■ Il rêve d’être Seiyuu, faire les voix dans les mangas animés ou même d’acteurs étrangers, il trouve cela passionnant. ■ D’ailleurs, il écoute attentivement vos voix et dans chacune il décèle ce qu’il aime ou pas etc. ■Il est un petit peu Otaku sur les bords mais ça ne se voit plus vraiment ■ Il est myope comme une taupe mais il porte des lentilles de contacts. S’il a le malheur de les perdre, il va se taper dans les murs et dans chaque personne qui sera sur son chemin. Il aimerait se faire opérer mais il repousse toujours la date, il y a probablement un peu de peur dedans, si jamais les chirurgiens se plantent, il sera aveugle après tout  ■ Il n’a pas toujours été le beau gosse qu’il est aujourd’hui. Il a été en surpoids avec de grosses lunettes épaisses. Bref, le genre de mec qui passe inaperçu et qui se fait quand même embêter et taper par les autres.  ■ Aujourd’hui, il profite de son look, il joue le playboy pour tenter d’effacer sa peine, de se venger de ce qu’il a subi. Aujourd’hui il est populaire parce qu’il est beau et qu’il a du style du coup, il trouve les gens et surtout les filles très hypocrites. Ainsi, il jette ses conquêtes le lendemain et se trouve quelqu’un d’autre ■ En fait, son cœur est déjà pris mais il a peur de révéler ses sentiments à cette personne ainsi, il joue le rôle de son admirateur secret et anonyme.  ■ Pour autant, il n’est pas devenu infect avec ceux qui sont exclu car il ne sait que trop ce que c’est que d’être comme eux, un exclu, quelqu’un de qui on se moque ■En fait, Yukiya s’est fabriqué une carapace. On le croit hyper sûr de lui mais ce n’est pas vraiment le cas. On le croit playboy, il est en fait fleur bleue et romantique. Etc ■ S’il est comme ça aujourd’hui, c’est grâce à l’aide de sa meilleure amie et d’ailleurs, cette dernière continue de l’aider. C’est elle qui, dans l’ombre, lui donne des conseils pour s’habiller etc. Il lui en est reconnaissant. ■ Il adore la moto, le design et tout, ça le fait rêver mais si ses parents savent qu’il aime ça, ils ne sont pas trop d’accord pour qu’il passe ce permis-là, c’est trop dangereux. Donc, il se rabattra sur le permis voiture … pour le moment. Un jour peut-être … un jour. ■ C’est un excellent acteur, il arrive à ne faire qu’un avec le personnage qu’il doit jouer. Pourtant, c’est bel et bien Seiyuu qu’il aimerait faire. ■ Etant donner qu’il a toujours vécu à Hokkaido jusqu’à il y a quatre ans, il est habitué au froid ainsi, il n’est pas très frileux. Parfois il ne porte qu’un pull quand d’autres ont des doudounes bien chaudes. Il sait aussi faire du patin à glace.  ■ Il adore le cinéma, le théâtre, le kabuki et la musique qui sont pour lui des passions. C’était aussi des façons de s’évader, d’oublier qu’il était maltraité par ses camarades de classe. C’est devenu un refuge où il se sentait libre. Libre d’être ce qu’il voulait, qui il voulait. C’est aussi ainsi que sa passion pour les Seiyuu à commencé. ■ Il a toujours quelque chose à manger sur lui, vieille habitude qu’il n’arrive pas à perdre. Ça peut être des sucettes, des chewing-gums, des bonbons, des boules de chocolat quand il ne fait pas trop chaud etc. Bref, du sucré quoi. Oui, il a ce qu’on appelle une « sweet tooth » bien que la nourriture épicée ne le dérange pas plus que ça. Par contre, il est très sensible au goût de brûler … ■ Il est complètement gaga devant les animaux, chat, chien, rat, gerbille, hamster, hérisson, tortue et même serpent. Bon, il avoue (ou pas), c’est pas très viril, il déteste les cafards et les araignées. Oubliez-le si vous voulez qu’il tue ces animaux … ■ Si on regarde bien son corps, on peut voir quelques cicatrices ici et là. Toutes sont assez discrètes mais tout de même, elles sont bien présentes. Il a les oreilles percées depuis trois ans.

De longs cris se font entendre dans la petite maison familiale. Une femme met au monde un enfant tandis que son mari tente de l’aider du mieux qu’il peut en lui donnant à boire, en épongeant son front. Sa voisine et amie a pris le rôle de la sage-femme. Ils n’avaient pas le choix, un 24 Décembre à Hokkaido, la neige était tombée beaucoup trop dru pour que l’ambulance et donc les docteurs arrivent à temps. Elle a mal, elle hurle, elle dispute son mari mais il sait qu’elle ne pense pas réellement ce qu’elle dit. La douleur peut rendre méchant et faire dire des choses que l’on ne pense pas. Finalement, l’enfant apparaît enfin et le mari coupe le cordon ombilical tandis que le bébé est emmitouflé dans plusieurs couvertures et posé sur la peau de sa mère. Yukiya est né ainsi et ce n’est que le lendemain que l’enfant et la mère ont pu aller à l’hôpital pour des examens. Heureusement pour l’un comme pour l’autre tout allait bien et ils ont pu regagner le domicile familiale deux jours plus tard.

Akasha, la maman est retournée rapidement au travail, après tout, elle était cheffe de section dans une grande maison d’édition et c’est le père Daichi qui s’est occupé du bébé. Il travaillait certes mais beaucoup moins que sa femme. Il travaillait à domicile. Daichi avait toujours adoré s’occuper des tâches ménagères sans être le moins du monde gêné à ce propos. Yukiya a donc grandi ainsi entre un père très présent et une mère qui l’était beaucoup moins mais qui l’aimait quand même. L’enfant grandi également en même temps que la fille de sa voisine, celle qui avait été sa mère à le mettre au monde. Une petite fille prénommée Chinatsu. Si Chinatsu se révéla être une petite fille dynamique, mignonne à souhait avec un petit tempérament, Yukiya était son contraire. Calme, un peu timide, qui se laissait faire et un enfant un petit peu enrobé. Son père qui aimait cuisiner faisait toujours beaucoup à manger et quand Yukiya ne finissait pas son plat, il avait tendance à s’inquiéter alors il mangeait tout ce qu’il avait.

Dès qu’il est entré à l’école Yukiya était vu de façon différente par les autres enfants. Le fait qu’il soit plus rond qu’eux et sa timidité faisait qu’il était un peu à part. Chinatsu s’était intégré avec facilité mais elle restait avec lui. Yukiya était heureux qu’elle pense à lui ainsi après tout, pour lui, elle était sa meilleure amie, une sœur, quelqu’un de précieux. Il y avait quelques enfants qui venaient parfois jouer avec lui. Etre seul ne le dérangeait pas plus que cela bien que, comme tous les enfants, il aimait jouer, bouger et parfois faire des bêtises. Parfois, il entendait parler les parents qui venaient chercher leurs enfants à la maternelle et il demandait alors à son père : « Papa, il y a des papas et des mamans qui disent que je suis trop gros. C’est vrai ? » Daichi avait baissé son regard vers son petit garçon avant de se baisser à sa hauteur pour lui dire : « Tu n’es pas gros Yukiya, tu manges bien parce que tu es un petit garçon en pleine forme, tu comprends ? » « Alors c’est bien ? » « Oui, tu es en bonne santé. » Le petit garçon partait alors avec un sourire aux lèvres, le cœur léger. Daichi quant à lui était en colère contre les parents qui disaient cela et en colère contre les professeurs qui ne faisaient rien contre.

A son entrée en primaire Yukiya a commencé à être embêter par les autres enfants, au début ce n’était que des regards de travers, des petites remarques à la dérober etc. C’était toujours Chinatsu qui le protégeait alors que lui ne disait rien. De plus, à partir de sa deuxième année de primaire, Yukiya a commencé à porter des lunettes de vue. Il avait la mauvaise vue de sa mère. L’enfant avait fait promettre de garder le secret de sa situation à l’école à sa meilleure amie. Il ne voulait pas inquiéter ses parents ainsi, il maintenait ses bonnes notes. C’est lors d’une sortie scolaire que l’enfant à découvert le monde du kabuki et lorsqu’il a appris que tous les comédiens étaient des hommes, il n’avait pas pu s’empêcher d’être complètement fasciné. Comment des garçons pouvaient jouer des rôles féminins ? Ca le fascinait complètement et il avait partagé ses interrogations avec son père et Chinatsu qui dînait de temps en temps avec eux. C’est ainsi que l’enfant à commencer à s’intéresser, de façon très enfantine, très pure, à l’univers du cinéma, du théâtre et du kabuki. L’enfant qu’il était s’installait devant des dessins-animés ou des films pour son âge et il restait ainsi des heures. Une fois, il a fait rire son père grâce à sa naïveté : « Momotaro il existe ? » « Pourquoi tu me dis cela ? » « Ben parce qu’il parle comme nous et comme les gens qu’on voit dans les films. » « Ahhhh … Non Yukiya, Momotaro n’existe pas en vrai. C’est un monsieur qui fait sa voix, on appelle cette personne un Seiyuu. Il prête sa voix au personnage pour qu’il soit un peu plus réel. » « C’est trop cool Papa ! » « Oui n’est-ce pas ? » « Dis Papa, c’est toi qui fais Momotaro ? » « Non, pas du tout. » « Mais tu dessines des choses non ? » « Oui, c’est vrai. Je suis un mangaka, je dessine des mangas. » « C’est trop cool papa ! ». C’est aussi ainsi qu’il a commencé à s’intéresser aux mangas pour devenir un otaku plus tard.

