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 Revenge

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Anonymous
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Ce message a été posté Mer 16 Mar - 18:10
Un nuage de passage.

Tenue✟ Il était tôt le matin et il avait toute la journée libre. Il en profita pour visiter sa mère et saluer sa sœur. Elles étaient toutes contentes de le revoir, après tout, cela faisait plus d’une semaine qu’ils ne se voyaient plus. « Va trier tes affaires. On donnera ce qui ne te sert plus aux orphelins. » Il monta dans sa chambre et commença à tout ranger. Il regarda son horloge, il était huit heures passées. Il sortit une boîte à chaussures de sous son lit, dedans il y avait pleins de photos souvenirs de lui et de sa bande. Il s’assit dans un coin et regarda les photos. Il vit aussi un billet, c’était la première partie de foot qu’ils avaient vu tous ensemble. Un derby, Juventus – Torino. Il sourit, le regard nostalgique.

Il décida de ranger la boîte après l’avoir dépoussiérée à l’aide d’un torchon humide et le posa sur son bureau. Il partit ouvrir son placard et commença à trier ses vêtements, les mettant dans un gros sac poubelle qui pouvait contenir 50kg de détritus. Il sentit son téléphone vibrer dans sa poche, il ne connaissait pas le numéro. Il raccrocha, supposant que la personne s’était sûrement trompée. Quelques secondes plus tard il reçut un autre appel. Il décida de décrocher « Allô ? » Il reconnut la voix, il resta silencieux en écoutant impatiemment ce qu’elle avait à dire. Une fois qu’elle eut fini de parler il ajouta « Je n’ai pas le temps. » et raccrocha. Il mit son mobile en mode silencieux et le posa sur son bureau à côté de la boîte à chaussures. Je vais la rappeler plus tard, pensa-t-il en jetant une chemise dans le sachet.

Une demi-heure passa, il avait fini de trier son placard, et ses livres, dont il se sépara à contrecœur. Il ne garda que ceux en italien. Il descendit tout ce qu’il devait donner au rez-de-chaussée. Sa sœur lui dit de tout mettre dans la malle de sa voiture. Une fois la tâche accomplie, il remonta dans sa chambre et vérifia les appels manqués, les yeux ronds ; elle avait appelé une bonne dizaine de fois. Je vais me l’avoir à dos encore plus maintenant, se plaignit-il en composant son numéro. Au moment où il allait la rappeler, il vit son numéro s’afficher sur son écran. « Dis moi juste t’habites où et j’arrive. » Il éteignit son téléphone dès qu’il eut mémorisé l’adresse. Comme ça au moins elle n’allait pas pouvoir le rappeler pour l’embêter encore plus. Il sortit dans la rue et prit un taxi pour y arriver vite fait.

Il se trouvait devant sa porte, réfléchissant à deux fois avant de sonner. Il inspira à grand coup et fit retentir la sonnette. Il ne savait pas si il avait envie de la revoir ou pas. Pour lui, cette fille n’était qu’un fait divers dans sa vie. La seule bonne chose qu’il y avait était qu’il pouvait la toucher sans vraiment lui faire du mal grâce à une technique que lui avait appris sa sœur. Elle lui avait dit qu’il devait imaginer autre chose au lieu d’un humain. Il décida d’identifier Kat à un castor. C’était mignon et avait le visage aussi rond que celui de la jeune fille. Il entendit des pas se diriger vers lui, derrière la porte. Il fit son plus beau sourire au moment où la poigné tourna. La porte s’ouvrit. « Nuvoloni Masaomi, à votre service. » Son sourire s’élargit au moment où il tendit son index « UN seul service. » Autant mettre les choses au claire.

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Anonymous
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Ce message a été posté Jeu 17 Mar - 2:10

Masa Ҩ Kat



Ҩ It's time to pay your debt




Voilà maintenant plusieurs jours que tu as eu le malheur de tomber sur ce personnage qui t’avait presque défiguré. Et il n’y avait pas que ce coup de poing que tu n’arrivais pas a digérer. Le fait qu’il ait pris soin de même pas d’excuser son geste plus que violent ou encore de la façon dont il s’est débarrassé toi en te jetant comme un vulgaire sac dans un taxi. Non tu n’avais jamais été traitée de cette façon par n’importe quel mec. Et ça, c’était d’autant plus difficile a accepter pour toi. Tu ne vas pas mentir, ceci t’as retourné l’esprit des jours entiers. Et il était hors de question pour toi que tu le laisses s'en tirer ainsi comme si de rien était. Il était temps pour toi de lui de lui faire payer.

Cependant il fallait que tu t’occupes déjà de toi. Un verre de trop hier soir pour que le matin tu aies la gueule de bois. Il faut dire que tu n’avais pas cours aujourd’hui et que tu avais envie de t’amuser. Et tu t’étais amusée, même un peu trop vu que tu avais ramené quelqu’un dans ton lit. Bon tu étais encore lucide quand tu as fait ça vu que sa tête te disait quelque chose. Ceci a eu le don de te rassurer. Une fois le gars partit, tu pris le temps de prendre une douche froide qui a su t’aider a décuver les reste d’alcool en toi. Tu adoptais une tenue un peu plus adéquate que celle d'Eve dans laquelle tu t’étais réveillée. Tu retrouvais ton téléphone portable sur ta table basse. Tu pensais checkais tous tes messages un peu plus tard, tu avais mieux a faire. Il fallait que tu prennes ta revanche. Cherchant dans ton répertoire le nom du garçon. Tu appuyais sur la touche “appel”, attendant patiemment une réponse. Il te raccrochait la première fois. Ta gorge se serrait, tu mordais ta langue en disant qu’il fallait que tu uses du peu de self-control que tu possédais. Non tu t’es juste contentais de l’insulter de tous les noms dans ta langue maternelle. Seconde chance… Et au son de sa voix, une certaine frustration naissait dans ton coeur. Tu jetais ce self control à la poubelle et le son glacial de ta voix repris rapidement le dessus.


« Donc tu filtres tes appels ? C’est moi Katreeya, tu sais la nana que tu as eu la délicatesse blessée l’autre soir »

Tu ne perdais pas de temps pour lui rappeler qui tu étais et que tu n’as pas oublié sa promesse. Parce que tu n’étais pas du genre à oublier ce genre de choses. Mais à peine ton speech fini, Masaomi te coupait net avec des mots auxquels tu ne t’attendais pas. Tu écoutais encore la tonalité de la fin de l’appel. “Quel petit enfoiré” était la seule chose qui te traversait l’esprit. Il n’avait pas encore eu affaire à la Kat plutôt chieuse. Mais ce coté de ta personnalité, tu étais obligé de le refaire sortir. Tu n’en avais rien à faire qu’il ne puisse pas avoir ton temps parce qu’aujourd’hui, il allait devoir te l’accorder. Tu continuais à rappeler, encore et encore cette tête à claque. Même tes coups d’un soir ne t’ont jamais autant harcelé que tu le faisais avec lui. Tu n’avais rien prévu de la journée, tu avais du temps a tuer. Une énième fois, tu composais ce numéro que tu commençais a connaître par coeur à force de l’avoir vu et revu. Il daignait enfin répondre. Ceci ornait tes lèvres d’un gracieux sourire avant que l’étonnement prenne place. Venir chez toi ? Ce n’est pas ce que tu prévoyais. Et puis bon, ton loft était plutôt présentable. Tu poussais un soupir avant de lui donner ton adresse. Une fois raccrochée, tu allais prendre ta tasse de café tranquillement à cause d’un mal de tête pas possible en attendant l’autre ; qui était arrivé bien plus vite que tu l’imaginais. La sonnette brisait le calme de ton appartement. Tu courrais presqu’à la porte. Oh non, tu n’étais pas pressée de le voir loin de là. Mais lui coller un pain dans la figure, ca te démangeait. Voyant sa grande silhouette, ton regard froid le foudroyait littéralement. Tu ne fis presque pas attention a ses propos, tu t’es juste contentée de l’attraper par le col et l’attirer à l’intérieur de ton antre. Intérieurement tu bouillonnais. Un surplus d’émotions négatives. Tenant toujours fermement son t-shirt entre tes doigts tu le poussais violemment contre ta porte d’entrée close.

« Espèce de petit con. Comment tu oses me raccrocher au nez et ignorer mes appels »

Être ignorée de la sorte, tu n’arrivais pas à le concevoir. Ce mec… Il n’y avait même pas de mots pour dire a quel point il arrivait a t'exaspérer. Il était plus qu’insupportable. Tu expirais bruyamment, comme pour t’aider à évacuer ton stress. Tu fis quelque pas en arrière, croisant les bras contre ta poitrine.

« Déjà je pense que tu me devrais quelque chose d'autre vu la manière dont tu m'as traité l'autre soir »

Tu avais la rancune tenace et Masaomi allait l’apprendre à ses dépens. Tu n’arrivais toujours pas à comprendre qu’est-ce qu’il lui ait passé par la tête pour agir de la sorte avec toi. Tu avais beau te tortillait, le frapper, crier, il s’accrochait. Il faut dire que ton petit gabarit ne pouvait rien faire contre sa carrure.

« D'ailleurs tu me dire ce qui t'as pris de me prendre de cette façon comme j’étais juste une vulgaire marchandise que tu as trouvée sur le trottoir. C’était quoi ? Une manière indirecte de me tripoter ou quoi ? »

A ce niveau, sa réaction était le trou pour toi...

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Ce message a été posté Jeu 17 Mar - 6:58
Un nuage de passage.

Tenue✟ A peine avait-elle ouvert la porte qu’elle le tira brusquement à l’intérieur de son appart. Il se doutait qu’elle devait être irritée par son comportement mais quand même pas à ce point. Il se disait lui, que c’était bizarre que ses oreilles sifflent autant. Il s’étira le dos, le choc contre la porte lui fit craquer quelques vertèbres. « Je suis là maintenant. Je t'avais dis que je ne répondrai pas si ça ne m'arrangeait pas. » il lui sourit d’un air moqueur. Il lui prit ses mains et les arracha fermement de son pull. « Sois plus gentille avec moi. » il fit la moue, comme s’il avait été blessé par son comportement. Bien qu’au début il se disait que c’était une plaie, maintenant il la trouve aussi amusante que le soir de leur première rencontre. Il avait oublié ça faisait quoi de jouer avec des filles pour se distraire.

La poussa légèrement de la main et fit un pas. Il remarqua que son appartement était plutôt vivable. Il fit le tour de la pièce du regard, un sourcil levé tandis qu’il écoutait d’une oreille ce que lui disait Kat. « Je t’ai traité comment ? » mis à part le coup de poing, il ne se rappelait pas avoir fait une autre gaffe. Il lui avait même offert un mouchoir et son sweat. Plus que ça, c’était difficile. Ah, le taxi. Il se tourna vers elle, posant ses mains sur ses hanches et en la dévisageant il répondit d’un ton exaspéré « T’étais dans la rue, à moitié nue et des abrutis te regardaient comme si t’étais leur prochaine proie. » Il la regarda de haut en bas « Si par exemple, t’avais mis cette tenue ce jour là, je ne me serai pas comporté de la sorte. » Il soupira. Il ne pouvait que faire ça en ce moment.

Il lui tourna le dos et fit quelques pas vers le canapé. Il changea d’idée quand il vit toute la saleté sur les coussins. « Si j’avais envie de te tripoter je l’aurai fait sans passer par quatre chemins. » il fit demi-tour, un sourire à peine voilé aux lèvres. Etant donné qu’elle ne se gênait pas pour lui manquer de respect, il allait faire de même. Il posa ses mains sur ses épaules et la plaqua contre le mur. Il mit sa main sous son top et remonta ses doigts le long du dos de la jeune fille. Une fois qu’il sentit son soutien-gorge, il le dégrafa. Il rapprocha son visage du sien, plongeant son regard dans celui de Kat « T’auras beau vouloir me faire ce que tu veux, je reste le plus fort des deux ici. » Il lui posa un baiser sur le front et recula instantanément.

Il repartit vers le canapé mais au lieu de s’asseoir dessus, il s’assit sur le tapis, le dos appuyé sur l’accoudoir. « Dit moi ce que tu veux de moi. » il vit une bière encore fermée à terre. Il la prit, l’ouvrit et but une grosse gorgé. Il a été gentil avec elle la première fois, maintenant c’était à elle de faire un effort.

