(Aesth.) Une journée de plus où je traînais dans les couloirs sans direction précise puisque je n’avais pas encore cours, étant inspirer, je commence à me diriger vers l’atelier pour dessiner de nouvelles créations. En passant devant une classe d’art, je croise un élève en stylisme qui me demande un autographe de ma mère ce qui me gêna un peu, mais j’accepta quand même de lui en ramenait un, je n’avais jamais fait attention à la notoriété de ma mère dans son domaine, elle ne m’avait jamais dit qu’elle était célèbre au point que même de jeune talent japonais la connaissait. J’avoue que cela me dérangeait beaucoup puisque certains veulent devenir ami avec moi ou même son gentille avec moi juste à cause de la réputation de ma mère et donc je ne pouvais pas faire confiance à mes camarades facilement et n’avais pas vraiment de vraie connaissance dans l’université.
En passant devant une classe d’art, je croise un élève en stylisme qui me demande un autographe de ma mère ce qui me gêna un peu, mais j’accepta quand même de lui en ramenait un, je n’avais jamais fait attention à la notoriété de ma mère dans son domaine, elle ne m’avait jamais dit qu’elle était célèbre au point que même de jeune talent japonais la connaissait. J’entre et n’y fais pas attention, je m’assois et commence à réfléchir à mon dessin en regardant autour de moi, l’atelier n'est pas très grand mais trop petit aussi et plusieurs outils de dessin, peinture, sculpture, etc. Traînant un peu partout. Je commençais à griffonner quelque chose de pas très précis en guise d’esquisse. Je me lève et me dirige vers une armoire pour prendre quelques tissus et voir ce qui me semblait le mieux pour la tenue, en me retournant, je vis l’étudiant dessiné une tenue, il doit être en stylisme pensai-je. Pour l’instant, je reste à ma place finissant l’esquisse tout en observant le jeune homme, mon esprit de styliste me dit d’observer ce qu’il fait ce que je fais, ma mère me disant toujours qu’observer les autres réveiller l’instinct critique et que donc améliorer nos compétences pour juger une bonne tenue. Discrètement, mes yeux se tournent vers son dessin que je ne trouve pas si génial comparer aux miens… Je peux être méchante, c’est vrai, mais je suis juste honnête et franche.
À la finale, je me retourne vers lui pour lui faire face « Les couleurs sont mal choisis pour ce que tu fais comme genre de tenue et les proportions sont un peu trop petite pour certains de tes accessoires. » commentai-je froidement sans un regard vers lui.
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Tenzin Nyima
the wild fox admin
■ Pseudo : calimena ■ messages : 1001 ■ Yen (¥) : 2385 ■ Avatar : cho jin ho (pentagon) ■ DCs :
■ Age : 25 piges. ■ Date de naissance : 28/08/1992 ■ Astrologie : vierge & singe ■ Métier : il aide ses parents dans leur hôtel capsule (et c'est un espion double jeu -chut-) ■ Année : 6 ème ■ Résidant à : dortoir 2 + chez ses parents à shinjuku + squatte l'appart' de Ace à minato. ■ Notes :
ses parents tiennent un hôtel capsule assez miteux et petit, à la réputation difficile et parfois injustifié. ■ils sont originaires du tibet et on voulu quitter le pays après la mort du dernière grand-parent de la famille. ■ à la base, ils n'étaient pas pauvre. ils avaient même réussi à faire fortune dans l'hôtellerie jusqu'à ce que les rumeurs détruisent la famille et les plongent dans le désarroi et les dettes. ■ il a une soeur plus jeune que lui, qui a très mal vécu les rumeurs et le harcèlement des gens, mais nyima fait tout pour la protéger et la venger. ■ petit, il voulait être vétérinaire, et non styliste, mais il a changé d'avis quand son chien s'est fait renversé par une voiture. les vêtements, c'est beaucoup moins sentimental et tâchant. ■ il voulait aussi devenir policier, joueur de base-ball, superhéro ou fermier. ■ sa mère lui a apprit le tricot et à coudre, c'est elle qui confectionnait ses vêtements en étant enfant et cette passion est passée de mère en fils. ■ à une époque, certains enfants le pensaient faible, mais ils ont de suite compris qu'il ne fallait pas l'embêter. ■ nyima a déjà cassé le bras à quelqu'un seulement en voulant se défendre, après cela il a été surnommé « briseur d'os » de l'école primaire jusqu'au lycée. ■ il adore cuisiner et manger les légumes, c'est son péché mignon. d'ailleurs, il est végétarien et n'aime pas qu'on tue les animaux. ■ il est sortie avec plusieurs filles durant ses anciennes années scolaires, mais c'est toujours lui qui rompait pour x ou y raison. ■ il déteste les limaces, ça le répugne. il a aussi peur de marcher sur des escargots, à cause du bruit. ■ il a peur de l'eau et de la pluie depuis qu'il a failli se noyer dans un lac durant les vacances d'été. il pensait que personne ne le trouverait s'il se cachait sous l'eau, résultat il est passé à deux doigts de la mort. ■ nyima est un « espion », il se faufile de partout sans qu'on ne le suspecte, il écoute, enregistre et après c'est à vos risques et périles. ■ il est celui qui part sur le terrain tel un expert après un meurtre, il fouille, farfouille, dégote et après il rapporte tout à son ami et sur le blog qu'ils ont crées. ■ royal shit, ce sont eux. nyima a décidé de créer ce « personnage » suite aux rumeurs qui ont anéanti sa famille comme un château de carte. vengeance personnelle, petit jeu malsain, qu'importe comment cela est perçu, il ne s'arrêtera pas de vouloir créer le malaise, la haine et la honte chez les autres. ■ ce n'est pas un garçon foncièrement mauvais puisqu'il aide souvent les gens dans le besoin, mais il ne faut pas lui faire confiance pour autant. c'est une sorte de lame à double-tranchant. ■ il est croyant et pratique le spiritisme. l'âme, les esprits, la réincarnation, tout cela le fascine au point qu'il utilise du matériel pour détecter les effets paranormaux, table de ouija et autres. ■ il a un sexfriend, un gars qui lui plait physiquement et qui comble beaucoup de ses fantasmes... sauf qu'il ignore un détail important sur lui. ■ son « meilleur pote » est un geek qui se néglige, et dont les gens ont tendance à se moquer de lui pour ça, mais nyima l'aime justement parce qu'il n'est pas comme tout le monde. ■ il n'est, mais alors pas du tout, matinal. c'est d'ailleurs l'un des seuls moments de la journée où il sera de mauvaise humeur au point d'être violent. ■ ça lui arrive de s'endormir n'importe où, n'importe comment, n'importe quand. nyima a même une facilité déconcertante à trouver chaque endroit où il se pose « confortable ».
(Aesth.) Dessiner n'est pas mon truc, même si j'aime le stylisme et la création, je suis plus doué en couture. Malheureusement, faut bien passer par-là pour savoir où on va. Je ne peux pas me lancer à aveugle dans une tenue si je ne sais pas ce que je vais faire à l'avance. C'est bien pour cette raison que les stylistes font des croquis, des modèles couchés sur feuille, avant de se lancer dans le montagne avec les tissus adéquates. J'ai déjà fait plusieurs vêtements depuis ma première année dans cette école et autant dire que ça remonte. Malgré ça, mon niveau de dessin n'est pas exceptionnel. ça me convient, tant que je me comprends. L'avis des autres me passent pas dessus la tête, tant que je m'en sors sans problème. Les professeurs ne jugent pas le style de dessin, ils préfèrent s'attarder sur le résultat final. D'après eux, je me suis amélioré en couture, en montagne, en idée, mais mon dessin n'a pas bougé des masses. C'est mon défaut, les patrons.
Penché sur un nouveau dessin, j'ai d'abord commencé par tracer grossièrement les traits, avant de m'attarder sur les vêtements du « mannequin », les grossissants, les détaillants. Le reste du corps est à peine dessiné, mais ce n'est pas ce qui m'inquiète le plus. Colorier non plus, ce n'est pas mon délire. Dans ces moments-là, j'ai la sensation de revenir à mes cinq ans, quand je faisais du coloriage. Je tente d'accorder les couleurs selon mes idées, mon imaginations et selon ce qui me plait. Je pensais être bien, n'ayant pas remarqué la présence d'une autre élève de mon cursus. Quand sa voix résonne à mes horaires, je lâche mon crayon dans un léger sursaut, mon coeur manquant un battement.
Qu'est-ce qu'elle a dit ? Je relève ma tête pour lui lancer un regard entre la contrariété et l'incrédulité. « Et tu es qui pour juger ? » Lâchais-je, loin d'être de ceux qui pensent que les critiques sont toujours bonnes à prendre. C'est son point de vue et j'ai le mien. « Tu veux le faire à ma place ? » Je lui tends mon crayon, plus par provocation que nécessité. Elle semble mieux s'y connaître que moi, autant qu'elle me montre ses talents.