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 It's like a Wind [Riki&Saya]

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Ce message a été posté Sam 24 Jan - 11:08
Tenue – Une question… Je n’aurais pas dû le quitter. J’ai bien sentit ces présences derrière moi… Dans mon monde on sent quand on est épiés, suivis comme un sixième sens. Malheureusement c’était tardif… La femme… Je verrais plus tard. Je prends la décision de faire marche arrière… Qu’importe les bouchons que je fais, mon sang palpite tellement fort que j’ai l’impression qu’il va gicler de mes pores. J’entends, je bouillonne. Trois hommes contre un.. Les soldats japonais n’ont plus d’honneurs mais, peut-on appeler ces êtres qui apportent la honte à leurs grades, à leurs uniformes ? Non. Je ne compte pas échouer ou que ce « gamin » qui est son frère meurt, d’où le fait qu’en prenant le sens inverse je provoque une merde sans nom sur cette nationale. Je n’ai pas le temps, un de mes partenaires est en danger, jusqu’à maintenant, c’était toujours moi qui étais protégée, celle qu’on venait sauver. Je savais me défendre me battre mais, Feilong, Cho-Yun ont toujours été là pour m’éviter le pire. Comme lors de cette prise d’otages à mon école. Tous les deux sont venus et ont tués pour moi. Pour me sortir de là. J’ai toujours gardé espoir et n’ai jamais eu peur car, je savais qu’ils étaient derrière moi mais, ce n’est pas ainsi que je deviendrais plus forte. Je l’ai appris en m’éloignant de cette personne qui m’ait si chère. De cette personne que j’ai quitté sans un mot car, je n’aurais jamais pu m’écarter de lui en le sachant éveiller.

Aujourd’hui, c’est ma chance d’avancer, je deviendrais encore plus forte, je deviendrais une femme sur qui on pourra compter, celle sur qui on pourra compter qu’importe la gravité de la situation. Je ne permettrais pas qu’il meurt. Les quais hein ? Je ne sais pas où ils sont et, je n’ai pas le sens de l’orientation, heureusement qu’il y a des panneaux et que Cho-Yun à notre entrée sur le territoire m’a programmé toutes les destinations possibles pour pallier à ma faiblesse. D’où le fait qu’avec mon gps je lui demande de me conduire dans ce lieu insolite mais, à cette heure, c’est l’endroit idéal pour un meurtre. Près de l’eau, j’aurais pas mieux choisi… Pourquoi j’ai mal ? Pourquoi, est-ce que j’ai peur pour un homme que je ne connais pas ? Est-ce à cause de cette ressemblance ? Ou parce que le fait qu’il souffre, qu’il appelle sans doute son autre partenaire… Juste avant de s’écrouler me rappelle « notre » situation à nous deux ? Ce prénom… Il semble l’appeler je n’ai jamais été douée en ce qui concerne l’amitié, l’amour, j’avoue être à côté de la plaque du moins, c’était « avant » car, « il » m’a montré ce que c’était de tenir et de vouloir prendre soin de quelqu’un.

Cela me rappelle lui, la dernière fois qu’on s’est vu… Je ne compte pas le perdre… Et je ne compte pas laisser son frère être malmené à ce point. Il ne manquerait plus que ceci. Ou si, c’est déjà fait quand j’entends toute la conversation. Je suis touchée car, je pourrais parfaitement imaginer Baek Ho dans cette situation et, c’est ce qui me fait accélérer en réalité. Je me suis promis que pour la première enquête, je n’échouerais pas ! Aucunes bévues ne me seront permises. Je mets le turbo et quand j’arrive aux quais via mon Gps, je sors de la voiture après m’être garée un peu loin et me faufile à la recherche d’une voiture, de ces trois gars et, je les vois non loin… Ces hommes… Identiques à ces photos que mon jeune patron m’a données. Je m’approche tout en restant camouflée dans l’ombre avec un regard vide d’émotion après avoir quitté mes chaussures. Le danger… Cela fait combien de temps que je n’ai pas tué ? Mon sang se chauffe… Quand je vois le corps de mon jeune patron être sortit du coffre, il ne chauffe plus, il bouillonne. Je les vois prendre des jerricans d’essence ? Ils sont sérieux ? Il tient à peine debout et ils le mettent à la place conducteur.. Ils veulent vraiment le brûler ? Je dois me dépêcher, de ma jarretière je sors deux couteaux. Deux partent… Je reconnais leurs voix pendant qu’un, celui qui semble le suiveur reste et commence à ouvrir le premier jerrican pour asperger la voiture… Les deux éloignés j’avance d’une démarche féline et sensuelle mais, aussi très rapide vers cet homme qui glisse quelque chose de d’abjecte à nouveau vers Gabriel… Mes paumes ouvertes devanun pli entre la partie charnue de la base de mon pouce et le reste de ma main. J’ai mes poignées tournées vers l’avant, où j’ai placé la tranche non coupante de la lame de mes couteaux dans le pli de mes mains, de telle sorte que la pointe se situe à l’extrémité inférieure du pli de mes pouces après avoir jonglé un peu avec. Chacun de mes pouces placés le long d’un côté de la lame tandis mes autres doigts sur l’autre côté, à l’exception de l’auriculaire de chacune de mes mains. Pinçant ainsi, les lames sans appuyer sur la pointe ou sur la tranche aiguisée.

