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 Cuz i love you ∆ ft hamasaki ai ♥

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Anonymous
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Ce message a été posté Dim 3 Jan - 14:21
Ai tournait un peu dans sa chambre sans savoir quoi faire en attendant la venue de son amoureux. C’était un peu comme Roméo et Juliette, Roméo qui allait voir en douce sa belle malgré le fait que ses parents ne l’apprécient pas. Enfin normalement c’était une guerre de famille et là, il y avait juste celle d’Ai pour faire chier le monde, parce que le cinéma répétitif de son père marchait peut-être mais un jour elle allait vraiment mettre ses menaces à exécution et s’enfuir de la maison. Elle se leva un instant de son lit pour diminuer l’intensité de la lumière, au moins de cette façon le bordel qu’était sa chambre sera moins flagrant. Elle se disait qu’en général, c’était les génies qui étaient désordonnés, non ? Même si elle n’en était pas un, mais pour ça, elle comptait quand même passer un test de QI. En attendant elle n’avait toujours pas l’intelligence de ranger ne serait-ce que les vêtements par terre. Elle se posa quelques minutes sur l’ordinateur afin de regarder les dernières nouveautés sur Facebook mais à part les personnes qui souhaitaient un joyeux Noël, ceux qui parlaient de leurs cadeaux et d’autres de leur soirée, il n’y avait rien d’intéressant. Mais sa soirée à elle ne faisait que commencer, la vraie, celle qu’elle attendait depuis le début. Ai retourna sur son lit, rarement refait et qui marquait la place où elle avait dormi la nuit dernière, contre le mur. En le regardant bien, elle se demandait si malgré le fait qu’il soit fait pour deux personnes, elle tiendra avec Amori. Enfin fallait dire qu’une fois qu’elle dormait, elle ne bougeait pas de la nuit, ne ronflait pas, un peu comme si elle venait de s’éteindre.

Amori la rejoignit enfin et un sourire s’afficha sur les lèvres de la belle. Ils étaient enfin réunis tout les deux, seuls. Elle lui fit signe discrètement de parler doucement, parce que la chambre de ses parents était collée à la sienne. Puis elle tendit les bras pour qu’il vienne à elle. Il la fit basculer, la détaillant du regard et elle attendit avec un sourire malicieux qu’il remarque avec quoi elle était habillée. Voilà, après tant de temps, on y était. « C’était plus amusant de te voir chercher alors que moi je savais où il était. Avant il me servait à me rappeler ta présence mais maintenant il n’a plus ton odeur. » Dans ce cas-là elle aurait pu prendre directement son parfum mais ce n’était pas pareil. Dans la situation inverse, si lui prenait un de ses vêtements, cela serait un peu plus bizarre alors qu’elle c’était assez mignon et elle s’en rendait compte maintenant. Mais il avait bien fait de s’inquiéter un peu pour son tee shirt, après tout elle était passée pro dans l’échange de vêtements dans le dortoir et parfois elle perdait elle-même leurs affaires mais elle évitait souvent de mettre Amori là-dedans. Être la seule fille du dortoir c’était un métier quand même ! Ai ne se lassait jamais de ses baisers et se retenait à chaque fois d’en redemander encore mais cette fois-ci c’était à son tour d’ouvrir son cadeau. Avec un sourire en coin, Ai se saisit de la petite boîte avant de l’ouvrir avec une certaine appréhension, se faisant des idées si bien qu’elle avait la boule au ventre. Ce qu’elle y découvrit la laissa sans voix et elle sortit le collier de la boîte pour le regarder de plus près. Elle regarda la belle couleur bleue, ce joli petit cœur et le fait que ça brille, c’était tellement mignon que bien que ça ne l’étonnait pas venant de son chéri, elle était scotchée. « C’est tellement beau… tu ne sais pas à quel point ça me fait plaisir, c’est vraiment un Noël magnifique ! » Elle l’embrassa avec fougue pour le remercier, ne pouvant pas faire autrement que de le serrer fort dans ses bras. « Je t’aime tellement… tu ne sais pas à quel point. » C’était vrai, même si elle se trouvait moins démonstrative que lui – c’est dans les gènes – elle l’aimait à un point où elle ne soupçonnait pas pouvoir aimer à ce point là.

