I told you I'd kill you.

Ce message a été posté Sam 9 Juil - 12:06

TENUE Depuis que cet enfoiré avait abusé de moi je voyais rouge, le retour au dortoir avait été difficile et une fois isolé j’avais totalement craqué, ce n’était pas mon genre de me montrer faible, bien au contraire, mais là n'ai pas pu me contenir, la douleur, la honte, tout ce que je ressentais était négatif, j’avais le bras en sang, les hanches en feu, mon corps, mes muscles tout me tiraillé dans tous les sens, blessé physiquement et blessé dans mon ego je m’étais enfermé et installé sous la douche pendant un bon moment, laissant l'eau coulée sur mon corps meurtri, cachant les larmes qui coulaient de mes jours, je me sentais sale. Tout ce qui me passé par la tête à cet instant c’était le plan pour me venger, il m’a détruit, mais je comptais bien le détruire en retour. Les vacances étaient arrivé vite et les autres gars du dortoir étaient absents, l’enfoiré semblait bossé ou je ne sais quoi, du coup j’étais seul et ça m’arranger. Je n’avais aucune envie de m’habiller, il faisait trop chaud de toute façon, j’avais pris des congés à l’agence ne pouvant me pavaner avec les marques sur ma peau, j’avais tellement d’idées pour pourrir le retour de ce connard qu’il fallait que je m’y prenne à l’avance, ma vengeance allait être horrible. Ouvrant le réfrigérateur je pris une brique de beurre entamé, je me fichais de gaspiller la nourriture ça ne couté rien pour nous, me mettant à quatre pattes devant la porte d’entrée je peinture le sol avec l’aliment, j’étais certain qu’il n’y ferait pas attention, de toute façon il n’en aurait pas le temps, j’espérai qu’il se tue dans sa chute ! Me lavant les mains grâce je pris la direction de sa chambre, un sac-poubelle a la main je sortis toutes ses affaires de ses placards les mettant dans les sacs noirs, avant de faire un nœud prêt à être balancé aux ordures ! Une bouteille de vinaigre a la main je la vide sur ses coussins et son matelas, l’odeur miam, délicieusement écœurante. Heureusement j’avais une épingle sur mon nez pour ne pas me faire vomir avec mes magouilles. Je regarde sa chaise de bureau, faisant un trou central avec un couteau avant de le recouvrir avec son protège qu’il puisse se casser la gueule dans sa détente, j’avais envie de tout détruire ici, de le voir se casser des membres et finir à genoux devant moi, ce salaud... Ça ne faisait que commencer.

Ce message a été posté Dim 10 Juil - 11:35

TENUE Il faisait une chaleur de dingue. Et c’est bien ce qui emmerdait Tomoe. Si en Tanzanie, il ne se faisait pas réellement de souci, ici, il s’en faisait. Les animaux, enfermés dans ces cages n’avaient pas le même instinct que ceux en liberté… Et il n’y avait pas réellement d’ombre ni assez de quoi les soulager de la chaleur. Mais il en fallait peu pour le décourager le petit. Entrant dans l’enclos des lions, armé d’un tuyau d’eau, il s’approchait d’eux sans trop de souci. Il était là depuis maintenant six mois il les connaissait les avait plus ou moins apprivoisé il savait quand il pouvait entrer, quand il ne le pouvait pas. Affalé dans un tas d’herbe sous quelques arbres, seules les lionnes se levèrent. Plus pour protéger leurs petits qu’autre chose. Instinct maternelle. Pourtant Tomoe ne pris pas peur, s’approchant tout de même d’eux avant de se baisser et ouvrir le tuyau pour faire couler, doucement, l’eau fraiche. Passant sa main dans l’eau il les arrosa d’abord comme ça, avant de changer le mode d’arrosage pour faire un effet pluie. Ah. Voilà ce qu’il adorait entendre chez les lions. Cette sorte de gros ronronnement bien plus puissant que ceux d’un chat. Le bien-être de l’eau, de la fraicheur. Il s’amusait avec eux. Il s’en foutait d’être trempe, ou couvert de boue, tant que les lions eux, allaient bien. Après les lions, ce fut le tour des tigres et autres félins. Pour lui c’était un passe-temps amusant. En tout cas, lorsqu’il partit dans les vestiaires se doucher et se changer, il était plutôt content de sa journée. Une fois le boulot quitté, il s’acheta un bubble tea et pris la direction des dortoirs. Il aurait pu, pendant les vacances, rentrer dans son appartement. Mais comme Taiga était resté, et qu’ils étaient en plus de ça, seul. Tomoe avait décidé de rester. Clé dans la porte il ouvrit celle-ci avant de plisser le nez. Une odeur de… Vinaigre ? Se faisait sentir dans le dortoir. Soupirant, il entra avant de partir. Main toujours sur la poignée de la porte il tenta de se rattraper mais le sol, trop glissant il tomba d’une façon… Comique. Ou bizarre. Bref, il avait toujours la main sur la poignée mais le reste au sol, tordu. « Putain de. » Il fixa le sol avant d’y passer une main. C’était tout gras. Un rire s’échappa d’entre ses lèvres. Ok. Il jouait. Se relevant il enleva ses chaussures avant de fixer le sol. On ne sait jamais. Entrant dans sa chambre, il fit un pas en arrière. Ok. L’odeur venait d’ici. Une horreur. Non pire que ça. Il en avait la gerbe. Fixant l’autre con qui s’y trouvait dedans, à moitié à poil en plus, Tomoe s’avança pour ouvrir la fenêtre. « Tu te venges en étant à moitié à poil. T’as pas peur pour ton cul ? » Ouais, Tomoe aimait bien lui rappeler tout ça. En attendant il restait à côté de la fenêtre. Histoire de respirer de l’air pur.