Je m’approche rapidement de cet homme pour qui je ne ressens rien… Légèrement, je plie mes poignets vers mes avant-bras que j’entrecroise contre ma poitrine afin d’augmenter la vitesse avec laquelle les couteaux feront une rotation en l’air. Pour moi la cible est bien devant… Mes pas sont silencieux, j’ai appris depuis l’enfance à l’être afin de ne pas être repérée par les autres même si j’ai quitté mes chaussures pour qu’il ne m’entende pas. Bien que je me mette subitement à courir car, le temps devient de plus en plus limité. Il a apparemment vidé tous les jericans et, je déplace rapidement le poids de mon corps de ma jambe dominante à ma jambe non dominante pour créer un élan vers l’avant durant ma course et balance les couteaux l’un après l’autre dans le même sens qu’on pourrait lancer un boomerang… La première lame siffle dans l’air pour trancher cette main qui a pris le briquet en se logeant entre le poignet et la paume. Un cri surgit mais, il fut rapidement coupé quand la deuxième lame en vient à se planter dans cette belle ouverture qu’il m’a laissé le ganglion cervical soit le cou faisant ainsi tomber ce corps à la renverse. J’arrête ma course contre cet homme qui bouge encore un peu avant de mourir. Je m’agenouille pour reprendre mes deux armes que je ne prends pas le temps de nettoyer, trempant ainsi mes pieds dans l’essence et cette flaque de sang… Le sang asperge un peu mes vêtements, quelques gouttes viennent se déposer sur mes vêtements quand je les retire mais, je ne m’en formalise pas. Je me retourne pour voir Gabriel et, mon cœur arrête de battre.. Je sais que ce n’est pas « lui » pourtant, je ne peux m’empêcher d’avoir peur, de pâlir. Je prends un de mes couteaux pour couper ce cordage qui l’attachait au volant et je le tire de la voiture alors que mes bras tremblent.

«Ba…. »

Non, je dois me reprendre je..

«Gabriel… Tu m’entends… On va s’éloigner d’ici… Je vais te soigner.. »

Je le sors de la voiture en mettant un bras autour de mes épaules et le sors en faisant bien attention de ne pas trop le bouger surtout à cause des gémissements. Il fallait que je l’examine au plus vite. Mes vêtements sont de nouveau trempés par l’essence mais, il ne faut pas qu’il perde connaissance, il faut que je le ramène jusqu’à la voiture mais, quand nous fûmes assez éloignés afin que je puisse sortir ma boite d’acupuncture de ma voiture. Je tourne la tête pour le regarder et :

«Gabriel… Tiens bon ok ? On va y arriver. Accroche-toi. Reste avec moi !»

J’entendis soudainement des pas et sur mes gardes, je joue de nouveau avec mon poignard prête à attaquer surtout si il s’agit des deux autres soldats, je n’aurais aucunes pitié, mon cœur est de glace et, quand je vois les deux personnes devant moi, surtout un…. Je… Ce visage… Non, ce n’était pas possible… Je suis tombée dans la 4 dimension c’est ça ? Je crois que je ne vais plus me poser des questions mais, je reste sur mes gardes… Mon expression est sombre mais, quelque part… Je pense connaitre l’identité de cette personne alors je m’aventure…

«Rikiya je presume ?»