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Ce message a été posté Jeu 17 Mar - 14:38

Masa Ҩ Kat



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Tu claquais ta langue contre ton palet. Tu étais persuadée qu’il avait fait exprès d’ignorer tous tes appels. Mais se débarrasser de toi, ce n’est pas si facile qu’il le voulait. Ah non, tu savais être une plaie quand tu voulais et la tu allais désormais jouer la sangsue histoire de le frustrer toujours un peu plus. Devant sa réaction infantile, tu roulais les yeux. Être plus gentille avec lui ? C’était l’hôpital qui se foutait de la charité. De plus tu n’étais que vivable pour seulement quelque personnes. Parce qu’ils en valaient la peine. Tu n’avais aucune raison d’être buvable avec lui. Au contraire, là, tu avais juste cette envie de le rendre dingue. C’était à celui qui réussirait frustrer l’autre, pensais-tu.

Lorsqu’il te donnait finalement des explications de son comportement de l’autre soir, tu fus surprise, voire presque choquée. Toi qui habituellement faisait toujours très attention les rares fois que tu rentrais seule. Il fallait dire que ce soir, tu étais totalement déboussolée par la fin de soirée que Masaomi t’a fait vivre. Et puis bon pour aller en boîte tu n’allais pas non plus t’habiller comme si tu t’apprêter à faire du shopping ou alors t’entraîner pour la danse


« Tu n’étais pas obligé d’agir ainsi. Tu pouvais tout simplement me prévenir ou alors si tu voulais te la jouer héros, prendre mon bras pour m’attirer loin de ces gars aurais juste pu faire l’affaire »

Du mépris se logeait dans ta voix. Pas de “merci” pour t’avoir évité le viol. Pourquoi lui faire cet honneur. Non, ce serait “trop gentil”. Donc pour toi la seule explication était qu’il souhaitait avoir les mains un peu baladeuses sur ton corps. Tes bras toujours croisés contre ton buste, tu détournais le regard, totalement amusée par ses propos. Tu soufflais simplement un rire, pour te moquer de ses propos. Tu ne le prenais pas au sérieux. Bons nombres d’hommes qui ont osé être un peu trop… Entreprenant sans ton consentement ont toujours eu des problèmes. Alors lui ça n’aurait pas été différent. Soudainement, tu sentais le béton du mur de ton appartement contre ton dos. Tu étais surplombée par le poids du jeune homme. Un frisson parcourait ton corps en sentant ses doigts sur ton épiderme sous ton t-shirt. Il aurait fallu quelque secondes avant de réaliser ce qu’il était en train de faire. Ta faible force tentait en vain de stopper cette course le long de ton dos. Un hoquet de surprise t’échappait lorsque habilement ses doigts dégrafaient ton sous-vêtement. Ton rythme cardiaque augmentait. Tu n’aimais pas la route que prenait la tournure des événements. Heureusement pour toi, il n’était pas allée plus loin que ça. Ton regard se perdait dans le sien, titillé par ses propos. Véridique et quelque peu macho sur le bord. Même beaucoup. Et ce baiser… Il te déroutait totalement. Tu ne comprenais pas sa façon d’agir et tu aimerais savoir ce qui pouvait traverser son esprit à ce moment-là. Nuvoloni Masaomi était une véritable énigme pour toi. Le fait qu'il puisse s'amuser de toi t'énervais. La liste pour le haïr continuait à s’allonger…

« Mais tu as un vrai problème je te jure… »

Instinctivement, tu le poussais loin de toi, même si ceci ne servait pas à grand chose en soit. Quelle bonne idée de pas avoir mis de jupe aujourd'hui, Dieu seul sait ce qu’il aurait faire cette fois. Tu le regardais s’installer et prendre ses aises chez toi, comme s’il avait toujours vécu ici. Tu poussais un soupir avant de répondre à sa question d’une voix sèche

« J’ai besoin que tu m'ôtes d’un doute »

Tu prenais soin de rattacher ton soutien-gorge avant de revenir t’affaler sur ton canapé. Tu reprenais ta tasse de café avant de continuer la conversation.

« Tu m’as bien dit que tu pouvais tout faire n’est-ce pas ? Tu n’as aucune limite hein ? »

Et même s’il en avait, ceci n’allait pas t’arrêter. Tu buvais quelques gorgées de ta boisson en terminant tes propos tout sourire.

« J’aurais juste besoin que tu assures ma protection disons…. Durant quelques semaines… C’est dans tes cordes ca non ? »

Tu aimais le danger. Mais le danger avait son prix et ceci avait eu le don t’inviter dans des problèmes sans nom pour une jeune fille de ton age

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Ce message a été posté Jeu 17 Mar - 20:06
Un nuage de passage.

Tenue✟ « C’était plus drôle de te prendre sur mon épaule. » Il n’allait tout de même pas avouer qu’en tant qu’homme, il ressentait un minimum de respect à son égard. Même antipathique, elle restait tout de même une femme, aussi dépravée fut-elle. Mais bon, qui était-il pour pouvoir juger autrui ? Surtout lui, dont l’âme était complètement à jeter. Il essayait tout de même, de temps à autre, de pouvoir sauver quelque chose de lui en faisant une bonne action à droite à gauche. Le plus étrange était qu’il aimait bien ça. Même si on interprétait presque toujours mal ses actions. « Et de rien, il lui fit un clin d’œil, je sais qu’au fond de toi t’es reconnaissante. » Il commençait à avoir soif, il partit vers le canapé après avoir vu quelques canettes de bière vides à terre et sur la table basse. Apparemment son interlocuteur était du genre égocentrique et semblait croire qu’à chaque fois qu’un homme tentait quelque chose à son égard, c’était pour la tripoter. Il lui fit bien comprendre qu’il n’était pas ce genre de personne. C’étaient les filles qui tombaient à ses pieds, pas le contraire. S’il avait envie de se défouler, il n’avait qu’à sortir et coucher avec la première venue ; comme à son habitude.

Une idée lui traversa l’esprit. Farfelue certes, mais captivante. Il fit demi-tour, Kat allait être victime d’une expérience psychologique et tactile. Il se demanda comment une fille aussi bornée allait réagir. Une fille reste une fille j’imagine, se dit-il en la plaquant de tout son poids contre le mur. Il avait lu sur un magasine trouvé dans son salon qu’elles étaient plutôt sensibles au niveau de la colonne vertébrale. Il sentit la peau douce de la jeune fille défiler sous ses doigts. Il remarqua qu’elle essayait de l’arrêter, c’était peine perdue. Il fut amusé par sa réaction au moment où il lui dégrafa son soutien. Il chercha la réponse à sa question dans le regard de la jeune fille tout en s’approchant un peu plus, et il la trouva. Elle n’était pas totalement insensible à ses actions, ce qui pouvait drastiquement changer leur situation. Il lui souffla quelques mots et l’embrassa délicatement, pour se faire pardonner. Il ne voulait pas la déstabiliser, juste jouer avec. Il décida d’en faire son nouveau divertissement, son nouveau jouet. Elle le poussa. Il sourit, de toute façon ce n’était pas la première fois. « Je sais. » Allait-elle le prendre au sérieux ? Ou juste croire que ce ne sont encore que des paroles en l’air ? Il avait des problèmes, il en était conscient et ne le cachait pas. Il fit un geste en arc de cercle de la main comme pour effacer ce qu’il venait de faire et lui faire comprendre que c'était du passé.

Il avait vraiment soif. Il s’assit sur le tapis et chopa une bière. Il était déjà passé à autre chose mais pensait toujours à la réaction de la jeune fille. Elle avait beau avoir un caractère de cochon, son corps lui, ne mentait pas. Elle s’allongea sur son canapé et bu dans une tasse qui était posée sur la table basse. « Une semaine ou deux. » répondit-il. « Je te protègerai, mais je ne serai pas ta nounou. » il tourna sa tête vers elle, le regard impénétrable. De sa vie, il n’avait jamais autant parlé en si peu de temps. Mais bon, il n’avait pas le choix, il fallait bien tout mettre au claire, surtout avec elle. « Je ne serai là que pour assurer ta garde dans les moments dangereux. Par contre, il prit une autre gorgée de bière, je ne ferai rien d’autre. Je te protège mais tes bêtises tu les règles toi-même comme une grande. » Peut-être que ça allait être une belle expérience ou peut-être qu’il allait le regretter. La vie lui réservait toujours des imprévus.

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Ce message a été posté Ven 18 Mar - 4:14

Masa Ҩ Kat



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Tu restais persuadée qu’il voulait simplement pouvoir profiter indirectement de ton qui était presque dénudée comme il l’avait souligné lorsqu'il t'a prise ainsi. Tu ne savais pas pour quel genre de fille Masaomi te prenait. Une sorte de passe-temps avec lequel il pouvait s’amuser ? Non tu n’étais pas de celles-là. Il allait falloir que je lui remette les points sur les “i”. Lorsqu’il évoqua ton soi-disant ressentit concernant l’incident qui a failli se produire le soir de votre rencontre, tu levais juste les yeux au ciel. Tu n’allais pas mentir, c’est vrai qu’une partie lui était reconnaissante, mais plutôt crever que de l’admettre. Surtout devant lui. Il semblait avoir un égo plus sur dimensionné que le tien. Hors de question de le flatter. Trop de fierté. Et puis te dire que tu pourrais lui redevable ne te plaisait pas. N’était-ce pas ton objectif de lui rendre la vie impossible désormais. Tu ne cessais pas de te répéter ça dans ta tête. Mais bon, Masaomi était différent des autres mecs dans le sens où il ne laissait facilement avoir par une jeu de séduction ou de charme. Ce qui rendait ta tache bien plus difficile… Et intéressante en même temps. Tu étais joueuse après tout. Mais bon, pour l’instant, c’est le métis qui jouait a tes dépens

Tu te sentais coupable d’avoir ressenti, même le temps de quelques secondes lorsqu'il t'a touché. Tu haïssais ton corps a cet instant pour avoir réagi. Et devant lui, ça te frustrait plus qu’autre chose. Tu avais presque l’impression de donner le bâton pour te faire battre. Toutes les fibres de ton corps continuaient à mépriser l’être abominable que Masaomi était. Tu pensais qu’il lui manquait définitivement une case. Et il le savait. Vérité ou ironie, tu n’étais pas prête à polémiquer sur ses quelques soucis, tu avais toujours mieux à faire. Tout ce que tu espérais, c’est qu’il ne laisse pas trop sa folie te prendre en bouc-émissaire. Cependant, tu ne souhaitais pas t’attarder parce qu’il venait de se passer, mieux, tu souhaitais oublier sa main sur ta peau. Tu préférais entrer rapidement dans le vif du sujet en évoquant la raison de sa présence ici. Ajouter une poupée en plus dans ta collection était ton souhait. A durée indéterminée de préférence. Tu manquais de t’étouffer avec ta boisson chaude à l'entente de sa réponse. Et bien… Tu ne t’attendais pas à ce qu’il soit aussi réceptif à ta proposition. “Mais”... Il avait toujours un mais dans ce genre de situation. Tu l’écoutais attentivement déblatérer ses paroles… Tu soufflais un rire, ayant du mal à tout enregistrer ses envies. Un regard amusé à son adresse, un sourire sur le visage croyant à la plaisanterie, tu lui fis redescendre sur terre. Tu posais délicatement ta tasse sur la table basse.


« Mais attend de quel droit t’es en mesure de négocier ? J’ai droit d’imposer ce que je veux. C’est toi qui me dois une faveur et non l’inverse ! Donc si je dis un mois, ce serait un mois »

Il devait se rappeler que c’était lui qui t’avait blessé. Donc il devrait être disponible pour toi, même a des heures pas possible. Voilà comment tu voyais les choses. Tu finissais par lui balancer un cousin sur la tête. Tu n’aimais pas qu’il te traite comme une gamine.

