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 Pas lui il est trop petit ! Ça grandit ces bêtes là… !

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Ruangwiwat Yaowarak
Ruangwiwat Yaowarak
I am the strawberry fonda
Pseudo : Miki messages : 8095 Yen (¥) : 1410 Avatar : Phiravich Attachitsataporn DCs : Pas lui il est trop petit ! Ça grandit ces bêtes là… !  Tumblr_pib1qw69Q31qlwaf3o9_r1_400
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ϟ Kellian feat Xiao ϟ Kyann feat Taehyung ϟ mika feat ren ϟ London feat Zelo ϟ Ryoma feat Taemin ϟ Dakota feat Mark ϟ haru feat ravi ϟ Phoenix feat Joshua ϟ wataru feat lee know ϟ eizan feat wow ϟ Zero feat Jimin ϟ Candy feat Momo ϟ Sasuke feat Bobby ϟ Hinata feat Suwoong ϟ Inaho feat Junior ϟ Dewei feat Baekhyun ϟ miyabi feat new.

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Pas lui il est trop petit ! Ça grandit ces bêtes là… !  Tumblr_pgxrwyP9IM1rq0e20o8_400 Age : 22 ans Date de naissance : 05/03/1996 Astrologie : poissons Métier : chef, c'est un leader gastronomique de la cuisine italienne au Japon. Résidant à : Il possède une grande maison a 10 minutes de Tokyo. Notes : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Nunc at sagittis erat. Nullam tempor metus aliquet augue volutpat, eget tempus lorem commodo. Curabitur sit amet hendrerit est, vel facilisis libero. Proin non quam id justo vestibulum

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On a tous une histoire à raconter, qu'elle soit courte ou bien longue, la vie est remplis de surprises et de souvenirs, la plupart sont partagés avec nos amis avec qui on aime se remémorer le passé.

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Ce message a été posté Mer 24 Juin - 4:35

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Sejin
TENUE ■ Cela faisait plusieurs heures qu'on était arrivé sur le camp et rapidement je me suis surpris à quitter doucement le regroupement. Je ne pensais pas participer à cette sortie, il y a quand même un moment que je n’ai plus mis les pieds la Royal Private Schools, mais lors de cet évènement ils ont choisi de rappeler les anciens leur laissant l’opportunité de rejoindre la troupe, plus encore l’agence avait eu vent de cette pub et avait décidé d’envoyer certaines de ses idoles pour promouvoir en quelque sorte ce voyage organisé, l’école privée que j’ai fréquentée est au summum niveau popularité et tout le monde veut continuer à traiter avec eux si on en croit les nombreux et récents retournements. J’étais neutre, à la fois curieux de gouter à la vie sauvage accompagné par mon manager et petit ami fidèle au poste et de l’autre je pense que le monde civilisé  va rapidement me manquer, mon confort, mes animaux, c’était passager et le fait d’en profiter aller me permettre de ne pas ressentir le manque, mais je ne suis pas le plus rassuré perdu en forêt.

Beaucoup étaient encore entrain de monter leur tente alors que je m’enfoncer sans la remarquer dangereusement entre les arbres suivant le mouvement que j’avais repéré à distance, je suis un adulte, mais j’agis parfois imprudemment et sans réellement prendre le temps de réfléchir avant d’agir, puis j’ai promis à mon fils de profiter à fond, je n’allais pas rester clouer au camp les bras croisés ! Écartant les buissons, je vois une petite queue remuer et de grands yeux me regarder. « Oh... » Me retenant de m’exclamer trop fort, c’était un lapin, un bon gros lapin, je n’aime pas vraiment chasser les animaux, mais je sais aussi qu’a chaque instant on devra se battre pour notre survit. Tentant de m’approcher sans bruit, discrètement, je le vois remuer ses moustaches, prêt à bondir et l’écraser, il se met à courir et une grosse bestiole tombe de l'arbre se retrouvant devant mon nez, surpris je me mets à crier en tombant les fesses par terre. « M'a cagu... » Sentant quelque chose sur mon épaule, je crie encore plus fort en me retournant subitement. « Wouaah ! » Je sais je suis l'homme le plus courageux au monde! Voyant le brun face à moi je pousse un soupir de soulagement digne de ce nom en le pointant du doigt. « Yu Jin, tu m’as fait peur bordel ! » Ma main sur la poitrine, il bat à cent à l’heure, en fait cette forêt est remplie de surprises, mais sans faire gaffe on s’en fait aussi des frayeurs...
electric bird.

Anonymous
Invité
Invité
Ce message a été posté Ven 26 Juin - 3:49

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Sejin
TENUE ■ Ah la nature… J'ai beau adoré Tokyo et la vie que j'y mène, la campagne de mon enfance me manque toujours un peu. Ses collines verdoyantes, ses champs aux herbes folles qui m'arrivaient aux genoux, ses rivières chantantes que le soleil inondait de ses rayons, les faisant irradier comme des milliers de diamants. Ces vacances "survie" ont pour moi une saveur spéciale, comme un goût de déjà vu. J'ai presque l'impression de revenir des années en arrières, sauf que cette fois je suis adulte et en pleine possession de mes moyens. D'un côté je remercie mes parents pour l'enfance qu'ils m'ont offerte, ces longues années passées à travailler aux champs et à jouer les petits sauvageons vont finalement m'être utile.

Assit devant la tente que nous avons montée peu après être arrivé au campement, je profite un peu de l'air pur de la montagne. Absolument rien à voir avec l'air de la ville, même si elle me manque déjà un peu. Enfin, certaines choses me manquent plus que d'autre. Notre appartement, ma batterie, les chats de Sehen qui viennent sans cesse s'enrouler entre nos jambes et quémander des câlins, Ihn Ja et son beau sourire… Qu'est-ce que j'aurais aimé pouvoir l'emmener avec nous. Malheureusement ce genre de vacances n'est pas vraiment fait pour un petit garçon, même s'il est aussi intelligent que lui. Il faudrait que je nous prépare une semaine ou deux de vacances juste à trois, dans un endroit reculé où personne ne viendrait ennuyer Sehen et où son fils serait en sécurité. Peut être sur une île, le genre de décor digne d'une carte postale: une mer azur et une plage en sable blanc, bordé de hauts palmiers. Je suis certain que des vacances à la mer plairaient à Ihn Ja.

En parlant de "petits", il serait bien que je fasse un tour du côté des Colorful, voir si tout le monde est bien installé et si tout va bien. Après tout, c'est mon rôle de manager de m'assurer qu'il ne leur arrive rien… Même si je ne peux pas faire grand choses pour eux ici. Si le point de partir vérifier que tout va bien, mes yeux se posent sur Sehen. À première vue, il a l'air aussi à l'aise à la campagne qu'en ville. Il furète ici et là comme un enfant curieux. Il est tellement mignon que je ne peux pas m'empêcher de sourire. « Sehen, ne t'éloigne pas trop. » Arf, stupide instinct de protection. Comme s'il avait besoin que je joue les papas poules avec lui. C'est un adulte responsable, qui sait ce qu'il doit faire. Je le regarde s'éloigner légèrement avant d'aller faire le tour des tentes. Miyuki et Shun sont bien installés, même si la Diva a emporté la moitié de son dressing, ce qui prends pas mal de place. De son côté, Ryoma est égale à lui-même: un rien arrogant derrière sa bouille d'ange, bien qu'il semble plutôt content d'être là. Et Shoji va relativement bien pour sa part. Il s'est installé tranquillement avec un lycéen, bien que le plantage de temps ne soit pas vraiment son fort.