Choi A. Kellian
Choi A. Kellian
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Pseudo : Miki messages : 5873 Yen (¥) : 5133 Avatar : lee dong yeol - Xiao - UP10TION DCs : Kyann ☽☆ London ☽☆ Shion ☽☆ nai ☽☆ Mika ☽☆ Ryoma ☽☆ Sasuke ☽☆ Dakota ☽☆ Haru ☽☆ Phoenix ☽☆ taiga ☽☆ Shinya ☽☆ Zero ☽☆ Candy ☽☆ Hyoga ☽☆ Hinata ☽☆ Inaho ☽☆ Dewei ☽☆ Dan ☽☆ meliodas ☽☆ Ace ☽☆ Tenma ☽☆ Wu Liang ☽☆ Seiha ☽☆ Tsubasa ☽☆ Nobu ☽☆ Ritsu ☽☆

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It's like a Wind [Riki&Saya] PpvPsiM Age : 22 ans Date de naissance : 05/10/1995 Astrologie : Balance & Cochon j'ai tout gagné haha! Métier : Il aime faire des petits boulots, travailler dans un bar ou autre trucs du genre, ça lui donne une certaines expériences bien que les mèdecins lui déconseille, Kellian n'est pas du genre à obéir sagement. Année : troisième année Résidant à : dans le dortoir numéro 7 Notes : Passer du temps avec Orion, profiter de mon petit frère pour que le jour où je disparait il puisse garder de bon souvenirs de moi et rire a défaut de pleurer mon absence. Faire plein de mugcake, depuis que Kaien m'a montré comment faire c'est un passe temps et un régale à déguster, vraiment. Devenir ami avec Momiji, je ne comprends pas sa façon de faire, cette violence ou cette réticence à se lier. Essayer d'éviter les crises devant la foule, mon cœur atteint ses limites, il me reste peu de temps. Appeler mes parents et les rassurer, tout va bien, je vais bien.

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Discuter avec Tsukiko, c'est agréable de pouvoir partager des conversations avec une personne qui comprends ce que c'est d'être malade. Regarder Kaoru jouer aux jeux vidéos et m'amuser avec son visage de marbre. Manger et boire tout ce que je peux, même si je suis limité en apport liquide, je veux gouter a tout!

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Arrêter de vouloir être son ami. Usagi Momiji c'est fini. Vérifier sur ma liste des souhaits ce que je peux encore faire avant de mourir. Rêver et transmettre ma vision a ceux qui seront réceptif, vivre c'est le plus important.
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On a tous une histoire à raconter, qu'elle soit courte ou bien longue, la vie est remplis de surprises et de souvenirs, la plupart sont partagés avec nos amis avec qui on aime se remémorer le passé.

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Ce message a été posté Sam 24 Jan - 12:32
Tenue Mon sang est bouillant et pourtant glacé à la fois, je me contrôle, mes sentiments peuvent me faire perdre mes moyens, je ne réfléchis plus. J’ai peur, mon cœur s’affole, mes sens pourtant eux s’affutent, je n’ai jamais craint la mort, que ce soit la mienne ou celle de ceux qui m’entourent... Jamais. En tant qu’un des jeunes leaders de l’armée j’étais souvent choyé et protégé par les « sous-fifres » qui le voulaient bien et je me faisais un devoir de tous les couvrir, mais... Si un tombé ça ne me faisait ni chaud, ni froid. Alors pourquoi aujourd’hui je ressens cette boule au ventre, ma gorge se noue, je tremble, mes mains sur le volant menacent de le lâcher, mais je ne m’occupe de rien, je fonce droit devant, rien ne m’arrêtera, la police ? Je serais prêt à tous les tuer et devenir un criminel s'ils tentent de m’empêcher de retrouver Gabriel. Le laisser mourir par ses enfoirés que j’ai sauvés ? Le comble. Je suis en train de devenir fous, je ne dis pas un mot, je suis sérieux, mon regard brille par la rage, la colère et est pourtant si vide. Cette facette de moi, cette aura de tueur que je dégage, c’est celui que je suis réellement. Je ne sais pas si Saya me parle, je ne l’entends pas, je ne l’écoute pas, ne la regarde pas, je suis seul dans mon esprit prêt à dégainer mon arme a la seconde et personne n’arriverait à me « réveiller » sauf « lui ».

