TENUE † Elle ne voulait pas admettre qu’elle avait eu du plaisir. Je m’en fous, je l’ai vu. Si au début elle avait souffert, il est clair qu’après, elle a pris son pied. Elle ne pourra pas dire le contraire. Son corps avait parlé. Et j’étais prêt à recommencer encore et encore, pour lui prouver qu’elle avait tort. Pour l’entendre dire qu’elle aime ça. Je secouais la tête à cette pensée. Si je commençais à penser ainsi, on n’était pas sortir de l’auberge. L’embrassant après avoir fini nos ébats, j’approfondissais le baiser, tout en caressant son corps. Bien rapidement, elle le rompit. « Tu as eu ce que tu voulais… » Je la regardais faire, alors que de mon côté j’étais allongé sur son lit. C’est vrai. J’ai eu ce que je voulais. J’ai pris mon pied. Je ne m’en cachais pas. Elle était très étroite et ça m’avait rendu fou. Et puis, je ne pouvais pas le nier. Elle était belle. Ses seins. Rien que d’y penser et de les regarder, j’avais envie d’y perdre ma tête dedans. Ses seins si ferme et innocent… ça me faisait rêver. « … Maintenant laisse-moi aller me doucher. » « Hum. » Dis-je simplement en attrapant un coussin pour enfouir mon visage dedans. J’étais à deux doigts de m’endormir. J’étais tellement bien là. Apaisé et fatigué même, je ne me sentis même pas m’endormir.
Lorsque j’ouvris les yeux, le soleil était présent dans la chambre. Je mis quelques secondes ou minutes, avant de me rendre compte que j’étais dans la chambre de Tsuyu. Baillant, je regardais autour de moi. J’étais seul. Rapidement, je regardais l’heure. Il était presque treize heures. Soupirant, je me levais pour aller dans la salle de bains me doucher. Quelque peu froide, je tentais de me réveiller avant d’enrouler une serviette autour de ma taille et filer dans ma chambre. M’habillant, d’un simple pantalon et d’un débardeur, je mis de la nourriture pour ma loutre, avant de filer en bas. Ils avaient déjà mangé. Ma mère avait d’ailleurs laissé les restes sur la table pour moi, avec une cloche pour que la nourriture ne soit pas touché par des mouches ou autre. Baillant, je vis rapidement celle-ci sur le canapé devant la tv, accompagné du père de Tsuyu. Allant dans la cuisine, là, où, Tsuyu se trouvait, je bus un verre d’eau avant d’observer son corps. Les flashs de cette nuit remontaient. Dos à moi, je baissais mon regard sur son fessier avant de m’approcher d’elle, sans un bruit. Nos parents, au loin, eux aussi, dos à nous, j’en profitais pour coller mon corps à celui de Tsuyu. Posant mon index sur ses lèvres, mon autre main, elle se posait sur l’un de ses seins. J’approchais mon visage de son oreille pour y murmurer. « Ça t’excite pas, l’interdit ? » Sous entendu, le fait de la toucher là, alors que nos parents étaient à quelques mètres.
L’eau coulait sur ton corps, faisant disparaître toute trace de cette nuit sur ce dernier. Cette nuit si particulière… A dire vrai, tu n’arrivais pas réellement à réaliser ce qui venait de se passer entre le coréen et toi. Bien que tu ne voulais pas clairement pas lui dire que tu as fini par prendre un plaisir. Les mots ne sont certes pas sortie, mais ton corps lui en a dit beaucoup et ça, il n’a eu aucun mal à le comprendre. Pense-t-il que je suis une fille facile il ne manquerait plus que ça. Ah. Tu te torturais un peu trop l’esprit à ton goût. Une fois savonnée et rincer, tu t’habillais d’une serviette pour retourner dans ta chambre. Tu ne manquais pas d’être surprise en voyant Yi Han endormit dans ton lit. Tu étais bien tentée de le jeter, mais très franchement, l’énergie était loin d’être au rendez-vous. Un soupir traversait la barrière de tes lèvres, avant que tu ne change de pyjama. Allongée à ses côtés, tu te surprenais de le regarder dormir. Dire qu’il semblait si inoffensif ainsi. Ironique.
A dire vrai, tu n’as pas réellement pu trouver un sommeil d’aplomb comme lui, c’est dire si tu avais trouvé le sommeil. Le matin était déjà là, tu te vêtis d’un simple short et un débardeur face à la chaleur qui s’annonçait. Tu as su t’occuper comme tu pouvais, trouvant des excuses que tu espérais étaient valable concernant Yi Han à vos parents. Qu’importe qu’ils te croient ou non. Tu t’engageais à ranger la vaisselle sale, voulant te retrouver toi et tes pensées. Enfin plutôt tenter de les oublier. Mais l’apparition du coréen dans la pièce n’arrangeait en rien tes affaires. Tu te remettais à penser à ce qu’il s’était passé la veille, comme un film que tu repassais en boucle. Tu secouais la tête. Il fallait que tu oublies, ce n’était qu’un coup d’un soir sans conséquences. Tu soupirais lourdement, continuant à ignorer la présence du jeune homme dans la pièce, préférant de loin te concentrer sur ta vaisselle. Mais le jeune homme ne semblait pas l’entendre de cette oreille. Tu lâchais un hoquet de surprise, prise au piège contre lui. Évidemment, il n’hésitait plus une seule seconde a se retenir de me toucher comme si ton corps était a lui. Alors là, dans cette position, il était difficile de ne pas repenser à votre partie de jambes en l’air.