C'est le sourire aux lèvres que je reviens finalement à notre tente, pensant y retrouver Sehen, mais il n'y a aucune trace de lui. Que ce soit dans la tente où sur le campement. Après quelques minutes qui me semblent durées une éternité, je me décide à aller voir ce qui peut bien le retenir. À tous les coups il s'est arrêté pour regarder ou truc ou l'autre. C'est vrai qu'à Tokyo il n'y a pas beaucoup de verdure. Pénétrant sous le couvert des arbres, je marche sur une dizaine de mètres, mais il ne me faut pas longtemps avant d'entendre un cri. Un cri que je reconnaîtrais entre mille: Sehen. Aussi vite que possible je me dirige vers l'endroit d'où est venu la voix de mon petit ami et ce que je vois me laisse sans voix. Sehen est littéralement assit au sol, sans doute a-t-il glissé, alors qu'une sorte de grosse bestioles file sans demander son reste sous un buisson. Et à peine ai-je posé ma main sur son épaule, m'apprêtant à lui demander si tout allait bien, qu'il se retourne en hurlant... me faisant sursauter et presque aussitôt je lève les mains. « Hé hé, ça va, c'est moi… Je t'avais dit de ne pas trop t'éloigner. » Sur le coup le ridicule de la situation me donne presque envie de rire, mais à voir sa main posée sur son cœur, j'imagine la belle frayeur qu'il a pu avoir. « Hum, désolé… Je ne voulais pas te faire peur. » C'est avec un sourire désolé que je lui tend la main pour l'aider à se relever. « Ça va ? Tout va bien ? Tu ne t'es pas blessé ? » Une cheville foulée c'était vite arrivé en forêt. « Il y a à peine quelques heures qu'on est là et tu jouais déjà les Robinson Crusoé ? »

electric bird.

Ruangwiwat Yaowarak
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Ce message a été posté Sam 27 Juin - 13:47

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Sejin
TENUE ■ Je suis peut-être un adulte , faisant surement partie des plus « âgé » de se camps, mais au fond je ne suis pas bien différent de tous ses étudiants, depuis des années mon emploi du temps est décidé à l’avance, les enregistrements, les projets, les séances de dédicaces, les tournages en tous genres, les interviews. Mon monde est comme un train avançant a cent à l’heure et parfois j’ai bien besoin de mettre les freins. Cette sortie me faisait prendre conscience de mon manque de vacances, depuis que j’ai quitté la Corée il a quelques années, je me suis jeté dans ma carrière, j’adore ça et je ne regrette pas ! Mais un peu de repos et découvrir des endroits, visiter et me reposer, je pense que je demanderai à Yu Jin qu’on s’organise ça au moins une fois ou deux fois par an quand j’aurais rempli mes obligations en tant qu’idole. Dans tous les cas je me suis éloigné du campement pour promener sans avoir l’intention de trop m’égarer, mais un lapin m’a entrainé à m’enfoncer plusieurs mettre plus loin entre les arbres, là où le bruit des participants et la vue des tentes me semblaient inexistants.

Puis cette bestiole qui apparaît, je sais que les endroits comme ça cache bien leur jeu, mais on ne se méfie pourtant jamais assez, c’est ce qui me surpris et me fit basculer les fesses sur le sol, légèrement effrayé, mon cœur n’eut pas le temps de se remettre que mon petit ami venue me rejoindre en rajoute une couche. Ma poitrine se soulève devant ses deux frayeurs, même si je suis rassuré de le voir à mes côtés, je pensais être plus courageux que ça, mais les « apparitions » soudaines semblent pas vraiment faites pour moi.

« Désolé~ j’ai vu un lapin ! » Genre la chose trop incroyable, mais ça aurait pu faire un bon repas mine de rien ! Bien que je ne sois pas vraiment pour tuer les bêtes qui vivent dans la forêt on devait bien manger... Attrapant la main qu’il me tend avec un sourire rassuré, j’en profite pour le tenir encore un peu, la situation pouvant expliquer le geste, hochant la tête a ses questions pour répondre. « Je vais bien t’inquiète pas. Plus de peur que de mal.» Un clin d’œil et je finis par tapoter mes fesses et mes vêtements un peu sales et froisser pour le coup, mais tant pis.

« Ne me dis pas que tu n’es pas excité je ne te croirais pas, j’ai envie d’aller visiter un peu les alentours, tu viens avec moi ? On trouvera peut-être des endroits intéressants ! » Qui sait, puis une forêt c’est vaste, malgré les gens présents on peut bien garder une certaine intimité tout en étant prudent face au danger.

electric bird.

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Invité
Invité
Ce message a été posté Mar 7 Juil - 21:24

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Sejin
TENUE ■ Il a suivi… un lapin. Je lève aussitôt les yeux au ciel, bien qu'il ne soit pas visible avec le feuillage des arbres, un sourire aux lèvres. Sehen m'étonnerait toujours. Il était parfois tellement mature et responsable, alors qu'à d'autre moment il pouvait  se montrer totalement innocent. J'aimais la dualité qui existait dans personnalité et cette façon qu'il avait de prendre avec optimisme tout ce que la vie lui proposait. Même si ça faisait parfois de lui quelqu'un de peu méfiant. D'un autre côté, ça comblait mes instincts protecteurs, alors je n'allais certainement pas m'en plaindre… « C'est une bonne chose à savoir… S'il y a des lapins on ne risque pas de mourir de faim. » Quoique nourrir 42 personnes rien qu'avec des lapins ça allait être difficile, mais on trouverait une solution. Il n'y avait sans doute pas que des lapins dans ces forêts et la rivière qui leur fournirait l'eau, leur procurerait aussi du poisson. Manque de chance pour ceux qui n'aimaient pas ça.

L'aidant à se relever, je savoure pleinement le contact de sa peau contre la mienne, sa chaleur agréable qui me donnait aussitôt envie de le serrer contre moi. Mais avec le camp qui n'était qu'à quelques dizaines de mètre, il valait mieux se montrer prudent. N'importe qui aurait pu arriver et nous voir. Là se serait tout de suite beaucoup plus difficile à expliquer que nos simples mains jointes. Ça, ça pouvait encore passer, vu que je venais de l'aider à se redresser. On ne faisait rien de mal.

Luttant contre la terrible envie de le sentir contre moi, je prolonge néanmoins plus que nécessaire le contact de nos paumes. Et ce n'est qu'une fois rassuré sur sa santé que je consens finalement à laisser échapper ses doigts. « Heureusement parce que t'aurais pu te faire vraiment mal. Et alors fini les petites escapades en forêt. » Bon je lui rends peut-être sa main mais c'est avec envie que je la regarde, ainsi que sa jumelle, venir frotter son postérieur. Ce geste a beau n'avoir que pour seule utilité que de retirer les crasses qui se sont accumulées sur son pantalon, j'y vois une certaine indécence, qui ne doit sans doute exister qu'à mes yeux.

« Parce que tu penses que c'est envisageable de te laisser crapahuter seul, en pleine nature ? Et si tu te faisais attaquer par le lapin qui t'as filé sous le nez ? » Je pose sur lui un regard taquin, avant de tendre la main pour la passer dans ses cheveux. « Puis, j'ai promis à Ihn Ja que je veillerais bien sur son appa. » Et il fallait toujours tenir ses promesses, alors s'était juste hors de question que je le perde des yeux une seconde. Puis je dois avouer que moi aussi j'avais bien envie de découvrir les environs. En plus, ça nous permettrait d'être juste tous les deux, loin des quarante autres personnes que nous avions accompagnées pour ce séjour nature. « Aller, allons donc voir s'il y a des choses intéressantes. »

J'attrape doucement sa main et l’entraîne totalement à l'opposé du campement où il n'y a pour le moment que des arbres à perte de vue, mais petit à petit – au fur et à mesure que nous avançons – le joyeux brouhaha du camp laisse place au silence, juste coupé de temps à autre par le sifflement d'un oiseau. Et hormis ceux-ci nous ne croisons aucun animal, mais à chaque pas je retrouve les sensations de mon enfance. Au fond, même si je me la joue parfait citadin, je reste un gars de la campagne. Et ce calme reposant me manque un peu parfois, même si je suis heureux de la vie que je mène. Du bout du pouce, je trace des petits cercles sur le dos de la main de Sehen, plus attentif à la douceur de sa main dans la mienne qu'à ce qu'il se passe autour de nous, profitant juste de la balade. Il faut dire qu'on n'a pas vraiment eu l'occasion d'en profiter tous les deux pour faire des choses de couples, vu qu'on passe notre temps à bosser et que nos statuts ne nous permettent pas vraiment ce genre de démonstration en public. Malgré tout, je ne regrette pas un instant. Si Sehen est heureux c'est tout ce qui m'importe.