Ce message a été posté Dim 10 Juil - 17:24

TENUE Profiter de son absence pour foutre le bordel dans le dortoir c’était une bonne idée pour me défouler, j’avais juste envie de tout retourner, je savais qu’il se casserait la gueule une fois la porte passée et le bruit que j’entendis quand il entra me le confirma, premier piège OK. J’étais fier si je pouvais lui rendre la vie invivable, s’il voulait jouer à ce jeu j’allais être son concurrent direct et je n’allais pas me laisser faire sous prétexte qu’il avait usé d’un moyen extrême pour m’avoir, ce n’est pas parce que cela m’a atteint que je suis traumatisé, je passe outre en essayant de reprendre ma fierté et tant pis si mon cul a été mis à rude épreuve par se connard de pervers homo de mes deux. La chambre empesté, c’était affreux, mais comparé à lui qui avait l'odeur directe dans ses narines j’avais protégé les miennes, je comptais pas souffrir des coups que je préparais pour le faire chier. Je ricanais intérieurement en voyant sa réaction et encore il n’avait pas encore vu les sacs-poubelles avec toutes ses affaires ou il ne s'était pas cassé la gueule sur sa chaise, puis maintenant qu’il était là c’était plus dur de préparer des pièges dans son dos, mais j’allais continuer et même si je dois l’affronter de face je lui ferais regretter de m’avoir utilisé pour se vider les couilles, enfoiré. « Essai donc d’approcher pour voir, j’ai bien envie de dessiner quelques entailles sur ton corps de pourriture. » Le couteau à la main je n’hésiterai pas à m’en servir s’il osait me chercher, je pouvais devenir fou moi aussi, surtout quand on me cherchait comme il le faisait, je me fichais totalement des conséquences, mais je n’allais pas le laisser mener la danse comme il le souhaitait. « Tu pensais que j’allais m’habiller en col roulé par peur ? Déçu ? » Pff. Pauvre tâche. Bon parler avec une épingle sur le nez ce n’était pas très glamour, mais ce n’est pas comme si j’avais envie de l’être. « J’espère que tu apprécies l’odeur, elle n’est pas prête de partir. » Un sourire explicite sur mes lèvres, c’était bien le genre de trucs qui allait durer des jours même en changeant les draps, c’était imprégné sur la base du matelas et dans les coussins, bon courage haha.