« Et puis c’est quoi pour toi des “bêtises” ? Si je tue un mec, tu me laisseras me démerder toute seule c’est ça ? »

Ce genre de situation n’était pas anodin. Il fallait dire que depuis que tu avais découvert ce qui était arrivé à ta meilleure amie, plus d’une fois des envies de meurtre avait traversait ton esprit. Ce n’était pas une éventualité à mettre de côté après tout. Tu te redressais afin de t’asseoir convenablement sur ton canapé. Tu posais ton bras le long du dossier du canapé, ton regard toujours sur le jeune.

« Et ça veut se la jouer gentleman. Tu parles... Tu te donnes juste un genre… Le coup du mouchoir et tout… Une mascarade. Je ne sais pas quel genre de nanas qui se laisse embobiner par ce genre de combine. En tout cas, ca ne marche pas avec moi »

Le ton que tu employais se voulait sarcastique, en plus d’être accompagnée un large sourire. Tu voulais aussi le faire chier à ta façon….

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Ce message a été posté Ven 18 Mar - 6:04
Un nuage de passage.

Tenue✟ C’était décidé, Masaomi allait lui refaire son éducation et lui apprendre que dans la vie, il y aura toujours des personnes qu’elle ne pourra pas plier à ses humeurs.  On lui offrait une main et elle voulait prendre tout le bras. Il allait lui répondre quand il reçut un coussin en pleine face. Un des coussins sales qu’il y avait sur le canapé. Dégoûtant. Il le prit entre ses mains et le jeta de l’autre côté de la pièce en dévisageant la jeune fille d’un air surpris. Comment pouvait-elle s’allonger sur un canapé limite en décomposition ? Pourtant le reste de son appart n’était pas aussi dépravé. Va savoir tout ce qu’à vécut ce pauvre sofa avec elle. « Non. » Simple et claire. C’était la réponse la plus adéquate pour ce genre de situation.  « Deux semaines max ou je me barre maintenant et te laisse dans ta misère. » C’est vrai ça, après tout rien ne l’obligeait à rester et subir ses caprices. Il le faisait ‘de bon cœur’. Il aurait très bien pu la laisser comme ça, le visage en sang en plein milieu de la rue obscure avec des gens louches qui essayeront de lui faire qui sait quoi. « Ne crois surtout pas que t’as une quelconque influence sur moi. » Il se redressa et posa sa bière sur la table basse. Il prit la tasse de la jeune fille et sentit l’odeur qui s’émanait du liquide. Il goûta, c’était bon.

Il écouta d’une oreille distraite la jeune fille, il mit du temps à synthétiser l’information dans son cerveau. Il comprit après un moment de réflexion ce qu’elle lui avait sorti, une autre bêtise. Il se tourna vers elle, les sourcils froncés en signe de désapprobation tout en posant la tasse au bord de la table « Tu ne tueras personne. » Il ne manquerait plus que ça maintenant, que même les femmes fassent les conneries des hommes. Il ne la prenait pas tout à fait au sérieux, mais pas à la légère non plus. On ne savait jamais dans la vie. Lui-même n’aurait pas pu prédire que sa première fois aurait été à l’âge de 16 ans. C’était galère pour s’en débarrasser après. Heureusement que ses amis étaient là pour l’aider. « Et puis si tu veux une réponse ; oui je te laisserai assumer pleinement tes actes. » Ce n’était pas ses affaires, il n’allait tout de même pas se faire emporter dans des problèmes qui à la base ne sont pas censés le concerner.

La voilà qu’elle se plaignait de ses beaux gestes à son égard. Bon, faut dire qu’il s’y attendait. Essayait-elle de le titiller ? Ou juste c’étaient vraiment des reproches ? « Je l’ai fais honnêtement. » il prit un air innocent en fausse victime, limite s’il n’allait pas simuler le comportement d’un gamin de 5 ans. De toute façon, il n’était pas spécialement intéressé par elle, il en avait connu des filles aussi têtue et plus sexy. Elles ont toutes finis dans son lit, tout en étant consentantes, cela va sans dire. « Tu n’aimes pas qu’on soit gentil avec toi ? Ou alors tu n’arrives pas à accepter le fait qu’on le soit sans arrières pensées ? » Il avait envie de la taquiner encore un peu. Il se mit sur ses genoux et se pencha sur le canapé. « Si tu veux je peux l’être d’une autre manière.. ? » Il lui caressa les cheveux en rigolant et recula. Sauf que, n’ayant pas calculé la distance entre lui et la table basse, il la cogna et fit tomber la tasse qui y était au bord sur lui. Tout son pull était imbibé de café chaud. Il blasphéma dans sa langue natale et s’empressa d’enlever son vêtement. Il regarda son pull blanc qui avait viré au marron et se mit à rire. « Tu portes le mauvais œil, sorcière. » dit-il à Kat en rigolant. Il regarda un moment son pull et le jeta sur le visage de son interlocutrice, imitant une voix de fille « Ne regarde pas mon corps~ » Il n’avait rien mit en dessous, ce qui faisait qu’il était totalement torse nu, ses abdominaux et son torse à moitié mouillés par la boisson. Il sentit soudainement le besoin d'aller prendre une douche.

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Ce message a été posté Ven 18 Mar - 15:20

Masa Ҩ Kat



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Tu fus sonnée par sa réponse sèche et directe. Non… Tu n’avais pas l’habitude d’entre ce mot…. On ne te refusait jamais que chose. Alors ceci était inconcevable. Tu te mordais la langue, te retenant pour que tes mains n’attrapent pas son cou. Qu’est ce que tu allais lui faire subir en deux semaines ? Non tu voulais plus, lui rendre la vie avec Antachai Katreeya impossible. Ton regard s'assombrit. Ah, il pensait ne pas que je tu ne pouvais pas déteindre sur lui. Différents qu’il soit, un homme reste un homme. Tu le regardais se servir de ton breuvage. Et bien… Il semblait bien plus à l’aise que tu ne le voulais chez toi. Tu te contentais de soupirer tout simplement. Il avais réussi à te causer un mal de crâne sans nom, bien plus que ta gueule de bois d’il y a quelques heures. Tu présentais à Masaomi une éventualité qui serait tout à faite possible, tu étais curieuse de savoir la réaction… Décevante, tu devais dire

« Qu’est-ce que tu en sais ? Tu ne me connais même pas… Peut-être que j’ai déjà tué et tu ne le sait pas. »

Pourquoi les gens prenaient toujours tes paroles pour des paroles en l’air ? Ton visage de petite fille semblait plus que trompeur. Certes, tu n’avais jamais tué cependant, tu en étais capable. Il faut dire que les véritables colère que tu pouvais piquer n’avais rien à voir avec cette petite crise de nerfs que tu as eue l’autre soir. Tu écarquillais les yeux lorsqu’il t’avoua ne pas t’aider dans ce genre de situation. Tu réfléchissais un instant. Et si les rôles étaient inversés…. Oui il y avait 98% de chance que tu agisses de cette façon. Bon au moins c’était rassurant de voir que tu pouvais trouver quelqu’un de plus antipathie que toi. Quand il évoquait la gentillesse d’autrui à ton égard tu grimaçais, dérivant ton regard dans un autre point de la pièce.

« Ca va, ne joue pas les psys avec moi. Tu ne me connais pas je t’ai dit… »

Il était dans le vrai dans les deux cas. Tu as toujours du mal avec les relations humaines. Il faut dire que la vie n’a jamais était un cadeau pour toi. Depuis que tu es enfant c’était la même rengaine. Rejetée par un père que tu n’as jamais connu, une famille qui ne voyait en toi que la petite bâtarde que tu étais issu du péché de la chair et tes camarades qui te jugeaient trop froide sans même avoir appris à te connaître. Il faut dire qu’en 19 ans d’existence, peu de personnes ont été “gentilles” avec toi. La gentillesse, l’amour... Tu les as banni de ta vie lorsque ta mère est décédée. Certes, Sakura était toujours là pour toi et fort heureusement, mais en dehors d’elle, chaque nouvelle forme de compassion à ton égard était source de contrepartie à tes yeux. Tu l’as souvent compris due à tes expériences passés. Un échange équivalent. Alors non, tu as cessais de te faire trompée par des émotions éphémères. Tu sursautais légèrement sentant ses doigts dans ta chevelure écarlate. Tu n’arrivais même pas à le prendre au sérieux avec ce sourire collé à sa face. Un mouvement de recul de ta part pour s’éloigner de lui, il en fut de même pour ton vis-à-vis. Cependant, il eut moins de chance. Un franc rire s’échapper de tes lèvres en voyant ta boisson se déverser sur lui. Ce genre de situation te plaisait énormément. Voir le karma s'amuser de quelqu'un d'autre.

« Non c’est juste ton châtiment d’être aussi tactile avec moi »

Il le devenait même un peu trop à ton goût depuis votre rencontre. Tu arquais un sourcil en le voyant enlevé son haut taché allègrement. Tu fus plus que surprise parce que tu avais sous les yeux. Après qu’il t’ait balancé son t-shirt, lui renvoyait aussitôt au visage, les muscles de ton visage se contracter.

« Je ne te regardais pas ! »

Menteuse. Tu l’as même détaillé l’espace de quelques secondes. Il faut dire que tu ne t’attendais pas à ce qu’il ait un corps aussi bien dessiné. Tu savais qu’il était loin d’être frêle vu la manière dont il t’a blessé, cependant tu ne t’attendais pas non plus à… Ca. Ton regard détourné, tu continuais.

« Et puis c’est toi qui as choisi de faire un strip-tease au milieu de mon salon. Attend, je te vais t’apporter un truc à te mettre. »

Tu refusais qu’il se balade à moitié nu chez toi. Et les raisons pouvaient devenir évidentes. Tu te levais en prompt pour diriger vers ta chambre avant de pointer du doigt une porte fermée au bout du couloir.

« La salle de bains est là-bas si tu veux nettoyer ton truc. Il y a des serviettes là-bas »

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Ce message a été posté Sam 19 Mar - 7:11
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Tenue✟ Il était très étonné par les propos tenus par Kat. Voulait-elle prouver quelque chose ? Pourquoi avait-elle à ce point envie de tuer quelqu’un ? « Si tu l’avais déjà fais, je le saurai. » Masaomi connaissait ces gens là, et elle n’en faisait pas partie. Il remarquait un meurtrier des kilomètres à la ronde. Ils étaient différents, une certaine aura les entourait, un halo qui attirait les personnes, ceux qui avaient un penchant pour le risque. Ils se reconnaissaient entre eux. Tuer était comme une drogue, une fois qu’on s’y mettait on ne pouvait plus s’arrêter. ‘De toute façon la ligne a déjà était franchie, pourquoi s’arrêter ?’ C’est cet esprit qui le liait à ses amis. Avoir autant de pouvoir sur la vie d’autrui ; rares étaient ceux qui connaissaient cette omnipotence. Puis c’était la décadence, ceux qui en abusaient et ceux qui en profitaient de temps à autre. Masaomi quant à lui se promenaient entre ces deux frontières : la torture. Pour lui la vie humaine n’était qu’un accessoire optionnel, un jouet sur la scène de sa vie, il pouvait le jeter ou le remplacer à sa guise. Et s’il le cassait ? Un nouveau prenait sa place.

Il ignora le commentaire de Kat. Un psy ? Comment pouvait-il jouer aux psys alors que lui-même en avait besoin ? Il sourit, les plus fous étaient ceux qui comprenaient le plus les Hommes. Un fou. Il se pencha sur la jeune fille et caressant ses cheveux, elle avait l’air sensible au touché. Se rendait-elle compte qu’elle ne pouvait même plus se sentir en sécurité chez elle maintenant qu’il savait où elle habitait ? Que ce passerait-il s’il décidait de jouer avec elle comme avec les autres filles avant lui ? Ses amis avaient un goût prononcé pour les surnoms stupides en ce qui concernait Masaomi. Son tableau de chasse, ils l’avaient surnommé ‘The Harley Quinn Competition’ en l’honneur à celles qui n’avaient pas supporté le poids de sa présence. Il ne voulait pas que les filles viennent vers lui, mais si elles insistaient il ne pouvait rien y faire. Certaines tombaient en dépression, d’autres avaient des troubles de comportement. Jusqu’à présent, il n’avait approché de lui-même que trois filles. Une d’elles s’était suicidée avant qu’il ne parte pour Tokyo. Il trouvait ça étrange, il ne leur faisait jamais rien de mal, n’est-ce pas ? Il sourit à Kat et recula.