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Ce message a été posté Dim 19 Juil - 23:03

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Sejin
TENUE ■ Je n’y peux rien si dépendamment de la situation je ne retrouve une certaine âme d’enfant. Il faut dire que j’ai toujours été ainsi, puis j’ai rapidement mis les pieds dans un monde d’adultes avec mon métier, oubliant parfois de vivre tout simplement. C’est grâce à Yu Jin que j’ai pu passer des moments qui m’ont laissé des souvenirs que je ne pourrais jamais oublier, il a été mon rayon de soleil autant quand nous étions au lycée qu’aujourd’hui, à mes yeux il brille toujours, encore plus intensément chaque jour. Courir après un lapin ce n’est pas si choquant, si ? Peut-être un peu je suppose... Mais il m’a surpris aussi !

« C’est certain, mais faudrait déjà les attraper, ça court vite ces bêtes-là ! » Je ris simplement en me relevant aidé par mon petit ami, gardant et profitant de sa grande main chaude tenant la mienne, un contact chaleureux et malgré tout amoureux, autant que le regard que je pose sur lui, seul et à l’abri je me permets un instant, quelques secondes seulement pour ne pas dissimuler l’amour que je ressens pour lui, mes sentiments fort et présent en toutes circonstances que je dois pourtant taire à cause de ma popularité, mon métier, pour protéger mon rêve et continuer à avancer sans rien regretter.

« Je suis plus solide qu’il n’y paraît tu sais » Je lui tire la langue, alors que j’enlève la poussière de sable sur mes fesses, croisant le regard de Yu Jin qui semble m’observer, je souris fièrement avant de lui chuchoter. « Te gêne pas~ » Je le taquine bien sûr, il peut regarder mes fesses autant qu’il veut et il le sait très bien. Je ris plus franchement a sa réponse avant de lever les bras au ciel ou du moins aux arbres en regardant les rayons du soleil qui filtre quelques feuilles, ça fait du bien, cette liberté, cette sensation de pouvoir faire ce qu’on veut sans être photographié, un peu de «vacances » bien mérité. Sentant la main du brun dans mes cheveux, je m’arrête de bouger pour le regarder. « Alors veille bien sur moi~ » Rapprochant ma bouche de son oreille pour rajouter. « chéri. » Je lui fais un clin d’œil, reprenant la marche plutôt enjouée, sa main attrape la mienne et on s’éloigne dans la direction opposée du campement, là où peut-être nous serons libres d’agir en « amant » ne serait-ce qu'entrelacer nos doigts, s’embrasser parfois, c’est suffisant, profiter un peu en amoureux en oubliant tous ceux qui sont venu ici et loin des regards curieux. Regardant nos mains liées avec un sourire non dissimulé, je resserre l’étreinte doucement ne voulant pas le lâcher, simplement marché ainsi c’est rare... On ne peut pas le faire quand on se promène dans la rue, ce sont des petites attentions de couple dont je veux profiter et surtout redécouvrir comme quand nous étions plus jeunes et que nous n’avions aucune limite.

« Tu vivais à la campagne avant, tu dois te sentir un peu dans ton élément non ? » Je suis curieux aussi à savoir si ça vie d’avant lui manque, d’ailleurs on ne parle pas vraiment de nos moments passés, mais j’aime ressasser les bons souvenirs et m’en créer encore de meilleurs.


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Anonymous
Invité
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Ce message a été posté Sam 25 Juil - 23:48

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Sejin
TENUE ■ « En posant des collets ici et là, on devrait pouvoir en attraper quelques-uns… Mais pas suffisamment pour tout le monde. Après, en compensant avec du poisson, c'est peut-être faisable. » Instinctivement, je tends la main pour l'aider à se relever. Oui, parce qu'entre nous tout est instinctif. Aucune réaction, aucun geste tendre n'est jamais forcé. Au contraire, tout est toujours spontané et chaleureux. Seuls nos sentiments sont cachés aux yeux indiscrets, attendant patiemment le moment où nous sommes seuls pour se dévoiler. L'espace d'un instant, je croise les yeux de Sehen, brûlant de tout cet amour qui nous lie depuis tant de temps et qu'il nous faut dissimuler à longueur de journée. Ici, sous le feuillage verdoyant des arbres, à plusieurs dizaines de mètres du camp – plusieurs centaines peut-être – la mascarade n'a pas lieu d'être. À quoi bon le cacher alors que nous sommes seuls ? Mais l'instant est court, bien trop court à mon goût. Si court que je pourrais presque penser l'avoir imaginé. Comme l'amour s'étant voilé, mes doigts relâchent les siens à regret.

Plus solide qu'il n'en donne l'air ? Je le sais, mais ça ne m'empêche pas de me faire du souci dès qu'il s'éloigne un peu trop. Comme une mère poule, j'aime garder un œil sur lui. Un sourire en coin prend place sur mes lèvres devant son air gamin, mais il disparaît presque aussitôt alors que je suis des yeux le mouvement de ses mains sur ses fesses, débarrassant son pantalon des crasses qui s'y sont accumulés suite à sa chute. Je voudrais que mes mains prennent la place des siennes, qu'elles puissent rendre justice à ces deux orbes de chaires de je prends plaisir à choyer dans l'intime profondeur de notre chambre. Je suis tellement hypnotisé par le ballet de ses doigts, que c'est sa voix qui me sort de ma "transe". « Crois moi, je me gêne… » Je lève aussitôt les yeux comme un gamin pris en faute, sauf que je ne me sens absolument pas fautif et qu'il n'y a aucune trace d'excuse dans mes iris. Bien au contraire, elles brûlent d'une envie de j'ai un peu de mal à cacher. « Si c'était pas le cas, y a longtemps que ton pantalon aurait rendu l'âme. » Malheureusement, on n'était pas suffisamment loin du campement que pour pouvoir se permettre le moindre geste, sans que ça ne paraisse déplacé aux yeux extérieurs. Ce n'était que partie remise.

Les bras tendus vers la cime des arbres, Sehen m'arrache un sourire. Un vrai sourire, pas de ses sourires factices qu'on sert parfois aux gens juste pour montrer que tout va bien. Non, un vrai de vrai qui montent jusqu'aux yeux. J'aime l'entendre rire. Ce son pur et léger a l'art de me réchauffer le cœur, tout comme de faire voler une myriade de papillons au creux de mon estomac. Pour le coup, j'ai juste envie de l'embrasser, de lui dire combien je l'aime. Mais je me contente juste de passer la main dans ses cheveux. J'aime le contact de ses mèches entre mes doigts. Ils sont souples et doux, c'est agréable. Une nouvelle fois, mon regard croise le sien et dans mon estomac, les papillons virevoltent comme si on venait d'annoncer que ce serait éternellement le printemps. « Compte sur moi… » Son souffle sur ma peau, ce simple mot susurrer à mon oreille d'un ton à la fois mielleux et joueur comme une provocation emprunte de milles-et-unes promesses, me laissent pratiquement sans voix alors qu'il file après un rapide clin d'œil. Comment peut-il provoquer tant de sensations en moi d'un seul mot ? Si j'étais un homme pieu, il me détournerait sans le moindre souci du droit chemin et je ferais de lui le dieu de mon univers. Ce qu'il était déjà en réalité, tout comme il est le gardien de mon cœur, où il règne en maître.

