■ son prénom coréen est eunbyul et son prénom japonais est kanon ■ depuis l’âge de six ans, son père l'a promise au fils d’un de ses amis, celui-ci serait l'héritier choisi par son père pour reprendre l’entreprise. ■ elle a une sœur et un frère, ils sont tous les deux plus âgés qu’elle ■ elle a perdu sa mère alors qu’elle était encore jeune, elle n’en a que de vague souvenir. ■ elle s'est jouée parfaitement du violon et du piano, ayant appris très jeune. ■ elle raffole des fruits rouges, que cela soit fraise, framboise, myrtille, mûre ■ elle écoute beaucoup de musique classique et adore cela, ça l’apaise en quelque sorte ■ elle est allergique aux crustacés et même si elle ne l’était pas, elle ne pourrait pas en manger trouvant ça juste ignoble. ■ Elle aime tout ce qui se rapporte à l’art, elle ne peut pas vivre sans. La musique c’est toute sa vie, la danse, le chant. Toutes ses disciplines qu’elle trouve importantes. ■ son père lui a appris à tirer avec une arme à feu ■ sa couleur préférée est le noir, c’est simple, sombre et ça va avec tout. ■ elle adore lorsqu’il pleut et qu’il y a des éclairs, elle préfère même cela au soleil. ■ elle est passionnée par l’astronomie.  ■ elle fait de la boxe et de l'iaido ■ elle a un tatouage de la constellation Cassiopée sur l'intérieur de l'avant bras, un phénix sur son poignée ainsi que divers autres tatouages et piercings. ■ elle est atteinte d'une analgésie congénitale la rendant ainsi insensible à la douleur physique. ■ elle a peur du feu depuis un événement qui l'a traumatisée ■ elle est coulrophobe, elle est donc phobique des clowns et pyrophobe ■ elle a du sang sur les mains

Quand on la regarde attentivement, on pourrait croire que Calypso est assez simple à cerné. Mais détrompez-vous, cette âme torturée n'est pas aussi simple que ça. En effet, une seule question effleurait son esprit détraqué à chaque moment de la journée : quelle était sa raison de vivre . Les démons de son passé refont surface assez souvent si on prête attention à la jeune femme. Violente, sarcastique, abrupte tant de mots pour décrire Calypso, qui essaie tant bien que mal de faire le bien autour d'elle. Mais tout ce qu'elle touche se transforme en poussière, tel un phénix qui renaît de ses cendres, elle est née pour mieux mourir ensuite. La vie ne l'ayant pas gâtée contrairement à ce qu'on pourrait croire en regardant son physique de vénus et sa fortune, Calypso est une personne froide, souvent avec les personnes qu'elle chérit plus que tout. Mais que peut-elle y faire ? Elle a pourtant tout pour être heureuse, mais son esprit rongé par la haine, l'empêche d'atteindre le nirvana. Si vous l'approchez, protégez-vous, son sourire ravageur et ses yeux de biche peuvent vous faire tomber dans ses filets et vous emmenez dans sa chute. Enfermée dans son passé, elle a du mal à oublier et surtout ne peut pas pardonner. Pourtant, il arrive à la jeune Calypso de sourire, surtout lorsqu'elle est en compagnie d'une certaine personne. Elle peut tout aussi bien câliner ses proches, eux-mêmes seront choqués de cela, pourtant lorsqu'elle le fait ils acceptent sans hésiter. La belle a du mal à se faire des amies, sans doute une petite part d'agoraphobie là-dessous. Son corps est rongé par la haine et pourrit de l'intérieur, du moins c'est comme ça que la jeune femme le voit. Elle se dégoûte, déjà pour ce qu'elle fait endurer à ses proches et pour ce qu'on lui a fait.


