uniforme scolaire ➤ C'est la pause déjeuner, celle à la fin de la matinée avant la reprise de l'après-midi, celle où je squatte avec Yuzu à la cafétéria avant qu'elle ne parte flâner après un sensei et que j'aille m'isoler dans un coin. Je ne fais pas cela pour éviter les gens ou être seul, bien que ce soit le principe de base pour ce que je vais faire. Hier soir, j'ai eu un bon client qui m'a tellement amusé que je lui promis une prochaine séance le lendemain, dès que j'aurai du temps pour lui. C'est justement le cas à l'instant et c'est le moment parfait pour m'armer de mon portable et composer le numéro de ce type en masqué, pour ne pas qu'il puisse avoir mon véritable numéro de portable. à cette heure-ci, les étudiants mangent dehors ou dans le restaurant de l'école, loin de la fontaine abandonnée aux heures du repas. J'en profite pour téléphoner, attendant que l'autre décroche après quelques tonalités dans le vide. « Hey, c'est Swann, tu te souviens de moi ? Le mec qui ta fait bander hier. » Je ne vais pas par quatre chemins quand je téléphone à l'un de mes clients, ceux-ci reconnaissent généralement ma voix fluette et enfantine, une voix plutôt rieuse pour un allumeur de première. Je ne fais pas ça pour l'argent, uniquement pour rigoler. D'ailleurs, j'ai mit l'appel sur enregistrement tandis qu'il me parle, ressassant la soirée d'hier où il me parle encore que son érection qui a duré des heures. Ravi de le savoir, je me passerai des images quand même. ça pourrait être un vieux pervers frustré et je m'amuse à lui lever la queue, sérieux. Lâchant un petit rire, je retire mes chaussures et mes chaussettes en l'écoutant, je remonte aussi les pans de mon pantalon d'uniforme jusqu'aux genoux. « Hm, qu'est-ce que tu imagines ? Dis-moi. » Quémandais-je d'une voix sensuelle en me tournant face à la fontaine, trempant mes pieds dedans en réprimant un frisson qui se transmet dans ma voix subitement plaintive. « Je suis à genoux là... La main sur mon ventre, oui ~ » Je ne dois pas rire, juste émettre un léger gémissement en faisant croire à l'autre que je me touche lentement, comme il le désire tant. Je l'entends souffler de plus en plus fort, signe dégueulasse qu'il ose faire ça en pensant à moi. Enfin, « penser » c'est vite dit quand il ignore à quoi je ressemble. Je m'allonge sur le dos contre le rebord de la fontaine, une jambe dans l'eau, l'autre dans le vide, les yeux rivés vers le ciel. « Oh oui, domine moi ~ Vas-y touche-moi là ~ » Malgré les bruits suspects de l'autre côté, je garde mon sérieux pour ne pas me trahir, oubliant complètement que je suis sur la place centrale de l'école, entre les bâtiments. C'est à peine si je remarque un possible étudiant dans les alentours qui pourrait me surprendre au téléphone, en grande discussion avec un pédophile. Puis merde, ce n'est pas comme si j'allais m'en vouloir de m'amuser.