Elle lui donna le collier et se mit dos à lui pour qu’il lui accroche, frissonnant sous ses mains qui l’effleuraient. « Tu sais… je suis vraiment désolée pour ce repas, c’était tour pourri et puis mon père… » Elle soupira. « Je ne le laisserais pas faire. Enfin, je ne sais pas comment faire parce que j’ai vu des amies se retrouver avec des mecs qu’elles n’aimaient pas rien que pour leurs parents, mais on est intelligent, on y arrivera, non ?  C'est vrai que quand même que toi, tu seras pas chanteur toute ta vie mais du coup tu vas vivre plein de trucs trop bien. J'aimerais bien faire partie d'un groupe aussi, faire de la scène, être aclamée par des gens et avoir aussi des fans. » Toujours dos à lui, elle s'installa contre lui.

Anonymous
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Ce message a été posté Dim 3 Jan - 17:54

cuz i love you.
ai & amori

Il aurait pu s'attendre à une catastrophe, mais voir le visage de sa petite-amie s'illuminer face à son cadeau lui donna du baume au cœur, et bêtement, il se mit à sourire aussi. Des colliers en forme de cœur, ce n'était pas ce qu'il manquait dans les bijouteries, et pourtant, le choix avait été d'une difficulté sans nom parce qu'il avait voulu choisir le bon. Celui qui lui correspondant le plus. Qui leur correspondait le plus. Ce diamant bleu n'était-il pas un clin d’œil quant à sa coloration actuelle et sa couleur préféré ? Il avait rapidement flashé sur ce bijou sans trop s'attarder sur les autres, persuadé qu'il ferait l'affaire. Visiblement, il avait eu raison, et entendre l'émotion dans sa voix suffit à le rassurer et à le rendre également heureux. Il avait aussi pensé à des bagues de couple, histoire d'officialiser d'une certaine manière aux autres, que leur relation était plus que sérieuse. Mais quelque part, il se disait que le mieux était encore d'attendre qu'ils les choisissent ensemble. Ce collier n'était que le premier des objets de valeurs qu'il lui offrait. Il savait qu'un jour où l'autre, il la demanderait en mariage, et qu'il se creuserait encore plus la tête pour le choix de l'alliance. Heureusement qu'ils avaient encore du temps devant eux ! Sur ses mots, il lui rendit son baiser avec d'autant plus de passion et l'attira un peu plus contre lui, la main sur son dos, afin de prolonger ce moment rien qu'à eux. Il savait pertinemment à quel point il l'aimait et même si cela était réciproque, il s'évertuait à croire qu'il y en avait toujours un qui aimait plus que l'autre. D'ailleurs il ne se gênait jamais pour la charrier à ce sujet, lui murmurant ces quelques mots dès lors qu'il reprit son souffle. « Non… C'est moi qui t'aime le plus. » Un petit sourire sur le coin de ses lèvres, il replaça quelques mèches de sa chevelure derrière son oreille et entreprit l'initiative de fixer le collier de sa belle autour de son cou. Ses vieux allaient se poser des questions au petit matin, si encore ils s'en rendaient compte ! Rabattant ses longs cheveux sur le côté droit de son épaule, Amori effleura la peau de cette dernière lorsqu'il se mit au travail. Ceci fait, il ne se gêna guère pour déposer un tendre baiser sur sa nuque avant de la ramener contre lui, ses bras l’étreignant avec fermeté et douceur. Il déposa sa joue sur sa tête et l'écouta parler. Visiblement, le baratin de son paternel l'avait profondément peinée et cela semblait la tourmenter. Il se mentirait à lui-même s'il affirmait ne pas craindre de la perdre. Mais très honnêtement, même si cela devait arriver un jour, il était plus que convaincu que la cause ne serait jamais ses parents. Ils pouvaient faire et dire ce qu'ils voulaient, ça ne l'atteignait pas. Ai pouvait au moins compter sur le soutien de sa propre famille, et dans le cas d'un mariage forcé, il s'y opposerait. Elle ne devait pas s'en faire pour ça. « Arrête d'y penser, tu te fais du mal. Ça n'arrivera pas, je te le promets. » Il déposa un nouveau baiser sur son visage avant de la border contre lui. Comme promis, il glissa l'une de ses mains sous son t-shirt et caressa son petit ventre plat par mouvements lents et circulaires, histoire de chasser le mal. Enfin, il n'avait aucune idée de la douleur que ça pouvait provoquer ni à quelle fréquence, du coup il ne se doutait absolument pas qu'elle pouvait réclamer ce genre d'attention en profiteuse de la situation. C'était assez rare qu'elle évoque aussi clairement ses désirs d'avenirs et de carrières… Si bien qu'il fut étonnement surpris lorsqu'elle évoqua la scène et le milieu du spectacle. Ai changeait trop souvent d'avis pour qu'il puisse la suivre. Pour autant, il ne s'était imaginé que son propre métier l'inspirait également. A cause des contraintes, sans doute. Il n'aurait jamais pensé qu'elle puisse l'envier à ce sujet. Il la serra un peu plus fort dans ses bras. « Je sais la chance que j'ai… Mais je suis loin de toi quant on doit se promouvoir à travers le pays. Et quand ça va pas, je suis obligé de garder le sourire, même quand tu me manques à mourir… C'est toujours les mêmes questions autour de ma vie privée, et je dois prétendre être célibataire et ça me soûle. Y'a pire je sais, mais à la longue, ça me fait chier. J'aimerai ne pas avoir à le cacher… Mais je voudrais pas qu'il t'arrive quelque chose par ma faute. » Des fans il en avait, et des anti… très probablement aussi. Sans compter les fans à l'extrême. Il comprenait que ce milieu faisait rêver mais il y avait aussi beaucoup de requins qui profitaient des plus jeunes, et par chance, il était tombé sur une bonne agence. Si Ai voulait se lancer dans le show-bizz, elle avait tout intérêt à être bien entourée et conseillée. « Mais dis-moi, depuis quand tu souhaites tout ça, cachottière ? Tu me carotte mes fringues et maintenant tu veux aussi ma vie ? » Il n'avait pas pu s'empêcher de rire en douceur, montrant qu'il ne le pensait pas. Bon là, c'était un coup à provoquer une crise cardiaque générale à sa famille. Y avait-elle pensé à ça ? « Au moins, j'en connais un qui kifferait sa race. » Le petit Jinou bien sûr. C'était donc pour ça qu'elle ne souhaitait pas qu'il se lance dans une carrière musicale !


