Kim Yong Sun20 ansPrésence connexion 5/7Présence rp 4/7feat Kim Soo Hyun

Scénario Inventé

◆ Nom  Kim ◆ Prénom(s) Yong Sun ◆ âge 20 ans ◆ Date de naissance 03 Novembre 1995 ◆ Ville de naissance Séoul ◆ origine Coréen ◆ groupe Etudiants ◆ année deuxième année ◆ Section Lettres et langues ◆ Matière(s) Lettres modernes & journalisme   ◆ sexualité Hétérosexuel ◆ situation Célibataire ◆ Qualités Relativement honnête, observateur, curieux, appliqué, déterminé. ◆Défauts Têtu, impatient, impulsif, méfiant, gourmand. ◆ Couleur préférée  Bleu marine ◆ Boisson favorite  Café noir ◆ Vis dans les dortoirs  Non, il a son propre appartement. ◆ Permis de conduire  Oui. ◆ revenus et/ou métier  intérêts bancaires.

◆ Yong Sun a une santé relativement fragile et tombe facilement malade. Il se méfie donc des endroits à microbes comme le métro et a toujours avec lui une boîte de médicaments et du gel antibactérien. ◆ Yong Sun a un tout petit tatouage derrière l'oreille. C'est un éclair qu'il s'est fait tatoué aux USA en signe de rupture. La rupture entre lui et ses parents, entre lui et les autres. ◆ En parlant d'éclairs, Yong Sun adore regarder l'orage par la fenêtre et entendre le tonnerre. Il n'aime la pluie que lorsqu'il est au chaud avec un bon livre ou une bonne série. ◆ La lecture, il adore ça. Articles, essais, romans, théâtre, pour lui tout cela est synonyme de plaisir lorsque c'est bien écrit. Yong Sun écrit par ailleurs, en secret, son propre livre. ◆Mis à part la lecture, Yong Sun est un très bon pianiste. Il a commencé très jeune et maitrise l'instrument depuis des années. Il aime également beaucoup le sport, notamment la course et la natation. ◆ Il n'a jamais eu de relation amoureuse sérieuse mais plusieurs coups d'un soir. L'amour, il ne l'a connu qu'une fois, et on lui a arraché des mains. ◆ C'est un gros dormeur, et parfois un petit flemmard, et il adore commencer sa journée par une bonne tasse de café bien serré. Sans ça, il y a des chances qu'il soit grognon. ◆ Il n'aime pas avoir tort et passera son temps à inventer des excuses si on ne le laisse pas avoir raison. ◆ C'est un jeune homme très gourmand et très curieux d'un point de vue gastronomique. Il aime tester de nouvelles choses et goûter toutes les cuisines du monde. ◆ Parfois il fait des crises d'insomnie la nuit, mais cela reste rare.

C'est ta vie, ta story, ton destin.

«  L'homme seul est l'auteur de sa propre histoire »