Ce message a été posté Dim 10 Juil - 22:44

TENUE « Essai donc d’approcher pour voir, j’ai bien envie de dessiner quelques entailles sur ton corps de pourriture. » Tomoe ne pu s’empêcher de ricaner. Légèrement, doucement. Un peu de façon tordue. En fait, il trouvait ça fun, qu’il puisse avoir un couteau, et qu’il puisse le menacer. Oui, il était bizarre, mais c’était Tomoe. C’est qu’il en devenait presque fou de côtoyer ce mec. Même si dans le fond, il l’était déjà bien avant. « Si ça te fait plaisir ma foi. » Il s’en foutait un peu, beaucoup. De toute façon, il n’allait pas non plus lui foutre des coups de couteau. Il ne souhaitait pas devenir un meurtrier, il le savait. Enfin, on n’était jamais sûr de rien de toute façon dans la vie. « Tu pensais que j’allais m’habiller en col roulé par peur ? Déçu ? » Déçu ? Tomoe ne l’était pas. Ce n’était pas son style. Et puis, il n’attendait strictement rien de la part de ce type. « Absolument pas. Ce n’est pas parce que j’me suis vidé les couilles dans ton cul que je dois être obsédé par toi. N’y pense pas trop. » parce que Tomoe n’y pensait plus trop. Ce n’était pas ce qui l’émoustillait ou lui donnait envie de bander. Lui tant qu’on ne le taquinait pas, il n’était pas au garde à vous. Compliqué. « J’espère que tu apprécies l’odeur, elle n’est pas prête de partir. » Tomoe croisa ses bras sur son torse en observant sa chambre. Il lui suffisait de tout changer, ce n’était pas grand-chose. En commandant sur le net il pouvait avoir une nouvelle literie rapidement. Il n’était pas matérialiste. En attendant il squatterait la chambre de l’un des autres absent. Surement la chambre de Hyoga. Elle était cool sa chambre. « Et sinon, tu as prévu de faire quoi dans ma chambre avec ce couteau ? Je doute que tu sois venu dans ma chambre avec un couteau par pur plaisir. » Ouais, non, ça il y croyait moyennement. « Ah, je suis arrivé trop tôt… Tu veux que je te laisse seul pour finir ? » Tomoe se décolla du mur avant de traverser la chambre. « Fini, fini. » Oui, oui, Tomoe quitta la chambre pour aller dans la cuisine s’ouvrir une canette de coca. Il avait soif.

Ce message a été posté Mer 13 Juil - 15:40

TENUE Je n’avais aucune crainte en ce qui concerne les choses que je pouvais lui faire, même s’il me pousse à bout j’étais prêt à le planter tellement il me foutrait en rogne, je ne le supporte pas et cela ne risque pas de changer après ce qu’il m’a fait. Ça le fait rire, il est encore plus con que ce que je pensais, ce mec doit avoir interné un hôpital psychiatrique, sans aucun doute. Il me désespère tellement... Il peut me violer juste sur un coup de tête alors en fait, ça ne me surprend pas qu’il soit aussi ... déficient. « Ce n’est pas comme si tu ne l’étais pas déjà... » Je soupire fortement, comme s’il se voyait la face. Il est complètement obsédé par moi, depuis le début, il faut qu’il arrête de dire le contraire s'est enfoiré de merde. Il essayait de déjouer tous mes tours, jouant les indifférents et c’était agaçant, surtout avec ses grands airs, j’avais vraiment envie de lui planter mon couteau, sans déconner. « Qui te dit que je n’ai pas déjà fait un truc avec ? » Je le juge devant son idiotie, il... « Pauvre con. » Je le regarde sortir et je le suis du regard, ramenant mes fesses dans la cuisine, passant derrière lui le couteau déchira son haut alors que je le bouscule intentionnellement pour qu’il se renverse le coca dessus en buvant, bof je ne l’ai pas encore fait saigner, mais ça ne devrait pas tarder. Je réfléchissais encore à ce que j’allais faire pour lui retirer son air de supériorité qui me sortait par les yeux. D’ailleurs fallait que je jette les poubelles ! Retournant dans sa chambre, je me fiche qu’il me voie avec les sacs, j’en jetais un premier par la fenêtre, les poubelles n’étaient pas loin, attrapant le second, j’allais faire de même, de toute façon il se fiche de tout alors ce n'est pas bien grave s’il n’a plus rien pas vrai ?

