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 Tombez la, tombez, tombez la chemise ~ [Rukia]

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Anonymous
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Ce message a été posté Mer 31 Aoû - 22:56
TENUE            Les choses entre Rukia et moi ont clairement escaladé les limites de la pure sensualité : J’ai envie d’elle, mon corps la réclame et mes doigts la dessinent et ma bouche ne la quitte pas plus d’une seconde. Je me frotte contre elle, la serre et la desserre, agresse ses courbes de fermeté et caresse son entre-jambe de ma cuisse. Je veux bien plus que ça. Elle fait du bruit pour moi, sa respiration se saccade à cause de moi, je ne peux qu’apprécier l’effet que j’ai sur elle tout comme elle ne peut qu’être emballée par l’effet qu’elle a sur moi. Ou du moins, je l’espère. Alors quand j’ose demander à ce qu’elle vienne chez moi, plutôt inquiet, plutôt nerveux, je m’attends pour être honnête à un refus. Rukia n’a pas l’air d’être la nana qui rentre dans votre lit comme ça. Mais elle défait un bouton de ma chemise et j’ai le souffle coupé, ses lèvres se posant doucement sur les miennes. J’allais pour l’embrasser un peu plus cependant elle dépose de nouveau une bise puis une autre et une autre et encore une autre. Je suis… Plutôt ébahi. Je cligne des yeux, confus. J'ai une érection rageante dans le pantalon tout comme des papillons dans le cœur. Je mêle nos mains ensemble et la suit, faisant signe au barman pour ma veste. Je ravale ma salive et souris tandis que mes yeux restent dans les siens, inspirant de surprise lorsque la fraicheur de la nuit nous accroche. Je passe mon bras autour d’elle et sors mon portable de ma poche, l’embrassant en même temps. Le barman arrive avec ma veste en main et je le remercie personnellement, la mettant sur le dos de ma partenaire de soirée. « Demoiselle. Un peu de patience s’il vous plait, ce n’est pas vous qui passe pour un obsédé pour le moment. » Dis-je en lui pointant ma gaule, riant avant d’appeler le numéro d’un taxi que je connais. L’appel fini, je la serre contre moi et frotte ses épaules, jouant avec ses cheveux et embrassant son cou, chuchotant « J’habite à 10 minutes d’ici en voiture. » Je glisse sur son menton. « Dans un chouette apart’ et y vit seul. » J’attrape sa lippe de mes dents et la mords gentiment. « Mes voisins me haïront encore une fois, c’est tout ~ » Je l’enlace pour une énième embrassade et soupire de plaisir, me mettant bien face à elle pour caresser mon bassin avec le sien et mêler encore nos langues, entre l'indécent et l'innocent.

Jusqu’à ce que le taxi klaxonne et que le chauffeur crie mon prénom. Oui. Lui aussi je le connais. Je ris de pleine gorge et secoue la tête, l’amenant avec moi à l’arrière, saluant d’un coup de poing dans l’épaule mon pote. « Tu connais mon adresse ou je te la rappelle ? » Il arque un sourcil et me montre dans son GPS ses favoris. Je suis dans la liste avec même un petit cœur à côté. Si c’est pas de l’amour, qu’est-ce que c’est ? J’attache ma ceinture et empoigne le genou de Rukia, remontant petit à petit sur sa peau dénudée, mes ongles chatouillant l’intérieur. Je lui lance un regard de séducteur et provocant, traçant des formes abstraites sur l’épiderme doux.

« Tu as quel âge Rukia dis-moi ? » Demandais-je tandis que la voiture démarre, sentant immédiatement un sentiment d’oppression m'envahir. J’essaye de rester concentré sur la magnifique à côté de moi et continue la conversation pour passer outre. « Non pas que ça m’importe mais simplement par curiosité... » Je déglutis et gigote sur la banquette, n’attendant que d’arriver pour réellement profiter et surtout ne plus être dans un véhicule à quatre roues. « Et puis sait-on jamais, ça se trouve tu es une rebelle comme moi qui rentre en boîte de nuit illégalement ? » J’arque un sourcil, observant sa réaction. « Ne rigole pas, j’ai juste 20 ans… » Je lui tire la langue, hésitant à détacher ma ceinture pour me coller à elle et lui sauter dessus toutefois le souvenir de Saburo passant à travers le pare-brise me bloque rapidement dans le mouvement, rendant mon visage presque blanc comme un linge. Ok. Non. Ce n’est pas le moment d’y penser. Noah, reste à allumée, le corps de Rukia est sous tes doigts, bon sang !

   

   