 uniforme scolaire ➤ normalement tu passes la pause déjeunée à la cantine, mais tu as reçu un texto de ton petit frère qui avait oublié de traîner son porte feuille avec lui et du coup il n'avait pas de sous pour acheter quelque chose à la cantine du lycée. Tu as donc acheté une boite à lunch de plus à la cafétéria et tu l'as rejoin à l'extérieur du campus à mi-chemin pour l'y rejoindre. Tu es le grand-frère c'est ta responsabilité de nourrir ton petit cadet. Il t'attend à l'ombre sous un arbre et tu lui tends son repas en lui signalant de faire plus attention la prochaine fois en utilisant le langage des signes. Ton petit frère est sourd et muet et ce n'est pas toujours facile de communiquer avec les autres si son interprète n'es pas avec lui. Tu aurais bien mangé avec lui, mais il te fait savoir qu'il doit rejoindre ses amis plutôt. Bon.. comme il fait beau dehors tu te dis que tu vas aller prendre ton goûté à la fontaine, c'est tranquille et normalement peu fréquenté à cette heure. Une fois arrivé par contre, tu es tout de suite attiré vers les sons et les paroles assez explicites d'un étudiant couché sur le bord de la fontaine, les pieds barbotant dans l'eau du bassin. Il est apparemment au téléphone et si tu en crois les paroles qui sortent d'entre ses lèvres il entretient une conversation perverse avec quelqu'un sur l'autre ligne. Peut-être sa petite ou petit ami? Tu ne devrais pas fouiner dans les affaires des autres, mais tu n peux pas empêcher ta curiosité. Tu t'approches du jeune homme et prend place à côté de lui en écoutant à son côté de la conversation en grignotant des carottes coupées en silence. Passionné par les paroles osés et laissant peu à l'imagination.. enfin non c'est carrément pour faire travailler l'imagination quoi. Il est doué. Tu serais sûrement mort de honte si des mots comme ça sortaient d'entre tes lèvres. C'est qu'après quelques minutes à fourré ton nez dans la conversation privée du jeune homme que tu le reconnais finalement. Vous vous étiez croisé à l'animalerie oì tu travail et il t'avait fait sursauter tellement fort alors que tu prenais un selfie avec cet adorable bébé labrador et tu avais accidentellement envoyé le téléphone au fond de l'aquarium de Tosakin. Il avait insisté pour remplacer ton portable ensuite... tu regardes dans ton téléphone tout neuf pour ressortir son prénom pour ne pas te tromper. Ah Reagan c'est ça! Tu continues de l'observer sans honte d'être en train d'écouter sa conversation, il a l'aire tellement absorbé qu'il n'a pas encore remarqué ta présence à ses côtés.

 uniforme scolaire ➤ Durant mes appels, je ne pouvais pas trop manger ou grignoter comme je le fais le trois quart du temps, juste parler et simuler. Ce n'était déjà pas mal pour quelqu'un qui a une main libre et des propos plutôt écœurant, voir obscène. Je ne lésine pas sur les bruits bizarres, quitte à alarmer un étudiant de passage qu'on égorge un cochon dans la place centrale. Dans le fond, je me marre seul. Ce n'est qu'un gros délire, je n'éprouve rien à faire cela, à part de l'amusement et une légère once de moquerie pour la personne à l'autre bout du fil. Je suis tellement dans mon truc, les paupière à présent closes, que je ne vois même pas l'autre garçon s'approcher et s'asseoir à côté de moi. En même temps, je suis allongé sur le dos, tranquillement posé sur le rebord de la fontaine. C'est seulement en imitant un râle et en me redressant brusquement, que je tombe nez à nez avec lui. « Aaah-oooh! » Nom de dieu! Il m'a fait peur. J'en garde le coeur battant pendant que l'autre n'a rien capté, toujours suspendu à son téléphone à faire je ne sais quoi de sa main. Merde.... Il m'a entendu ? Qu'est-ce qu'il doit bien penser de moi ? Je ne peux pas raccrocher de suite, je me sens un peu bête de parler avec un « client » tout en fixant un étudiant. Un universitaire, en plus! Le genre respecté, adulé, tout ce que vous voulez. Je n'en reviens pas que Jumpei m'ait observé sans rien dire, je tente de communiquer avec le regard, de cligner des yeux pour un appel en morse mais je ne connais pas le morse. Du coup je soupire, avant de sourire. « Et si tu allais... Te doucher ? J'adore l'odeur de la menthe. » Une excuse pour l'envoyer gentiment bouler et il n'y voit que du feu! Le gars emmène son portable dans sa salle de bain, sûrement, puisque j'entends de l'eau mais je n'attends pas qu'il soit sous l'eau pour raccrocher l'appel. Un gros rire m'échappe malgré la situation peu commune et je me rallonge sans arrêter de m’esclaffer bruyamment, battant des jambes. Sauf que j'ai toujours l'une d'elle dans l'eau... Et que j'arrose copieusement mon camarade. « Aaah ~ C'est trop marrant! » M'exprimais-je avec des mots, redressant l'échine pour m'asseoir à nouveau et regarder Jumpei. « Alors comme ça on écoute les conversations des autres ? C'est mal ~ » Même si ça m'arrive de le faire bien souvent, quand j'ai une conversation qui traîne proche de mes oreilles.