Ce message a été posté Jeu 14 Juil - 16:51

TENUE « Ce n’est pas comme si tu ne l’étais pas déjà... » Tomoe souriait doucement à l’écoute des paroles de son colocataire. « Je le suis. Mais pas sexuellement. M’enfin, si je peux me vider les couilles quand je veux au dortoir. J’avoue que c’est pratique. T’as le même cul qu’une gonzesse. » Ca l’arrangeait dans le fond. De toute façon, mec ou fille il ne s’arrêtait pas là. Il était ouvert d’esprit, voire même un peu trop, mais il assumait parfaitement. En attendant il avait soif, alors il allait partir de sa chambre et réfléchir à comment il allait remplacer tout ce qui avait été souillé. « Qui te dit que je n’ai pas déjà fait un truc avec ? » Tomoe haussa simplement les épaules. Il s’en foutait mais royalement. C’était même violent. « Pauvre con. » « Fais pas le malin ou jte refais le cul. » Dit-il en quittant définitivement sa chambre pour aller boire. Le bousculant en lui déchirant le haut, il le laissa faire en posant le coca qu’il avait en main. Il en avait partout. Enlevant son t-shirt, il le jeta sur le comptoir de la cuisine avant de voir Taiga repartir dans sa chambre. Tomoe fronça les sourcils en buvant à nouveau. Il avait l’air de… Jeter des trucs par la fenêtre ? C’était exaspérant. Mais Tomoe s’en fichait un peu. Les affaires qu’il avait là n’étaient pas importantes. Tout était dans son appartement en centre-ville. Ici, c’était le strict nécessaire… Même si ça le gonflait. Se baissant, il ouvrit un des placards de la cuisine avant de chopper le bidon d’huile de sésame. Sans un mot, il fila dans la chambre de Taiga avant de faire une giclée d’huile sur son lit et sa chambre. Cool. Ça faisait une vinaigrette à l’odeur. « Je dois aussi jeter tes affaires ? » Il lui demandait au cas où. Enfin, Tomoe s’amuser à le narguer en fait. Un lit bien imbibé d’huile. Pas mal. Enfin … Y’en avait un peu partout.

Ce message a été posté Jeu 14 Juil - 23:20

TENUE Sérieusement fallait qu’il arrête de dire qu’il n’était pas obsédé par moi, ça se voyait depuis le début, je me fiche totalement de savoir de quelle façon il l’est, ce que je veux savoir c’est pourquoi, pourquoi faut-il que je tombe sur un taré comme lui qui me prends pour cible, cet enfoiré est en train de ruiner mon quotidien avec ses conneries. « Rêve pas enfoiré, tu l’as fait une fois, c’était la dernière, mon cul t’emmerde, ce n’est pas ma faute si tu ne sais pas faire la différence entre une femme et un homme. Payes-toi une pute si t’as tant envie de baiser, même si elle risque d’être déçu par la marchandise. » Pauvre naze, il peut me critiquer, je ne lâche pas l’affaire, j’ai ma fierté aussi et même après ce qui s’est passé je ne compte pas fermer ma gueule et le laisser me rabaisser sans arrêt. Il se fiche de tout ce mec, c’est à se demander à quoi il sert, je le trouve tellement ennuyant sérieusement... Je vais vraiment faire un truc pour l’énerver avant la fin de la journée je vous le promets. « Essaie toujours. » Provocation. N’empêche que lui renverser du coco il s’en fout, mettre sens dessus dessous sa chambre il s’en fout, jeter ses vêtements il s’en fout, merde a la fin. Je le regarde partir avec une bouteille d’huile dans ma chambre et faire son affaire, ça m’énerve, mais je trouverai le moyen de faire partir l’odeur, pour l’instant je suis agacé, agacé par son calme, je veux le briser, par le voir garder son air de vainqueur stoïque de mes deux. Le couteau a la main je m’approche de lui avant de lui sauter dessus en le plaquant sur mon lit, l'arme a la gorge. « Arrête de jouer les malins, je supporte pas ta gueule, mets toi en colère enfoiré. » Mon genou cogne volontairement ses couilles en les écrasant fortement. « Est-ce que tu t’en fous toujours là ? »

Ce message a été posté Dim 17 Juil - 11:47

TENUE « Rêve pas enfoiré, tu l’as fait une fois, c’était la dernière, mon cul t’emmerde, ce n’est pas ma faute si tu ne sais pas faire la différence entre une femme et un homme. Payes-toi une pute si t’as tant envie de baiser, même si elle risque d’être déçu par la marchandise. » De toute façon, Tomoe faisait bien ce qui lui plaisait. Ce n’était pas nouveau. Il ferait ce qu’il avait envie de faire quand il voudrait le faire. Et ce n’est pas Taiga qui allait l’en empêcher. Il était aussi maigre qu’un clou et avait une allure si féminine… Face à Tomoe il ne faisait clairement pas le poids. De toute façon, il ne comptait pas non plus se laisser faire. Si monsieur avait décidé de lui pourrir sa chambre en y versant du vinaigre dessus, et en plus de jeter ses affaires, Tomoe lui pris l’huile de sésame pour asperger la chambre de l’autre plouc. Il n’était pas contrariant. Il savait pertinemment qu’en le faisant chier, Taiga se vengerait. Il l’avait tellement pensé, tellement mis au point que ça ne le surprenait pas. Bien rapidement il se fit plaquer sur le lit de son ennemi, le couteau à la gorge. « Arrête de jouer les malins, je supporte pas ta gueule, mets toi en colère enfoiré. » Se mettre en colère… Sentant ses couilles se faire écraser, il lâcha un bref grognement. Ca par contre, ça faisait mal. « Est-ce que tu t’en fous toujours là ? » La mâchoire contractée sous la douleur, il cambra son dos pour essayer d’enlever la pression sur son entre jambe avant de le pousser. Il pouvait l’égorger qu’il s’en foutrait. « Ça t’excite d’avoir le dessus sur moi ? » Il le fixait avec rage. Il avait mal bordel. « Rêve pas. Tu ne me prendras pas contrairement à moi. » Oui il le provoquait malgré tout. Tant pis si sa voix trahissait la douleur. Mais merde il lui écrasait les couilles, impossible de rester impassible.

