Welcome to the hell

Ce message a été posté Mar 5 Avr - 18:49

tenue. † C’était le jour de la rentrée. Il n’était pas anxieux pour autant, juste… Impatient. Impatient de pouvoir le croiser et commencer. Commencer par quoi ? Il n’en savait rien, il aviserait le moment venu, il ne voulait pas se prendre la tête avec ça. Craquant sa nuque, il se fixa longuement devant le miroir avant de soupirer. Il n’était jamais allé à l’université. L’école pour lui c’était fini depuis tellement longtemps. Il avait préféré suivre les traces de sa défunte mère avec aisance puisqu’il avait grandi au milieu des animaux de la savane. Il était presque plus effrayé des cours que de l’autre enfoiré. Le monde à l’envers. Il avait tout fait pour pouvoir entrer dans cette école et surtout dans la même classe que ce type. Trafiquant un dossier pratiquement parfait pour être accepté, comme un transfert parmi tant d’autre. Il y avait mis pas mal d’argent, alors il ne devait rien gâcher. Attrapant sa veste il l’enfila assez énergiquement et nerveusement. Sac en main le jetant sur ses épaules, il quitta son appartement. Il irait vivre en dortoir à présent. Tout ça pour se rapprocher de ce garçon. Il ne lui fallut pas bien longtemps pour gagner la Royal School. S’arrêtant devant le portail d’entrée, il resta stoïque comme une statue, le regard sombre en fixant au loin, le sol, puis le toit. Combien sa sœur avait-elle eu peur pour en arriver à se suicider ? Sauter de ci haut pour s’écraser et mourir… Elle qui pourtant avait un fort tempérament. Elle qui…La gorge nouée, il contracta sa mâchoire avant de franchir le seuil de l’école et s’aventurer vers la section qui lui était destinée. La mode. Pas ce qui l’intéressait, mais il s’y était plongé exprès. Pas le choix. Entrant dans la grande bâtisse, sans un mot, sans regarder personne, il marchait à son allure, comme déconnecté de ce monde. Il avait appris le plan de l’école par cœur, comme un perturbé, comme un fou, marchant aux travers des couloirs comme s’il avait été là durant ses quatre dernières années. Dans quelques pas il serait dans sa salle de classe. Il pouvait voir des élèves entrer et sortir, faisant leur vie, mais surtout il put le voir lui. C’était comme si son monde était en noir et blanc et que seul lui pouvait briller. Ou qu’il soit il le verrait sans aucun souci. Car c’était lui, sa proie. Son pas se pressant, sans pour autant paraitre suspect, il arrivait face à face chacun ayant pris un sens du couloir. Arrivant en même temps à la porte, il ne le regardait plus et pourtant, son pied, d’un coup sec lui fit un croche patte le faisant alors tomber au sol en avant. Pile à l’intersection de la porte, là où personne ne regardait. Baissant son regard vers lui, il le regarda comme s’il était stupide. « T’as des problèmes de jambes ou quoi ? Tu devrais faire attention, c’est important les jambes pour un homme. » Tomoe lui fit un sourire sincère avec aisance avant de l’enjamber et aller s’asseoir là où il y avait encore un peu de place. Il aurait dû aller en section art, théâtre. C’était presque flippant.

Ce message a été posté Jeu 7 Avr - 23:25

TENUE. † Un bâillement peu discret, un pas assuré, mais calme, des regards curieux, lorsque je marche dans le couloir je ne passe pas inaperçu, je me l’interdis, si quelqu’un m’ignore ou me regarde de travers il devient ma victime, je suis un peu comme Jack sur l’avant du Titanic, sauf que moi c’est dans cette école que je suis le roi. La chaine de mon pantalon cognant sur ma cuisse à chaque pas que je fais, comme un signal annonçant ma présence dans cette ambiance aussi bruyante qu’ennuyante. Le téléphone vibre dans la poche de mon jean, stoppant tout mouvement pour regarder le nom qui s’affiche, glissant le doigt sur l’écran pour répondre. « Je suis en cours. » Lâchais-je avant toutes paroles échangées, mon manager avait tendance à me trouver des contrats n’importe où, n’importe quand, mais contrairement à ce que l’on pouvait penser de moi j’étais un élève sérieux, je n’étais pas premier parce que j’intimidais les professeurs, je l’étais pas que je faisais tout pour l’être. J’avais un poids sur les épaules, un énorme poids invisible qui me fallait décharger et les autres, mes proies étaient les victimes, les boucs émissaires selon mes désires et mes envies. Le sourire toujours sur les lèvres ça donne confiance à ceux qui ne me connaissaient pas avant de tomber sur la face « cacher ». « Je suis en cours je te dit, rappel dans cinq heures. » Je raccroche insensiblement, on pourra parler autant qu’il veut, mais pas maintenant. M’approchant de la salle de classe, je n’ai pas pour habitude de faire attention aux autres, ce sont eux qui me laissent le passage et s’écarte sur ma route, alors pourquoi je me retrouve un genou à terre dans l’encadrement de la porte ? Le regard noir levé en direction de celui qui venait de commettre une grosse erreur, ses mots réveillent un sentiment désagréable en moi, il se casse comme si de rien n’était après m’avoir parler et regarder de haut, moi? Sait-il qui je suis ? J'ai l'impression d'être en train de rêver là... C’est qui ce ... ? Rentrant dans la pièce après m’être relevé, je m’arrête à la place voisine de la sienne, frappant un coup net dans sa chaise pour le faire tomber à mon tour, il a cru que j’étais une lavette et que j’allais juste laisser passer ça. Le regardant de haut à mon tour. « Quand tu fais un sale coup, assume et dit « désolé ». » Ouai le tyran qui donne des leçons de politesse, bah, je n'ai jamais dis que je n'étais pas poli.

