TENUE ••• Il soupire pour la énième fois dans sa voiture.. Franchement.. Il fallait qu’il se la joue baby-sitter.. Il y a quelques temps, c’était faire de la prévention pour gosses de riches dans un lycée où, il avait rencontré un gamin intéressant. Désormais, c’était jouer les gardes du corps pour deux gosses qui ont été là au mauvais moment au mauvais endroit. Pauvre choux.. Il allait les plaindre.. Enfin, là, c’était lui qu’il plaignait. Il devrait montrer de la compassion, mais en réalité.. Il n’arrive même pas à compatir enfin.. De toute façon, il n’a jamais vécu que comme un rat de laboratoire alors, ne lui demander pas de comprendre les autres.. Il ne cherche pas vraiment. Une fille et un gars.. Il espérait juste que la demoiselle ne soit pas une fontaine et que le gars ne se la joue pas c’était quoi le nom du gars dans le film qu’il a vu la dernière fois.. Chuck norris ? Voilà quoi.. Enfin, tant qu’ils ne se la jouaient pas trop avec lui, cela devrait bien se passer. C’est ainsi, que d’un pas nonchalant, une sucette dans la bouche, il sort du véhicule, et décide d’un pas trainant, faisant coucou à un petit garçon au passage, pour se rendre dans l’immeuble et monter les étages quatre à quatre. De là, il décide de sonner une première fois et.. Sadique comme il était, de sonner une seconde fois.. Il n’y a pas à dire.. Il se demandait vraiment où était le flic qui devait les surveiller. Sûrement accompagner l’un ou autre pour les courses ? C’était fort possible. Ou alors, il avait quitté ses fonctions de surveillances un peu avant qu’on lui en donne l’ordre ? Possible aussi. Remontant ses lunettes sur le bout de son nez.. Il regarde à droite, puis à gauche, à l’écoute du moindre bruit suspect, il finit par pénétrer dans l’appartement avec le double des clé qu’on lui a donné, bien que crocheter la serrure était un jeu d’enfant pour trouver un appartement vide. Chouette. Il fit comme chez lui, alla dans la cuisine pour prendre une bière, qu’il décapsule sans mettre le bouchon à la poubelle, il mit les pieds sur la petite table après avoir sauté sur le canapé et, décida de mettre le match de foot qui était en train d’être diffusé en attendant les deux jeunes.
« Pas mauvaise cette bière framboise. Bref, alors où en est la Corée du Sud contre l’Allemagne ? »
TENUE † Le frigo était presque vide. Il était temps de faire les courses. Nawaki travaillait, pour ne pas changer. Moi ? Je travaillais à la maison, alors forcément… Je sortais bien moins que lui, et j’avais plus de temps pour faire les courses. J’attrapais mes affaires, avant de me préparer à y aller. Le plus chiant dans cette nouvelle vie, c’est que je n’avais pas de voiture, pour porter les courses. Soit. Je me musclais depuis quelques temps, voyons le bon côté de la chose. Enfilant mes chaussures, je quittais l’appartement seule. Je n’avais pas besoin d’être baysitté pour ça. Filant dans le premier supermarché du coin, j’enfilais des gants plastiques, et me mis à faire les courses. Des fruits, beaucoup de fruits et de légumes. J‘en profitais aussi pour acheter de la viande ainsi qu’à boire. Je n’étais pas très bière, mais j’avais remarqué que Nawaki, si. Alors je pris un pack de cinquante. Même pas sortie du supermarché, que je trainais les sacs par terre. Je me pris du thé pour moi. Mais surtout, avec cette chaleur, des glaces. J’étais fan de glaces, alors forcément… Payant le tout, je me retrouvais avec deux sacs pleins à craquer dans chaque main. Je faisais cinq mètres et je m’arrêtais. A nouveau cinq mètres et pause. Entre la chaleur et le poids. Je crevais. Finissant par arriver, j’entendis la télévision. Nawaki ? Je jetais un coup d’œil. Non. Et... C'est qui ? Je l'examinais, de dos, vu que j'étais derrière lui... Je regardais autour de moi. Ou est l'autre flic ? C'était pas un moulin ici. Posant les sacs dans la cuisine, je finis par m'approcher, pour voir, ce japonais aussi blanc qu'un cul, boire une bière. Surtout fais comme chez toi. « Excusez-moi... Mais je doute que vous soyez chez vous. » J'avais une chance sur deux, soit c'était un flic. Soit on nous avait retrouvés et j'allais mourir la première. Attrapant sa bière, je fis un sourire un peu coincé avant de prendre mon téléphone. « J'appelle la police. » Dis-je en poussant d'un coup de pieds ses tibias pour qu'il vire les pieds de sur la table basse. Ça sonnait. Vite. Fallait que quelqu'un décroche.
