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 Dream land

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Anonymous
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Ce message a été posté Jeu 25 Aoû - 1:05
TENUE  Cartons empilés et éparpillés un peu partout, je rangeais comme je pouvais histoire d’avoir un peu plus de place. J’avais abandonné l’appartement que Loki avait eu, troquant pour un truc pas trop cher sur Shinjuku le temps de trouver mieux. Pas les moyens de payer un mois de loyer sur Shibuya. Un penthouse. Genre j’avais de quoi m’en payer un. Ben voyons. Me laissant tomber au sol, je pris mon ordinateur portable pour aller checker mon compte en banque. Calculant un peu plus ce qu’il me restait, je soupirais. Dans tous les cas, il fallait que je trouve un job parce que je ne pourrais pas tenir plus de six mois. L’idée de reprendre le strip-tease me traversait l’esprit. Mains tremblantes me faisant repenser à Kang Jae, mon cœur se serra fortement. Soupirant, je fermais violemment le pc avant de me relever. Clope entre les lippes je l’allumais avant de la consumer rapidement. Trop même. Nerveusement je la fumais mastiquant un peu le filtre. Tournant en rond dans le petit studio ou je me marchais plus dessus avec les cartons et les animaux, je finis par me déshabiller pour troquer mon pyjama contre une tenue sexy. J’avais besoin d’air frais. J’avais besoin de penser à autre chose ou j’allais finir totalement chèvre. Claquant la porte, je marchais dans le quartier avant de prendre un bus histoire de m’éloigner au mieux d’ici. J’en pouvais plus de ce quartier. Il me rappelait trop de souvenir. Lui, mon année. Tout ça. Passant une main dans mes cheveux j’humectais mes lèvres ornées de rouge à lèvres rouge sang avant de sortir du bus. L’air était légèrement frais. Certes c’était l’été mais les nuits semblaient se rafraîchir un peu plus. Entrant dans la première boite de nuit qui me faisait de l’œil, je m’installais au bar. Mon lieu de prédilection. Pas la peine d’aller danser, je n’avais pas l’envie ni le moral. Commandant un cocktail, je le bus d’une traite avant de faire signe au serveur de me resservir. Je n’étais pas là pour passer le temps à mater les autres. Je voulais oublier. Je voulais juste pouvoir sourire sans me forcer. En espérant ne pas avoir l’alcool mauvais ce soir. Soupirant, j’attrapais le second verre avant de faire la même. Trois, quatre, cinq, j’enfilais les verres sachant qu’à force de boire j’avais une tenue assez importante. Pathétique d’être obligée de boire autant pour oublier. Posant ma tête sur le comptoir, je soupirais longuement avant de défaire un bouton de ma chemise. Il faisait cruellement chaud. Trop chaud même. L’alcool faisait son effet. Enfin. Yeux entrouvert, je vis quelqu’un se poser à côté de moi. Fixant ses cuisses, je clignai des yeux sans bouger. Je laissais l’alcool faire son effet. La chaleur, l’envie de rire, tout ça commençait à monter.


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Ce message a été posté Jeu 25 Aoû - 10:49
TENUE         Aujourd’hui je n’avais pas hésité un instant à rester dehors toute la journée, qu’importe combien j’avais envie de me poser et de rester dans mon lit. Le mois d’Août demande plus d’efforts que d’habitude et avec les cours en moins, ce n’était pas la peine d’essayer quoi que ce soit ! J’avais réussi à tenir le coup le jour de mon anniversaire et celui de l’accident mais ça, c’est parce que j’ai des amis qui ont réussis à me rappeler que me suicider n’était en aucun cas la solution. Alors une journée de plus en vie ne me fera pas non plus de mal. Surtout que j’enchaînais soirée sur soirée, je peux pas dire que je ne m’amuse pas et que je ne fais que déprimer. Mais paraît-il que le plus grand des sourires ne peut cacher la vérité. Me garant dans le parking VIP de la boîte de nuit, je passe directement l’intérieur, montrant mon pass et tapant même la discute avec le videur, prenant des nouvelles de sa femme et de son nouvel enfant. Mais quand je vois quelqu’un d’autre se ramener, je mets terme à la conversation et préfère rentrer, faudrait pas que je lui attire des ennuis à force de parler… Je monte les étroits escaliers, commençant à déboutonner les deux premiers boutons de ma chemise sous la chaleur ambiante puis me pose la question : « Après avoir déprimé autant de temps, que vais-je m’offrir comme cadeau d’anniversaire ? ». Je hoche la tête en rythme avec la musique qui se fait de plus en plus fort et arriver une fois en haut, j’entends déjà mon prénom se faire appeler. Je lève la tête et souris de toute mes dents, tapant dans les mains de gens que je connais, reconnais et… Euh, je sais pas qui c’est lui, mais qu’importe. Ça deviendra mon copain aussi.

« Hey !! Salut tout le monde ! » Hurlais-je en mettant mes deux mains devant la bouche, finissant par un rire machiavélique exagéré.

Mes premières minutes consistent à parler, parler, parler et surtout… Bavarder. Je plaque le plus grand des rictus sur mes lèvres et bien que je sois ravi d’être ici, la peine dans mon cœur reste présente malgré tout. Le bon côté des choses c’est qu’au moins aujourd’hui, je n’avais pas eu une seule hallucination. Enfin, après l’énième salutation, je me dirige vers le bar parce qu’il est inconcevable que je ne sois pas en train de boire puis commande un verre, m’asseyant au bar. Je tourne la tête à côté de moi et remarque ma voisine ayant l’air complètement paumée (ou bourrée, déjà ? Il est si tôt pourtant ~). Je lui lance à elle aussi un regard enjoué et m’exclame tout à coup :

« Besoin qu’on te remplisse à nouveau le verre ou t’es déjà prête à tomber par terre ? » J’en ris et lui tapote dans le dos amicalement, zieutant sans gêne son décolleté encore plus exposé dans la position dans laquelle elle est. Quand ma boisson arrive, je l’attrape et commence à la boire, reprenant aussitôt la discussion. Si vous l’aviez pas encore compris, je suis vraiment TROP sociable. « Et c’est quoi ton prénom ? Je t’ai jamais vu ici auparavant me semble. »



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Ce message a été posté Jeu 25 Aoû - 14:09
TENUE  Les yeux brièvement fermés, je restais inerte, laissant l’alcool couler dans mes veines. Je venais de m’enfiler combien de verre déjà ? Bonne question. Je n’avais même plus l’envie de réfléchir. Soupirant, je me redressais un peu en posant une main sur mon front. Même si je buvais, concrètement, là, je m’ennuyais. Je voulais m’amuser, oublier. Me déconnecter de cette réalité bien trop pesante pour moi. Voyant le siège à côté de moi se faire prendre par quelqu’un, je tournais le regard pour fixer les cuisses de cette personne. Un homme d’après les vêtements. « Besoin qu’on te remplisse à nouveau le verre ou t’es déjà prête à tomber par terre ? » Passant ma langue sur mes lèvres, je me redressais totalement, passant alors une main dans mes cheveux pour regard le nippon face à moi. Mince, brun, je plongeais mon regard dans le sien sans répondre. Restant alors silencieuse. Sentant sa main sur mon dos, un frisson parcouru mon échine. Je le connaissais ? Je ne le reconnaissais pas ? « Et c’est quoi ton prénom ? Je t’ai jamais vu ici auparavant me semble » Donc, on ne se connaissait pas. Un sourire étira mes lèvres. Posant un coude sur le comptoir, me tournant pour être plus ou moins face à lui, je croisais mes jambes avant de tourner le regard vers le serveur. « Un orgasme s’il vous plait. » J’avais besoin d’un remontant, et autant dire que ce petit shooter allait m’aider. Me tournant vers ce qui semblait être un garçon un peu trop avenant, je posais ma main sur sa cuisse pour la tapoter. « Enlève cette idée de ta tête hum. » Elle lui fit un clin d’œil, avant d’attraper le petit shooter et l’examiner quelques secondes. « Rukia. Et toi ? » Sans attendre, je portais le verre à mes lèvres et le bu d’un seul coup. Le posant je claquais ma langue contre mon palais en frisson de tout mon long. C’était le meilleur des meilleurs. « Tu as eu un orgasme ? » Soupirant, je me frottais le visage. « Non, je veux dire, tu as déjà bu un orgasme ? Franchement, c’est le meilleur shoot de tous les temps. » Je fis signe au serveur de nous en apporter deux autres, fallait qu’il goûte. Ça valait bien son nom. L’orgasme à l’état brut quand tu le bois. M’enfin ça n’engageait que moi. Peut-être qu’il n’aimerait pas. Soufflant, j’aérais ma chemise, avant de baisser mon regard sur le cou de l’inconnu. Plus bas, regardant l’ouverture de sa chemise, je restais quelques secondes bloqué sur cette partie du corps avant de relever les yeux. Cet idiot était trop bien habillé. Ça me rappelait Kang Jae. Me détournant de lui, j’attrapais mon verre une fois prêt. « Bon orgasme. » Et sans attendre je bus le mien.


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Ce message a été posté Jeu 25 Aoû - 19:45
TENUE         Peut-être avais-je été trop avenant mais c’est tellement naturel pour moi, tellement évident vu l'environnement que je n’ai pas vraiment vu ça de façon déplacée, ni quoi que ce soit de trop obsédé. Ma foi, la demoiselle n’a pas l’air non plus de le voir comme ça, ou du moins elle ne s'est pas trop vexé. Ses cuisses sont magnifiques et ses lèvres d’un rouge exquis, je suis sûr que c’est saveur cerise ou un truc comme ça, faudra que je lui demande. Je lui retourne le regard insistant puis arque un sourcil à son choix de shooter. J’aime les gens qui savent tenir la boisson. Au contact de sa main sur ma cuisse, j’éclate de rire et fini presque d’un trait ma boisson, secouant la tête avec un sourire malin. « Oh tant pis, j’aurai tenté haha ! » Finalement, je hoche la tête à son prénom, termine le fond de mon verre et le pose en poussant un « Aah » de satisfaction avant de me présenter : « Noah ! Enchanté.» Je joue avec le parasol en papier qu’on m’avait mis dans la coupe puis ricane à sa question, me retenant de lui répondre une connerie parce que j’ai bien compris que ce n’était pas ce qu’elle souhaitait en premier… Mais quand elle se corrige, je ne manque pas l’occasion de m’afficher, on s’appelle Noah ou on s’appelle pas. (dafuq que je dis) « Les orgasmes je connais mais le shooter je vois pas. » Je lui tire la langue et expose toutes mes dents, secouant la tête au rythme de la musique et bougeant mon pied pour faire le tempo. « Mais pas de souci, je veux bien goûter. On refuse jamais une offre comme celle-la. »

Je la fixe de haut en bas et me mords la lippe quand elle fait bouger sa chemise, tentant de regarder ailleurs parce que c'est bon, elle a dit "non" on calme ses hormones. Puis je me tourne directe vers le barman, le remerciant et prenant un des petits verres pour moi. J’allais pour trinquer avec elle mais elle est déjà en train de boire et j’admets que ça me trou un peu le cul, wow « Quelle descente ! » Impressionné, je lui fais une tête qu’approuve avant de descendre le mien d’un coup aussi, grimaçant après, poussant un « Ouuuh », me raclant la gorge. La crème de whisky c'est bon mais ptin, je vais prendre cher, je le sens. « Génial. Je crois que je prendrai plus souvent des orgasmes. » Sauf que je pouffe de connerie et de stupidité et relève le coude, commandant cette fois-ci deux Kamikaze. Je compte bien m'achever ce soir. « Je suis tombé sur la personne parfaite pour boire avec moi à ce que je vois. J’aime tes goûts Rukia ! » Je lui tends la main avec un air un peu trop fier, je vous présente Mr. Trop Confiant qui pense être plus beau que la moyenne.

Mais quoi ? C’est la vérité après tout héhéhé. Et elle et moi, on va devenir partenaire pour la soirée, elle peut pas refuser, on a déjà commencé notre chute infernale dans le cycle de l’alcoolisme.




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Ce message a été posté Jeu 25 Aoû - 22:05
TENUE  « Oh tant pis, j’aurai tenté haha ! » Un sourire s’afficha sur mon faciès alors que je le regardais quelques secondes. « Jamais le premier soir. » C’était le plus gros mensonge que la terre puisse porter. Mais je n’allais pas le revoir, alors forcément on s’en foutait des mensonges que je pouvais débiter. M’enfin, il le prenait plutôt cool. Il ne faisait pas son gros bourrin qui voulait écarter des cuisses. « Noah ! Enchanté » Restant silencieuse, je réfléchis un peu. Pas trop longtemps non plus. « C’est tout sauf japonais. Des origines ? » Pourquoi je devrais prendre des pincettes hein ? Mais Noah, ça ne sonnait absolument pas Japonais. Il avait le faciès d’un asiatique mais ça ne voulait rien dire de nos jours alors. Je me montrais peut-être trop curieuse. Mais l’alcool déliait surement les langues et la mienne était plus que déliait pour le coup. Je ne réfléchissais pas tant que ça avant de parler. Longue, mais en fait j’étais comme endormie intérieurement. « Les orgasmes je connais mais le shooter je vois pas. » J’éclatais de rire sans trop pouvoir me retenir. Putain un comique. Je le regardais avant de fourrager ses cheveux. « Avec la tête que t’as de joueur don juan. Ça ne m’étonne pas que tu connaisses. » Je lui fis un clin d’œil amusé avant de m’avachir un peu sur le comptoir. Entre la chaleur et la flemme j’étais servi. J’étais totalement abrutie par l’alcool. « Mais pas de souci, je veux bien goûter. On ne refuse jamais une offre comme-celle-la. » Lèvres remontées doucement, je me mordis la langue avant de me lécher rapidement les lippes. Tournant un regard vers lui, je l’observais en soupirant. Je m’étais trouvé un compagnon de soirée plutôt amusant. Ça me plaisait bien à dire vrai. Il arrivait à me faire rire et à me changer un peu les idées, alors forcément… ça me plaisait bien. Attrapant le shooter je l’avalais d’un cul sec sans attendre. J’en avais bien besoin. « Quelle descente ! » Je lui lançais un regard quelque peu complice avant de pousser le verre en direction du serveur pour qu’il le reprenne. « Génial. Je crois que je prendrai plus souvent des orgasmes. » J’hochais la tête. « Rien ne vaut un orgasme. » Petit humour du soir bonsoir. Depuis quand n’avais-je pas eu d’orgasme ? En avais-je seulement déjà eu ? Je n’en avais même pas le souvenir. Pathétique. « Je suis tombé sur la personne parfaite pour boire avec moi à ce que je vois. J’aime tes goûts Rukia ! » Baissant mon regard sur sa main, je l’attrapais de la mienne en secouant la tête. Il me faisait rougir cet idiot. Le serveur nous donnant la nouvelle commande qu’il avait fait, je regardais le contenu du verre avant de le tendre vers lui pour trinquer. « Je dirais la même chose après avoir tâter la piste avec toi. » S’il aimait boire, comme moi, j’aimais tout aussi bien danser. Et ça, c’était primordiale dans une soirée. Surtout si j’avais un compagnon. Trinquant et buvant, je fis une grimace avant de tirer la langue. Toussant, je me frappais la poitrine avec force avant d’essuyer mon front. Je dégoulinais. Pire que sous une douche. M’essuyant la bouche, je soufflais en le regardant. « Putain on va revenir d’entre les morts ce soir. » Façon de parler mais avec ce qu’on était en train de s’enfiler, je ne donnais pas cher de nos vies. La musique changeant, je me levais, trop rapidement, me retenant contre lui avant de rire toute seule. « Aigo… Viens. » Je pris sa main pour le tirer. Titubant ayant du mal à tenir debout, je finissais par me coller contre lui avant de danser. « Je m’en vais si tu me dis ne pas savoir danser. C’est la base… »


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Ce message a été posté Ven 26 Aoû - 16:29
TENUE         Moi le tombeur de ces dames venait de me faire « rembarrer » mais je retiens sa réponse et frétille des sourcils en la regardant implicitement, un sourire qui n’arrive plus à me quitter depuis 10 minutes encore accroché. Forcément, elle attise ma curiosité à me faire rigoler comme ça alors on discute et on fait connaissance, c’est cool de se sentir aussi à l’aise rapidement ! « Je suis franco-japonais avec en plus de ça des origines Suisse héhé » Je suis pas le genre de gars à porter attention à ces détails, peut-être parce que la moitié de mes amis sont métisses ou encore étrangers ? J’ai gardé contacts avec tous mes potes d’avant donc forcément, japonais ou pas, j’oublie un peu parfois. A sa remarque, je fais la moue et hausse les épaules innocemment, murmurant « Don Juan, moi ? Je vois pas de quoi tu parles ~ » et lui fais un clin d’œil, laissant mes cheveux en bataille après qu’elle les ait foutu n’importe comment, osef un peu, je suis encore plus sexy paraît-il comme ça.

Cela risque d’être une énième soirée où je finis tellement bourré que le lendemain je ne peux plus me lever sans vomir ou pleurer maman. J’aime ce genre de soirée, un jour je vais faire une cirrhose du foie je vais pas comprendre pfff. Mais qui a dit que je faisais attention à ma santé ? Bon, en vrai, je vais essayer de pas trop abuser parce que j’ai pris la bagnole ce soir et à moins que je rentre avec quelqu’un, je suis censé remonter dedans demain matin. Mais un cocktail plus deux shooters, ça va, c’est pas ça qui va me tuer. Pour le moment...

« Et non, rien ne vaut un orgasme ! » Annonçais-je avec un regard de connaisseur, un ricanement s’évanouissant sur le bout de mes lèvres avant de continuer dans mes compliments, la qualifiant de personne géniale pour une cuite arrosée. « Ben rougis pas, on vient de commencer seulement ! » Je lui montre mes dents et secoue sa main avant de trinquer avec elle et descendre le kamikaze d’un coup, prêt à lui montrer de quoi je suis capable sur la piste de danse. Go crazy or die trying comme on dit. Ma tête me lance sous la vodka montant d’un coup au nez et je grogne et secoue la tête, essuyant mon menton : « Oh bon sang, heureusement que j’ai pas d’ex a qui envoyer des textos désespérants hahaha » Je la retiens avant qu’elle tombe et mon faciès est contorsionné d’euphorie, ça m’en fait mal aux pommettes. Me levant aussi rapidement, je jette ma veste au barman qui la range derrière le comptoir et passe un bras autour de la hanche de Rukia, la fixant dans les yeux pour répondre sensuellement : « Chérie, avec des abdos comme les miens tu crois que je sais pas un minimum danser ? » Je fais le coq, je fais le fier, je remue mes hanches en rythme et la tire à mon tour au milieu de la foule, la collant contre moi avec un air de séducteur. « Et donc avec un corps comme ça tu vas me dire que t’attire pas les gars ?? » Faut pas me prendre pour un demeuré, elle est trop bien foutue pour ne pas avoir qui elle veut dans son lit. Lentement, je me détache, lui tenant toujours la main au cas où elle perdait pieds puis bouge mon torse et mes jambes avec synchronisation, mimant les paroles de la chanson, me perdant dans la musique et les effets technos qui me font rêver.



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Ce message a été posté Ven 26 Aoû - 19:41
TENUE  « Je suis franco-japonais avec en plus de ça des origines Suisse héhé » Sans pouvoir me retenir, j’explosais de rire. Bordel. Ça tombait à pic. Un français. Un putain de métisse. C’était le destin. Genre, je t’enfonce un peu plus le couteau dans la plaie, un truc du genre. Cessant de rire, je m’essuyais les yeux, j’en avais même pleuré tellement je venais de rire. « Bon dieu, ça ne peut pas être pire que franco-coréen ma foi. » Balançais-je en soupirant. Kang Jae… Lui que j’aimais encore ce sale putain de franco-coréen. Aish. J’avais envie de pleurer. Reniflant, je me passais la main sur le visage pour me calmer. Allez. Ce n’est pas dramatique. Je n’allais pas me mettre à haïr tous les français de l’univers quand même. J’aimais la France je l’adulais j’aimais leur langue, leur coutume. Tout. « Don Juan, moi ? Je vois pas de quoi tu parles ~ » Etirant mes lèvres, dévoilant mes dents, je lui fis un petit clin d’œil. « C’est marqué sur ton front. T’es un lover. » Susurrai-je en inspirant longuement. Ah… Valait mieux un lover qu’un violeur. Et me revoilà à penser à Kang Jae. Fermant les yeux, je me frottais les yeux en jurant intérieurement. Ça m’en donnait carrément des migraines. Quelle horreur. En tout cas je n’oubliais pas l’objectif de ma soirée. C’était de boire, boire pour oublier, boire pour ne plus souffrir, boire pour vivre une vie meilleure. Tout simplement. Comme l’impression d’avoir un corps pensant une tonne contre ce comptoir, je bus mon orgasme avant de cligner des yeux à plusieurs reprises. Je me sentais bien, c‘était simplement la fatigue qui me tombait dessus. « Et non, rien ne vaut un orgasme ! » Ma langue buta allègrement mes lèvres alors que j’essayais de me donner une notion du mot orgasme. Prendre son pied, avoir un plaisir à la limite de l’insupportable. Ah… J’en avais eu du plaisir avec Zero. Mais je ne savais pas si ça avait été ce genre de chose. L’alcool me donnait matière à réfléchir sur des choses auxquelles je ne réfléchissais même pas en temps normal. « Ben rougis pas, on vient de commencer seulement ! » Le laissant me secouer la main, je le regardais droit dans les yeux en rougissant un peu plus. Bon dieu. Ce mec est tout de même marrant. Je ne sais pas si c’est sa tactique de drague, ou s’il est comme ça tout le temps mais bizarrement, il m’inspirait de plus en plus confiance. C’était un peu déroutant d’être amené à faire si vite confiance. Descendant d’une traite le nouveau verre, ma tête me tourna un peu. J’allais mourir ce soir. « Oh bon sang, heureusement que j’ai pas d’ex a qui envoyer des textos désespérants hahaha » Je riais comme une idiote. « Quoi ? T’es le genre de mec sentimental qui une fois bourré contact ses ex ? » Je n’avais vu ça que dans les films. Ça existait donc bel et bien ? Enchantée man ! Cool ! Je me levais, manquant de me rétamer. C’était l’heure de danser. Fiou, son corps entier était dur. « Chérie, avec des abdos comme les miens tu crois que je sais pas un minimum danser ? » Je cligne des yeux alors qu’on est comme tiré vers la piste de danse plus loin. Je rêve ou il a perdu un vêtement ? Je le fixe, comme une idiote. Le fantasme de l’homme en jean chemise faisait surface. Ma main se posa sur son ventre avant de tâter. « T’es maigre, c’est pour ça que c’est tout dur. » Je pouffais doucement avant de me stopper pour paraître un peu plus sérieuse. Nos corps se collant, je passais un bras autour de sa nuque sentant des frissons dans tous mon corps. « Et donc avec un corps comme ça tu vas me dire que t’attire pas les gars ?? » Petit sourire sur mes lèvres, je me redressais plus ou moins sur la pointe des pieds, venant coller ma jouer contre la sienne pour plus de proximité. « J’sais pas trop. Je n’avais pas trop le temps de faire gaffe jusqu’à présent. » D’une je m’en fichais, deux j’avais pas l’envie de baiser, trois, j’aimais encore ce grand con de Kang Jae. Aish. Me laissant retomber sur le plat de mes pieds, je plongeais une main dans ses cheveux, avant de passer d’un coup franc, une cuisse entre ses jambes. Collée sans aucune impunité sur son entre jambe, je vins coller mon bassin contre le sien pour me déhancher au rythme de la musique. Le faisant tourne, je penchais ma tête en arrière, les yeux fermés. Seconde main sur le haut de son jean, je m’agrippais à ce bout de tissu avec force tout en ondulant avec franchise contre lui.


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Ce message a été posté Sam 27 Aoû - 2:45
TENUE         J’admets que son rire aux éclats me laisse un peu sans voix, haussant les épaules de confusion. Sauf qu’à sa précision, je suis encore plus perdu mais je souris quand même, apparemment la demoiselle avait un passé avec un franco-coréen et je ne comptais pas trop pousser la chose pour le moment. Je la connais pas et en soit, je m’en bats pas un peu les noix, sans vouloir la vexer. Néanmoins mes yeux s’attendrissent en voyant son visage changer d’expression et je lui tapote le genou gentiment avant de continuer la conversation. Ah ! J’écarte les bras pour mettre mon torse en avant et m’exclame de vive voix, exagérant du mieux que je peux pour lui changer les idées : « Exactement ! Je suis un lover ! J’aime les femmes ! » Toutefois, son humeur n’a pas l’air de s’améliorer, bien au contraire alors je préfère jouer avec mon verre pour ne pas m’incruster dans quelque chose qui pourrait se révéler trop privée. Ou du moins, je garde la question pour plus tard. Alors on cesse cette discussion qui tourne à la déprime et on boit ! On boit pour oublier ou on boit pour passer le temps. Moi, je bois juste pour m’amuser. J’en ai le droit, j’ai passé un an enfermé dans un hôpital psychiatrique je peux bien foutre un an de ma vie en l’air après ça.

« Oh non. Faudrait déjà que j’ai réellement des exs pour pouvoir leur envoyer des textos. » Je rigole à pleine voix en même temps que de me lever et de faire mes affaires mais au fond de moi je savais que ce n’était pas drôle de rire de ça. J’avais eu une petite amie avant la défunte Alissa mais ça n’avait pas été sérieux. Depuis, j’ai pleins de copines et officiellement, je suis … Un peu partout. Je suis sûr que certaines le savent d’ailleurs mais bon. Si elles tenaient vraiment à moi elles m’auraient demandé d’arrêter de faire le goujat. « Je suis pas maigre, je fais du base-ball et du skate la plupart du temps alors forcément ça muscle. Pfff » Je lui tire la langue en signe de rébellion et lui tapote les fesses, lui lançant un baiser dans les airs. Une fois sur la piste, on s’enlace naturellement, c’est sensuel mais pas cucu, juste entre le sex’ et la séduction, de quoi serrer mon pantalon. Je glisse mes mains sur la chute de ses reins et inspire son parfum quand elle répond à ma question. Je mords ma lèvre et tourne le menton pour plonger mes yeux dans les siens puis souris de toutes mes dents. « Je te rassure, tu fais un malheur là. » Je siffle et grogne quand sa main agrippe mes cheveux et ondule à mon tour les hanches, sa cuisse frottant à l’endroit rêvé pour ton homme. « En tout cas, tu danses comme il faut ~ » Soufflais-je contre la peau de son cou, nous faisant tourner sur place, ma paume droite juste au niveau de la courbe de son dos et de sa taille. « Et c’est très agréable. » Sans réfléchir, je dépose deux, trois bises papillons ses clavicules et mordille un peu avant de faire décoller ses pieds du sol et tournoyer un peu plus, la penchant même en avant, me servant de sa jambe entre les miennes comme soutien. Je la relève et la retourne contre moi avec fermeté, mes doigts sur son ventre et les autres accrochés avec les siens au-dessus de nos crânes. Mon bassin se frotte contre ses fesses à chaque vague sur le tempo, au rythme des basses et des « oh » de la foule en délire. « Ça va, je me débrouilles pas trop mal selon toi ou je dois encore faire mes preuves ?  » Chuchotais-je à son oreille, m’empêchant par ailleurs de la lui mordiller.




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Ce message a été posté Sam 27 Aoû - 11:39
TENUE  « Exactement ! Je suis un lover ! J’aime les femmes ! » Je ne pus m’empêcher de le regarder. Pourquoi ? Je ne savais pas trop. Son regard perçant ? Son sourire qui était tout de même captivant ? Des questions me traversaient la tête sans que je ne puisse réellement répondre. Plus je le regardais, plus je parlais avec lui et plus un quelque chose chez lui attirait mon attention. Etait-ce parce que c’était un lover ? C’était surement un pro. Il savait y faire. Non, ce n’est pas forcément ça. C’était autre chose. De la considération, de la douceur, de la conversation, de la délicatesse. C’était un vrai lover. Pas un bourrin. C’était quelqu’un qui était surement ici pour les mêmes raisons que moi. Qu’est-ce qui se cache derrière ton sourire Noah ? Je baissais la tête en me trouvant stupide de l’analyser alors que j’étais plus que bourré. Comme si mes bouquins de psychologie s’ouvraient à nouveau, pour me narguer. Attrapant doucement le menton de mon compagnon du soir, je lui fis tourner le visage vers le mien l’obligeant alors à me regarder droit dans les yeux. « Et le plaisir Charnel. Tu as oublié de le préciser. Je suis sûre que tu aimes te mouver aux creux des reins d’une femme. A la fois lentement, passionné, avec hargne je suis sûr que tu aimes sentir ton corps frotter celui d’une femme. » Mon ton était sérieux, alors que je gratouillais son menton en souriant franchement. Ok ce mec venait d’attirer mon attention au maximum. Genre, vraiment. C’était rare même très, très rare. L’alcool devait surement y être pour quelque chose mais j’avais envie de discuter avec lui, de chose qu’on ne discute pas forcément avec tout le monde. Parce que mon cœur battait ma cage thoracique comme jamais. Ce mec avec un quelque chose. « Oh non. Faudrait déjà que j’ai réellement des exs pour pouvoir leur envoyer des textos. » Un sourire, une main dans les cheveux, je riais faiblement à ses propres. « C’est sûr que quand on se contente de simple coup d’un soir, on ne peut pas réellement appeler ça une ex hum. » Je le narguais un peu. Mais je pouvais aussi le comprendre. Enfin, heureusement que je n’appelais pas Zero quand j’étais bourrée. La honte. « C’est quoi ta devise ? Jamais deux fois avec la même femme ? » Je le narguais sous une petite touche d’humour. Après tout beaucoup d’hommes étaient comme ça. Tout comme beaucoup de femmes l’étaient aussi. Plus qu’on ne pouvait l’imaginer. Prêt à aller danser, alors que j’avais un peu de mal à tenir debout, juste le temps de me remettre de mes émotions et de m’habituer à rester debout, je le laissais « mener » la danse. « Je suis pas maigre, je fais du base-ball et du skate la plupart du temps alors forcément ça muscle. Pfff » Je tournais le visage vers lui alors que je le sentis claquer ma fesse avec douceur. Me mordillant les lèvres sur le coup, sans réellement pouvoir m’en empêcher, je trouvais ce geste affreusement érotique et c’était mal. « Ok. Je t’aime toi. Ta mission sera de m’apprendre à faire du skate, c’est non négociable. »

J’arquais un sourcil en le regardant très sérieusement. Je ne savais même pas si j’allais le recroiser un jour, si je me souviendrai de cette conversation, qu’importe. Il faisait du baseball, ça me plaisait. C’est le sport de ma vie ce truc. Après la danse bien sûr. En tout cas, on ne perd pas de temps, se mouvant l’un contre l’autre, alors que sa main sur le creux de mes reins déclenchant un feu intérieur dans ton mon corps. Il me faisait vibrer, dans tous les sens du terme. Avais-je le droit de dire que c’était meilleur que du sexe en lui-même ? « Je te rassure, tu fais un malheur là. En tout cas, tu danses comme il faut ~ » Je pouvais sentir son souffle chaud parcourir la peau de mon cou, et les frissons m’envahir, comme s’il venait d’y frotter un glaçon. L’effet ou l’emprise qu’il avait sur moi là, tout de suite, me rendait euphorique. Mieux que tout alcool ou drogue dans ce monde. La provocation était à mes yeux le meilleur des plaisirs. « Et c’est très agréable. » Au contact de ses lèvres sur ma peau, mes doigts se resserraient avec fermeté dans ses cheveux, démontrant un peu trop, le plaisir qu’il était en train de me procurer. J’avais envie de le repousser, de calmer ses ardeurs, mais ma tête et mon corps ne me répondaient pas. Avis divergeant, me laissant dans un tourbillon d’émotions un peu trop dévastateur. Ma langue humectait mes lèvres, alors que je pouvais sentir ma gorge me bruler sous l’émotion. Comme possédée je restais contre lui, à me mouver sans parler, la tête me tournait, agréablement envahit par le plaisir. Le laissant faire, je lâchais un bref gémissement alors que je me retrouvais dos à lui. Suivant la cadence, je posais une main sur la sienne, entrelaçant légèrement nos doigts. Je ne répondais plus de rien, je jouais, je laissais le corps parler. Ce n’était plus une danse pour moi là. C’était des préliminaires. Et bon dieu. Ce terme me correspondait bien. « Ça va, je me débrouilles pas trop mal selon toi ou je dois encore faire mes preuves ? » Sourire sur le visage, Je serrais doucement ses doigts au-dessus de nos visages les faisant légèrement baisser pour pouvoir taquiner la peau de sa joue. Son bassin contre mes fesses, je laissais mon dos se cambrer doucement, dans une légère provocation, alors que mes mouvements devenaient plus lents plus doux. Penchant ma tête en arrière restant collé près de la sienne, sa peau était douce et brulante. Légèrement humide sous la chaleur et l’effort de ce moment. « C’est vraiment… » Le souffle coupé, je tournais le visage pour capter son regard. « Pas mal du tout. » Non c’était même parfait. Bizarrement, comme si c’était d’une évidence normale, c’est exactement ce que j’avais envie pour me changer les idées. « Mais je crois que tu as encore besoin de faire tes preuves. » Une façon détournée de lui demander de continuer, alors que je posais mes lèvres sur sa peau, sur cette joue, avant de laisser mes dents l’attraper, et la mordiller avec légèreté. Descendant vers son cou, j’en profitais pour lui marquer la peau, alors que le doux parfum de celle-ci envahissait mes lèvres et ma langue. J’étais en transe complet.



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Ce message a été posté Dim 28 Aoû - 18:27
TENUE         Ses doigts sur mon menton et ses yeux dans les miens, je la regarde d’un air curieux, un sourire en coin jusqu’à ce qu’elle pose sa question, riant doucement dans un air mystérieux comme si moi seul peut comprendre le comique de sa phrase. Je secoue la tête négativement et hausse les épaules, restant dans le mystère le plus complet car moi-même au fond, ne connais la solution à cette énigme. Pourquoi je couche ? Suis-je vraiment intéressé que par le sexe ? Ou ne suis-je pas juste à la conquête de quelque chose pour passer le temps ? A ce commentaire, je garde un sourire sur le visage mais une certaine étincelle de réalisation hante mon regard. Alors on boit et j’en rigole un peu de force parce qu’Alissa me manque parfois, elle tenait bien au creux de mes bras. Et tout comme Rukia, elle aimait farfouiller dans mes cheveux. « J’avais une copine. » Dis-je d’une voix basse, presque choqué par ma propre confession. « Disons que là où elle est, ils ne captent pas les signaux téléphoniques. » Mais je ne voulais pas en dire plus que ça. J’éclate de rire à sa remarque (elle est pleine de clichés sur les garçons uhuh) et caresse sa cuisse avant d’arquer un sourcil : « Oh si, la plupart de mes copines actuelles sont régulièrement dans mon lit figure toi. » Un clin d’œil charmeur et nous nous levons pour nous préparer à danser, laissant donc ma veste de côté et la tenant pour ne pas qu’elle se ramasse la gueule.

« Je pourrai t’apprendre deux, trois trucs mais je suis pas  très doué ! » Rukia me fait délirer, en plus de l’alcool je veux dire, elle a ce truc charmant et ce côté un peu insouciante mais comme moi, elle a l’air de cacher bien plus gros qu’un simple franco-coréen. Alors, pour oublier nos points communs, pour oublier nos lourds passés, quoi de mieux que de se défouler et déstresser ? Et je me perds dans la danse, dans le contact et je ressens ces familières sensations, toutes ces émotions intenses et assoiffées. Je veux la toucher, me rappeler de la réalité, me rendre compte que ce qu’il y a sous mon index et mon pouce est bel et bien humain et non une hallucination. Je cherche aussi bien l’aspect charnel, celui qui donne du plaisir, que l’aspect psychologique qui réconforte ma dissociation. Et c’est vrai, j’aime à entendre les filles gémir sous moi et les sentir frissonner de plaisir. Ma passion première c’est de leur en donner jusqu’à l’épuisement. C’est sûrement prétentieux de penser que cela soit possible et encore plus de penser que je fais du bon boulot cependant je suis plutôt confiant en mes capacités. Personne ne s'en ait encore plaint (par politesse, qui sait ? Ce n'est pas moi qui perd au change au final.)

Alors quand mes lèvres frôlent l’épiderme humide et lisse de Rukia, quand mes pupilles aperçoivent la chair de poule, que son rythme cardiaque résonne avec les basses, je me sens poussé sous l’adrénaline et la satisfaction et continue dans ma lancée, parcourant la limite du sensuel et du sexuel. Même si cela ne peut durer que quelques instants, quelques heures qui sait, je veux juste en profiter. Sa réponse, ses réactions, ses mimiques, je vague mon bassin contre ses fesses lascivement et agrippe de ma main droite sa hanche pour y appliquer plus de fermeté. J’inspire à sa morsure dans le cou et la retourne face à moi presque immédiatement, un rictus taquin planté sur mes pommettes. « Oh oh. Jeune demoiselle. Les suçons dans le cou, vraiment ? » Je me saisis de son menton et fixe ses lèvres avec attention, inspirant d'appréhension et d'excitant, le monde vaguant tout autour de nous, nos deux entités toujours accolées. « Navré, mais je vais m’emparer de ta bouche avant que tu te permettes encore de me marquer sans ma permission. » Je mords ma lippe avant de pencher ma tête et d’apposer nos pulpeuses l’une contre l’autre, d’abord gentiment puis envahi par la dopamine et l’envie, je glisse une main dans ses cheveux et les empoigne sensuellement pour donner plus d’effet à mes  langoureux mouvements buccaux. Un cocktail, deux shooters et une paire de fesses et j’ai enfin réussi à trouver la réponse à ma question : Rukia à le même goût que moi, celui d’amertume et de vodka-citron.



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Ce message a été posté Dim 28 Aoû - 23:22
TENUE  « J’avais une copine. » Je n’étais pas bien sûr d’avoir entendu ce qu’il venait de dire. Pour autant, je le regardais, avec le plus grand sérieux que la terre m’ait donné de faire. Comme si instinctivement, j’avais compris que ce qu’il venait de dire était vraiment important et ne méritait pas d’être pris à la légère. « Disons que là où elle est, ils ne captent pas les signaux téléphoniques. » C’était pas forcément le moment de me parler en langage codé. Ma bouche s’entrouvrit, alors que je laissais ma langue humecter mes lèvres légèrement séché. Je ne sais pas trop ce qu’il a vécu, mais c’était pas forcément le moment de remuer le couteau dans la plaie. Alors, sans rien dire, je posais cette main dans son dos, et je le caressais doucement. Parfois, un simple geste vaux mieux qu’une parole. C’était la base de la relation humaine. Le contact. « Oh si, la plupart de mes copines actuelles sont régulièrement dans mon lit figure toi. » Mes lèvres s’étirèrent dans un grand sourire, alors que mon regard pétillait doucement. « Alors c’est que tu baises bien. Une femme ne retourne pas une seconde fois dans le pieu d’un mec qui baise mal. » C’était la base de toute femme qui se respectait. Si ce n’était pas pour prendre son pied… nop. Si c’était pour faire la planche et penser aux courses à faire… Autant se caresser ou s’acheter un canard. En attendant, à moitié éméché, on fila sur la piste de danse. Autant ne pas perdre de temps. Je détestais perdre du temps. Et puis, danser, c’était un peu la base. Venir ici sans danser, c’était comme manger des ramens sans nouille… Voyez le délire quoi. « Je pourrai t’apprendre deux, trois trucs mais je suis pas très doué ! » Je souris doucement en lui faisant un clin d’œil. J’aimais bien le fait qu’il ne se la pète pas et annonce simplement la vérité. Enfin un homme avec les deux pieds sur terre. Ou alors l’alcool déliait un peu trop les langues. En attendant, l’alcool déliait nos corps, nous faisant déhancher au milieu de la piste dans une danse foutrement sensuelle. Tant pis si on nous regardait, tant pis si on dérangeait. Tant pis pour tout. Parce que moi, j’étais littéralement en train de prendre mon pied. Chaque caresse, chaque souffle sur ma peau, tout ça, me rendait juste dingue. La chair de poule constante, mon cœur qui s’emballait au moindre de ses faits et gestes. J’étais en transe, complet. Son bassin contre mes fesses, je ne me gênais pas pour le provoquer. J’étais déconnectée, j’étais prisonnière un peu, de ses mains. Tête penchée en arrière, je m’amusais sur sa peau, l’embrassant en me dirigeant vers son cou. Légèrement recouvert de sueur, je le sentis poser sa main sur ma hanche et la serrer avec poigne. Il avait le don pour me faire grogner. Depuis combien de temps, on ne m’avait pas touché ? Je me sentais faible. J’étais comme une proie dans l’antre du chasseur. Le mordillant, je vins aspirer sa peau. J’avais envie de le marquer. Parce que j’aimais ça. Mordre. Mais bien vite, je me retrouvais à nouveau face à lui. Le souffle coupé, je le regardais un peu perdu. « Oh oh. Jeune demoiselle. Les suçons dans le cou, vraiment ? » Lâchant un gémissement alors qu’il saisissait mon menton, je le laissais faire impuissante. Parce que je le voulais bien. « Navré, mais je vais m’emparer de ta bouche avant que tu te permettes encore de me marquer sans ma permission. » Arquant un sourcil, mes yeux se posèrent sur ses lèvres, avant de sentir mon corps se raidir d’un coup. Le temps d’une seconde ou deux, le temps de m’habituer à ce baiser, qui fit l’effet d’une bombe en moi, je me redressais pour me coller à lui. Doux et tendre, pour venir à un baiser plus franc, plus sensuel plus… Ma tête m’en tournait, alors que je m’agrippais à sa chemise pour ne pas tomber. Désespérée, je l’embrassais langoureusement comme si c’était le dernier. Comme si j’allais mourir. Sa main dans mes cheveux, tout. Tout me rendait folle. A tel point que j’en souffrirai presque. Reculant légèrement, j’inspirais franchement par la bouche, comme en manque réel d’air alors que non. Les yeux relevaient vers les yeux, je le regardais comme possédée. Envoutée. « J’ai envie de te mordre encore… » Provocation pure et simple, j’attrapais sa lèvre inférieur pour la lui tirer doucement, je ne voulais pas lui faire mal non plus. Jouant de sa lippe je l’embrassais avec envie et passion tout en le faisant reculer un peu. Lové contre lui, je plaçais une main dans ses cheveux les agrippant délicatement, alors que mon autre main, s’agrippait sur le haut de son jean, quelques doigts passant dessous pour sentir sa peau tiède alors que je le tirais vers moi dans un geste désespéré.



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Ce message a été posté Lun 29 Aoû - 1:02
TENUE         Rukia a la décence de ne rien demander de plus sur mon passé et cela me suffit, tout comme sa caresse sur mon dos. Je reprends très vite un sourire stupide et euphorique, continuant à discuter et de rigoler à quasiment chacune de ces phrases parce que sérieusement, cette nana a un grain. « Oh ? Je me sens flatté tout à coup, faudra que je leur demande si c’est vraiment pour ça qu’elle reste ! » Dis-je d’un air plutôt surpris, fixant ses pupilles dilatées sous l’alcool et l’obscurité de la salle. Elle a vraiment un joli visage en soit… Mais pas le temps de trop m’arrêter là-dessus et on part danser, s’enlacer et se séduire, des doigts passant les limites de l’obscène en affrontant les bordures de vêtements, des baisers échangés sur de chaudes peaux et des regards se perdant dans la luxure, une fusion qui me parait des plus agréables et confortables. J’ai envie d’elle, de la serrer contre moi et la prendre, de la faire se cambrer de plaisir et la voir se cintrer telle la corde d’un arc armé, gémissante, griffant mon dos et tirant mes cheveux. J’ai ces images en tête et je me perds sur son faciès avant de jeter toute retenue par la fenêtre.

Mes lèvres contre les siennes, je les écarte et les ramènes dans un bruit de succion, glissant ma paume gauche le long de sa chemise et la remontant jusqu’à la limite de son soutien-gorge, titillant la frontière par provocation. Je suis le sous-vêtement à travers la couche supérieure jusqu’à l’arrière pour maintenant retomber sur sa colonne vertébrale et passer un simple doigt dessus et tourne mon visage de l’autre côté pour approfondir et détailler le baiser d’à-coups de langue et de dents. Cependant elle recule et me coupe dans ma transe, clignant des yeux, un peu perdu, j’admets que je n’avais pas l’idée de m’arrêter de suite. « Hein ? » Soufflais-je, confus et concentré à la fixer et à me remémorer les sensations que je venais tout juste d’éprouver. Mais un grognement rauque m’échappe quand ma lippe se retrouve happer et je lâche sa tête et son dos pour claquer ses fesses de mes deux mains et les empoigner vigoureusement avant de me rejeter sur elle, lui donnant mon bassin et ma langue. Je retrouve la sienne rapidement et joue avec, repartant, repassant et la caresse juste du bout. Je chavire et chaloupe pour elle, mes reins suivant les siens, évitant de claquer mes dents contre celle de Rukia. Ma gorge s’assèche mais elle me tire contre elle et moi je recule contre un pilier l’entraînant, les gens se poussant pour nous laisser passer. Je reprends mon souffle quand je me prends l’impact et retourne immédiatement à mon occupation, serrant mes doigts autour de son postérieur avec hargne tandis que je glisse ma cuisse entre les siennes, son mini-short me donnant l’irrésistible envie de le retirer. Je ne sais pas trop combien de secondes ou minutes sont passées, toutefois, les seins de Rukia contre mon torse et la chaleur de son entre-jambe me rendent dingues et je me dois de faire quelque chose parce que je bande et je croule de désir et dégouline de sexe. « J’ai envie de toi. » Lâchais-je gravement, décollant mon faciès du sien pour l’examiner elle et sa réaction. Elle m’a déjà dit « non » une fois mais qui ne tente rien à rien et je ne risque pas d’insister si elle refuse encore, cela voudrait dire qu’elle veut simplement embrasser, toucher et ça la satisfait et ce, pourquoi pas ? (bien que là tout de suite, mon pénis me dit qu’il veut plus que ça uhm) « On pourrait prendre un taxi et rentrer chez moi ? » Je déglutis, ma vision floue mais le rouge à lèvres à moitié effacé de Rukia me captive sous l’effet vulgaire et décadent que ça peut lui donner. « Je te force pas bien sûr… » Cependant, instinctivement, je la resserrais doucement vers moi, effleurant la peau nue de ses jambes. Je suis bien trop dedans et il va me falloir énormément de self-control si je me fais rembarrer, je n’aimerai vraiment pas passer pour un gros enfoiré. Elle ne mérite vraiment pas ça.



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Ce message a été posté Lun 29 Aoû - 11:25
TENUE  « Oh ? Je me sens flatté tout à coup, faudra que je leur demande si c’est vraiment pour ça qu’elle reste ! » Un sourire, amusé sur le bout de mes lèvres, je le regardais amusé. Entrouvrant la bouche, je soupirais avant de claquer ma langue contre mon palais. « Tu retournerais dans le lit d’une fille qui fait le cadavre ? » C’était logique à mes yeux. Le but était de prendre du plaisir, de pouvoir prendre son pied, durant quelques instants que ça dure cinq minutes ou cinq heures. Si c’était pour compter les moutons et simuler, il n’y avait pas d’intérêt à le faire. Encore plus quand la personne n’était pas notre amoureux. Soit. Pas besoin de débattre là-dessus pendant cent ans, on avait mieux à faire. Genre danser, se mouver, se frotter l’un à l’autre, surtout se frotter l’un contre l’autre. C’était pas très prévu ça, mais ce n’était pas grave. J’aimais me frotter contre les gens, et lui, il avait un corps vraiment un peu trop parfait, alors c’était un délice de se mouver contre lui. Souffle court, respiration entremêlée, langues qui se liaient se caressant dans une passion un peu trop dévastatrice, je le laissais faire alors que je tremblais de tout mon long. Mon estomac était rempli de papillons, mon cœur manquait l’arrêt cardiaque à chaque seconde, comme une impression de m’évanouir sans pour autant perdre connaissance. Il ravageait tout mon corps entier. Pour autant, je stoppais ce baiser pour le provoquer et quelle provocation. Alors que je le mordais à la lèvre, je ne pus m’empêcher de lâcher un cri, rendu aigu par le plaisir lorsqu’il agrippa avec franchise, même un peu trop de franchise, mes fesses. La douleur devenait plaisir. Incontrôlable et puissant je suivais le rythme alors qu’il nous amenait dieu sait où. J’étais tellement sonnée par le plaisir, que je n’entendais plus la musique, comme dans une bulle à part je l’embrassais en divaguant. A la fois lentement et désespérée, trop rapide et pas assez à la fois, c’était un baiser irrégulier ou chacun suivait le rythme de l’autre dès qu’il le pouvait. Butant sur je ne sais quoi, je me lovais un peu plus contre lui, me mettant sur la pointe des pieds, laissant sa cuisse se caler entre mes jambes. Les serrant doucement autour de la sienne, je me frottais à lui, comme une légère provocation qui me fit perdre légèrement pied. Mon dos se cambrant, me mis à suçoter doucement sa langue en tirant ses cheveux de mes mains. Je ne savais pas si je devais mourir pour mon propre plaisir, ou parce que j’étais en train de sentir son érection contre mon corps collé au sien. « J’ai envie de toi. » Le souffle court, j’essayais de récupérer un maximum d’air, alors que je plonge mon regard emplit de désir dans le sien. Une de mes mains lâchant ses cheveux, je la posais sur sa joue, le griffant sans aucune retenue. Il avait un peu éveillée la sauvageonne qui sommeillait en moi. « On pourrait prendre un taxi et rentrer chez moi ? » Passant ma langue sur mes lèvres, alors que mon buste ne cessait de se frotter contre le sien au rythme de mon souffle totalement irrégulier, je laissais ma main défaire un bouton de sa chemise, un rictus au coin des lèvres. « Je te force pas bien sûr… » Souriant un peu plus, je vins déposer un baiser innocent sur ses lèvres. Le genre de baiser vraiment sincère. Un simple smack. Le bas de gamme qui pourtant, pouvait avoir une signification vraiment importante suivant la façon dont il est fait. Je pouvais entendre le bruit de nos lèvres à chaque baisé que je déposais sur ses fines lèvres. Comme un petit oiseau qui picore, je me faisais lente et douce à la fois. Sans répondre, je me décollais de lui, à contre cœur avant d’attraper ses mains et le tirer doucement vers la sortie. Sourcils arqués, sans dévier le regard du sien, je ne pus m’empêcher de sourire alors qu’on se retrouvait bien vite dehors. La fraicheur de la nuit, comparé à la chaleur qu’on venait d’avoir me glaça le sang. La peau durcit par la chair de poule, je vins me coller à lui avant de l’embrasser à nouveau. Sans pudeur, sans gêne, me fichant des regards et des gens autour de nous. Rompant le baiser assez brutalement, je passais une main dans mes cheveux en soupirant. « Appelle un taxi. Vite. »



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Ce message a été posté Mer 31 Aoû - 22:57
RP fini ! La suite est par ici ! ♥

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