Arrivé au collège, la méchanceté a connu une escalade. En plus des mots et des surnoms comme « pig » et autres, il y avait des coups parfois et certains se sont amusés à en faire leur larbin. Il avait tenté d’éloigner Chinatsu afin qu’elle ne soit pas mêlée à ses histoires mais il faut croire qu’elle était bien plus forte que lui. Elle était restée avec lui. Lui le zéro, lui l’otaku, lui le gros, lui l’invisible. Chinatsu elle, elle était tout son contraire, populaire, toujours à la mode elle avait assez de monde autour d’elle mais c’est toujours auprès de lui qu’elle revenait. Pourquoi ? Probablement parce qu’ils étaient amis depuis … depuis toujours en fait. Yukiya s’était inscrit dans le club de théâtre et ceux qui y étaient inscrit se sont rendu compte qu’il avait un réel don mais, malheureusement, il n’a jamais eu de grands rôles. Il était toujours le bouffon du roi ou un personnage secondaire. Encore une fois, il était isolé par rapport aux autres. Il continuait cependant de croire qu’il pourrait un jour être sur le devant de la scène, être comme les autres. En attendant, il se réfugiait dans ce qu’il aimait et dans la musique et le chant. Le fait de ne pas être aimé et donc de ne jamais être invité aux anniversaires et autres réunions de classe avait au moins un avantage : il pouvait travailler autant qu’il le voulait sur ses rôles et ce qu’il aimait. Il s’était rendu compte qu’être Seiyuu ce n’était pas simplement prêté sa voix, il y avait derrière un véritable travail d’orfèvre. Le Seiyuu se devait de faire passer l’émotion du personnage qu’il jouait rien qu’avec sa voix, ce qui était extraordinaire pour lui.

Un jour comme les autres au collège, Yukiya avait été attrapé par le col et emmener dans l’arrière-cour par deux garçons, deux petits délinquants qui se croyaient plus fort que les autres. Arrivé à destination, l’un d’eux lui a refilé un coup de poing dans le ventre et l’autre, un coup de pied. Yukiya s’était agenouillé sous le coup de la douleur et d’autres coups ont commencé à pleuvoir. Au bout d’un moment, il y a eu une accalmie avant que le plus vieux ne dise : « Gros porc, arrête de tourner autour de Chinatsu. Tu crois quoi ? Que vous ferez un beau couple ? Tu lui fais honte espèce de phacochère otaku. » Le rire de hyène de l’autre était alors venu soutenir les paroles de son copain. Yukiya n’avait rien dit, ce qui agaça passablement l’autre qui lui donna un coup avant de l’attraper par les cheveux : « T’as entendu gros porc ? » Yukiya leva le regard vers lui, lui lançant un regard assassin. Il pouvait faire ce qu’il voulait de lui mais qu’il ne parle pas de Chinatsu. Sa voix s’était faite rauque et forte : « Donc tu es amoureux de Chinatsu hein ?  Je vais te dire une chose. Elle déteste les connards dans ton genre, ne l’approche pas, elle risque de mal le prendre crétin sans cervelle. » Des coups se sont abattus en pluie sur lui mais s’il pouvait protéger sa meilleure amie, même de cette façon, cela ne le dérangeait pas. Quand ils ont eu finit de se défouler, Yukiya saignait du nez, sa lèvre inférieure était coupée, ses lunettes étaient cassées et il aurait des bleus de partout sur le corps le lendemain. Il ne pouvait pas bouger tant la douleur qu’il ressentait était forte et c’est le concierge du collège qui le retrouva allonger sur le sol et qui l’aida à aller à l’infirmerie où on lui demanda ce qu’il s’était passé mais aucun mot n’était sorti de sa bouche. Chinatsu elle-même n’avait rien pu lui faire dire …