▬ Tu ne crois pas qu’on assez franchi l’interdit hier ?
Chuchotais-tu. Bon, il fallait l’avouer, il y avait un petit côté excitant, cette peur d’être pris sur le fait. Cependant, hors de question de lui donner satisfaction. Tu retirais subitement sa main sur ton sein, gigotant pour te retourner et lui faire face.
▬ Ce qu’il s’est passé hier soir, ce n’était rien. Un coup d’un soir sans conséquences ni suite. Alors pourquoi tu continues de jouer avec moi ?
electric bird.
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Ce message a été posté Lun 16 Juil - 21:24
TENUE † C’est con de ma part, mais de la voir, là, dans la cuisine, j’avais envie de l’agacer, de l’exciter, de la provoquer. Nos parents, étaient dos à nous. Devant la télévision. Pour une fois qu’ils étaient à la maison à cette heure-ci… Ils auraient pu s’en aller et nous laisser tranquilles, non ? J’en venais à avoir de ces idées, je vous jure… Pour autant, ça ne m’empêchait pas de poser une main sur son sein, ferme et délicat. Je le palpais, je l’appréciais. J’avais envie de plus. J’avais envie de sentir la peau de son sein en contact avec la peau de ma main. « Tu ne crois pas qu’on assez franchi l’interdit hier ? » Elle n’avait pas tort, mais personnellement pour le coup, ça m’excitait d’avantage, rien que d’y penser. Sentant ma main se faire repousser, je fis une moue quelque peu boudeuse, alors qu’elle se tournait vers moi. « Ce qu’il s’est passé hier soir, ce n’était rien. Un coup d’un soir sans conséquences ni suite. Alors pourquoi tu continues de jouer avec moi ? » Je passais brièvement ma langue sur mes lèvres, en regardant son corps avec attention. Dans ma tête, je me faisais déjà des films. Son short enlevé, sa culotte déchirée par mes soins, ma main entre ses cuisses pour la malmener et la faire jouir… Il s’en passait des choses dans ma tête oui. « Hum…Quand tu as bu du coca pour la première fois, tu t’es dit que tu n’en boirais plus toi ? » Je la regardais en posant ma main dans son cou pour caresser sa peau. Soupirant longuement, je me penchais pour lui voler un baiser. « Tu sais quoi ? Je t’attends dans ta chambre, hum. » Je lui tapotais doucement la fesse sans faire de bruit, avant de filer en haut, pour aller dans sa chambre. Et si elle ne venait pas ? De toute façon, il fallait bien qu’elle monte à un moment donné. J’étais prêt à attendre.
Est-ce que tu regrettais ce que vous aviez fait cette nuit. Pas vraiment. Même si c’était loin d’être la première fois que tu espérais tant, tu étais quand même avec lui, et ceci semblait surtout compter. Mais tu savais aussi que cette expérience ne serait pas réitéré. Et tu pensais que c’était la même pensée pour le coréen. Mais tu t’es bien trompée. Ses yeux qui te déshabillaient limite du regard. Et cette proximité entre vous n’arrangeait rien pour toi non plus. Ta peau n’avait pas encore oublié ses lèvres, ses caresses, son souffle qui en effleuré chaque parcelle. Tu secouais la tête, ne voulant pas laisser la luxure prendre le pas sur ton esprit. Tu soufflais un ricanement face à l’absurdité de sa drôle de comparaison. Il t’expliquait aisément qu’il n’était pas prêt à te lâcher avec ça ? Et que se passera-t-il lorsqu’il fera une overdose de ce soda ? Tu avais peur de te laisser embarquer dans cette histoire et finir par te remettre à espérer des choses insensées. Tu étais consciente du manège qui lançait. Tout ce qui lui importait, c’était se satisfaire simplement parce qu’il n’avait que toi sous la main. Alors non. J’ai cédé une fois, pas deux. Tu essayais d’en t’en convaincre le mieux que tu pouvais. Hélas, au simple contact de ses doigts sur ta peau, cette dernière se mit à frissonner, et cette aisance avec laquelle il t’embrassait. La, alors que vos parents étaient à proximité. Oui, tu étais forcée de reconnaître que cela avait définitivement un côté excitant à ton grand damne. Tu secouais la tête à gauche à droite, tentant de chasser tout cela de ton esprit. « Tu sais quoi ? Je t’attends dans ta chambre, hum. » tu te mis à cligner des yeux, lançant simplement :
▬ Hein ? Quoi ? Non attends...