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Ce message a été posté Ven 6 Juil - 15:08
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Lunan & Shin
TENUE ••• Il avait entendu la porte, mais il n’avait pas sourcillé. En même temps, au vu du bruit qu’elle faisait, il avait l’impression d’entendre un éléphant qui marchait dans une boutique de porcelaine. C’était bien ça l’expression non ? En même temps, il n’y avait personne, et puis, et au vu de ce parfum qui cocote, sûre que cela devait être la bambine qui venait de rentrer. Les filles c’était d’une chiante attitude pas possible. Il y avait encore leur hackeur au brin timbré qui changeait radicalement la donne. En même temps, elle n’était pas vraiment une enfant de coeur non plus, mais cela lui plaisait vraiment. Enfin, elle était fun et puis, tous les deux avaient décidé de jouer à la courte paille pour savoir qui allait jouer les babysitter en premier. On voit la motivation. Disons, que d’un côté, c’était pour rendre ce qu’on lui a fait subir pendant deux ans.. Deux ans de surveillance et encore, lui, n’avait même pas le droit de se balader plus loin que le combinis en face de son appartement.. Sans la regarder entièrement il finit par dire :
« C’est clair, chez moi ça ne sent pas la fillette. »
Autant dire qu’avec sa transpiration, elle empestait. L’odeur était vraiment insupportable. Franchement, on devrait dire aux filles d’arrêter de mettre autant de produits. Il la reluque de bas en haut une fois qu’elle lui donne un coup de tibia et la voit en train d’appeler :
« Si tu appelles les flics, laisse tomber, elle est déjà là. »
Il le prouva en sortant son insigne de sa poche, pour lui dire de raccrocher et de regarder le match :
« En tout cas, pour quelqu’un qui a pas de poitrine, tu fais un bruit aussi monstrueux qu’un éléphant. Si j’avais été un tueur.. A peine tu aurais ouvert la porte que je t’aurais tué. »
Il n’y a pas à dire, la délicatesse il ne connaissait pas, mais en même temps, il ne voyait pas du tout le mal. D’ailleurs, il finit quand même par se présenter de façon nonchalante tout en remettant ses pieds sur la table.