electric bird.

Anonymous
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Ce message a été posté Dim 3 Jan - 19:13
« D’ailleurs je me demandais si c’était normal que je ne sois pas particulièrement jalouse. Enfin évidemment si une fille va t’embrasser, je vais lui casser la figure directement, mais sinon elles peuvent passer autant de temps avec toi que cela ne me dérange pas. » Après une courte réflexion, elle rectifia. « Sauf Soo Jung. » Il devait bien s’en douter, elle était la seule raison pour laquelle Ai pouvait faire la tête pendant une heure même pour une raison idiote. Même s’il parlait d’elle, même une fois quand il lui avait fait passer un message de la part de Soo Jung elle avait fait la gueule, c’était pour dire. Mais Ai se demandait pourquoi elle ne ressentait rien vis-à-vis des autres filles et elle avait parfois sincèrement peur d’être moins amoureuse de lui que lui ne l’était d’elle. Elle n’avait aucun moyen de comparer en plus, il était le tout premier. Même si elle en avait déjà aimer d’autres, c’était passager puisqu’elle avait été du genre à changer de coup de cœur comme de sous-vêtements mais là c’était lui ou rien. « Bon, évidemment tu passes du temps avec d’autres filles, je te rappellerais à l’ordre direct parce que voilà, c’est moi et juste moi mais, j’aime bien voir ces filles et ces fans te croient célibataire et penser qu’il y aurait une possible ouverture avec toi alors que c’est moi que tu vas rejoindre tout les soirs. C’est jouissif de les voir rêver. » Bien sûr qu’elle regardait les commentaires sur Internet, il ne fallait pas rêver. Ai se cala correctement contre lui et ferma les yeux quand il commença à caresser son ventre. Fallait pas rêver, elle avait toujours mal, mais ça la détenait vachement. Cette soirée avait quand même été frustrante, surtout de tout préparer dans la journée.