Séoul. Trois novembre 1995. Le ciel était d’une couleur perlée et dehors tout était enveloppé d’un léger tourbillon de neige. Le sol était parsemé d’empreintes de pas, illuminé par les lumières du porche et recouvert d’une couche de flocons épais. Des hommes avancent lentement dans la neige et portent délicatement une civière sur laquelle une femme se plie de douleur. Sept mois et demi. Une femme enceinte est dirigée d’urgence à l’hôpital. L’ambulance roule à toute vitesse vers un hôpital de Séoul. Au même moment, une grande voiture noire conduit un homme auprès de sa femme. L’homme d’affaires accoure au chevet de sa compagne. Il cherche sa femme du regard et perçoit la terreur qui l’emplit. « Ça va aller, l’équipe médicale est très compétente ma chérie ». Il essaie de se convaincre. « Le bébé… » murmure-t-elle, les yeux pleins de larmes. Il lui serre la main pour la réconforter et lui caresse les cheveux. Quelques minutes plus tard, l’équipe médicale surgit et emmène la patiente au bloc opératoire. Les deux mains sont violemment séparées.  Le lit, autrefois aussi blanc que la neige, est recouvert de sang. Les larmes recouvrent le visage pâle de cette femme, pleine de terreur et de douleur. L’homme, fou d’inquiétude et terrifié, attend d’un pas tremblant des nouvelles de l’intervention. Le bébé est mis au monde et est rapidement dirigé vers l’unité néonatale. L’enfant qui devait être un cadeau venu du ciel, tout juste pour Noël, devient un cauchemar ambulant. Un médecin sort du bloc opératoire et se dirige vers l’homme. Il pose sa main sur l’épaule du mari et secoue la tête sans un mot. Le choc n’est pas immédiat. « Votre femme avait perdu trop de sang. Je suis désolé. Votre fils est en état critique, rien n’est joué pour lui. Il a été redirigé vers l’unité néonatale. Ses capacités respiratoires sont faibles, et étant donné sa fragilité on ne peut pas risquer d’exposer votre enfant aux microbes environnants. L’hôpital est stérilisé bien sûr, mais à sept mois et demi votre enfant n’a pas encore stabilisé son système immunitaire. Vous pouvez aller le voir si vous le souhaitez ». Les mots résonnent dans sa tête, tournent en boucle, mais l’homme n’y met pas de sens. « Laissez-moi voir ma femme, j’ai besoin de la voir et de lui parler » grogne-t-il. « Je suis désolé, je ne peux pas vous laisser la voir » affirme le médecin. « Laissez-moi la voir ! » hurle-t-il. La rage l’envahit.  Le médecin essaie de le calmer, mais rien n’y fait. L’homme est emporté par la sécurité. Lorsqu’il se retrouve seul à nouveau, il décide de rejoindre sa voiture. Le bébé, Yong Sun, est abandonné à l’hôpital et ne recevra qu’une seule visite de son père pendant son hospitalisation. Au bout d’un mois et demi, Yong Sun est ramené à la maison et présenté à l’ensemble de la famille. Alors que l’accueil aurait dû être chaleureux, à quelques jours Noël, le bébé est rejeté par son père. Noël 1995 est placé sous le signe du deuil. C’est ainsi que Yong Sun a été élevé. Mal-aimé, il s’est vite renfermé sur lui. Yong Sun était le fils unique du patron d’un grand magazine de mode coréen, et bien qu’étant discret au sujet de ses origines, elles étaient souvent bien vite dévoilées. De ce fait, Yong Sun était apprécié par tous à l’école, et tout particulièrement par les jeunes filles. En plus d’être riche, ce-dernier a toujours été aimé pour son physique. C’était un enfant intelligent, mais discret ; aimé, mais silencieux. Yong Sun n’adressait jamais la parole à quiconque. Il ne faisait jamais confiance et n’osait donc s’ouvrir à personne. C’était un vrai mystère. Sa relation avec son père ne s’était pas arrangée. Il était l’héritier de l’entreprise, mais il n’était pas un fils. Son père exerçait une certaine pression sur lui en ce sens et était particulièrement dur avec lui. Aucun écart n’était autorisé. L’image publique aurait pu en être affectée. Yong Sun s’est donc construit seul, en silence, et est rapidement devenu autonome. La rancœur se sentait encore dans le ton de son père, et en un sens il pouvait le comprendre, mais rien ne justifiait l’ignorance. Au lycée, Yong Sun fut envoyé aux Etats-Unis pour enrichir son expérience scolaire. Bien qu’étant à distance, il subissait encore les sermons de son père. Ses résultats à l’école étaient excellents, mais par souci de s’imposer Yong Sun avait commencé à se faire remarquer en cours. Il était agité en cours, et les relations avec ses pairs se dégradaient. Rien chez les autres ne l’intéressait. Soit ils lui étaient utiles, soit ils étaient inutiles. Il rejetait les filles qui incarnaient à son sens l’image du mensonge et du faux, et n’acceptait dans sa vie qu’une seule jeune femme. C’était la fille la plus douce et gentille qu’il avait rencontré. Elle avait un caractère bien trempé, mais elle était tendre. Le statut de Yong Sun était passé sous silence, et rien n’indiquait chez la jeune femme la recherche en Yong Sun d’un quelconque intérêt. Ils passèrent des moments délicieux ensemble et rentraient tous les deux à Seoul lors des vacances. C’était la première fois où Yong Sun était aussi heureux. Ils suivirent leur scolarité au lycée ensemble jusqu’à la dernière année. Apprenant que les notes de leur fille avaient chuté, ses parents décidèrent de la faire revenir à Séoul pour achever sa scolarité, soupçonnant qu’un garçon était derrière tout cela. La correspondance à distance qu’ils entretinrent par la suite fut vite abrégée sous le regard désapprouvant de la figure familiale, et Yong Sun se retrouva à nouveau seul. Il était misérable, plus encore qu’il ne l’avait jamais été. Il était misérable et rempli de haine. Son père n’y prêta pas attention et continuait à mettre Yong Sun sous pression. Le jeune homme n’en pouvait clairement plus et décida de profiter de la distance physique avec son père pour tirer profit de cette situation et prendre sa vengeance. Ses notes étaient toujours les meilleures, mais son attitude devint vite désinvolte vis-à-vis de ses camarades. L’équipe enseignante le signala à son père, mais tenant trop à conserver son image publique et à ce que Yong Sun achève son lycée aux Etats-Unis, celui-ci décida de se taire. Néanmoins, à son retour, Yong Sun ne fut pas épargné. Une rafale de colère s’abattu sur lui. Des reproches volèrent en tous sens, et c’est ainsi que Yong Sun décida de vider son sac. Ce ne fut pas même une décision, mais plutôt un instinct, une pulsion. Toute cette colère qu’il avait accumulée en dix-huit ans le rongeait. Cette dispute était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. C’était l’occasion parfaite pour mettre les points sur les i. Les mots fusèrent en éclats pendant de longues minutes, et pourtant, après des années de haine et de rancœur, l’union entre ce père et son fils se fit enfin. Les cris s’effacèrent et laissèrent place à des discussions un peu plus posées. Des sentiments et des pensées étaient échangés. La sincérité et la chaleur régnait enfin sur ce domicile qui était resté froid et enneigé depuis 1995. Bien que sa relation avec son père se soit améliorée, Yong Sun n’en est pas moins resté un homme blessé. Il s’ouvre toujours peu aux autres et n’accepte pas que l’on voit en lui de la faiblesse. Il s’est enveloppé d’une carapace et s’affaire à passer pour quelqu’un de droit et carré. A 20 ans, Yong Sun a entamé des études de journalisme aux royal private schools, un établissement réputé à Tokyo. Il entrevoit ses études comme une possibilité d’élargir ses connaissances personnelles sur le monde et sur d’autres cultures pour devenir un rédacteur hors-pair.