Me reprenant tant bien que mal, j'attrape sa main tant pour qu'il ne s'éloigne pas plus de moi, que par simple besoin de contact. Nous nous laissons guider au hasard de nos pas, au gré de nos envies, loin du brouhaha du campement, vers un lieu où nous serons juste nous et non plus une idole et son manager. Même si le lieu n'a rien de semblable, ça me rappel Séoul et tous nos moments passés ensemble sans avoir besoin de nous cacher. Des moments heureux. Sans aucun doute les plus heureux, même si mon enfant n'a pas été moche non plus. « Oui, j'ai un peu l'impression d'être revenu quinze ans dans le passé, avant Séoul, avant nous,… Même si l'époque ne me manque pas tant, en fait. » Bien que l'étreinte de nos mains se soit faite plus franche, j'ai besoin de plus et enlace nos doigts, estimant que nous sommes suffisamment loin pour ne pas être surpris  par l'un ou l'autre campeur. Du moins auront-nous le temps de séparer nos mains jointes si ça arrivait. « C'est surtout la verdure et cette sensation de liberté, de calme. En ville, tout le monde est si pressés. » Mes iris se posent sur Sehen et du pouce, je caresse le dos de sa main dans la mienne. « Mais je ne regrette pas un instant de vivre à Tokyo. » D'un côté, regretter d'y vivre serait un peu comme regretter de partager sa vie.

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Ruangwiwat Yaowarak
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Pas lui il est trop petit ! Ça grandit ces bêtes là… !  Tumblr_pgxrwyP9IM1rq0e20o8_400 Age : 22 ans Date de naissance : 05/03/1996 Astrologie : poissons Métier : chef, c'est un leader gastronomique de la cuisine italienne au Japon. Résidant à : Il possède une grande maison a 10 minutes de Tokyo. Notes : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Nunc at sagittis erat. Nullam tempor metus aliquet augue volutpat, eget tempus lorem commodo. Curabitur sit amet hendrerit est, vel facilisis libero. Proin non quam id justo vestibulum

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On a tous une histoire à raconter, qu'elle soit courte ou bien longue, la vie est remplis de surprises et de souvenirs, la plupart sont partagés avec nos amis avec qui on aime se remémorer le passé.

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Ce message a été posté Jeu 30 Juil - 19:25

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Sejin
TENUE ■ « Je n’avais jamais pensé que je pourrais chasser des lapins, les pauvres~ » sérieux ce n'est pas vraiment mon genre de courir après les bestioles pour les mangers, je me contenterai du poisson volontiers, même si j’aime la viande et qu’on risque d’en dévorer des plats entiers en rentrant à la maison. Partir loin de l’agence, de mes obligations d’idole ça fait du bien de temps en temps, mais je dois avouer que j’aurais préféré être encore plus loin et encore plus seuls. Profiter de l’anonymat pour simplement vivre une vie normale le temps de quelques jours avec Yu Jin et agir comme un couple tout simplement... On le sait tous les deux, au fond nous avons des envies de se tenir la main, de nous embrasser, de simplement avoir une chose pour nous relier, nos cœurs le sont sans cesse, mais nos corps doivent surmonter l’envie de se rapprocher sous peine de risquer un scandale, je ne veux pas que nos vies soient bousculées, surtout pas alors que derrière les caméras, dans notre appartement nous pouvons vivre d’amour et d’eau fraiche comme on dit et fermer les yeux sur le monde, aucun regard n’est posé sur nous, mais l’extérieur nous rattrape malheureusement. Ici dans cette forêt, j’ose espérer avoir un peu de temps pour laisser mes envies se matérialiser, ne seraient-ce que pouvoir lui tenir la main, si j’ai souffert de notre séparation, mon cœur est resté assez fort pour l’aimer encore plus, ne pouvant limiter les battements de cet organe quand il est à mes côtés.

M’éloignant légèrement forcé de quitter ses doigts entrelacés, je me secoue et remarque sans peine le regarde de mon petit ami, l’endroit où se posent ses iris me fait sourire, obligé de lui lancer une petite remarque, il faut bien avouer que depuis le temps la gêne entre nous est dépassée, disparut totalement pour nous permettre de donner l’un à l’autre sans compter. Et a sa réponse je luis lance un sourire explicite d’un air légèrement provocateur. « Il ne faut pas voyons, tu te fais du mal ~ » Je suis le premier à savoir qu’on ne peux justement pas se permettre d’envoyer tout valser, mais j’aime tellement voir ses petites choses qui me montrent que je ne suis pas le seul à désespèrent attendre l’instant où on sera abrité des regards curieux. « Oh, le pauvre pantalon, ai pitié de lui. » Ironie quand tu nous tiens, mon rire résonne alors au creux de la forêt, je suis bien, la nature est apaisante. Les doigts de Yu Jin se perdant dans mes cheveux alors que je profite de cet instant pour chuchoter un petit mot à son oreille, si je pouvais seulement crier mon amour ça serait plus simple, pas de tabou ou d’appréhension, mais j’ai choisi cette vie et j’emmène mon amant sur cette route, à deux on sera toujours plus fort pour surmonter les difficultés quotidiennes. Un doux sourire et nous voilà déjà reparti pour nous enfoncer plus profondément dans cette verdure, abrité des arbres on peut déjà remarquer que les bruits du camp deviennent doucement inaudibles, laissant place au silence et au bruit de nos pas sur la terre, nos mains liées, je resserre l’étreinte profitant de cette opportunité et Yu Jin entrelace nos doigts alors qu’il répond à ma question, je me doute que l’ambiance doit lui rappeler des souvenirs... J’ai toujours vécu en ville, Séoul ou Tokyo, la campagne n’a été que vacance pour moi, des jours bien trop courts pour en avoir profité.

« Tu me rassures~ » Je lui tire la langue, vu que c’était avant nous je serais triste qu’il souhaite y retourner. Arrêtant nos pas à ses nouveaux mots je souris en me mettant face à lui. « J’espère bien, si ça venait à t’effleurer l’esprit dis-le-moi je saurai surement comment la faire dégager. » Ma main libre remonte se poser dans son cou pour se glisser jusqu’à sa nuque, rapprochant nos lèvres sans les toucher. « On est assez loin non ? » Dis-je dans un chuchotement avant de les coller rapidement, avide de cet échange qui avait créé un manque. Je l’aime tellement qu’il m’est difficile de ne pas lui montrer, par des gestes ou des regards, quand l’amour est réel il est impossible d’en supprimer tous les effets, inconsciemment je dois toujours le chercher, le regarder tout comme je veux le toucher et l’embrasser, ce sont des envies et des pensées légitimes, car avant d’être mon manager il est l’homme de ma vie et ça aucun contrat ne le changera.

Pendant ce temps le soleil tapant au-dessus de nos têtes semble doucement disparaitre, mais j’étais bien trop occupé pour pouvoir le remarquer.



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Ce message a été posté Mar 4 Aoû - 17:55

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Sejin
TENUE ■ Je souris parce qu'imaginer Sehen dans la peau du chasseur, c'est tellement à l'opposé de la réalité. Il n'y a qu'à le voir avec nos chats. Il aime trop les animaux que pour pouvoir les chasser et les tuer, même si ça signifie avoir faim. Et contrairement à lui qui a tant de scrupule à chasser de pauvres lapins, je suis un tueur. Enfant, j'ai plusieurs fois aidé mon père à tuer un agneau ou à décapiter un poulet. C'était aussi ça le métier de fermier. On ne se contenait pas de faire pousser des légumes ou des céréales, on élevait du bétail. On gardait les femelles pour la reproduction et les mâles finissaient dans nos estomacs, ou dans celui des rares voisins avec qui nous commercions. Mais ce n'était pas étonnant, j'avais grandi à la dure, à la campagne, alors que Sehen avait toujours vécu en ville. Il avait sans doute appris très jeunes que les animaux faisaient de bons compagnons de route. Après, on ne pouvait pas lui demander de faire des choses qui étaient au-dessus de ses forces, ou qui le répugnaient. « On n'est pas obligé de les chasser, ou du moins pas de les manger, tu sais… On peut très bien se contenter de poisson, si tu préfères. Puis c'est plein de bonne chose aussi. » Oui bon, d'accord, j'étais un carnivore pur et dure, mais pour Sehen, j'étais prêt à manger du poisson jusqu'à la fin de ses "vacances". Si ça pouvait lui faire plaisir, c'était tout ce qui m'importait, le reste je m'en fichais un peu. Pour une fois qu'on était loin de nos "obligations" respectives, on n'allait pas se prendre la tête pour si peu. On était ensemble, loin de la ville, perdu dans un coin de montagne, on allait dormir dans une tente, participer à la vie du camp et affronter les changements de temps, ainsi que la présence d'animaux peu sympathiques. C'était là tout ce qui avait de l'importance.