Elle savait de toute façon que si son père avait décidé un truc, il mettrait tout en œuvre pour le réaliser, elle était comme lui. Mais elle était aussi très têtue et avait décidé de passer le restant de sa vie avec Amori et pas un autre homme, aussi riche qu’il puisse être bien qu’avant de sortir avec lui, cette idée d’union ne l’avait pas laissé indifférente. Elle qui ne cherchait que l’argent afin de se faire son propre nid douillet y avait vu une opportunité qui maintenant ne l’attirait plus. Ils se débrouilleraient ensemble. Pourtant, ce que pouvait faire son père l’inquiétait. « Il est vachement déterminé et on a bien vu que ta présence ne le perturbait guère. Mais se serait marrant qu’il me mette avec un homme riche comme il dit et que toi tu ailles lui casser la figure. J’aimerais bien voir ça, au moins une fois dans ma vie. » Et Dieu sait le nombre de choses qu’elle voulait voir une fois dans sa vie. « Comme dans les contes de fées, le prince qui sauve sa princesse mais ça se passerait en version moins mignonne, avec des cris, du sang et tout. » Quand on disait que les jeux vidéos avaient une mauvaise influence sur les jeunes. Elle voulait vraiment tout vivre quitte un jour à ce qu’ils vivent une vie à la Bonnie & Clyde, elle n’en sera plus qu’heureuse.

Ai savait qu’il y avait plein de contraintes à être connu. Et pas que dans le milieu musical. Mais comme dans tout les métiers il y avait des choses moins agréables que d’autres, elle était consciente de ça aussi. Et puis si elle se mettait en œuvre pour suivre les traces d’Amori, leur relation deviendrait encore plus compliquée et ils iraient droit dans le mur. Elle soupira rien qu’en y pensant. Finalement, parmi toutes ses idées d’avenir, elle devrait faire en conséquent. C’était un peu pratique pour le fait que cela réduisait ses choix. Mais c’était vrai que ce qu’il montrait au média n’était qu’une image. Elle le voyait heureux, elle l’enviait parce qu’il avait l’air de s’éclater. Et puis, elle qui avait déjà un gros emploi du temps ne serait pas dérangée par ça et elle découvrirait plein de choses mais le problème resterait de se voir, ce qui l’attristait. Elle pouvait donc supprimer ça de sa liste. « Hm. » Elle eut un petit sourire. Oui, elle n’en parlait pas vraiment de tout ça ni même d’une perspective d’avenir bien qu’elle y pensait sans cesse. « En fait, je veux tout faire. » Elle accentua le « tout » en écartant ses bras. « Je veux tout essayer et il y a énormément de travails qui me plaise, y compris faire de la scène. Mais je chante mal. Alors quand j’avais cette idée en tête il y a plusieurs années, je me suis mise à danser et à essayer le rap, faute de ne savoir chanter. Mais ça ne vaut rien tant que ce n’est pas un talent. Mais je m’en fiche, je veux juste essayer une fois et après tenter d’autres choses. Du moment que je finisse avec beaucoup d’argent et que je puisse construire ma propre maison. » Elle indiqua vaguement des plans de maisons luxueuses qu’elle avait réalisé et qui étaient accrochés sur les murs. Elle s’en fichait d’être ridicule ou de se mettre en danger, elle voulait réellement essayer tout et n’importe quoi et partager souvent des envies idiotes mais qui lui importaient tant. « Je veux que Jin ait un avenir stable. Je ne veux pas qu’il ait les mêmes envies que moi. J’ai vraiment envie de tout faire, c’est pas une envie d’enfant à ne pas prendre en compte. Tu vois par exemple, j’ai envie qu’on se sépare au moins une fois mais que se soit tragique, avec des larmes et tout mais qu’on se remette ensemble après bien sûr. Mais juste pour vivre au moins une séparation. » Voilà pourquoi ses envies pouvaient être dangereuses. Même… « Ou même participer à une de ses soirées trop bizarre avec ces gens louches où ils boivent beaucoup, fument, se droguent et… d’autres choses moins jolies, mais juste une fois, et terminé après. » Mais elle pouvait être raisonnable. « Mais ne t’inquiète pas, je ne te proposerais jamais de soirées échangistes. » Et voilà que maintenant elle avait pris pour habitude de tripoter son nouveau collier.