Ce message a été posté Ven 8 Avr - 17:52

tenue. † La rancune était si puissante que ça le dépassait totalement. Il ne répondait plus de lui mais ça ne le dérangeait en aucun cas. Pourquoi ? Car il devait à tout prix venger sa sœur. Et pour ça, il était prêt à tout. Même à se salir les mains et tomber aussi bas que cette pauvre crapule. Et maintenant qu’il pouvait le voir, l’avoir sous ses yeux, il se demandait si le monde était réellement sérieux… Ce mec était tout sauf normal, sa tenue, tout… Il le haïssait tellement qu’il n’était pas objectif. C’était bien connu de toute façon. A peine croisé qu’il commença. Il entrait en action, faisant comme si de rien était, sous la vue des autres qui devaient les regarder. Ce n’est pas comme si quelqu’un qui chutait ça passait inaperçu. Non bien au contraire. Le sourire léger aux lèvres, il alla s’installer là où la place le lui permettait. Les bancs de l’école ce n’était clairement pas fait pour lui, mais par vengeance il s’en accommodait. Les bras croisés sur la table, il regardait dans la salle, ignorant l’autre plouc histoire de ne pas trop le regarder. Son regard croisa celui d’une fille, un sourire fut échangé, il lui sourit doucement. Tomoe n’était pas un garçon méchant de base. Il ne donnait que ce qu’on lui donnait. Puis rapidement il se retrouva au sol, les bras se tenant à la table l’empêchant de s’étaler de tout son long au sol. « Quand tu fais un sale coup, assume et dit « désolé » » Il avait envie de le tuer. De prendre un couteau et de le tuer. Sincèrement s’il n’avait pas une once d’humanité en lui il l’aurait surement fait. Mais il était humain. Quand bien même il rêvait d’être un lion là pour le chasser et le dépecer. Se relevant sans un mot, calme et sans aucune peur, il sentait les regards sur eux. Combien de gosse avaient il intimidé ? « Je ne vois pas de quoi tu parles. Tu es tombé en trébuchant seul. JE comprends que ça puisse être honteux, mais tu ne devrais pas t’en prendre aux gens qui n’ont strictement rien fait. C’est si bas. » Il époussetait tranquillement sa veste en soupirant. Ramassant la chaise il pouvait entendre certaines personnes parler entre eux, sans pour autant comprendre ce qu’ils se disaient. « Je vais laisser passer pour cette fois. Mais tu ne devrais pas traiter tes aînés de la sorte. Je m’appelle Tomoe. Ravis de faire ta connaissance. » Il lui tapotait l’épaule en souriant franchement. Ou comment le faire passer pour une brute et un sale con. L’indifférence était un atout hors pair. Contrairement à sa brutalité de merdeux.

Ce message a été posté Dim 10 Avr - 5:10

TENUE. † J’ai toujours su me démarquer, mes tenues ou ma façon de marcher, mes regards, mes coupes de cheveux, je sais comment faire pour que les gens posent leurs yeux sur moi, mais c’est normal en même temps, je suis mannequin. Je dois toujours être au centre, obtenir les meilleures critiques, laissé une bonne impression pour obtenir encore d'autres contrat et puis mon père n’est pas n’importe qui, même si je n’use pas de son pouvoir pour avoir ce que je désire je sais que lui attend énormément de moi, ce que les autres ignore forcément, cette constante pression que j’ai sur les épaules est invisible pour tout le monde, même mes amies, sauf pour moi. Alors quand je me rends dans ma salle de classe pour suivre le cours habituel et qu’un idiot trop sûr de lui me fait un croche pieds pou me faire chuter en me regardant de haut autant dire que j’ai juste des envies de meurtre qui s’impose. S'il pense que je vais juste ignorer ça, il n'a pas dû prendre le bon cursus celui-là... Un coup dans la chaise et les rôles se sont donc inversé, le voilà à terre pendant que je le juge devant la classe en hauteur sans une once de pitié, mais un sourire se dessine sur mes lèvres justes pour rendre la situation encore plus étrange, fier je ne laisserai personne me mettre à terre, je suis le seul à avoir se pouvoir. Je ris face à ses paroles insensées. « Moi qui pensé que j’allais tomber sur un mec avec des couilles, faut croire que t’es juste un abruti qui n’assume pas ses actes, lâche et idiot qui veut se la jouer intéressant. » Je l’observe avant de capter sa phrase. « Mes ainés ? Où ça ? » Retirant sa main de mon épaule d’un geste net, je le fixe en soupirant. C'est moi qui laisse passer ça pour l'instant. Aucune envie de faire sa connaissance, il me donne juste envie de lui arracher son sourire et ses manières agaçantes, mais le cours commence et je ne fais du raffut qu’en dehors, alors je m’installe à côté de lui, vu qu’il a pris le siège qui m’est voisin. J’aurais l’occasion de me venger, il ne sait pas à qui il a affaire.

Ce message a été posté Lun 11 Avr - 19:12

tenue. † Ce n’était pas facile, qui a dit que ça le serait ? Même lui savait que ça ne le serait pas. Il savait qu’il allait devoir se montrer patient pour arriver à son but précis. Quel harceleur allait se laisser harceler si facilement ? On n’était pas dans un drama, ni même dans un manga, ça aurait été bizarre voir même hallucinant si ce mec c’était laissé faire sans rechigner, sans rien répondre à Tomoe. Il ne supportait pas de faire ça, encore moins l’attitude de l’autre plouc mais il prenait sur lui et faisait avec. Mais il était sûr d’une chose, il n’aurait pas la patiente d’un bouddha ou d’un fucking pape là. Il ne tiendrait pas longtemps. Ce n’était pas un saint non plus. Et quand il commençait à s’énerver, il ne se contrôlait plus du tout. Mais il ferait un effort. Il se le devait de toute façon. Pas le choix face à cet abruti là. « Moi qui pensé que j’allais tomber sur un mec avec des couilles, faut croire que t’es juste un abruti qui n’assume pas ses actes, lâche et idiot qui veut se la jouer intéressant. » Il ne put s’empêcher de lâcher un bref rire avant de le regarder avec sérieux. « Le sans couille ici c’est toi. » Est-ce qu’il devait vraiment préciser pourquoi ce type était un sans couille ? Il ne valait pas mieux que lui. Et ça tout le monde devait le savoir avec tout ce qu’il faisait. « Mes ainés ? Où ça ? » Il inspira profondément avant de voir le professeur arriver. Sans répondre il s’installa à son tour. Rester assis à côté de celui qui avait provoqué la mort de sa sœur le rendait fou. Il avait envie de le fracasser contre le bureau. Devoir respirer le même air que ce type lui donnait la nausée. La mâchoire contractée pratiquement toute l’heure, Tomoe tentait de souffler et d’évacuer les nerfs qui ne cessaient de le rendre fou. Ses doigts avaient dû craquer un millier de fois durant cette heure de cours. Au moins, à la fin de l’heure, il réussit plus ou moins à se calmer, prenant le cours sans trop de sérieux mais quelque peu intéressé quand même. L’heure avait été longue pour lui. Les cours ce n’était définitivement pas fait pour lui. Regardant son voisin, ce type ignoble, il attrapa un de ses stylos tout en se levant une fois le cours fini. « Cool le stylo, c’est le mien à présent. » Lui donnant une franche calotte derrière la tête, il partit pour aller au prochain cours tout en rangeant le stylo dans sa poche. Ah il allait se montrer aussi con que l’autre et allait lui pourrir la vie, même sur des petites choses, il allait le rendre fou même.