Je suis des yeux chacun de ses mouvements, de son léger éloignement à sa main qui quitte la mienne pour  frotter l'arrière de son pantalon, juste sur ses fesses. C'est inconscient, mais dès qu'il est là, j'ai du mal à détourner mon attention de lui deux minutes, ce qui est parfois ennuyant pour le boulot. C'est pourtant très plaisant à l'instant, bien qu'un peu frustrant. À croire qu'il le fait exprès de me tenter de la sorte, diablotin qu'il est. Et le pire c'est que ça l'amuse. À peine aies-je détourner les yeux de ses mains qui semblent danser sur cette partie de lui que j'aime tellement – et pourtant moins que d'autres – que je croise son sourire mutin et provocateur. Je devrais me sentir coupable, ou au moins tenter de calmer un peu les choses parce que l'endroit n'est pas spécialement propice à ce genre de choses, mais tout ce que je suis capable de faire, c'est de laisser couler sur lui un regard de braise. Il faut dire que question braise, Sehen sait parfaitement comment m'allumer. Un regard, un mot, un geste et je m'enflamme comme jamais. C'est étrange à dire, mais j'ai parfois l'impression que c'est à chaque fois un peu plus intense que la fois précédente. C'est peut-être justement ça l'amour… Se consumer de plus en plus au contact d'une seule et unique personne. Si c'est vraiment ça l'amour, alors je suis d'ores et déjà mourant, parce que Sehen fait naître en moi tant de sentiments et tant d'amour qu'il est juste impossible que j'y survive. Mais le pire dans tout ça, c'est que j'aime mourir d'amour pour lui… pour sa peau qui électrise la mienne à chaque touché, pour ses iris profondes qui sondent sans cesse les miennes, pour ses lèvres pécheresses que je me plais à capturer aussi souvent que possible, pour son cœur qui bat au même rythme que le mien, l'emportant dans une danse suave, érotique et en même temps tellement tendre. Chacune des fibres de mon être l'aime à en crever.

Ça devrait peut-être me faire peur, comme un conducteur qui voit le mur se rapprocher de plus en plus, mais je n'ai pas peur parce qu'étrangement, je sais qu'il m'aime de la même manière. Comment je le sais ? À sa façon de frissonner sous mes caresses, à la manière dont son regard cherche le mien ou encore à ce sourire qui inonde ses iris comme de la lave incandescente s'échappant d'un volcan. Je m'en rends compte maintenant, mais nous agissons comme des aimants, quoi que l'un fasse, l'autre y réagit toujours. Un peu comme s'il y avait une sorte d'attraction que nous sommes les seuls à subir. Il bouge, je bouge… Je bouge, il bouge. Comme les pièces d'un même puzzle ne s'emboîtant qu'ensembles. On a beau les tourner encore et encore, essayer d'y accrocher d'autres pièces, aucune ne s'emboîte aussi parfaitement que celle-là. Nos corps eux-mêmes s'emboîtent à la perfection, lorsque étendus dans notre lit Sehen se colle à moi. Peu importe la position. Son ventre plat épouse agréablement le mien alors que nos jambes s'entremêlent et qu'il niche son visage dans mon coup. Tout comme mon torse trouve sa place dans son dos, alors que mes bras entourent sa taille et que mon visage se glisse contre sa nuque. Dans ces moments, j'aime frotter mon nez à la base de ses cheveux et mordiller la peau tendre  sous mes lèvres. C'est en général une zone érogène plutôt sensible et personnellement je trouve ça sensuel. Mais en même temps, chez Sehen, tout est sensuel… De ses fines lèvres à la chute de ses reins, en passant par l'arrête de sa mâchoire ou la légère excavation qu'il a à la base de ses pectoraux. J'aime ce petit creux juste sous son sternum, ça me donne toujours envie d'y mettre la langue, lorsqu'il retire son haut. En même temps ça lui donne quelques choses d'unique, bien qu'il pourrait y avoir cinquante mille Sehen identiques, il serait toujours unique pour moi. Peut-être parce que notre amour est gravé au fer rouge dans nos chaires. Marque invisible aux yeux de tous, mais qui est pourtant bien visibles pour nous. À tel point que nous pourrions sans peine nous reconnaître les yeux fermés.

Malgré cette marque, je ressens sans cesse le besoin de le marquer comme miens, même si les endroits où je m'y autorise sont si intimes que personne d'autre que nous ne peut les voir. Un instinct de possession qui ne s'est vraiment développé qu'après l'avoir retrouvé. Bien sûr nous étions déjà très liés avant le départ de Sehen pour le Japon, mais je n'avais encore jamais vraiment ressenti ce besoin irrépressible de marquer mon territoire comme un vulgaire animal, tout comme ce besoin de lui prouver de milles et une manières que je l'aime. Ma préférée étant nos corps à corps à la fois fougueux et tendres. Ses mains sur son pantalon éveillent une nouvelle fois ce besoin de l'aimer et de me sentir aimé en retour. Mais nous sommes bien trop près du camp pour prendre le risque d'un contact plus poussé ce celui de nos mains liées un peu plutôt. Comme souvent de ce genre de situation je plaisante, ou pas tellement, menaçant son pauvre pantalon d'une fin de vie plus que précipité. C'est un moyen comme un autre pour faire diminuer légèrement la tension sexuelle que mon corps vient d'accumuler en quelques minutes à le regarder épousseter son derrière. « Tuer ou être tué… C'est la loi de la jungle, alors pas de pitié pour les pantalons. Je pense qu'il savait à quoi s'attendre en s'embarquant dans cette histoire. »

Le rire clair et franc de Sehen me parvient et l'espace d'un instant je me sens fondre comme un chamallow qu'on aurait laissé trop longtemps au-dessus du feu. J'aime son rire. Il est comme la brise dans le désert, une fine pluie fraîche durant un été bien trop chaud, un rayon de soleil dans un ciel nuageux. Il me réchauffe de l'intérieur et me donne aussitôt envie de sourire. Sa bonne humeur est communicative. J'aurais presque envie de rire moi aussi. À la place de quoi, je pense tendrement la main dans ses mèches. C'est agréable de sentir mes doigts s'enfoncer dans ses fins cheveux. Ils s'y crispent une fraction de seconde alors que je retiens mon souffle, les lèvres de Sehen à peine à quelques centimètres de mon oreille. Je peux y sentir son souffle chaud, qui me fait frissonner alors qu'il ne susurre qu'un seul mot. Un mot doux et tendre qu'il ne me réserve généralement qu'à l'abri de notre appartement. L'audace et la pointe de provocation que je sens dans sa voix m'aurait volontiers fait flanché, si sa main ne s'était pas glissée dans la mienne pour reprendre notre ballade à travers la forêt