Tu mis ta main sur ta bouche, ayant parlé un peu trop fort et priant que vos parents ne t’aies pas entendu. Tu secouais la tête avant de t’affairer toujours à ta vaisselle. Pourtant, ta curiosité était piquée. Te mordant la lèvre, tu quittais la pièce, retournant dans ta chambre. Juste pour voir s’il était sérieux. A peine le pas de la porte franchi tu soupirais.
▬ C’est pas vrai… Parce que tu étais sérieux ?
Il était là, comme si ta chambre était la sienne. Vos parents étaient bien réveillés cette fois, alors si vous faisiez quelques choses, pas sûr que cela passera discrètement. Et merde. Pourquoi penses-tu ça ? Vous ne feriez rien parce que tu l’as décidé. Tu pris un air sérieux, balançant un coussin sur son visage.
▬ Allez ça suffit, dégage de ma chambre. Maintenant.
electric bird.
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Ce message a été posté Mer 1 Aoû - 9:30
TENUE † « Hein ? Quoi ? Non attends... » Je n’attendais pas. Au contraire, je filais dans sa chambre. J’étais capricieux quand je m’y mettais. Et puis j’avais pour habitude, qu’aucune femme ne me dise non… Et elle n’allait pas être la première, à me mettre des bâtons dans les roues. J’allais lui faire comprendre, qui était le papa ici. C’est moi, tout simplement. Et je savais qu’elle succomberait. Il suffisait qu’elle repense à cette nuit et ça devrait le faire, je pense. Attendant dans sa chambre, pendant, je ne sais combien de temps, je fini par voir, la porte s’ouvrir. Il était temps. « C’est pas vrai… Parce que tu étais sérieux ? » Je la regardais. « Ai-je pour habitude de mentir ? » Elle aurait dû s’y attendre, non ? Réceptionnant son coussin in extrémis, je le laissais tomber sur son lit. « Allez ça suffit, dégage de ma chambre. Maintenant. » Je m’approchais d’elle, avant de m’arrêter à sa hauteur. La regardant longuement, je finis par poser une main sur sa joue. « Quoi ? Tu veux déjà me virer ? Ça ne t’excite pas ce genre de chose ? Pourtant, cette nuit, tu as été particulièrement réceptive... » Je me rapprochais un peu plus d’elle, avant de la plaquer contre la porte. Mon corps contre le sien, j’enfouissais mon visage dans son cou. Ma main s’amuser avec ses cheveux. « Tu n’as vraiment pas envie de sentir mes mains sur ton corps ? Ma langue parcourir ton intimité humide ? » A ses paroles, je laissais glisser mes mains sur ses hanches, venant caresser son ventre du bout de mes doigts. « Ni même sentir mon érection, gonflée de désir pour toi, venir se glisser en toi, pour te faire jouir ? » Ma voix était suave, basse, provocatrice. Je l’embrassais doucement dans le cou, remontant au lobe de son oreille. « Tu sais très bien, que nos parents ne montent jamais nous voir… »
Oubliait-il ses innombrables manipulations et mesquinerie pour t’humilier. Tu te demandais encore pourquoi tu étais remontée dans cette pièce. Non si tu avais un soupçon de bon sens tu ne serais pas rentrée pas dans ce jeu malsain et dangereux dans lequel il dictait ses règles à sa guise. Les souvenirs de la veille étaient encore frais dans ton esprit. Tu te demandais même si désormais, tu sauras t’endormir dans cette pièce sans venir à y penser. Plus lui a l’intérieur n’arrangeait pas tes affaires. Voilà pourquoi tu voulais qu’il quitte sa chambre. Mais voilà, il remettait sur le tapis ce à quoi tu essayais d’oublier le plus possible. Cependant, en te retrouvant à nouveau coincé contre son corps tu ne pourras plus échapper à tout cela. Un soupir d’aise traversait tes lèvres, tandis que ton corps frisonnait en sentant son souffle sur ta peau. De plus, ses mots tordaient encore et toujours ton cerveau, tiré entre le coeur et la raison.
▬ Et si cette fois l’un d’eux le faisait, on fera quoi hein ?
Rien t’imaginer ton père te retrouver dans une situation compromettante t’irisait le poil. Il avait déjà une estime plus que discutable à cause de tes frasques plus rocambolesque les unes que les autres. A tout les coups, il te collera cette aventure sur ton dos. Tu lâchais un soupir avant de regarder le coréen dans les yeux.
▬ Une dernière fois. Après on arrête de suite
Tu parlais comme si tu devais faire une desintox. Oui, c’était une bonne comparaison. Tu préférais arrêter avant de devenir accro rapidement. Tu finissais par le repousser vers ton lit. Sans aucune hésitation, tu t’asseyais sur ses hanches pour le surplomber et venir l’embrasser sans ménagement
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