Ce message a été posté Mar 12 Avr - 7:20

TENUE. † J’avais l’habitude de voir des hommes sauvegarder leur fierté et me tenir tête, du moins je faisais ma loi certes, mais il y a toujours des personnes plus « courageuse » ou « inconscience » qui tente de me remettre à ma place, la seule chose qui n’ont pas compris c’est que je suis déjà là où je dois être. Ce sont des méthodes insignifiantes pour moi, mais dès qu’on m’attaque directement en face à face je ne ferme pas les yeux facilement. Bien entendu il n’avoue pas et préfère rejeter la faute sur moi, mais je trouve ça encore plus pitoyable, je suis un enfoiré, mais j’assume mes actes, quand je rabaisse quelqu’un je ne pointe personne du doigt pour les rendre maitres de la situation, en faisant ce qu’il fait il me montre simplement que c’est une personne perfide, mais inintéressante, qui disparaîtra bien vite de mon champ de vision. Malheureusement je dois me le coltiner pour la suite du cours, je ne relève pas le fait qu’il retourne mes paroles contre moi, le mec c’est comme s’il secoue l’air et c’est la seule chose qu’il secoue croyez-moi. Je deviens sérieux pour les choses que j’aime faire et pendant l’heure je ne prête pas une seconde d’attention à mon voisin, faisant ce qu’il doit être fait comme tout étudiant modèle bien loin de mon caractère rebelle. Si pour lui ça a paru long pour moi ce fut tout l’inverse, c’était rapide, bien trop rapide et finalement nous voilà libéré pour la suite du planning, un cours de pratique c’est ce que je préfère. Rangeant mes affaires je vois l’enfoiré prendre un de mes stylos pour partir avec, il a cru voir la vierge ? Et pire encore, c’est quoi ce coup ? Il... Un soupire bien audible je sors de la pièce pour le rattraper et lui donner un coup de pied dans ses fesses pour le plaquer contre le mur, le regard noir, mais une expression sereine. « Yah enfoiré, je rêve où tu me cherches, tu crois que tu peux venir et faire ta loi, redescends sur terre. » Lui rendant son coup en le gratifiant franchement de plusieurs claques pingpong. Je vous jure, il me fait sortir de mes gonds avec son comportement, il vient d’où celui-là.

Ce message a été posté Mar 12 Avr - 21:39

tenue. † Il avait gagné un stylo, qu’il n’utiliserait pas bien évidemment. Il n’allait pas utiliser ce qui appartenait à de la pourriture. Il allait le jeter dans la première poubelle qu’il croiserait. Rien que de l’avoir sur lui ça le rendait fou, mais c’était pour le faire chier, alors il était prêt à tout. De toute façon il avait vendu son âme au diable alors, devenir un voleur n’était franchement rien par rapport à ce qu’il allait lui faire subir. Un peu plus ou un peu moins. Ce n’est pas ça qui allait le faire changer d’avis. Il le sentit le coup de pied, oh que oui. Il avait envie de le buter. Ça faisait mal bordel ! S’il croyait qu’il allait se laisser faire il se foutait le doigt dans l’œil, et bien profondément. « Yah enfoiré, je rêve où tu me cherches, tu crois que tu peux venir et faire ta loi, redescends sur terre. » Fermant rapidement les yeux en serrant les poings, il ne put s’empêcher de ricaner en le sentant le frapper de plusieurs claques. Il s’en fichait royalement. Oh que oui. Il pouvait même passer pour un fou de rire, alors qu’il était en train de se faire taper. Il s’en était pris à la mauvaise personne. Toucher sa sœur avait été une sacré mauvaise idée. L’attrapant par les cheveux il le fit tourner pour le jeter contre le mur à son tour. L’attrapant par la gorge il enfonça ses doigts dans sa chair sans retenir sa force le soulevant légèrement du sol. Il était foutrement énerver. « Ecoute moi bien sale fils de pute. T’es que le fils du directeur. Tu crois avoir le droit au tapis rouge et avoir le pouvoir absolu ? Redescend sur terre, la gloire que tu as, tu ne la dois qu’à ton géniteur. Tu n’as rien accompli de miraculeux. A voler trop haut on finit par se brûler les ailes. » Sa voix était sèche. Il tremblait légèrement sous les nerfs, le lâchant pour le tourner face contre mur sans aucune douceur il lui attrapa la ceinture pour la défaire et la tirer avec force. « Tu peux me taper autant que tu veux je répliquerai cent fois plus fort. Si tu pensais être le roi de la jungle, tu peux pleurer, je vais faire de toi la risée de cette jungle. » Sans attendre il tira son jean trop lâche sans sa ceinture pour le pousser au sol. « Pauvre sous merde. » Partant, Tomoe ouvrit une des fenêtre du couloir pour jeter la ceinture au loin.

Ce message a été posté Jeu 14 Avr - 5:47

TENUE. † Depuis l’entrée dans la salle, en fait depuis son arrivée officielle vu que je ne l’avais jamais vu avant il semblait me chercher la merde intentionnellement, il veut me faire passer pour une petite tape de merde en rejetant ses fautes sur moi, n’assumant pas une seule fois ses mauvais coups, une vraie pute ce mec et je pèse mes mots... Mais durant le cours j’avais réussi à l’oublier, il ne m’intéressait pas, par contre quand il recommence en me volant un de mes stylos, ce n’est pas le bien matériel en lui-même qui me fou en rogne, mais son arrogance à la con, ses aises insupportables, j’ai vraiment envie de le remettre à sa place et vite, parce qu’il est vraiment culotté cet enfoiré. Je ne me fais pas prier pour le rattraper dans le couloir pour lui foutre un coup de pied et le plaquer contre le mur en lui donnant des gifles d’avertissement, mais on dirait que ça l’amuse, putain c’est quoi ce mec, il est complètement fou dans sa tête. Enfin rapidement les rôles sont inversés et il se défend en m’attrapant les cheveux, me plaquant contre le mur en me coupant la respiration avec ses doigts autour de mon cou lorsque mes pieds quittent le sol. « Enfoiré... » Le regard noir. « Tu ne sais pas de quoi tu parles. » Dis-je avec force malgré le fait que je sois désavantagé par la situation. Un court gémissement filtre mes lèvres quand il me tourne et me plaque la tête face au mur, je vais le tuer... Je ne suis pas du genre à être cru, mais lui je vais le tuer... « Va te faire foutre, jamais tu me verras pleurer pour une fiotte dans ton genre. » Je rattrape mon jean pour le tenir plus par réflexe, soupirant de rage, heureusement j’ai un sous-vêtement classé et un beau corps je pourrais me balader sans mes vêtements sans problème, chose qu’il doit ignorer, mais ce qu’il vient de faire n’a fait que ranimer mon envie de l’écraser. Attrapant la chaine de mon jean je lui balance dans la tête sans pitié, il pense avoir affaire à un fils à papa sans couille ? Il rêve. Puis merde, rien que la douleur autour de mon cou ne me plaît pas... caressant la peau avec ma paume, sale... Fiou.