Il sentit le café chaud imbiber son pull. « Le karma, huh ? » fit-il en direction de la jeune fille. Il la regarda en enlevant son haut « Tu devrais rire plus souvent. » Il avait remarqué que la thaïlandaise l’avait reluqué. Il savait qu’il avait l’air maigrichon sous ses vêtements et comprenait les réactions stupéfaites de certaines. Il jeta son pull sur elle qui le lui renvoya aussitôt. « Tu n’as pas à faire ta timide, tu peux regarder si tu veux. » un sourire moqueur se dessina sur son visage. Décidément, il la découvrait à chaque minute qu’il passait avec elle. Il la vit se lever du sofa, il ne s’attendait pas vraiment à ce qu’elle lui propose de nouveaux habilles. Elle lui montra la salle de bain et les serviettes. Il prit deux serviettes et s’enferma dans la salle de bain « C’est gentil, Kacchan. » Il se déshabilla complètement et se mit sous le jet froid de la douche. Son corps sentait entièrement le café. Il se savonna et se rinça vite fait. Même s’il aimait enquiquiner la jeune fille, il se sentait tout de même légèrement gêné d’utiliser la salle de bain d’une autre personne. Il s’essuya les cheveux et enroula la seconde serviette autour de son bassin. Il regarda son pantalon, le café l’avait aussi taché. Super… Son slip acheva de l'exaspérer. Comment une tasse à moitié vide pouvait-elle faire autant de dégâts ? Qu’allait-il mettre à présent ?

Il sortit de la salle de bain, sans vraiment se rendre compte qu’il était à moitié nu, il était très à l’aise avec son corps, un peu trop même. Il chercha Kat du regard en l'interpellant. Il se dirigea ensuite vers sa chambre et entra. « Kacchan, j’ai un problème. »


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Ce message a été posté Sam 19 Mar - 15:36

Masa Ҩ Kat



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Tu ne pensais jamais que les choses arrivaient par hasard. Même les plus minimes. Depuis le plus loin que tu te souviennes, tu as toujours cru au karma. A savoir que si tu faisais quelque chose de mal, tu serais récompensée au même prix et vice versa. Mais tu n’as jamais essayé de change ta personnalité. Devenir quelqu’un “de bien”, tu ne pensais pas que c’était dans tes cordes. Et surtout tu avais cette peur constante d’être faible ou alors devenir trop naïve.

Une fois de plus, tu roulais des yeux. Rire plus souvent… Et surtout sincèrement. Tu aimerais bien c’est vrai… Mais il faut de véritable raison non. Tu n’aimais pas rire juste pour la galerie. Tu le faisais quand des hommes te tournais autour, seulement pour flatter leur ego. Cependant, si cela ne concernait pas le malheur d’autrui, il était rare de l’entendre


« Calme toi, je ne te matais pas…»

Ton but n’était pas de lui donner satisfaction en disant que tu t’es un peu rincé l’oeil. Non, tu avais beaucoup trop de fierté pour ça. Et devant un mec aussi méprisable que lui, tu étais deux fois plus déterminée. Tu allais te le coltiner deux semaines alors il fallait que tu gardes la tête froide. Tu te levais finalement pour lui trouver quelque chose à lui mettre sur le dos pour que tu restes concentrer un minimum et qu’il se foute de toi parce qu’il a raison. Tandis que tes pas te guidaient vers ta chambre à coucher, ses paroles t’arrachaient une grimace.

« Arrête de m’appeler “Kacchan”, on n'est pas amis je signale »

Et heureusement pour toi d’ailleurs. Tu as conscience que tu n’as pas le prénom le plus court qui existe. C’est pour ça que tu acceptes qu’on t’appelle Kat et encore, ça reste privilégié à certaine personne. Alors non, tu n'accepteras jamais ce surnom trop familier à ton goût. Arrivée dans ta chambre, tu allais dans ton dressing afin de trouver le fameux sweat qu’il t’avait donner. C’était aussi le seul vêtement d’homme qu’il y avait entre ces quatre. Tu n’étais pas du genre à collectionner des souvenirs de tes conquêtes comme le faisais certains hommes avec des petites culottes des filles. De toute façon tu comptais le lui rendre alors. Tu en profitais alors pour chercher aussi ce mouchoir qu’il t’avais passé lorsqu’il t’avait blessé. Il faut dire que le nettoyer n’était pas aussi simple que le vêtement du jeune homme. C’est qu’il en avait fallu des lavages pour faire partir le sang dessus. Cependant tu ne savais plus ou tu avais bien pu le foutre. Tu farfouillais dans ton tiroir à sous vêtement. Peu probable qu’il soit là-bas mais soit, rien n’est jamais trop sûr. Une énième fois, la voix de Masaomi raisonnait dans ta pièce privée. Tu soufflais lourdement. Avec énormément de mépris de ta voix.

« Je t’ai déjà de ne pas m’appeler com… »

Au moment où tu sortais de ton dressing, tu fus abasourdie par la vue qui s’offrait à toi. Tu ne t’attendais pas à ça. Surprise par la tenue que le jeune homme portait, tu t’empressais de te cacher derrière la porte de ton dressing. Tu essayais de retrouver ton calme, mais c’était foutu. Son image était gravée dans ton esprit. Tu en avais presque honte.

« Putain mais t’es malade ! Je croyais que tu allais juste nettoyer ton pull ou rincer juste le café… Ou je ne sais pas…»

Non tu ne savais pas du tout. Tu n’avais pas l’habitude d’être gênée dans ce genre de situation. Tu n’étais si pudique que ça. Mais c’est que c’était si inattendu comme situation. Avoir deux hommes nus dans ta chambre en l’espace de 6 heures, c’était du jamais vu. Tu ne vas pas mentir, dans d’autre circonstance ça ne t’aurais pas dérangé, tu en aurais même profité au maximum. Mais ça commencerait à devenir bizarre. Tu daignais finalement à te montrer à nouveau poussant un lourd soupir. Tu te devais de garder la tête froide.

« Tu ne peux pas avoir la décence de mettre ton pantalon bordel ? Prends ton sweat et sort de ma chambre ! »

Tu lui balançais son vêtement à la figure. Tu te demandais vraiment comment les événements ont pris ce genre de tournure

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Ce message a été posté Mar 12 Avr - 22:41
Un nuage de passage.

Tenue✟ Les seuls moments où Masaomi se retrouvait à moitié nu chez une jeune fille étaient uniquement le lendemain d’une belle nuit mouvementée. Et puis il ne traînait jamais. C’était surtout pour remettre ses vêtements et disparaître. Des fois il arrivait même que certaines l’appelaient pour se défouler et ensuite rejouer aux étrangers. Il n’a jamais vraiment eu besoin de les chercher, c’était surtout elles qui le trouvaient. Il fixa son jean qui avait viré au marron, il ne pouvait pas y remédier. Du moins pas ici. Il prit son slip, l’examina et le mit sous l’eau du robinet et commença à frotter. De toute façon ce n’était pas aussi catastrophique que le reste de ses vêtements. Une fois la tâche emportée par le jet, il l’essora et le mit sur le chauffage, en espérant que ça sèche vite.

Il sortit ensuite de la salle de bain en appelant la maîtresse de maison. Il se sentait dans la peau d’un enfant qui avait besoin de l’aide de sa mère parce qu’il ne savait pas se débrouiller tout seul. Au moment où il entra dans la chambre de la thaïlandaise, il remarqua que le lit était défait. En éternel maniaque, il s’y approcha par réflexe. Ce n’était qu’après qu’il remarqua la porte ouverte d’une autre salle : le dressing. Kat se tenait dans l’encadrement, les yeux ronds pour ensuite se cacher. Il fut amusé par sa réaction, ses lèvres s’étirèrent en un beau croissant de lune au fur et à mesure qu’il s’approchait de la porte. Il sentait la vulnérabilité de la jeune fille et c’était ce qui l’attirait. « C’est bon ne fait pas ta sainte Nitouche. » se moqua-t-il en essayant de tirer la porte pour la dénicher. Il tourna la poignet sec et l'ouvrit brusquement. « De toute façon, mes vêtements sont foutus, il fit la moue, gonfla ses joues et prit l’air le plus innocent possible, je ne sais pas quoi me mettre. Maman. »

Il reçut un pull en pleine face, ce qui lui rappela la scène du coussin d’il y a quelques minutes. Il déplia le vêtement et remarqua que c’était son sweatshirt. Il l’enfila en pouffant. « Tu l’as vraiment gardé. » Une fois le haut de son corps couvert, il s’approcha de la jeune fille. Elle n’aurait jamais du réagir de cette manière dans le dressing. A cause de ça, maintenant l’italien n’était pas près de lâcher prise. Il s’avança de sorte à ce qu’elle soit obliger de reculer, jusqu’à rencontrer un mur et ne plus pouvoir bouger. Il se pencha sur elle, son ombre couvrant entièrement le corps de la jeune fille. Masaomi appuya son bras sur le mur et lui caressa la joue de son autre main, un sourire narquois aux lèvres. « Et maintenant, pour le bas.. ? Il lança un regard à sa serviette d’un air amusé, on fait comment ? » Il se mordit la lèvre inférieur, s’empêchant ainsi de se tordre de rire. Il raffolait des situations gênantes. Du moins, embarrassantes pour la jeune fille, lui il s’en fichait. Il porta ses lèvres à l’oreille de sa camarade, ses fossettes se démarquant de plus en plus sur ses joues. « Je me sens bien même sans vêtements tu sais. » Pleins de filles lui avaient dit que sa voix était encore plus sexy quand il chuchotait. Il ne s’en était jamais rendu compte et avait donc décidé de l’exercer, aujourd’hui. De toute façon, pourquoi se retenir alors qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de Kat ?

Malheureusement, l’esprit de Masaomi était programmé de sorte à ce qu’il pense que tout le monde est là pour le divertir. Que tous les droits lui reviennent. Il ne croyait pas vraiment au hasard. Pour lui, dès que quelqu’un avait la malchance de croiser son chemin, il pouvait dès cet instant en faire ce que bon lui semblait. Kat faisait parti de ces malheureux.

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Ce message a été posté Jeu 14 Avr - 2:20

Masa Ҩ Kat



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Faire ta sainte nitouche ? Oh non, tu étais loin d'être une sainte Nitouche... mais alors très loin. Mais avoir une certaine pudeur de n'importe quelle manière faisait de toi limite une vierge effarouchée ? Oui, les propos du métis ont su quand même t'amuser. Cependant tu étais toujours aussi surprise de le voir en tenue d'Adam alors que ce n'était pas quelque chose dont tu avais l'habitude de voir des invités presque indésirables chez toi. Ironique lorsqu'on pense que les trois quarts des hommes qui viennent dans ton appartement finissent toujours par enlever leurs vêtements. Seulement avec Masaomi c'était différent vu que tu ne souhaitais pas le voir ainsi. Ceci n'avait même pas traversé ton esprit ne serait-ce qu'une seconde.

Bien qu’émotionnellement, tu ne fus pas prête à voir l'italien comme ça, lui semblait en avoir rien à foutre. T'enfermer dans ton dressing pour retrouver un semblant de calme ne servait pas à grand chose. Alors qu'il faisait irruption dans ton dressing, tu t'empressais de lui donner un premier vêtement. Un premier soulagement pour toi. Oui tu avais garder son sweat et tu comptais lui rendre lors de votre nouvelle rencontre. Il faut dire que ça tombait à pic Cependant, en voyant Masa s'approcher de toi tel un prédateur dans un endroit aussi exigu, ton instinct de survie guidait tes pas pour t'éloigner de lui. Hélas, comme tu l'as pensé, l'endroit était étroit... Beaucoup trop étroit à ton goût. Le mur de la pièce stoppant ta course, le jeune homme s'imposait de par sa grande taille, tu avalais difficilement ta salive. Tu n'aimais pas la voie que le garçon empruntait. Tu ne voulais pas encore réagir comme tout à l'heure avec sa main un peu trop baladeuse du a un contact physique inattendu. Lorsque tu sentis sa main sur ta joue, il n'a pas fallu longtemps pour que ta main tape son bras pour qu'il limite ses gestes et qu'il cesse ça. Il devenait beaucoup trop tactile à ton goût. Il t'a un peu trop touché aujourd'hui. A ses mots, tu regardais la serviette qu'il l'habillait alors que ton regard glaciale croisait le sien


« Et alors ? C'est pas mon problème ça.»