« Tsukishima Shin, inspecteur de police et aussi, l’un des deux nouveaux flics qui vont vous servir de baby-sitter. »
TENUE † « C’est clair, chez moi ça ne sent pas la fillette. » La fillette ? Il m’aurait dit les produits ménagers car je fais constamment le ménage, ok. Mais alors ça… ça prouvait bien qu’il ne savait pas quoi me répondre. J’avais beau aérer la demeure, je le savais, ça sentait constamment les produits de ménages… Mais c’était plus fort que moi. Il fallait que tout soit propre, que tout brille, qu’il n’y ait pas de saleté, ni rien… Quel connard. « Si tu appelles les flics, laisse tomber, elle est déjà là. » Je regardais son insigne et je me dis, que la police n’avait que des tarés dans leur service. Entre l’autre et lui maintenant, on était servi. C’est eux qui avaient besoin d’assistance psychologique… Je finis par raccrocher, agacée. « En tout cas, pour quelqu’un qui a pas de poitrine, tu fais un bruit aussi monstrueux qu’un éléphant. Si j’avais été un tueur.. A peine tu aurais ouvert la porte que je t’aurais tué. » « En quoi le fait que j’ai une petite poitrine vient faire ici ? Espèce de timbré pervers. Encore un connard de machiste qui se croit supérieur en ramenant le physique de la femme. » Je le foudroyais du regard. Je me fichais d’avoir une poitrine petite. Elle me convenait. Mais ça n’avait rien à faire dans cette conversation. « Tsukishima Shin, inspecteur de police et aussi, l’un des deux nouveaux flics qui vont vous servir de baby-sitter. » Je donnais un coup de pied à la table pour qu’elle soit assez loin de ses pieds dégueulasse. J’avais même pas envie de lui répondre. Je ne supportais pas son incivilité. Qu’il aille dans la chambre qui était prévu pour lui et qu’il se fasse discret. Il était chez nous, après tout. Pas chez lui. Lui tournant le dos, je finis par aller ranger les courses, avant que les glaces ne fondent. J’étais agacée et surtout en colère de voir qu’on passait d’une timbrée à un pervers aussi dangereux que les mafieux qui nous recherchaient.
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Ce message a été posté Mer 18 Juil - 20:11
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Lunan & Shin
TENUE ••• « Il n’y a que la vérité qui fâche ≈ Franchement, je me demande comment fait le désormais Nawaki pour vivre sous le même toit qu’une fille banale au caractère de cochon »
La franchise de Shinsuke dépassait vraiment tout ce qu’on pouvait imaginer. Il ne la trouvait pas du tout intéressante, mais en même temps, les insultes ou autres, lui passer au-dessus. Toutefois, il fallait qu’il la reprenne aussi tout en sifflotant après avoir donné un coup sur la table :
« Je pense que je devrais demander à ce qu’on vous inscrive à un cours de yoga. Ce n’est pas bon pour la santé d’être aussi énervée. Vous vieillissez votre visage. »
Dit-il nonchalamment pendant qu’il la laisse ranger les courses. Il va récupérer la pauvre table qui n’avait rien demandé à personne pour remettre ses pieds dessus. Shinsuke se demandait vraiment pourquoi il ne s’était pas convertit dans l’armée ? Ou bien en tant que mafieux ou alors, en tant que chirurgien aussi. Quand à l’insulte qu’elle lui avait donné il finit par reprendre en regardant le match :
« Toutefois, vous avez tort. »
Certes, pour le fait qu’il soit fou, à la limite, ça il acceptait vraiment. Par contre, il ne voyait pas en quoi il était un pervers. Après tout, cela se remarquait au premier coup d’oeil si une jeune femme possédait des formes généreuses ou non.
« C’est visible à des kilomètres si vous avez une poitrine généreuse ou pas. Contrairement à vous, j’ai une observation beaucoup plus développée. Toutefois, si j’étais un pervers, je n’arrêterais pas de profiter que vous ayez le dos tourné pour vous observer, hors je prend plus de plaisir à regarder la télévision que vous. »
Ah que de compliments made in Shinsuke. Pas étonnant que ses « collègues » veulent le tuer parfois au vu de son franc-parler. Il a déjà dit de vive voix à son patron qu’il avait pris des kilos supplémentaires, ou alors à un de ses collègues que sa femme était serveuse dans un bar et draguait un peu. Lui, qui la pensait travailler derrière un bureau. Et des exemples de ce genre, ce n’est pas ce qui manquait.