Doucement, mais surement, nous nous éloignons du campement. Le brouhaha presque familier laisse soudainement place au silence, seulement entrecoupé par le bruit de nos pas sur les feuilles mortes et les brindilles à moitié sèches. Si je ne peux pas encore me comporter en homme des cavernes, j'ai toutefois besoin de plus de contact avec Sehen. J'enlace nos doigts, resserrant ma prise sur sa main. C'est un geste infime comparé à l'immense besoin que j'ai de le toucher, mais je m'en accommode plutôt bien. Et puis, j'aime voir nos doigts se mêler les uns aux autres, ne plus réellement faire de distinction entre les siens et les miens. Non. Ce ne sont plus ses doigts, ni les miens, ce sont nos doigts… Seul véritable signe du lien profond qui nous uni, même si j'ai parfois peur que mon regard nous trahisse. Si c'est relativement facile d'éviter les contacts physiques, c'est parfois plus difficile de cacher ce que l'on ressent. J'ai toujours eu du mal à détacher mon regard de Sehen, déjà lorsque nous n'étions encore que deux adolescents. Il a toujours été si lumineux et moi si sombre. Il m'a attiré comme le feu attire les papillons de nuit. Le soir où j'ai croisé son regard pour la première fois, il m'a envoûté et même si j'ai su que je finirais par m'y brûler les ailes, j'ai foncé tête baissée vers le brasier. Mais les flammes se sont révélées être plus douces que je ne l'avais imaginé. Et à la place de me laisser mourir, il m'a sauvé. Il a repeint mes ailes de mille et une couleurs plus chatoyantes les unes que les autres, m'a appris à voir la vie du bon côté et à tirer parti de tout ce qu'elle avait à m'offrir. Il a mis un terme à mon existence misérable et violente. Il m'a appris à aimer tout simplement. S'il n'était pas passé par là ce soir, je serais sans doute encore au fin fond des bas quartiers de Séoul, à me battre pour quelques malheureux Won. Ou peut-être que je serais juste mort. Depuis ce jour, il est ma lumière. Comme le phare qui guide les bateaux à bon port lors des tempêtes, il guide mon chemin. C'est moi le manager, celui qui est censé être le responsable, et pourtant, c'est tout simplement lui l'ange gardien.

Le souvenir de notre rencontre et cette forêt qui nous entoure me font aussitôt pensé à mon enfance, à la ferme de mes parents, aux joies et aux peines qui y sont accrochées. Non !! Pas un instant je ne regrette d'avoir quitté la campagne pour la ville. Comment le pourrais-je alors que Sehen est la plus belle chose qui me soit arrivée ? Seul un fou pourrait regretter cela.  « Soit rassuré alors, je n'ai pas prévu de retourner vivre à la campagne… Du moins, pas en dehors des vacances et encore moins sans toi. » Je souris devant son air de gamin. C'est agréable de le voir à la fois souriant et taquin. Ça rend le séjour plus léger. Ça lui donne aussi une dimension beaucoup plus chaleureuse. Encore quelques pas et nous nous arrêtons, seulement entourer par la verdure. Plus aucun signe du campement ou des gens qui sont venus avec nous. Pour peu, on se croirait seul au monde, perdu dans un coin reculé… Un petit coin de paradis en somme. « Non. Non. Aucun regret. » Sauf peut-être celui de l'avoir déjà laissé filer loin de moi, une fois de trop. Et peut-être aussi celui de ne pas l'avoir tout contre moi. « Quoique… » Je n'ai pas besoin d'en dire plus parce qu'il semble avoir autant besoin de moi de contact. Je frissonne légèrement au passage de ses doigts sur ma nuque. Ses caresses sur ma peau ont toujours le même effet sur moi et enflamment mes sens. Mes iris sombres font des allers-retours entre son regard et ses lèvres alors que son visage se rapproche. Mais une fois encore, il joue, me demandant si nous sommes assez loin, ses lèvres presque contre les miennes. Je voudrais trouver quelques choses à lui répondre. Un truc spirituel ou un brin provocateur, mais le fait est là: je suis totalement incapable de lui parler. Tout en moi ne désir que sentir ses lèvres contre les miennes. Ce qui ne tarde pas, Sehen semblant tout aussi impatient.

Un grognement incontrôlable m'échappe alors que nos lèvres se scellent précipitamment. Aussi bien lui, que moi, sommes avides de ce contact charnel qui nous a tant manqué. Je mordille sa lèvre la suçote et la lèche avant de partir à la conquête de sa bouche, tâchant d'être partout à la fois. Je prends plaisir à redécouvrir l'alignement parfait de ses dents, la caresse de sa langue contre la mienne, la douceur de son palais. C'est un baiser tendre et amoureux, bien qu'avide. Instinctivement ma main libre vient se caler dans le creux de ses reins, celui-là même que j'aime se voir cambrer dans nos moments intimes, pour l'attirer contre moi. J'ai besoin de contact, de toujours plus de contact, et sentir son torse contre le mien me comble… Du moins pour le moment, parce que Sehen est une drogue extrêmement addictive. A un tel point que j'en oublie tout ce qui nous entoure, des brindilles sous nos pieds, aux arbres et même jusqu'au ciel qui change, se couvrant peut à peu de gros nuage cachant le soleil. Non, je n'ai que faire de la pluie et de l'orage qui se préparent, tout ce qui importe c'est Sehen, nos langues qui dansent ensemble, nos corps qui se pressent l'un contre l'autre. Inconsciemment, ou peut-être pas totalement, je le force à reculer jusqu'à le coincer entre le tronc d'un arbre et moi. À bout de souffle, je finis par m'éloigner à contre cœur de ses lèvres. J'ai horreur de ces moments où je suis physiquement contraint de prendre de la distance, ne serait-ce que pour respirer. Je voudrais que nos baisers durent indéfiniment, même si je sais que ce n'est pas possible. À peine ai-je relâché ses lèvres que je colle mon front au sien, profitant pleinement de notre proximité. « Je t'aime. » Trois mots que je ne dis sans doute pas assez souvent, mais que j'ai bizarrement besoin de lui dire à cet instant. Je veux juste qu'il le sache et qu'il n'en doute jamais, parce qu'il est et qu'il a toujours été le centre de mon univers.

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Ce message a été posté Ven 7 Aoû - 21:39

Pas lui il est trop petit ! Ça grandit ces bêtes là… !
Sejin
TENUE ■ je ne peux pas vraiment dire que je sois prêt à devenir végétarien et arrêter de manger toute nourriture ayant été chassé par l’homme, j’aime la viande et je ne suis pas aussi innocent qu’on pourrait le penser, juste que je suis lâche. Adorateur des animaux, ce sont des bestioles vivantes qui du jour au lendemain peuvent se retrouver dans notre assiette sans vraiment avoir compris de quelle manière elles se sont fait tuer ou attraper, avant de se faire dépecer, déplumer et j’en passe... Du coup je peux en manger, mais je ne peux pas les tuer. Je suis du genre à laisser le mauvais rôle à qui sera plus courageux, Yu Jin serait surement capable de le faire, pas qu’il soit sans cœur, oh non loin de là. Mais parce qu’il a surement vécu ça quand il vivait avec ses parents à la campagne, en ville on ne court pas après les poules pour en faire notre casse-croûte, non bien sûr. Ce serait drôle cependant, se battant tous pour attraper la plus grosse et avoir la meilleure part, personnellement je ne suis pas fan du lapin tout comme les abats sont restreints dans mon estomac, par contre le porc, le poulet, le bœuf, je pourrais en dévorer autant que le poisson ! Il faut dire qu'à Tokyo c’est ce qu’on mange le plus sans hésitation. Aux mots prononcés par mon amant, je lui souris dans une légère grimace amusée tout en lui soufflant. « Si tu chasses, je mange ! Mais c’est un peu cruel quand même non ? On vient sur leur territoire et on leurs cours après pour les tuer, en fait les humains sont des barbares ! » Je ris devant ma constatation loin d’être une grande découverte, mais plus une affirmation, m’englobant dans le lot bien évidemment. Dans tous les cas on devait bien assumer, qu’on pleure sur un cadavre de lapin ou sur un porcelet n’allait pas changer le fait que nous étions des carnivores et que la population mondiale ne deviendrait jamais herbivore, végétarien, insectivore, frugivore ou granivore. Nous sommes des omnivores pur et dur, mangeant tout ce que notre estomac peut ingurgiter.