Anonymous
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Ce message a été posté Jeu 1 Sep - 21:05
Tenue Ce n’était pas réellement mon dada. Sortir, pour coucher avec des garçons. Ça m’était arrivé oui. Ce serait mentir de dire que je ne l’avais pas fait. Mais à chaque fois que je l’avais fait, il y avait toujours une raison derrière cet acte. Comme Dakota pour oublier Zero, Keisuke aussi. Ça avait été une sale période. Révolu, qui petit à petit revenait. Je replongeais dedans. Sans même me forcer à ne pas y tomber. Je savais que viendrai un moment où je serais pathétique, ou je boirais jusqu’à en perdre la raison, ou je finirais surement à nouveau en cellule de dégrisement. Et aujourd’hui, malgré le refus au début de la rencontre, je me retrouvais, sans trop pouvoir me contrôler, à aller chez lui. Est-ce que je le regrettais ? Bon dieu non. On verra après. Pour l’instant, j’étais simplement d’accord. Je le voulais. Je voulais le sentir contre moi, je voulais sa chaleur humaine, je voulais du sexe tout simplement. Ni plus ni moins. Il avait réveillé la flamme en moi. « Demoiselle. Un peu de patience s’il vous plait, ce n’est pas vous qui passe pour un obsédé pour le moment. » Soupirant, je le laissais poser sa veste sur mes épaules. Si prévenant. Ce simple geste me fit doucement sourire. Etait-ce de la pure galanterie ? Je ne savais pas trop. En tout cas, j’appréciais. Ça montrait vraiment sa tendresse. Ce n’était pas une brute. Baissant mon regard sur ce qui semblait être son érection, je me sentis rougir comme si j’avais été pris sur le fait, alors que non. Il avait décidé de me la montrer. « L’avantage d’être une fille, c’est que ça ne se voit pas. » Susurrai-je doucement en lui faisant un clin d’œil. Pourtant il suffisait de tendre ma chemise pour l’aplatir contre ma poitrine pour se rendre compte que mes seins trahissaient cette envie grandissant en moi. Le laissant appeler, je le laissais faire lorsqu’il me prit contre lui. Frissonnant à ses caresses, je dégageais mon cou pour le laisser faire. Il me rendait folle. « J’habite à 10 minutes d’ici en voiture. » Hum. Si près. « Dans un chouette apart’ et y vit seul. » Je riais franchement à la précision de la chose. Gémissant à sa morsure sur mes lèvres, je passais mes mains dans ses cheveux en grognant. « Mes voisins me haïront encore une fois, c’est tout ~ » Riant à nouveau, je le mordis en retour. « Promis, je n’hurle pas comme une furie hum. Par contre je gémis très beaucoup. » Susurrai-je en frissonnant contre lui. Comme si c’était normal de parler de ça alors qu’on ne se connaissait même pas. M’enlaçant, je le laissais faire alors qu’on s’embrassait sans aucune pudeur devant les gens dehors. Nos bassins se caressant lentement je fus presque irritée en entendant le taxi klaxonner. Le suivant, j’ignorais le regard du chauffeur avant de monter à l’intérieur. Apparemment ils étaient vraiment bon potes. M’attachant, je fermais brièvement les yeux en tirant sur ma chemise sous la chaleur. Sentant la main de Noah sur mon genou, j’entrouvris les yeux en le regardant. « Tu as quel âge Rukia dis-moi ? » Haussant un sourcil à cette question, je me demandais, pourquoi en ce moment tout le monde me demandait mon âge. Avais-je pris un coup de vieux ? « Non pas que ça m’importe mais simplement par curiosité... » A défaut de réellement me concentrer sur ses caresses, je l’observais attentivement. « Et puis sait-on jamais, ça se trouve tu es une rebelle comme moi qui rentre en boîte de nuit illégalement ? » Mon sourcil s’arque à cette remarque. Un bébé ? Lui ? Ah bon ? Je lui donnais mon âge pourtant. « Ne rigole pas, j’ai juste 20 ans… » Un sourire se logea pourtant sur mon visage. En effet. Certes je n’avais que quatre ans de plus rien, de bien méchant. Posant ma main sur sa cuisse, je remontais doucement en le voyant blêmir. « Ca ne va pas ? » Depuis qu’on était entré dans cette voiture, il était bizarre. Entre ça et ses gigotements… Le mal du transport ? Soupirant, je tirais sur ma ceinture, pour me rapprocher de lui, l’air de rien. Ma main sur sa cuisse remontant, je passais allègrement et sans impunité sur son érection avant de l’empoigner légèrement. Capturant ses lèvres dans un simple baiser, je tirais sa lippe avec envie et un peu trop de force. « C’est pas le moment de penser à autre chose hum. Et pour info, j’ai vingt-quatre ans. Petit délinquant. » Susurrai-je contre ses lèvres. Tirant un peu plus sur la ceinture, histoire de ne pas m’étrangler j’enfouissais mon visage dans son cou pour lui faire un nouveau suçon l’air de rien. Ma main toujours sur sa masculinité, sans un bruit, je défi la boucle de sa ceinture, avant de le provoquer en riant contre sa peau. Si moi je ne connaissais pas ce chauffeur et m’en fichait, lui ce n’était pas le cas. Tant pis. Moi ça m’excité, bizarrement. 


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Ce message a été posté Sam 3 Sep - 22:37
TENUE            Je la regarde avec de grands sourires, avec excitation et appréhension. J’ai envie de l’embrasser, d’effacer ses mauvais souvenirs avec ce franco-coréen qui apparemment n’a pas laissé de bonnes séquelles sur Rukia. J’ai envie d’être le type qui lui prouve que tous les mecs ne sont pas pareils quand bien même au fond… Je reste un connard qui couche un peu partout. Alors je pose mes lèvres sur les siennes pour goûter toutes les saveurs qu’elle me réserve, pour partager toutes ces sensations du mieux que je peux, avec la langue et quelques coups maladroits de dents. Je ne suis sûrement pas parfait, de très loin même, toutefois si je peux rendre une situation idéale alors je veux essayer, qu’importe si j’y laisse des plumes ou si cela me prend plus de temps que prévu. Si je peux faire de cette nuit inoubliable et surtout, le genre de soirée qu’on ne regrette pas qu’importe le résultat, cela me va parfaitement. Parce qu’au final, que nous réserve demain ? Rien n’est certain et c’est ce qui fait voyager mes mains sur son corps comme si c’était la dernière fois.

« -Très beaucoup- oui… La vodka fait mal je vois... » Je lui fais un clin d’œil et reprends notre embrassade, consumant le feu de la passion du bout de mes commissures et de tous mes doigts, son épiderme fraiche contrastant de ma chaleur embrasante. Mais le taxi nous interrompt et c’est le début d’un grand conflit interne qui commence. Je dois rester concentré, je dois rester calme et posé, rien ne va m’arriver. Ce n’est pas la première fois que je prends le taxi cependant, l’alcool me joue toujours des tours à chaque fois et même si je n’en ai pas pris tant que ça, mon estomac se tord sous l’angoisse et je n’arrive pas à rester dans la conversation avec ma partenaire, quelque peu déboussolé, déblatérant ce qui me passe par la tête, n’importe quoi pour ne pas regarder la route défiler devant mes yeux et flipper à chaque phare allumé. Sa question me sort de ma torpeur et je tourne immédiatement la tête quand elle se rapproche, mon cœur battant fort.

« Je suis pas très à l’aise en voiture… » Mentais-je légèrement. Ce n’est pas le véhicule qui me dérange, c’est de savoir que nous sommes plusieurs dedans et encore, c’est difficile à expliquer. C’est juste qu’inconsciemment quelque chose cloche quand je suis entre 4 roues. Une vague de plaisir me surprend et je baisse les yeux sur sa main, mordant ma lippe de désir et coinçant un grognement dans ma gorge. Je plante mon regard dans le sien et glisse mes doigts derrière sa tête pour agripper ses cheveux et rapprocher son visage du mien, oubliant complètement les stimulus de panique que mon cerveau reçoit. « Tu sais comment changé les idées en tout cas. » Murmurais-je contre sa bouche avant de tendre mon cou et rire parce que Rukia est plus vieille que moi et que c’est drôle parce que je m’en fou et qu'elle me suçote tellement bien que je ne peux rien faire à part sentir mon sang se diriger sud.   « Je suis un très bon délinquant ~ » Continuais-je sans honte, sentant mon érection maintenir sa dureté tandis qu’elle l’empoigne à travers le pantalon, mes vêtements m’étouffant.

« Touche pas à ça, perverse ~ »

Je suis à l’ouest, complètement perdu dans la luxure néanmoins, je retire sa main de ma boucle de ceinture et l’amène à mon visage pour bisouter l’articulation de ses doigts, donnant des coups d’incisives. Mon autre paume passe sur son dos et j’y fait de grandes caresses avant de relever le menton de Rukia pour la fixer sans rien dire, mon nez se frottant contre le sien. Pupilles dilatées, respiration saccadées, palpitations et transpiration, tous les signes sont là pour confirmer que mon sexe n’est pas enflé pour rien.

