que, le connaissait, il aurait sûrement trouvé quelque chose à dire ! Cependant, il finit par l’observer de façon crétinisé. Comme si, devant lui se trouvait un alien ! Hein ? Il était contrarié parce qu’il lui demandait de lui donner plus de pourcentage de son corps ? Il avait bien entendu… ? Il voulut rire bien que sa réponse, lui vaudrait certainement un autre coup. C’était de l’allemand dont il était question.
 
Toutefois, il n’avait pas sa réponse. Est-ce qu’il était d’accord ? Est-ce qu’il refusait. Il se remit de son déplaisir du coup et de sa stupeur dû à la première phrase pour redevenir beaucoup plus sérieux à la seconde question ! S’il avait décidé de se caser ? Oui. Avec lui, c’est ce qu’il avait envie de dire. Est-ce que ce serait bon ? En tout cas, son sempai ne semblait pas être contre sa demande un peu spéciale. Il ne bouge pas, ne cille pas, quand son vis-à-vis le prit par le col et lui demande directement, droit dans les yeux si c’est ce qu’il avait compris. En même temps qu’est-ce que cela pourrait être d’autre.. ? Non mais, faut avouer que ce gosse  craint vraiment quand il s’agit de faire une déclaration. L’allemand devint plus sérieux et calme pendant qu’une de ses mains vint se poser sur celle de son camarade qui serrait son haut. Le regardant droit dans les yeux il finit par écarter ses lippes pendant que son autre main revint piéger sa nuque pour  tirer son visage vers le sien. Il l’embrassait tendrement mais, aussi amoureusement. Il ne recherchait pas à approfondir car, ce n’était pas le moment mais, le fauteur de troubles vis-à-vis de son cœur, devait être au courant, qu’il avait des responsabilités. Que lui aussi le rendait fou. Il coupa le contact de leurs lèvres, les yeux dans les yeux il :
 
« Je ne sais pas ce que tu as compris en fait ! Mais, si tu veux je suis d’accord pour que tu baisses à 80 % pour ton corps ! C’est normal que tu doives m’en donner plus, puisqu’au fond, c’est moi qui serait au-dessus !»
 
Très suggestif et loin du romantisme… Est-ce que tous les allemands draguent de manière aussi horrible ? C’était à se le demander mais, il ne faisait honneur à ces derniers. Il reprit rapidement en finissant par encercler sa taille :
 
« Je plaisante enfin… De moitié ~ Sinon, si tu ne le comprends… J’ai bien décidé de me caser et, je suis on ne plus sérieux ! Sérieux, tu crois vraiment que si je ne l’étais pas, je t’aurais offert cette journée ? Je t’aurais juste acheté un cadeau et apporter des gâteaux que l’une de mes amantes t’aurait fait ! Je n’ai jamais mis autant d’efforts dans quelque chose hormis la natation.»

Tenue - Tomber amoureux hein ? De cette personne qu’il tenait entre les bras ? Vous l’auriez prévenu il y a encore un mois, il vous aurait ris au nez dans son bon jour et, dans son mauvais jour, vous aurez asséné un coup de poing dans le visage avec en bonus un gros doigt. Disons que l’amour était ineptie. Il s’était bien amusé avec toutes ces conquêtes mais, au fond, c’était pour trouver un peu d’amour maternel qu’il n’a pas eu et pour oublier. C’était lâche mais, sa blessure était toujours présente dans son cœur. Il tremblait comme une feuille en réalité quand il regardait London. Plus encore quand celui-ci fit l’imbécile en espérant trouver des caméras dissimulées dans les arbres, les buissons peut-être ? D’un côté, c’était mignon de le voir réagir ainsi mais, de l’autre, il n’avait toujours pas exactement répondu à sa question. Acceptait-il ? N’acceptait-il pas ? Sa gorge était nouée et, ses mains commençaient à devenir tiède tant il était nerveux. Il voulait le forcer à le regarder, lui crier dessus pour qu’il arrête tout, de parler et de lui dire la seule chose qu’il espérait entendre : un « oui ». Wolfram n’était pas certain qu’il aimerait son aîné demain plus qu’aujourd’hui, il ne projetait pas non plus dans un avenir lumineux à ses côtés. Si son frère a été sujet d’un cancer, il pourrait l’être et, même si ce n’est pas le cas, autant demain ils se disputeraient et un des deux briserait leur « couple ».