Ce message a été posté Mer 20 Juil - 15:24

TENUEJe n’avais aucune intention de le laisser encore me toucher, j’en avais encore des frissons quand j’y pensais, je n’oublierai jamais les larmes qui ont coulé sur mes joues et la douleur que j’ai ressentie, ma fierté en a pris un coup et je ne pense pas quelqu’un est jamais osé me rabaisser à ce point alors non, je préfère encore le couper en morceaux, lui briser les couilles plutôt que de le sentir encore à l’intérieur de mes fesses ce sale bâtard. Après avoir jeté ses affaires cet abruti a imprégné ma chambre d’huile et il est content, son air impassible me gave au plus haut point, pourquoi rien ne l’énerve ? Je m’en fiche j’ai encore des cartes sous ma manche, moi je suis en colère et ça, ça paye. Plaqué sur mon lit je ne me prive pas de lui placer le couteau sous la gorge en écraser ses bijoux de famille sans pitié, je peux bien lui écraser, ça l’empêchera de revenir me violer cet enfoiré de mes deux. On dirait qu’il n’est plus aussi calme tout a coup, j’ai réussi, s'il s’en fout de tout on va voir si ça il va le supporter. Il peut bien essayer de me repousser le couteau s’enfonce dans sa chair, je ne reculerai pas. Appuyant davantage sur ses couilles avec un sourire explicite. « Ouai, si tu savais. » Qu’il soit rageux ou autres je m’en fichais, je n’étais pas un pantin dont il pouvait disposer à sa guise et il allait le comprendre. « On dirait que tu souffres non ? » Je garde mes lippes étirées en mettant davantage de pois sur son entrejambe. « Tu aurais mieux fait d’y réfléchir à deux fois avant de me prendre pour cible, peu importe combien tu me blesses, je rends toujours le coup enfoiré. » Et je n’avais pas de pitié non plus.

Ce message a été posté Mer 20 Juil - 21:33

TENUE « Ouai, si tu savais. » Tomoe, grogna en souriant malgré tout. Il pouvait s’en foutre royalement de ce couteau. Mais alors le reste ça ne lui était pas égale. Bien au contraire. Il ne supportait pas de devoir souffrir surtout à cet endroit. Mais s’il voulait se venger qu’il fasse donc. Tomoe serait pire. Il ne baisserait pas les bras, jusqu’à ce que mort s’en suive. Quitte à ce que ça soit lui à mourir le premier. Son fantôme viendrait le hanter. Il y croyait dur comme fer. « On dirait que tu souffres non ? » Tomoe serra les dents alors que son regard se remplissait de provocation et d’amusement. Il n’allait pas s’avouer vaincu si rapidement. C’était trop beau pour l’autre taré. « Tu aurais mieux fait d’y réfléchir à deux fois avant de me prendre pour cible, peu importe combien tu me blesses, je rends toujours le coup enfoiré. » Tomoe souriait doucement avant de poser sa main sur l’épaule de la main qui tenait le couteau. Enfonçant son pouce avec franchise dans sa clavicule pour chopper son nerf et son muscle, il lui donna un franc coup de tête dans le nez, se fichant du couteau. « Tu peux me menacer autant que tu veux. Tu peux me couper bras et jambes. Je serais toujours là pour te pourrir la vie. » Cracha-t-il en riant doucement. Il s’était légèrement fait mal au front, mais il espérait au moins, avoir pété le nez de cet enfoiré, ou de lui avoir bien fait mal. C’est tout ce qui comptait. « Alors ? Tu comptes rester sur moi toute la soirée ? C’est pas du tout excitant. C’est triste. » Il le provoquait un peu plus, parce qu’il ne s’arrêtait jamais ce grand con. C’était Tomoe, il ne fallait pas chercher plus loin.