Ce message a été posté Jeu 14 Avr - 16:43

tenue. † « Enfoiré... Tu ne sais pas de quoi tu parles. » Tomoe leva les yeux au ciel. Ça ne lui faisait ni chaud ni froid de l’entendre dire ça. Il s’en foutait royalement et il savait qu’avec le temps et la persévérance il l’aurait. L’usure allait le faire flancher, parce que tout ça c’était une guerre psychologique dans le fond. Quand bien même il puisse user des poings et des coups bas comme lui, le mental ça faisait tout. Et comme tout humain un jour ou l’autre on craquait. Et il allait le faire craquer, comme il avait surement fait craquer sa petite sœur au point qu’elle se suicide. S’il pouvait se suicider ? Alors il aurait accompli sa mission. Quand bien même il voulait lui réserver pire châtiment que la mort. Ce n’était que le début d’une longue souffrance. Le début des abysses, le début de sa colère contre ce sale chien. « Va te faire foutre, jamais tu me verras pleurer pour une fiotte dans ton genre. » Une fiotte, il utilisait des mots qui lui était à proprement destiné, ce qui le faisait doucement rire. Il pouvait paraitre pour un fou, il s’en fichait royalement. Tout ce qu’il voulait s’était obtenir sa vengeance. Point. « On verra, lequel de nous deux est une fiotte. » Il ne comptait pas pleurer. Il ne pleurait jamais, il n’allait pas commencer aujourd’hui, oh que non. L’abandonnant là, prenant le temps de jeter la ceinture par la fenêtre pour qu’un heureux puisse en bénéficier, si la personne le voudrait, il se stoppa en sentant la chaine en métal le fouetter vivement à la tête. La douleur faisait bouillit le sang dans sa tête, au point où il en devenait presque sourd tant le sang affluait dans sa tête. Portant sa main sur l’arrière de sa tête, il se toucha lentement en grimaçant. C’est que ce con venait de lui ouvrir le crâne. Dents serrés, il fit craquer son cou avant de se tourner vers lui. Se penchant il ramassa la chaine avant de l’entourer lentement autour de sa main pour mieux la tenir. S’approchant de lui il se mit à le fouetter avec, sans aucune pitié avec toute la force qu’il pouvait y mettre dessus. « Putain de… » S’arrêtant en soufflant, il ignorait les gens qui pouvaient filmer la scène. Ah, ça devait amuser plus d’un de voir le putain de fils à papa prendre une raclée. Encerclant son cou de la chaine il fit un nœud avant de serrer fortement pour qu’il s’étouffe avec. « Crève. » susurra-t-il en lui crachant en plein visage. Se redressant, le Tanzanien ramassa son sac et parti pour le prochain cours.

Ce message a été posté Sam 16 Avr - 11:34

TENUE. † Il commençait vraiment à me sortir des yeux ce gars, pourquoi un fou pareil avait mis les pieds ici ? Je devrais vérifier son dossier et voir ce qu’il est écrit, à peine arrivé qu’il tente de m’écraser sans que je ne sache pourquoi, je n’ai jamais caché le fait que je sois un connard avec la plupart des étudiants, que chaque occasion est bonne de montrer ma supériorité, mais d’un autre côté je ne suis pas non plus le plus gros des enfoirés, je fais simplement ma loi et tente d’être le meilleur parce que pour moi c’est une obligation, une survie, un défi. J’ai besoin d’écraser tout le monde pour me hisser au sommet, les attentes sur mes épaules sont grandes, mon père n’est pas le roi du pays, ni un dieu, ni un ministre étranger ou que sais-je, mais en étant le directeur de Royal il a tout ces personnes à sa botte dirons-nous, des donateurs très riches et des partenaires insoupçonnés, l’écoute et une nids à richesse et mon père en est le propriétaire, pour moi c’est vital de sortir du lot et les gens ne peuvent comprendre ça car je le cache derrière mes actes parfois cruels et démesurés. Cependant, je suis le genre de gars à avoir le dernier mot, je ne lâche pas l’affaire, j’ai toujours été celui qui faisait « souffrir » les autres, plus psychologiquement que physiquement, mais dans tous les cas peu sont ceux qui ont tenté de me détruire, pourtant dans le regard de ce type je ne vois que colère et haine, je ne me souviens pas m’en être pris à lui, mais en s’en prenant à moi il choisit un adversaire qui va s’accrocher et répondre à ses attentes. Il veut m’humilier ? Je le ferais en retour, je n’ai pas de pitié quand on veux me blesser, la chaine pourrait lui détruire le crâne que je m’en foutrais, je lui envoie dessus décidé à lui faire regretter son comportement, mais il revient et me frappe avec, je tente d’éviter ou d’amortir les coups, mais il n’y va pas de mainmorte et c’est douloureuse putain. Je ne pleure pas, mais je serre les dents à chaque fois que la chaine heurte mon corps laissant surement des marques sur ma peau, le staff va me tuer, je suis mannequin merde ! Ce connard va me le payer, j’ai réussi à attraper la chaine pour l’empêcher de continuer, mais cette dernière finie autour de mon cou et je l’attrape de mes mains pour desserrer l’emprise, il veut me tuer ? C’est sérieux, mais j’ai qu’une envie c’est de lui rendre le pareil, je peux subir, mais je le rends toujours... Le regard noir, je m’essuie le visage, cette pauvre merde... J’ai été « gentil » jusque-là, mais je jure qu’il va me le payer, je tousse sous cette force qu’il a mise en m’étranglant, le regardant s’éloigner en serrant les poings, je n’ai pas dit mon dernier mot. J’utilise la chaine pour en faire une ceinture, le suivant pour le prochain cours, j’attends qu’il soit proche des marches pour le pousser délibérément, j’espère qu’il va crever lui-même, bien entendu j’ai attendu qu’il n’y ai pas de témoin, ça serait moins drôle sinon. Ce n’est que quelques marches, mais j’aurais le dernier mot. « Crève toi-même enfoiré. »