Toutefois, il voulait essayer car, il aimait ce grand enfant qu’il enlaçait tendrement. Ce géant qui le dépassait d’une bonne tête. Il craquait pour sa bouille, pour son rire…. Il était vraiment beau et même si, parfois il était agaçant. Il y avait toujours ce petit quelque chose qui l’attirait. Son magnifique sourire qui le rendre presque aveugle comme les rayons d’un soleil.

« Tu es idiot ou quoi ? Tu penses sérieusement que j’aimerais m’afficher devant des milliers de téléspectateurs ? »

C’était maladroit. Ce n’est pas de cette façon qu’il aurait dû lui répondre mais, afin de le forcer à le regarder, qu’il puisse voir qu’il était sérieux qu’importe ce qui se passera. Il préfère être déçu et avoir tenté que n’avoir rien fait et être empli de regrets. Le choix de vivre sa vie à fond, c’était une résolution à laquelle il s’accrocherait même dans les moments durs. Son cœur donna un rythme de plus en plus rapide à l’attente de cette réponse et, la question qui tomba aurait pu le désarçonner comme dans ces pupilles où il était en train de se noyer. Avant qu’il ne se prenne une belle claque dans la figure par la question du saxon ! Pour les autres filles ? Alors, il ne le voyait vraiment que comme un homme assoiffé de sexe ? Quelle belle et glorieuse image il avait de lui…. C’était ironique. Il mimait le poisson tant ses lèvres s’étaient ouvertes mais, elles ne se refermèrent pas au bout de plusieurs secondes quand la question résonna dans ses tympans. Chaque membre s’étaient raidis et, il commença même à relâcher sa taille pour s’écarter de quelques centimètres et :

« Non. Ils ont tout simplement disparus.»

Avec « mon frère ». Un sujet qui restera clos pendant encore un long moment. Il lui sourit malgré tout avant de se mettre sur la pointe des pieds et lui offrir un petit coup de tête après s’être légèrement penché en avant. Les deux pieds de nouveau à plat, il lui pinça doucement la joue afin qu’il comprenne qu’il était sérieux ! Car il lui posait trop de questions qui n’ont pas de sens même pour lui. Il craquait pour ce Big Ben pourquoi ? Qui sait ? Il ne savait pas qu’il avait un genre particulier car, une aventure d’une nuit le préservait de se poser tranquillement. De réfléchir à tout ceci. Il réfléchissait vraiment trop ! C’est vrai…. Wakabayashi ne s’est jamais lié charnellement avec quiconque et, il en était d’autant plus heureux qu’il puisse être le premier mais, il attendra qu’il soit prêt. Car… Attendez mais, s’il lui posait autant de questions est ce que…

Wolfram perdait pied… Son cœur lui était douloureux… Tant l’attente était en train de le tuer oui… Ce môme le brûlait petit à petit…. Est-ce qu’il y avait des chances ? Ses sentiments n’étaient pas rejetés ? Tenait-il le bon bout ? Il serra doucement les poings pour inspirer et expirer avant de caler ses deux paumes chaudes sur ces deux joues grassouillettes et chaudes.

« Stop ça suffit ! Sérieusement, tu es le premier à qui je fais une déclaration et tu doutes ? Je suis sérieux, pourquoi je veux me caser avec toi ? Je n’en sais rien mais, je me sens attiré par toi ! Tu me rends dingue ! Arrête de réfléchir et de te comparer aux autres ! Ces hommes, ces femmes ne sont sans aucunes importances ! Ils ne sont rien à mes yeux ! Je ne pourrais pas te donner des explications sur ce que moi-même je ne connais pas ! Si c'est trop difficile pour toi, alors dis le moi franchement ! S'il te plait, dis-moi « oui », dis-moi « non » mais, décide toi ! S’il te plait car, j’ai l’impression d’être un idiot là … »