Lorsqu’ils étaient en dernière année au collège, Chinatsu a perdu ses parents dans un accident de voiture et Akasha décida de prendre sous son aile la petite fille avec l’accord de son mari. La jeune fille a ainsi vécu avec la famille de Yukiya tout en gardant son véritable nom de famille. Yukiya était très présent pour elle comme elle l’avait toujours été pour lui. Il tentait de la faire rire quand elle se sentait triste, il la laissait dormir avec lui quand elle avait trop peur de dormir seule. Bref, l’amitié et la complicité qu’ils avaient ne s’était trouvé que renforcé. Grâce à Akasha, Daichi et Yukiya, Chinatsu avait retrouvé sa vitalité d’antan même si elle regardait la maison où elle avait vécu toute sa vie se remplir de nouveau d’un autre couple avec une petite fille qui n’était pas elle. Forcément, ça lui faisait mal et en même temps, elle était contente que la maison dans laquelle elle avait tant de souvenir reprenne vie.

Ils sont ensuite entrés au lycée où la vie de Yukiya était exactement la même qu’au collège. Un enfer. Cependant, alors qu’il était en dernière année au lycée, Akasha annonça aux deux enfants qu’ils devaient déménager, qu’elle avait eu une promotion et qu’elle devenait vice-présidente de l’entreprise où elle travaillait. Yukiya était content pour elle mais il savait aussi que pour Chinatsu ce serait un déchirement puisque ses parents reposaient dans un cimetière à Sapporo et qu’elle ne pourrait pas aller le voir aussi souvent qu’avant. Ainsi, la petite famille à déménager et les deux enfants sont rentrés à la Royal, l’une pour ses talents dans la mode, l’autre pour son talent d’acteur et pour les deux, leurs excellentes notes. Yukiya pensait que sa vie allait prendre une autre tournure pour le meilleur mais ça n’a pas été tout à fait le cas …

Le premier jour, des étudiants sont arrivés et l’ont frappé. Il allait se prendre un coup d’un des plus costauds lorsqu’une voix a interpellé tout le monde, y compris lui. Il ne s’attendait pas à ce que quelqu’un s’interpose et surtout pas un élève qui semblait plus jeune que lui. Et c’est ainsi que son petit cœur avait été attrapé par ce jeune homme complètement différent des autres. Un coup de foudre. Sa gentillesse le toucha profondément. Le soir-même, il avait attrapé Chinatsu et l’avait embarqué dans sa chambre pour une réunion de crise : « « Chinatsu … écoute … Je … Je veux changer. Tu peux m’aider ? » « Mais oui mon bêta. Tu sais quoi ? Pendant l’été tu vas te transformer et tu vas devenir un sacré beau gosse ! » « « Heu … j’irais pas jusque-là quand même … » « Tututu, ne sous-estime pas Chinatsu-sama et si tu veux changer, commence par avoir confiance en toi ! Tu vas voir, je vais te concocter un planning, tu m’en diras des nouvelles. » « « Je sens que je ne vais plus pouvoir bouger » « Idiot. » Et ils ont rigolé ensemble.

Pendant les vacances d’été, Chinatsu lui avait concocté un planning d’enfer, un truc monstrueux mais qui avait porté ses fruits. Yukiya avait perdu son embonpoint et il avait le poids parfait pour sa taille. Elle l’avait embarqué chez un opticien où ils ont troqué ses lunettes pour des lentilles. Elle l’avait embarqué chez un coiffeur et ensuite, elle l’avait embarqué faire les magasins. Autant dire que ni elle ni lui n’ont eu de véritables vacances. Yukiya avait aussi travaillé son caractère et même s’il restait tout au fond de lui le même qu’avant, il montrait un tout autre visage devant les autres … Ainsi, à la fin des vacances et lorsqu’il la rentrée a été annoncée, il devient populaire aussi vite qu’il avait été un exclu. Ainsi, il a commencé à enchaîner les conquêtes pour les jeter ensuite, c’était sa revanche. Il gardait toujours un œil sur le garçon qui l’avait sauvé et plutôt que de lui parler, il déposait tous les jours des petits mots qu’il signait d’un « ton admirateur secret ». Autant dire que c’était vague …

Il est ensuite entré à l’université où il a décidé de prendre une chambre, il a également trouvé un boulot et il était devenu la nouvelle coqueluche. Sa vengeance était pleine même si elle laissait un goût amer dans sa bouche ...

■ pseudo: Je n’en ai pas vraiment ■ âge: Bientôt 25 ans ■ presence connexion: 7/7 j’essaie ■ presence rp :  5ou6 je dirais /7■ Personnage inventé ou scénario: Scénario d’Omori Jumpei  

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Code:

<span class="botinsym">▲</span> <font color="#e98ab0">Choi Youg Jae ➦ Surnom [GOT7]</font> [u]»[/u] Toyama Yukiya