 uniforme scolaire ➤ Tu aurais pu retourner à la cantine pour manger ton goutté, mais en ayant entendu partiellement la conversation téléphonique du lycéen tu as clairement préféré resté et observer. Grignotant tes carottes tranquillement comme si le jeune homme coché sur le bord de la fontaine à côté de toi était en train de parler banalement du beau temps au téléphone avec tu ne sais trop qui. Évidemment tu ne sais pas qu'il s'agit d'une conversation avec un client, tu penses plutôt qu'il parle avec son petit-copain ou sa petite-amie. C'est seulement quand il se redresse qu'il t'aperçoit, en même temps sur le coup tu es ultra près du lui, alors pas étonnant que tu manques de lui faire faire une crise cardiaque sur le coup. Ça doit être surprenant pour le lycéen d'être surpris sur le fait. Encore plus par Jumpei qui n'a pas l'air pour le moin du monde choqué. Au contraire tu étais vachement intrigué plus qu'autre chose. Tu ne fais que lui sourire en lui tendant une carotte alors que Reagan cherche visiblement comment terminé sa conversation téléphonique sans trahir ton arrivée pour son interlocuteur à l'autre bout du fil. Il se met à cligner des yeux drôlement et tu crois qu'il a quelque chose dans l'œil pendants quelques courtes secondes avant de comprendre qu'il essaie de communiquer silencieusement. Évidement tu ne peux pas comprendre, alors tu continues à le regarder simplement jusqu'à ce qu'il raccroche et rigolant. Tu n'es pas sur s'il rit de toi, de la situation ou d'autre chose, mais bien rapidement tu te retrouves arrosé. « yay! » tu positionnes ton bras devant ton visage pour éviter de recevoir une douche au visage. « désolé la curiosité à pris le dessus. Au début je voulais juste voir si j'étais en train d'imaginer des choses. Après ça ma trop intriguée et je suis resté. Désoler. Mais je dois demander, ça t'arrive souvent d'entretenir des discussions perverses comme ça au beau milieu de la cour? » que tu rigoles doucement en continuant de grignoter ton lunch. Tu ne vas pas le réprimander même si ce n'es pas très descend. Tu es trop intrigué pour penser aux oreilles vierges qui auraient pu être choqué.  

 uniforme scolaire ➤ La conversation n'est pas innocente, je devrais avoir honte de parler ainsi dans un endroit autant fréquenté par des étudiants ou des lycéens, mais je n'ai pas songé une seconde à ce que l'un d'eux soient comme moi et squatte la fontaine. Quelle surprise en me redressant, mes yeux tombant sur son visage intrigué et son regard scrutateur qui me force à perdre le fil, et lâcher un gémissement étonné. L'autre à l'appareil ne doit pas comprendre, ni se douter, mais c'est ironique en soi. Je l'observe me tendre sa carotte en clignant des yeux, genre « qu'est-ce que tu fiches là ? » mais incapable de le questionner directement. Oui, j'ai frôlé la crise cardiaque sur le coup, sur les premières secondes mais ça va rapidement mieux quand je trouve un plan pour me débarrasser gentiment de l'autre gars. Une fois l'appel raccroché, je pars à rire, un fou rire qui me prend des longues secondes. Ce n'est pas tous les jours qu'on me surprend durant ce genre de coup de fil ! Pire, il n'a pas l'air choqué et je trouve ça marrant le coup de la carotte... Je l'arrose au passage, mais cesse tout mouvement quand il piaille. Oups, je me suis emporté tellement c'était drôle. Reprenant partiellement mon sérieux, je l'interroge sans crainte, me doutant qu'il n'est pas là pour me balancer aux surveillants ou quoi. « La curiosité est un vilain défaut. Pourquoi ça t'a intrigué ? » Je penche ma tête de côté, toujours aussi interrogé. Un petit rire m'échappe et je tape mes mains contre mon pantalon d'uniforme. « Non, non ~ Je le fais aussi dans les toilettes du bahut ou parfois dans des pièces vides. » Ce n'était pas un « non » de « ça ne m'arrive pas souvent » mais plutôt un « non » de « je ne le fais pas seulement ici ». Bon, c'était marrant mais il m'a proposé une carotte tout à l'heure, alors je lui pique sans remord, croquant dedans. Je mange de tout, vraiment de tout, même des légumes crus. « C'est la première fois que tu entends ce genre de conversation, Jump ? » La dernière fois que je l'ai vu, il prenait des photos avec un chiot, avant que je nique son portable dans l'aquarium. Il n'a pas la tête d'un pervers, en tout cas. Je ne peux pas dire que ma tête soit celle d'un gros dégueulasse non plus... Quant à mon esprit, il est un peu tordu, juste un tout petit peu tordu.