L'un des nombreux jours qui vont hanter sa mémoire jusqu'à son dernier souffle. Ancrée dans sa mémoire c'est une journée difficilement oubliable pour la jeune femme, pourtant cela était bien partie pour être une belle après-midi. C'était durant l'un des banquets mensuels organisé par les deux familles, celle du fiancé et celle de Calypso. Pourtant, chaque mois était un lieu différent afin de ne pas attirer l'attention, cette fois-ci s'était dans un entrepôt à l'abri des regards. Un vieil entrepôt réaménagé exprès pour l'occasion, après tout ce n'était pas comme-ci les deux familles n'en avaient pas les moyens. Les deux familles étaient réunies ainsi que certaine personne de Pandora, des gardes du corps à chaque entrée et tout autour du bâtiment. Ce genre de journée n'était pas appréciée par la jeune femme, elle voulait que tout ceci soit terminé au plus vite, après tout elle avait l'impression d'avoir un toutou qui ne faisait que la suivre pour lui donner quelques amuses-bouches. Calypso, repousser à chaque fois chaque aliment que son cher et tendre lui proposer, avant que celle-ci ne se mette dans un coin avec juste sa flûte de champagne. La grosse erreur de sa part, l'agneau qui s'éloigne du troupeau et le loup qui est à l'affût. L'entrepôt pris feu et le feu se propage assez rapidement, c'était la première fois qu'elle voyait autant de flamme dans un même endroit, la première fois qu'elle voyait autant de personnes s'affoler et se diriger vers les sorties. L'air en devenait irrespirable, la jeune femme recroquevillée sur elle-même n'arrivait pas à supporter l'odeur et cette sensation d'étouffement. Elle toussait plusieurs fois d'affiler et essayait de tâter avec sa main devant elle afin d'avancer à quatre pattes. Le souffle coupé, elle n'arrivait plus à avancer, serait-ce la fin ? Peut-être aurait-elle voulu, mais son fiancé qui s'inquiétait était reparti la chercher. Sa phobie pour le feu vient de là, elle ne veut plus jamais ressentir cette sensation d'étouffement.


Jamais elle aurait imaginé que ce jour arriverait, ça n'arrive que dans les films, dans les songes les plus profonds, un vice caché. Pourtant, Calypso l'a expérimentée, son rêve devient rapidement réalité, un rêve de voir une personne disparaître, car elle fait du mal autour d'elle, mais un cauchemar, un gouffre sans fond pour la personne qui appuie sur la détente. C'était un soir de pleine lune, elle était avec son fiancé dans une des nombreuses maisons de vacances à Séoul, en compagnie de sa sœur et de son copain du moment. Le fiancé de la belle Calypso était parti faire les courses, la jeune femme du rester seule en compagnie de sa sœur et de cet homme qu'elle n'arrivait même pas à regarder tant il la dégoûte. Il était ce genre d'homme à la main facile, à la descente facile, un verre de trop comme toujours et les coups partaient sur sa sœur plus âgée. Calypso en était témoin pour la première fois, bien qu'elle se doutée de quelque chose en voyant le corps de sa sœur remplie de bleu et parfois même d'un cocard. Elle le savait, que même si elle avait pratiquée beaucoup d'art martiaux, cela n'en reste pas moins un homme, quelqu'un de plus fort qu'elle qui ne fait pas 50kg toute mouillée. Elle avait essayée tant bien que mal de le pousser, mais comment pouvait-elle faire devant une telle masse corporelle. Alors, sans sourciller, sans reprendre une seule fois son souffle, elle pris l'arme qu'elle gardait toujours sur elle avant de le pointer d'une seule main sur la tête de cet homme et de tirer. Elle n'avait pas eu une seconde d'hésitation, elle n'avait pas eu peur, à croire qu'elle avait déjà fait cela auparavant alors que c'était la première fois. Son fiancé était rentré juste quand elle appuya sur la détente. Elle préfère que sa sœur la déteste plutôt qu’elle doive se déplacer pour son enterrement. C’était le début de la descente aux enfers pour Calypso, le début de sa folie, elle ne sait toujours pas comment sortir la tête de l’eau, heureusement qu’elle a quelqu'un auprès d’elle qui fait vivre la part d’humanité en elle. Calypso n’eut aucun problème avec la justice, après tout, c’était de la légitime défense et de toute manière il ne fallait pas trop de frotter au clan Pandora et puis quelques pots-de-vin, par-ci par-là, arrangeait toujours tout.