Tu n'étais pas sa mère. Tu n'allais pas non plus lui faire une lessive et l'héberger pendant qu'il y était. Tu avais déjà lavé son sweat et son mouchoir, c'était déjà beaucoup pour toi. Tu sentais soudainement son souffle près de ton oreille qui te donnait une décharge électrique. Tu commençais vraiment à craqué, dans le sens où ce mec t'exaspérait à te prendre comme une simple poupée dont il peut s'amuser. Tu n'étais pas une manipulée et ce n'était pas aujourd'hui que ça allait commencer.

« Très franchement... J'en ai rien à foutre »

Ta voix était distante et froide. Tu avais retrouvé ton sang froid à l'idée qu'il puisse se jouer de toi. Et ceci te perturbait plus qu'autre chose. Ayant brisé ton cercle intime une fois de plus avec cette proximité, tu le poussais loin de toi avant d'attraper le bout de la serviette et lui arracher habilement.

« Je suppose que tu dois te sentir mieux maintenant les fesses à l'air non ? »

Un sourire étirait le coin de tes lèvres, riant doucement étant amusée par la situation.. C'était aussi une manière de lui montrer que tu n'étais pas une sainte Nitouche. Même avec les salauds dans son genre. Tu lui redonnais la serviette avant de quitter la pièce pour regagner ta chambre et t'allonger, las, sur ton lit. Tu sentais la migraine se pointer

« Bref, on a assez rigolé, très franchement va enfiler ton pantalon avant que je te jette dehors comme ça. Aie un peu décence dans l'habitation de quelqu'un. »

Assez ironique et contradictoire comparée à ce que tu venais de faire. Mais ça t'avait bien amusé sur le moment. Néanmoins tu préféré le voir moins ridicule que ça et il l'était en étant habillé.

« Mis à part si tu as des goûts douteux et que tu préfères porter les vêtements de filles... »

Ce serait drôle ça. Cependant tu n’allais pas lui "prêter" ne serait-ce qu'un sous-vêtement si ce genre de truc était "son trip", vu ce que tu dépenses en vêtements...

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Ce message a été posté Jeu 21 Avr - 22:21
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Tenue✟ Le jeune homme resta déçu de la thaïlandaise. Il gonfla ses joues à ses réponses en signe de désapprobation. Il pensait qu’elle serait plus amusante à taquiner. Il l’avait énervée et apparemment elle se renfermait sur elle-même quand elle l’était. Il savait qu’il fallait dépasser ce stade pour que les choses deviennent plus intéressantes. Mais comment passer par-dessus cette barrière ? Et s’il dépassait les bornes ? De toute façon il s’en fichait des répercutions de son comportement sur la vie des autres tant que ça l’arrangeait lui. Il testera Kat, l’usera jusqu’à ce qu’ils ne se revoient plus jamais.

La jeune fille le poussa brusquement et en profita pour lui arracher sa serviette. « Pas que les fesses. » commenta-t-il, sans vraiment cacher de sous-entendu. Son regard se baissa vers l’endroit qu’était censé cacher la serviette. Il avait hérité de peu de choses, génétiquement parlant, de son côté italien. Mais au moins c’était l’essentiel : sa grande taille et sa machine de guerre qui a fait atteindre, à plus d’une femme, le septième ciel. Essayer de déstabiliser Masaomi en le déshabillant était vraiment peine perdue. Il se sentait tellement bien dans son corps que même les animaux se sentiraient gênés à sa place. La jeune fille lui redonna sa serviette, qu’il remit tout de même autour de sa taille. « Petite coquine va. » souffla-t-il en la suivant en dehors du dressing. Elle se laissa tomber sur son lit, sous le regard sournois du jeune homme. « Serait-ce une invitation à te rejoindre ? » demanda-t-il en faisait mine de la regagner sur son matelas. « Dit la demoiselle qui aime déshabiller les jeunes hommes innocents. » Il fit demi-tour et sortit de la chambre de la jeune fille. Il espérait que son slip se soit séché un minimum, surtout que le chauffage était chaud quand il l’avait mis dessus.

Il entra dans la salle de bain et palpa le tissu du bout des doigts : c’était sec. Il l’enfila vite fait et mit son pantalon sous le lavabo et essaya de sauver le peu qu’il y avait à garder. De toute façon il savait qu’il n’avait pas le choix. Il devait vite sécher son jean à moins de vouloir s’improviser drag-queen le temps d’une balade dans les rues de Tokyo. De plus, il n’avait pas spécialement envie qu’on le voit ainsi à la Royal. Il essora le mieux qu’il pouvait son jean pour ensuite le mettre à son tour sur le chauffage encore bouillant. A ce rythme, il sera sec dans 30 minutes.

Il sortit de la salle de bain, satisfait d’avoir pu enlever le plus gros de la tâche, et rentra dans la chambre de la jeune fille. Il fallait bien faire passer le temps pendant que son vêtement séchait. Il resta planté dans l’encadrement de la porte, cherchant une nouvelle emmerde. Il fit quelques pas en avant, jugeant la distance qui le séparait du lit. Puis un pas en arrière, et un autre. Il semblait danser le chachacha. Il décida enfin de prendre son élan puis de sauter sur le lit de Kat. Sa tête atterrit pile poile sur le coussin juste à côté de la jeune fille. Il reste un moment sur le dos, tout sourire. Puis se tourna vers elle, la regardant un moment. Il l’agrippa de ses mains et l’enlaça entre ses bras, ses jambes coinçant les siennes, l’empêchant ainsi tout mouvement. Quoi qu’elle fasse, elle ne pouvait pas bouger. Elle était bloquée comme un coussin. « Tu sens bon. » murmura-t-il en fermant les yeux. Il calla son visage au creux de son cou et ne bougea plus. Il fit semblant de s’endormir, attendant de voire comment elle allait se débrouiller pour se dégager de lui.


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Ce message a été posté Ven 22 Avr - 15:35

Masa Ҩ Kat



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Tu étais peut être partie un peu trop loin en enlevant la serviette, mais bon il fallait aussi que tu t'amuses aussi de lui... Bien que la pudeur ne fasse pas partie de son vocabulaire à ton grand damne. Tu commençais à croire que s'il pouvait, il se promènerait à poil chez toi.Ton regard dans le sien, tu le suivais bêtement avant de le détourner en une fraction de seconde lorsque tu compris qu'il fit référence à sa virilité. Non, il n'était pas du tout pudique... Tu avais déjà l'image de lui torse-nu gravée dans ton esprit jusqu'à la fin de tes jours malgré toi, il ne manquerait plus que tu te souviennes de ça. Surtout d'un mec avec qui non seulement, tu n'as pas couché, mais surtout que tu méprises. Tu soupirais... Tu connaissais à peine Masaomi et déjà tu étais exaspérée de ne pas le rendre fou comme lui le faisait aisément. Tu avais vraiment trouvé un adversaire de taille. Quittant le dressing, tu te jetais sur ton lit, t'empressant de le fusiller du regard à l'entente de sa connerie. Une invitation et puis quoi encore

« Calme tes ardeurs. Je sais que tu aurais envie de moi, mais c'est encore dans mon droit de m'allonger »

Puis très rapidement, un sourire narquois pris place sur ton visage. Le mot innocent sortant de sa bouche à su quand même t'amuser. Il était aussi innocent qu'un chaton.

« Tu l'as bien cherché aussi... »

Au moins, il sait que tu avais besoin de ton espace personnel pour respirer. Bon ça n'a pas servir à grand chose hélas, mais il fallait qu'il arrive vraiment à te faire perdre ton sang froid... Alors que tu exigeais qu'il mette au moins quelque chose en bas car le voir se promener ainsi commençais à te rendre folle, tu posais le bras sur tes yeux soufflant lourdement. Il n'était même pas encore midi et franchement ce que tu ressentais à ce moment était presque comparable la petite gueule de bois que tu avais ce matin. Tu ne savais vraiment pas a quoi carburait l'italien, mais il restait un challenge pour toi. Tu lâchais un cri de surprise sentant les vagues que ton lit avaient faites lorsque le poids du métis s'était abattu sur ton matelas.

« Mais... Putain t'es grave... »

Un enfant ce mec... Passer du temps avec lui était-ce une bonne idée ? Tu risquerais sûrement de le regretter. Tu le regardais un instant du coin de l'oeil avant de lui faire dos. Mauvaise idée.

« Yah !! Mais... Qu'est-ce que tu fais ? Lâche-moi »

En l'espace de quelque instant, il te bloquait contre lui. Ton dos contre son torse, son bras autour de taille, vos jambes entremêlées... En quelque seconde, il a fait de toi sa prisonnière et cette pensée te frustrait. Tu essayais désespérément de te libérer de ton emprise, te tortillant dans tous les sens.

« Putain mais lâche moi à la fin !! »

Cependant, à la minute où tu sentais son souffle et sa chaleur sur ton cou ainsi que ses cheveux qui chatouillaient le coin de ton visage, tu te raidis immédiatement. Étrangement, un frisson te parcourait. Tu n'avais pas l'habitude d'une telle proximité, enfin en dehors tes parties de jambes en l'air. Il faut dire aussi que tu n'étais pas très tactile et qu'en dehors du sexe, les démonstrations affectives n'étaient pas ta tasse de thé. Donc il fallait l'avouer qu'il a su te dérouter aisément. Tu pinçais les lèvres devant la situation dont tu étais victime.

« Je croyais qu'il ne fallait pas que je t'approche »

Tu repensais au soir où vous vous êtes rencontrés, ses mots raisonnaient encore dans ta tête alors qu'il était sur le point de t'amocher une seconde fois. Tu trouvais ça totalement contradictoire qu'il te prenne dans ses bras à ce moment précis. Mais bon tu ne voulais pas te laisser embobiner par tous ces sentiments et questions qui te bourraient la tête. Tu te mis à gémir de mécontentement, reprenant ton esprit combatif. Là, c'est toi qui avais une folle envie de lui coller ton poing dans la figure

« Tu fais vraiment chier. Tu t'attends à un autre coup dans les parties ou quoi ? »

Tu te tortillais, gesticulais dans tous les sens. Tu tentais en vain de retirer son bras avec ta fine main, cependant, tu, as tendance à oublier la différence de force avec lui. Même si l'italien avait des tendances masochistes, tu tentais de lui donner des coups de coude pour le faire capituler - quand on est désespérée -

« Et puis bon, je ne t'ai pas laissé t'inviter chez moi pour ça tu le sais très bien !!! »

Tu voulais juste réclamer ce qui te revenait de droit après ce qu'il t'a fait subir l'autre soir et selon toi, vous avez un peu trop dérivé du sujet principal. Terminer dans le même dans le sens propre du terme ne devait pas faire partie du plan. Tu attrapais un de tes coussins tentant de l'assommer avec. Cependant, avec des gestes aussi restreint, tu n'allais pas aller bien loin tu commençais plus à fatiguer qu'autre chose. Pour une fois tu te disais que toutes ces années en danse ne servaient pas à grand chose à ce moment là. De ta faible force, tu tentais quand même de le pousser hors du lit, appuyant ton dos contre son torse. L'effort dont tu faisais preuve se ressentait dans ta voix.

« Tu sais qu'il te manque une case toi. C'est quoi ton... »

Avant que tu puisses finir ta phrase, tu sentais ta couverture glisser sous votre poids et ton acharnement au sol vous entraînant tous les deux. Un cri aigu s'échappait de tes lèvres au même moment. Ta respiration devenait irrégulière. Difficile de reprendre ton souffle.

« T'es définitivement un sale gosse. J'espère que ce ne sont pas des tentatives pour mettre un terme à notre marché... Parce qu’il faudra plus que ça pour le faire changer d'avis »

Tu l'as dit, tu obtiens toujours ce que tu veux. Et s'il fallait te montrer borner pour ça, tu le feras

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Ce message a été posté Ven 22 Avr - 17:34
Un nuage de passage.