« Ne me cherche pas, j’attends patiemment de sortir du taxi pour pouvoir te prendre contre la porte de chez moi. » Annonçais-je avec fermeté, presque comme un ordre, mon index et mon majeur marchant sur son avant-bras pour remonter jusqu’à son col, jouant le long des boutons défaits, en faisant d'ailleurs sauter un autre. « J’aime savourer.  » Je dessine un cercle sur son décolleté et touche un grain de beauté avant de continuer à descendre, défiant le vêtement, m’arrêtant lorsque je sens la souplesse d’un sein. « J’aime aussi rendre fou. »

Un rictus confiant, voir même hautain sur le faciès, j’inspire chaudement, mon haleine contre la sienne, frôlant nos pulpeuses l’une contre l’autre puis les plaquent entre elles violemment au bout d’une minute de tentation, contractant chacun de mes muscles, un gémissement mourant dans ce champ de bataille buccale, serrant sa nuque, plantant l’intérieur de sa cuisse de mes phalanges, ramassant sous mes ongles rongés l’humidité accumulée. Je n’en ai que faire, je joue et séduis, je veux encore la pousser, la rendre impatiente et collante, je veux sentir ses jambes se serrer autour de mon poignet pour plus de touché et qu’elle me demande de la contenter, je veux pouvoir me dire qu’elle est prête à se faire manipuler à tous ces endroits qui la feront voir noir, blanc et multicolores, tout à la fois. Je veux que Rukia se donne à moi.

   

   

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Ce message a été posté Sam 3 Sep - 23:34
Tenue « -Très beaucoup- oui… La vodka fait mal je vois... » Un rire arracha mes lèvres, alors que je sentis mes joues rougir avec franchise. L’alcool oui… Je ne savais plus parler. J’avais chaud, la tête me tournait et le fait qu’il était littéralement en train de m’exciter comme jamais n’arrangeait rien du tout. Il ne devrait pas se moquer. C’était vilain de sa part. Attrapant doucement son nez de mon pouce et index, je le lui pinçais avant de rire. « Ne te moque pas vilain. Ou je vais devenir méchante. » Je fis mine de grogner avant de revenir contre lui pour l’embrasser. C’était intense, franc, avec quelques coquilles, mais c’était l’envie et le désir qui prenait le dessus sur tout. Rien de bien méchant. Tout ce que j’adorais il le faisait. Mon cœur battait la chamade, et ô combien la frustration monta quand le taxi arriva. Montant dedans sans perdre de temps, je remarquais bien qu’il se passait quelque chose. Il ne semblait pas à l’aise. Je n’étais pas une experte, mais je m’y connaissais assez bien pour savoir qu’il se passait un truc avec Noah. « Je suis pas très à l’aise en voiture… » Me rapprochant de lui, je l’observais lentement. Détaillant alors son visage. Remontant le long de la ligne de sa mâchoire, je déglutis en m’imaginant lécher cette foutue ligne parfaite. Il avait un beau visage, il n’y avait pas à dire. « Tu n’es pas seul. » Je fourrageais doucement ses cheveux comme pour le rassurer. Mais fin de la tendresse. Je ne voulais pas ruiner l’ambiance ou pire. Changer l’ambiance sexuelle en une ambiance tendre. C’est bien pour ça, que je posais l’air de rien, ma main sur son érection. Dure, longue, je pouvais dire que Noah avait des atouts plutôt intéressant. « Tu sais comment changé les idées en tout cas. » Je riais contre la peau de son cou avant de la malmener. « Toujours quand il faut hum. » Je léchais son cou l’air de rien en goûtant sa peau qui m’émoustillait encore plus. « Je suis un très bon délinquant ~ » Je claquais ma langue contre mon palais à plusieurs reprises. « Je vais te punir pour la peine hum. » Mon ton se fit plus que provocateur, alors que ma main tapotait avec légèreté son membre. Même main qui monta sur sa ceinture, pour défaire la boucle. Mais cette même main est rapidement enlevée m’arrachant alors un grognement de frustration. « Touche pas à ça, perverse ~ » Dévoilant mes dents, je le narguais du regard alors qu’il s’amusait sur ma main. Lèvres et dents, je le regardais, comme si c’était la plus belle des préliminaires qu’on ne m’ait jamais faite. Mon dos s’arquant, je pouvais sentir mes cuisses se resserrer, mes muscles se contrant faisant ça, il ne se doutait pas une seule seconde qu’il était en train de me rendre encore plus folle. Sa main sur mon dos, je le laissais faire de moi ce que bon lui semblait, alors qu’il attrapa mon menton pour redresser mon visage. Entre douceur et domination, je le laissais faire. J’avais beau crier haut et fort que je haïssais ça, je devais avouer, que quand les gestes étaient bien fait, et sans réel but d’intimidation, ça me plaisait un peu trop. Il était viril. Et ça, ça me rendait encore plus folle. Mes yeux se fermèrent quand nos nez se frottaient. J’en perdais presque la tête.

« Ne me cherche pas, j’attends patiemment de sortir du taxi pour pouvoir te prendre contre la porte de chez moi. » Lâchant un bref gémissement rien qu’en imaginant, j’attrapais sa chemise de mes mains pour la tirer franchement, sans pour autant la déchirer ou autre. « Ne soit pas trop brutal. Je n’ai pas d’argent pour te rembourser une porte. » Ses mains sur ma peau je le laissais faire en le sentant se rapprocher de ma poitrine. Il se permit même de défaire un des boutons de ma chemise. Je le regardais faire, sans bouger, sans rien dire. Je pouvais sentir la chair de poule naître sur ma peau, dès que ses doigts me parcouraient. « J’aime savourer. » Ma langue buta sur mes lèvres alors que je penchais ma tête en arrière. Cette simple caresse avait le don de me faire partir déjà si loin. « J’aime aussi rendre fou. » Inspirant profondément, je remontais une main sur sa gorge pour le caresser doucement. « Fais. J’aime ça. Savourer… Devenir folle… Les caresses… Les préliminaires… » C’était même plus excitant que l’acte en lui-même pour moi. Parce que la frustration devenait plaisir, souffrance et plaisir. Redressant ma tête, je le laissais s’amuser de mes lèvres, avant de m’embrasser avec une violence déconcertante. Le souffle court, je me fichais de lâcher des gémissements. Mon corps tremblait, un peu trop fort. Le plaisir montait de plus en plus. Mes yeux entrouvert je le regardais de temps en temps, comme l’impression d’être dans un rêve tant le plaisir était intense. Lorsque sa main se faufila entre mes cuisses, je laissais ma main attraper une de ses cuisses pour enfoncer mes doigts dans sa chair. Mon dos s’arquait alors que mes cuisses se refermèrent automatiquement sur cette main un peu trop taquine à mon goût. Je n’arrivais plus à penser. Cette simple main me rendait folle. Je pouvais sentir mes muscles se contracter et décontracter sous l’envie de le sentir en moi. La douleur du manque qui montait devenait presque insupportable. La patiente était une vertu oui. En attendant mon corps se mouvait doucement sous cette main avec légèreté. Me rapprochant un peu plus, je tirais sur cette foutue ceinture pour me rapprocher avant de mordre sa joue sans impunité. « Et c’est moi la perverse ? » Demandai-je à voix basse, alors que je posais ma main sur son poignet. C’était un supplice un peu trop horrible. Tremblant, je lâchais son poignet pour poser ma main sur son torse. Défaisant lentement un bouton de sa chemise, je caressais sa peau du bout de mes ongles, le griffant pour lui donner la chair de poule avant de caresser tout le reste de son buste. Un sourire narquois au coin des lèvres, je le tirais vers moi pour capturer ses lèvres et les lui mordre. « Ne crois pas vouloir être le seul à vouloir rendre fou… » Sous ses paroles, sans le quitter du regard, je laissais ma main glisser vers son pantalon pour m’y faufiler, taquinant alors ce point sensible du bout de mes ongles. Rien de bien méchant, juste de légères caresses pour me venger. J’étais tellement hypnotisé par lui, que je ne me rendais même pas compte que le taxi n’avançait plus. Feu rouge ou arrivé, qu’importe j’étais ailleurs.


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Ce message a été posté Dim 4 Sep - 22:41
TENUE            Je ne voulais pas lui rire au nez et lui dire qu’être seul était ce que je préfère dans une voiture alors je passe à autre chose et continue mes attouchements tandis qu’elle me dévore le cou, grognant et sursautant à ses à-coups sur mon membre gonflé. J’ai chaud et je transpire mais rien n’arrête notre embrassade, pas même le chauffeur qui regarde de temps à autre dans son rétroviseur. Ce n’est pas la première fois qu’il me ramène sous alcool avec une nana à l’arrière et ce ne sera sûrement pas la dernière. Je ne suis pas du genre à me soucier de ces détails.

Alors quand je la cherche et la chauffe, j’admets que ses réactions sont succulentes et que Rukia me donne beaucoup de fil à retordre pour ne pas la dénuder là, sur la banquette, à l’arrière de la voiture. Je ris à sa remarque sur la porte et secoue la tête, glissant ma main dans l’arrière de son short pour sentir son sous-vêtement et empoigner une de ses fesses, continuant ma torture. Elle se donne à moi et c’est à ce moment-là que je comprends que j’ai rempli mes objectifs, que ce soir j’allais rendre cette femme mienne pour quelques heures et faire en sorte que son entre-jambe se souvienne de moi tout comme chaque parcelle de sa peau. Je veux être ce genre de coup qu’on aime malgré tout. Elle se tord et s’arque comme un fil trop tiré et j’en grogne de plaisir, ma langue se mouvant contre son homologue, admirant le désir l’envahir. Nous n’allons peut-être pas développer des sentiments amoureux ou nous reparler après, toutefois il est certain que je ne vais pas passer à côté de l’occasion de rendre cette nuit magique. Je fais frôler mes ongles sur l’intérieur de ses cuisses, remontant le long des muscles et titille le bord du short, soupirant de frustration, la fixant avec des yeux à demi fermés. Elle est dans le même état que moi et ça ne peut que me rassurer.

« Oh chérie, tu ne diras pas ça d’ici quelques instants. »

Je lui donne mon bassin allégrement et le vague sous sa main, pressant en même temps mes doigts au niveau de son intimité, par-dessus le jean, plantant mes pupilles dans les siennes. Je l’embrasse encore une fois et me dégage d'entre ses jambes quand je sens le taxi ne plus bouger, fouillant dans la veste tombée sur le siège d’à côté, sortant quelques billets de ma poche intérieur pour les tendre à l’avant. Une fois pris, je me détache de ma partenaire à conte-cœur et la tire avec moi sur le trottoire, prenant mon vêtement sous le bras. « Merci buddy ! »

Je claque la porte de la voiture et enroule mon bras autour de ses hanches généreuses, caressant les abdominaux musclés de la demoiselle tandis que je tape le digicode et nous emmène dans le hall de l’immeuble assez rapidement, souriant. « T’as vraiment un corps magnifique si je puis me permettre. » Annonçais-je en attendant l’ascenseur, la retournant face à moi et la collant contre mon torse, ses tétons pointés pressant contre ma chemise. Un rictus sadique me prend et j’attrape sa taille entre mes paumes pour doucement escalader le coton et appuyer de mes pouces sur les protubérances excitées, léchant ma lippe. « J’ai envie de te voir sans ce truc inutile. » Fis-je en tirant les proéminences gentiment, les pinçant doucement entre deux doigts, à travers cette imbécile de chemise. L’ascenseur fait « ting » et je la lâche pour rentrer à l’intérieur, attrapant son poignet pour la retourner contre le mur de l’appareil et la plaquer, glissant un genou entre ses cuisses et soufflant sur sa nuque, mes mains commençant à déboutonner ce qui couvre encore sa poitrine. Quand je dis que je veux quelque chose, je fais ce que je peux pour l’avoir. A moitié dénudé, je frotte avec dextérité mon pelvis contre ses fesses et saisis ses seins en entier, les massant et les manier à travers le soutien-gorge, appuyant et exerçant quelque pression pour les faire encore plus émerger d'extase.


   

   

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Ce message a été posté Mar 6 Sep - 12:42
Tenue « Oh chérie, tu ne diras pas ça d’ici quelques instants. » Ça ne devrait pas autant me plaire. Le fait qu’il puisse se permettre de m’appeler chérie. Pourtant, ça avait un côté foutrement sensuel et excitant. L’entendre de sa bouche, avec son accent, me faisais frémir de désir. Il pouvait passer sa soirée à m’appeler comme ça que j’en prendrais littéralement mon pied. Je le savais, je me connaissais assez bien pour savoir que je préférais ce genre de chose que faire l’amour. Il faisait chaud dans cette voiture, et j’avais un peu, juste un peu, pitié de ce chauffeur qui admirait la scène impuissant. Ou pas. Tout dépendait du point de vue. Ses mains chaude et grande sur mon corps, son souffle parcourant ma peau, j’étais en extase. Il n’y avait pas à dire, il savait y faire. Un habitué de la chose ? Je n’en savais rien, et je ne préférais pas savoir. Tout ce que je voulais, c’est qu’il utilise cette expérience sur mon corps, sur l’arrondi de ma poitrine, entre mes cuisses. Ça faisait vraiment longtemps, que je n’avais pas désiré quelqu’un de la sorte. Il savait éveiller mon corps. Le taxi s’arrêtant, on sorti rapidement de là. Légèrement sonné, je restais contre lui, le contraste de la chaleur et de la fraicheur me faisant légèrement tourner la tête. Ses mains sur mes hanches, un bref rire entre mes lèvres je laissais mes dents mordiller ma lippe sous l’envie. Ses doigts parcourent le digicode. Il a de belle main. Le genre de main que j’ai envie de caresser, de suçoter ses doigts, dans un acte plus qu’implicite pour faire réagir son membre au point qu’il en souffre sous une érection assez puissante. « T’as vraiment un corps magnifique si je puis me permettre. » « Et toi tu as des mains qui m’excite. » Ouais des mains. « Le reste aussi hum. » Je lui fis un clin d’œil, histoire qu’il ne se vexe pas non plus. Arrivant vers l’ascenseur, je le laissais me plaquer contre lui, alors que ma poitrine réagissait doucement. S’il y avait bien une zone érogène sur mon corps c’était bien ça. Ma poitrine. Ses mains sur mon corps, me souffle se coupa quand il remonta sur mes deux courbures. Faisant alors réagir mes mamelons, j’attrapais sa chemise de mes deux mains sous le plaisir qui m’emplissait. « J’ai envie de te voir sans ce truc inutile. » Sourire en coin je le laissais s’amuser avec avant de fermer les yeux. Impossible de parler, le plaisir m’envahissait. Entrant enfin dans l’ascenseur, je poussais un léger cri quand il me plaqua fasse à la paroi. Mains sur le métal froid je le laissais défaire cette chemise, inutile, je l’accorde, avant de lâcher un cri étouffé par le plaisir. Sa cuisse entre mes jambes, je cambrais mon dos, alors que mes pieds se redressaient sur la pointe. J’en tremblais, j’en frissonnais alors que mes mains glissaient sur la paroi. Impossible de retenir les gémissements, laissant ceux-ci légèrement résonner dans l’habitacle. Me cambrant encore plus, je levais mes bras au-dessus de nos têtes pour glisser mes mains dans ses cheveux. Tête penchée en arrière, je mouvais lentement mes fesses contre lui pour l’exciter un peu plus. Penchant un peu plus ma tête en la tournant quelque peu, je cherchais ses lèvres avant de les capturer avec sauvagerie. Le souffle court, la chaleur envahissant mon corps, je le poussais légèrement pour me retourner face à lui. Soufflant, je passais une main dans mes cheveux, la main sur son jean je le tirais vers moi pour enfouir mon visage dans son cou et le mordiller, laissant mon autre main parcourir du bout des doigts son torse, défaisant quelques boutons sous leur passage. « Tu ne devrais pas me chauffer autant… » susurrai-je contre sa peau en souriant. C’était vraiment mal. Ça me tuait lentement. Soupirant, je reculais mon visage pour le voir, une de mes jambes elle, se relevait contre la sienne s’enroulant lentement alors à sa taille l’air de rien le forçant à se coller un peu plus contre moi.


Anonymous
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Ce message a été posté Sam 10 Sep - 21:58
TENUE            Rukia roucoule et se houle sous mes doigts et j’en profite pour découvrir ses endroits cachés, ses mystères et ses trésors enfermés. Je trace ces lignes et ses traits comme une carte du monde, j’y explore l’univers qu’elle m’offre et parcours son corps de mes mains chaudes, me lovant contre elle, l’embrassant avec sensualité et effervescence, nos lèvres se dissolvant l’une contre l’autre. Son compliment m’arrache un rire mais je reste concentré sur sa beauté, noyé dans le désir et inonder de plaisir à mesure que je la touche, la manipule et l’enfourche contre le mur de l’ascenseur, palpant ses atouts, frictionnant avec force son arrière train, la culbutant tout habillé. Je l’agrippe et la tire, pince ses tétons et les torture avec allégresse, extirpant de la demoiselle des gémissements qui ne font que nourrir mon érection. Je souffle sur sa nuque puis la laisse me tripoter et j’admire son visage avant qu’il disparaisse au creux de mon cou pour me faire vibrer, m'extirpant un couinement grave. Tout son être s’étire contre le mien et je glisse une paume vers son short pour caresser son entre-jambe par-dessus le grossier tissu tandis que mon autre déshabille les seins en tirant vulgairement sur le soutien-gorge. Plantant mes yeux dans les siens, je reste immobile un moment, de simples mouvements doux et lents sur ses parties sensibles puis souris et dépose un tendre bisou sur ses commissures avant qu’elle se retourne contre moi. L’ascenseur fait « Ting » et je grogne et empoigne l’arrière de ses cuisses pour l’obliger à enrouler ses deux jambes autour de mes hanches, me chevauchant presque.

« Ho, mais j’aime le danger. » Murmurais-je pour ne pas briser notre alchimie, l’amenant avec moi dans le couloir, la balançant sur mes bras avec peu de difficulté, titubant juste pendant que je cherche les clés de ma poche. Je la regarde avec tendresse et couvre de bises son menton avant d’enfin réussir à ouvrir la porte, la poussant ensuite avec mon dos pour finalement la claquer en même temps que je colle ma maîtresse contre le mur de l’entrée, mordant sa lippe et imposant mon sexe gonflée couvert contre le sien. « Déshabille-moi… » ordonnais-je alors que je retire sa chemise complètement et désagrafe son sous-vêtement, me retenant d’immédiatement baisser la tête pour suçoter ses protubérances. Non, je continue d’abord de faire grimper son envie et mordille une clavicule avec un rictus sadique, roulant du bassin, soupirant sur sa peau humide. Petit à petit, je descends sur son torse et y administre des coups de langue vicieux et bien placés, esquissant même parfois des suçons pour la faire gronder de jouissance. D’humeur aventurière, je libère une main en la tenant fermement contre la paroi et la serrant avec mon second bras puis je glisse mes doigts dans ses cheveux, effleure sa joue et finalement attrape sa mâchoire pour une embrassade passionnée pour finalement passer sur son poitrail pour masser sa poitrine et titiller les pointes avant de me plier en deux d'un geste brusque pour les sucer avec ardeur, des bruits de succions s’échappant de ma bouche.

C’est vraiment le genre de trucs qui me donnent envie de juste déculotter la nana et la pénétrer. Mais je suis trop un amoureux de préliminaires pour ruiner cet instant et je ne voudrai pas gâcher ma seule et sûrement unique fois avec cette inconnue qui m’a tapé à l’œil. Rukia mérite qu'on la fasse bouillir d'envie.

De ma langue, je fais le tour de son mamelon, lèche et re-lèche, étreinte de mes pulpeuses le bout gonflé et mords avec indulgence mais appétit, ouvrant ma braguette et faisant sauter le bouton de mon pantalon. J’ai chaud, je suis serré et le sang manque à mon cerveau, il sera bientôt temps pour que nos corps soient dénudés et que nous oublions toute pudeur, que mon épiderme s'embrase contre la sienne et que son parfum imprègne mon appartement.


   

   

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Ce message a été posté Mar 13 Sep - 0:03
Tenue La chaleur dans l’ascenseur ne faisait qu’accroître. Nos respirations saccadaient se faisaient entendre sans aucune gêne. Le désir montait de plus en plus ce qui me rendait encore plus folle. Une jambe enroulée autour de sa taille, je poussais un faible gémissement en sentant ses mains agripper mes cuisses, m’obligeant alors à enrouler la seconde jambe à son buste. Bras autour de son cou jambes serrées je le regardais sans pouvoir le quitter du regard.


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Ce message a été posté Ven 23 Sep - 21:18
TENUE             Et là, alors que nos dents se claquent un court instant, nos corps se détachent, mon épiderme se couvrant d’une sueur froide sous la réalisation de la situation tandis que je tombe en arrière, sentant le cuir épais mon canapé faire tremplin. Je la tiens contre moi plus par réflexe que pour autre chose, tentant de la protéger quand le sol rejoint mon dos rapidement et surtout brutalement. Tout est trop bref, parce que ma tête claque contre le sol et je ne vois plus rien, noir total, arrêt total.

Ma respiration se coupe, mon cœur se stoppe un instant et j’ai peur, est-ce que je fais une crise cardiaque ? J’ai mal partout et quand je tente d’ouvrir mes paupières, des étoiles me sautent aux yeux et j’entends des rires qui ne sont pas ceux de Rukia, ni les miens et je commence à halluciner des phares et des bruits de roues et mes poumons tentent de reprendre de l’oxygène mais un sanglot me lâche et je porte une main à ma cicatrice sur mes côtes, les larmes aux yeux. Je panique et angoisse et tente de retrouver où je suis. Paralysé au sol, le goût du fer dans la bouche, doucement, très doucement, j’ouvre mes lèvres et chuchote plus par contrainte que par envie « R… R… Ru… Ruk… ia ? » Néanmoins, les mots, le sang qui coule dans ma gorge et le tournis qui me prend soudainement m’envoie une décharge et je m’attrape l’estomac cette fois-ci, geignant parce que je sens que l’alcool me travaille le foi et que la concussion que je me paye est en train d’aggraver le tout. Alors la seule chose que j’arrive à répéter dans ma tête pour ne pas refermer les yeux c’est « J’ai envie de vomir. J’ai tellement envie de vomir. Faut que je me lève, j’ai trop envie de gerber. Lève toi putain ! Noah lève toi !» Nonobstant, je suis encore sous le choc, sous le coup de la douleur et je n’arrive même pas à bouger le petit doigt, pas encore, pas pour le moment, je suis en plein délire, à voir des formes abstraites et entendre des trucs qui n’existent pas.

Je dois avoir l’air beau, à poil sur le sol de mon salon, la bite en l’air et le teint tout pâle. Tu parles d’une soirée géniale que j’avais prévu, bravo Noah, t’as impressionné la femelle là… Enfin, ce n’est pas le moment de parler de ça, parce que si je m’évanouis, ça sera horrible pour elle. Et pire, si je me mets à vomir dans cette position, je risque de m’étouffer. Mon cerveau m’envoie des signaux d’alarmes, connaissant parfaitement les risques que j’encours en ne faisant rien, ça sert d’être resté un an en hôpital. Noah, t'as intérêt te lever rapidement si tu veux pas te noyer dans ton propre acide gastrique. Et ça, ce serait vraiment moche !

   

   

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Ce message a été posté Mar 27 Sep - 20:19
Tenue
La chute fut surprenante. Comme irréelle, je mis un moment à comprendre ce qu’il venait de se passer. Douloureuse ? Absolument pas, le corps de Noah m’avait protégé à dire vrai. Je pouvais sentir encore la vague de plaisir qui venait de me submerger se mêler à la surprise et le choc que je venais de subir. Allongée sur lui, le souffle court, le cœur battant la chamade, je laissais ma main caresser quelque peu sa clavicule. Son souffle était tout aussi rapide que le mien. Laissant ma tête tomber sur son torse, je restais inerte le temps de me remettre de ce que je venais de vivre. « R… R… Ru… Ruk… ia ? » Me redressant doucement je m’asseyais sur lui avant de poser ma main sur sa joue. « Tu t’es fait mal ? » Il avait l’air mal en point… Secouant la tête essayant de me sortir de cette extase encore en moi, je passais brièvement ma langue sur mes lèvres. Le voyant se tenir l’estomac je fronce les sourcils en me penchant pour regarder sa tête. Il y avait un peu de sang. Me figeant le temps d’une seconde ou deux, je me redressais à la vitesse éclair. « Bouge pas. » Courant dans son appartement, je cherchais la salle de bains avant de la trouver et fouiller. Qu’importe, il me fallait quelque chose pour le soigner et l’aider. Revenant vers lui, jetant trousse de secours et un seau à ses côtés, je m’accroupissais doucement pour attraper sa tête et le redresser pour le faire s’asseoir. « C’est ma faute… Je suis désolée… » Marmonnai-je doucement en le tirant vers moi. « Tu veux que j’appelle les secours ? Tu as toujours envie de vomir ? » Je regardais rapidement sa blessure à la tête en la posant doucement contre moi. C’était rien de méchant. Même pas besoin de points de suture. Le choc lui avait ouvert la peau rien de plus. La tête ça pissait un peu … Posant mes mains sur ses joues, je le regardais longuement il était si pâle que ça m’inquiétait. Me rapprochant je déposais un rapide baiser sur ses lèvres. Un genre de baiser magique allez savoir.



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Ce message a été posté Lun 3 Oct - 13:04
TENUE             C’est dans un flou artistique que je me souviens de l’entre-jambe de Rukia contre la mienne, de l’humidité, du muscle étroit et de son gémissement de plaisir qui accompagné le mien pendant la pénétration. Mes poils s’étaient dressés sur mes bras et j’avais reçus assez de dopamine pour un mois tellement la sensation m’avait perché sur le sommet d’un building de Dubaï. C’est peut-être trop imagé ? J’étais en pleine extase, Ô combien j’avais attendu pour assouvir ma soif, pour satisfaire mon appétit pour Rukia. Sauf que le plaisir qui n’avait fait que commencé à s’intensifier ne dura pas longtemps. J’avais à peine eu le temps d’un coup de hanches que j’étais tombé en arrière contre le dos de mon canapé et que j’avais complètement dévalé la pente comme on dévale l’amont d’une montagne. Et me voilà, assommé, dénudé et sur le point de vomir en face de ma maîtresse du soir. J’ai connu mieux comme soirée si c’est la question que vous posez. Toutefois, je dois admettre qu’après la douleur de ma concussion et la honte qui m’habite (héhéhé, ma bite), j’ai drôlement envie de rire…

Je sens que mon amie bouge sur moi et souris connement à sa question, un peu perdu entre les paillettes, les étoiles et les nausées qui m’envahissent. « Je pète la forme. » répondis-je un peu à l’ouest, commençant à ricaner, l’acide gastrique torturant le fond de mon estomac. « Et j’ai envie de vomir aussi… » Elle part gambader dans mon appartement comme une fusée et moi je plane et je bad trip, reconnaissant des silhouettes qui ne peuvent pas être là, le paysage s'effritant, le plancher flanchant et tanguant. Et moi qui reste immobile. Heureusement, Rukia revient rapidement et je me demande même où est-ce qu’elle a trouvé tout ça parce que clairement, cela doit être une idée de ma mère de me laisser de quoi survivre comme ça. Elle a toujours eu un côté pratique je n'ai pas. Manipulé, je me laisse faire, retenant du mieux que je peux une poussée gastrique me prenant dans un spasme. Gentiment, je lui caresse le bras et reprends mon rire débile : « C’est pas toi qu’a installé cet enfoiré de canapé là… » Un instant, nos yeux se croisent et je souris, appréciant sa bise, secouant la tête à ses questions. Et l’autre instant, j’ai le visage enfoncé le seau en train de gerber la tequila qui ronger mon œsophage. Glamour, très glamour. J’ai l’impression de cracher du poison tellement mes gencives me brûlent et ma tête tourne et mon oreille interne fait n’importe quoi mais en me rasseyant, je me sens de suite soulagé, voir même un peu plus coloré. « Bon. Je crois qu’on a défié les limites de l’intimité ce soir… »

Cachant ma bouche avec une main et attrapant le seau de l’autre, je me lève avec un peu de peine et me dirige vers la cuisine ouverte, titubant, les fesses à l’air. Un sopalin attrapé et me revoilà de nouveau propre, vidant le récipient et le rinçant, tout comme ma bouche. Je laisse quelques secondes pour calmer mon tournis puis me tourne vers mon infirmière personnelle et touche ma tête. « Laisse-moi te donner un tee-shirt et tu pourras m’aider à désinfecter ça…  » Soupire... Je pars dans ma chambre, me tenant au mur, tentant d’ignorer les hallucinations qui me menacent et grommèle à chaque pas. Non, je prendrai un stupide cachet, je peux passer outre. Je reviens en quelques minutes (dieu seul sait comment j'ai fait pour pas tomber encore une fois), un caleçon pas encore enfilé et deux tee-shirts sur le bras, la tête un peu dépitée et carrément déprimé, me mettant sur le canapé, les yeux vides.

« Vraiment désolé… » Mon crâne me donne encore l’impression de résonner mais c’est mieux que toute à l’heure alors bon. Les deux coudes sur les genoux, j’essaye de me motiver à m’habiller mais je me sens tellement pathétique. Franchement, plus belle cascade de l’année mais plus gros flop sexuel aussi. Deux awards pour le prix d’une connerie.


   

   

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Ce message a été posté Mar 4 Oct - 11:24
Tenue
« Je pète la forme. » Quelle douce ironie qui me fit légèrement sourire. Il avait de l’humour au moins. « Et j’ai envie de vomir aussi… » Oui, ça je l’avais compris. Le pauvre. Le choc, lui avait retourné l’estomac, c’était le coup classique. Et ça pouvait faire des dégâts… De sacré dégât… Me relevant, totalement nue, je filais dans son appartement, à la recherche d’un quelconque seau et de quoi le soigner. Appartement pas bien grand, ce qui allait en soit, j’ai pu tout trouver bien rapidement. Revenant sur mes pas, il n’avait pas bougé, le pauvre, avant de me mettre à genoux devant lui. C’était en partie ma faute, j’aurai dû le déshabiller entièrement. « C’est pas toi qu’a installé cet enfoiré de canapé là… » Un rire s’échappa d’entre mes lèvres. Je ne devrais pas rire… C’est mal… « Je te conseille de changer ton canapé de place. Ou alors la prochaine fille que tu ramènes ici… Va directement dans ta chambre ? » Sauf si là aussi il bute contre le lit et se casse aussi la gueule. Là, je ne pourrais rien pour lui, sauf peut-être lui acheter un gps, ou que sais-je encore. Pas le temps d’ajouter quoi que ce soit, qu’il se mit à dégobiller tout ce qu’il avait dans le ventre. Plissant le nez, mon estomac se contractant sous les bruits et l’odeur, je déglutis en posant une main sur son dos pour le tapoter et le caresser. Ça ira forcément mieux après avoir vomi. Ça va toujours mieux de toute façon. En tout cas, si on m’avait dit qu’en craquant sous son charme je finirais par lui tapoter le dos pendant qu’il vomissait, je n’y aurais pas cru une seule seconde… « Bon. Je crois qu’on a défié les limites de l’intimité ce soir… » Un bref sourire se logea sur mon visage. C’est vrai. Je n’étais pas pudique pour un sous de toute façon, mais bon là… Y’avait pas mieux comme présentation. « Ça aurait pu être pire ma foi. T’aurais pu te péter le frein. » J’essayais un peu de le consoler alors qu’il filait d’un pas nonchalant vers la cuisine. Quoi c’est vrai. Valait mieux une commotion et vomir. Que ne pas pouvoir baiser pendant au moins un mois, voire deux. Passant une main sur mon visage l’envie d’une clope me tirant les tripes je grognais légèrement en cherchant mes fringues du regard. J’avais cruellement envie de fumer là. « Laisse-moi te donner un tee-shirt et tu pourras m’aider à désinfecter ça… » Sans répondre, je m’adossais contre le canapé en tendant les jambes. J’avais chaud et froid à la fois. Ca serait mentir que de dire que je n’avais plus envie. Mais l’excitation allait descendre petit à petit. La frustration d’avoir goûté au sexe avant de redescendre brutalement. Ah… Fermant les yeux, je soupirais avant de le sentir revenir. « Vraiment désolé… » Me redressant, j’attrapais un des t-shirt avant de l’enfiler. S’arrêtant légèrement sous mes fesses, cachant l’essentiel, je m’installais sur le canapé avant d’attraper son caleçon. « T’inquiète pas. Ça arrive. Je ne vais pas te gueuler dessus ou t’en vouloir. » Je lui caressais la joue du bout des doigts avant de me pencher pour passer le caleçon dans ses pieds et le faire monter le long de ses jambes. L’attrapant par la taille, je le relevais d’un coup avant de lui enfiler son caleçon entièrement. « Aigo. J’ai trouvé un fils un peu vieux. » Je le taquinais bien évidemment. « Ça va j’aime pas changer les couches ça me va. » Je pouffais doucement avant de tomber sur le canapé et attraper de quoi le soigner. « Allez, pose ta tête sur mes cuisses. » Dis-je en ouvrant la trousse pour voir ce que j’allais sortir. Attrapant le désinfectant, je pris du coton en défaisant la bouteille. « Tu ramènes souvent des filles ici ? » Simple curiosité, apparemment je semblais être la première avec qui ça arrivait alors…


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Ce message a été posté Jeu 6 Oct - 18:30
TENUE             Au moins elle rit et ça prouve que même ridicule je suis pleins de charmes. Ça console ma masculinité ébranlée, je l’admets… Dommage que je vomisse à ce moment pile parce que j’avais envie de rire et de lui répondre aussi mais bon, j’imagine que ça sert à rien d’ajouter quoi que ce soit, je suis trop malade pour ça. Un spasme, puis deux, le hoquet m’emporte un instant et je reprends mon souffle avec peine, ma trachée étouffée dû aux contractions des muscles. Je ne suis pas du genre à être embarrassé et gêné par ce genre de mésaventure, après tout ça aurait pu arriver à tout le monde. Mais le fait que j’avais réellement envie qu’on passe une nuit de folie me déprime un peu et c’est avec une mine déconfite que je rince le seau, sauf que tu peux pas rester sérieusement triste quand une fille te parle de te péter le frein. Alors que mon crâne déconne encore, je ricane comme un bossu en épongeant les sucs gastriques, un rire entre gémissement de désespoir et honte infinie. Un mélange explosif si je puis me permettre, j’aurai eu l’air encore plus con d’appeler les urgences parce que j’ai fait le foufou avec mon zizi. Urg.