Enfin pour l’instant on n'est pas vraiment ici pour faire un débat sur la chasse, ses bienfaits ou ses méfaits, non loin de là. Quotidiennement notre amour peut s’épanouir entre les murs de notre appartement, ce paradis où je jette mon identité en oubliant qui je suis, ce que je fais et même la vie à l’extérieur, à cet instant je deviens uniquement son Sehen, je ne suis pas un homme différent des autres, gloire, popularité, talent, argent... Tout cela ne fait pas ce que je suis, ce n’est que le reflet d’un rêve passionné, d’un plaisir partager et d’une vie désirée. Bien que je reste toujours authentique c’est comme si je mettais une tenue en sortant de chez moi, une tenue où je dois oublier certaines choses, prendre mes précautions pour ne rien laisser paraître sur celui que je désire vraiment être. J’aimerais que le monde entier soit témoin de mon amour pour Yu Jin, que je puisse partager mes moments avec lui comme avec un amant sans tabou ou regard fuyant. Je l’aime tellement que j’ai parfois l’impression de sentir mon corps s’enflammer pour lui susurrer des milliers de « je t’aime », dans un simple regard j’ai la sensation de pouvoir conversé avec lui sans pourtant échanger un seul mot. C’est une magie qui continue de nous lier, grandissant chaque jour un peu plus malgré les « dangers » d’être repéré.

Entre nous un simple mouvement, un geste innocent peut vite donner des idées déplacées. En même temps je ne peux que le comprendre, bien qu’en me frottant les fesses pour en enlever la poussière je n’imagine pas encore son regard de braise me jaugeant à me faire m’enflammer sur place. Nos corps dégage une aura remplie de désir mutuel, si Yu Jin veut me toucher, s’il veut m’embrasser et pouvoir sentir nos corps se coller, cette distance s’amincir pour ne plus exister, je suis le même, mon esprit est aussi dévergondé que le sien, mon cœur bat sans cesse pour lui, chaque seconde où mes yeux croisent les siens devient une éternité voulant mettre l’univers en pause pour être les seuls à exister, un sentiment égoïste, mais c’est la puissance de mon amour qui ne connaît aucune limite, remplis uniquement de tentation et de provocation pour le faire succomber. Je suis un petit démon, j’aimerais le voir craquer, outrepasser ses convictions et oublier qui je suis, qui il est, pour profiter simplement porter par une passion ne demandant qu’à être consumée. Si pour certain l’amour est un sentiment passager qui s’amoindrit avec les années, à mes yeux il me rend plus fort à chaque instant passé à ses côtés, je l’aime davantage à chaque fois qu’il ose me toucher, à chaque regard échangé, à chaque baisé partager. La puissance de son corps me faisant m’envoler à des kilomètres dans les étoiles quand dans l’intimité on ose s’abandonner à nos envies inavouées, si l’aimer est un péché, alors je suis un fier pécheur car personne n’est blessé par nos secrets, nous sommes les seuls à devoir nous cacher pour nous aimer. Encore une erreur de l’humanité, car si aujourd’hui je me tais pour préserver mon métier, même sans être une célébrité je serai également jugé pour aimer un homme. Sauf que dans les définitions du mot aimer ou amour, il est bien écrit : « Éprouver de l'affection, de l'amour ou de l'attachement pour quelqu'un ou quelque chose. » où est-ce marquer que le sexe est important ? « Quelqu’un » étant le mot d’ordre dans cette phrase, de toute façon même si je devais faire face aux critiques ou si je devais affronter les feux de l’enfer je n’hésiterai pas une seule seconde pour gagner le droit d’être à ses côtés et d’y rester.

« Je t’aime » cette phrase que je laisse échapper à la moindre occasion, à la moindre envie de les lui dire n’est pas la seule preuve de mon amour, chaque déclaration possède certes les mêmes mots, mais aucune ne se ressemble. Quand je l’entends me les dire c’est comme si je pouvais tout a coup ressentir des milliers de papillons traverser dans mon corps, me donnant les frisons jusqu’à atteindre mon cœur battant, j’ai envie de sourire, de pleurer, de rire, de chanter, toutes sortes de sentiments pourraient se mélanger, c’est ce qui fait qu’aimer soit si beau, partager des sentiments réciproques et en avoir conscience pour en profiter c’est ce que tout être vivant devrait avoir la chance de vivre. Quand nous étions au lycée, notre première rencontre m’avait laissé une mauvaise impression, je voyais en lui un voyou qui n’aimait que se battre, me faisant du chantage, me menaçant, je me souviens avoir pensé que c’était un idiot, mais jamais je n’ai eu peur de lui, sans en être tombé amoureux au premier regard j’ai pu y voir la douceur qu’il dissimule sous ses traits forcés. L’amitié est rapidement devenu amour, il m’a alors complètement bouleversé, je n’avais jamais connu de tels sentiments, je n’avais même jamais aimé autant, à l’époque mon cœur était douloureux, j’avais cette impression d’étouffé sous le poids de mes sentiments, j’ai ressenti encore cela à notre séparation, maintenant je sais que peu importe le temps qui passe Yu Jin est le seul capable de me rendre vivant, le seul à pouvoir me faire trembler d’une simple caresse, de me faire chavirer d’un simple regard, de m’achever d’un doux ou passionner baiser, j’aime la chaleur de ses doigts sur ma peau, chaque attention qui me fait fondre, faisant naitre l’excitation du moment, il est cette force dans mon cœur et cette faiblesse dans mon corps.

Si le fil rouge du destin existe alors il n’y aurait aucun doute que nos doigts en sont reliés, ma vie sans Yu Jin est comme un désert sec sur lequel je tente de jeter de l’eau sans succès, rapidement absorbée par le sable la chaleur m’étouffe et je meurs à petit feu. Mon cœur si vivant serait rapidement emprisonné dans une cage martelée de tous les côtés. Si j’ai pu vivre sans lui durant ces dernières années, ce n’était pas sans peine, blessé, trahi et abandonné, j’ai recherché sans cesse à me relever tentant de trouver une raison de l’oublier, mais quoique j’ai pu tenter ce fut sans succès. Mon âme est rattachée à la sienne, l’une ne peut fonctionner sans l’autre et aujourd’hui si je suis aussi comblé dans ma vie c’est parce qu’il en fait pleinement partie.

Malheureusement trop d’amour peut aussi nous porter préjudice, pas seulement à cause des gens, mais aussi par rapport à nos désirs se manifestant en longueur de temps, nous sommes trop près du camp pour se laisser aller à toutes ses pensées, bien que je le provoque, le taquine, lui lance des regards coquins ou des sourires tentés, il nous est impossible de succomber, devant prendre sur nous jusqu’à cet instant où les barrières pourront tombées. Il menace mon pantalon et même là je trouve le moyen de l’embêter alors qu’au fond je n’attends que ça, qu’il me débarrasse de tous ses tissus encombrant pour jouer les robinsons nu en forêt, guidé par une avidité difficilement rassasier, mais pour ça c’est dans un endroit isolé, seul au monde, loin de tout qu’il faudra aller.