Ce message a été posté Lun 25 Juil - 1:36

TENUE Ce mec était complètement taré et j’en avais déjà pris conscience malgré moi, mais je ne comptais pas rester en retrait, au contraire. Si c’était un fou, j’en deviendrais un aussi pour lui retirer son putain de sourire, je ne suis pas n’importe qui, je ne suis pas non plus simplement le fils de mon père, j’ai mes ambitions, mon caractère et ma façon de faire. Puisque tout ce que j’ai fait jusque-là ne semble pas l’emmerder je n’hésite pas à lui écraser les couilles sous son nom genou, je ne compte pas y aller en douceur, lui a osé utiliser ça pour m’humilier il suffisait que je les met en bouilli là, tout de suite pour avoir ma vengeance. Je me fiche que le couteau rentre dans à peau parce qu’il ne craint rien, cet enfoiré arrive cependant à m’assener un coup de tête, une surprise, mais même si j’ai gémi de douleur au moment de l’impact ça ne m’a pas fait bouger pour autant, lui lançant un regard mauvais, il m’énervait à sourire sérieusement. « Tu y crois vraiment ? » Ce fut à moi de sourire, lui couper les bras, les jambes, pourquoi pas lui arracher les yeux et vendre tous ses organes aussi ? Mon nez saigne, mais je prends sur moi pour ne pas le laisser encore gagner. Sautillant à ses paroles, l’effet de mon genou sur son entrejambe devait s’accentuer, il le sentait non ? Je ricane en me penchant sur lui. « Je ne cherche pas à t’exciter pauvre con, garde tes remarques ennuyantes pour d’autres, qui seront surement plus réceptif à tes conneries. » De ma main libre je viens claquer ses joues à tour de rôle, le sourire toujours dessiné sur mes lips, je ne sais pas jusqu’où tout ça peut aller, mais je ne vais pas juste continuer à subir. « J’espère pour toi que tu seras encore capable de bander après. » Ironique, j’avais seulement envie de le castrer à cet instant et de lui retirer sa fierté d’homme comme il me l’avait prise.

Ce message a été posté Mer 27 Juil - 19:20

TENUE « Tu y crois vraiment ? » Bien sûr qu’il y croyait. On parlait de Tomoe quand même là. Pas de n’importe qui non plus. Même s’il devait crever là tout de suite, parce que l’autre con le menaçait avec un couteau, Tomoe, ne se laisserait pas faire. Il se rendrait, il ferait tout pour le faire chier et lui tenir tête. « Je ne cherche pas à t’exciter pauvre con, garde tes remarques ennuyantes pour d’autres, qui seront surement plus réceptif à tes conneries. » Un rire s’échappa d’entre ses pulpes. Un rire assez sadique et frissonnant. « Fais gaffe. Une pénétration fortuite est si vite arrivée. Tu l’as vu la dernière fois. » Des menaces ? Clairement. Qu’il fasse gaffe à ce que Tomoe ne le prenne pas pour un vide couille. Il n’en avait pas besoin, mais juste pour le faire chier, il était capable de tout. Le laissant le claquer, comme s’il s’agissait d’un pantin, il le stoppa au bout d’un moment avant de repousser sa main avec franchise. « J’espère pour toi que tu seras encore capable de bander après. » Lui espérait bien que si. Il n’allait pas devenir impuissant pour si peu. C’était pas son genre. Enfin. Allez savoir. « T’inquiète pas. Dès que je banderai je viendrai te la mettre dans le cul. » Oui, il cherchait la bête. Il voulait le voir s’énerver, être agacé. Il voulait simplement pourrir son existence. Peu importe ce qu’il subit en retour. « J’espère que tu seras pas jaloux si c’est toujours moi qui te baise. De toute façon, avec ce que tu as, ce n’est pas faisable l’inverse. » A son tour, il venait claquer franchement ses joues. Peu du couteau ? Non. Qu’il le plante, il s’en fichait. Tant qu’il ne crevait pas. C’est tout ce qui comptait.