 uniforme scolaire ➤ Ça t'avais vachement étonné d'entendre le jeune homme avoir une conversation aussi intime au beau milieu de la cour, couché sur le rebord de la fontaine comme s'il était installé confortablement dans le confort de sa chambre close. C'était un endroit affreusement fréquenté, enfin pas autant à cette heure, mais ça reste un lieu public. Reagan est définitivement surpris par ton campement à côté de lui, comme tu le scrutais tranquillement en grignotant ton goutté alors qu'il cherchait a terminé sa conversation avec le pervers à l'autre bout du fil rapidement comme il t'avait désormais en bon public. Bêtement tu lui avais tendu une de tes carottes sous son regard interrogateur, mais il ne prit pas ton offrande tout de suite, occupé à terminer sa conversation sans que ton apparition ne soit captée par son interlocuteur. C'était vachement cocasse comme situation tu trouves. Une fois son coup de fil terminé il s'était mis à rire vocalement en tapant de son pied dans l'eau du bassin, t'éclaboussant du même coup. Tu avais pris ta douche ce matin et du coup tu ne tenais pas particulièrement à en reprendre une. Alors, tu te plains faiblement, mais sans perdre ton amusement gardant le sourire à tes lèves. « c'est bien la première fois que j'entends un étudiant gémir dans un téléphone au beau milieu de la cour! » que tu réponds avec amusement distinct dans la voix. « oh » bha dis donc! Alors, ce n'est pas la première fois qu'il se lance dans une discussion chaude au téléphone sur le campus. « c'est ton copain? » ou copine tu ne savais pas trop son orientation alors tu essais l'un des deux, il va rectifier pour toi. Ce n'est pas vraiment de tes oignions, mais il n'a pas l'air de te reprocher de foutre ton nez dans ses affaires alors tu demandes. Oh ouais la curiosité quand tu nous prends! Il prend finalement une de tes carottes et tu souris sur le coup en le voyant croquer le légume. « ouais, enfin outre dans un film une fois, mais voilà quoi. » tu es plus texto que conversation de vive voix dans ce genre de discussion sensuelles quoi, tu serais sûrement mort de honte en te demandant si on pouvait t'entendre gémir dans ton portable.

 uniforme scolaire ➤ C'était dure de garder son sérieux face à un garçon qui te regarde et t'écoute parler, tandis que tu passes un appel peu commun avec un parfait inconnu. Perso, ça me fait bien rire mais sur le coup, j'ai été plutôt surpris par sa présence avant de trouver tout ça hilarant. Mon coup de fil raccroché, j'éclate de rire en m'agitant sur place, tel un gamin qui ne tient pas et gesticule dans tout les sens. Jumpei n'a rien dû comprendre, mais ce n'est pas pour autant que je vais m'arrêter de rigoler ou même de sourire. Donc, il était surtout curieux de m'entendre gémir au téléphone au beau milieu de la place centrale, sans aucune gêne ? Faut dire, mes parents ont oubliés de m'intégrer cette qualité, la discrétion. Quoi que, je manque cruellement d'embarras aussi, à croire que rien ne pourrait me faire rougir ou me déranger. « Désolé. » ça ne sonne pas du tout comme une excuse, avec mon rictus au coin des lèvres. Mon copain ? Les lippes pincées, je me retiens de rire à nouveau. Oh non, je n'ai pas de copain. « Qui te dit que c'était un garçon ? » Hasardais-je malicieusement, haussant un sourcil pour donner un côté suspicieux à ma question. « Je suis célibataire. » Et plutôt libre comme l'air, faut bien le dire. Après ma relation avec Yuzu, je ne compte pas me caser de si tôt avec quelqu'un d'autre. Récupérant la carotte, je la grignote comme si de rien n'était, tout à fait normal. Un film, je pouffe en imaginant la tronche du film, me demandant bien lequel d'ailleurs. « Donc, tu regardes ce genre de film  ? » Fis-je plus pour m'amuser de ses réactions que pour réellement savoir. ça ne m'a jamais dérangé de gémir dans un téléphone, quitte à être entendu par mes voisins de chambre ou autres. « Tu veux essayer ? Je le rappel si tu veux ? » Je demande en lui montrant mon téléphone, où le numéro s'affiche sur l'écran. C'est juste pour rire, je ne vais pas le rappeler pour le passer à Jumpei, ni même l'appeler tout court en fait.