Tenue✟ Il sentait la jeune fille gigoter et se lamenter entre ses bras, ce qui le poussa à encore plus serrer son étreinte sur sa prise. La lâcher ? Jamais. Pour une fois qu’il réussissait à toucher quelqu’un. Il a toujours su qu’il avait des faciliter avec les femmes, d’où les coups d’un soir, mais depuis que ça sœur l’aidait à passer au dessus de sa peur, il arrivait à être plus proche physiquement des autres. Kat était celle avec qui il semblait avoir le plus d’aise. Peut-être aussi que les circonstances de leur première rencontre y était pour quelque chose. Il sentit ses lèvres s’étirer malgré lui aux débats de sa proie. Quelle plaisir de la sentir impuissante face à lui, de la sentir frémir sous son touché, de l’entendre gémir sous son emprise. Il pouvait lui faire ce qu’il voulait quand il le voulait.

Ses yeux s’ouvrirent à ses mots. Il se releva légèrement, tout en la maintenant fermement, et essaya de voire l’expression qu’elle arborait en ce moment. Il ne voyait que sa joue. Frustré, il la fit tourner violemment sur le matelas pour qu’elle puisse ainsi lui faire face. La tête de la jeune fille au niveau de son torse, il la regardait curieux. Son commentaire sonnait comme une plainte, un reproche. Il pensait qu’elle boudait même. Pourquoi ne pas la laisser s’approcher alors ? Il avait l’impression d’avoir un chiot rebelle en face de lui, un chiot qu’il se devait d’éduquer. Etait-ce cette satisfaction que procurait l’omnipotence sur autrui qui poussait les tyrans à faire le mal ? Il avait lu que la puissance poussait l’Homme à en abuser. Il plaqua la thaïlandaise encore plus contre lui, une soudaine envie de lui faire du mal le prenait. Elle avait l’air tellement fragile et sans défense en ce moment qu’il était tenté de la tyranniser. Elle était le symbole de ce vieux vase ancien présent dans chaque maison que les parents interdisent toujours à leurs enfants de le toucher et qui à la fin finit toujours par être brisé. « C’est moi qui m’approche. » Comme un fauve guettant sa proie. Masaomi disait toujours ce qu’il pensait, exprimant à sa manière ses ressentis sur ce qu’il vit dans le monde extérieur. Pas tout le monde ne comprenait son langage qu’il avait développé depuis petit dans son monde.

La jeune fille tenta de s’échapper de plus belle. Il contracta ses muscles en sentant ses tentatives de lui faire du mal. Heureusement qu’elle n’était pas forte. Il rigola à ses menaces non sans se rappeler du coup entre les jambes du soir de leur rencontre. Il valait mieux prévenir que guérir. De ce fait, il bloqua encore plus fermement ses jambes. La dernière chose dont il avait envie était de sentir la douleur traverser tout son corps à cause d’une fille qui use du point faible de chaque homme présent sur Terre. Il décida de la retourner une autre fois, la remettant dans sa position originelle. Il avait eu de la chance de tomber sur une fille qui faisait à peine la moitié de son poids qu’il pouvait manipuler à sa guise. De plus, en l’ayant de dos, elle risquerait encore moins de lui donner un coup dans l’entre-jambe.

Il savait qu’il était ici pour payer sa dette. D’ailleurs c’est ce qu’il allait faire. Juste il voulait s’amuser entre temps. Ils s’étaient mis d’accord pour qu’il la protège pas qu’il devienne son toutou docile. Il enfouilla de nouveau son visage dans ses cheveux, dont il trouvait la sensation sur sa peau agréable, lui disant à l’oreille. « Je sais, c’est bon. Arrête de crier et tiens-toi tranquille. » A ces mots, il se rendit compte que le dos de la jeune fille exerçait des pressions répétées sur son torse. Il avait une petite idée de ce qu’elle tentait de faire mais n’y prêta pas plus attention que ça.

Il aurait dû. En un clin d’œil, il se retrouva à terre. Kat sur lui. Deux pensés traversèrent son esprit : la première était qu’il allait trouver un gros bleu sur son omoplate le lendemain, la seconde que Kat n’était plus si légère que ça une fois sur lui, en poids mort. Sous les lamentations de la jeune fille, il se leva tant bien que mal et se retrouva assis en tailleur, la jeune fille sur ses cuisses. Il la regarda en levant un sourcil « C’est moi le sale gosse alors que c’est toi qui m’a dénudé et qui nous a fait tomber à terre alors qu’on était très bien sur le lit. » il prit les quelques mèches qu’elle avait sur le visage entre ses doigts et commença à les tortiller et jouer avec. « Je n’ai qu’une parole, je ne vais pas me dérober. » Le coin de ses lèvres remonta légèrement, son regard quitta ses doigts pour se poser sur elle « Et puis, j’ai hâte de passer encore plus de temps avec toi. » il porta les mèches à ses joues pour en sentir la douceur sur sa peau. Il trouvait que les filles aux cheveux longs sont plus attrayantes que celles qui les ont courts.

Le jeune italien commençait à ne plus sentir ses jambes. Il prit Kat entre ses bras et se leva. Il la jeta sur le lit pour pouvoir s’étirer les membres. S’il restait un moment sans bouger, son corps s’engourdissait, ce qui lui procurait une sensation assez désagréable. Il fixa la jeune fille du coin de l’œil en faisant craquer ses bras au dessus de sa tête. Je veux encore jouer, se lamenta-t-il au fond de lui, pensant à son jean qui l’attendait, surement sec, sur le chauffage. Il décida de monter sur le lit à son tour, s’approchant à quatre pattes d’elle. Lentement, elle se retrouva sous lui. Il aimait bien la voir de haut, il trouvait que son visage avait un plus bel angle vu de cette façon.

Posant ses bras de chaque côté de sa tête et la forçant ainsi à rester allongée, il se rapprocha de son visage. Son regard plongé dans le sien. Ses yeux noirs ne reflétaient que le néant de son âme. Il porta une de ses mains sur le coup de la jeune fille, le caressant du bout des doigts. Il sentait les pulsions de son coeur sous sa peau. Sa main se fit plus lourde, entoura le cou de la thaïlandaise et se referma en exerçant une légère pression. Il continua de fixer le visage de sa compagne, l’imaginant souffrir sous son toucher. A quel point il serait facile de la tuer maintenant, tout de suite. De voire son visage apaisé sur le lit, les yeux fermés. Il se rapprocha de son visage, visualisant chaque détail et chaque pore présent sur sa peau. Au moment où ses lèvres effleurèrent les siennes, il sourit. « Bou. »

Il se leva sec, descendit du lit et sortit de la chambre. Kat ne savait pas encore que la personne censée la protéger était surtout celle dont on devait la protéger.



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]Quelle était la différence entre le fait que tu l'approches ou l'inverse. Un contact était toujours présent malgré toi. Le chemin que Masaomi empruntait avec toi, tu ne l'appréciais pas. Tu n'étais pas une marionnette. Tu n'as jamais été la marionnette de qui que ce soit. Même devant les grosses qui te martyrisaient, tu n'avais jamais capitulé. Alors ce n'était pas un garçon comme lui qui allait changer les règles du jeu.

Cependant il était différent des autres canards et pigeons que tu as pu rencontrer. Sa façon d'être et d'agir était vraiment détachée et froide. La manière dont il pensait était proche de la tienne. Tu as toujours su qu'une personne comme toi dans ton entourage, littéralement, votre relation risquerait d'être explosive. On a un heureux gagnant. Tu sentais une fois son aura à proximité de visage. Tu n'aimais pas du tout ça. Tu n'aimais pas la manière dont ton corps réagissait en sa présence. Tu ne comprenais même pas pourquoi. A l'entente de ses mots qui ressemblait à des ordres, tu te braquais. En réalité, il ne te voyait pas comme une vulgaire poupée, mais plus un animal qui se devait d'apprivoiser, mater afin qu'il se plie à ses exigences. Personne ne t'a jamais dicté ta conduite. Et lui n'allait pas se permettre de faire cette erreur. Tu ne cessais de te débattre en vain au point que vos corps, ou du moins son corps, atteigne le sol dans un violant choc. Sadique comme tu étais, tu étais bien contente qu'il ait pu amortir ta chute. Ta main se posait accidentellement sa cuisse dénudée. Lorsque tu t'en es rendue compte, tu t'empressais de la retirer à une vitesse folle. Tu ne voulais qu'il s'imagine des choses non plus. A l'entente de ses mots, tu fis une moue. Il ne fallait pas se mentir, tu étais aussi une sale gosse. Quel duo improbable vous risquez de former dans les prochains jours. Au moins tu savais d'ores et déjà que l'Italie et la Thaïlande étaient un drôle de cocktail.


« Moi j'étais bien sur mon lit effectivement avant que tu viennes t’agripper à moi de cette façon. Ça a commencé à cause de toi ! »

C'est vrai. Tu avais conscience que tu pouvais être une chieuse, mais jusqu'à maintenant tu n'as agi simplement parce qu'il a su te provoquer pour que ce soit le cas. Tu le laissais jouer avec tes cheveux, buvant ses paroles sans vraiment en tenir compte. Tu le croirais quand tu le verrais s'il tiendra sa parole. Tu ne seras pas surprise s'il te laissait tomber à un moment opportun. Sentant une fois de plus sa main sur ta joue, ton visage se crispait

« T'en fais pas, ce n'est pas réciproque »

Non parce que les prochains jours que vous passerez ensemble risqueraient d'être éprouvants. Tu tapotais sa main pour qu'il l'enlève de ta peau. Un gémissement de surprise sortait de ta bouche lorsqu'il te prit dans ses bras, te balançant sur ton matelas sans te ménager. Il va sûrement falloir que tu t'habitues à ce genre de "délicatesse" de sa part désormais. Tu ne pouvais pas t'empêcher de geindre en thai à ce moment-là, lassée de tout ça. Très rapidement tu le vis s'approcher de toi dangereusement. Tes bras accoudés sur le lit, ils se retrouvaient au fur et à mesure le long de ton corps, le poids de Masaomi te surplombant

« A... A quoi tu joues bordel »

Tu étais comme paralysée. Son regard aussi glaciale et vide que le tiens te fis redécouvrir ce sentiment. Tu voulais le repousser, mais c'est comme si la crainte te tétanisais. Ce sentiment... Tu ne savais même pas c'était quand la dernière fois que tu l'avais ressentit. Sûrement le jour de la mort de ta défunte mère, cette père qui nous envahit... Sa main se glissait sur ta nuque, tu sentais ton rythme cardiaque s'accélérer. Ta tête hurlait, t'ordonais de bouger mais rien. Aucun son ne sortait de ta bouche. C'était comme s'il t'avait tué à ce moment. Tu sentais son souffle qui était bien trop proche de tes lèvres, son visage réduisait cette distance. Tu fermais tes yeux le plus fort possible, scellant ainsi tes lèvres sans grande conviction. Tu avais pas envie qu'il fasse ça... « Bou » tu ouvris subitement les yeux. Cette blague a eu le don de te frustrer. Oh non, tu ne voulais pas qu'il t'embrasse... Tu étais frustrée qu'il puisse penser qu'il pourrait en avoir le droit. Tu le regardais quitter la pièce puis tu grimaçais, mécontente de ce qui venait de se passer

« Merde... »

Tu lâchais ça dans un cri alors que tu attrapais un coussin que tu balançais inutilement contre un mur, comme pour te décharger. Quel con... Et aussi depuis quand étais-tu devenue aussi aussi faible devant de tel geste. Tu t'empressais de le suivre au pas et le stopper dans sa course pour le forcer à te regarder.

« En réalité c'est toi qui attend quelque chose de moi non »

Ton regard était sérieux avant de continuer.

« T'es un mec et tu ne penses qu'avec une chose »

Tu attrapais l'élastique de son sous vêtement pour tirer légèrement dessus, laissant le claquement entre le tissu et sa peau se fit s'entendre. Oui cette fameuse chose dont il se vantait qui soit à l'air libre. Tous les hommes pensaient qu'avec leur entrejambe. Tu en étais la preuve vivante, ton père qui a fait un enfant a ta mère alors qu'il était marié. Seulement dans le but d'assouvir les désirs de sa libido débordante. Tu croisais les bras contre ta poitrine, le coin de tes lèvres s’étirant aisément.