Wolfram était effrayé et là, il commençait à être à bout, à cause de ce stress ! Etait-ce si dur de lui donner une réponse immédiate ? Malgré tout, il pourrait attendre pour le jeune lycéen, il attendrait sa réponse alors, il essaya de se calmer après s’être mis à implorer qu’il arrête « tout ». Le dévisageant doucement, il enleva ses mains et s’apprêtait à partir le cœur plein d’interrogation quand une pression autour de lui se fit sentir et, quand ces lippes bien chaleureuses et rougies vinrent forcer un peu l’entrée. Il accepta sans réfléchir et soupira une fois dans ce baisé hivernal sans pour autant fermer les yeux. Il était resté les bras baillant, seule sa bouche était réactive mais, il n’arrivait pas à croire ce qu’il était en train de vivre. Il était paralysé pourtant, son cœur jouait du tambour créant ainsi une mélodie forte en espérant qu’il ne l’entende pas trop. L’échange terminé, il le laissa se servir de son épaule et c’est sa question qui le ramena la réalité. Un sourire pendu à ses lèvre, il passa ses bras au-dessous de ses aisselles pour l’enlacer avec une main afin de le rapprocher de lui tandis que l’autre, tout doucement se perdit dans ses cheveux mousseux un petit ricanement faisant surface:

« Je ne sais pas trop c’est la première fois que je suis en couple mais… Je pense que oui… Tu es mon petit ami à moins que tu reviennes sur ta décision. Mais, sérieusement, tu es sûr que tu le veux ? Je peux attendre..»

Wolfram était heureux mais, il voulait avoir confirmation que ce ne sont pas ses paroles qui l’ont forcé à se mettre avec lui. Alors, il s’écarta et le tint par les épaules pour l’observer sérieusement :

« Je suis sérieux… Je sais être patient… Je ne veux pas que tu te forces… Et, même pour « ça », je ne compte te sauter dessus… Je veux m’assurer que tu n’auras pas de regret. Car toi aussi tu attires. Tu as tellement de monde qui tourne autour de toi et tu dénicheras sans doute quelqu’un de meilleur que moi… »

Tenue -  « J’avoue mais, je ne suis pas le genre à décider de me caser du jour au lendemain si, je n’étais pas sérieux ! Après fou, je le suis peut-être que cela n’en serait pas étonnant ~»
 
Lui adressa t’il avec un léger sourire pour essayer de le détendre. Lui-même, n’arrivait toujours pas à croire qu’il tenait cet adolescent contre lui qu’il se fichait bien d’un énième scandale le concernant. Toutefois, ce tourbillon infernal, il ne souhaitait pas l’entrainer avec « lui ». Quand bien même, le londonien était plus âgé que lui, ça n’a guère d’importance à ses yeux, l’âge, les goûts, les couleurs ça se discutait toujours certes mais, c’était à lui que revenait le choix d’aimer qui il voulait. Concernant le capitaine du club de natation, le petit loup ne s’est pas posé de questions. Depuis un moment, il réfléchissait pour savoir s’il se lancer ou non et voilà, qu’il venait de sauter le pas ! Le pire dans tout ça, c’est qu’il n’était pas sûr de lui… Evidemment avec « ses » questions, le doute qu’il puisse accepter ses sentiments était présent mais, il ne voulait pas s’écrouler car, il restait toujours un risque à la fin qu’il refuse, qu’il lui donne rien d’autre qu’un rejet ! Il se sentait friable… Ce n’était pas un côté de lui qu’il aimait révélait pourtant là, cette attention ces questions qui ne répondaient pas à ce qu’il souhaitait entendre. Comment lui montrer qu’il était sérieux ? Qu’il se sentait complètement flageolant malgré qu’il s’efforce de rester fort à cause de lui ? De ce type pour qui, il éprouvait des sentiments assez peu singuliers ! Des sentiments dont on pourrait le brûler sur un bûcher si, ça venait à se savoir. Dans le monde du sport, aimer un homme c’était considéré comme la peste. Tout le monde vous fuit, vous évite et même vous prend à part en bande pour vous battre à mort en pensant que vous avez posé votre regard sur « lui ».
 