Code:

<span class="botinsym">▲</span> <font color="#e98ab0">Kim Soo Hyun </font> [u]»[/u] Kim Yong Sun

De un, parce que Kim Soo Hyun  :-031-:
De deux, parce que Kim Yong Sun (j'ai cru que c'était un fial en plus, en mode : wuuut, quelqu'un veut jouer Solar DD8 ?) :0229:
De trois, bienvenuuuuuue parmi nouuuus et bon courage pour ta fiche !  :0200:
Et il nous faudra un lien qui tue. seriously :0252: :0238:

Ieyasu Sōren a écrit:

De deux, parce que Kim Yong Sun (j'ai cru que c'était un fial en plus, en mode : wuuut, quelqu'un veut jouer Solar DD8 ?) :0229:

Maeda Camille a écrit:

BIENVENUE PARMI NOUS :-0121-:

en plus avec KIM SOO HYUN :0188: excellent choix : il. est. parfait. :0252:
fighting pour ta fiche et amuse-toi bien par ici !

Kim Yong Sun a écrit:

Merci à touuus :-094-:

Ieyasu Sōren a écrit:

De deux, parce que Kim Yong Sun (j'ai cru que c'était un fial en plus, en mode : wuuut, quelqu'un veut jouer Solar DD8 ?) :0229:

Je suis sûrement inculte, mais qui est ce Solar DD8? :-025-:

Solar est le nom de scène de Kim Yong Sun, qui est la célébrité qui me sert d’avatar :-031-: huhuhu, tu on apprendra à mieux se connaître toi et moi  :0268:  :0238:

Ieyasu Sōren a écrit:

Kim Yong Sun a écrit:

Merci à touuus :-094-:

Ieyasu Sōren a écrit:

De deux, parce que Kim Yong Sun (j'ai cru que c'était un fial en plus, en mode : wuuut, quelqu'un veut jouer Solar DD8 ?) :0229:

Je suis sûrement inculte, mais qui est ce Solar DD8? :-025-:

Solar est le nom de scène de Kim Yong Sun, qui est la célébrité qui me sert d’avatar :-031-: huhuhu, tu on apprendra à mieux se connaître toi et moi  :0268:  :0238:

Hisagi Yuzu a écrit:

SENPAI
Bon dieu... SOO HYUN QUOI Et puis.... Pourquoi t'as mis un vieux avatar tout pourri que j'ai fait y'a 2 ans là ? Omg. Faut que j'en fasse d'autres u_____u

Bref, bienvenue à toi, je viendrais te pourrir la vie avec tout mon amour, et je te laisse pas le choix :-01-: :-01-: :-01-:  Courage pour ta fichoune, me tarde de voir ce que tu vas nous faire :0252: :0220:

Hisagi Yuzu a écrit:

ooooooh ça fait tout plaisir à lire ça :-03-: :-03-: :-03-: :-016-:  Et ne t'inquiète pas pour le crédit C'est pas un souci :-031-: Il est sur l'avatar fufu :0252: