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 Sorry, I can't remember you ! [Schweinsteiger Wolfram‏] - Terminé

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Anonymous
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Ce message a été posté Dim 16 Nov - 19:07



Sorry, I can't remember you !

Rayane & Wolfram

Je ne savais pas trop comment je devais prendre ses messages. Ma relation avec mon frère était si mauvaise que ça pour qu'il me réponde ceci. Je ne comprenais absolument pas. Je fermais les yeux et me concentrais pour ne serait-ce que me souvenir d'un petit truc à son sujet. Mais rien ne venait. Même son visage me restait inconnu. Je ne me souvenais de rien. Je sentis une larme roulée sur ma joue et je l'essuyais rageusement avec le revers de ma main. Cette amnésie... Elle allait me rendre cinglé. Je reçu alors un réponse de mon frère qui acceptait de venir me voir, mais dans son message, je pouvais sentir que c'était à contre cœur qu'il le faisait. Je soupirais et reposais mon téléphone sur la table de nuit avant de me redressais difficilement. Par chance, je n'avais rien eu aux jambes mais je me retrouvais avec un bras dans le plâtre. Je me levais et allais jusqu'à mon armoire. Je ne comptais pas rester enfermer dans cette pièce avec mon petit frère quand même. J'enfilais avec difficultés un pantalon digne de ce nom et un débardeur qui faciliterait le passage de mon bras. Les séances d'habillage étaient vraiment une épreuve. J'allais dans la salle de bain et me regardais dans le miroir. J'avais une salle mine, mais j'allais devoir faire avec. Je retournais dans la chambre et m'asseyais dans mon lit avant de regarder l'heure sur mon portable. Le stresse commençait à monter en moi. J'allais voir mon petit frère et pourtant... Pourtant, c'était comme si j'allais rencontrer un parfait inconnu. Je tapotais le lit avec les doigts de ma main valide pour essayer d'évacuer mon stress. Des pas approchèrent, mais ce n'était pas pour moi, car j'entendis la porte de la chambre d'à côté s'ouvrir et se refermer. Je soupirais fortement et regardais à nouveau l'heure sur mon téléphone. Ce manège dura encore quelques temps avant que je n'entende frapper. Je déglutissais alors difficilement avant d'inviter la personne à entrer. Mes yeux ne lâchèrent pas la porte qui s'ouvrit doucement. Puis un jeune homme fit son entrée. Je le détaillais doucement commençant par ses pieds et remontant doucement. J'avais peur de découvrir son visage et surtout que seul un inconnu soit en face de moi. Mon regard se posa enfin sur son visage, il ne ressemblait pas à mon père... À notre père. Mais je devais avouer qu'il était vraiment beau. Même si son expression n'était pas bonne. Je me mis alors à penser que peut-être il n'était pas celui que j'attendais. Peut-être qu'il se tromper de chambre. Je me redressais légèrement avant de prendre la parole, une voix hésitante sortant de ma bouche.

Mmmh... Salut ! Tu es...

Comment lui dire? S'il était vraiment mon petit frère, ma question pourrait le perturber voir lui faire du mal. Mais il fallait que je sois sûr de moi.

Tu es mon petit frère ? Wolfram, c'est ça ?

Si c'était le cas... Maintenant il savait tout.

CODAGE DE © MRS HYDE

Anonymous
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Ce message a été posté Dim 16 Nov - 21:16
Tenue - Un sms peut tout changer en quelques secondes… Il le savait… Il avait déjà vécu ça il n’y a pas encore un an… Où son jumeau est décédé suite au cancer… Où son monde s’est écroulé.. Il était seul… Son père a pleuré mais, il a été horrible envers sa personne avant ou après, il s’est sentit seul personne pour le comprendre et son aîné… C’était à peine s’il le voyait, lui aussi avait les compétitions, lui aussi nageait mais pour les USA ! En compagnie de Michael Phelps et de ses camarades. Il a toujours été le Champion !! Le petit « toutou » de leur père qui lui obéissait au doigt et à l’œil qui a osé lui faire un nombre incalculable de fois la morale : « Pourquoi tu agis ainsi ? Père choisit le meilleur pour toi !! Avec lui tu pourras devenir un champion ». Il y avait évidemment les comparaisons des journalistes, les questions qui n’en finissaient plus et il avait beau gagner des médailles d’argents, d’or, tous n’arrêtaient pas de le comparer son super grand frère.. Ce super grand frère qui a dit un jour : « Mon petit frère ? Il est bon mais, il lui faudra encore du temps pour me rattraper ! Sérieusement ? Vous pensez vraiment qu’il arrivera un jour à mon niveau ? » ou bien il y avait aussi cette fameuse phrase où quand, il a commencé à apparaitre sur les premières pages des journaux à scandales : « Que voulez-vous ? Dans les familles il y a toujours de la mauvaise graine, j’espère qu’il se reprendra, mais, il n’écoute jamais rien ! Je ne peux pas me concentrer sur lui et ma carrière, ma carrière passe avant et Père est d’accord avec ça ». Même les femmes avec qui, il a couché malgré son jeune âge lui ont toutes demandé son lien avec son aîné. Pour Wolfram au final, il n’y avait que Karlz, son jumeau qui comptait pour lui… Rayane vivant la majorité du temps avec sa mère, il n’a pas connu les coups de leurs pères parce qu’ils n’étaient pas premiers… N’a jamais vu et supporter ses colères…. Et lui, revenait toujours avec ses grands sabots… Pour lui dire : « De ne pas faire ci, de ne pas faire ça… ».

Au final, ils n’ont jamais eu de bons rapports, il s’entendait encore avec Karlz quand il était encore de ce monde et, c’est de ce même frère que le sms provient ! Au départ, voyant inconnu, il avait pensé que c’était une de ses amantes qui lui écrivait mais non… Et, il est tombé de haut… Ce dernier lui disait qu’il souffrait d’amnésie… C’était du délire c’est ça ? Même en salle de cours.. Il avait crié :

«C’est quoi CETTE MERDE ? »

Evidemment, la sentence de ce raffut fut d’être mis à la porte ce qui en soit, ne le dérangeait pas plus que ça ! C’était une blague hein ? Il n’avait pas hésité à lui envoyer des réponses mais, pas de gaieté de cœur et, il ne faisait aucuns efforts. Après tout, il avait toujours suivit leur père et pour lui, c’était sûr que c’était encore un mensonge pour qu’il le rencontre, qu’ils parlent et qu’il le ramène en Allemagne ! Malgré tout, il se laissa convaincre par les messages dont il se serait bien passé… Chambre 215 ?

C’était même question qu’il se posa à l’entrée de l’hôpital… Il se trouvait vraiment idiot… Plusieurs fois, il a tenté de faire demi-tour mais, autant mettre fin à cette mascarade alors, il entra dans ce lieu ou l’odeur des médicaments lui donnait envie de vomir.. Cela ravivait de trop mauvais souvenirs…Pourtant, il n’était pas du genre à se dégonfler et c’est sur cette pensée, qu’il se rendit jusqu’à la chambre cela dit, au moment fatidique, il hésita mais, finit par frapper à la porte. Il entendit un « entrer » et, finit par entrer en poussant la porte doucement et la vision de le voir dans son lit avec un plâtre finit pas le convaincre… Son expression était sérieux et pas amicale ou autre même si au fond, il était en colère.. Maintenant… Il l’avait oublié ? De mieux en mieux… Vous parlez d’un frère ! Il avait oublié Karlz ? Il en fut estomaqué et, une légère douleur au niveau de sa poitrine apparut à l’entente de cette question… Il ne le connaissait pas.. Il ne reconnaissait pas son propre frère ? D’un côté, ce n’était pas comme s’il avait été là pour lui quand il allait au plus mal.. Il n’a jamais réellement voulu s’amuser avec lui.. « Plus tard » il disait enfant… Après, il se rendait à l’hôpital où il était très complice avec son jumeau mais… Se mordillant la lèvre inférieure, restant un moment silencieux, les mains dans les poches il prit la parole et le regarda droit dans les yeux :

«Oui enfin.. C’est mon prénom aux dernières nouvelles après, je crois bien que c’est écrit sur les registres des naissances donc « oui » ! »


Il n’y a pas à dire…. Ce gosse est un vrai morveux mais en même temps… Qu’est-ce qu’il pouvait dire… Il l’avait oublié… C’était un moyen de défense, une façon à lui de se protéger.

Anonymous
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Ce message a été posté Dim 23 Nov - 21:30



Sorry, I can't remember you !

Rayane & Wolfram

Je ne m'étais pas attendu à ce qu'il me saute dans les bras ou je ne sais quoi. Mais ne serait-ce qu'une réaction ? Un semblant de chose qui aurait pu me faire croire que notre relation était bonne ou qu'il tenait à moi. Mais non, je ne voyais rien dans son regard... Rien de positif... Mes parents ne m'avait rien dit sur lui, je ne connaissais que son prénom. Le silence avait prit place entre nous maintenant. Je ne le lâchais pas du regard, espérant que quelque chose me reviendrait. Mais j'avais l'impression que c'était peine perdue. J’eus un frisson désagréable quand ses yeux s'encrèrent des les miens. Je ne saurais pas expliquer de quoi il pouvait bien provenir. Mais bon... Mon petit frère brisa se silence en me répondant positivement. Je ne m'étais pas trompé, c'était bien lui. Mais toutefois, sa réponse me glaça le sang que ce soit par le ton employé ou par les mots. Qu'avais-je bien pu lui faire ? Je me mordis la lèvre inférieure soutenant son regard. Qu'est-ce que je pouvais lui dire ? Ou faire ? J'avais préparé tout un tas de scénario avant son arrivée, mais je ne m'étais pas préparé à tous les cas apparemment. Je finis par baisser le regard. Je fus envahi par un sentiment de culpabilité tellement fort. Je ne pensais pas ressentir ça. Je m'en voulais tellement de ne pas me souvenir de lui. J'aurais préféré ne pas oublier si j'avais eu le choix. Il savait sans doute pas à quel point c'était dur pour moi. Je baissais la tête sur mon bras plâtre un instant. Un soupire s'échappa d'entre mes lèvre. Ce jeune homme était de mon sang et pourtant c'était comme un inconnu. Je pris mon courage à deux mains et relevais la tête pour le regarder. Ma bouche s'ouvrit pour parler, mais aucun son n'en sortit. Je levais les yeux au ciel brièvement avant de replonger mes yeux dans les siens. J'ouvris la bouche et cette fois-ci, je réussis à lui adresser la parole.

Je suis désolé. Je ne voulais pas te le dire avant d'avoir... Avant de m'être souvenu. Enfin je croyais ne pas le vouloir. Mais mon envie de te voir était plus fort que ça. Je suis vraiment désolé de... De t'avoir oublié. Je sais que je n'ai pas d'excuse... J'aimerais pouvoir me souvenir. Je te le jure.

Ma voix s'était brisée. Le voir m'a fait prendre conscience que j'avais sans doute tout perdu. Et au lieu de me souvenir de ma vie, je préférais me souvenir de ses personnes qui m'étaient chers, qui sont mon sang.

Je... Tu sais... Rha... Les médecins ne veulent pas qu'on me parle de moi ou qu'on me donne trop de détail. Ils veulent que je me souvienne par moi-même. Ma mère et notre père m'ont dis ce que j'étais autorisé à entendre. Si je t'ai demandé de venir, c'est que... J'avais besoin de te voir et j'ai pensé que comme tu étais mon frère, tu devais être au courant. J'ai même insisté pour que ce soit moi qui te parle. Mais... J'ai peut-être eu tord. Non ?

Je me redressais légèrement dans mon lit espérant une bonne réponse. Je ne le lâchais pas des yeux, je voulais enregistrer le moindre détail de son visage. Je l'avais oublié une fois et je ne voulais pas que ça arrive encore. J'espérais qu'il ne s'enfuirait pas à mes paroles. Je stressais légèrement tout en priant qu'au moins un souvenir me revienne.

CODAGE DE © MRS HYDE

Anonymous
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Ce message a été posté Lun 24 Nov - 11:41
Tenue - Voir son aîné si abattu, Wolfram avait l’impression d’être dans une mauvaise scène d’un navet ! Sérieusement, lui qui ne s’est jamais empêché de le reprendre, de suivre ce que disait leur paternel, un paternel qui n’avait pas hésité à lui couper les vivre et le foutre dehors parce qu’il n’avait pas supporté sa décision de quitter le monde de la natation, qu’il lui avait tenu tête et que ça… Son père ne supporté point et, détestait ce genre de comportements car, il était plus habitué à ce qu’on lui obéisse. Lui, le grand Coach, l’ex Grand Champion ! Quelle ironie que celui qui était son fils « chéri », celui qui l’avait toujours baigné dans l’ombre se retrouve dans ce lit d’hôpital et qui n’a plus autant de confiance. Il aimerait en rire vraiment mais, heureusement pour son aîné, il avait un peu de plus de retenue même si, c’était du délire. Il ne prit même pas le temps e s’assoir non, il préféra l’observer mais, sérieusement, il trouvait tellement son aîné misérable que même la vue du parc lui semblait plus belle ! Ah, il avait l’impression d’avoir un grand frère et, presque il avait envie de lui crier d’arrêter cette comédie qui lui donnait envie de vomir mais, ses paroles hésitantes, ce plâtre.. Non tout était réel et, sérieusement, qu’est-ce qu’il devait dire hein ? Car, en l’écoutant, il apprenait qu’il n’avait rien le droit de dire pour une fois, il allait obéir et ne rien dire. A quoi bon ? Les blessures qu’il lui a causées par le passé, ne s’effaceraient pas d’un claquement de doigts non, elles étaient là, bien profondes et rien ne saurait les guérir. Elles étaient encore trop fraiches dans tous les cas.

A sa question ou plutôt ses questions dans une même tirade, il était tiraillé à l’idée de lui juste « Non » et « oui ». Au moins, il pourrait prendre ses cliques et ses claques pourtant, il n’était pas sans cœurs, c’était un membre de sa famille et comme dit un proverbe..

«Franchement parfois je me dis que j’aurais aimé choisir ma famille mais, malheureusement on ne choisit que ses amis !»

Il était dur mais, on ne lui avait rien en même temps, ce n’ était pas si il était toujours en contact avec leur vieux ! Alors comme ça il lui avait parlé ? Il devait s’en mordre les doigts et souffrir…. Lui, il lui arriverait une telle chose, il ne se serait pas déplacé pour lui. Bien au contraire, il serait resté tout seul comme si, le jeune homme qui se tenait en face de lui, aurait fait le déplacement ! Il était vraiment trop gentil et, il ne supportait pas vraiment qu’il l’observe comme il le faisait. Cela le rendait mal à l’aise ! Il se gratta l’arrière de la tête et finit par reprendre la parole, en le regardant droit dans les yeux :

«Désolé de te décevoir mais, je n’étais au courant de rien ! Alors le vieux shnock est venu ? Ah j’avoue quel drame c’est son fils préféré qui est dans un lit, il se déplace ! Et du coup tu sais quoi ? Que je sache à quoi m’en tenir ?»