Ce message a été posté Dim 17 Avr - 15:50

tenue. † Bien qu’il puisse lui faire la misère, il ne se sentait pas pour autant rassasié. Il n’avait pas cette satisfaction qui l’envahissait là. Il n’était pas content. Il ne pourrait pas l’être au bout d’une fois de toute façon. Il le savait et même au bout de cent jours de torture, il ne pourrait pas être rassasié. Il allait lui pourrir la vie jusqu’à la mort. Essayant de calmer ses pulsions et sa respiration pour ne pas devenir dingue, il l’abandonna dans ce couloir. Le couloir où il venait de l’étrangler avec sa chaine immonde et moche. Il pourrait porter les même fringues que Tomoe, que celui-ci irait brûler ses propres fringues pour ne pas avoir une quelconque ressemblance avec lui. A ses yeux tout ce que touchait ce type devenait pourriture et inintéressant. Il partait dans l’extrême mais c’était la rage qui le rendait comme ça. Longeant le couloir en allant au prochain cours, il avait les oreilles brulante, il le savait, il était énervé, alors forcément le sang affluait dans sa tête. Entendant vaguement du bruit derrière lui, il n’eut pas le temps de totalement se retourner qu’il sentit quelqu’un le pousser dans les escaliers. Pas besoin de se demander qui s’était, il le savait. Son premier réflexe fut d’attraper la rampe de l’escalier pour se retenir, mais ce ne fut pas franchement une très bonne idée. Son bras se tordant sans se casser, il percuta le mur avant de glisser, lâcher la foutue rampe et dévaler les escaliers sur le dos. Il n’avait qu’une envie c’était de le tuer. « Crève toi-même enfoiré. » Plissant le nez sous la douleur, il se releva tant bien que mal, le corps endoloris de part entière. Il releva le regard vers lui. Non seulement de saigner de la tête, il saignait de la main à présent. La rampe lui avait coupé la peau. Il remerciait intérieurement son sac à dos d’avoir pris le frottement des marches pour lui. Sans répliquer il partit, descendant les autres escaliers. Il ferait sauter le cours pour sa part. Parce que s’il y allait, il allait clairement le déchiqueter pour de bon cette fois. Allant à l’infirmerie pour prendre de quoi se soigner, il le fit tout seul ignorant l’infirmière qui voulait l’aider. Sans mettre un quelconque pansement, il attendit quelques heures avant de partir au cours suivant. La classe avant se vidait de la salle, alors que certains de sa classe arrivaient. Arrêtant une fille, il en profita pour lui demander quelque chose, de façon anodine. Ayant sa réponse, il la remercia avant d’entrer. S’installant à une table il croisa les bras sur son torse, attendant que Taiga arrive à son tour.

Ce message a été posté Lun 18 Avr - 17:13

TENUE. † On peut me haïr pour ce que je suis, ce que je représente, mais si on me cherche comme cet enfoiré avait commencé à le faire de par ses mots autant que ses gestes je ne mettais pas longtemps pour répliquer, c’était donnant/donnant, il m’a fait souffrir, m’a étranglé et foutu la honte, bien que ça je m’en fiche personne n’oserait parler derrière mon dos de toute façon, même s’il pense que je fais pitié entre les mains de Tomoe ils fermeront tous leurs gueules et continueront de s’écarter sur mon chemin, parce que c’est ainsi que je gère cet endroit depuis des années maintenant et ce n’est pas un nouveau qui va mettre à mal mes coutumes. Par vengeance je n’ai pas hésité à le pousser dans les escaliers me fichant bien qu’il se fasse mal ou pire, il veut me tuer ? Il veut que je crève ? Et bien autant pour moi, je souhaiterais la même chose dans ce cas et même s’il revient à la charge je reviendrais encore, parce que le dernier mot c’est moi qui l’aurais et c’est comme ça. Il semble s’être pas mal ramassé et j’en sourirais presque de satisfaction, mais je me contente de le fixer hautainement du haut de l’étage, le regardant partir surement soigner ses blessures, bon vent. Je file au cours suivant pouvant profiter de son absence pour souffler un peu, il est chiant ce mec sérieux. Ça passe vite et c’est déjà le moment de changer de classe, mes affaires rangées je trace directement jusqu’à la prochaine destination sans me douter que l’autre con s’y trouve déjà, poussant la porte mes yeux croisent sa silhouette assise et je soupire sans retenue, bruyamment et las. J’ai bien envie de faire part de ma déception à le voir si vite de retour, mais je préfère jouer l’ignorance et l’indifférence, jetant mon sac à sa place qui se trouve aux côtés de l’autre enfoiré, manque de pot mon sac le tape... oups, l’aurais-je fais exprès ? Merde alors, tant pis il n'avait qu’à pas être au milieu.

Ce message a été posté Mer 20 Avr - 17:15

tenue. † Il parait que la patience est une vertu, alors on devrait couronner Tomoe pour cette patience dont il faisait preuve. Ce n’est pas tout le monde qui attendrait quatre mois après la mort de sa sœur et qui planifierait ce genre de chose. Oui bon il devrait surement passer par la case prison plus tard, allez savoir, mais il s’en foutait. Assis sur cette chaise, attendant le prochain cours, ses bras étaient croisés sur son torse, il n’attendait qu’une chose, que ce type à l’allure de tarlouze. Ouais, il allait le faire saigner des oreilles à force de le maudire mentalement. Soupirant longuement, il baissa quelques peu sa tête, en fermant les yeux. Il voulait tellement de chose, et cette journée était déjà épuisante. Autant moralement que physiquement. Il n’était pas trouillard, peureux ou sensible, mais le coup sur la tête qu’il avait reçu avec la chaine ne lui avait pas fait du bien, et ne parlons pas de la chute dans les escaliers. Oh, il allait se venger bien évidemment. Il n’allait pas rester sans rien faire, ce n’était pas son délire… Il ne fallait pas déconner. Tout n’était qu’une question de seconde avant qu’il n’arrive. La salle se remplissait doucement, éparpillant les élèves par ci par là. Et c’est surement par instinct qu’il releva la tête au même moment où il entra dans la pièce. Il le suivait du regard, sans réellement le suivre. Voyant le sac voler en sa direction, il ne bougea pas, recevant le sac de plein fouet sur lui. Ah… Il aurait dû s’y attendre…Attrapant le sac il l’ouvrit, sans un mot et versa tout son contenu par terre avant de le jeter au loin. Bâillant longuement il s’étira avant de poser son coude sur la table en lui souriant l’air de rien. S’il croyait qu’il allait se laisser faire sans rien répliquer il se foutait le doigt dans l’œil. « Asseyez-vous, je dois partir quinze minutes plus tôt, alors commençons le cours ! » Parfait. Il n’aurait pas besoin de subir la réponse de l’autre timbré. Mais il avait plus d’un tour dans son sac. Et il ne comptait pas laisser l’heure passer sans rien lui faire. Attendant que le cours commence et que tout le monde soit installé, y compris le machin à côté de lui, il l'observa en riant doucement. Oui, il ne pouvait pas s'empêcher de ricaner en le regardant à présent assis. Pourquoi ? Allez savoir... Il serait surement difficile pour le jeune fashionista de se décoller de la chaise...