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Ce message a été posté Jeu 7 Jan - 16:58

cuz i love you.
ai & amori

C'était évident qu'il l'aimait plus qu'elle ne le pouvait en retour. Enfin, au jour d'aujourd'hui dirons-nous. Peut-être que la tendance s'inverserait un jour. Il n'en doutait pas vraiment à vrai dire. La vie d'un couple était constitué de hauts et de bas, même si dernièrement la tendance stagnait en une espèce de ligne droite, ni bonne, ni mauvaise. Leurs retrouvailles faisaient toujours du bien, mais rien de transcendant depuis qu'il avait débuté, car les rares fois où ils passaient du temps ensemble, ils devaient se cacher ou prétendre ne pas être en couple aux yeux de la population. Leurs moments d’intimités ne se limitaient que dans les endroits clos où ils n'étaient que tous les deux. Forcément, ils passaient à côté de beaucoup de choses contrairement à leur début de relation qui méritait un best-seller sur l'échelle mondiale ! A cause de son statut d'idole, ces moments d'exaltations n'étaient plus aussi intenses et fréquents qu'autrefois. Pour autant, le sentiment qu'il éprouvait pour Ai ne cessait de s’accroître, parce qu'il était heureux de l'avoir dans sa vie. Heureux de pouvoir compter sur quelqu'un et d'imaginer un avenir stable et plus lumineux avec cette dernière. Certes, leurs « bas » jusqu'à présent ne relevaient que de sa belle-famille, et il ne s'agissait pas là d'une tragédie en tant que tel. C'était juste chiant. Tout cela expliquait la ligne droite qu'ils vivaient. Du moment qu'elle ne dégringolait pas, Amori restait confiant et optimiste. La seule tâche noire dans son tableau d'avenir se résumait en un seul mot, ou devrait-on dire, prénom « Noriko ». Et ça, sa chère copine n'en avait pas conscience et lui-même n'avait toujours pas trouvé le courage d'aborder le sujet la concernant… Noriko et lui.

Il ria de bon cœur lorsqu'elle exposa au grand jour sa jouissance personnelle à l'idée d'être l'élue face à toutes ces fans rêveuses de l'avoir comme petit-ami. Vu sous cet angle, c'était plutôt plaisant il fallait le reconnaître… il était le seul à se coltiner les mauvais plans en fait. Il tira une grimace de travers. « Ok, alors je vais m'y prendre autrement histoire de te faire rager un peu, sinon c'est pas juste… Au prochain fan-meeting, elles iront toutes dans mes bras. Et si elles sont mignonnes, je me gênerai pas pour les embrasser ! » Il se pencha légèrement en arrière pour observer sa réaction et émit un nouveau rire avant de lui ébouriffer les cheveux en douceur. «  Sur la joue bien sûr. Je suis pas suicidaire au point ! » Mais une connerie de ce genre, il était bien capable de le faire, même si techniquement il ne devait pas se montrer trop tactile au risque d'attrouper une émeute, mais en pensant bien, cela donnerait du travail à retordre aux vigiles qui n'en foutaient pas une. A méditer. Même s'il ne craignait pas les menaces du paternel, Ai avait l'air de vouloir que la chose se réalise pour le seul et unique but qu'il défonce la tronche à un pauvre malheureux qui n'aurait rien demandé non plus ! Rah ces filles, elles avaient de ces envies puériles tant qu'elles pouvaient passer pour des princesses ! « Une vraie lady ne tolérait pas la vue du sang. Le mieux c'est encore que je te laisse avec cet homme riche qui fera de toi une beeelle mère au foyer avec des taaaas de mioches à la con. Nan parce que si ça avait été moi… nos mômes seraient les plus beaux et les plus sages de l'univers, c'est évident. » Voilà qu'il prenait son air sadique alors qu'il jubilait presque à voir la situation se retourner contre elle. Ceci dit, il l'aimait trop pour laisser les choses se dérouler ainsi. Il aurait fini par la délivrer avant qu'il l'engrosse, sans doute !

Il savait à quel point Ai était curieuse. Une curiosité sans limite qu'il applaudissait parfois à pleines mains, parce qu'il était incapable de montrer le même enthousiasme qu'elle pour toutes les choses qui les entouraient. Pas qu'il était fermé d'esprit, mais disons que c'était elle qui était trop ouverte au monde. Et même si ces dernières révélations lui firent un petit pincement au cœur, il ne pouvait pas lui en vouloir de chercher à ressentir toutes ces choses qui faisaient ce que l'on appelait « l'expérience ». Pour sa part, même s'il ne ressentait nullement l'envie de se séparer d'elle, il avait vécu plus que ne le pouvait un étudiant lambda, ne serait-ce de par ses origines, ses cultures et ses nombreux voyages. Son adolescence s'était acheminé différemment de celle d'un lycéen ordinaire, et même s'il avait manqué certains points clés de sa croissance, d'autres avaient comblés cet espace et il rattrapait progressivement son retard aux côtés de Ai. Voilà pourquoi sa petite-amie lui suffisait, après toutes celles qu'il avait rencontré sans perceptive d'avenir. C'était difficile à entendre mais pas difficile à comprendre à un âge où elle s'envolait tout juste de ses propres ailes. Lui, il avait déjà son vécu. Ai passait probablement à côté de certaines choses en se mettant en couple aussi vite et de manière aussi sérieuse avec lui… Il savait pertinemment qu'ils se séparaient un jour, et pour une raison qui l'échappait encore. Amori souriait tristement à ce simple songe, et il était soulagé qu'elle ne puisse pas le voir. C'était drôle qu'elle le souhaite. Une séparation digne des plus grandes tragédies… Lui il redoutait ce moment et il n'était pas prêt à lui annoncer que son vœu était proche. Pas parce qu'il le voulait. Mais parce qu'elle était inévitable… Maintenant qu'elle fréquentait Noriko… Tout n'était qu'une question de temps. Le compte à rebours s'était déclenché depuis le premier jour de leur rencontre. Il avait envie de lui exposer sa version des faits, mais il en était tout bonnement incapable. Savoir qu'elle souhaiterait aussi rapidement se remettre avec lui le fit intérieurement sourire, mais il doutait que cela se produise aussi facilement. En attendant ce jour, il allait profiter de chaque instant en sa présence. Qui sait, peut-être qu'elle ne lui en voudrait pas trop. Cette part sombre de son histoire. Son secret le plus honteux, jamais révélé à ce jour…

Il ravala un sanglot imminent, feignant la tristesse par un éclat de rire si peu contrôlé qu'il en oublia d'être silencieux pendant un instant ! Espérant ne pas s'être fait griller par les vieux, Amori profita de ce moment pour se redresser du lit et tendre l'oreille jusqu'au mur voisin. De ce qu'il pouvait entendre, ça ronflait déjà de l'autre côté. Cela ne devait pas être la mère… enfin, il l'espérait ! «  Ok, fausse alerte. J'ai cru qu'on m'avait entendu ! » Il poussa un nouveau rire, un peu plus nerveux cette fois-ci alors que ses prunelles se posait sur le duvet de la demoiselle qu'il soupçonnait un peu étroit pour deux personnes. « Si je comprends bien, on va devoir se serrer cette nuit ? » Sans jeu de mot vulgaire. Cela l'arrangeait presque alors qu'il se débarrassait de son pull, embarquant par la même occasion son t-shirt qu'il envoya à l'autre bout du mur. Il ne s'était pas gêné pour se montrer torse poil à elle. Quelque part, il s'attendait à quelques compliments depuis leur dernière nuit passée ensemble. Il avait traîné un peu plus longtemps dans la salle de muscu avec Canaan. Lui jetant un sourire coquin, il se dévêtit rapidement de son pantalon, ne gardant que son boxer au moment où il fit basculer la demoiselle en arrière. Il voulait la taquiner un peu. Accessoirement aussi, lui donner envie sans que cela puisse être possible. Son visage proche du sien, il effleura ses lèvres sans les toucher dès l'instant où il lui posa cette question fatidique. « Je dors de quel côté ? A droite ou à gauche ? »


electric bird.