Que la lune en soit témoin, qu’elle éclaire ma route, je dois arriver à temps... Et lorsque j’arrête le moteur de la voiture dans un coin sombre du quai, sortant discrètement, mon arme en vue, je commence à marcher dans l’obscurité, je suis doué pour me « cacher » en tant que sniper j’étais toujours dans les endroits les plus improbables, sauf que là tout de suite je m’en fiche un peu d’être remarqué, surtout quand je vois deux silhouettes sortir et se diriger vers nous, leur voix nous atteint très distinctement et :

« Ahaha, ça va faire un joli feu de camp tout ça ! » « Bien fait pour lui, on aura libéré Rikiya-San d’un boulet, il se mêle trop de ce qui ne le regarde pas cet imbécile. » « Il jouait trop le malin, arg., rien que sa façon de parler en mode « je sais tout » brrr, je suis bien content de ne plus l’ent... » Pourquoi s’est-il arrêtait de parler ? C’est simple, je me suis pointé devant eux, sans aucune hésitation... Ils me regardent, le silence domine un instant et je serre les poings avant de lentement levé ma tête jusque-là baissée, montrant ainsi mon regard, dangereux et meurtrier, je vois les lèvres de Kuroda sur le point de s’ouvrir il m’a fallu une seconde et encore... surement était-ce même plus rapide pour sortir mon arme et tirer une balle entre les deux yeux de cet enfoiré. Je n’ai pas de pitié, aucun remords, ils s’en sont pris à des femmes, ça honnêtement je m’en fiche de toutes ses victimes, mais... Qu’ils aient touché Gabriel. Je me souviens de leur mot à travers l’enregistrement de mon jeune patron et un sourire sadique sur le visage, je regarde plus intensément Mizuno, voyant des perles de sueur sur son visage, il sait... Oh que oui, il me connaît et il sait que mes proies ne m’échappent pas, qu’il court, qu’il supplie, qu’il pleure... Rien ne changera et avant de le tuer de sang-froid, je délie mes lèvres.

« Vous aviez raison... Je prends mon pied. » Un deuxième coup de feu retenti tandis que le corps vient rejoindre celui du premier au sol dans une lourde résonance. L’arme à la main, comme si de rien n’était je me mets à courir vers l’endroit d’où ils semblaient venir et lorsque j’aperçois une silhouette aux côtés du corps inconscient de mon partenaire je pointe mon arme sur cette femme... qui est-elle ? Je l’ignore, mais je ne baisserai pas mon arme, pas tant que je ne le saurais pas. Je suis inébranlable et imperturbable, ça change du Rikiya habituel il faut bien l’avouer, mais... Elle, me connaît . Sans attendre une seconde je lui demande sans intonation particulière.

« T’es qui ? Je ne crois pas te connaitre. » M’approchant en restant sur mes gardes, je ne laisse rien paraître et sans la regarder je m’adresse à ma cousine.

« Saya, va voir Gabi s’il te plaît. » Telle une demande en détresse, je suis inquiet pour lui, qu’elle me rassure sur sa survie, qu’elle me donne des raisons de ne pas vouloir tuer tout le monde à cause du désespoir, puis cette femme semble douée, elle a le même regard, celui de ceux qui ont tué de sang-froid et côtoyé la mort.

Anonymous
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Ce message a été posté Sam 24 Jan - 15:03
Tenue – C’est tellement rapide… Je n’ai pas attaché ma ceinture et peut-être aurais-je dû au vu de la vitesse. Si on nous arrête, je pourrais comprendre mais moi-même je les enverrais se voir paitre. Une vie était en jeu et, je ne ressens pas le loisir d’avoir à autopsier le jeune patron de mon cadet qui conduisait comme un fou. Sa soif de tuer me paralyse, m’empêche de parler et, de toute façon, je n’en ai pas envie. J’appréhende et souhaite que mon défunt fiancé veille sur Gabriel. Que quelqu’un veille sur lui jusqu’à notre arrivée. Il faut qu’il tienne jusque là… Je ne pensais pas que je pourrais de nouveau avoir peur ainsi, depuis cette nuit où une partie de moi est morte, où j’ai voulu mourir pour « le » rejoindre mais, qu’on m’en a empêché. Tout ce que je veux c’est qu’il roule, j’ai mon regard rivé principalement sur la route bien que je jette parfois certains regards en sa direction… Il tremble et je me pose parfois la question si on arrivera à destination sans avoir d’accrochages nous faisant perdre de précieuses secondes, minutes… Dans ces cas-là même une minute est primordiale. Je ne réfléchis pas quand il arrête le moteur, qu’importe comment il se gare, je sauterais presque de la voiture en pleine marche. J’ouvre violemment la portière et reste derrière lui en suivant ses pas. Je n’ai pas d’armes sur moi alors, cela me dérange pas d’être derrière. Je ne sais pas ce qui va se passer, mais je n’essaierais pas de raisonner mon partenaire de la journée.