Il était dur, trop dur mais, il détestait cet endroit…. Car, c’est là qu’il passait ses jours de libre en compagnie de son jumeau. Et aussi là, qu’il l’a vu étendu entouré de machines…. Il était venu assez trop souvent dans ce genre d’établissements alors… S’il pouvait aller dehors, il serait peut-être moins « con ». Il se déplaça jusqu’à la fenêtre et resta calme avant de reprendre la parole affichant un sourire sarcastique :

«Désolé ? Tu n’as pas à l’être ! Ce n’est pas si grave ! Je connais d’autres personnes qui préféreraient m’oublier aussi donc… Vraiment ne t’excuse pas !»

Anonymous
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Ce message a été posté Mar 9 Déc - 14:49



Sorry, I can't remember you !

Rayane & Wolfram

Je ne connaissais pas ou plutôt je ne me souvenais pas de ce jeune homme qui pourtant été mon petit frère. Et pourtant en le voyant maintenant, je n'avais qu'une peur de découvrir que lui et moi avions une mauvaise relation. Je n'avais plus personne à part ma mère. Il y avait aussi mon père, mais je n'avais vraiment aucune confiance en lui, il me semblait vraiment louche. Enfin bref... Je continuais de fixer Wolfram me perdant dans mes pensées. J'en fus sorti quand mon cadet prit la parole. Paroles que je trouvais vraiment blessante. Me détestait-il à ce point ? Qu'est-ce que j'avais bien pu lui faire pour qu'il ressente ça pour moi ? Je détournais le regard un instant pour ne pas craquer d'une quelconque façon, puis je reportais mon regard sur mon cadet. J'essayais de garder une expression aussi neutre qu'était la sienne. Je me raclais doucement la gorge avant de tenter une réponse qui ne montrait pas forcément ce que j'avais ressenti à ces mots blessant.

Comme tu dis, on ne choisit pas. Mais de nouvelles chances peuvent être donné aussi, même à une famille que l'on a pas choisi.

J'avais bien compris qu'on ne devait pas avoir la meilleur des relations de frères dans le passé. Ses paroles et son attitude avaient étaient des plus clair. Et je voulais qu'il comprenne que quoi qu'il aie pu se passer entre nous avant, tout pouvait changer. Je ne cessais pas de le regarder et je vis le moindre de ses faits et gestes. Je le vis même se gratter la tête avant d'avoir un léger sursaut quand nos regards s'encrèrent l'un dans l'autre. Il prit alors la parole et je l'écoutais attentivement. Sa relation avec notre père avait l'air encore plus horrible que la notre. Et je le comprend, j'ai trouvé cet homme très antipathique. Enfin bon... Je n'en saurais pas plus de cette façon. Je mis un petit moment pour lui répondre remettant en ordre tout ce que notre père et ma mère avait bien pu me dire. Puis je pris donc la parole :

Là, je viens d'apprendre que je suis le fils préféré d'un homme qui prétend être mon père, mais envers qui je ne ressens rien. Contrairement au moment où j'ai vu ma mère ou même toi. Je commence bien non, je me méfie de celui qui est censé m'avoir élevé.

Et c'était vrai... J'avais ressenti de l'amour en voyant le visage de ma mère. Pour Wolfram, c'était plus un sentiment... Je n'arrive absolument pas à mettre un nom sur ce sentiment. Mais je sais que c'était quelque chose d'assez positif. Mais pour mon père, c'était plutôt négatif peut-être dû à cause de son comportement ou de ses paroles. Je sortis de mes pensées en me rendant compte que je n'avais pas terminé de répondre à Wolfram, je lui fis un petit sourire désolé avant de reprendre :

Je sais mon nom et mon prénom, c'est déjà ça. Non sérieusement... Je sais les bases comme ma date de naissance et mon âge. Je sais que j'aimais la natation, le père n'a pas arrêté de me le répéter. Je sais aussi que j'ai obtenu un poste de prof dans une école, mais que je n'ai pas pu commencer à cause de l'accident. Je sais que j'aime écouter de la musique vu l'importance de ma playlist et que je lis des romans policier. Je sais que notre père n'a pas eu d'autres enfants avec ma mère. Je sais que j'ai un petit frère, donc toi, et que tu as une mère différente de la mienne. Mais il avait l'air bizarre quand il me parlait de toi... Comme s'il me cachait quelque chose... Mais... J'ai beau y réfléchir même en ce moment même rien ne me vient.

Je le suivais du regard alors qu'il se dirigeait vers la fenêtre me disant que je n'avais pas à m'excuser et qu'il connaissait d'autres personnes qui préféreraient l'oublier. Je fronçais les sourcils.

Crois-moi. Ce n'était absolument pas voulu. Notre relation n'était peut-être pas bonne, mais je préférerais me souvenir de tout. Je donnerais absolument tout pour me se souvenir de toi... Tu es quand même mon frère.

Je soupirais avant de m'asseoir au bord du lit prêt à me lever, puis je lui demandais :

Ça te dit qu'on sorte faire un tour... J'en ai marre d'être enfermé ici.

CODAGE DE © MRS HYDE

Anonymous
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Ce message a été posté Mer 10 Déc - 23:52
Tenue - A sa première réponse, un œil s’arque avant de lui offrir un sourire contrit. Oui… Ce n’était pas foncièrement faux mais, lui, n’a jamais cherché à lui donner une chance, il l’avait abandonné avant même de le comprendre. Coupable à ses yeux il était. Il n’a jamais cherché à vouloir un lien avec sa personne quand il était encore le Rayane qu’il connaissait. Alors, le pardon ? Il lui demandait ce que lui-même lui avait refusé… Quelles belles paroles vraiment… Des paroles dénuées de sens à ses yeux. Comme si lui, n’avait pas été blessé, ce type ne pouvait pas être le frère qu’il connaissait car, s’il l’était alors cela ferait bien longtemps qu’il se serait levé du lit, qu’il lui en aurait collé une pour avoir désobéi à leur père bien aimé. Il ne serait pas cet homme faible qui se trouvait devant ses yeux ! Il n’avait pas besoin, ni l’envie de jouer un rôle qui n’était pas le sien. Comme si sa vie personnelle n’était pas déjà un tel fouillis. Bien que, ce soit disant aîné était en quelque part fautif de ce bazar. Seulement, rapporter toute la faute sur « lui » n’était pas très adulte mais, il ne l’était pas… Il n’avait que 17 ans… Tout ce qu’il avait connu, n’était que les coups au moindre faux pas… Aux cris de chacun… Qu’on l’abaisse, qu’on le compare à son frère. En fait, le truc qu’il reprochait à Rayane c’était de l’avoir ignoré quand il en avait eu le plus besoin. De ne pas avoir su voir sa détresse et de suivre leur père, de lui obéir et de le forcer à lui obéir.

« C’est fou le « toi » d’avant ne m’a laissé aucune chance et maintenant tu me demandes à moi de te donner une chance ? Que c’est assez ironique que je ne sais pas si je dois rire ou pleurer de la situation !»

C’était comme si sa mère venait à apparaitre à nouveau dans sa vie. Elle n’avait pas été là pour l’enterrement de Karlz il ne sait pas ce qu’il ferait. Il fallait qu’il arrive à se contenir même s’il avait blessé son aîné mais là, personnellement, il s’en foutait ! Littéralement, s’il était devenu si amère avec ce dernier c’était littéralement de la faute de ces foutus journalistes.. De la personne dans le lit et de leur géniteur. Enfin bon, il préféra passer à autre chose pour savoir à quoi s’en tenir. D’un autre côté, il ne dirait rien, il n’était pas diabolique pour le forcer à le croire et en même temps, il gardait une certaine rancœur et, ce n’était pas le moment qu’il se laisse aller ! Ah ? Il se méfiait de leur géniteur depuis quand ? Il ne savait pas s’il était sincère ou non mais, peut-être que cela signifiait que son « lui » d’avant savait ce que leur père leur faisait mais, qu’il n’avait jusque là rien dit ? De peur de recevoir lui aussi des coups ? Dans ce cas c’était pire. Pour ce qui était des sentiments positifs, il devait sans doute le confondre avec Karlz… D’où le fait qu’encore une fois, il resta silencieux. Rester dans cette chambre le rendait vraiment mal à l’aise. Il préférait de loin regarder l’extérieur.

Son visage s’assombrit quand Rayane mentionna à nouveau leur père et aussi en disant qu’il avait un petit frère alors, il n’avait pas parlé de son jumeau ? Il bouillonnait… Le seul membre qui n’a jamais compté à ses yeux… Le seul qui comptait pour lui, il ne serait plus là pour le voir. Pour se battre. En tout cas il rebondit sur une information qui l’avait pris au dépourvu :

«Tu es enseignant toi ? Et ta carrière ? Remarque c’est peut-être mieux ainsi au vu de ton état… Mais, sauras-tu enseigner ? Sans vouloir être blessant.. C’est juste que.. Bref, tu enseignes dans quel établissement ?»

Ce serait impossible… Lui, le fils prodigue à la carrière brillante qui devient subitement enseignant ? Ce n’était pas possible… Il y avait certainement anguille sous roche. Est-ce que finalement comme il s’en doutait, il serait venu pour le forcer à nager à nouveau ? A revenir auprès de leur paternel ? Il n’aura pas de réponse. Et de toute façon, il n’était pas certain qu’il veuille passer plus de temps avec lui alors.. Aux dernières paroles de son frère sur sa remarque de l’amnésie… Il se posait de sérieuses questions si, c’était son frère qu’il avait en face de lui… Ou alors, c’était une partie de lui qui, était bien enfouie ? Vraiment, il se prenait trop la tête !

«Laisse-moi en douter… malgré tout ~ Le Rayane d’avant… Non rien ! Et, pas de soucis, je déteste les hôpitaux, alors sortir est la meilleure proposition que tu puisses me faire ! Par contre, tu peux sortir ? »

Oui, Wolfram pouvait montrer un côté humain vous en doutiez ? Il attendit son frère et lui ouvrit la porte pour lui faire un signe qui disait qu’il sortirait après lui en refermant la porte derrière lui. Quand ce fut fait, les mains dans les poches, se crispant à chaque « bip », à chaque « rencontre » avec un membre du personnel de cet établissement où il essaya de rester calme alors, qu’il n’était pas à l’aise .. Il demanda blasé mais, c’était son expression habituelle :

«Et sinon… Je suppose que la question n’est pas appropriée mais, tes douleurs ça va ? Je veux dire… Ce n’est pas trop contraignant ?»

Anonymous
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Ce message a été posté Lun 29 Déc - 17:46



Sorry, I can't remember you !

Rayane & Wolfram

Je n'aurais jamais pensé que j'étais quelqu'un de si horrible. Je n'avais aucun souvenir de ma vie passé et du moi d'avant. Dans un sens, j'étais reconnaissant à Wolfram d'être si honnête envers moi. Même s'il mettait un gros doute dans mon esprit. Mon cadet ne semblait pas vouloir me donner une nouvelle chance. Et ça se confirma par ses paroles. Je fronçais les sourcils commençant à ne pas aimer l'ancien moi, celui dont je ne me souvenais absolument pas. Je lâchais un soupire en me massant les tempes.

D'accord ! J'ai compris. Je n'insiste pas. Mais même si tu ne me donnes pas de nouvelle chance, je tenterais de me rattraper. Que tu le veuille ou non.

J'étais catégorique là-dessus. Je ne me souvenais pas de cette personne qu'il détestait et qui était censé être moi. Enfin bref... Nous continuons de parler tous les deux enfin surtout moi. Lui expliquant ce que je savais de mon ancienne vie. Enfin ce que mes parents avaient eu le droit de me dire. Il sembla très surpris par le faire que j'étais professeur. Je fronçais les sourcils me demandant ce qu'il y avait de si surprenant. Je le laissais finir avant de me redresser pour lui répondre :

Je ne sais pas pourquoi ça te surprend. Mais bon... Ma carrière dans la natation ? Je ne sais pas. Je ne sais plus pourquoi j'ai pris ce poste ou même si j'ai arrêté ma carrière. Je ne sais pas où j'en suis de ce côté là. Sinon... Vu mon poste, les médecins ont dis que je pourrais commencer le boulot en assistant un confrère. Pour me mettre dans le bain... L'école... C'est...

Je ne savais plus le nom. Je me penchais vers la table de chevet et fouillais dans un tiroir, je sortis une feuille et y jetais un coup d’œil avant de la remettre à sa place. Je me redressais en regardant mon frère pour lui donner le nom de l'endroit où je devais travailler :

Alors... C'est la Royal Private School.

Wolfram ne semblait vraiment pas me croire quand je lui disais vraiment vouloir retrouver la mémoire. Mais il accepta tout de même de sortir de cet horrible bâtiment alors que je m'asseyais tant bien que mal au bord du lit pour pouvoir me lever. Il me demanda tout de même si j'avais le droit de sortir. Je souris.

Oui, j'ai le droit. Même si je dois rester près de l'hôpital. Mais... Il y a une raison pour que tu déteste les hôpitaux ? Quoi que personne ne doit vraiment les aimer.

Je me levais alors mon bras plâtré toujours contre moi et attrapais mon gros sweat qui se trouvait sur une chaise. Je l'enfilais comme je pouvais ayant presque pris l'habitude. J'enfilais ensuite mes chaussures avant de rejoindre mon cadet devant la porte qu'il ouvrit. Je le remerciais avant de sortir de la chambre en premier très vite rejoint par Wolfram. On marcha alors tranquillement dans les couloirs, en même temps, je ne pourrais pas aller beaucoup plus vite. Quand je lançais des petits regards vers lui, je le voyais se crisper. Il détestait vraiment cet endroit. Il prit la finalement la parole en me demandant si ce n'était pas trop difficile avec mes douleurs.

On va dire que je n'ai pas vraiment le choix et que je dois faire avec. J'ai un peu mal partout, mais le pire c'est la poitrine. J'ai quelques côtes qui ont été toucher et quoi que je fasse c'est douloureux. Mais c'est mieux qu'au début, je dois dire. Heureusement qu'ils me donnes des trucs efficaces pour les douleurs quand même. Mais... Sinon, je me remet bien selon les médecins si on exclu mon amnésie. Enfin voilà...

Je ne savais pas trop quoi dire de plus. Je continuais de marcher en sa compagnie alors que nous approchions de la sortie.

Et sinon que peux tu me dire sur toi ? Enfin... Je ne sais pas si je dois tout savoir. Mais... J'aimerais quelques informations. Ce que tu veux bien me dire seulement.

Je me sentais tellement ridicule à lui demander ça alors que normalement je devrais en savoir beaucoup sur sa vie.

CODAGE DE © MRS HYDE

Anonymous
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Ce message a été posté Sam 10 Jan - 14:04
Tenue - «Hmm. Si tu insistes, tentes !»

Wolfram n’allait pas lui dire ce qu’il devait ou non ne pas faire. Le jeune homme ne pardonnait pas facilement et puis, quand il se souviendrait, qui lui disait qu’il ne lui tournerait pas une nouvelle fois le dos hein ? La vie n’a jamais été un long fleuve tranquille. Persuadé qu’il n’était pas le seul à penser de la sorte. Rayane voulait se rapprocher de lui ? Il déchanterait certainement vite quand il saura que son petit frère sort et couche avec des femmes beaucoup plus âgées que lui et puis, il n’avait pas l’impression de voir son frère… Perdre la mémoire, est-ce que cela pardonnait tout ? Les secondes chances pouvaient être données ? L’allemand n’était pas certain de cela et puis, quelle facilité de perdre ses souvenirs seulement, en apparence car, en réalité cela ne pardonne pas certaines actions. Il voulait le connaitre soit, il faudrait juste qu’il s’accroche. Qu’est-ce qu’il pouvait lui dire d’autres ?

Rien d’étonnant à ce qu’il devienne enseignant ? Lui qui aimait la natation, qui était considéré comme l’un des meilleurs de la génération à venir ne comprenait pas pour cela le surprenne qu’il perde son temps à enseigner à des mômes qui ne seront jamais champions dans cette discipline ? Le monde devenait trop compliqué pour lui à cet instant et, il écouta ses explications. Qui sait, peut-être qu’en étant proche de l’eau, les souvenirs jailliront et ainsi, il prendrait ses clics et ses clacs rapidement…. Il était probablement devenu enseignant pour le ramener à la raison, ce ne serait pas la première fois que leur patriarche l’envoie le récupérer. Seulement, ses plans semblaient tomber à l’eau… Evidemment, il ne voyait que cette raison surtout, lorsqu’il lui donna le nom de l’école.. Un sourire désabusé apparut aussi rapidement qu’il disparut. Cela ne servait à rien pour lui de comprendre, il en avait peut-être assez entendu toutefois, il ne rejeta pas l’idée de continuer à passer un peu de temps à ses côtés à l’extérieur où il laissa connaitre son amertume pour cet endroit à son aîné. La question qui vint, le déstabilise un peu mais, il répondit en toute honnêteté :

«Le peu de jours que j’avais de libre je les ai passé dans cet endroit contrairement à toi mais, je ne t’en dirais pas plus ! Il vaut mieux que tu t’en rappelles de toi-même et si, tu ne le fais pas… Que tu ne te souviennes pas de moi passe mais… Rien… Et puis, perso je connais pas une personne qui aime cet endroit..»

Il aurait voulu lui parler de son frère mais, c’était impossible ! Comment pouvait-il parler de ce dernier hein ? C’était à lui seul de se souvenir de leur frère… De celui qui était tout pour lui. Wolfram à demi-mots venait de lui passer le message suivant : Tu ne te souviens pas, ce n’est pas la peine que tu continues de me voir. Quant à l’école, comme vous pouvez le voir, ses réactions passèrent sous silences. Seul le sourire d’une fraction de seconde a parlé pour lui. Ils se retrouvèrent dans ce couloir où des malades et blessés défilèrent sous ses yeux… Le bruit des machines, le rendaient mal à l’aise. Cependant, il fit l’effort de demander de ses « nouvelles » du moins, d’entamer une conversation « neutre » avec son grand-frère. Quand il l’écouta parler, il ressentit un peu de compassion à son égard. Cela ne devait pas être marrant tous les jours..

«Je vois… Va y doucement quand tu commenceras les cours ! Je n’ai pas envie de revenir ici !»

Il ne souhaitait pas que son aîné aille mal même si, il ne l’excuserait pas de ce qu’il a pu lui faire. Wolfie a perdu un frère, sa moitié et, en perdre un autre même si leurs liens étaient mauvais, sera loin de le laisser indifférent. Il attendit d’arriver à la sortie, que le soleil caresse sa peau pour s’étirer et être plus à l’aise :

«Ah c’est bien mieux !!! Il fait vraiment bon pour un mois de décembre !»

Il prit les devants et, s’arrêta en repensant que son aîné ne pouvait pas suivre sa vitesse. Il regarda le ciel un moment et, le regarda pour répondre.

«J’ai pris ma relève sur la natation en début d’année, je préfère tagguer et je sors et couche avec des femmes plus âgées que moi ! Après ma vie n’est pas si intéressante que cela !»

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Ce message a été posté Dim 25 Jan - 17:35



Sorry, I can't remember you !

Rayane & Wolfram

Okay ! C'était vraiment pas gagner avec mon frère. Mais bon, je ne suis pas prêt à renoncer. Enfin pour le moment, car après tout, je ne savais absolument pas comment je réagirais une fois que ma mémoire serait revenue. Et je dois bien avouer que ça me fait un peu peur quand même. Que se passera-t-il une fois que j'aurais retrouver ma mémoire ? Tout un tas de questions me venaient alors à l'esprit, mais je décidais de les chasser de mes pensées pour ne pas risquer de m'y perdre. Ce serait bête de louper la moindre parole de ce frère que je ne connais plus ou toute chose qui pourrait me faire avoir un flash de mon passé. Enfin bref... Je restais toujours dubitatif face à la réaction de mon frère face à la nouvelle de ce nouvel emploi que j'aurais dû commencé après mon arrivée ici. Il était visiblement surpris et moi... Bah... Je ne comprenais tout bonnement pas sa réaction. La discussion s'arrêta là sans réponse de sa part. Me laissant ainsi dans l'ignorance des raisons d'une telle réaction de sa part. Nous sortîmes ensuite de ma chambre afin de prendre l'air et d'échapper à l'effet néfaste qu'avait les hôpitaux sur les gens. Et mon cadet semblait ne pas faire exception à la règle loin de là. Je voyais bien son mal-être et je ne pu  m'empêcher de lui demander pourquoi il avait l'air si mal. Sa réponse fut quelque peu énigmatique. Il avait passé plus de temps dans cet endroit que moi, mails il ne voulait pas me dire pourquoi. Rah... Je détestais vraiment cette amnésie. Je fronçais alors les sourcils essayant de me souvenir de quoi que ce soit qui pourrait être lié à ses paroles. Qu'avais-je bien pu oublier qui semblait si important pour lui ? Je me creusais la tête pour trouver, mais rien ne venait. Excepté une étrange sensation de forte tristesse. Je ne montrais rien, enfin j'essayais, n'étant pas sûr de moi. Je préférais garder tout ça pour moi du moins pour le moment. Je lui répondis alors :

Je ne sais pas ce dont je dois me rappeler et qui semble si important pour toi. Mais je tâcherais de faire travailler ma mémoire dans ce sens. Est-ce que je pourrais... Je pense que c'est abusé de ma part. Mais tu sembles être celui qui serait le plus honnête envers moi. Alors est-ce que je pourrais t'appeler si des souvenirs me reviennent ? Car franchement, je ne pense pas que papa le soit autant. Enfin je ne sais pas comment t'expliquer.

Nous continuons d'avancer tranquillement dans les couloirs blancs et tristes de l'hôpital où j'avais passer toutes mes journée depuis une semaine. Il me demandait alors comment je me sentais. Son regard sembla changer face à ma réponse. Il me dit alors de faire attention quand je commencerais à bosser, car il n'avait pas envie de revenir ici. Mon petit frère faisait-il preuve de compassion à mon égard ? Malgré l'excuse qu'il avait fini par me sortir. Un petit sourire se dessina sur mes lèvres alors que je lui répliquais :

Ne t'en fais pas ! Je vais devoir revenir ici pour des contrôles alors je ne vais pas tenter quoi que ce soit qui me revaudrais une hospitalisation.

Wolfram arriva avant moi à l'extérieur, mais je le rejoignis bien vite. Je pris une profonde inspiration, l'ai du dehors étant plus agréable que l'odeur de l'hôpital qui me donnait la nausée à la fin. J'écoutais mon petit frère me dire à quel point il se sentait mieux... J'hochais la tête positivement approuvant ainsi ses paroles.

Oui comme tu dis. Ça fait du bien de respirer autre chose... Que l'air nauséabonde dans le bâtiment. Et puis, c'est vrai qu'il fait assez bon.

Je demandais ensuite à mon cadet comment ça se passait pour au niveau des cours... Et tout ça. Nous nous arrêtions alors un peu plus loin de l'entrée. Wolfram me regarda alors avant de me répondre. Son honnêteté faisait plaisir à entendre. Je souris sans vraiment l'avoir voulu. Même si sa réponse me surprit un peu, je n'avais pas pu retenir ce sourire.

Ta vie semble plus intéressante que ce que tu ne veux bien admettre.

Je dis ensuite avec un sourire en coin :

Alors comme ça, mon petit frère a du succès auprès des femmes, même plus âgées. Je suis assez fier dans un sens. Et puis, je me dis que c'est peut-être de famille.

Mon sourire devint plus amusé alors que je continuais :

Depuis que je vais « mieux », il y a une infirmière qui tente désespérément de me draguer. Mais elle ne me fait aucun effet comme toutes les femmes de l'hôpital.

Un léger rire franchit la barrière de mes lèvres.

Je commence sérieusement à douter de ma sexualité.

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Ce message a été posté Ven 6 Fév - 14:47
Tenue - Surpris ? Ahuris conviendrait sans doute mieux à sa réaction du moment. Il n’aurait jamais conçu que son aîné puisse lui faire une telle requête ! A croire que perdre les souvenirs était si facile. Que d’un seul claquement de doigts, les erreurs du passé s’effacent. Lui, tout ce qu’il désirait était sortir de là. Il n’en possédait pas une phobie mais, cet endroit l’affaiblissait c’était comme ça et, il n’y pouvait malheureusement rien. Quant à son ainé qui semblait être complètement dépaysé il était en train de se demander s’il n’en profitait pas ? Même s’il ne lui a jamais trouvé un quelconque talent dans la comédie. S’il pouvait l’appeler ? Pourquoi faire ? Lui parler du bon temps ? Et s’il se rappelle de tout ? Il était possible qu’il ne se souvienne jamais non plus des souvenirs qu’ils pourraient crées maintenant. Peut-être que sa personnalité, ses valeurs qu’il détestait tant reviendraient et quelque part, il le détestait pour avoir déjà tout supprimé de son esprit. Un accident de voiture hein ? Là tout de suite, Wolfram avait envie de prendre sa tête dans ses deux mains et de se la fracasser contre un mur mais, il n’en ferait rien. Quoi qu’il en soit, il ne serait pas obligé de le retrouver n’est-ce pas ? On dit que les promesses sont faites pour être tenues mais après ? A la connotation du mot « père », Wolfram voulait partit tout en étant partagé entre rire ou pas. Pour sûr que leur géniteur ne serait pas aussi franc que « lui ». Pourquoi l’être quand la vérité pourrait vous faire perdre votre gagne réputation ? Même si, le nom familial fut un peu souillé par ses soins. Le regardant rapidement il finit par dire :

«Tant que ce n’est pas souvent ! En tout cas, je n’ai pas l’impression d’être en face de Rayanne !»

Il n’y allait pas avec le dos de la cuillère avec son frère. Ce n’était pas à cause du ressentiment qu’il éprouvait envers lui-même si, cela y jouait. Quand ils finirent par sortir de l’établissement hospitalier et qu’ils finirent par respirer le grand air, il se sentait déjà beaucoup mieux. Il était content d’entendre son frère dire qu’il ferait attention. Il était hors de question qu’il revienne toutes les semaines ici pour une personne qui était incapable de mettre un prénom sur sa personne ! Enseignant à Rps hein ? Quelle belle mascarade tout ceci. Comment allait-il enseigner alors, qu’il ne se souvenait de rien ? Peut-être qu’au final cela pourrait l’aider à se soigner ? Seul l’avenir le dira. Rayanne ne remplacera jamais Karlz. Jamais ! C’était avec ce dernier qu’il était proche comme jamais pas « lui ». Peut-être qu’il serait du genre à lui enfoncer un couteau dans le dos ? D’où le fait, que même avec son « hyung » convalescent il préférait y émettre des réserves sur tous les plans.

«Même s’il pleut, qu’il neige je préfère être dehors !»

A sa réponse sur le temps. Cet établissement, même au bord de la mort il refuserait d’y mettre un pied. Il préférerait souffrir en silence que de s’y rendre. Il se retrouve dans un lit, il panique. Non cette idée lui était inconcevable. Il finit par lui parler un peu de sa vie. Que la natation, il avait le pied et, il sourit amusé à la remarque du plus vieux tout en marchant.

«Je ne sais pas ~ Qui sait… Le charme allemand sans doute ~»

Il l’écouta parler jusqu’au bout et, fut un peu sceptique dans le sens qu’il n’aurait jamais cru parler de ceci avec son frère. Les histoires de préférence du genre. Jamais il aurait cru avoir un point commun avec le jeune homme qui se tenait en face de lui. Il n’aurait jamais cru avoir une conversation « légère » en général. Un petit rire franchit ses lippes et il se mit à le regarder :

«On se ressemble pas mais, je peux les comprendre tu es bel homme ! Enfin, je ne trouve pas une infirmière à mon goût bien que si elle est trop collante et vraiment mimi, n’hésite pas à penser à moi ! »

Il pouvait passer pour un salaud pour le coup mais, il n’en avait que faire. Ce n’était pas aujourd’hui qu’il prêterait une attention particulière à des « on dit ». Les mains dans les poches regardant l’extérieur il continua sur sa lancée :

«Si le vieux apprend que son fils chéri préfère les hommes, il va faire une syncope ! Tu lui dis quand ?»

Mi sérieux, mi-blagueur. Pas qu’il veut voir son père dans la tombe quoi que… Qui sait ? Il le détestait pour tellement de raisons qu’il n’était pas certain qu’il pleurerait à son enterrement.

«Plus sérieusement, tu ressors quand ? Tu sais où tu vas crécher ?»

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Ce message a été posté Jeu 5 Mar - 16:21



Sorry, I can't remember you !

Rayane & Wolfram

J'aurais sans doute dû m'attendre à une réponse si peu enthousiaste de part de Wolfram. En fait, je m'y attendais bien et n'en fus même pas surpris. Je haussais doucement la tête à ces paroles, car malgré tout je le comprenais.

Ne t'en fais pas ! Je t'appellerais que pour les sujets dont je veux être sûr. Je vais pas non plus t'appeler parce que je me souviens que j'aime les fraises.

Oui, j'essayais de détendre l'atmosphère. Fallait bien que j'essaye ! L'ambiance tendu ne m'allait pas au moral. Je ponctuais donc ma phrase d'un sourire en coin.

Je veux bien te croire. Je pense que j'aurais la même impression que toi si j'avais été à ta place. Mais vu tes remarques, je ne suis pas vraiment pressé de redevenir le Rayane d'avant. Enfin bon...

On finit par se mettre d'accord avant de sortir de l'hôpital pour prendre un peu l'air et je devais bien avouer que ça me faisait vraiment du bien surtout mentalement parlant. Enfin, la bonne chose était que mon cadet semblait s'inquiéter un minimum de mon état de santé... Ou pas... Je tentais alors de le rassurer en lui faisant savoir que je ferais très attention à moi. Je ne pu me retenir de rire quand il me dit qu'il préférerait être dehors même s'il pleuvait ou il neigeait. Ce n'était pas un rire moquer, mais plutôt... En fait, je ne savais pas trop le pourquoi du comment. C'était un petit rire bref et heureusement, car rire avait vraiment le don de me faire mal aux côtes.

Disons que là, je ne peux que t'approuvais, j'affronterais n'importe quoi pour pouvoir quitter cet endroit.

Je décidais ensuite de changer de sujet en lui demandant de me parler de sa vie, ce qu'il fit très brièvement. J'étais amusé par ce qu'il m'avait décrit et lui avait même fait une petite remarque à laquelle il avait répondu. Le charme allemand ? Toujours amusé, je gardais mon sourire de coller aux lèvres avant de lui dire :

Si tu le dis... Je ne sais pas... Ou alors c'est le charme asiatique... Ça peut marché aussi.

Je lui racontais, par la suite, ma petite mésaventure avec l’infirmière trop collante concluant sur le doute que j'avais concernant ma sexualité. Il se mit alors à rire avant de me répondre. Je l'écoutais attentivement et quand il eu fini ce fût à mon tour d'émettre un petit rire.

Pas de soucis, je te refilerais leurs numéros. Tu te débrouilleras avec elles. Quant au vieux comme tu dis, si je le suis vraiment, je crois qu'il aura pas trop le choix. Puis il me fait pas peur donc dès que je suis sûr, je lui dirais rien  que pour voir sa tête.

Quoi ? Ça pourrait être drôle. Enfin bref... Mon cadet reprit son sérieux en me demandant quand je sortais et si je savais où j'allais vivre. Je haussais les épaules avant de lui répondre :

Franchement, je ne sais pas dut tout quand je sors. Bientôt sûrement... Enfin j'espère... Sinon j'ai un appartement d'après ce que ma dit le père. De toute façon, au pire, j'irais chez ma mère quelques temps. Je verrais... J'y suis pas encore. C'est pas tout à fait le genre de sujets qui me tracassent ces derniers temps. Tu vois ?

Je repérais un banc non loin de nous et le montrais d'un signe de main à mon frère.

Ça te gêne pas si on va s'asseoir ?

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Ce message a été posté Jeu 5 Mar - 17:37
Tenue - C’était rassurant qu’il semblait avoir retenu la « leçon » du jour : Ne pas le déranger pour des broutilles. Il ne remettrait probablement plus jamais les pieds si, c’était pour parler du beau temps et de la pluie même si, au final c’est qu’ils font une fois qu’ils ont atteint l’extérieur. Il n’avait pas omis ce qu’il lui avait dit que le fait qu’il ne s’empressait point de regagner ses souvenirs. Recommencer une nouvelle vie sans se souvenir de son autre frère ? Il ne lui pardonnerait jamais s’il ne venait à ne jamais se rappeler de son jumeau. Il préférerait même que ce dernier ait oublié juste son existence mais non. On a jamais ce que l’on souhaite. Wolfram marcha un peu et essayer d’entamer une conversation sans être sur le pied de guerre avec lui. D’accord, cela semble être contradictoire avec ses propres sentiments et même s’il tenait rancune à Rayane pour diverses raisons et se mit à pouffer un ricanement. Ca ne l’étonnait pas qu’il veuille fuir très loin d’ici. Qui resterait tranquille ici ? Sur le ton du rire alors qu’il était très sérieux dans ses propos il..

«Je crois que moi, cela ferait longtemps que je me serais cavalé loin d’ici ! Si, un jour je suis forcé d’être à l’hôpital crois-moi qu’il vaudrait mieux pour eux qu’ils m’endorment ! »

Ce serait un peu la grande Vadrouille revisitée ce n’était pas si mal pour les grands titres non ? Bref, il n’était pas là et, autant éviter le plus possible de parler de malheur ! Sérieusement, il ne désirait pas ceci. Il finit par lui parler rapidement de lui et surtout le fait qu’il emballait plusieurs femmes d’un âge plus avancé que « lui ». Il n’y avait pas de limites tant que la femme lui plaisait physiquement c’en était assez ! C’était assez marrant de parler des préférences de son frère même s’il n’en était pas confiant. Jamais, cela lui serait venu à l’esprit mais, il faut un début à tout ! Il sourit amusé par ses paroles :

«C’est vrai que le charme asiatique y joue probablement ! Hahahaha je compte sur toi pour me donner leurs numéros ! Et n’oublie pas de m’envoyer une raison quand tu le diras au vieux ou alors prend moi une photo de sa pigne ! »

Non car, voir leur paternel au bord de la crise cardiaque, il était certain que ce serait jouissif à souhait ! Sadique ? Un juste retour des choses selon son avis. Il lui donna une tape sur l’épaule mais, quand il se rendit compte de la portée de sa force transmise dans l’élan de sa « claque » il retira immédiatement sa main que se mit à gratter sa nuque à l’aide de ses ongles :

«Désolée, j’y suis peut-être allé trop fort ! Bref m’oublie pas ! »

Non pas qu’il s’intéressait fortement à la santé de son frère, un peu quand même. Ne sait-on jamais il pourrait être capable de porter plainte contre sa personne. Il laissa échapper un autre petit rire et redevint sérieux un moment afin de connaitre où il allait vivre une fois sortit de cet établissement. La réponse, l’étonna un peu du moins, il est un peu tiqué :

«Et quels sont les sujets qui tracassent un grand homme comme toi ? Et ok pour aller s’assoir !»

Ils se dirigèrent rapidement vers un bancs du parc de l’établissement hospitalier même si Wolfram resta un moment silencieux et debout.

«Si tu vois le vieux ou l’a au téléphone si possible évite de parler de moi ! »

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Ce message a été posté Mer 25 Mar - 17:35



Sorry, I can't remember you !

Rayane & Wolfram

Je ne pu m'empêcher de rire à la réponse de mon cadet. Qui pourrait vraiment aimer de passer plusieurs jours dans un tel endroit ? Franchement, c'est vraiment l'horreur. J'étais donc sur ce point plutôt d'accord avec mon petit frère. Je repris un minimum mon sérieux gardant, tout de même, un petit sourire amusé de dessiné sur les lèvres avant de lui répondre :

Je suis bien d'accord avec toi. Je crois même que j'aurais fait la même chose si je n'avais pas été dans cette situation et si j'avais moins mal aussi.

Mon frère me parla un peu de lui et de ses conquêtes féminines. La conversation passa naturellement des femmes à mes doutes quant à ma sexualité. Wolfram sourit, il semblait amusé par quelque chose. Mes paroles peut-être ? Il prit la parole approuvant mes dires sur l'effet du charme asiatique sur la gente féminine. Il comptait aussi sur moi pour les numéros des infirmières. Je me retins alors de rire pour ne pas lui couper la parole. En effet, mon petit frère avait quelque chose à ajouter. Il me demandait de lui envoyer une photo de la tête de notre père le jour où je lui avouerais que je suis gay, enfin si je le suis vraiment. J'eu un petit rire et répondis sur un ton amusé :

Ah... Mais aucun problème. Je filmerais peut-être même la scène pour que tu vois tout.

Mon frère semblait tellement enthousiaste qu'il m'en donna une bonne tape sur l'épaule. Ce n'était pas un geste mauvais, mais plus... Comment dire ? Enfin c'était positif quoi. Mais mon cadet n'avait pas su contrôler sa force ou bien, il avait oublié ma condition physique. Je lâchais un gémissement de douleur accompagné d'une grimace. Wolfram s'en rendit compte vu son air gêné, mais le fait qu'il se gratte la nuque était aussi un signe. Il s'excusa alors d'y être allé si fort avant d'ajouter que je ne devais pas l'oublier pour notre père. Je lui accordais un petit sourire qui se voulait rassurant avant de lui répondre :

Ce n'est rien. Ça peut arriver à tout le monde. Heureusement pour moi, t'es loin d'avoir la force de Superman.