Ce message a été posté Ven 22 Avr - 21:41

TENUE. † Je ne supporte pas ce genre de gars et si on peut me tenir tête physiquement comme cet enfoiré vient de le prouver, une chose est sûre je ne lâche jamais l’affaire, j’ai une prédisposition à avoir le dernier mot et le pousser dans les escaliers n’était qu’un exemple, un avertissement pour lui montrer qu’il ne devrait jamais me tourner le dos, parce que je suis celui qui va profiter des faiblesses et des failles laisser pour attaquer de plein fouet, pauvre con. Le cours est calme, jusqu’à l’heure du suivant où il faut forcément que je le retrouve rapidement dans cette salle qui se remplit rapidement, mon sac atterri « involontairement » sur sa tête, oups, j’y peux rien s’il est du genre à être au milieu à chaque fois, voir mes affaires se vider au sol ne me plaît clairement pas, mais je préfère soupirer et hausser les épaules, regardant le gars à côté pour lui faire signe de ramasser, il me regarde avant de s’exécuter comme un idiot, avoir de l’influence ça aide pour diriger quelque pauvre type dans son genre, il croyait quand même pas que j’allais m’abaisser pour ramasser moi-même, il m’a pris pour qui ? Je ris intérieurement, avant de récupérer mon sac des mains du ramasseur pour m’asseoir à ma place, le cours commence, aller un peu de sérieux. Quelques minutes sont à peine passé que je trouve étrange son silence et son calme, je fixant en cherchant à voir une faille, hum... Pourquoi il semble jubiler dans son coin ? Je n’aime pas ça et tout en écoutant le professeur je tente de réfléchir à ce qu’il a pu faire pour être si fier, je sens le coup foireux, je ne suis pas idiot, mais ne pas savoir me fait perdre ma concentration alors que je ne suis pas du genre à ignorer un cours, pour être premier je suis attentif à chaque mot, chaque exercice ou pratique, c’est comme ça. Cet enfoiré m’énerve et pourquoi faut qu’on soit à côté, il ne pouvait pas prendre une autre place, un soupir lourd de sens, je prends des notes, mon coude frappant le sien sans douceur, j’ai besoin de place merde.

Ce message a été posté Lun 25 Avr - 20:32

tenue. † Le cours était ennuyant mais pas tant que ça au final. Quand il pensait à ce qu’il avait fait alors que l’autre ne s’en doutait pas une seule seconde… Il avait envie de rire, genre vraiment, vous savez, ce genre de fou rire impossible à retenir… Mais il se contenait, car s’il craquait maintenant c’était foutu. Essayant de ne pas trop y penser, il attrapa son stylo pour prendre des notes. Ce cours l’emmerdait au plus haut point. Il détestait ce con d’avoir pris cette filière qui n’était pas du tout plaisante à ses yeux. Il aurait pu prendre sport. Ça il était fort pour ça… mais la mode… Il avait beau avoir pris quelque cours et autre avant de rentrer dans cette école, il n’en restait pas moins que ça ne lui plaisait pas tant que ça. Recevant un coup de coude de la part de l’autre spécimen, il plissa le nez en grognant intérieurement. Il avait envie de lui arracher la gorge. Oui, littéralement, sans sous-entendu, il voulait lui arracher la gorge, comme un prédateur le ferait avec sa proie dans la savane. Ah que ça lui manquait… Il voulait retourner en Afrique… lui rendant son coup de coude l’air de rien, il essayait de ne pas trop bouger sous les regards du professeur qu’il sentait sur eux. Ils ne passaient pas inaperçu mais bientôt serait la fin du cours. Il voulait en finir avec cette journée, il la trouvait tellement longue et ennuyante c’était horrible. Rester assis de la sorte ce n’était définitivement pas pour lui. Le cours finissant enfin après plus de quarante minutes de tortures, il se leva au même moment ou le professeur s’en alla. Posant sa main sur l’épaule de Taiga il se mit enfin à rire. « J’espère que tu l’aimes cette chaise… Pour le meilleur et pour le pire. » Souffla-t-il avant d’attraper sa tête et lui écraser franchement et d’un coup sec contre la table. S’il pouvait lui fracturer le crâne il en serait ravi. L’abandonnant là, il ne put s’empêcher de rire franchement. Foutre de la glue ultra forte sur sa chaise avait été ne très bonne idée. D’ici à ce qu’il se décolle il pouvait aller au dortoir pépère.

Ce message a été posté Mer 27 Avr - 12:57

TENUE. † Si pour lui les cours sont ennuyants, bien que je l’ignore forcément ne sachant même pas la raison de sa venue dans l’établissement, pour moi c’est une autre histoire j’ai passé encore une fois toute l’heure à étudier sérieusement, écrire chaque mot, chaque texte dicté par les professeurs, dessiner mes croquis avec sérieux, normalement on n'a jamais de cours écrit qui se suivent, mais ça arrive de temps en temps avant d’enchainer la pratique, on passe plus de temps dans les ateliers ou à apprendre sur de vrais matériaux qu’à tout noté comme un cours simple, c’est l’avantage d’être en mode, il y a tout le temps des festivals, des boulots de groupes, des défis, j’adore ça. À part donné un coup de coude à mon voisin je n’ai pas vraiment cherché la merde, il ne m’a pas fait chier non plus, mais quand l’heure de la fin du cours arrive il semble bien trop fier de lui en me tapotant l’épaule, ses paroles ne me rassurent pas et le voyant s’éloigner je tente de me lever, mais impossible... Mon vêtement est collé à la chaise, putain. Sur le coup je râle envers cet enfoiré qui fait des coups de gamin, un pauvre merdeux qui n’a pas d’intelligence, oh que oui il m’énerve ! Mais bon je ne compte pas rester là indéfiniment je finis par défaire la fermeture de mon jean et la chaine qui me sert de ceinture pour agilement le retirer en laissant seulement le jean sur la chaise, non sans difficulté je vais quand même l’avouer... c’était difficile mais j’y suis arrivé. Maintenant en boxer je n’ai qu’à trouver quelque chose à mettre autour, on est dans une salle de mode ce n’est pas bien difficile, ouvrant le placard j’y trouve des tissus pour les confections, je passe l’un d’eux autour comme les tenues des anciens romains ou que sais-je, même un truc aussi simple me va bien, il va comprendre que rien ne m’arrête ce connard. Les regards sur moi, je suis un type mannequin qui porte souvent des tenues extravagantes, personne n’oserait me critiquer de toute manière, sortant de l’école je jure que je vais me venger, mais ça il doit encore l’ignorer. Pour l’instant je dois juste rentrer au dortoir, je m’occuperai de lui plus tard, fallait qu’un con comme ça se pointe, fait chier.