TENUE † « Il n’y a que la vérité qui fâche ≈ Franchement, je me demande comment fait le désormais Nawaki pour vivre sous le même toit qu’une fille banale au caractère de cochon » Je levais les yeux au ciel. Encore un abruti, qui ne comprends pas ce qu’il a fait de mal. Les hommes, presque tous des abrutis sans cervelles, qui pensent qu’ils peuvent dire tout ce qu’ils veulent. « J’aime ma poitrine, j’ai aucun complexe sur le fait qu’elle soit petite. Mais ça n’a rien à voir dans cette discussion, c’est tout. » Et je crois bien que ça ne sert à rien de discuter avec un abruti pareil. Et puis Nawaki et moi, on s’entendait plutôt bien. Jamais de dispute, rien. Parce que lui il était cérébré et intelligent, pas comme l’autre gros con, assis sur ce canapé. Je préférais ignorer, et ne pas écouter, ce qu’il me disait. J’étais concentrée sur ma tâche, qui était de ranger les courses. D’ailleurs, avec le bruit des sacs et autres plus, le bruit de la télévision, ça m’aidait à l’ignorer, allègrement. Il pouvait causer autant qu’il voulait, je ne l’écoutais plus. Finis de ranger, je pliais les sacs pour les rangers afin de les utiliser pour une prochaine fois. Me nettoyant les mains je les séchais avant d’enfiler des gants pour nettoyer la cuisine. De temps en temps, je regardais vers l’autre idiot sur le canapé. J’osais espérer qu’il allait s’en aller bien vite. Je n’avais pas envie de lui dans les parages ces jours-ci. Voire, jamais. Ça m’agaçait. Après quelques minutes, je finis par tout ranger, pour m’attraper une glace et un thé glacé. Assise sur une chaise haute dans la cuisine, je fixais l’individu, sans un mot. Il allait falloir fixer des règles ici. C’était chez Nawaki et chez moi. Ils avaient leur chambre. Leur télé. Qu’ils se démerdent. Puis je ne voyais pas l’intérêt de leur présence ici. Ils pouvaient largement se barrer. Vivre à coté ou au-dessus, mais pas chez nous.
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Ce message a été posté Sam 4 Aoû - 9:56
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Lunan & Shin
TENUE ••• « C'est surtout toi, qui en fait tout un plat et qui continue de mettre ta poitrine dans les sujets.Tu vois je suis passé déjà à autre chose. »
Franchement, une gamine pleurnicheuse, il avait gagné le pompon. Enfin, elle semblait ne pas apprécier les critiques. Et puis quelque part, il n' a jamais supporté les filles pour cela. Oh, il y avait bien des perles, mais ces dernières étaient devenues rares. Franchement, il aimerait être ailleurs que là à cet instant, mais les ordres étaient des ordres. Il ne ressentait pas vraiment d'empathie envers ses protégés. Eux au moins, pouvaient sortir sans avoir un garde du corps tout le temps.. Lui, on l'avait collé aux basque h24 ! Vous parlez d'un favoritisme. Tout simplement, parce qu'il n'était pas né du bon côté de la Corée. Ah vraiment.. En tout cas, c'est aussi ce qui le pousse à être plus chiant. Ce qu'on lui a fait, il allait le faire endurer à ces "gamins" alors qu'il n'avait sûrement qu'à peine quelques années supplémentaires d'eux. Rien de très notable en soi. Il sentait vraiment une pointe d'animosité envers lui.. Cela le fait plus rire qu'autre chose :
« Vous savez c'est très mal poli de regarder les gens comme vous le faite.. J'ai l'impression que vous ne m'aimez pas beaucoup ! Je me trompe ? »
En réalité, il n'avait même pas envie de la regarder, non pas parce qu'il en était effrayé, comme les mouches, il pouvait l'écraser, non, c'est surtout parce qu'en toute honnêteté et, il lui fit savoir :
« C'est bizarre, car franchement, tu me fais ni chaud ni froid.. »
Il ne ressentait vraiment rien. En un seul regard et ces quelques mots, il l'avait jugé.. Trop chichi.. Tiens, il allait la surnommer comme ça. Chichi Pompom, c'était un beau surnom non ? Il ne lui demanderait pas son avis, car il n'en avait rien à faire.