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Ce message a été posté Dim 10 Jan - 22:57
« Tu veux que je te tue ? Elle s’était retournée pour le regarder, avec un air voulant dire qu’elle était déjà étonnée qu’une fille veuille de lui. Bon, c’était vrai, avec son statut de célébrité, beaucoup de filles vendraient leur famille contre lui alors de son côté Ai avait l’impression que sortir avec lui, c’était comme devoir s’occuper d’un animal de compagnie. Elle devait passer du temps avec lui, jouer avec lui, le promener de temps en temps et si elle n’était pas là trop longtemps, il était tout perdu. Et comme n’importe quel animal de compagnie, il était tellement mignon qu’elle ne pouvait pas se passer de lui. Sincèrement, avant d’avoir un petit ami, quand elle était une éternelle célibataire, elle avait eu ce genre d’idées sur le fait d’être en couple. Trop de responsabilités, c’était l’excuse qu’elle avait trouvé pour justifier son célibat, ainsi le fait qu’elle manquerait cruellement de liberté. Depuis un an, elle n’avait pas tellement à se plaindre à ce sujet. Au contraire, elle se trouvait trop libre. Elle était loin d’envier ces couples toujours coller l’un à l’autre, enfin c’était mignon cinq minutes mais passer sa vie H24 ensemble à se dire des choses débordantes d’amour, elle trouvait ça écœurant. Peut-être parce qu’il était son premier copain, elle trouvait leur relation parfaite. Il était autant son meilleur ami que son petit ami. Évidemment, elle avait encore du mal à enregistrer qu’il fallait qu’elle se confie plus à lui mais ça, il n’était pas le seul à être dans l’ignorance parfois et puis elle avait toujours d’être chiante. Elle faisait parfois semblant de ne pas être jalouse, mais dans le fond c’était une fille et puisqu’elle avait envie de vivre toutes les expériences du monde, elle attendait juste qu’une fille se frotte trop à lui pour aller casser la figure à l’imprudente. Mais une horde de fans, elle savait que là elle n’aurait aucune chance et Amori non plus. Ce n’était pas parce que des centaines de filles fantasmaient sur lui qu’il ne devait plus se sentir quand même. « Et comment tu comptes choisir les plus mignonnes puisque c’est moi la plus belle ? Même si elle ne le pensait pas vraiment, elle fit mine de bouder.

Même si elle plaisantait sur le sujet, si ses parents lui choisissait son futur mari, elle déclencherait la troisième guerre mondiale et si déjà c’était une sacré rebelle dans l’âme, là elle se lâcherait pour leur mener la vie dure. Elle aimait bien attiser la jalousie d’Amori par moment, parce qu’elle le trouvait mignon comme ça et était au moins sûre qu’après un an il tienne toujours à elle et c’est pour cette raison que parfois en public elle l’ignorait avec son air innocent en lui tournant autour et parlait avec ses camarades masculins. Mais là, elle ne voudrait pas qu’il s’en mêle. Ai était gentille, même trop et ses parents semblaient en profiter alors que lui avait déjà l’image de petit con, elle n’avait pas que cela empire. Et elle ne penserait même pas à utiliser un potentiel fiancé pour faire réagir son chéri, même si elle en riait là. Si c’était la situation inverse, elle ne rirait pas franchement. Même pas du tout. « Je peux être mariée à un homme riche sans faire de gosses avec tu sais. C’est juste une histoire de papiers. Mais tu l’a dit, trop tard. Et si il est mignon, je ne me gênerais pas pour coucher avec. Juste une fois bien sûr. Je ne suis pas suicidaire au point. » Elle se redressa un peu pour lui faire un bisou sur la joue, fière d’avoir retourné son petit jeu contre lui en reprenant presque ses mots d’un peu plus tôt. La vérité était qu’elle ne se voyait qu’avec lui dans sa vie future et que ses gosses, elle les aura qu’avec lui. « Si nos enfants seraient sages, cela voudrait dire que je t’aurais trompé. Tu penses qu’avec un père pareil ils seront totalement innocents ? Ah, mais j’ai hâte d’avoir des enfants ! » Enfin, les avoir oui, mais pas les porter dans son ventre. Disons que depuis qu’elle avait eu le verre solitaire, avoir un truc vivant à l’intérieur d’elle, ce n’était pas son délire. Et puis vu tout ce qu’elle avait envie de faire et la carrière d’Amori, ce n’était pas pour demain.