 uniforme scolaire ➤ ce n'était sans doute pas la réaction conventionnelle de s'approcher et écouter la conversation érotique d'un autre étudiant quand on le surprend sur le fait. Mais la curiosité avait eu raison d'un raisonnement plus traditionnel. À sa place tu aurais sans doutes été mort de honte d'être surpris sur le fait de la sorte, mais Reagan contrairement à ce que tu aurais pu croire semblait particulièrement à l'aise, voir même amusé par la situation. Sans embarras et sa discrétion, le garçon avait terminé sa conversation avec l'inconnu à l'autre bout du film malgré ta présence. Toi-même, au lieu d'être outré, tu grignotais ton lunch tranquillement en l'observant curieusement. « ça va. » tu lui répondis avec un petit sourire au coin des lèvres. Su le coup tu lui avais demander s'il était en train de discuter avec son petit ami. Pas que ça ne pouvait pas être une fille, mais tu avais crue surprendre le mot ''bander'' quelque par dans la conversation. Une fille qui bande ce n'est pas tellement possible à moins qu'elle soit hermaphrodite non? « seulement une suspicion. » que tu lui répondis avant de croquer dans une autre crudité. Tu avais lancé l'hypothèse qu'il devait parler à sa moitié, genre se chauffer sur l'heure du repas. Normal quoi x). « vraiment? » ça te surprenait, franchement Reagan est un garçon te tu considères comme très séduisant -bha quoi t'as des yeux fonctionnelles! Comme la plupart des gens tu le trouves très hot comme mec- tu l'aurais crue déjà en relation avec quelqu'un. Ça te semblait tellement improbable qu'il soit célibataire que tu n'avais pas pu cacher ton intonation surprise sur le coup. « c'était pas un porno han! » que tu te défends avec un large sourire. Si tu te souviens bien s'était ''my ps partner'', anyway. Du coup si s'était pas son copain/copine, il parlait a un quelqu'un au hasard? Que d'interrogations! « nah nah! Peut-être que j'essaierais de te passer un coup de fil pour voir. » que tu blagues.. ou pas.

 uniforme scolaire ➤ Honte ne fait sûrement pas partie de mon vocabulaire, j'ai rarement, voir jamais, honte de quoi que ce soit. Dans une situation qui devrait m'amener à cette émotion, soit je ressens de l'amusement, soit je boude, soit j'en ris. Bref, rien de bien normal mais qui fait mon charme. L'appel terminé, je peux me concentrer sur Jumpei et répondre à ses questions, parce qu'il a l'air définitivement intrigué par le sujet. Mon vis-à-vis tente de savoir si c'est mon copain et j'essaie de le faire douter sur le sexe, sauf que j'ai dû oublier les quelques brides de ma conversation avec l'autre gars, sinon je n'aurai pas fait le malin à vouloir le tromper. « Tu as raison sur un point, c'était bien un homme. » Confirmais-je après avoir avoué être célibataire. La dernière en date s'est barrée sans nouvelle et depuis, je suis officiellement seul. Aucune n'arrive à tenir longtemps et autant dire que je n'ai jamais cherché de mec, ou qu'ils ne sont pas venu vers moi. Je dois avoir la tête du garçon qui attire toute les filles, toujours avec l'une d'entre elles sous le bras, mais bizarrement ce n'est pas le cas. Quand il parle de film "du genre" je suppose aussitôt que c'est un film de cul, mais il affirme que non. Je n'ai pas vraiment pensé, sur le coup, qu'il puisse y avoir une scène « d'amour » dans un film ou une sérieux quelconque, de tout âge. « Quoi ? Tu ne regardes jamais de porno ? » Non mais à son âge quand même! Tous les hommes de nos jours matent des films coquins, qu'importe la raison. Perso, j'ai parfois du temps à perdre. L'humour de Jump' me plait tellement! Enfin, je pense que c'est de l'humour ? à cela, j'hausse un sourcil et le reluque correctement, avant de rire à nouveau. « Tu veux dire par-là que les hommes t'attires ? Ou que tu es juste curieux d'avoir ce genre de conversation ? Ou que secrètement, ça te plait de "faire l'amour" à travers un téléphone ? » Je le met entre guillemet, parce que ce n'est pas vraiment le bon terme mais que je voulais rester poli. « Tu n'es pas commun comme garçon. »