« T’as raison ! Huhu, le frein est plus précieux que ma fierté… » ajoutais-je entre deux rires, partant dans ma chambre, continuant à rigoler comme un maniaque, la pression retombant et mon visage reprenant couleur. Une fois reposé dans le salon, je la regarde mettre mon tee-shirt et un tendre rictus me fait étirer mes commissures, j’ai toujours aimé les filles dans mes habits... Je la laisse m’aider et caresse ses cheveux avant de lui coller une pichenette sur le front à sa remarque, grognant, levant les fesses douloureusement. J’allais sûrement avoir un bleu sur le cul… « Oh tu veux peut-être que je t’appelle Maman ? C’est ton délire sexuel c’est ça ? » Je lui tire la langue et m’étale sur le canapé, la tête sur ses cuisses, zieutant sa peau. J’embrasse quelques parcelles se trouvant sous ma bouche, mordille un peu et ferme les yeux en la laissant me trifouiller la tête. « Uhmm… Je dirai pas mal oui. » je n’allais pas mentir, je suis un playboy après tout. Je dessine des cercles sur ses genoux puis glisse mes mains sur ses tibias, appréciant la douceur de son épiderme. Lisse et satinée… Il faut avouer que Rukia a vraiment un corps à son avantage.

« J’amène pas souvent les filles dans ma chambre en fait. C’est trop personnel. Juste celles que je connais ? Et encore… » Steven me fixe sans un mot et je m’arrête sur un grain de beauté, paralysé quelques secondes. Ignorant le sentiment me torturant à nouveau les boyaux, je tourne la tête pour ne plus le voir, mes bras entourant les hanches de ma concubine. « Désolé quand même. Et merci de t’occuper de moi, promis d’habitude ça ne se passe pas comme ça ! » Une fois seulement j’ai fini par vomir aussi, mais là c’était pire, j’ai vomi sur la nana... Ah… Quel souvenir !

Si je peux me permettre, bien que ma tête bourdonne encore, l’odeur de Rukia et la douceur de ses jambes me donnent clairement envie de fourrer ma tête entre ses cuisses mais j’ai l’impression d’avoir encore le goût amer dans l’arrière bouche et ce serait peut-être indécent de partager mes microbes avec sa vulve. Et je peux pas faire ça quand mon jumeau me fixe (même si c'est dans ma tête, ça me perturbe) Uh. C’est très dommage, j’aime beaucoup ce genre d’embrassade… Je peux au moins lui proposer ma compagne, le gîte et les couverts pour la nuit et le matin. Je ne suis peut-être pas un hôtel mais je suis un bon ami ~ Et qui sait ? Peut-être qu’on sera prêt à remettre ça d’ici quelques heure uhuh. Ha… Enfin pour le moment, j’aimerai surtout me débarrasser des hallucinations qui apparaissent comme des pop-ups. C'est toujours aussi flippant, même après 2 ans. C'est aussi un peu lassant, faut être honnête...

   

   

Anonymous
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Ce message a été posté Dim 9 Oct - 11:28
Tenue
« T’as raison ! Huhu, le frein est plus précieux que ma fierté… » Je ne pouvais pas m’empêcher de rigoler un peu. Surement parce que la façon dont il venait de le dire était tout de même comique. « Désolée de rire mon chéri hein, mais franchement entre toi et moi. Je préfère te voir vomir tes tripes que te voir pisser du sang et t’amener aux urgences car ton frein est pété et que je suis potentiellement la fille qui t’a occasionné ce malheur. » Dis-je en le regardant. « Dis-toi que demain tu peux baiser à nouveau. Avec le frein pété, il te faut un mois sans bander pour que ça cicatrise. Un mois. Tu survivrais ? » Pas que je le cataloguais de queutard hein. Mais les hommes ça bande le matin, il aurait souffert pendant un mois le pauvre. Bref, au moins ce n’était pas arrivé. Il fallait voir le point positif de la chose, il ne s’était pas non plus explosé le crâne, c’était juste une petite blessure. Il avait vomi, il irait mieux, ce n’était dû qu’au choc ça. Me levant je l’aidais à s’habiller, parce qu’il semblait être une épave. Fronçant les sourcils à sa pichenette je me frottais le front en grognant l’air de rien. « Oh tu veux peut-être que je t’appelle Maman ? C’est ton délire sexuel c’est ça ? » Riant doucement, je le laissais s’installer sur le canapé, pour poser sa tête sur mes cuisses. « Maintenant que tu m’en parles, j’ai pas réellement de délire sexuel… » J’avais beau y réfléchir là, rien ne me venait. Je n’avais pas de fantasme à proprement parler… j’haussais les épaules, avant de prendre de quoi soigner sa tête. Me penchant, je trifouillais alors sa tête, en faisant attention de ne pas lui faire mal ; ça serait dommage. Frissonnant légèrement à ses baisers sur ma peau et ses caresses, je le laissais faire. Ça ne me dérangeait pas. Bien au contraire. « Tu en as toi ? » Demandai-je curieuse. On ne sait jamais… Nettoyant sa plaie doucement, j’enlevais le sang séché autour de la plaie qui n’était pas énorme non plus. Pas besoin de point de suture, c’était l’avantage. « Uhmm… Je dirai pas mal oui. » C’était un tombeur, de toute évidence ça se voyait. Dans la façon dont il s’y prenait. Il avait surement ça dans la peau. Mais c’était un tombeur qui savait s’y prendre. Ce n’était pas un gros bourrin, pas de ce qu’il m’avait montré en tout cas… C’était un tombeur avec qui je voulais bien partager une partie de jambes en l’air… Sincèrement. Parce qu’il semblait savoir y faire et rien que ça, ça m’excité. « J’amène pas souvent les filles dans ma chambre en fait. C’est trop personnel. Juste celles que je connais ? Et encore… » Je vois. Il avait sa part d’intimité. Ce qui était mignon en soit. Rangeant les ustensiles, ayant finis de nettoyer sa plaie, je gardais mes mains dans ses cheveux pour les fourrager tout en massant son cuir chevelu. « Désolé quand même. Et merci de t’occuper de moi, promis d’habitude ça ne se passe pas comme ça ! » Passant ma main dans sa nuque, je gratouillais doucement celle-ci. « Ne t’inquiète pas va. Je ne suis pas le genre de fille qui tape un scandale pour si peu. » soupirai-je en m’étirant franchement avant de laisser ma tête tomber contre le dossier du canapé. Tendant mes jambes, j’en profitais pour poser mes pieds sur le bord de la table basse en bâillant. Pas que je sois fatiguée, mais avec l’alcool et tout au final, je ressentais la fatigue. L’excitation était en train de retomber. Le contre effet. Me redressant, je le regardais avant d’attraper le t-shirt et le passer autour de son visage. Riant doucement je le regardais à travers le col de celui-ci. « Coucou. » Ok Rukia, t’as la connerie mais là… Tu crains. Relevant le t-shirt, continuant de rire doucement, je posais une main sur son dos pour le caresser du bout de mes ongles. « Ton canapé est vachement confortable, au moins, il est utile à défaut de te faire tomber. »


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Tombez la, tombez, tombez la chemise ~ [Rukia]

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