Ce message a été posté Lun 2 Mai - 21:17

tenue. † Il était calme, paisible, comme si rien ne c’était passé. Ah. Il était satisfait de son coup, y’avait pas à dire. Il aurait même bien pris une photo, mais ça aurait fait un peu too much. Il ne voulait pas non plus passer pour un fou. Marchant en direction des dortoirs parce qu’il en avait marre, parce qu’il ne voulait plus aller en cours, il se stoppa en regardant à sa droite. L’impression d’avoir vu quelque chose. Secouant la tête, il reprit sa marche. Ça lui arrivait de plus en plus, mais ça, il n’en pipait pas mot. A personne. C’était de simple hallucination, la fatigue. Surement. Passant une main sur son visage il essaya de ne plus penser à tout ça avant de filer dans les couloirs et monter dans sa chambre. Entrant, se retrouvant seul, tout le monde en classe, l’autre abruti, collé sur sa chaise, il prit sa valise pour la défaire dans la chambre qui lui était attribué. Il n’avait jamais vécu en collocation, il se demandait même comment ça allait se passer. Rangeant tout en ordre et avec précaution, il quitta sa chambre pour chercher celle de Taiga. Il ne lui fallut pas bien longtemps pour découvrir laquelle c’était. Les fringues dans l’armoire et le design de sa chambre pué à plein nez l’autre teubé. Amusé, il ne perdit pas de temps. Poil à gratté dans les draps, il refit le lit à l’identique avant de partir dans la salle de bains de celui-ci. Attrapant le savon il en fit couler dans la baignoire pour bien l’étaler et faire en sorte que ça ne se voit pas. Oh, il comptait bel et bien lui faire la misère. Se lavant les mains au lavabo, il partit prendre une boite de punaise et en mit au fond des chaussures de celui-ci. A la guerre comme à la guerre n’est-ce pas ? Une fois fait, il partit en cuisine pour se prendre un truc à manger. La journée allait être parfaite.

Ce message a été posté Jeu 5 Mai - 22:50

TENUE. † Journée de merde, sérieux j’ai beau me ressasser les événements ce mec sorti de nulle part je ne compte pas le laisser m’humilier aussi facilement, déjà je dois faire des recherches pour savoir qui est cet abruti. Je ne sais pas encore que je suis lié à lui jusqu’à dans mon propre dortoir, dire que j’aurais pu prendre une chambre pour moi tout seul, faut croire que c’est ma « punition » pour avoir voulu être modeste... Quelle blague, je marchais avec la simple idée de rentrer et me reposer, me changer et oublier cet enfoiré. Poussant la porte du dortoir, mes pas s’arrêtèrent en voyant ce mec dans la cuisine de la salle commune... Une grimace et un soupire, je rêve... Plutôt que de lui rentrer dedans je préfère l’ignorer pour l’instant, pas d’humeur à lui adresser la parole, la vengeance est un plat qui se mange froid comme on dit. Fermant la porte de ma chambre je retire le tissu autour de ma taille me retrouvant rapidement en sous-vêtement, le jetant dans un coin, pour filer dans la salle de bain, je veux un bon bain relaxant avant de bosser... Bosser ! Merde, j’ai oublié de rappeler mon manager avec toutes ses conneries... Un nouveau soupire et je hausse les épaules, tant pis, ça attendra la fin de mon bain. Une serviette sortie du placard je me déshabille sans me douter que le brun ait pu entrer dans mon espace vital, passant un pied dans la baignoire je me retrouve rapidement à emporter dans celle-ci glissant en arrière, mon dos heurtant le verre avec force, m’arrachant un gémissement de douleur et une grimace digne de ce nom. MERDE. Ça fait mal. Je me rends vite compte qu’un produit est étalé sur la surface, du savon ? Je n’ai pas besoin de plus de temps pour faire le rapprochement... Je me lave en vitesse malgré la douleur aiguë, je me suis ruiné putain. J’en oublie mon bain pour le troquet contre une simple douche rapide, trop en colère pour me détendre. Mettant mon peignoir, je ne prends même pas le temps de m’habiller, sortant de ma chambre pour foncer sur le brun et le choper par le col à mon tour. « Enfoiré ! C’est toi qui as fait ça, ta rien dans le crâne ma parole ! Qu’est-ce que tu as touché encore dans ma chambre, qui ta donner le droit d’y entrer ? T’as rien d’autre à foutre que me faire chier, je te préviens je ne vais pas rester gentil bien longtemps si tu continues comme ça. » Je suis vraiment agacé, je ne le connais pas et il me prend pour cible ? Généralement je garde toujours le sourire et je ne me laisse pas emporter facilement, je suis un démon « calme » et « cool », mais lui il les enchaine et a force ça me tape sur le système, s'il veut jouer à ça je ne vais pas me retenir, il est prévenu.