« Avoue le au moins on sera tous les deux fixé non. »

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Ce message a été posté Sam 23 Avr - 1:48
Un nuage de passage.

Tenue✟ Il savait. Il savait que s’il n’était pas sorti de la pièce à ce moment précis, il n’aurait pas pu se retenir. Il n’avait pas envie de faire du mal à une fille, surtout une gamine de son âge qui ne lui avait encore rien fait. S’il n’était pas sorti de la pièce… S’il n’était pas sorti, Kat ne serait pas là à hurler dans sa chambre. S’il n’était pas sorti, Kat n’aurait pas pu hurler dans sa chambre. S’il n’était pas sorti, Kat n’aurait pas trouvé le souffle pour crier. S’il n’était pas sorti, Kat serait déjà ailleurs. Kat serait morte. Il marchait le long du couloir, d’un pas accéléré. Il devait partir d’ici avant de faire une autre bêtise. Il s’entendait déjà dire de faire demi-tour pour encore jouer un peu. La vie est ennuyeuse mais Kat l’est moins. Faire demi-tour était hors de question. S’il marchait, c’était pour fuir. Fuir ses tentations. Fuir la vie. Fuir ce qui conduisait à la mort.

Il entendit des pas résonner derrière lui. Au moment où sa main allait se poser sur la poigné de porte de la salle de bain, la jeune fille le stoppa. Il jura au fond de son âme tandis qu’une autre facette de lui-même était ravie. Il était pressé mais essaya tant bien que mal de garder son sang froid. Il n’avait pas le choix, il devait affronter la thaïlandaise. Calmement. Sans perdre la tête une autre fois. Il ferma un instant les yeux et pensa à sa sœur. Tout ira bien. « Je ne suis pas un mec, il prit en conséquence un air sérieux lui aussi, je suis juste Masaomi. » Même lui ne comprenait pas vraiment ce qu’il voulait dire par là. Oui il était lui-même, il était plus qu’un simple stéréotype du jeune homme voulant s’éclater au lit à droite à gauche. Il aurait bien aimé être un cliché, mais il ne le pouvait pas. Coucher avec des filles ? Pourquoi pas. Mais ne penser qu’à ça ? Non. Ce n’était pas ce genre de pensés qui le hantait. Sinon sa vie serait trop simple. Non. Lui, il devait faire face à des pulsions plus difficiles à satisfaire. Plus douloureuses aussi.

Il commença à compter les secondes dans sa tête, se pinçant les lèvres. Il ne pouvait plus la quitter des yeux. Et s’il… ? Non. Il se frotta les mains. C’était la première fois qu’il devait se retenir pour ce genre de chose. En Italie, il avait l’habitude des bagarres et des ‘jeux’ entre amis. Il trouvait toujours moyen de se défouler, et à chaque fois, la liste des habitants de sa ville diminuait. Il entendit le claquement de son élastique résonner dans le couloir. Son instinct prit ça comme un signe de départ. « Non. » Murmura-t-il. « Non ! » Il releva la tête et fixa le plafond, de la sueur commençait à perler de son front. Masaomi ne voulait plus jouer. Pourquoi insistait-elle ? Pourquoi le collait-elle ? Lui qui voulait juste partir. Lui qui voulait l’éviter. Au moment où son regard se reposa sur elle, il la prit par les épaules et la plaque contre le mur. « Non ! » Il tapa le mur de son poing, à quelques centimètres de son visage. Chacune de ses paroles étaient rythmées par un coup en plus sur la surface lisse. « Tu. Ne. Comprends. Pas ! » Il claqua violement la paume de ses mains des deux côtés du visage de la jeune fille. « Tu ne peux pas comprendre ! » Il recula, ne se sentant pas bien, fit quelques pas en arrière. Il sentait ses joues brûler.

Il fixa ses mains, elles tremblaient. « Katreeya… S’il te plait… » Il la regarda d’un air blafard, les yeux injectés de sang comme s’il allait verser des larmes. Se tourna drastiquement et se précipita dans la salle de bain. Il ne manquerait plus qu’il lui fasse du mal alors qu’il n’avait jamais vraiment levé le doigt sur aucune fille de sa vie. Il détestait se sentir comme ça. Il détestait ce qui se passait dans sa tête. Il détestait son problème.

Sans même vérifier son apparence dans le miroir, il se mit à faire couler l’eau froide et à se rafraichir le visage en chantonnant une chanson dans sa langue natale. Une chanson qui avait le don de l’apaiser dans ses moments de folie. Une chanson que lui chantait sa grand-mère de son vivant. Il ferma le robinet et enfila vite fait son pantalon qui ne gardait presque aucune trace du malheureux incident. Maintenant il se sentait mieux. Ses crises de bipolarité de duraient que le temps d’un instant.




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Ce message a été posté Sam 23 Avr - 14:37

Masa Ҩ Kat



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On ne pouvait laisser tomber uniquement lorsque tu en décidais... Voilà comment tu voyais les choses en général. Tu étais capricieuse. Mais il fallait que tu mettes les choses au clair. De ce fait tu n’arrivais pas à supporter le fait qu’il fuit la chose de cette manière. Tu voulais des explications, tu voulais lui expliquer que tu n’étais qu’un simple jouet dont il pouvait faire ce qu’il souhaitait. Tu comptais de défouler verbalement, lui faire comprendre que tu n’étais pas une aussi facile que tu en avais l’air. Tu lâchais un léger ricanement à l’entente de ses mots. “Je suis juste Masaomi”. Plus vaniteux que ça, tu meurs. Et toi qui pensais que tu devenais presque mégalomane. Tu avais l’impression que le jeune homme ne t’écoutait pas, que tu parlais dans le vent. La seule chose qu’il a sue te dire étais “non”

« Non ? »

Tu arquais les sourcils. Tu étais totalement déroutée par cette réponse. Alors son n’était pas son but de vouloir coucher avec toi ? Tous ces gestes alors, ça rimait à quoi tout ça. Tu fis légèrement la moue, bien déterminée à lui faire cracher le morceau. Mais l’attitude de Masaomi te paraissait différente soudainement. Pourquoi ne cessait-il de répéter ça a bout de champs ? Par surprise, le métis t’emprisonnait contre le mur, d’une certaine force. Un cri de ta part, tu grimaçais de douleur car cette dernière était bien présente.

« Qu’est-ce… Qu’est-ce qu’il t’arrive »

Tu ne comprenais pas ce changement d’attitude aussi brusque. Il y a encore deux minutes il était à deux doigts de violer et le voilà a bientôt se défouler physiquement sur toi. Tu sursautais à l’entente du poing du garçon s'éclatant contre le mur, juste à côté de ton oreille, brisant légèrement tes tympans. S’en suivit plusieurs, sans réellement s’arrêter. Tu fermais les yeux, peur de t’en prendre une. Tu n’avais pas du tout oublié dans sa force après le coup qu’il t’a donné la dernière fois. C'est qu’il n’était pas loin de visage après tout. Puis le silence plein revenait flotter dans l’air de ton appartement. Tu rouvris les yeux, le souffle aussi saccadé que ton vis-à-vis. Ton coeur s'affolait. Tu tenais ta poitrine entre les mains, sonnée à cause de ça. Tu posais ton regard sur lui avant que vos yeux ne se croisent. Son regard te fit froid dans le dos. Il était vide d’émotions, sans rattache. Le voir agir ainsi était comme si le semblant d’humanité qu’il possédait avait disparu. Tu ne savais pas réellement quoi faire. Il faut dire qu’il a réussi à te tétaniser rien que par cette attitude violente. La peur... Aujourd'hui tu comprenais un peu mieux pourquoi tu détestais ce sentiment. Tu prenais le temps d’essayer d'enregistrer les paroles de l’italien. Tu ne savais plus quoi penser de lui… Tu n’osais pas le rejoindre dans la salle de bain, de peur que cette fois c’est toi qui prennes les coups. Aller à l’hôpital ne faisait pas partie de les projets de la journée. Tu devais l'avouer, pour la première fois depuis longtemps, tu avais peur de quelqu'un. Sa silhouette apparaissant à nouveau, tu ne tardais pas presque lui sauter à la gorge. Il avait raison, tu ne comprenais pas.

« Eh… Attends ! Aide moi à comprendre à la fin !! »

Oui tu voulais comprendre ce changement brusque et cette violence sans nom. Qu’avais-tu fait pour qu’il réagisse ainsi ? Tu pris le risque d’attraper une fois de plus son bras, sans grande conviction, et même avec beaucoup d’appréhension

« Si je dois te supporter durant les prochains jours, je dois savoir à quoi m’attendre ! »

Tu voyais les choses ainsi. Tu n’allais pas t’amuser à marcher sur des oeufs à chaque fois que vous serez tous les deux. Vivre dans ce genre de crainte ne te plaisait pas du tout. Tu regardais un instant le mur sur lequel il s’était défoulé. Tu étais encore envahi de cette émotion éphémère. Tu avais peur de ce qui pouvait bien t’arriver avec lui ou même peut-être ce qu'il pouvait lui arriver.

« Crois-moi, je peux faire preuve de beaucoup de patience »

Un regard mélancolique, des lèvres pincées, tu ne voulais pas le laisser partir sans savoir que tu pouvais être en sécurité même avec lui. Tu étais prête à le séquestrer ici s'il le fallait. Et même que lui soit un peu plus normal -à sa façon. Hors de question de laisser partir ainsi, ne sachant pas ce qu'il va vraiment ce qu’il va faire. Tu avais assez de morts sur la conscience.

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Ce message a été posté Sam 23 Avr - 15:41
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Tenue✟ Son cœur s’était calmé, ses pulsions aussi. Il se sentait vide désormais. Il n’avait qu’une envie, rentrer et dormir. Dormir et oublier, ou plutôt, s’oublier. Il aimait la sensation de ne plus exister, de ne plus rien ressentir, de ne faire plus qu’un avec le néant. Il aimait ça parce qu’il ne souffrait plus, il ne ressentait rien. C’était les seuls moments où il se sentait calme et apaisé. Se sentir vide, se laisser vivre, ce n’était pas pour lui. Il était toujours à la rechercher de sensations fortes, de délits, du mal. Quand il se faisait violence pour rester sage, pour se protéger et protéger les autres, il se sentait soudainement très seul, fatigué, las. Comme si son corps ne le supportait pas. Il y avait quelque chose de ‘contre-nature’, il n’était pas fait pour protéger. Il sortit de la salle de bain, entièrement habillé cette fois, le visage blême de son effort.

Il passa à côté de la jeune fille comme si son existence se limitait à un simple tableau accroché au mur. Il ne voulait pas lui faire face. Il voulait juste sortir d’ici. Il ignora sa complainte. L’aider à comprendre ? Elles lui ont toutes dis ça au début. Il ne pouvait pas l’aider à comprendre. Lui-même ne comprenait pas. Vivre tous les jours dans l’inconnu, sans avoir la moindre idée de comment il allait réagir dans la journée, ce qu’il allait être capable de faire était dur pour lui. En Italie, il se laissait très souvent aller. Se faisant prendre pour le diable en personne et il acceptait ce que les gens pensaient de lui. A un point où même lui commençait à les croire. Il s’arrêta dans sa marche, se tourna vers elle puis posa le regard sur la main de la jeune fille sur son bras. Malgré ce qu’il lui a fait, elle avait toujours le courage de venir vers lui ? Il aurait bien aimé lui sourire pour la réconforter mais son visage resta figé comme une statue de marbre. Il n’arrivait plus à exprimer quoi que ce soit. « Je ne te ferai jamais rien, ne t’inquiètes pas. » il prit la main de la jeune fille dans les siennes et la contempla, le regard vide, cherchant du réconfort dans cette petite main blanche. « Je te protègerai. » Comme il était convenu. Du moins, il se fera violence autant de fois que nécessaire pour ne pas lever que ce ne soit le petit doigt sur elle.