TENUE † « C'est surtout toi, qui en fait tout un plat et qui continue de mettre ta poitrine dans les sujets.Tu vois je suis passé déjà à autre chose. » Je le fixais sans rien dire. Non seulement il faisait des allusions et en plus quand j’osais me défendre, il osait me foutre ça sur le dos. Le cliché du parfait connard de misogyne. Pas besoin de se casser le cul avec ce genre de mec. Il n’en valait pas la peine. Il m’agaçait déjà. Il me suffirait de l’ignorer. Tout simplement. Je passais rapidement une main sur mon visage. Le temps allait passer lentement avec ce gros porc dans notre maison. Je ne comprenais pas pourquoi ils devaient vivre avec nous. C’est du gros n’importe quoi. Ça attire encore plus l’œil, de voir du monde défiler comme ça. Mais bon soit. S’ils sont cons, ce n’est pas de ma faute. « Vous savez c'est très mal poli de regarder les gens comme vous le faite.. J'ai l'impression que vous ne m'aimez pas beaucoup ! Je me trompe ? » Je laissais mes lèvres s’arquer. Quel con. « Je suis chez moi, je fais encore ce que je veux. » Le jour où il paierait un loyer il pourra ouvrir sa gueule. En attendant ils squattent ici sans rien payer. Pourquoi on ne tombait que sur des gens chelou ? On ne pouvait pas avoir des gens normaux un peu ? Non, c’était trop demandé… « C'est bizarre, car franchement, tu me fais ni chaud ni froid.. » J’haussais les épaules. Je m’en foutais royalement. Je mangeais tranquillement ma glace tranquillement sans répondre. Il pouvait courir pour que je lui porte une quelconque attention. D’ailleurs, je sortis mon téléphone de ma poche, pour flâner dessus. Lui faisant comprendre que j’allais l’ignorer.
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Ce message a été posté Dim 26 Aoû - 19:36
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Lunan & Shin
TENUE ••• « Je ne veux pas casser ton délire, mais rien ne t’appartient. Tu loues.. Et encore à moindre prix puisque ce sont les forces de l’ordre pour lesquelles je travaille qui t’ont offert cet appartement de planque. Donc, en toute logique, c’est autant à moi qu’à toi. »
En effet, eux payaient peut-être pas en monnaie, mais ils payaient de leur temps pour protéger des gamins. Encore qu’il était persuadé qu’il s’entendrait bien mieux avec l’autre garçon. Il n’y avait même pas photos en fait. Les filles c’était chiant.. Il y en a pas une qui sortait du lot ou plutôt, elles étaient rares comme on dit. C’est ce qui rendaient ces « filles » plus intéressantes que les autres d’une certaine façon. Franchement, pour l’amabilité et l’hospitalité, elle repassera.. Heureusement, qu’elle ne tenait pas un hôtel, ou une maison d’hôtes, car franchement, elle n’aurait jamais de clients. En tout cas, regardant, le match et se rendant compte, qu’il avait terminé sa bière, le jeune homme de 26 ans, décida d’aller jeter sa bière comme un grand comme pour en prendre une autre fraîche. S’il faisait comme chez lui ? Un peu oui, mais en même temps, c’est pas comme si Miss lunette allait le servir. Elle n’était même pas amusante, franchement, il se demandait où, se trouvait sa collègue sérieusement, au moins, même si elle était folle avec son squelette il se serait plus amusé. Raison, pour laquelle il prit aussi son portable pour essayer de jouer à un jeu.. D’un autre côté, il devait toujours se renseigner aussi auprès de ce testament de la jeune Yun Hua. Une affaire pour laquelle, il s’était pris de « jeu » pour tuer son ennuie. Une question finit par sortir de ses lèvres :
« Tu es comme ça aussi avec tout le monde ou pas ? Je plains ton futur. »
Et ce n’était pas pour dire.. Enfin bon, elle voulait l’ignorer très bien, il allait en faire de même tout en buvant par petite gorgée sa boisson. Quoi qu'il en soit, qu'elle lui réponde ou non, il s'en foutait complètement. Enfin, au moins ils se connaissaient ça, c'était déjà ça. Cela promettait à l'avenir.
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