Ce message a été posté Ven 6 Mai - 22:58

tenue. † Il se réjouissait d’avance. Oh que oui. Il avait envie de pouffer de rire, clairement, sans aucune retenue, mais il se forçait à ne pas rire. Le voir aller dans sa chambre, il se doutait qu’il allait forcément aller là où sont les pièges. Au moins un d’eux. Arrêtant tout ce qu’il était en train de faire, il guettait, attendant d’entendre le moindre bruit de la part du prétentieux. C’est lorsqu’il entendit le bruit de la chute qu’il explosa de rire sans aucune retenue. Il espérait intérieurement qu’il se soit fait mal. Pourquoi pas, même s’être brisé une jambe, un bras ? Ah, il voulait le voir sur une civière prêt à se faire larguer dans l’ambulance, direction l’hôpital. Pourtant le bruit de l’eau par la suite, lui fit sortir un râlement. Ce gosse était trop dur à cuir. Fallait qu’il y aille plus fort pour pouvoir le briser. Ça le faisait déjà chier rien que d’y penser pour dire… Soupirant, il se servit à boire, pour se désaltérer avant de l’entendre venir par là. Posant son verre il se tourna au même moment ou le petit blond l’attrapa par le col. « Enfoiré ! C’est toi qui as fait ça, ta rien dans le crâne ma parole ! Qu’est-ce que tu as touché encore dans ma chambre, qui ta donner le droit d’y entrer ? T’as rien d’autre à foutre que me faire chier, je te préviens je ne vais pas rester gentil bien longtemps si tu continues comme ça. » Ah… Les yeux levés au ciel il soupira longuement. Sans attendre une seconde de plus, de sa main droite, il attrapa ce qui servait de virilité à ce type, fermant sa main dessus, sans aucune impunité, écrasant le tas en tirant pour bien lui faire mal. « Bien sûr que tu ne vas pas rester gentil, mais moi non plus. Tu vas enfin découvrir ce que ça fait de se faire humilier, frapper, abuser… » Dit-il d’une voix basse, tellement basse que ça pourrait être suspect. « Je suis comme un prédateur et tu es la proie. Tu sais ce que font les prédateurs avec leurs proies ? » Il enleva sa main de son col pour le pousser et le plaquer contre le frigo. « Ils les chassent, lentement, très lentement, ils s’amusent avec eux, et les laisse mourir à petit feu. » Le lâchant il soupira en arrangeant son haut. Il était tellement une mangouste s’amusant avec sa proie avant de la tuer. « Ta queue est aussi petite que ta cervelle, ça m’étonne pas. »

Ce message a été posté Sam 7 Mai - 7:55

TENUE. † Je ne m’attendais pas à devoir le supporter en plus des cours dans notre dortoir, quel coup du sort étrange et agaçant, il ne s’est pas passé une heure que j’ai déjà failli me tuer dans ma propre chambre à cause de cet enfoiré, mettre du savon dans la baignoire pour la rendre glissante, c’est un gamin ? C’est quoi son problème, je ne suis pas un ange, bien au contraire, mais quand on me fait autant chier j’aimerais savoir les raisons, là ça s’enchaine et je vais vraiment perdre mon sourire et lui sauter à la gorge, patient je le suis, mais faut pas abuser, j’ai des principes et une fierté, pauvre naze. Je l’ai donc rejoint dans la cuisine où je ne perds pas de temps pour l’agripper et lui dire ce que j’ai à dire entre quatre yeux, merde à la fin. Bien entendu je ne m’attendais pas, mais alors pas du tout a ce que ce con me choppe par en bas avec une force me faisant grincer des dents, quel... Il me fait mal ce connard, mais je ne baisse pas le regard, je trouve ça complètement fou qu’il ose allait jusque-là, prêt à rétorquer il a pris la parole avant moi le laissant terminer son petit charabia. « T’es complètement taré... J’ai l’air d’être une proie ? Rêve pas enfoiré, qui tu es pour espérer me faire découvrir ses choses ? » Sérieux, il m’a choisi au hasard ? J’en doute, il avait dès le début l’intention de me casser les burnes. Chopant son poignet droit, je suis loin de capituler, le serrant avec force tout en lui tenant tête, c’est moi qui dirige ici. Plaqué contre le frigo, il me casse vraiment les couilles -sans mauvais jeu de mots- le regard sanglant qui le fixe, j’ai de réelles envies de meurtre. « Si l’un de nous doit mourir, ça ne sera pas moi. » Je suis sérieux. Lorsqu’il s’éloigne et parle de mon sexe, je n’hésite pas à lui envoyer un cou de genou dans le sien sans douceur, à charge de revanche. « Ne sois pas jaloux. » Attrapant une poêle trainant par là je le frappe avec d’un coup direct. « Garde tes mains baladeuses et dégueulasses sur ta queue la prochaine fois, je ne suis pas intéressé. » Rageant, je hais se type. Si c’est la guerre qu’il veut, je suis son homme.

Ce message a été posté Dim 8 Mai - 10:57

tenue. † « T’es complètement taré... J’ai l’air d’être une proie ? Rêve pas enfoiré, qui tu es pour espérer me faire découvrir ses choses ? » Il était l’animal, il était le maitre, il était le roi, il était son pire cauchemar, voilà ce qu’il était et ce qu’il avait envie de lui répondre. Mais à la place, ses lèvres s’arquèrent dans un sourire en coin, dévoilant une facette de lui légèrement flippante. Ce genre de sourire qui ne dit rien qui vaille. « Tu seras ce que je veux que tu sois… » Il susurrait ses mots d’une voix tellement basse que c’en était un peu bizarre. Mais il était d’un calme olympien, amusé de la situation. A présent il n’était plus en colère contre lui, il en était au stade où il avait envie de s’amuser pour le tuer. C’était le stade au-dessus, et ce n’était pas forcément bon pour ce mec. « Si l’un de nous doit mourir, ça ne sera pas moi. » Et pourtant, si quelqu’un ici dans cette pièce avait tué dans sa vie, c’était bien Tomoe. Oh, pas des humains, mais des animaux. Dangereux pour l’humain, devenu fou. Certes ce n’était pas un grand guerrier et il avait usé de médicament pour cela, mais il avait la mort dans les mains, s’il était triste quand il s’agissait d’animaux, il ne le serait pas pour ce type. Donnez-lui une seringue, qu’il puisse l’euthanasier. Sentant son genou sur ses parties intimes, il contracta sa mâchoire sous la douleur. Ça faisait terriblement mal. Il avait envie de pouvoir se reproduire, alors s’il pouvait éviter de le castrer ce sale con. « Ne sois pas jaloux. » Jaloux ? Mon dieu, mais non, Tomoe n’était pas jaloux d’un type comme lui. Jamais. Recevant un coup de poêle dans la tronche, il recula en portant sa main à sa tête. Celle-ci lui tournait légèrement, mais rien de bien méchant. « Garde tes mains baladeuses et dégueulasses sur ta queue la prochaine fois, je ne suis pas intéressé. » Attrapant la bouteille qu’il avait sortie pour boire, il lui donnait un franc coup à la tête, explosant la bouteille en gardant un des bouts dans sa main, il s’approcha un peu plus pour lui planter franchement le bout de verre dans le bras. « C’est plus très marrant. Surtout si je te tue aujourd’hui. » Le poussant, il soupira en essuyant son front ou du sang coulait. Quittant la cuisine, il prit ses affaires pour partir du dortoir. C’était mieux ainsi, sinon il ne serait pas satisfait d’en finir aujourd’hui.

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