Je ne pourrais jamais me dresser contre son arme et ces gars qui méritent la mort alors que mon devoir serait de l’arrêter mais je ne suis pas vraiment flic et, je reconnais moi-même que je n’ai pas de pitié pour ce genre d’hommes qui pensent s’en tirer et s’en prennent de la pire des façons avec les femmes. De plus, j’entends distinctement des paroles qui me dégoûtent… Ils viennent sûrement de faire la pire connerie du monde. Je suis surprise d’entendre un coup de feu, un corps qui tombe tout semble tourner au ralenti. J’en reste coi, j’ai même peur… Surtout quand je vois son expression, je pourrais jurer qu’il mettrait la ville à sang si Gabriel est mort.. Il y tient vraiment… J’en ai des sueurs froides… Je ne vais pas mentir… Une phrase, un autre tir et un deuxième monstre qui tombe mais, je ne suis en rien touchée par leur mort. Je suis le mouvement quand je vois Rikiya se mettre à courir. Je crois que j’ai aussi peur de découvrir le corps de Gabriel carbonisé mais, c’est essoufflée que je m’arrête en me prenant le dos de mon cadet. Je grimace un peu et me décale sans un mot pour voir Gabriel immobile.. Il semble être vilainement amoché mais, cette femme… Glaciale… Un visage de poupée que je pourrais presque envier mais, son regard… J’ai l’impression de revoir l’homme soldat qui se tient à mes côtés. Je le vois lever l’arme sur elle mais, elle n’a pas peur comparé à ce deuxième soldat. Elle est stoïque et, je me demande bien de qui il peut s’agir mais elle, semble connaitre le deuxième membre d’Avici qui lui-même, ne semble pas savoir qui elle était… C’était quoi ce cirque ? Là, je pense que je devrais essayer de l’empêcher de faire une connerie et, il me prend par surprise quand il me demande d’aller voir son coéquipier. J’ai l’impression de côtoyer à nouveau le Rikiya ordinaire. J’acquiesce et m’approche lentement sur mes gardes. Je ne connais pas cette femme et, elle semble m’ignorer et quand j’arrive à « sa » hauteur sans menaces, je m’agenouille vers le corps de Gabriel pour voir une vilaine balafre au niveau de son front… Ses mains aussi souffre de plusieurs écorchures et je peux voir quelques bleus comme ses lèvres fendues… Il est dans un sale état, la coulée de sang au niveau de la tête m’inquiète et, je le manipule avec soin. Je souris soulagé quand je sens souffle et voit sa poitrine se soulevait lentement mais…

«Rikiya il est vivant… Mais… Cela sent l’essence… Il faut l’emmener se faire examiner, il perd du sang.»

Je m’étais rapprochée de l’inconscient pour le prendre dans les bras humidifiant ainsi mes vêtements de ce liquide qui prend feu mais, mon regard tombe sur un corps plus loin. Je me fige, le corps semble mort.. Est-ce que c’était l’un des gars qui.. Mon regard se pose d’une lenteur pas possible en direction de cette femme.. Et lui pose cette question :

«Toi… Tu… … Rikiya… Ce troisième mec.. Là-bas… C’est pas un compagnon à toi ? Toi… Tu l’as tué ?»

Mais, c’était qui elle ? Vraiment ? Elle venait de quelle planète ? Elle est dangereuse…

Anonymous
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Ce message a été posté Sam 24 Jan - 22:17
Tenue – Je repose Gabriel au sol car, je serais libre de mes mouvements pour faire danser mes poignards. Je n’ai qu’à jouer à la toupie, faire cette rotation que j’essaie de « lui » apprendre. Je n’ai pas le droit à l’erreur, il reste deux soldats. Cependant, je suis surprise de voir qu’il s’agit en effet de deux personnes mais, très éloigné du binôme de plutôt. Qui étaient-ils ? Des ennemis ? Des alliés ? Je me le demande… Pourtant, cette ressemblance frappante avec « son » meilleur ami… Pourquoi tout me ramène à lui ? Il me manque… Je veux le revoir… Je veux être certaine qu’il aille bien… Qu’il soit en bonne santé pas comme le jeune homme qui se tient derrière moi. Je suis une nouvelle fois menacée par une arme à feu. Cet homme est dangereux, il ne rigole pas. Un faux mouvement et, je serais morte. Je resserre doucement mes doigts en leur prodiguant un peu plus de force afin de renforcer cette prise sur cette arme à la lame sanguinolente… J’essaie toutefois de l’appeler. Apparemment, il réagit à ce prénom même si son visage reste de glace comme ceux des « tueurs », de ces hommes que j’ai côtoyé depuis que je suis née, d’autres que j’ai dû tué et combattre.. Ses prunelles parlent pour lui en réagissant sinon, elles n’auraient pas tremblées même si c’était faible et puis…. Est-ce que ce ne serait pas un destin cruel que les frères jumeaux de ces deux meilleurs amis que je connais, se haïssent ? Froide et maitre de mes émotions, je réponds à cette question donnée.

«Quelle importance ? Je n’aime pas décliner mon identité quand on me menace d’une arme à feu.»

Je pouvais me tromper. Les apparences dans ce monde… On m’a toujours inculqué qu’elles nos pires ennemies. Celles qui vous trompent si aisément. Pour moi, dans cette situation, tout le monde est un ennemi mais, j’observe évitant qu’il me tire dessus. Sérieusement ce type… ll est fort que j’aurais bien envie de me mesurer à lui pour connaitre son niveau. La fille qui l’accompagne ne semble pas être un danger, elle n’a pas ce même regard que celui de cet homme. Homme dont je soupçonne être de plus en plus Rikiya san… Je la laisse s’approcher près du corps de mon jeune patron après lui avoir jeté un rapide regard mais, elle me semble beaucoup moins intéressante que les deux hommes d’Avici. Gabriel était intéressant… Il a été malin même si cela a frôlé la folie ou d’en d’autres cas, on pourrait appeler cela du suicide mais, lui aussi… Cho-Yun avait raison… Cette agence regorge de personnes plus intéressantes les unes que les autres mais, je n’ai pas la tête à ça. Je suis d’avis de s’occuper d’abord de Gabriel même si, maintenant, il est pris en main. De toute façon… Son soupir… Le prénom qu’il a murmuré… N’était autre que celui de son coéquipier… J’entends les paroles de cette inconnue et, quand elle se rend compte du corps inerte laissé à l’abandon un peu plus loin.. Elle semble surprise. Flegmatique devant cette question et évidence qu’il ne devrait pas être demandé, je l’ignore totalement pour rester focalisée sur « lui ».

« Ton frère d’arme ne m’a pas laissé le choix. Si tu es ici et au vu d’où vous venez tous les deux, puis-je en conclure que tu t’en aies chargé ?»

Je le jauge mais, ce n’est pas maintenant que je connaitrais son niveau. Quand je fais équipe avec quelqu’un, j’aime savoir de quel bois il est fait. Je n’ai pas envie de me retrouver à défendre un faiblard qui pleure ou qui hésite à tuer. Protéger quelqu’un est un poids qui entrave tous nos mouvements à nous, qui sommes des armes humaines. Nous ne sommes pas du même monde et en même temps… Je parierais que oui. Je mets à la vue de ses deux personnes la lame de mon arme qui ruisselle d’un liquide carmin encore chaud puisque je joue un peu avec le manche avant de le ranger dans ma jarretière où je soulève rapidement ma jupe pour laisser entrevoir mes armes. Quand c’est fait, je retire doucement ce micro au creux de mon oreille pour le lui jeter :

«C’est à Gabriel. Donne-lui ça de ma part quand il sera réveillé. Au lieu de perdre votre temps ici. Emmènez-le à l’hôpital. Il a besoin de soins, il pourrait faire une hémorragie interne.»

Je lui jette un regard… Mes iris se trouble parce que je me rappelle cette scène quand j’étais dans cet onsen.. où sur cette plage.. Quand Viktoria tenait son corps contre elle alors, que pour la première fois j’étais figée. Mon cœur cogne. Je dois partir. Je veux m’assurer qu’il va bien, je veux le serrer contre moi, je veux l’embrasser… Je veux sentir son souffle, entendre son rire. Je reporte à nouveau mon attention sur lui et m’avance sans être effrayée par cet homme. Je m’arrête quand mes épaules sont à son niveau et :

«Je te le confie. Si tu l’abandonnes encore une fois, je te jure que je te retrouverais et m’occuperais personnellement de ton cas. Surtout quand, c’est ton prénom qu’il a soufflé quand il s’est fait batte à mort. Il voudra sûrement te voir à son réveil. Sur ce, je te laisse partenaire ~»

Mes lèvres dessinent une ligne qui va jusqu’à la commissure de mes lèvres pendant une fraction de secondes. J’ai dit ce que je devais dire. Je n’ai plus rien à faire ici. D’où le fait que je m’éloigne sans me retourner une seule fois sur eux sans lui dire qui j’étais mais, on se reverra sans doute bien assez tôt là, pour le moment, tout ce que j’ai à l’esprit c’est… Baek Ho.