Ce message a été posté Sam 30 Juil - 0:23

TENUE Je savais que j’avais quand même des tendances sadiques avec mes victimes, mais jusque-là je n’avais encore jamais ressenti l’envie de tuer quelqu’un pour de bon et pourtant ce connard éveiller ce désir de plus en plus avec son comportement, il donnait l’impression de pouvoir faire tout ce qu’il voulait et de complètement me dominer, pourtant là c’est moi qui avais les cartes en mains, écrasant sa virilité au point de vouloir complètement la lui briser, l’empêcher de jouir d’une vie sexuelle à nouveau après ce qu’il m’a fait, le couteau sous la gorge je n’étais qu’à deux doigts de le lui planter sans pitié, il m’avait humilié et continué de le faire avec ses mots, mais contrairement à toutes les victimes de viol je ne comptais pas me morfondre sur moi-même plus longtemps, je comptais bien lui tenir tête et le lui faire payer entièrement jusqu’à ce que je sois satisfait. L’excité était donc le dernier de mes désirs, s’il l’était c’était son problème, en même temps vu la fixation qu’il faisait sur moi, ce gay de merde semblait m’avoir pris en chasse malgré moi, mais il n’allait pas faire ce qu’il voulait indéfiniment, il devrait apprendre à me connaitre et à me craindre, je ne suis pas qu’un trou pour vider ses couilles et même s’il a réussi à m’avoir, ça ne voulait pas dire qu’il était plus fort que moi, j’étais déterminé et je savais comment m’y prendre pour obtenir à mon tour ce que je désire. « Cause toujours, si je te brise tu comptes me pénétrer avec quoi ? » Pauvre con, il devrait voir dans quelle position il se trouve plutôt que faire le malin. Le castrer était surement le but final de mon entreprise, le voir souffrir et perdre le statut d’homme, l’humilier en retour, c’était ça que je voulais. « Essai toujours, tu seras juste un impuissant de plus sans valeur. » Donnant un coup plus violent sur son service trois-pièces. « Ne fais pas le malin. » Il était agaçant et frustrant, vraiment. « Parle pour toi, tu ne vaux rien en baise. » Il faisait une fixette sur mon sexe, mais il était très bien, je ne ressentais aucune complexité sur sa taille, il pouvait m’attaquer dessus, moi aussi moins j’étais capable de satisfaire mes partenaires. Qu’il me claque je ne lâcher pas l’affaire enfonçant davantage le couteau jusqu’à voir une ligne de sang se former, qu’il force et ça lui tranchera la gorge, légitime défense et voilà, j’en serais débarrassé.

Ce message a été posté Sam 30 Juil - 22:19

TENUE « Cause toujours, si je te brise tu comptes me pénétrer avec quoi ? » Lâchant un grognement sous son coup bien plus fort dans ses parties intime, Tomoe avait envie de le tuer. Là tout de suite. S’il le laissait faire il allait finir par ne plus avoir de queue tout court. Il ne pourrait même plus bander. Triste sort. Triste avenir. Triste vie. Il se croyait puissant sur lui, parce qu’il avait un couteau ? Tomoe se fichait bien de ce couteau. Il pouvait faire bien pire. Il pouvait le planter, ça lui était égal, il n’avait pas peur de se blesser. Il avait l’habitude du danger et des trucs tranchants. [color:6f08= »7bbb7a]« Essai toujours, tu seras juste un impuissant de plus sans valeur. » Un rire s’échappa d’entre les lèvres du soumis. « Ne fais pas le malin. » Il ne faisait pas le malin, il disait simplement la stricte vérité. Et ça ne lui plaisait pas. « Parle pour toi, tu ne vaux rien en baise. » Il pouvait sentir le couteau lui tailler la peau. Ça lui piquait un peu, il trouvait ça désagréable. Mais son sourire ne quittait pas pour autant ses lèvres. Pure provocation, pure folie venant de sa part. « Je ne vaux rien hein ? » Le regard dévastateur et provocateur, il attrapait ce couteau de sa main avant de le décoller de son cou. Il se fichait bien que sa main soit blessée. Il serrait d’ailleurs le couteau un peu trop fort. Le sang commençant un peu à couler sur la lame tranchante. « Tu regretteras surement toute ta vie de m’avoir provoqué. » Sans attendre, de sa main libre il lui attrapa à son tour les couilles pour les écraser violemment avant de le pousser pour se libérer de son emprise. « J’ai peur de rien, pas même de la mort. Tu peux me planter, si je meurs, je meurs. Si je survie tant mieux. » Il essuya sa main rapidement contre son propre corps avant de rire. « Je t’ai dit, je vais devenir ton pire cauchemar. »