Est-ce que London pourrait affronter ça ? Il avait une grande carrière qui s’ouvrait à lui même si, il était seulement capitaine de nageurs qui n’ont rien avoir avec le monde « pro » dans lequel tous les deux ont évolués et dont personnellement il a tourné le dos ! Cependant, si l’allemand se donnait des airs d’adultes, qu’il était sensiblement plus sage que son vis-à-vis, cela n’efface pas le fait qu’il soit encore un gosse ! Une saleté de gosse même ! Alors oui, son cœur se serrant au point d’avoir mal à respirer il requêta de lui donner une réponse ferme ! Oui ou non ! Qu’il arrête de tourner autour du pot car, il n’arrivait pas à l’endurer ! A endurer qu’il puisse lui donner quelques éclats de confiance alors qu’il choisit à la fin de l’achever ! Et puis, ce baisé vint résoudre tous ses problèmes, enlevant ses doutes. Ce baisé avait le goût de la délivrance au point qu’il se laissa emporter et resserra ses bras autour de la taille de son désormais petit ami. Le message était clair à moins, que London ne veuille jouer avec ses sentiments…. L’ex-nageur devait arrêter de penser et, il esquissa un sourire de contentement et puis, cet échange prit fin laissant le jeune anglais reposait sa tête sur son épaule. Ce dernier ne tarda pas à lui poser une question. Une question à laquelle il répondit franchement en le tenant bien contre lui. Que leurs corps s’épousent à merveille et qu’il puisse inhaler son odeur discrètement même si, au fond de lui, il n’était pas totalement serein !
 
Est-ce que London se rendait-il compte de tout ce que cela impliquait ? Peut-être qu’il se prenait vraiment trop la tête mais d’un côté, il était heureux qu’il ait pris l’initiative de l’embrasser en guise de réponse. Comme quoi, les mots n’étaient pas toujours nécessaires.   C’est pour cette raison qu’il finit par demander confirmation car, c’était trop beau pour être vrai ! Depuis quand, « Peter Pan » l’aimait ? Même s’ils n’étaient pas au stade de décider qu’il voulait vivre avec lui jusqu’à la fin de sa vie. Alors, il éprouvait des difficultés à le croire même s’ « il » lui demandait. Tant qu’il ne le voyait pas clairement dans ses yeux ! Il était sérieux alors, il en demandait de même à Big Ben ! Il se détendit petit à petit par les paroles de son copain même cette idée, était encore un peu trop difficile pour lui à assimiler tant c’était étrange et puis, il tiqua à cette fin de première phrase… Qu’avait-il ??
 
Il fronça un peu les sourcils mais, rien ne vint si ce ne sont que des paroles qui le firent soupirer… Il fallait toujours qu’il en rajoute ! Ah.. Heureusement qu’il savait qu’il était beau au point d’attirer, il s’en inquiéterait presque ! Petite parenthèse fermée, il lui pinça la joue doucement pour s’être vanté de cette façon mais, son cœur lui, ne faisait que gigoter dans tous les sens tant ses paroles lui parlèrent, que c’était sincère… Il était vraiment sérieux alors ? Il posa une main sur ce visage avant de poser doucement son front contre cette poitrine près de ce cœur toujours un sourire suspendu à ses lippes.
 
« Peut-être que je regretterais peut-être pas mais, je sais que la chose que je regretterais le plus c’est de ne t’avoir jamais rien proposé ! ~»
 
Et ça, il ne voulait pas y passer à côté. A côté de ce qu’il pourrait découvrir à ses côtés. Il se doutait que le fait qu’il soit débutant dans les liaisons joue beaucoup. Alors le regardant un moment, il le força à ramener son visage vers le sien après ses dernières paroles pour l’embrasser doucement. Il ne cherchait pas à approfondir voulant prouver qu’il savait faire preuve de patience, qu’il n’était pas qu’un loup affamé par les petits agneaux dans son genre ! S’il venait à le confondre avec ces nymphomanes il le prendrait vraiment mal. Quittant doucement ses lèvres il souffla :
 
« Tu parles vraiment trop ~ Joyeux anniversaire !»
 
Wolfram se prendrait la tête beaucoup tardivement car, pour le moment, tout ce qui l’intéressait c’était de voir un grand sourire s’affichait sur cette bouille ! Il revenait à son auto-lui. Son assurance était revenue et puis, il finit par s’écarter en s’étirant un peu les bras et lui tirant doucement la langue  :
 
« Bon je crois que j’ai gagné pour les Tags hein ? »