 uniforme scolaire ➤ ce n'est pas tous les jours que tu surprends un lycéen en train de gémir dans son téléphone en plein milieu de la cour quoi. Alors, évidemment que tu as été curieux sur le sujet. enfin pas évidemment, mais comme tu aimes mettre ton nez un peu partout quoi... voilà. La curiosité c'est un mauvais défaut, mais tu n'y peu rien. Anyway dans ton ''espionnage'' tu avais capté qu'il parlait à un garçon... enfin tu en as déduit le tout quoi, mais tu aurais aussi bien pu te tromper, tu n'es pas infaillible non plus. Du coup, lorsqu'il te donne raison tu mets ton poing en l'aire en fêtant ta victoire.. ok on va dire. Genre '' I Knew It! '' . anyway tu es un peu surpris qu'il soit célibataire. Tu ne dis pas cela pour le draguer, détromper vous quand même. C'est juste que de la manière dont il parlait au bout du fil tu aurais pensé que s'était avec quelqu'un d'intime. Appeler-moi cupidon. XD tu es loin de te douter que l'autre garçon il s'amuse à enregistrer des conversations pornographiques pour se marré dans ses temps libres quoi. Dans tous les cas votre conversation est vachement intime pour deux garçons qui se connaissent parce qu'il avait fait tomber ton portable dans la flotte d'un aquarium. Dans tous les cas, vous êtes rendus à parler de porno.. XD tu lui avais assuré que le film en question s'était pas un porno, en fait s'était un genre comédie-romantique un peu poussé. Quoi qu'il en soit! Tu te mets à rigoler... franchement tu es un mec quand même, plein d'hormones. Est-ce vraiment possible un type qui a pousser sa croissance sans se toucher trois fois par jour au minimum devant un bon porno? Je ne crois pas. « évidemment que j'en regarde! » genre tu essuies la larme au coin de ton œil tellement la possibilité que tu n'as jamais regardé de porno est impossible. Faut le dire vos humours sont vachement compatible à ce point. « ah, je coche toutes ses réponses à son sondage! » que tu lances genre la tête hyper sérieuse, mais tu te retiens de rigoler comme un mongole. « je te retourne l'affirmation. Mais je t'aime bien du coup. »

 uniforme scolaire ➤ Ce garçon est vraiment amusant, il a des manies qui me font bien rire, à lever son point fièrement comme si c'était une victoire de gagnée. Entre un homme et une femme, il avait une chance sur deux de deviner, même s'il a trouvé du premier coup. Je le félicite, tout en pensant qu'il devrait tenter sa chance au loto, sait-on jamais si ça marche là-aussi. Être célibataire, c'est une chance sur deux aussi. Je pourrais l'être comme ne pas l'être, mais la dernière m'a lâché avant que je ne me décide à retrouver quelqu'un. De toute manière, je ne suis pas pressé, il me reste du temps et des occasions pour trouver chaussure à mon pied. Puis entre nous, je suis jeune quand même. Finalement, à bien réfléchir, je n'ai pas envie de me pacser de suite et perdre mon droit de libertinage. Une fois en couple, c'est plus difficile d'aller s'amuser en soirée et offrir un verre à la première belle fille qui passe. ça ne m'étonne pas de parler cul avec quelqu'un, même un garçon que je connais à peine pour avoir bousillé son portable. C'est facile chez moi d'être intime mais pas discret pour autant. J'aurai été étonné qu'à notre époque, un garçon ne mate pas de porno ou ne se touche pas, hétéro ou non, nous sommes tous pareil. à un moment ou à un autre, nous y pensons quand même. J'avais vu juste, il n'est pas innocent. Oh, alors il est bisexuel ou homo, aime parler de "ça" et qu'il pourrait le faire à travers un téléphone. « Tu devrais tester, c'est amusant. 'Fin, je ne prends pas ça au sérieux, c'est juste pour m'amuser. Je préfère avoir la personne en chaire et en os. » Avec Yuzu, ça toujours été les meilleurs moments où nous n'avions pas besoin de parler pour nous comprendre, juste s'exprimer physiquement. Au moins, ce n'est pas à cause de ça qu'elle m'a fuit. « Moi ? » Je rigole aussitôt. Je ne me suis jamais vu différent d'un autre, qu'importe mes passions ou mes délires. Doit bien y avoir un gars comme moi dans ce bahut, physiquement ou mentalement similaire. « Hm, je t'aime bien aussi. Ce n'est pas tous les jours que je peux parler librement de ça avec quelqu'un. Les gens s'offusquent rapidement dès que je franchis la limite du supportable. » Tous des saints dans ce pays. Ou presque.