Il lui lâcha sa main et lui fit fasse. Pourquoi arborait-elle une expression pareille ? Pourquoi n’était-elle pas énervée contre lui ? Elle aurait dû l’insulter, le frapper, le traiter comme tout le monde l’a fait jusqu’à présent. Comme il le méritait. Il ne savait pas quoi répondre. Ses mots il l’avait déjà entendu, mais c’était avant qu’il ne fasse une bêtise. Pas après avoir explosé. Elle était censé avoir peur, le jeter de chez elle et fermer la clé à double tour juste après. « Tu n’as pas peur ? » il leva la main, hésitant un instant à lui caresser le visage. Il aurait bien aimé ressentir des sentiments réels lui aussi. Pouvoir les refléter avec son visage, sans les imiter comme un singe. Il effleura des doigts la joue de la jeune fille. « Pourquoi tu me retiens ? » Il ne comprenait pas pourquoi il était toujours dans le couloir alors qu’il était censé être dehors.





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Ce message a été posté Dim 24 Avr - 11:43

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Il ne fallait pas mentir. Sa réaction était vraiment effrayante. Tu étais toi-même lunatique à bien des niveaux mais pas au sien. Toi aussi, tu pouvais être violente, péter des trucs, voir parfois te défouler sur les gens. Tu ne préfères même pas parler du jour ou tu as appris la grossesse de ta meilleure amie, le lendemain tu as littéralement craquée. La danse n'avait pas su canaliser ta colère. Tu commençais à croire que l'italien et toi vous ressembliez un peu plus que vous ne vouliez. Tu voulais le croire, penser qu’il te touchera pas le temps que vous allez passer ensemble… Mais il en faudra du temps. Surtout avec ce qu’il venait de faire. Mais est-ce que lui-même était convaincu de ce qu’il disait ? Ce regard qu'il arborait te laissait perplexe. Le souci des personnes comme Masaomi ou toi, c’est qu’il était parfois difficile de savoir ce que vous pensez. "Je te protégerai" mais qui le protégerait de lui même. Tu ne le connaissais pas et tu ne savais pas de quoi il était réellement capable, même si tu en avais une vague idée. Ta main dans la sienne tu ne savais ce qu’il s’apprêtait à faire. C’était une autre manière de voir s’il pouvait être sincère, s’il ne touchera pas un seul de tes cheveux. Ton regard ne lâchais pas d’une seconde alors que tu tournais légèrement la tête sur le coté lorsque tu entendis sa question

« Je devrais avoir peur ? »

Là était la vraie question. Tu en as eu à la seconde où tu pensais qu’il t’embrasserait ou alors qu’il t’assignerait un coup. Mais tu l’as dit… Un sentiment totalement éphémère. Ça vient comme ça part. Peu de choses te faisait peur et ce qui venait de se passait ne te faisais pas peur, mais t'inquiétait. Pour lui essentiellement. Néanmoins, tu ne le diras pas. Exposer des sentiments aussi niais, ce n'était pas toi. C'était étrange... Tu ne savais même pas que tu pouvais ressentir ne serait-ce qu'une once d'empathie pour quelqu'un qui ne comptait pas pour toi. Encore une fois, le jeune homme redevenait tactile avec toi. Tu n'aimais du tout ce genre de gestes "d'affection". Voilà la preuve d'une de tes peurs. Cette peur constante de t'attacher à qui que ce soit pour finir par souffrir. Pour toi il était toujours plus supportable d'être détestable et mépriser d'autrui que t'accrocher à autant de personne qui te blesseront dès que des problèmes se pointeront. C'était plus facile de mettre une barrière entre le monde et toi. Lorsque l'italien avait un contact avec toi, tu avais cette impression constante qu'il essayait de la briser. Mais il avait raison. Pourquoi était-il encore là malgré tout ? Tu éloignais ton visage de sa main tout en haussant les épaules.

« J'en sais rien. Tu as agi de façon étrange... Et je ne sais pas de quoi sont capable les gens comme toi »

Il est beaucoup trop imprévisible pour le laisser partir dans cet état. Même s'il semblait avoir retrouvé son calme, ton instinct te disait que le garçon d'il y a quelque minutes n'était jamais loin. Tu détaillais l'expression de son visage, essayant d'apercevoir une petite trace d'une émotion. En vain...

« Et tu ne veux toujours pas me dire pourquoi tu as réagi comme ça ? Qu'est-ce que j'ai fait pour perdre rapidement ton sang froid ? Tu as souvent des phases comme ça ? »

Tu l'assommais de questions car tu n'arrivais pas à cerner son comportement. Et cette scène n'a fait qu'attiser ta curiosité un peu plus. Tu devais percer le mystère de Nuvoloni Masaomi.

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Ce message a été posté Dim 24 Avr - 20:32
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Tenue✟ Même Masaomi aurait pu avoir peur de lui-même s’il s’était rencontré. Il se pencha légèrement en avant, approchant son visage de celui de la jeune fille. « Regarde bien mes yeux, il plongea son regard dans le sien, que vois-tu ? » Il s’attendait à la réponse récurrente, celle qu’on lui disait sans même qu’il ait besoin de le demander, rien. Il n’y avait rien. Néanmoins, il espérait quand même qu’un jour quelqu’un allait lui dire qu’il voyait une lumière. Une lueur d’espoir, pas celle des flammes des tréfonds des Enfer. Il se redressa, s’éloignant légèrement d’elle. « C’est à toi de savoir si tu dois avoir peur ou pas. » Il ne pouvait pas être prudent pour elle étant donné qu’il s’était déjà mis pour objectif de ne pas la blesser. Même si au fond, il n’était pas si sûr que ça détermination allait changer la donne.

Son geste resta suspendu dans le vide, la jeune fille évita sa main. Le coin de ses lèvres se releva légèrement le temps d’une fraction de seconde. Oui, elle évitait quand même tout contacte physique avec lui. Même celui le plus inoffensif. Il ne pouvait que la comprendre, après la scène qu’il ait faite. Il resta figé, comme si ses jambes étaient collées au sol, les bras ballants. Lui non plus ne savait pas de quoi il était capable. Elle n’était pas la seule à se poser des questions. Il recommença à fixer le plafond en entendant la thaïlandaise le bombarder de questions. Des questions pénibles. Des questions sans réponses. Ses jambes retrouvèrent leur capacité à bouger, il fit un pas en arrière et s’appuya contre le mur en croisant les bras. Partir maintenant et la laisser ainsi dans le couloir ne serviraient à rien bien qu’il avait vraiment envie de quitter cet endroit et de rester loin d’elle pendant un moment. Il commençait à avoir la migraine, il n’aimait pas la tournure qu’ont pris les évènements.

Il baissa la tête en fermant les yeux. Les sourcils froncés, il essaya de se rappeler ce qui l’avait poussé à agir de la sorte. « Es-tu vraiment sûr de vouloir savoir ? » sa voix se voulait ferme, plus qu’une question, c’était une menace. Une interdiction. Non, tu ne veux pas savoir. Et de toute manière, que pouvait-il répondre ? Qu’il était malade ? Qu’il s’était imaginé l’étrangler de ses mains ? Qu’il aimait voir les autres souffrir ? Souffrir par sa faute ? Ses moments de crises apparaissaient que quand il n’assouvissait pas ses désirs. En Italie, ils survenaient rarement. C’était en parti pour ça qu’il évitait de trop côtoyer la gente féminine. Il avait vécu dans le respect des femmes, avec une image maternelle très importante. Leur faire du mal directement, physiquement, c’était un pêcher pour lui. « Je… » Sa phrase resta suspendue, le temps de formuler sa phrase comme il devait. Il porta sa main à son front, son mal de tête s’était fait plus aigus. « Je dois juste me contrôler et tout ira bien. » Il releva la tête, son visage arborant un sourire à peine dessiner. Tout ira pour le mieux. Ses mots furent plus une consolation pour lui-même que pour Kat.

Ne pouvant plus supporter l’espace confiné du couloir, il se redressa et se mis à marcher vers la porte d’entrée. Une fois devant la sortie, il se retourna une dernière fois vers elle. Comme pour vérifier qu’elle n’avait pas subit de dommages. Il la fixa sans broncher pour ensuite se retourner, ouvrir la porte et enfin sortir de l’appartement. Il n’avait pas la foi de la saluer. Le claquement de la porte avait le même effet que le tonnerre à ses oreilles.




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Anonymous
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Ce message a été posté Lun 25 Avr - 11:29

Masa Ҩ Kat



Ҩ It's time to pay your debt




Après ce a quoi tu venais d’assister, tu te rendais compte qu’il était bien loin de la tête a claque qui t’as toujours insupporter depuis quelques heures. En fait, tu ne savais plus quoi penser de lui alors qu’au fond tu le connais à peine. Voilà pourquoi tu ne sais pas si tu pouvais avoir peur de lui. Dans l’immédiat, à ce moment même, tu n’avais pas peur de lui… Mais tu ne le disais toujours pas. Son visage se rapprochant du tien, tu perdis ton regard dans ses yeux noisette. Ce que tu voyais n’était rien… Mis à part une certaine froideur et noirceur. Tu ne vas pas mentir, ton sang ne fit qu’un tour à cet instant. Il te semblait être un véritable iceberg, totalement impénétrable. Tu ne pouvais pas expliquer exactement ce que tu voyais réellement. Ceci a su quand même a te faire taire un bon moment. Cependant, la peur n’était plus présente… Il a juste fait preuve d’une chose que tu détestes dans ton cas. La faiblesse. Cette pensée forçait les coins de tes lèvres a entrer en jeu entraînant un sourire discret. Tu ne te moquais pas vraiment de lui. Tu imaginais seulement combien il pouvait être frustré par ceci. Ironique de savoir que ce sentiment avait le même goût qu’une vengeance. Cynique tu dirais… Lorsqu’il te demande si tu avais la certitude de connaître la raison de sa crise de nerfs, tu adoptais cette moue mécontente qui ne ressemblait qu’à toi.

« Bien sûr que je veux des explications ! »

Tu ne te dérobais pas malgré l’intonation de ta voix. Il t’en fallait plus pour te faire capituler. Ceci ne t’intimidait pas du tout. En même temps, depuis que tu es en âge de parler, tu devais en subir, alors on peut dire que ceci à forgé une partie de ton caractère. Et après ce qu’il venait de dire, tu étais encore plus déterminée à vouloir savoir ce qu’il se passait dans sa tête. Un mot sorti de sa bouche, chose qui prit toute ton attention avant de voir que la chute n'était pas celle que tu attendais. Les muscles de ton visage se froissaient. Tu avais presque l’impression qu’il se foutait de ta gueule. Tu te sentais prête à hausser le ton, lui expliquant ton point de vue puis il a eu ce sourire… Ce sourire que tu as maudit, que tu maudis et que tu maudiras à jamais. Le genre de sourire qui te dit de ne pas t'inquiéter, qui est censé de te rassurer. Ta mère et toi n'aviez que cet idiot de sourire durant sa convalescence, au point que tu l'adoptes devant les gens qui te prenaient en pitié te laisse tranquille. Et aujourd'hui c'était Masaomi qui l'avait sur son visage. Tu avais une envie folle de lui en foutre une pour qu'il le retire. Tu n'étais pas idiote, tu voyais très bien que tu n'étais pas dans son état normal.

« Mmh… Je suis plus si sûre que tout ira aussi bien la prochaine fois »

Le ton que tu employais était tout aussi sec. On ne savait pas de quoi était fait demain. Peut être qu'il se montrera doux comme un agneau - même si tu n'y croyais pas trop - ou alors se la jouer Freddy Krueger tu n'en savait rien... Donc tu ne préférais pas le croire dans l'instant. Tu regardais l'italien quitter ton appartement, lui suivant du regard. Tu ne le retenais pas cette fois. C'était peut-être mieux pour vous qu'il parte. Tu n'avais pas encore la raison de ce comportement violent mais tu étais persuadée que tu auras le fin mot de l'histoire. Comme d'habitude, tu jetais tes mèches en arrière avant de t'adosser contre un mur, poussant un lourd soupir. Ce fut éprouvant. Maintenant il ne restait plus qu'à voir s'il serait présent pour toi comme sa soit disant promesse

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