Choi A. Kellian
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Ce message a été posté Dim 25 Jan - 14:11
Tenue J’avais cette impression que tout en moi était en train de prendre feu, mes entrailles étaient douloureuses, j’ai toujours tué pour protéger mon Pays, soutenir les soldats, devenant chaque jour plus fort, mais aujourd’hui... Si je tue c’est pour « lui » je me fiche des victimes que je peux faire pour l’atteindre, je tuerai tous ceux qui se mettent sur mon chemin, à commencer par ses deux enfoirés qui ne semblent pas savoir dans quoi ils ont mis les pieds. Voir leur corps inerte allongé au sol et le sang dégouliné ne me touche même pas, je peux les avoir connus pendant des années, ils ont franchi la ligne accordée et de toute façon je n’ai rien d’autre en tête que Gabriel. À peine arrivé là où son corps est allongé au sol, mon sang se glace, bien que mon regard, mon attention se porte sur cette femme, elle est aussi dangereuse que je ne le suis, c’est un duel de regard, guettant la moindre erreur de la personne en face et elle semble me connaitre. Qui est-elle, que fait-elle ici proche du corps de mon partenaire ? Elle ne semble pas vouloir me donner de réponses, comme elle veut. Au fond je me fiche bien de savoir qui elle est, je veux simplement m’assurer que Gabi est en vie, que malgré son état il s’en remettra car s’il devait disparaitre, tout serait fini. La colère, la haine pourrait réellement s’emparer de moi, je ne suis pas faible, je peux comprendre ses émotions, mais si je n’en ai pas envie c’est autre chose. « Envoyant » Saya auprès de lui pour qu’elle l’examine, mon regard ne quitte toujours pas cette chinoise me faisant face. Je n’ai pas baissé mon arme, toujours sur mes gardes, quand je comprends qu’elle a tué le troisième membre du trio... Nagaï. Cet idiot, il était toujours derrière à les suivre, s’il avait trouvé meilleurs camarades et qu’il avait eu plus de caractère pour assumer, peut-être qu’il n’aurait pas aussi mal tourné. Mais encore une fois ça ne me fait ni chaud ni froid, je ne ressens rien.

« Conclue ce que tu veux. » Je suis loin du Rikiya agréable et chaleureux, sociable et joyeux. Non je n’ai pas le temps de taper la discute ou de répondre à ses questions quand elle ne répond pas aux miennes. Grâce à Saya je savais que Gabi était vivant et qu’on devait l’emmener se faire soigner rapidement, alors qu’elle nous laisse nous en occuper. Attrapant le micro d’une main, l’autre tenant mon arme que je baisse en restant toujours sur mes gardes, je n’ai pas confiance. Je souffle à sa remarque, elle croit que je compte faire quoi au juste . Faire un pique-nique ici . J’attends juste qu’elle s’en aille pour m’en charger. Quand elle s’arrête à mon niveau je ne la regarde pas, mon regard planté droit devant moi, écoutant ses paroles.

« Garde tes menaces, tu ne sais rien. » Je me fiche bien de ce qu’elle me raconte, je sais très bien qu’il m’a appelé, je l’ai entendu... J’avais même pas cherché à savoir ce qu’elle voulait dire par « partenaire » mais je le saurais bien assez tôt. Pour le moment je m’empressa de rejoindre Gabriel et Saya une fois que la silhouette de cette femme disparut.

« On y va ! » Redevenant plus calme en apparence envers Saya, je fais attention à la manière dont je porte mon jeune patron pour ne pas aggraver son cas, me dépêchant de retourner à la voiture pour rouler à toute vitesse jusqu’à l’hôpital. Je voulais qu’il sache... Qu’il l’entende. « Je suis là Gabi » une chose est sur, je ne l’abandonnerai plus jamais.

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It's like a Wind [Riki&Saya]

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