Il eu un petit rire que je pense était autant d'amusement que de nervosité. On parla, par la suite, de l'endroit où j'allais vivre quand je serais sortie de l'hôpital. Je lui fis alors savoir ce qu'il en était avant de lui expliquer que je ne me tracassais pas vraiment de ça pour le moment. Puis, je lui demandais si on pouvait aller s'asseoir. Wolfram voulu alors savoir ce qui me tracasser avant d'accepter qu'on aille se poser. On alla rapidement vers un banc et je m'y asseyais avant de relever la tête vers mon frère et de lui répondre :

Ma mémoire. J'aimerais me souvenir de tout. Mais en même temps, j'ai peur de découvrir que j'étais quelqu'un d'horrible. C'est confus dans ma tête. Car, je me dis que si j'étais vraiment une mauvaise personne et bien... Je ne veux pas redevenir cette personne. Je m'embrouille un peu là. Enfin voilà... C'est ce qui me tracasse le plus.

Un silence s'installa entre nous avant que Wolfram me demande de ne rien dire au père à propos de lui. Je hochais lentement la tête.

Pas de problème. Je suppose que je comprendrais bien à un moment. Mais je ne dirais rien.

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Ce message a été posté Ven 27 Mar - 11:51
Tenue -   Filmer la scène ? Ce serait marrant mais, bon avant de pouvoir bénéficier d’un tel film, il allait sûrement devoir attendre. D’un côté que le fils chéri et prodige puisse être dans une situation compromettante vis-à-vis de leur vieux, l’enthousiasmer sous un certain angle. Il y en avait marre que cela soit toujours lui qui soit battu car, il est pas fichu d’écouter des recommandations de son paternel afin de toujours battre son propre record ou alors, qu’il en a fait qu’à sa tête avec ses scandales. Le comparé à l’homme qui se tenait devant lui, le saoulait grave à l’époque… Blessé ou non, cela ne pardonne pas certains faits passés. Comme les paroles de Rayane à son égard ou son comportement. Cela ne changerait pas, ils n’ont jamais eu de leur côté un lien fraternel comme quoi les liens du sang et tout ce baratin sont des conneries. Toutefois, il essaie de suivre la continuité de l’ambiance mise en place par le plus âgé. Ce n’est pas simple mais, avec un peu de volonté tout le monde peut le faire. Du moins, c’est ce qu’il pense. Le jeune allemand s’excuse malgré tout auprès de ce dernier concernant sa frappe ce qui le fit arrêter de rire un peu… Il n’était pas un tortionnaire et, frapper son frère même si l’envie le démangeait auparavant… Il n’était pas un faible pour s’attaquer à lui dans cet état de faiblesse. Il ne pourrait jamais plus se regarder dans un miroir.  Enfin, il verrait bien ce que l’avenir lui réservera.
 
«Ouais encore heureux pour toi ! Et puis, sérieux je me vois mal avec des collants ! »
 
Sérieusement, c’était une honte… Ils avaient quoi dans la tête les scénaristes quand ils ont créés ces Marvels hein ? Wolfram les trouvait ridicules, c’était vraiment la morale américaine qui ressortait d’où le fait qu’il ne les a jamais aimé. Les bds étaient plus gores que les films et les animes qu’ils leur sortent sur grands et petits écrans. Il ne faut pas nuire aux âmes sensibles et offrir une plus belle morale comme quoi les héros ne meurent jamais. D’un côté, il était fier que dans sa jeunesse, il n’avait pas à croire ça.  Il se mit à pouffer de rire où des sentiments contradictoires s’affrontaient mais, il préféra ne rien laisser paraitre plutôt curieux par la phrase de son « hyung ». Il l’accompagna jusqu’à s’assoir même si lui, de son côté resta debout. Quand son aîné l’informa de ce qui le travaillait, il en resta perplexe et silencieux.
 
 «Je vois… Pourtant… Si tu continues à être lâche ainsi et ne pas te souvenir… Je ne te pardonnerais pas non plus… Et tu ne vaudrais pas mieux que ton ancien toi à mes yeux ! »
 
C’était crûment dit et cela mettait un peu du plomb dans l’aile mais, Wolfram préférait être honnête. Le fait qu’il ait oublié son jumeau… L’agace… Comment peut-il oublier son propre frère… Certes, il n’a plus de souvenirs de ses parents mais, en tant que grand frère son rôle n’était pas de veiller et toujours chérir au moins leur frère commun ? Il le regarda avec insistance avant de soupirer et pour mieux se reconcentrer sur ces dernières paroles :
 
«Merci pour ton silence. Cela viendra sans doute assez tôt ! M’enfin il ne peut plus rien faire me concernant…. Mais, parlons d’autres choses avant que je parte. »
 
Et voilà, qu’il essayait d’être à nouveau aimable et lui offrit un petit sourire. Qu’est-ce qu’il pouvait dire d’autre ? En tout cas, il n’y eut plus de conversations à ce sujet même si, Wolfram ne parla que peu. Ce qui plaisait à Wolfram. Leurs sujets n’étaient pas variés mais, au moins avait le don de ne pas se comporter comme un « rustre » devant l’américano japonais.

hs : Tu peux clôturer si tu veux ou alors, laissez comme ça en tant que fin ^^

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Ce message a été posté Jeu 9 Avr - 15:03



Sorry, I can't remember you !

Rayane & Wolfram

Un sourire amusé apparut sur mes lèvres sans que je ne puisse le retenir. Imaginer mon frère habiller comme Superman était juste trop tordant. Ça ne lui irait absolument pas. En fait, le collants moulants ne vont pas à tout monde. Je crois même que ça va à vraiment très peu de personnes. D'ailleurs, mon cadet pensait la même chose vu qu'il me fit part du fait qu'il ne se voyait absolument pas en collant. Je me mordis la lèvre inférieure pour ne pas éclater de rire. Je pris alors une profonde inspiration pour garder un minimum de sérieux avant de lui dire :

Ouais, c'est sûr. Rien que d'y penser, je suis partager entre l'envie de rire et le dégoût.

Enfin bref... On s'approcha ensuite d'un banc où je m'asseyais contrairement à mon cadet qui lui resta debout. Je lui fis alors part de mes doutes, de ce qui me travaillait énormément depuis mon réveil après l'accident. Wolfram ne dit rien pendant un moment avant de prendre la parole. Je l'écoutais alors me dire que c'était agir comme un lâche, qu'il ne pardonnerais pas si je ne me souvenais pas et que je ne vaudrais alors pas mieux que l'ancien moi à ses yeux.

Tsss... Je n'ai jamais dit que je ne voulais pas me souvenir, mais que j'avais peur de découvrir ce qu'étais l'ancien moi... Nuance... Je pensais avoir été clair pourtant... Je veux me souvenir, mais sans redevenir le moi qui semblait avoir un caractère de merde. Je ne suis pas lâche au point que tu pense. Mais bon... Laisse ! Je ne suis pas très clair en ce moment.

Par la suite, il me demanda de ne rien dire à notre père à son sujet. Ce que j’acceptai volontiers de faire. Mon petit frère me remercia alors pour mon silence avant de me dire que je comprendrais bien assez tôt pour il me demandait ça. Il ajouta que notre père ne pouvait plus rien faire le concernant avant de vouloir changer de sujet. Je hochais la tête positivement tout en lui répondant :

Okay ! Alors parlons d'autre chose !

Nous changions alors de sujet parlant de tout autre chose même si mon cadet était peu bavard. On discuta pendant un moment avant que Wolfram doive partir. Je retournais alors dans ma chambre seule avant de me recoucher dans mon lit. J'attrapais le livre qui était posé sur ma table de chevet et continuais ma lecture là où je m'étais arrêté.

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