« Je pense aussi, après peut-être que c’est justement parce qu’il s’y attendait qu’il s’y est embarqué, tu ne crois pas ? » Je lui tire la langue avec ce petit regard explicite avant de rire de bon cœur, ça fait du bien. Cette forêt n’est pas différente d’une autre et pourtant j’ai l’impression d’être soulevé par un vent de liberté, pas que je sois prisonnier au quotidien, loin de là... Mais il y a toujours des attentes sur mes épaules, des photos prises à mon insu, des rendez-vous, des interviews, j’ai souvent l’impression de ne pas avoir une minute à moi, j’aime mon métier, mais il y a tout un tas de choses qui l’englobe qui souvent peuvent devenir parfois fatigant. Ici je respire, les gens sont occupés a d’autre activités que de me pourchasser, je n’ai pas de réunion, de signatures à donner, je suis venue me reposer trouvant le moyen de m’échapper quelques jours grâce à mon manager qui a surement dû se montrer convaincant, certes nous ne sont pas seuls, ni sur une île déserte avec une maison sur la plage, mais la forêt est vaste et il y a des tas d'endroits où se cacher, loin du camp, loin des gens on pourra se retrouver et profiter d’un peu d’intimité, ne serait-ce déjà que pour enfin répondre à mon désir de plaquer mes lèvres sur les siennes, j’ai tellement envie de l’embrasser, me retenant difficilement d’y céder.

Mais à cet instant je me contente de ses doigts glissant dans mes cheveux, séparant mes mèches pour s’y enfoncer avec fluidité, j’aime cette sensation, c’est apaisant et je ne peux me retenir de venir lui chuchoter un simple mot qui je sais fera son effet. Je suis plutôt un homme câlin, joueur et affectueux, j’aime m’amuser parfois à le pousser à bout lentement, mais surement récoltant ensuite ce que je sème. Avec Yu Jin j’ai l’impression d’être toujours cet adolescent, dans le sens où bien qu’aujourd’hui adulte je prends le malin plaisir à m’amuser sans cesse, à rire pour un rien, à sourire pour tout, je me baigne dans une océan de bonheur. Mais malgré la tentation que j’essaye de provoquer en lui, je reste sage en me contentant de tenir sa main pour continuer notre chemin dans la forêt, s’éloignant du camp, des gens, de tout ce qui pourrait être susceptible de nous empêcher de lâcher prise et nous déranger.

Nos doigts s’entrelacent en silence, laissant seulement le son de la nature résonner autour de nous, le bruit de nos pas s’imposant sur ce chemin de terre, alors que j’aime ce simple contact nous liant laissant la chaleur s’en dégager, je ne veux plus le lâcher priant pour rapidement devenir invisible aux yeux des gens afin d’encore plus en profiter, je lui lance plusieurs regards amoureux alors que mes lèvres s’étirent doucement laissant paraître mon bien-être. Si je suis le feu qui le consume il est le brasier qui m’alimente, laissant notre flamme bruler indéfiniment où qu’on soit, elle ne cessera jamais de briller.

Ce lieu me rappelle cependant l’endroit où Yu Jin est né, ce lieu qui l’a vu grandir, cette campagne où un jour j’aimerai mettre les pieds pour partager ses souvenirs. Mais le passé sera toujours derrière nous, je n’ai jamais eu aucun regret sur mes sentiments, bien sûr j’ai douté, j’ai pleuré, j’ai maudis mon cœur de trop l’aimé quand on a été séparé, mais quoique j’ai pu faire il n’a jamais cessé de battre pour lui, imposant ses sentiments qui même avec le temps ne feront que prendre de l’ampleur. Si Yu Jin devait un jour « regretter » cette vie je lui rappellerais ce qu’il a gagné en la quittant, parce que je ne deviendrai jamais un simple souvenir, j’ancrerai fortement mes pas devant lui pour faire face sans détour, je le prendrai dans mes bras et lui crierai combien je l’aime, je serai son soutient autant qu’il est mon pilier, se reposant l’un sur l’autre sans compter. Je me fiche complètement des années passées, les moments importants sont ancrés dans ma mémoire, ce qui m’importe c’est notre présent, notre avenir car c’est ensemble qu’on s’y sera et vieillira.

« Emmène-moi là-bas un jour. » Je souris simplement devant ma demande qui n’est même pas une question, avant d’être rassuré devant ses mots, bien que je m’en doute déjà j’aime l’entendre, nous sommes avides de ce genre de paroles, ayant toujours besoin d’entendre confirmation alors qu’on possède toujours les réponses. Remarquant que nous sommes bien assez loin et perdu dans cette forêt, ayant quitté le chemin je me fiche bien de rencontrer des animaux sauvages, de rentrer sali par la nature, ce qui m’entoure est devenu silencieux devant le besoin de le sentir contre moi, de le toucher sans tarder. Ma main remonte sur sa nuque, mes doigts au contact de sa peau où je fais pression pour qu’il se rapproche. Je ne manque pas de le questionner d’un petit ton amusé alors que nos lèvres sont presque liées, si seulement il savait l’emprise qu’il a sur moi, créant un volcan en ébullition dans mes entrailles alors que mon cœur ne cesse de changer de vitesse en augmentant toujours plus, mon regard de braise se fondant dans le sien, je ne peux plus attendre, je ne peux pas résister... C’est sans hésité que je plaque mes lippes sur les siennes sentant le courant électrique me parcourir devant cette libération, répondant a ce désir que je gardais enfoui jusqu’à maintenant. C’est une douce chaleur qui s’échappe de cet échange qui pourtant semble être insuffisant, nos langues ne cessent de se chercher, s’enroulant l’une avec l’autre avidement alors que nos respirations s’accélèrent, mes doigts se resserrent sur sa peau, remontant jusqu’à toucher quelques mèches de ses cheveux, les agrippant doucement, un son incontrôlé et étouffé par notre baiser tente de s’échapper quand je sens l’arbre derrière et le torse de Yu Jin se coller au mien, ses mains sur ma chute de rein, j’en désire plus, tellement plus. J’ai l’impression d’être tout le temps en manque, il me rend dépendant, accroc, une dose m’est insuffisante j’en veux encore. C’est ce que je pense quand nos lèvres sont forcées de se séparer sous les souffles arrachés, manquant de nous achever si on continue à insister en laissant parler notre insatiable désir. Ma poitrine se soulève rapidement tentant de reprendre une respiration régulière, alors que nos fronts se lient entre eux, je peux sentir la chaleur de mon amant alors que son souffle continue de se mélanger au mien, la distance étant moindre, je peux profiter de cette proximité, mes doigts agrippant son haut, me retenant à lui dans une demande silencieuse.

Mon regard se lève sur le sien alors que ses mots résonnent encore dans mon esprit, mon expression témoigne du bonheur de l’entendre se déclarer, on n’est du genre à se le dire souvent, mais si je pouvais je lui dirai à chaque seconde que je passe à ses côtés jusqu’à ce qu’il en soit saoulé, que mes mots soient la plus belle mélodie que je pourraient créer comme lorsqu’il me les adresse, mon cœur réagi toujours comme si c’était la première fois, un sentiment étrange, mais avec Yu Jin tout me semble tout le temps unique, nos baisers ne se ressemblent jamais, nos corps amoureux s’unissant dans un instant intime et endiablé me font toujours vibré et ses mots, sa voix est comme le bois nourrissant le feu en l’empêchant de s’éteindre. Mes bras se déplacent pour s’enrouler entièrement autour de son cou, le tirant vers moi pour le sentir encore plus proche qu’il ne l’est déjà, répétant dans un murmure a quelques centimètre de son oreille. « Je t’aime... je t’aime. » Le deuxième était plus fort que le premier. Je ne sais pas où on va, mais il est trop tard pour faire demi-tour, nous sommes irrécupérables et de toute façon dans mon centre de vision il est le seul que je vois, telle une flamme dans le noir qui attire le regard. Mes lèvres se déposent sur son lobe, avant de les entrouvrir pour laisser mes dents venir le titiller lentement remontant, laissant ensuite ma langue passer sur son cartilage, qu’il comprenne le message, je ne compte pas m’arrêter à un simple baiser, aussi enflammé soit-il.

« S’il pleut ils vont tous s’enfermer dans leur tente pas vrai ? » Façon de dire que nous sommes libres d’agir selon nos désirs.


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