Ai avait vraiment envie de tout, et peu de gens semblaient voir l’ampleur de sa curiosité. Plus jeune cela lui avait joué des tours, le nombre de fois où elle avait pu se blesser parce qu’elle fourrait son nez partout. Maintenant, c’était plus des envies de situations particulières. Elle parlait de séparation, pas par envie mais parce qu’elle savait qu’elle n’aurait pas d’autre copain que lui et si elle voulait vivre ça au moins une fois, elle aurait besoin de ses talents d’acteur. Elle ne se doutait pas que cela puisse l’atteindre et parler de ça légèrement. Comme du fait qu’elle veuille vivre une soirée où étaient mélangés alcool, drogue et sexe comme on le voyait dans les clips américains qui la rendaient curieuse. Elle trouvait ça plus sain que les soirées échangistes. Prêter Amori à une autre fille ? Elle était pas folle. Et si elle s’y prenait mieux ? Après tout, ils n’avaient eu qu’eux deux et Ai craignait vraiment qu’il soit curieux de ce qui se passe chez les voisins. Et oui, pourtant elle-même qui était curieuse de tout n’y pensait pas. L’entendre rire lui fit du bien mais elle se retourna subitement en mettant son doigt sur sa bouche pour lui dire de se taire. Comme elle l’avait dit au début de la soirée, les murs étaient plutôt fins. Mais après quelques minutes de silence et d’écoute, cela ronflait pas mal à côté. Elle regarda avec lui son lit. Il paraissait un peu petit parce qu’il était contre le mur, mais elle prenait quasiment pas de place dedans parce qu’elle dormait toujours contre le mur. Enfin contre, c’était même pas aussi fort comme terme, elle fusionnait presque avec. Silencieusement, elle le regarda se déshabiller avec un petit sourire en coin en l’observation. Elle ne put s’empêcher de remarquer ses abdos un peu plus marqué que la fois précédente. « Tiens, c’est nouveau ça. Tu as une maîtresse à qui tu veux plaire et tout ça c’est rien que pour moi ? » Elle n’eut pas le temps de tester la marchandise alors qu’il la fit basculer en arrière sans qu’elle n’oppose de résistance, en faisant remonter ses mains de son torse à son cou, en attendant avec impatience qu’il l’embrasse. Ce qui n’arriva pas. « T’es bête. Tu me fais envie en plus. » Elle le repoussa du côté du lit où il n’y avait pas le mur. « T’es bête » revenait aussi souvent qu’un « je t’aime » en réalité et c’était toujours aussi affectueux. Elle se glissa totalement sous la couverture en s’installant contre lui avant de laisser dépasser seulement sa tête. « Je t’aime fort. Et dis pas que tu m’aimes plus. Parce que je t’aime plus fort que tu ne le crois. » Elle pensait pouvoir passer un moment comme ça contre lui a rêvasser mais elle s’endormirait avant qu’il n’ait fini de répondre, comme un appareil subitement déconnecté et si elle voulait passer collée à lui, elle le tromperait avec le mur. C’était bizarre mais elle passait toutes ses nuits comme ça mais au moins, elle ne bougeait pas d’un poil et ne faisait pas un bruit.

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