Ce message a été posté Mar 2 Aoû - 3:49

TENUE Toute cette histoire partait de plus en plus en couille, sérieusement j’avais déjà compris qu’il faisait une fixette sur moi, mais déjà que je n’avais pas envie de penser à ce qu’il avait pu me faire voyant ça comme une « erreur » de parcours, pourtant j’avais l’impression que je devais le briser pour ne plus à revivre cet enfer, cet enfoiré me menacer encore de le faire et je savais qu’il n’avait déjà aucun scrupule vu qu’il l’avait déjà fait. C’est pourquoi j’écrasais son service trois pièces progressivement pour le lui enlever ce qui fait de lui un homme, dans ma tête j’avais même envie de lui couper avec mon couteau, mais cela risque de salir mes draps, bien que vu l’odeur qu’il a balancé dessus je n’étais pas à ça près. Il était tellement agaçant, mais au moins j’avais pu lui retirer cette expression pour voir quelque chose de plus jouissif. Même si ce sourire revenu sur ses grosses lèvres de putes m’agaçaient encore plus... « Ouai, tu ne vaux rien, t’es sourds en plus ? » Je pouvais lui répéter autant qu’il souhaitait. Bien entendu je ne put jubiler que peu de temps vu qu’il préférait risquer sa main en repoussant mon arme de son cou, quoique je fasse forcing, je risquais de réellement le tuer en forçant comme ça, ça a surement inconsciemment joué sur le fait qu’il a réussi à se libérer de mon emprise, même si je souhaite sa mort je ne suis pas un meurtrier, bien que ce con puisse me faire le devenir un jour. Regretter ? Plutôt mourir. De son côté il n’a pas peur de mourir, alors qu’il disparaisse de ma vue pour de bon plutôt que me faire chier. Même s’il a réussi à me repousser et à se libérer, je n’allais pas pour autant le laisser mener la danse. Mon pire cauchemar ? Je lui jette un regard noir avant de me redresser sur mes genoux face à lui, tenant fermement le couteau. Mon esprit se vider totalement à cet instant, les nerfs de le voir si sur de lui et l’idée qu’il puisse encore s’amuser avec moi me donner envie de vomir, d’un geste rapide je le blesse avec le couteau en collant nos torses l’un contre l’autre, soufflant a son oreille. « Alors crève. Je peux très bien devenir le tien, je te l’ai dit... Ne fais pas le malin enfoiré. »

Ce message a été posté Jeu 4 Aoû - 18:54

TENUE « Ouai, tu ne vaux rien, t’es sourds en plus ? » Tomoe contracta sa mâchoire. Ça ne pourrait finir que lorsque l’un d’eux crèverait. Il n’y avait pas d’autres solutions possibles de toute façon. Mais pour sa part, il ne voulait pas le tuer. Pas encore. Pas tant que cet enfoiré ne se mettra pas à genoux le suppliant de le laisser en vie. Et c’est bien pour ça qu’il le provoqua un peu, en lui susurrant l’idée, que s’il le voulait il n’avait qu’à le planter. Il avait les cartes en mains. Le couteau dans sa paume, c’était à lui de s’en saisir et de faire l’affaire. Il le poussait à bout exprès. Et c’est ce qu’il fit. Se collant à lui, il sentir le couteau entrer avec force dans sa chair. Un grognement de douleur, violente et puissante le traversa dans tout son corps. « Alors crève. Je peux très bien devenir le tien, je te l’ai dit... Ne fais pas le malin enfoiré. » Attrapant sa main il la lui vira avant d’enlever le couteau en le balançant dans la chambre. Dents serrés il essayait de canaliser la douleur avant de se lever et tituber. Se tenant contre un meuble il quitta la chambre sans un mot avant de claquer la porte. Aller à l’hôpital ? Pour dire quoi ? Le dénoncer ? Qu’il aille en taule ? Ce n’était pas franchement son but. Attrapant ses affaires, il passa par la salle de bains avant de se faire une compresse pour stopper le saignement. La douleur devenait de plus en plus aigüe et forte. Rien de bien agréable, ni supportable, mais il faisait avec. Enfilant un t-shirt, il quitta le dortoir afin de partir dans son appartement, là où il pourrait être tranquille, et où il pourrait faire appel à quelqu’un pour le soigner. Oh il ne renonçait pas non. Il allait se venger. Et pas qu’un peu.

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» i told you « leave me » but you didn't.
» 「Sōren」 she told me that ‟ the world is like a mirror„
» I want to kill you, srsly!
» I see you, I'll kill you.
» I'll kill you.

I told you I'd kill you.

I told you I'd kill you.

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